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  1. Je me demande si ce projet va aller de l'avant. La Maison est sur les plans...de l’architecte Claude Cormier. http://www.claudecormier.com/projet/parc-et-espace-hydro-quebec/
  2. ROSEMONT SUR LE PARC - 48 CONDOS NEUFS - LANAUDIÈRE COIN BOULEVARD ROSEMONT Condo Montréal. Nouveau projet à Rosemont. 48 condos de Studio, 1 et 2 chambres à partir de 134 452$. Subvention disponible selon le nouveau programme de la Ville en 2010. Rosemont sur le Parc est situé sur la rue Lanaudière près du boulevard Rosemont, dans un secteur en pleine évolution. Découvrez nos différents plans en cliquant sur les unités disponibles. Réservez votre unité pour occupation été/automne 2012. Projet de MONDEV http://www.mondev.ca/condo-montreal-rosemont-sur-le-parc-48-condos-neufs-a-montreal-rosemont-.html?ProjetID=114
  3. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  4. Je crois qu'ils refont la façade au complet. Autrefois : https://maps.google.ca/maps?q=google&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.53002,-73.621426&spn=0.001593,0.004128&oe=utf-8&client=firefox-a&hq=google&hnear=Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec&t=m&z=19&layer=c&cbll=45.530048,-73.621573&panoid=Skd2hNbu4nnp6CPQvERoSA&cbp=12,40.84,,0,-12.81 Maintenant :
  5. Parc à côté du Walter! via La Voix Pop : 08/04/2016 Mise à jour : 8 avril 2016 | 7:00 Le parc Madeleine-Parent prendra forme cet été Par Jean-François Villeneuve Le terrain du nouveau parc Madeleine-Parent sera un peu moins triste lorsque l'aménagement de celui-ci sera complété plus tard cet été. Le nouveau parc nommé en l’honneur de Madeleine Parent, situé entre la rue Saint-Patrick et le canal de Lachine, à proximité du marché Atwater, profitera d’un investissement de plus de 425 000 $ de la part de l’arrondissement du Sud-Ouest Figure syndicaliste et féministe d’envergure, Madeleine Parent a marqué le Québec des années 40 dans l’industrie du textile, participant à plusieurs grèves d’ouvriers de la Dominion Textile, dont l’une des usines se trouvait dans Saint-Henri. «C’est un conflit qui s’est répandu partout dans les quartiers avoisinants, souligne le maire du Sud-Ouest, Benoit Dorais. On voulait quelqu’un d’associé à la fois au mouvement industriel et syndical, mais aussi rendre hommage à une femme». Son engagement social était tel que le premier ministre Maurice Duplessis l’a fait arrêter en 1947 pour des conspirations séditieuses. Retraitée, la syndicaliste s’est jointe à la Fédération des femmes du Québec et a participé au débat public jusque dans les années 2000. Elle est décédée en 2012, à l’âge de 93 ans. Des colonnes rappelant sa vie et son œuvre agrémenteront ce nouvel espace vert du quartier Pointe-Saint-Charles. Lieu de détente Du mobilier fait sur mesure sera à la disposition des citoyens, incluant des bancs, un brumisateur et de l’éclairage supplémentaire, des supports à vélo et des tables de pique-nique ainsi que des tables de ping-pong. Des arbres y seront aussi plantés. Le parc sera accessible aux personnes à mobilité réduite. L’espace occupé par le parc porte encore les fondations du bâtiment de l’entreprise Les produits Seracon Inc., qui se trouvait jusqu’en 2009 sur ce terrain. Ces vestiges ne seront pas retirés du site. Une place publique en pavé de béton sera construite sur les lieux, tout comme un muret de pierres naturelles, pour les recouvrir. Les travaux devraient commencer en mai et se terminer vers la fin de l’été, en août. L’arrondissement avait lancé un appel d’offres au début du mois de mars pour la réalisation des travaux. L’entreprise Techniparc a remporté celui-ci avec la plus basse soumission. Sur StreetView [ATTACH]26116[/ATTACH]
  6. via Blouin Art Info : 10 Must-See Warped Public Art Sculptures in Montreal BY Low Lai Chow | March 28, 2016 If cities were people, Montreal would be the rebellious, off-kilter kid who steals all the thunder at a party. Basking in diversity as the lively cultural capital of Canada (Ottawa is Canada's actual capital city, FYI), Montreal has a social calendar that is perpetually packed with events and festivals. Rule of thumb: if there is a party in town, know that there are a hundred more you haven't heard about. With over 315 public artworks in the municipal collection, Montreal also has some incredible public sculptures around town, from parks to libraries. Culture+Travel picks out ten of the most warped public art to seek out in the City of Festivals. See pictures of the artworks here. - Révolutions (2003), Michel de Broin | Rifting on the impossible, Montreal-based sculptor de Broin takes visual inspiration from the ubiquitous outdoor staircases seen throughout the city for this loopy 8.5-meter high Moebius strip out of aluminum and galvanized steel. The artist has said of the enigmatic work, “The staircase makes us think of what returns without repeating, transformed in its cycle. We can all project ourselves into this curved space and enter the game of revolutions.” In short, this work is infinity in poetry. Where: Parc Maisonneuve-Cartier, behind Metro Papineau metro station in Ville-Marie - Le Malheureux Magnifique (1972), Pierre Yves Angers | Cement-covered and huddled over in a humanistic form, Yves Angers' 1972 sculpture is a landmark that marks the entrance of Montreal’s bustling Latin Quarter. First installed in Place Pasteur in 1973, it was moved to the front of Alcide-Chaussée Building in 1991. Angers is said to have been inspired by the works of Rodin; his accompanying art says, "À ceux qui regardent à l'intérieur d'eux-mêmes et franchissent ainsi les frontières du visible” (French for 'To those who look inside themselves and thus cross over the borders of the visible'). Where: 385, Rue Sherbrooke Est, at the intersection of Sherbrooke and Saint-Denis streets in Le Plateau-Mont-Royal - Theatre for Sky Blocks (1992), Linda Covit | Installed on the shore of Lake Saint-Louis, Covit's minimalist work dwells on the environment. It was first exhibited in 1992 at the first Salon international de la sculpture extérieure. With the water and the sky in the background, three monolithic steel columns have a photograph of clouds silk screened on them. It all begs the questions: What is real? What is fictitious? Where: Parc Fort-Rolland in Lachine - Anamorphose D'Une Fenetre, Claude Lamarche | From afar, Claude Lamarche's artwork resembles colorful scribbles that seem to have leapt off the tip of a pen to interact with the exteriors of the Maison de la culture Mercier building in real life. A red arrow-shaped sculpture points at the upper left-hand corner of the wall while a blue arrow twirls one corner of it. A yellow window frame hangs on one wall, while steel rods and tubes prop up the sides. Where: 8105, Rue Hochelaga, at Maison de la culture Mercier in Mercier–Hochelaga-Maisonneuve - Monica (1985), Jules Lasalle | Evoking the gigantic head sculptures of Easter Island and excavated archaeological remains, sculptor and modeller Jules Lasalle's larger-than-life 3D portrait of a woman with a smile on her face is deliberately fragmented, denoting the passing of time. Lasalle created the artwork in 1985 at the first Lachine, Carrefour de l’Art et de l’Industrie sculpture symposium. Where: Promenade Père-Marquette in Lachine - From A (1986), Takera Narita | Comprising three parts of a granite and mortar fluted column to reference ancient Greek civilization, this unusual ruins-like sculpture by the late Japanese artist Takera Narita appears to pop up from the ground and sink back into it. It alludes to the cycle of history, with the title hinting at a path between two points as a mathematical formula. Narita created the work for the second Lachine sculpture symposium L’an II – Lachine, carrefour de l’art et de l’industrie in 1986. Where: Parc René-Lévesque in Lachine - La vélocité des lieux (2015), BGL | Completed in 2015 in conjunction with the redevelopment of the Henri-Bourassa–Pie-IX intersection in Montréal-Nord borough is this work by Jasmin Bilodeau, Sébastien Giguère, and Nicolas Laverdière of Québec collective BGL. It comprises five bus-like forms on eight steel columns. Denoting the ebbs and flow of human activity and community, the cheerful 19-meter high sculpture looks like a Ferris wheel right out of an amusement park in frenzied motion. In reality, this static artwork doesn't actually move. BGL also recently represented Canada at the 56th Venice Art Biennale. Where: Carrefour Henri-Bourassa–Pie-IX in Montréal-Nord - Le Mélomane (2011), Cooke-Sasseville | Based in Québec City, the creative duo of Jean-François Cooke and Pierre Sasseville has a taste for the absurd. Evidence? This cheeeky bronze sculpture shows an ostrich sticking its head into a gramophone horn, illustrating the stronghold of music and new realities. Where: Parc François-Perrault in Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension - Site/Interlude (1994), David Moore | Shaped like gigantic legs, five steel wire structures filled with large stones stand starkly, deliberately spread out to coerce viewers to walk from one to the next so as to see the full work. Dublin-born and Montréal-based artist David Moore took inspiration from seeing how the legs and feet were often the only vestiges left standing from the ancient statues of Greece's archaeological sites. First displayed in Montréal's Old Port, Moore's work is a reflection on the passage of time and on progress. Where: Parc René-Lévesque in Lachine. - Regard Sur Le Fleuve (1992), Lisette Lemieux | Situated on the shore of Lake St. Louis, Arthabaska-born artist Lisette Lemieux's large billboard-like work includes incisive cutouts of the word 'FLEUVE' (French for 'river') and the word’s reflection in water, so that actual river water appear to fill up the cutout parts. Both a wall that obstructs the river view, as well as announces its existence, the work urges viewers to rediscover the river. Where: Parc Stoney-Point in Lachine
  7. http://journalmetro.com/local/ouest-de-lile/actualites/907385/projet-de-camping-au-cap-saint-jacques/ 24/01/2016 Mise à jour : 25 janvier 2016 | 10:31 Projet de camping au Cap-Saint-Jacques Par Laurence Houde-Roy Métro TC Media Vue du Cap-Saint-Jacques La Ville de Montréal est en réflexion au sujet de l’implantation d’un projet de camping individuel au parc-nature du Cap-Saint-Jacques, dans l’ouest de l’île. Les tarifs pour ce projet ont d’ailleurs déjà été approuvés dans le dernier budget 2016 de la Ville de Montréal. Rien n’est encore assuré, a toutefois prévenu le service des communications de la Ville de Montréal à Métro. Ces tarifs ont été approuvés seulement «en prévision d’une éventuelle implantation du camping individuel dans les parcs-nature», nuance-t-on. «Mais les études requises pour une telle implantation n’ont pas été faites (capacité de support du milieu, services sanitaires, etc)», a précisé le service des communications. Actuellement, le camping est permis pour les groupes de 10 personnes et plus dans le secteur du centre de plein air du Cap-Saint-Jacques, dans le secteur est du parc. Si les études en à venir sont concluantes, le projet pourrait offrir des terrains individuels au centre du parc-nature du Cap-Saint-Jacques au centre du parc, soit des terrains sans services (sans eau ni électricité), et les véhicules devraient être garés dans les stationnements. «Par contre, il n’est pas garanti que ce soit cette année. Et si c’était le cas, ce serait sur une base expérimentale, car nous n’avons pas encore les infrastructures nécessaires (processus de réservation, aspects de sécurité, aires de feu, etc.)», ajoute le service des communications. Le nombre de terrains qui seraient offerts n’a pas encore été défini, ni l’endroit exact dans le parc où ils seraient aménagés. Vincent Léger, un citoyen qui a déjà fait quelques propositions pour des projets de camping urbain à la Ville de Montréal notamment autour du bassin Peel, croit qu’il y a effectivement une demande de la part de la population «pour développer de nouvelles façons de visiter Montréal et d’y être hébergé». «Ce serait intéresse même de planifier un réseau pour le cyclotourisme, pour faire du plein air en ville et pouvoir s’installer de façon sécuritaire», ajoute-t-il. Il croit même qu’avec la revitalisation du Vieux-Port, qui a été annoncée, il y aurait des possibilités pour aménager certains terrains de camping dans ce secteur, «de façon à ce qu’on ait une image urbaine, qu’on se sente en ville même en faisant du camping», propose M. Léger. Métro a contacté Camping Québec, mais l’association n’a pas voulu commenter ce projet
  8. Excellent reportage sur l'histoire des résidents de Milton-Park contre le projet Cité Concordia http://www.tou.tv/tout-le-monde-en-parlait/S01E09 http://www.imtl.org/montreal.php?vsearch=1&expo=MILTON&m=Milton-Parc%20ghettho%20McGill
  9. http://www.ledevoir.com/politique/montreal/440961/guy-laliberte-convoite-un-terrain-sur-l-ile-sainte-helene Guy Laliberté convoite l’île Sainte-Hélène Le fondateur du Cirque du Soleil veut implanter son projet funéraire Pangéa sur un terrain de 130 000 m2 26 mai 2015 |Jeanne Corriveau | Montréal Sur le terrain convoité par Guy Laliberté se trouve notamment la Grande Poudrière, un bâtiment dont la construction remonte à la première moitié du XIXe siècle. Le projet Pangéa comporterait une place publique ainsi qu’un parcours piétonnier dans le «parc nature». Guy Laliberté convoite un terrain sur l’île Sainte-Hélène afin d’y réaliser son projet Pangéa, soit créer un espace commémoratif visant à redéfinir le rapport à la mort et à la mémoire des personnes disparues, a appris Le Devoir. Le fondateur du Cirque du Soleil a dans sa mire une zone située au sud du pont Jacques-Cartier sur cette île montréalaise. Le projet Pangéa s’étendrait sur une superficie de 130 000 m2, selon nos informations. Guy Laliberté souhaite créer une place publique d’environ 10 000 m2 sur la rive ouest de l’île. Cet espace comprend à l’heure actuelle une partie du stationnement P8. Il serait relié à un parcours piétonnier qui s’étendrait sur une portion de 120 000 m2 du parc. Pangéa est un projet mené par la compagnie Lune Rouge Innovation, une entreprise détenue par Guy Laliberté, et c’est sa branche immobilière, Lune Rouge Immobilier, qui pilote la création de l’espace commémoratif sur l’île. L’île Sainte-Hélène, qui avait accueilli Expo 67, appartient à la Ville de Montréal depuis 1908. En 2007, le conseil municipal avait cité l’île comme site du patrimoine, la soumettant dès lors à des règles précises quant à sa préservation. Guy Laliberté veut concrétiser ce projet à temps pour les fêtes du 375e de Montréal. Ce lieu devrait devenir le phare, le premier jalon d’une série de sites commémoratifs que le patron du Cirque du Soleil cherche à implanter partout dans le monde. La réalisation du projet Pangéa pourrait donc impliquer l’achat d’un terrain public à vocation récréative et culturelle pouvant atteindre 130 000 m2, soit l’équivalent de 24 terrains de football américain. Les détails de la transaction financière et des conditions d’occupation de ce territoire par l’entreprise de Guy Laliberté ne sont pas connus. Selon nos informations, le projet aurait fait l’objet d’au moins une rencontre entre des représentants du promoteur et le maire Denis Coderre, mais lundi soir, le cabinet du maire n’a pas voulu commenter le dossier. Musée et restaurant La place publique du projet Pangéa offrirait un accès au fleuve et une vue sur le centre-ville de Montréal. L’aménagement d’un bâtiment emblématique, d’un restaurant, d’un musée, mais également d’un espace pour des célébrations funéraires privées est envisagé dans et aux abords de cette place. Cet espace consacré à la mémoire et à la redéfinition des rites mortuaires comprendrait un large « parc nature » situé à l’est de la place publique et englobant la Poudrière, la Tour de Lévis ainsi que l’étang de la Poudrière. Les éléments préliminaires de ce projet évoquent la création d’une promenade circulaire dans les espaces boisés comportant plusieurs lieux de mémoire, de souvenirs, de détente et de contemplation, ainsi que la mise en place d’un éventuel cimetière pour animaux de compagnie. L’ensemble du projet s’articule autour des quatre éléments de la cosmologie : le feu, l’eau, la terre et l’air. Il devrait comprendre une structure artistique emblématique en forme de tour de plusieurs mètres de haut placée sous le thème du feu. Controverse en vue La possible vente d’une partie d’un parc public par la Ville de Montréal est de nature à susciter une vive controverse. Au cours des dernières années, plusieurs projets empiétant sur les parcs municipaux ont fait les manchettes. En 2009, les critiques