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  1. http://blogues.lapresse.ca/lortie/2013/03/06/des-tapas-de-barcelone-a-montreal/
  2. Voici une liste et des liens sur les nombreux articles sur Montréal parus dans les médias internationaux en 2012 et début 2013. https://membres.tourisme-montreal.org/pages/mtlMedias.aspx
  3. http://www.lapresse.ca/actualites/quebec-canada/politique-quebecoise/201211/12/01-4593085-infrastructures-pauline-marois-met-les-freins.php L'appel d'offres principal pour l'échangeur Turcot devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013, dans le but de réduire les dépenses. PHOTO: ANDRÉ PICHETTE, LA PRESSE DENIS LESSARD La Presse (Québec) Étranglé par une facture de 44 milliards pour ses projets d'infrastructures dans les cinq prochaines années, le gouvernement Marois appliquera les freins sur des dizaines de projets de construction des ministères des Transports, de la Santé et de l'Éducation - des immobilisations annoncées, mais dont les travaux n'étaient pas encore amorcés. Selon les informations obtenues par La Presse, à la suite des conclusions d'une évaluation réalisée par KPMG pour le compte d'Infrastructures Québec, le Conseil du Trésor posera de nouvelles balises plus serrées pour stopper la flambée des coûts des mégaprojets - notamment l'échangeur Turcot et le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). Ces décisions doivent être annoncées par le président du Conseil du Trésor, Stéphane Bédard, dans le cadre du Plan quinquennal d'investissements qui fera partie des crédits budgétaires rendus publics en marge du budget de Nicolas Marceau, mardi prochain. Dans le cas de l'échangeur Turcot, le projet a d'abord été annoncé à 1,4 milliard sous le gouvernement libéral; la facture officielle a grimpé à 3 milliards, mais le compteur continue de tourner. «En route» pour 4 milliards, on appliquera donc les freins. «Le gouvernement n'acceptera pas de mettre autant d'argent.» Québec dira aux soumissionnaires qu'il y aura un «plafond» et qu'ils devront proposer un «scénario d'optimisation» du projet. L'appel d'offres principal n'est pas encore lancé pour ce mégaprojet. Québec s'assurera que le coût de l'aventure sera révisé avant d'aller de l'avant, ont indiqué à La Presse des sources gouvernementales. La série de travaux préparatoires et les mesures destinées à rendre le projet plus acceptable ont fait grimper la facture. L'appel d'offres principal devait être lancé le printemps dernier; il le sera plutôt à la fin de l'année ou au début de 2013. Refaire les calculs pour le CHUM Même topo pour le CHUM. D'abord annoncée à 840 millions, la facture s'élève officiellement à 1,6 milliard - en route vers 2 milliards. Cette fois encore, comme le projet est très avancé, il n'est pas question de reculer. Au Trésor, on demandera néanmoins aux responsables du projet de refaire leurs calculs pour réduire les coûts. Québec veut diminuer, au cours des cinq prochaines années, ses engagements en immobilisations. Dans le cas de plusieurs projets en cours, il est trop tard pour freiner les dépenses. Parmi la vingtaine de projets soumis à KPMG, on trouve la route des monts Otish, élément important du Plan Nord. Ce projet nécessitait le transport par hélicoptère de matériaux, parce qu'on doit travailler sur plusieurs tronçons simultanément pour respecter les échéanciers. Ce seul projet a vu son coût grimper de 260 à 471 millions. KPMG doit déterminer, dans le processus de décision des projets, les causes de la flambée des coûts. C'est 44 milliards d'investissements que Québec prévoyait faire en cinq ans. Déjà, dans le dernier budget Bachand, on prévoyait réduire ces engagements de 500 millions pour les années à venir. On repoussera donc tout ce qui n'est pas déjà engagé. On s'attend à ce que les ministères montent au créneau, mais on leur rappellera qu'il y a quelques années, Québec ne dépensait que 10 milliards sur cinq ans. Une longue attente en santé Dans le réseau de la santé, ce sera l'hécatombe, particulièrement dans la région de Montréal, où près de 2 milliards d'investissements en infrastructures étaient attendus. Au Ministère, on comprend que, dans bien des cas, si on reporte un projet officiellement d'un an, l'attente sera dans les faits beaucoup plus longue. Sous le gouvernement Charest, on annonçait beaucoup de projets sans nécessairement budgéter les fonds nécessaires, soutient-on dans les coulisses au sein du gouvernement Marois. Des projets comme les phases deux, trois et quatre de l'Hôpital général juif - une facture de plus de 250 millions - ont été «annoncés», mais pourraient être mis en suspens. Quant à l'agrandissement de l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, il serait carrément «sur les brakes», affirme une source à l'interne. Parmi les engagements aussi «en suspens», notons un pavillon supplémentaire à l'hôpital Charles-LeMoyne, l'agrandissement de la Cité de la santé de Laval et un hôpital complètement rénové à Saint-Jérôme. Dans tous ces cas, aucun appel d'offres n'a été lancé. Ces changements auront un impact important sur le plan des effectifs médicaux. À la Cité-de-la-Santé, par exemple, le bloc opératoire est déjà utilisé à 100%; on ne pourra y accueillir de nouveaux médecins à moins de procéder aux agrandissements prévus. L'ex-ministre Yves Bolduc avait publiquement annoncé l'agrandissement des urgences de l'hôpital d'Alma et l'ajout de 140 lits à Le Gardeur, des projets appuyés par le Parti québécois qui risquent aussi de se retrouver sur la glace, confie-t-on dans le réseau de la santé. En éducation, on parle de projets réduits et moins nombreux. Ainsi, le Centre des sciences de l'Université de Montréal était prévu, mais comme les travaux ne sont pas entamés, on voudra certainement revoir les coûts.