avaient eu raison du projet de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles de construire une maison de la culture et des bureaux d’arrondissement dans le parc René-Masson. En 2010, c’était au tour de l’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension de renoncer à l’agrandissement du poste de police 31 dans le parc Jarry en raison des protestations citoyennes. Et en 2012, la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys avait dû abandonner le projet de construction d’une école dans un parc de l’île des Soeurs. En 2012, la mise en vente de l’ancien Planétarium de Montréal, qui incluait un terrain zoné parc, avait attiré les critiques de l’opposition à l’hôtel de ville. La Ville avait finalement fait don de la propriété à l’École de technologie supérieure (ETS). Baptisée Sainte-Hélène par Samuel de Champlain en 1611 en hommage à son épouse Hélène Boullé, l’île avait été concédée à Charles Le Moyne en 1657. Lorsqu’ils en prennent possession en 1818, les Britanniques y construisent des installations militaires pour se protéger des invasions américaines. Après avoir acquis l’île en 1906, la Ville de Montréal a confié à l’architecte-paysagiste Frederick G. Todd l’aménagement de routes, de sentiers et la construction de la Tour de Lévis. Patrimoine Pour créer l’île Sainte-Hélène telle qu’on la connaît aujourd’hui, trois îles ont été réunies, soit l’île Sainte-Hélène, l’île Ronde (qui accueille désormais La Ronde) et l’île aux Fraises. À l’occasion d’Expo 67, plusieurs bâtiments y sont érigés, dont le pavillon des États-Unis (l’actuelle Biosphère) et la Place des Nations. Les travaux d’excavation du métro permettent d’élargir l’île et contribuent à la création de l’île Notre-Dame, que la Ville a cédée au gouvernement du Québec en 2003 en échange d’un chèque de 240 millions de dollars. Le Règlement sur la constitution du site du patrimoine de l’île Sainte-Hélène précise que tous les travaux d’aménagement doivent assurer la conservation des valeurs caractéristiques du site, dont le paysage historique du site militaire et les aménagements conçus par Frederick G. Todd. Toute nouvelle construction doit faire l’objet d’une étude d’impact visuel « démontrant la qualité de son intégration au paysage et aux composantes bâties du site ». Plusieurs bâtiments de l’île sont ainsi protégés en vertu de la Loi sur le patrimoine culturel, dont la Grande Poudrière, la Tour de Lévis et le Pavillon des baigneurs. L’île comporte en outre plusieurs oeuvres d’art public, dont L’homme de Calder. Le terrain de La Ronde, qui fait l’objet d’un bail emphytéotique, est exclu de la zone protégée.
  10. http://www.nytimes.com/interactive/2015/11/19/travel/what-to-do-in-36-hours-in-montreal.html 36 Hours in Montreal Whether you want to embrace the season on rinks, trails or runs, or dodge the cold and head to the spa, this vibrant city has it all. Winter is right around the corner, and when the going gets cold — like zero-degrees-Fahrenheit cold — Montrealers get resourceful. Some dodge Canadian winter amid the heated vapors of the city’s Nordic spas or the warming drinks of cozy bars. Others embrace it by skiing and skating in public parks, cheering the hometown Canadiens hockey team and ingesting hearty meals in the new wave of forestlike and lodge-inspired restaurants. And still others flamboyantly celebrate the frozen season, reveling at Igloofest (an outdoor electronic-music extravaganza), Montréal en Lumière (a food and entertainment festival) and sugar shacks (forest canteens that sprout during maple-syrup season) amid near-Arctic conditions. Whether you are more interested in creative cocooning or winter worship, Quebec’s biggest city offers manifold amusements for the province’s defining season. Outerwear recommended. Friday 1. *Ready, Set, Snow, 5 p.m. Skate, ski or sled into winter at Parc du Mont-Royal. (The mountain it partly occupies is said to have provided Montreal’s name.) The sprawling hilltop park is the center of activities involving snow and ice. From December to March, Le Pavillon du Lac aux Castors rents skates (9 Canadian dollars, or $7 at 1.30 Canadian to the U.S. dollar, for two hours), cross-country skis (12 dollars and up for one hour) and inner tubes (5 to 9 dollars, depending on age, for the day) for the nearby outdoor rinks, trails and runs, some affording lovely city views. 2. *Enchanted Forest, 8 p.m. Reheat in the stylish confines of the new SouBois restaurant and nightclub. The underground space suggests a magical woodlands where avant-garde sculptural trees hover over a dining room of plank floors, shingled walls, raw-wood tables and Scandinavian-style chairs. The chef, Guillaume Daly, conjures magic too, metamorphosing rustic Canadian ingredients into innovative treats. The poutine is a gorgeously gloppy stack of greasy thick fries — piled like logs in a fire, and drenched with velvety warm Cheddar sauce, pungent mushrooms and an unctuous block of foie gras — while veal steak gets a funky crunch from spiced popcorn. For dessert, revisit campfire memories courtesy of deconstructed s’mores, replete with cubed marshmallows, jagged chocolate fragments and crumbled cookies. A three-course dinner for two costs about 110 dollars. Make reservations. 3. Canadian Libations, 10 p.m. The staggering whisky menu at the Burgundy Lion, a lively British-style pub with dark wood surfaces and frosted glass, offers further means to warm up. The more exotic specimens hail from Taiwan, Sweden, France and Switzerland, while Canadian representatives include Wiser’s Red Letter (12 dollars), a mellow elixir with a hint of toasted nut. Down the street, candlelit La Drinkerie Ste. Cunégonde offers several Canadian beers as chasers, including Les Trois Lettres IPA (5.50 dollars), a fragrant, floral brew with hints of clove and nutmeg. Saturday 4. Earth and Sky, 9 a.m. Still chilly? Eternal summer awaits inside the humid tropical forest of the Biodôme, a glass-roofed nature preserve containing multiple ecosystems. You might glimpse iguanas, frogs, bats, snakes, sloths and other exotic creatures as you wend your way among the dense vegetation, streams and stone caverns. The trail then takes you into forest, mountains, Atlantic gulf and subarctic islands (complete with penguins). Next door, the two-year-old Rio Tinto Alcan Planetarium is a postmodern silvery structure shaped like two telescopes pointed at the sky. Within, two domed theaters-in-the-round take you on immersive sensory journeys across the cosmos with shows like “Dark Universe,” about dark matter and energy, and “Aurorae,” about the Northern Lights. Admission to both facilities costs 33.50 dollars. Check the website (espacepourlavie.ca) for the film schedule. 5. *Shack Snack, Noon If you can’t get to a real sugar shack, the “Sugar Shack” sampler (11.95 dollars) at Eggspectation — a vast all-day breakfast and brunch hall on fashionable Rue Laurier Ouest — is a copious, calorie-rich substitute. Typical sugar shack fare, the dish heaps on fluffy scrambled eggs, sliced ham, baked beans, fried potato slices and unfilled sweet crepes along with ample maple syrup. The restaurant’s formidable menu also encompasses everything from lobster macaroni and cheese (18.95 dollars) to around 10 types of eggs Benedict. 6. **Buy Canadian, 1:30 p.m. You’ve probably grown a size since that meal. Conveniently, the boutiques along Rue Laurier Ouest brim with Canadian-made garments to accommodate your expanded frame. Chic insulation abounds at La Canadienne, where ladies can score weather-treated knee-high suede boots (450 dollars), a long quilted silvery jacket with a fur-lined hood (1,125 dollars) and much besides. Cool, straightforward, solid-colored garments to wear underneath can be found in the eponymous boutique of the veteran Montreal designer François Beauregard, including stretchy jersey T-shirts in autumnal colors (50 dollars) and dark blue 1940s-style trench coat dresses (189 dollars). Strut the ensemble to Juliette & Chocolat, a cafe serving some 20 types of hot chocolate, complete with tasting notes (6.75 to 8.50 dollars, generally). 