  4. Printemps érable: la plus cool des révoltes. A Montréal, les étudiants, soutenus par les Québécois, ont inventé la plus cool des révoltes. Gabriel Nadeau-Dubois, 21 ans, étudiant en histoire, star du mouvement étudiant québécois, a presque les mêmes lunettes de soleil que Ryan Gosling dans Drive. Il nous reçoit dans l’arrière-cour d’un café du quartier Latin de Montréal, et lorsque notre photographe l’emmène quelques instants dans la rue pour le photographier, l’un des porte-parole de la Classe (Coalition large de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante) fait son petit effet. “Gabriel, Gabriel !” Des filles l’interpellent gentiment et se pincent de l’avoir vu – comme dans un teen movie. Quelques heures avant notre rencontre, une Montréalaise d’un âge respectable nous a confié : “Il est tellement hot.” Celui que l’on surnomme GND essaie pourtant de ne pas tout prendre sur ses jeunes épaules : à notre rendez-vous – fixé avec son attaché de presse Ludvic, coiffé à la semi-iroquoise et fan de Sonic Youth (difficile de faire plus hype) -, il vient en compagnie de Camille Robert, jolie rousse aux yeux translucides. A la Classe, pas de hiérarchie, pas de personnification de la lutte et la parité surtout, nous dit-on. Dans toutes les interviews qu’il a données à la presse – un paquet depuis le 13 février, date du début du printemps érable -, l’ange Gabriel affirme qu’il ne poursuivra pas la politique. Pas de plan de carrière. En revanche, l’engagement, lui, semble durable. Une bonne partie du Québec se montre prête à poursuivre l’aventure, ou du moins à continuer à la dessiner, collectivement. Un modèle de révolte cool et connecté Au parc Emilie-Gamelin, où se retrouvent chaque soir les Montréalais mobilisés, on est certes de moins en moins nombreux, et les casseroles sur lesquelles on tape dur font un peu moins de bruit. Mais la colère reste profonde, s’enracine. Surtout, les kids qui ont lancé le mouvement impressionnent encore.. http://www.lesinrocks.com/2012/07/03/actualite/printemps-erable-revolte-cool-11273816/
  5. Nathalie Collard La Presse L'hebdomadaire anglophone The Mirror ferme ses portes. Propriété de Québecor depuis 1997, le journal a été publié pour la première fois en 1985. «La popularité croissante des médias et des modes de communication numériques ayant changé de façon irrémédiable le contexte dans lequel évoluent les hebdomadaires culturels gratuits, les défis économiques découlant de ce nouveau contexte ont malheureusement compromis la viabilité du Mirror», affirme Québecor dans un communiqué diffusé un peu avant 13h. The Mirror est la plus récente victime d'une crise qui touche tous les joueurs dans l'univers des publications culturelles gratuites à Montréal: après 25 ans d'existence, l'hebdomadaire Voir vient d'annoncer une série de fermetures ainsi que plusieurs coupes visant à recentrer ses activités. Plus de détails demain dans La Presse
  6. Voilà des bonnes nouvelles !!! *** Dix investissements étrangers à surveiller Publié le 17 mai 2012 à 14h04 | Mis à jour le 17 mai 2012 à 14h04 André Dubuc La Presse Dans les dernières semaines, Messier-Dowty, Valeant, CryoCath et Ethanol Grenfield ont annoncé des investissements de 226 millions de dollars dans la région de Montréal. D'autres annonces d'une valeur totale d'environ 300 millions suivront sous peu. La Presse Affaires a eu vent de 10 investissements étrangers en cours ou susceptibles d'être annoncés au cours des prochaines semaines. De quoi tonifier l'économie québécoise qui en a grand besoin. Pfizer: 32 millions Pfizer licencie, Pfizer investit? Il y a toujours de l'action avec l'inventeur du Viagra. En février 2011, la pharma supprimait 150 emplois en R-D à l'ancienne Wyeth, à Saint-Laurent. En juin 2011,Pfizer a inauguré son siège social rénové au coût de 22 millions à Kirkland. Cette fois-ci, il s'agit d'un nouvel investissement de 31,7 millions, dont 2,67 millions d'Investissement Québec. Peu de détails ont filtré jusqu'à présent. Hier, dans nos pages, le nouveau président pour le Canada, John Helou, a dit ne pas vouloir s'engager à faire de nouveaux investissements ou à créer des emplois en échange à un meilleur accès à ses médicaments. Jointe en fin de journée, la porte-parole de Pfizer Canada a refusé de confirmer quoi que ce soit. Nouveau studio pour Speedshape Montréal est peut-être à la veille d'accueillir le studio d'une firme spécialisée dans la conversion de films conventionnel en films de 3D. La firme est aussi connue pour ses animations par ordinateur dans les publicités d'autos. Selon nos informations, SpeedShape, de Detroit, prévoit s'implanter sous peu dans la métropole québécoise avec un investissement de 18 millions. Dans une communication officielle, la firme qui a fait la conversion 3D du film Spy Kids: All the Time in the World évoquait l'ouverture de son bureau montréalais dès juillet 2011. Notre appel laissé au siège social de Detroit est resté sans suite. Selenis Canada: phase 2 Les gens de l'est de Montréal ont bien présente à la mémoire la fermeture de la raffinerie Shell. Le secteur pétrochimique à Montréal est considéré par plusieurs comme moribond. Rare bonne nouvelle, la firme Selenis a ouvert la seule usine de polyéthylène téréphtalate (PET) au pays l'an dernier. Quelque 60 personnes y travaillent. Selenis envisage maintenant la phase 2 de son implantation avec un investissement additionnel de 40 millions. IQ se dit prêt à subventionner le projet à hauteur de 1,65 million. Selenis appartient à Control PET SGPS SA, une filiale du Groupe portugais Imastos Gil. Par courriel, La Presse a tenté sans succès de joindre le chef de la direction Giovanni Iadeluca, actuellement au Portugal. Nouvel agrandissement chez Gameloft Leader mondial dans l'édition de jeux vidéo et sociaux, Gameloft conçoit des jeux pour toutes les plateformes numériques incluant les téléphones mobiles, intelligents et tablettes. Installée au 5800, rue Saint-Denis, à Montréal, Gameloft (environ 400 employés) a dans ses cartons un projet d'investissement de 7,2 millions. Le montant comprend les dépenses en immobilisations et les frais de R-D, mais pas la masse salariale, a-t-on compris. La direction montréalaise n'a pas rappelé. Lors du premier trimestre 2012, les ventes sur téléphones intelligents et tablettes ont progressé de 59% et ont représenté 40% du chiffre d'affaires de la société. SCA à Drummondville, 38 millions à l'étude Ex-usine de la société Cascades, filiale d'une multinationale suédoise, les 200 employés de SCA fabriquent des culottes d'aisance pour adultes, un marché en expansion avec le vieillissement de la population dans les pays occidentaux. SCA mijote un investissement de 38 millions auquel IQ participerait à hauteur de 7,1 millions, dont une subvention de 1,5 million et un prêt sans intérêt de 5,6 millions. L'usine de Drummondville, dans le Centre-du-Québec, nous a référé à sa direction nord-américaine de SCA, à Philadelphie. La porte-parole, Amy Belcourt, a confirmé avoir soumis un projet au gouvernement, mais n'a pas voulu dévoiler les détails. Bonduelle Canada: 13 millions Le français Bonduelle qui a acheté Aliments Carrière (Artic Gardens) en 2007 continue de prendre les bouchées doubles. Il a acheté en mars quatre usines de la société américaine Allens. La société a encore de l'appétit pour le Québec. Selon le quotidien d'information financière Les Échos, de Paris, «ses unités canadiennes ont atteint un niveau de saturation qui ne lui permet pas de profiter de l'essor de la demande». La Presse Affaires a appris que Bonduelle va injecter prochainement 13 millions dans ses installations québécoises. Un tel investissement s'accompagne généralement de nouveaux emplois. IQ versera 900 000$ dans le cadre de l'enveloppe Essor. Ce programme vise à appuyer les projets dans une perspective d'accroissement de la compétitivité et de la productivité, de création d'emplois et de développement durable, notamment en accélérant la concrétisation de projets d'investissement dans le contexte de l'implantation, de l'expansion ou de la modernisation d'entreprises. Emballages Lacroix Situé dans la région d'Argenteuil au nord-ouest de Montréal, Emballages Lacroix, qui fabrique l'emballage design des yogourts Yoplait, injecte 24 millions en équipements neufs en trois ans dans ses usines de Saint-Placide et de Saint-Eustache. Québec donne un coup de pouce de 500 000$. Une cinquantaine d'emplois seront créés. Groupe Lacroix, près de Genève, dans le Jura, emploie 200 personnes au Québec. L'usine de Saint Placide augmente sa superficie de 50%, à 320 000 pieds carrés, précise Nicolas Bouvret, responsable nord-américain des opérations, au téléphone. Lacroix vient par ailleurs de lancer cette semaine une machine en Arizona, pour couvrir l'Ouest américain. Emballages Winpack de Vaudreuil-Dorion Winpak, de Winnipeg, produit des matériaux d'emballage pour les produits alimentaires périssables. Dans son rapport annuel 2011, la société confirme un agrandissement en 2012 à son usine du chemin Dumberry à Vaudreuil-Dorion. Une chaîne d'extrusion/couchage/laminage y sera notamment installée. Selon nos informations, Winpack, cotée en Bourse, investira près de 36 millions dans ses installations du Grand Montréal où elle emploie 350 personnes. Investissement Québec y va d'une subvention de 4,1 millions. JTI-Macdonald Corp. On entend plus souvent parler des cigarettiers dans les palais de justice que dans les pages économiques des journaux par les temps qui courent. La vénérable usine de la rue Ontario, dans le quartier Centre-Sud, à Montréal, a pourtant modernisé sa chaîne de production au coût de 17,5 millions dans les derniers mois. Il s'agit du plus important investissement des 10 dernières années. Cette année, la société a refait une beauté à sa tour de l'horloge. «On a une demande plus accrue sur nos produits depuis quatre ans, explique Michel Poirier, président régional, Amériques. On augmente notre part de marché. On a eu besoin d'un équipement encore meilleur capable de produire de meilleurs produits.» Environ 230 personnes travaillent dans la seule usine canadienne du cigarettier Japan Tobacco International. Construite en 1874, l'usine roule les cigarettes Macdonald Special, au sommet des ventes au Québec. Kronos: 44 millions Varennes rêvait d'une usine de titane éponge de 800 millions en 2007. Son actionnaire en a décidé autrement. À défaut du gros lot espéré, Kronos, qui produit du bioxyde de titane, va actuellement de l'avant avec un investissement en trois phases d'un maximum de 44 millions en 3 ans pour lequel Investissement Québec fournit 8,1 millions. «Le but est réduire nos coûts fixes pour rester concurrentiel», explique le directeur de l'usine Serge Payette. Le gros des investissements sert à l'automatisation de l'ensachage, selon ses dires. L'usine emploie 420 personnes.
  7. J'ai trouvé ça sur cybrepresse.ca ce matin. Je dois avouer que je suis resté un peu perplexe devant cet article. D'un côté je me dis que c'est inacceptable que des patrons de la CAISSE DE DÉPÔT ET PLACEMENT DU QUÉBEC ne sont pas capables de parler français, ce qui force les employés francophones de parler l'anglais lors des réunions. Même si je n'aime pas Pauline Marois, je crois qu'elle a très bien résumé la situation: "La Caisse a justement été créée pour permettre à une élite francophone d'émerger." D'un autre côté, je me dis que si ce directeur des Resources humaines est en poste depuis 11 ans, c'est qu'il fait du bon travail. Et si on le met à la porte, celà ne fera qu'entaché notre réputation ailleurs dans le monde. Ce qui rendra la tâche d'attirer de nouvelles personnes ici encore plus difficile. Idéalement, ce directeur devrait commencer des cours intensifs de français. Si il refuse, on devra le remercier pour ses années de services et le remplacer par quelqu'un qui peut communiquer en français! Voici l'article! Des patrons unilingues anglais à la Caisse de dépôt Francis Vailles et André Dubuc La Presse (Montréal) La Cour suprême et le Vérificateur général du Canada ne sont pas les seuls à faire l'objet de critiques concernant l'unilinguisme d'anglophones. La Caisse de dépôt, symbole de la maîtrise des Québécois francophones sur leur économie, compte aussi des cadres supérieurs anglophones unilingues, a appris La Presse. La situation est telle que des employés se sont plaints à l'Office québécois de la langue française (OQLF), qui mène l'enquête. Les critiques viennent d'un groupe d'employés d'Ivanhoé Cambridge, filiale immobilière de la Caisse de dépôt et placement du Québec. À la fin du mois d'octobre, ils ont fait parvenir une lettre de plainte à l'OQLF. La missive a aussi été transmise au ministre responsable de la Caisse, Raymond Bachand, et à la chef du Parti québécois, Pauline Marois. La Presse a également reçu une lettre à ce sujet la semaine dernière. Deux dirigeants visés Les employés y dénoncent l'unilinguisme du président anglophone de l'exploitation d'Ivanhoé Cambridge, Kim McInnes, et du vice-président principal, ressources humaines et services corporatifs, David Smith. Ce dernier est celui qui, en bout de ligne, est responsable de l'embauche des employés d'Ivanhoé Cambridge. «Et que dire de certaines nominations au conseil d'administration, écrivent-ils. À ce rythme, les employés ne pourront plus parler français à l'intérieur des murs de la Caisse», est-il écrit dans la lettre. Hier, en fin de journée, la Caisse de dépôt a confirmé que ces deux cadres ont une connaissance limitée du français (voir texte en page 7). Ivanhoé Cambridge est l'un des 10 plus grands propriétaires immobiliers du monde, avec un actif de plus de 30 milliards de dollars. L'entreprise compte 1600 employés, dont la moitié au Québec. Parmi ses actifs, on compte la Place Ville-Marie et le Centre Eaton, à Montréal, et la Place Laurier, à Québec. «C'est complètement inadmissible, je suis renversée, a dit Pauline Marois à La Presse. Quand j'entends une telle chose, j'ai l'impression de retourner 35 ans en arrière. La Caisse a justement été créée pour permettre à une élite francophone d'émerger.» La chef du Parti québécois rappelle que le PDG de la Caisse, Michael Sabia, s'était engagé à maintenir le français à la Caisse. «La connaissance du français devrait être un critère d'embauche essentiel. Avoir un accent, c'est une chose, ne pas maîtriser le français, c'en est une autre», dit-elle. Trois sources proches de la Caisse ont confirmé à La Presse le malaise qui règne au sein de la filiale immobilière. Une source nous indique que les comités d'investissement du groupe immobilier se passent généralement en anglais. Les temps ont changé Selon cette source, l'environnement a beaucoup changé à la Caisse depuis l'époque de Jean-Claude Scraire, à la tête de l'institution québécoise au début des années 2000. «Il y a maintenant beaucoup d'anglophones dans la structure. C'est sûr que, quand les patrons ne parlent pas bien le français, c'est difficile. Si j'étais employé à la Caisse et que j'avais de la difficulté à m'exprimer en anglais, je trouverais ça difficile», dit cette personne qui traite avec le groupe immobilier depuis de nombreuses années. Les lettres envoyées à La Presse, au PQ et au ministre Bachand sont anonymes, mais l'affaire a été jugée suffisamment sérieuse pour que M. Bachand communique avec la Caisse, au cours des derniers jours. «Nous avons communiqué avec la direction de la Caisse pour qu'elle s'assure que la loi 101 soit respectée», nous a dit la porte-parole de M. Bachand, Catherine Poulin. En vertu de l'article 4 de la Charte de la langue française, «les entreprises ont l'obligation de respecter le droit fondamental des travailleurs et travailleuses d'exercer leurs activités en français». La loi est plus exigeante pour les administrations publiques, comme la Caisse de dépôt, où une connaissance appropriée du français est une condition d'embauche. Ivanhoé Cambridge ne serait toutefois pas considérée comme une administration publique, étant une filiale de la Caisse. Elle serait alors visée par les dispositions de la loi touchant les entreprises de 50 employés et plus, nous explique Martin Bergeron, porte-parole de l'OQLF. Dans un cas comme dans l'autre, le personnel d'Ivanhoé Cambridge au Québec doit avoir une connaissance suffisante du français, selon la loi, ce qui inclut les membres du conseil d'administration. Le but de la loi est de faire en sorte que l'utilisation du français soit généralisée, tant comme outil de communication interne que dans les documents de travail et même les logiciels.
  8. Je sais qu'il y a un fil là dessus, mais je ne trouve pas!! SVP Vous joindre à la page Facebook pour appuyer la cause: https://www.facebook.com/Bars.Ouverts.6.du.matin Débordements à la sortie des bars: MC Mario propose une rencontre au sommet Publié le 15 octobre 2011 à 05h00 | Mis à jour le 15 octobre 2011 à 12h33 Vincent Larouche La Presse Les débordements à la sortie des bars ont souvent fait les manchettes au cours des derniers mois. Craignant lui-même la suspension de son permis d'alcool en raison d'une série d'incidents violents, le populaire DJ MC Mario croit que le moment est venu pour une rencontre au sommet entre tenanciers, policiers et élus afin d'échanger sur la gestion des fins de soirées bien arrosées dans la métropole. « À 3 h du matin, quand tout le monde sort, ça ressemble à l'équivalent d'un Centre Bell qui se vide... après une grosse partie en séries contre Boston », reconnaît Mario Tremblay, alias DJ MC Mario. Figure incontournable de la vie nocturne montréalaise avec ses trois millions d'albums vendus, le copropriétaire du Club 1234, rue de la Montagne, se serait passé de la publicité négative des derniers mois. Le 14 septembre, La Presse a révélé que son bar avait été convoqué devant la Régie des alcools à la demande de la police. De 2005 à 2010, les policiers y ont dénombré plus de 40 incidents violents : portiers frappés à coups de couteau, clients battus par des portiers, bagarres à coups de verre, de bouteille et de chaise, coups de feu, présence de membres de gangs de rue. Lorsque les audiences ont commencé devant la Régie cette semaine, d'autres médias se sont emparés de l'histoire. MC Mario ne croit toutefois pas que son établissement pose un problème particulier. « Presque tout le monde s'est déjà fait suspendre son permis. Mais souvent, c'est déguisé en rénovations. Nous, c'est tellement médiatisé qu'on aurait du mal à passer ça pour des rénovations », explique-t-il en entrevue à La Presse. Il souligne que d'autres reportages ont montré que les débordements à la sortie des bars ne sont pas l'affaire d'un seul tenancier. En septembre, une vidéo diffusée sur YouTube et reprise par plusieurs médias montrait une disgracieuse séance de brasse-camarade entre policiers et jeunes. Quelques jours plus tard, un reportage de La Presse a évoqué la tâche difficile des deux groupes d'intervention du Service de police de la Ville de Montréal qui sont dépêchés sur le boulevard Saint-Laurent les jeudi, vendredi et samedi soir pour gérer le flot des fêtards éméchés. MC Mario affirme que plusieurs des incidents retenus contre son bar se sont produits dans la rue. « Jamais je ne pourrais prétendre faire le shérif de la rue de la Montagne, même avec mon entreprise de sécurité », dit-il. Travailler en équipe Le vétéran des boîtes de nuit croit que le contexte actuel est propice à une remise en question. Toutes les parties concernées devraient se réunir pour discuter de la situation, suggère-t-il. « La question devrait être étudiée avec les policiers, la Ville et les représentants des bars, en équipe, pour arriver à des solutions », dit-il. Il dit ne pas avoir de solution toute prête, mais est prêt à partager son expérience. « Je connais des endroits en Europe qui ferment tardivement. Ils arrêtent par exemple de vendre de l'alcool à 3 h, mais les gens peuvent rester jusqu'à 6 h le matin. Ici, on peut le faire parfois quand la police est plus tolérante, comme au jour de l'An. Et on a moins de problèmes ces fois-là », dit-il. D'ici là, il espère que la Régie sera clémente à son endroit. La décision n'est pas pour demain. Plusieurs jours seront nécessaires pour débattre devant le tribunal de l'interminable liste d'incidents qui lui sont reprochés.