7. **Chromatherapy, 3 p.m. With its colorful collections of art and antiquities, the Musée des Beaux Arts de Montreal illuminates even the grayest Montreal days, notably in the ground-floor galleries of 19th- and 20th-century painting. Mediterranean sun, sea and palms radiate from Matisse’s “Seated Woman, Back Turned to the Open Window,” a 1922 canvas set in the French Riviera city of Nice. Almost adjacent, the disassembled, fractured and explicitly naked couple in Picasso’s erotic “Embrace” (1971) generates a different kind of heat. A kaleidoscopic array of iconic furniture and housewares fills the multilevel design pavilion, from burgundy Arne Jacobsen “Egg” chairs to candy-colored Ettore Sottsass bookshelves to space-age 1970s red televisions from the Victor Company of Japan. A sleek yellow Ski-Doo snowmobile from 1961 begs to be borrowed for a joy ride. Admission: 20 and 12 dollars, depending on exhibition. 8. **North Stars, 7 p.m. Canadian pride suffuses the friendly, lively new Manitoba restaurant. Animal furs and raw logs decorate the industrial concrete room, and indigenous ingredients from the Great White North fill the chalkboard menus. Among starters, the plump baseball-size dumpling spills out shredded, succulent pork tongue and flank into a tangy broth floating with crunchy daikon for a Canadian-Chinese mash-up. For mains, thick deer steak gets a zesty drench of red wine sauce infused with Labrador tea and crunch from root vegetables like candied carrot and smoked onion. Maple syrup-smoked bone marrow is topped with berries, onion and Japanese mushrooms for a sublime hunter-gatherer hybrid. A three-course meal for two is about 100 dollars. 9. *Liquor Laboratory, 10 p.m. Tucked across from Parc La Fontaine (a favorite ice-skating spot), Lab is a dimly lighted speakeasy of brick and dark wood where the mad mixologist Fabien Maillard and fellow “labtenders” ceaselessly research new cures for your sobriety. Who else could invent the Jerky Lab Jack (14 dollars), a concoction of Jack Daniels whisky, Curaçao, cane sugar and bitters flavored with barbecue sauce? It’s a gulp of the American south, flamed with a blowtorch and delivered under a miniature clothesline hung with beef jerky. Continuing toward the Equator, Caribbean flavors infuse the dozens of specialty rums (from Cuba, Jamaica, Trinidad, Grenada and beyond) and cocktails like Bébé Dragon, a blast of Barbados rum, house-made ginger syrup, lemon juice, lemon-lime soda, mango and basil (14 dollars). Reserve spots online. Sunday 10. Vintage Voyage, 10 a.m. Finally: a place stocking those stag heads, Lego figurines, cowboy paintings, flapper hats, snow shoes, lace doilies and neon signs you’ve had trouble finding. Near the last stop of the Metro’s blue line, Marché aux Puces Saint Michel is a vintage shopper’s Shangri-La. The sprawling, dusty, musty two-level labyrinth-like flea market holds hundreds of stalls selling the contents of seemingly every Canadian attic and basement. Kiosk 216 has an impeccable collection of vinyl LPs from the “Valley of the Dolls” soundtrack to Serge Gainsbourg’s “Grandes Chansons de Gainsbourg,” while Artiques (kiosk 219; 514-898-2536) sells well-maintained pinball machines, jukeboxes, pipe organs and radios. For gents needing winterwear, La Garette d’Anna (kiosk 358; facebook.com/LaGaretteDAnna) sports an extensive collection of bomber jackets, capes, police caps and pith helmets. Haggle. 11. Ship Shape, 1 p.m. Norway, Sweden and Finland have mastered the art of stylishly dealing with cold weather, and Montreal has paid homage to these experts with numerous Nordic-themed spas around town. The most innovative is Bota Bota, a former ferryboat that was remade in sleek contemporary style and reopened as a wellness facility in the winter of 2010. Spread over five decks, the indoor-outdoor spa offers many massages and facial treatments, but the core experience is the “water circuit” (35 to 70 dollars depending on day and time). Sweat out the weekend’s toxins in a Finnish sauna or hammam; plunge into one of the cold pools; and finally chill out in one of the relaxation areas or the restaurant. The 678 portholes and numerous wall-size glass panels afford superb views of the city skyline, though the best vantage point is the external heated whirlpool bath. There might be no warmer spot amid wintry Montreal. Lodging With 131 suites, downtown’s Hotel Le Crystal (1100, rue de la Montagne, 514-861-5550) offers anti-winter pampering perks like an indoor saltwater pool and an outdoor year-round rooftop hot tub, both with city views. Some executive suites and penthouses have operational fireplaces. Double rooms from 199 Canadian dollars. Situated in the hip Plateau neighborhood, the 21-room Auberge de la Fontaine (1301, rue Rachel Est, 514-597-0166) lies across the street from leafy Parc La Fontaine — home to an outdoor skating rink — and down the street from Lab cocktail bar. Certain rooms have whirlpool baths. Doubles from 122 Canadian dollars.
  11. http://www.lapresse.ca/sports/hockey/201511/04/01-4917485-classique-heritage-la-lnh-reluque-le-parc-jean-drapeau.php Classique Héritage: la LNH reluque le parc Jean-Drapeau Publié le 05 novembre 2015 à 05h00 | Mis à jour à 10h53 Le futur amphithéâtre naturel de l'île Sainte-Hélène (à droite sur l'image) pourrait être l'endroit idéal pour présenter un match en plein air à Montréal. La Ligue nationale de hockey est ouverte à l'idée d'un match présenté en plein air au parc Jean-Drapeau, selon des informations obtenues par La Presse. Une source bien placée du circuit a confirmé à La Presse que la Ligue pourrait «possiblement» choisir de présenter un match en plein air au parc Jean-Drapeau, là où un nouvel amphithéâtre naturel de 65 000 places doit être construit sous peu. La LNH cherche depuis des années déjà à présenter une Classique héritage, le pendant canadien de la Classique hivernale, à Montréal. La direction du Canadien, le propriétaire Geoff Molson en tête, a aussi maintes fois exprimé son désir de présenter un tel match. Mais l'absence d'un stade adéquat, répondant aux critères exigés par les dirigeants du circuit Bettman, n'a jamais permis au projet d'aller plus loin. L'annonce récente concernant le projet d'amphithéâtre naturel au parc Jean-Drapeau vient toutefois changer la donne dans ce dossier. Le projet, au coût de 70,4 millions de dollars, ne prévoit pas l'installation de gradins permanents sur les lieux, mais selon François Cartier, directeur communications-marketing et programmation de la Société du parc Jean-Drapeau, il serait envisageable d'y installer des gradins temporaires pour la tenue d'une partie de hockey en plein air. «Ce serait possible de le faire pour un match», a-t-il répondu. Délai de construction La présentation d'une rencontre du Canadien sous le ciel montréalais n'est toutefois pas pour tout de suite. Au mieux, le Canadien et la LNH pourraient tenter d'y parvenir pour la saison 2018-2019, quand le projet de l'amphithéâtre au parc Jean-Drapeau devrait être achevé. En attendant, Montréal ne compte sur aucun autre stade qui répond aux critères de la LNH quant à la présentation de matchs en plein air. Rappelons que la Ligue exige, entre autres, un stade d'au moins 40 000 places afin de pouvoir couvrir les frais liés à la présentation d'une telle rencontre, ce qui exclut les domiciles respectifs des Alouettes et de l'Impact. Le Stade olympique n'est pas non plus une possibilité pour un tel événement. La Classique héritage a été présentée trois fois au Canada depuis son inauguration, en novembre 2003 à Edmonton. Calgary et Vancouver ont également présenté le match en question, et le Canadien y a pris part à deux reprises. Enthousiasme La possibilité d'un tel match à Montréal emballe déjà certains membres du Canadien, qui vont vivre une expérience similaire le 1er janvier à Boston dans le cadre de la traditionnelle Classique hivernale, qui sera disputée contre les Bruins à Foxboro, dans le stade des Patriots de la Nouvelle-Angleterre. «Ce serait excellent si ça pouvait arriver à Montréal, a lancé l'attaquant du Canadien Dale Weise. Je n'ai pas encore eu la chance de prendre part à un tel match, celui du 1er janvier à Boston sera mon premier. Mais pour moi, l'important, c'est toute la fébrilité qui entoure ce genre de match: le nombre de gens que l'on pourrait y attirer, les retombées économiques, tout ça, c'est excellent pour la Ligue. Et c'est excellent pour les fans, même pour ceux qui ne sont peut-être pas des immenses fans de hockey. Un match comme ça ici, ce serait incroyable. Je suis sûr que ce serait présenté à guichets fermés.»