  9. Un projet Accès Condos dans Montréal-Nord. Première phase proposant 87 unités, une deuxième phase suivra, pour un total de 150 unités. On y retrouvera de tout, du condo à une chambre jusqu'à la maisonnette sur deux étages au rez-de-chaussée. Le projet se trouve au coin des boulevards Maurice-Duplessis et Langelier, le bureau des ventes ouvrira samedi. Il y a longtemps que ce quartier n'avait pas eu un projet digne de mention. Voici un article de La Presse parlant plus en détail du projet. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201109/29/01-4452679-condos-accessibles-dans-montreal-nord.php Je suis désolé si ce projet est déjà répertorié ici, je ne l'ai pas trouvé avec une recherche. ÉDITION: Arrrg, j'ai fait une erreur dans le titre, c'est "Le MN", si un mod pouvait corriger, ce serait chouette.
  10. Voici le projet tel que présenté dans La Presse du 3 octobre 1987
  11. This is a La Presse article from May 1998 regarding the Expos building an office complex to support their stadium construction project. The two towers next to Windsor station represents the two 50 floor towers that was part of the Canadiens original building plans, as mentioned in the second part of the article.
  12. Je n'ai pas vu ce projet sur le forum après une petite recherche... un article est paru dans la Presse sur ce projet situé sur les stationnements du concessionnaire Touchette, situé dans le quadrilatère Papineau-Ontario-Cartier-Sherbrooke. On y prévoit pour le moment 5 bâtiments de 3 étages avec 11 condos chacun. Une deuxième phase suivra avec 15 maisons de ville de trois étages. Lien vers l'article de La Presse: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/nouveautes/201008/27/01-4310454-touchette-automobile-adieu-vaste-terrain-de-stationnement.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1 Des images: La construction est déjà commencée, selon l'article de La Presse.
  13. Publié le 23 février 2010 à 10h31 | Mis à jour à 21h14 «Le Québec a mal à ses universités» Louise Leduc La Presse Une semaine après sa sortie sur la souveraineté, Lucien Bouchard reprend la parole aux côtés de 15 personnalités québécoises - dont Monique Jérôme-Forget et Joseph Facal - pour réclamer le dégel des droits de scolarité universitaires à partir de 2012. «Le Québec a mal à ses universités. Le mal n'est pas incurable, mais il est chronique», a déclaré Lucien Bouchard. En contrepartie d'une hausse des droits de scolarité, le gouvernement devrait s'engager à maintenir le financement actuel des universités. Les universités, elles, seraient tenues de verser 30% de leurs revenus supplémentaires à une bonification de 170 millions des prêts et bourses, qui s'ajouterait aux 380 millions déjà versés aux étudiants par le gouvernement. L'augmentation des droits de scolarité serait modulée en fonction de la future capacité de payer des diplômés une fois sur le marché du travail. Par exemple, les étudiants en médecine pourraient devoir payer jusqu'à 12 500 $ par an. Les droits annuels pourraient varier entre 5500 $ et 12 500 $, selon les programmes. Robert Lacroix, ex-recteur de l'Université de Montréal, a invité chacun à réfléchir à la question en rappelant «qu'on ne vit pas sur Mars, mais en Amérique du Nord», où les droits de scolarité sont partout plus élevés qu'au Québec. «On ne peut pas briller parmi les meilleurs si on a des universités de moyenne qualité.» L'expression «Briller parmi les meilleurs», qui est le titre d'un document central du gouvernement Charest, est aussi reprise dans les communiqués de presse. Démarche citoyenne La proposition de hausser les droits de scolarité rejoint un scénario «très sérieusement à l'étude» au gouvernement, comme l'a dit à La Presse le 10 février Michelle Courchesne, ministre de l'Éducation. Lucien Bouchard a cependant rappelé que les 16 personnalités qui proposent ce «pacte» ne sont «ni des élus, ni des acteurs politiques, ni des représentants mandatés. C'est une démarche citoyenne». Mais justement, pourquoi tous ces «ex» n'ont-ils pas agi quand ils étaient au pouvoir ? «Nous avons fait du mieux que nous le pouvions, a répondu M. Bouchard. Le Parti libéral et le Parti québécois ont consenti de grands efforts pour soutenir l'éducation. Nous sommes à la limite de ce que le gouvernement peut faire en matière de financement direct. Il y a anomalie, il y a iniquité quand on compare les droits de scolarité des étudiants québécois avec ceux des autres provinces.» Mais encore, pourquoi n'a-t-il pas augmenté les droits de scolarité quand il était premier ministre ? «En ce qui me concerne, nous étions en pleine lutte contre le déficit, a poursuivi M. Bouchard. Nous avons investi dans les programmes sociaux, nous avons investi 1 milliard en éducation, dont 600 millions aux universités, en plus d'une contribution annuelle de 300 millions récurrente qui a continué d'être versée sous les gouvernements Landry et Charest. (...) Nous avons essayé de redresser les finances publiques sans que les étudiants aient à payer davantage.» Comme il doutait que les journalistes sachent résister à la tentation de l'interroger sur des questions autres que celle à l'ordre du jour (lire : le faire revenir sur sa sortie de la semaine dernière sur la souveraineté), Lucien Bouchard a refusé de poursuivre la discussion en petit comité après la conférence de presse, comme cela est de mise. «Mais, monsieur Bouchard, envisagez-vous un retour en politique ?» a tout de même tenté un journaliste. M. Bouchard a poursuivi son chemin.
  14. La Presse canadienne apprend que le sommet du G20 de juin prochain sera tenu tout près du quartier des affaires de Toronto. Pour en lire plus...
  15. Vendredi 5 Février 2010 à 11h54 Hyundai de retour au Canada ? Sophie Cousineau, LaPresseAffaires Les affaires de Hyundai vont tellement bien au pays que ce constructeur coréen évoque maintenant la possibilité de construire une usine au Canada d’ici 10 ans. C’est la déclaration pour le moins étonnante qu’a faite Steve Kelleher, président de Hyundai Canada, en entrevue à la Presse canadienne. Hyundai est l’un des rares constructeurs à avoir profité de la récession en 2009. Tandis que l’industrie de l’auto a vu ses ventes chuter de 13% au Canada, ce fabricant a progressé de 26%. Pour la première fois au pays, ses ventes ont passé la barre des 100 000 véhicules. Résultat : la part de marché de Hyundai a grimpé de 4,9% en 2008 à 7,1% en 2009. Ce n’est pas seulement parce que les véhicules de Hyundai sont attrayants en raison de leur bas prix. C’est aussi parce que Hyundai, qui a longtemps été associé à des voitures de piètre qualité, a travaillé fort pour améliorer ses véhicules et changer son image de fabricant de tacots. Évidemment, un possible retour de Hyundai au Canada suscite des sentiments partagés chez les Québécois qui se souviennent du feuilleton de l’usine de Bromont. Cette usine des Cantons de l’Est a fermé ses portes en 1994 après avoir essuyé de lourdes pertes pendant cinq ans, envoyant 850 travailleurs au chômage. Les gouvernements du Québec et du Canada avaient offert des subventions de 110 millions de dollars au constructeur coréen pour qu’il s’établisse à Bromont. Toutefois, seulement 46 millions avaient été versés au moment de la fermeture. Construite au coût de 450 millions de dollars, l’usine n’a jamais tenu ses promesses. Au sommet de sa production, elle assemblait 20 000 voitures par année, ce qui est bien en deçà des 100 000 véhicules prévus à l’origine. Désaffectée, l’usine abrite maintenant un fabricant d’éoliennes. Bromont a été un vrai cauchemar financier pour Hyundai, qui a fini par vendre son usine pour une bouchée de pain (moins de 3 millions !). Aussi, il serait étonnant que ce constructeur coréen revienne en ces terres. Et encore plus au Québec, qui est très excentré par rapport au cœur de l’industrie automobile, situé au sud de l’Ontario. Bref, si Hyundai revient un jour au Canada - et c’est un gros si -, le Québec ne devrait pas trop entretenir de grands espoirs… Et oui, c’est Jean Charest qui a inauguré l’usine de Hyundai de Bromont, alors qu’il était ministre dans le gouvernement conservateur de Brian Mulroney. Parions que le premier ministre n’aura pas cette chance une seconde fois. Photo de Pierre McCann, de La Presse.
  16. Je suis tombé sur cet article de La Presse... Pas fort Vidéotron ! Autant je trouve bien qu'ils veuillent se diversifier, il faut le faire selon les règles. Vidéotron n'est pas un petit start-up, ils ont les reins solides et une fois de plus ils pensaient s'en sortir en coupant les coins ronds. Nous, les citoyens, avons notre mot à dire avant que les grosses compagnies nous plantent des antennes dans la jardin. J'ai participè à une consultation pour une tour l'année dernière à Châteauguay et suite à nos commentaires et à notre mobilisation la tour sera finalement construite ailleurs. C'est ça la démocratie! Maintenant pour PKP qui se croit tout permit j'espère que ça lui donnera une bonne leçon. On ne peut pas toujours penser à l'argent sans penser aux gens que ça touche. Ce qui me fâche est que dans ma ville, Carignan, le conseil a secrètement autorisé Vidéotron à construire sans consultter la population. Combien on gage qu'il y a eu des pots de vin dans ce dossier? C'est vraiment frustrant de voir à quel point on se fait avoir desfois! Ils vont m'entendre à la Ville !!! http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201002/01/01-945305-videotron-compte-installer-des-antennes-sans-consultation.php Vidéotron compte installer des antennes sans consultation Publié le 01 février 2010 à 23h45 | Mis à jour le 02 février 2010 à 08h55 Charles Côté La Presse Pour déployer son futur réseau d'antennes de téléphonie mobile, Vidéotron a fait adopter dans une douzaine de municipalités des résolutions qui l'autorisent à passer outre aux consultations publiques qu'exige le gouvernement fédéral, a pu constater La Presse. Il est possible que cette pratique déroge aux directives d'Industrie Canada. Mais Vidéotron le nie. «C'était très bien expliqué qu'il y avait possibilité d'exemption, mais, dans la grande majorité des cas, on mène des consultations», dit Marc Labelle, porte-parole de Vidéotron. «Nous avons toute la volonté du monde de vivre selon les règles d'Industrie Canada.»Industrie Canada, en réponse à une question écrite de La Presse, affirme : «Les promoteurs sont tenus de respecter les conditions de leurs licences de spectre qui réfèrent aux exigences prescrites (dans la directive) avant la construction de tout nouveau site. Un des éléments essentiels de cette procédure vise à assurer la consultation du public et des autorités responsables de l'utilisation des sols en regard des projets proposés.» Des consultations publiques, «des dizaines ont été lancées et des dizaines sont en préparation», dit M. Labelle. Il