  12. Anatomie d'un double crime or Marshland La isla minima c'est le titre en espagnol Tres bon film qui a sorti la semaine passée a Montréal. Je l'ai vue l'an passé en Espagne. Film policier qui se situe dans les année 80 juste après les années Franco. L'action se déroule sur une ile dans une region marécageuse du sud de l'Espagne en andalousie dans le parc naturel de la Doñana. Ce qui caracterise ce film surtout c'est sa photographie avec des images incroyables. Ce film a gagner 10 prix Goya en 2015 (Les oscars espagnol) A voir si vous aimer le cinéma en général. En version original espagnol avec sous titres français Anatomie d'un double crime Cinema Beaubien, Cinema quartier Latina , Cinema Pont Viau En version original espagnol avec sous titres anglais. Marshland Cinema du Parc et Cinema Forum http://www.cinemamontreal.com/films/marshland-2014/videos/201694
  13. http://spacingmontreal.ca/2010/05/25/parc-lahaie-transformation-underway/ Résultat du parc Lahaie: C'est très laid ! deux tables dans le milieu, c'est le seul truc qu'ils ont trouvé à installer ? Je crois qu'il serait mieux de détruire la rue si ont veut vraiment la transformer en place publique. Je laisse Étienne vous présenter ses rendus qui sont extra !
  14. Le promoteur a fait une demande de dérogation pour bâtir 9 étages (immeuble commercial) à cet endroit, mais ce fut refusé par l'arrondissement. Reste qu'à attendre une nouvelle proposition certainement plus modeste. https://www.google.ca/maps/@45.509326,-73.573306,3a,75y,3.35h,90.55t/data=!3m6!1e1!3m4!1suXaL01e-l4LIVuaIi9IfSA!2e0!7i13312!8i6656?hl=fr
  15. Juste l'autre côté du pont Charles-de-Gaulle et à proximité des nouvelles gares de train de banlieue.
  16. http://www.lapresse.ca/cinema/nouvelles/201501/24/01-4838132-hausse-de-la-clientele-au-beaubien-et-au-parc.php Publié le 25 janvier 2015 à 10h00 | Mis à jour à 10h00 Hausse de la clientèle au Beaubien et au Parc Ma Presse Cinéma polonais au Parc ANDRÉ DUCHESNE La Presse Terminée il y a deux ans, la mise en commun des administrations du Cinéma Beaubien et du Cinéma du Parc porte ses fruits. Les deux entités ont en effet enregistré des hausses de clientèle en 2014, à contre-courant de ce qui se passe ailleurs au Québec. Selon les chiffres compilés par la firme Cinéac, le Beaubien a vu sa clientèle augmenter de 11% en 2014, alors que le Parc fait encore mieux avec une hausse de 15% des entrées. Pendant ce temps, dans l'ensemble des salles québécoises, on enregistrait une baisse de 9% au box-office. Joint à Paris alors qu'il participait aux Rendez-vous d'Unifrance, le directeur général des deux administrations, Mario Fortin, était de très bonne humeur. Pour lui, ces résultats sont le fruit d'une conjugaison de la présence de bons titres à la programmation, des investissements réalisés aux deux endroits et de décisions d'affaires ciblées. «Nous avons eu beaucoup de bons films en 2014», lance-t-il, énumérant Mommy, The Grand Budapest Hotel, Birdman et autres oeuvres fortes. «Au Beaubien, un film français comme Qu'est-ce qu'on a fait au bon Dieu? a très bien marché.» Emplacement et clientèle obligent, le Beaubien mise d'abord sur les films québécois et de la francophonie, alors que le Cinéma du Parc, voisin de l'Université McGill et de sa communauté jeune et diversifiée, propose une programmation plus éclectique. Le Parc organise des petits festivals (films brésiliens, chinois, etc.) qui tiennent dans une salle. Il rejoint aussi une bonne clientèle avec ses documentaires (plus nombreux dans le monde anglo-saxon que dans la francophonie, souligne M. Fortin), ses rétrospectives et son association avec différents festivals tels le FNC et les RIDM. Autre changement, les heures d'ouverture ont été ajustées aux besoins de la clientèle environnante. Investissements Quant aux investissements récents, ils ont été nombreux. Et nécessaires. À commencer par l'achat de projecteurs numériques. «On a investi quelques millions au cours des dernières années dans le Cinéma Beaubien, dit M. Fortin. Nous avons encore quelques projets sur la table. Nous avons aussi fait des investissements au Cinéma du Parc et je m'apprête à préparer le budget de la phase 2 des rénovations.» Début 2013, Roland Smith, directeur général du Parc, a fait une passation de ses pouvoirs à son ami Fortin. Cela a permis de regrouper les forces des deux entités, dit le directeur du Beaubien. «Les personnes travaillant aux communications, à la comptabilité, etc. échangent les travaux», explique-t-il. Aujourd'hui, M. Smith demeure conseiller artistique au Parc. Phare culturel Joint par La Presse, le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau, ne peut que se réjouir des plus récentes statistiques quant à la clientèle du Beaubien. «Ce cinéma est un phare culturel important dans l'arrondissement, dit-il. C'est un symbole pour le quartier. Les gens s'y identifient et l'encouragent. Et au coeur de ce succès, il y a Mario Fortin, un travailleur acharné et passionné.» M. Croteau est d'autant plus heureux que l'arrondissement a investi 100 000$ dans la numérisation des salles du Beaubien. «Cette somme représentait le tiers du projet. Le Beaubien est un moteur économique important, il fait partie du paysage culturel et patrimonial», dit-il pour justifier l'investissement. Les liens entre l'arrondissement et le cinéma vont plus loin encore. Les administrateurs du Beaubien organisent des projections estivales dans les parcs et sont aussi partenaires de la programmation de la maison de la culture.
  17. http://blogue.onf.ca/blogue/2015/05/21/montreal-dhier-aujourdhui-films-onf/ Montréal de 1940 à aujourd’hui à travers les films de l’ONF Films Documentaire | 21 mai 2015 par Emilie Nguyen Des années 1940 à aujourd’hui, la ville de Montréal a fait l’objet de nombreux films de l’ONF. En fouillant dans la collection, force est de constater que la cité aux cent clochers a été la muse de plusieurs cinéastes, tels que Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, Hubert Aquin, Luc Bourdon et Michel Brault. Chacun à leur manière, ils nous ont donné à voir la ville dans un style cinématographique propre à leur démarche et à leur époque. Objectif-Expo-67-tv-big Image tirée du film Objectif 67 En raison de mon obsession pour l’ordre et la chronologie, j’ai rassemblé quelques-uns de ces titres de manière à pouvoir suivre l’évolution de la ville à travers les décennies. Une occasion de replonger dans le Montréal des années 1940 et d’entreprendre une balade au parc Lafontaine sur une musique bucolique; d’être aux premières loges pour admirer les chars allégoriques du défilé de la Saint-Jean-Baptiste en 1959; de prendre le mini-rail pour revivre en couleur les heures merveilleuses de l’Expo 67; de revisiter le quartier Griffintown et les commerces du boulevard Saint-Laurent dans les années 1970; de contempler Montréal sous toutes ses coutures dans les années 1990, et de terminer le voyage par une flânerie interactive sur le Mont-Royal en compagnie de l’écrivain Dany Laferrière. Bon voyage temporel! 1940 La cité de Notre-Dame (1942) Avec ce documentaire passionnant, redécouvrez la ville de Montréal en 1942…et en couleur! Entrez dans le quotidien fourmillant de la métropole avant les gratte-ciel et les autoroutes. Déambulez parmi ses églises, ses vieux marchés, ses galeries d’art, ses universités, son aéroport, ses gares de triage et son port, guidé par une charmante narration. La Cité de Notre-Dame par Vincent Paquette, Office national du film du Canada Au parc Lafontaine (1947) Dans ce court métrage, voyez comment les Montréalais profitaient des beautés du Parc Lafontaine dans les années 1940. À l’époque où les ours noirs, les renards, les chats sauvages et les oiseaux de proie cohabitaient gaiement; où les enfants s’amusaient sous l’oeil attendri des parents, des amoureux, des promeneurs. On y rencontre des gens de tous les âges, tous les types, tous les genres, car chaque jour le tout Montréal se donne rendez-vous au parc Lafontaine… Au parc Lafontaine par Pierre Petel, Office national du film du Canada 1950 Au bout de ma rue (1958) Filmé par Michel Brault, ce charmant petit film raconte l’histoire d’un gamin vivant dans le centre-sud de Montréal qui profite d’un jour de congé pour prendre la poudre d’escampette. Suivez-le alors qu’il découvre le bord de l’eau, l’horizon élargi du grand fleuve Saint-Laurent et l’activité bouillonnante du port de Montréal, tel qu’il était en 1958. Au bout de ma rue par Louis-Georges Carrier, Office national du film du Canada Jour de juin (1959) Revivez les festivités de la Saint-Jean-Baptiste à Montréal en 1959. Soyez aux premières loges d’une foule de 700 000 à 800 000 personnes pour voir passer les chars allégoriques, les fanfares d’un événement annuel qui rappelle à tout un peuple ses racines profondes. Jour de juin par ONFB, Office national du film du Canada 1960 À Saint-Henri le cinq septembre (1962) Réalisé par Hubert Aquin en 1962, ce grand classique impérissable du cinéma québécois nous fait visiter en 24 heures le quartier populaire de Saint-Henri à travers les images tournées par un collectif des plus grands cinéastes de l’époque. Le film a été inspiré par le roman Bonheur d’occasion de Gabrielle Roy. À Saint-Henri le cinq septembre par Hubert Aquin, Office national du film du Canada Objectif 67 (1967) Évoquant les heures merveilleuses de l’Expo 67, ce film en couleur nous replonge au coeur de cet événement marquant dans la vie des montréalais. Dans sa course, la caméra prend le minirail, visite les îles, la Ronde, la Cité du Havre, envahit les pavillons, les restaurants, suit les clowns et capte la joie de la foule. Objectif : Expo 67 par William Brind, Office national du film du Canada 1970 Griffintown (1972) Le quartier Griffintown n’a pas toujours été le berceau de condominiums argentés et des jeunes gens branchés. Ce court métrage documentaire nous montre le quartier tel qu’il était dans les années 1970, ignoré et dévasté. Une population réduite mais opiniâtre s’acharne à y vivre et à lutter contre la tyrannie de l’industrie qui cherche à les exproprier. Griffintown par Michel Régnier, Office national du film du Canada Une rue de lait et de miel (1973) Tourné dans les années 1970, ce court métrage documentaire rend hommage au boulevard Saint-Laurent, artère principale de Montréal. Une rue qui demeure, pour nombre d’immigrants, l’endroit où s’est amorcée leur vie nouvelle. Dans cet excellent film, le cinéaste revisite la rue et les commerçants qui l’ont accueilli à l’âge de huit ans, lorsqu’il arriva au Canada avec ses parents. Une rue de lait et de miel par Albert Kish, Office national du film du Canada 1980 Albédo (1982) Mélangeant fiction et documentaire, ce long métrage établit un parallèle entre la vie du photographe David Marvin et l’histoire de Griffintown, un quartier de Montréal auquel il a consacré une partie de son œuvre. Albédo par Jacques Leducet par Renée Roy, Office national du film du Canada 1990 Les amoureux de Montréal (1992) Le cinéaste Jacques Giraldeau nous présente Montréal sous toutes ses coutures et dans tous ses replis… Montréal baignée dans toutes ses lumières, été comme hiver, revisitée par un cinéaste amoureux de ses rues, de ses ruelles, de ses quartiers, de ses parcs, de son fleuve, de ses églises, de ses édifices… Visages d’hier et d’aujourd’hui. Une ville disparate, de verre et de béton, façonnée par des architectes qui lui ont donné un corps et… une âme! Les amoureux de Montréal par Jacques Giraldeau, Office national du film du Canada 2000 La mémoire des anges (2008) À la fois documentaire, poème et essai, La mémoire des anges est une expérience unique permettant de revisiter la ville de Montréal des années 1950 et 1960, avec ses grandes figures, ses lieux emblématiques et ses citoyens ordinaires. Pour ce faire, le cinéaste Luc Bourdon a procédé à un assemblage d’archives et d’extraits tirés de 120 films produits par l’ONF. Un tour de force magistral! La mémoire des anges par Luc Bourdon, Office national du film du Canada 2010 Sacrée montagne (2010) Revisitez un des lieux les plus emblématiques de Montréal avec ce documentaire Web qui explore notre relation au sacré à travers le Mont-Royal. Dans cette courte vidéo tirée du projet, l’écrivain Dany Laferrière livre une réflexion sur la place du sacré dans l’histoire et l’imaginaire québécois, revivant pour l’occasion ses premiers pas dans ce Montréal que sa mère, depuis Port-au-Prince, appelait « la ville de Dieu ». Sacrée montagne – La métaphore de Montréal par Hélène de Billyet par Gilbert Duclos, Office national du film du Canada À Saint-Henri, le 26 août (2011) Tourné en 24 heures, À St-Henri, le 26 août rassemble quelques-uns des plus brillants cinéastes documentaires québécois d’aujourd’hui autour de cet ancien quartier ouvrier de Montréal. Dans un style cinéma direct, à l’affût des histoires qui font l’épaisseur d’une journée dans la vie quotidienne du quartier, ce film parcourt des trajectoires qui se côtoient ou se traversent tout en restant opaques les unes aux autres. Réalisé en 2010, ce film est un hommage à l’oeuvre collective d’Hubert Aquin, À Saint-Henri le cinq septembre. Il témoigne de la transformations d’un espace urbain resté profondément enraciné dans son passé industriel vibrant. La musique a été composée par le talentueux Patrick Watson. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. À St-Henri, le 26 août – (Bande-annonce) par Shannon Walsh, Office national du film du Canada D’où je viens (2013) Dans ce superbe documentaire, le cinéaste Claude Demers (Les dames en bleu) revisite le quartier populaire de Verdun où il a grandi pour y interroger le mystère de ses origines. La ville et le fleuve Saint-Laurent constituent la toile de fond de cette ode à la vie et à la beauté du monde. Une œuvre libre et humaine, qui nous montre un visage de Verdun que vous n’avez jamais vu. Pour en savoir plus, lisez notre entretien avec le réalisateur. Le film est maintenant disponible en location. Pour le visionner, cliquez ici. D'où je viens – (Bande-annonce) par Claude Demers, Office national du film du Canada Et vous, quels sont vos films préférés de notre collection sur Montréal? À Saint-Henri le cinq septembre, Au parc Lafontaine, cité, Claude Demers, D'où je viens, Documentaire, film, Griffintown, Histoire, Hubert Aquin, Jacques Giraldeau, Jacques Leduc, La cité de Notre-Dame, La mémoire des anges, Luc Bourdon, Métropole, Michel Brault, mont Royal, Montréal, Saint-Henri, Saint-Jean-Baptiste, Saint-Laurent, Urbanisme, Ville, ville-marie, webdocumentaire sent via Tapatalk