y en a eu à Austin, Boisbriand, Boucherville, Contrecoeur, Lachine, Lévis, Saint-Apollinaire, Saint-Hyacinthe et dans l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville. Règlements d'exception Par ailleurs, plusieurs villes ont adopté des résolutions pour «exempter un promoteur de soumettre à la procédure de consultation un projet d'installation d'un système d'antennes (...) qui y serait autrement soumis». C'est le cas de Notre-Dame-de-Bonsecours et Pontiac (Outaouais), de Sainte-Marie (Beauce), Brossard, Chambly et Saint-Rémi (Montérégie), Sainte-Catherine de Hatley et Stanstead (Estrie), Compton (Bois-Francs), Mascouche, Portneuf et Saint-Maurice. Selon un expert du droit municipal, Jean Hétu, professeur à l'Université de Montréal, les villes ont «court-circuité ou mal interprété les directives d'Industrie Canada» en adoptant le texte suggéré par Vidéotron. L'approche de Vidéotron détonne dans l'industrie, qui s'est vu imposer une procédure de consultation dans une circulaire d'Industrie Canada. Entrée en vigueur en janvier 2008, celle-ci a été adoptée après que de nouvelles antennes eurent soulevé la controverse faute de consultation locale. Une consultation est obligatoire pour toute antenne de plus de 15 mètres. L'entreprise doit publier des avis dans les journaux locaux et écrire aux résidants d'un périmètre égal à trois fois la hauteur de l'antenne projetée. Le public a 30 jours pour répondre. En tout, le processus peut prendre jusqu'à 120 jours. Industrie Canada peut être appelée à trancher en cas de différend. Industrie Canada a également publié un guide à l'intention des municipalités, les invitant à adopter un processus d'approbation des projets. Selon Me Hétu, «le processus est plus qu'une simple résolution qui vise un projet particulier. Il doit prévoir une consultation. Il faut que les citoyens aient la chance de se faire entendre. Je ne pense pas qu'Industrie Canada accepte ça». «Nos équipes d'avocats sont d'avis contraire, dit M. Labelle. On est très convaincu des avis qu'on a reçus.» Vidéotron, une filiale de Quebecor Media, veut lancer au plus vite son nouveau service de téléphonie et de communications sans fil. «On a acheté 17 licences au coût de 550 millions de dollars, couvrant la majorité du Québec et la région d'Ottawa», dit M. Labelle. Le déploiement du réseau d'ici à l'été prochain représente un investissement de plus de 800 millions, ajoute-t-il. «On veut dépasser les attentes des consommateurs, dit M. Labelle. Sans compter la création de milliers d'emplois à d'excellents salaires.» Parmi les concurrents de Vidéotron, seul Rogers a installé de nouvelles antennes dernièrement au Québec. «Dans chaque projet, une consultation est faite, dit Sébastien Bouchard, porte-parole de Rogers. On en a fait 26 au Québec en 2009. On est tenu à ce processus démocratique, imposé par Industrie Canada.» Jointes par La Presse, plusieurs villes qui ont exempté Vidéotron affirment que le projet était bienvenu, en particulier quand il promet d'ajouter un service d'internet haute vitesse. Dans plusieurs cas aussi, le projet était loin des quartiers habités. Ailleurs, les projets de Vidéotron ont été moins bien accueillis. À Sainte-Claire, dans la région de Bellechasse, le conseil municipal a exigé une consultation publique. Au lieu de quoi Vidéotron examine un autre terrain dans la même ville, explique Serge Gagnon, directeur général de Sainte-Claire. À L'Islet, en Chaudière-Appalaches, un projet proche de résidences a été contesté et un autre emplacement a été choisi. Dans les deux cas, la municipalité a refusé d'adopter la résolution proposée par Vidéotron. «Ils ne voulaient pas qu'il y ait de consultation, dit le maire André Caron. Nous avons donné l'autorisation sans exclure une consultation. On n'est pas contre le projet, mais c'est la population qui décide.» À Mont-Saint-Hilaire, Vidéotron a obtenu qu'Industrie Canada impose un emplacement qui déplaît à la municipalité, bien qu'il soit éloigné des résidences. «Nous avons fait des suggestions qui ne correspondaient pas à leurs exigences de diffusion», dit le maire Michel Gilbert. À Shefford, après l'élection d'un nouveau conseil municipal, le maire Jean-Marc Desrochers a refusé d'appuyer Vidéotron, qui voulait une dérogation afin d'utiliser une terre agricole. La municipalité a plutôt demandé à Rogers d'accueillir Vidéotron sur une de ses tours. «Même si c'est un service essentiel, personne n'est favorable à la prolifération des antennes», dit le maire Desrochers.
  17. Les taxes monteront à Montréal 8 janvier 2010 | 06h29 LA PRESSE CANADIENNE Les citoyens de Montréal devront faire face à des hausses de taxes en 2010, selon des informations obtenues par La Presse. Après deux mandats sans augmentation dans le compte de taxes des citoyens, le troisième s'annonce différent pour le maire Gérald Tremblay. Selon La Presse, la hausse de taxes serait d'environ 1,5%, à l'image de l'inflation. En ajoutant les taxes d'eau et de voirie, ainsi qu'une possible taxe d'affaires, les contribuables verraient les taxes augmenter de 6%. Le budget de la Ville de Montréal sera présenté mercredi prochain. Lors de la dernière campagne électorale, le maire Tremblay avait admis que le compte de taxe des montréalais devait être haussé au moins au niveau de l'inflation.