  18. http://montrealgazette.com/news/local-news/montreal-re-imagined/montreal-reimagined-cityscape-is-more-than-only-a-view The Montreal Re-Imagined section is presented by Concordia University Concordia University Montreal Reimagined: Cityscape is more than only a view MONTREAL, QUE.: April 02, 2015 -- Logo staff mugshot / headshot of Luca Barone in Montreal Thursday April 02, 2015. LUCA BARONE, SPECIAL TO MONTREAL GAZETTE Until I graduated, my daily hike up to McGill’s Faculty of Law on the corner of Peel St. and Dr. Penfield Ave. began at the corner of de Maisonneuve Blvd. W., where I would emerge into daylight from the métro station. Ascending into the world from the underground takes a little readjusting: you look around to get your bearings, check the weather, and let your eyes readjust to the sunlight. I was never afforded much to look at until I began walking north up Peel and glimpsed the mountain. The east-west view along de Maisonneuve is disappointing. Look left or right and the view is the same: dark towers pockmarked with windows rise up on the horizon. When a building obstructs a view down a street and becomes the focal point of what you see, it is known as a terminated vista. They can be a blessing and a curse. They also can help create a sense of destination and diversity in a city and can be manipulated to highlight significant landmarks. The view of McGill’s campus against the backdrop of Mount Royal from McGill College Ave. is one of Montreal’s iconic landscapes. Looking south down St. Urbain St., the view of the Art Deco waterfall of the Aldred Building on Place d’Armes is another example of a successful blocked view that beckons rather than repulses, as is the view of the dome of the Hôtel-Dieu looking north along Ste-Famille. These landmarks create a sense of place and they are symbols of our city. But look south down Parc Ave. toward Place du Parc (the Air Transat building) and the view is hardly inspiring. When the view down a street ends in a blank tower, the terminated vista does not help create a more livable city. Not every building should be monumental or iconic, but any urban building should make you want to walk toward it rather than avert your eyes. Downtown towers should be built because they have many virtues, from proximity to public transit to the lower environmental effect of higher population density, but we should not ignore how these buildings relate to their surroundings. Uniformity should not be the goal, either: a building should not have to look exactly like its neighbours, but it should complement them. Without exaggerating the importance of the look and shape of buildings, Montrealers deserve more than what we’re getting from urban planners, architects and real estate developers. We should trudge out of the métro and be delighted by what we see. In a city full of talented architects, much of the blame for uninspired buildings lies with real estate developers who don’t hire local talent, and city councillors and urban planners who give construction permits without paying sufficient attention to buildings’ visual impact. The Louis-Bohème building on the corner of Bleury and de Maisonneuve is an example of a building that succeeds on many levels. Its apartments make the best use of the land by increasing the density of residents in the area. It also has underground parking and shops at ground level, from where you can also access the Place-des-Arts métro station. In many ways, the building represents exactly the kind of development Montreal needs. But it fails as an element of the urban landscape. When you see it rising above Parc or de Maisonneuve, the view of its charcoal concrete panels leaves you unmoved at best and intimidated at worst. In a city that suffers from interminable winters exacerbated by short days and little sunlight, buildings clad in light-absorbing, dark materials are not merely ugly — they should be considered a public health concern. One way to improve urban design would be to develop a sustainable local architecture that is responsive to our climate. Initiatives like the Quartier des Spectacles’ Luminothérapie winter light installations are a great start, but the city should take a more active role in promoting architecture that makes long winters more bearable. For example, Edmonton has issued specific winter design guidelines that promote architectural features that block wind, maximize sunlight, and enliven the cityscape as part of its “WinterCity Strategy.” It is not easy for a building to enrich its surroundings while responding to the demands of a city and its inhabitants, the climate and the economy. But our buildings speak eloquently about who we are and what we value. We have to live with them for decades, if not centuries. It’s worth getting them right sent via Tapatalk
  19. Comme urbania à récemment fait un manifeste d'idées pour Montréal. J'ajoute ici mes propres idées. Certaines sont originales. Certaines sont des idées qui proviennent d'ailleurs, que j'ai repris et modifier. Certaines sont peut-être farfelue, mais on a bien le droit de rêver. Un musée dans la ville sousterraine. Comme le festival Art-Sousterrain, mais à l’année longue. On pourrait faire contribuer tous les musées montréalais qui ont plein d’oeuvres d’art qui dorment dans leur entrepôt car ils n’ont pas assez d’espace d’exposition. Faisons aussi participer les universités, les organismes gouvernementaux, les entreprises privées, et les citoyens qui veulent prêter une partie de leur collection. Ce ne serait pas juste pour les œuvres d’art, mai aussi des artéfacts archeologiques, des antiquités, objets de colletction, des vieilles voitures, un vieux tramway, n’importe quoi d’intéressant à exposer. Reconstruire la pyramide inversée du pavillion du Canada sur l’ile Notre-Dame. La pyramide inversée, le Katimavik, était un des éléments les plus marquants d’Expo 67. Pourquoi ne pas le reconstruire ? Une tour sur le Mont-Royal. Je ne voudrais pas d’une tour sur le Mont-Royal, cela le dénaturerait. Mais le Mont-Royal est déjà dénaturé par l’horrible antenne de Radio-Canada, plus haute et plus visible que la croix. Alors si on est obligé de l’avoir on pourrait au moins la transformer en quelque chose de moins laid, une tour ou une sculpture. Le musée du Louvre à Montréal. Le Louvre a des antennes à Lens en France et à Dubai. Pourquoi pas une à Montréal. On a peut-être pas les milliards que Dubai a payé pour l’avoir, mais justement ils ont été critiqués pour avoir ainsi ‘vendu’ les oeuvres et le prestige du musée. Ce serait l’occasion de montrer qu’ils ne font pas ça juste pour l’argent. Et puis on a une relation spéciale avec la France. Ils ont donné la statue de la liberté aux Etats-Unis, nous on a rien eu de semblable. Et puis le silo #5 serait l’endroit idéal pour mettre le musée. Une equipe de football de la NFL a Montréal. Oubliez le baseball, ça ne fonctionnera jamais à Montréal, il y a trop de match pour soutenir l’interêt pendant une saison. Montréal est une ville de hockey, mais 16 jours par année ça pourrait devenir une ville complètement football. Dans un stade olympique avec un toit ouvrant, imaginer les tailgates sur l’esplanade du parc olympique, l’ambiance, la fébrilité serait incroyable. Un parc aquatique intérieur avec une plage intérieure. Nous sommes chanceux d’avoir ce vaste territoire qu’est le Québec, relativement à l’abri des catastrophes naturelles (séisme, ouragan, tsunami), qui n’a pas eu de guerre depuis très très longtemps. Malgré ça, les québecois rêvent tous ou presque d’une seule chose, aller dans le sud en hiver. Je trouve ça pathétique, mais on pourrait facilement offrir la sensation d’être en été pour une journée avec une plage intérieure et des glissades d’eau. Un parc sur le toit du palais des congres. Les toits des édifices sont en général sous-utilisés à mon avis. Celui du palais des congrès est immense. Voir ce projet de BIG pour savoir à quoi ça pourrait ressembler.