  18. Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca,'>http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 7 janvier 2010 09:02 Réseau de la santé - De nouveaux hôpitaux pour Montréal? La Presse rapporte jeudi que le gouvernement du Québec envisage la construction de deux nouveaux hôpitaux généraux dans la région de Montréal. Une perspective qui reçoit un accueil mitigé des médecins spécialistes. Selon le quotidien La Presse de jeudi, le gouvernement du Québec envisage la construction de deux nouveaux hôpitaux généraux dans la région de Montréal, l'un à Rivière-des-Prairies, dans l'est de l'île, et l'autre près de Vaudreuil, à l'ouest. Si l'on en croit les informations obtenues par le quotidien, l'établissement de Rivière-des-Prairies compterait 200 lits et coûterait environ 150 millions de dollars, à quoi s'ajouteraient des frais de fonctionnement annuels frôlant les 100 millions. L'idée de créer un nouvel hôpital dans Rivière-des-Prairies circulerait depuis plusieurs semaines. Ce projet serait d'autant plus envisagé qu'un pont prolongera l'autoroute 25 dans ce secteur. Dans l'Ouest, le projet serait moins avancé, mais Québec songerait aussi à un hôpital de 200 lits. Toutefois, au cabinet du ministre de la Santé Yves Bolduc, l'attachée de presse a déclaré ne rien savoir de ce projet. Joie et réserves Pour sa part, le président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette, affirme que le ministère envisage bel et bien de nouveaux projets, spécifiquement celui de l'est. Sur les ondes de Radio-Canada jeudi, il s'est réjoui de cette initiative, qui montre selon lui que le gouvernement, pour la première fois, s'attaque au problème du manque de lits. Gaétan Barrette prône cependant plus la consolidation de l'Hôpital Maisonneuve-Rosemont. D'autant plus que cet établissement a précisément besoin de 200 lits supplémentaires, rappelle le président de la Fédération des médecins spécialistes. L'Est de Montréal est desservi par l'hôpital Maisonneuve-Rosemont, l'hôpital Santa Cabrini (qui compte 200 lits seulement). En banlieue, plus à l'est, les résidents s'en remettent à l'hôpital Legardeur, créé en 2002. Ces ressources s'avèrent cependant insuffisantes compte tenu de la densité de population dans ce secteur. Radio-Canada.ca avec La Presse http://www.radio-canada.ca (Copyright : © Société Radio-Canada. Tous droits réservés.)
  19. Air France-Delta: 280 emplois quittent Montréal Publié le 26 novembre 2009 à 06h35 | Mis à jour à 06h41 Marie Tison La Presse La coentreprise transatlantique créée par Air France-KLM et Delta Air Lines fait ses premières victimes à Montréal. Les deux transporteurs fermeront leurs centres d'appels respectifs dans la métropole québécoise le 31 août prochain, ce qui entraînera la perte de 280 emplois. Les emplois seront transférés dans les centres d'appels de Delta aux États-Unis. Le centre d'appels de Delta à Atlanta devrait notamment se doter d'une équipe d'une trentaine de personnes pour répondre aux appels de la clientèle francophone des deux transporteurs. «Le client ne verra pas la différence, a affirmé la vice-présidente et directrice générale d'Air France-KLM au Canada, Benedicte Duval, en entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. On lui parlera en français.» En mai dernier, Air France-KLM et Delta ont établi une coentreprise pour exploiter en commun les liaisons entre l'Europe et l'Amérique du Nord. Les sociétés ont entrepris une étude pour identifier des services qui pouvaient être mis en commun. C'est ainsi que Delta sera responsable des activités de réservation et du service à la clientèle d'Air France-KLM en Amérique du Nord, alors qu'Air France-KLM sera responsable des mêmes services en Europe. Mme Duval a souligné que 85% des appels reçus par le centre d'Air France-KLM à Montréal provenaient des États-Unis. Seulement 15% proviennent du Canada et d'autres marchés, notamment des Antilles, lorsque les centres d'appels responsables sont débordés. Elle a indiqué qu'il n'avait pas été question de conserver une équipe francophone à Montréal parce qu'un centre d'appels trop petit n'était pas efficace. «Déjà, notre centre d'appels de 140 personnes est moins efficace que les centres d'appels plus gros», a-t-elle affirmé. Elle a rappelé qu'il y a une dizaine d'années, Air France avait rapatrié à Montréal toutes ses activités nord-américaines de réservation pour, justement, améliorer leur efficacité. Ces emplois reprennent maintenant le chemin du sud. Mme Duval a souligné que les partenaires avaient choisi d'annoncer la fermeture des centres d'appels de Montréal dès maintenant pour donner aux employés un bon neuf mois pour trouver de nouveaux emplois. Ceux qui le voudront, surtout ceux qui parlent français, seront les bienvenus chez Delta à Atlanta. Air France-KLM fermera également la petite agence qu'elle conservait au centre-ville, dans les mêmes locaux que le centre d'appels, et transférera ses activités à l'aéroport Montréal-Trudeau. Comme celui d'Air-France-KLM, le centre d'appels de Delta à Montréal compte 140 personnes. «Les personnes touchées par la fermeture auront la possibilité d'obtenir d'autres postes à l'intérieur de Delta, ou elles recevront des indemnités de départ et de l'assistance pour la recherche d'emplois», a déclaré Susan Elliott, responsable des relations avec les médias au siège social de Delta, à Atlanta. Jointe par courriel, Mme Elliott s'est révélée un peu moins affirmative que Mme Duval au sujet des services dédiés à la clientèle francophone. Elle n'a pas répondu directement lorsque La Presse Affaires lui a demandé si Delta mettra une équipe francophone en place et comment elle recrutera ce personnel. «Nous sommes présentement à identifier les besoins en personnel dans nos centres d'appels américains», a-t-elle simplement répondu. Toujours en raison de l'entente conclue avec Air-France-KLM, Delta fermera son centre de réservation de Londres au dernier trimestre de 2010.
  20. Localisation: René Lévesque (intersection Amherst et Wolfe) Étage: 6 Nombre d'appartement: Prometteur: Groupe Cartierville Clientèle: Référence: La Presse 14 nov 2009 Pas de photo disponible
  21. Localisation: 1174 rue de Champlain (intersection René Lévesque) Étage: 5 Nombre d'appartement: 47 Prometteur: Groupe CDH Clientèle: Artistes membres de milieu de la culture Référence: La Presse 14 nov. 2010
  22. Localisation: 1210 Saint-Antoine (intersection rue Moncalm) Étage: 4 Nombre d'appartement: 59 Prometteur: Samcon Clientèle: (construction aurait déjà commencé) Référence: La Presse 14 novembre 2009
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