  20. Bonjour! On parle souvent du secteur coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine à cause de ses nombreux bâtiments en mauvais état et de tous ses terrains vagues. Je me disais que ce serait bien de faire quelque chose pour unifier ce secteur et l'embellir. En même temps, je trouve que le petit parc Hydro-Québec à l'ouest de la maison du développement durable, bien que très beau et très agréable, termine trop brutalement sur un stationnement. Voici donc ma proposition pour réunifier le secteur. Un fil conducteur qui commencerait sur la place de la paix, traverserait un éventuel nouveau bâtiment pour rejoindre le parc Hydro-Québec. Puis, il passerait à travers la future esplanade de la patinoire, pour ensuite traverser le stationnement et aboutir dans un bâtiment au-dessus de la station Saint-Laurent. Il pourrait ressortir de l'autre côté pour marquer une seconde entrée du métro. Cela pourrait prendre plusieurs formes, que ce soit du béton peint, comme à Copenhague (voir plus bas), de la végétation, des murales au sol, des jeux de matériaux... Situation actuelle: Proposition Exemple de Copenhague:
  21. Un parc aquatique de 40 M$ sera construit à Blainville Sur la table à dessin depuis un peu plus de deux ans, le projet de parc aquatique Aquapolis vient de franchir une nouvelle étape avec l’acquisition d’un terrain de quelque 900 000 pieds carrés. Situé aux abords de la sortie 28 de l’autoroute 15, le terrain en question subira, à la faveur d’un investissement privé de 40 millions de dollars (11 millions de dollars pour les bâtiments et 29 millions de dollars pour les équipements), une transformation majeure pour devenir un parc aquatique intérieur unique au Canada, dit-on. D’une superficie totale de 100 000 pieds carrés, dont une grande partie sera vitrée, le parc sera complété par des aménagements extérieurs qui s’étendront pour leur part sur une superficie de 30 000 pieds carrés. Aquapolis sera aménagé en quatre espaces thématiques, soit la détente (plage, piscine, bains bouillonnants, jets et douches hydromassants, boutique, restaurant, bar), l’aventure (rivières lentes, cascades, toboggans, rapides), le jeu (arbre à eau, geysers, marelle aquatique) et le coin des petits (garderie et pataugeoire). «Voilà un projet structurant qui aura des effets positifs à plusieurs égards: des revenus supplémentaires pour la Ville, des retombées économiques sur les commerces et les restaurants, de la création d’emplois et la mise en valeur du territoire dans le cadre de notre vision d’espace et d’avenir», a déclaré François Cantin. 500 000 visiteurs par année Selon les projections présentées par Gilles Debut, porte-parole des promoteurs dans le projet, la capacité d’accueil d’Aquapolis sera d’environ 2 500 personnes par jour, ce qui se traduira, sur une base annuelle, par quelque 500 000 visiteurs. «La clientèle sera locale et régionale, mais également touristique grâce à sa localisation et à son originalité», ajoute-t-il. Le prix moyen pour une journée au parc aquatique sera de 27 $ par personne. Les investisseurs associés au projet, nommément Jordan Aberman (Groupe Divco), Sal Fratino (Groupe Rosdev) et Alain Chayer (Liaison capitale), sont d’avis que Blainville représente l’endroit stratégique par excellence pour l’implantation du parc aquatique, tant pour son dynamisme économique, souligne M. Chayer, que pour son accessibilité. Il n’est pas exclu qu’un centre hôtelier vienne se greffer au projet dans les années à venir, ajoute-t-on, bien que cela nécessitera l’acquisition d’un autre terrain. La construction du parc commencera une fois les études de sol terminées, ce qui mènera vraisemblablement au printemps prochain. Le chantier se déploiera ensuite sur une période de 18 mois, pour ouverture du parc, espère-t-on, en novembre 2015. On estime entre 300 et 400 le nombre d’employés qui y travailleront. «Je suis très enthousiaste face à ce projet soutenu par des promoteurs privés et qui permettra à notre ville et à notre région de se doter d’une infrastructure qui s’ajoutera avantageusement à notre offre récréotouristique locale et régionale», s’est réjoui, en terminant, le maire. Pour voir la vidéo de présentation du projet, rendez-vous sur le http://www.youtube.com/watch?v=VQGFV2v2DlI http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/tourisme/un-parc-aquatique-de-40-m-sera-construit-a-blainville/561907#.UkXQ-4ZLMlQ
  22. Et voilà qui bouchera le dernier trou sur Parc ! Merci à MTLskyline sur SSP http://www.buzzbuzzhome.com/condo-parc-3470-parc
  23. Dans le sujet sur l'état des rues commerciales dans le Plateau Mont-Royal, il y avait un désaccord sur l'appréciation des saillies vertes. Pour l'un c'était de la mauvais herbe, pour l'autre, c'était très réussi. J'ai donc décidé de faire un sujet montrant quelques exemples de verdissement à Montréal, histoire d'avoir un endroit où montrer ce qu'on aime, ce qu'on aime pas. Le verdissement prend une place importante dans plus en plus de villes, et a un impact de plus en plus significatif sur l'urbanisme, le paysage urbain, et même la configuration de nos rues. Je trouve donc pertinent d'en parler dans un forum d'urbanisme! J'ai donc fait un petit tour rapide dans mon quartier et aux alentours: le nord du Plateau, Saint-Viateur Est, le Mile-End. Nous sommes en septembre, donc c'est pas mal moins fleuri et coloré que durant le reste de l'été, mais ça donne une idée de la qualité de l'infrastructure, je crois. La saillies vertes Ces saillies ont non seulement pour objectif de verdir une rue, mais aussi d'augmenter le dégagement pour la visibilité des piétons et des automobilistes, ainsi réduire la distance à traverser dans une rue. Une des plus grande saillies sur le Plateau. Elle va de la rue Boucher jusqu'à Maguire, et ainsi s'occupe de deux intersections d'un seul coup. Il y a une bonne diversité dans les plantes choisies pour l'aménagement. Sur Fairmount, une grande saillie est aussi devenue une petite place publique bien occupée: Voici quelques autres saillies dans le secteur: Retrait d'un cul-de-sac dans le parc Laurier On avait bien ri de la peinture verte sur la chaussée, mais l'aménagement final est plus qu'un simple bout de gazon. Les travaux du parc Laurier ont permis de revitalisé le parc. Le sud du parc Laurier est maintenant très populaire. La fin de semaine, il est difficile de trouver la moindre place libre. Il n'y a pas grand monde un vendredi matin de septembre par contre, plus simple pour les photos . Verdissement du terre-plein de Saint-Joseph Pas vraiment la place pour un motif floral complexe, c'este du foin et des arbres, plutôt que du béton et un bac à fleurs. Champ des possibles, nouveau parc laissé à l'état naturel C'est grâce à la pression populaire que cet espace n'a pas été aménagé en parc traditionnel. Il est donc laissé dans un état naturel. Par contre, le terrain est fortement contaminé, et ça énerve le gouvernement du Québec. En tout cas, c'est une bonne oasis de verdure à côté d'un imposant centre d'emplois. Verdissement du domaine public par les citoyens Les fameuses fausses d'arbre appropriées par des citoyens et des commerces pour y planter quelques fleurs. Je n'ai pas les exemples les plus éloquents en photos, c'était ce qu'il y avait sur mon chemin. Voici une initiative plus particulière: des bacs sont installés pour y planter des trucs comestibles (un organisme bénévole gère tout cela). Rendu en septembre, ça pousse moins bien, mais il y a quelques semaines on pouvait même cueillir son propre blé d'inde de ces bacs. Le papier présent est un plan avec les emplacements de ces bacs comestibles dans le quartier. Il y a du verdissement partout, et je n'ai pas couvert les ruelles vertes du coin. S'il y a du verdissement que vous aimez dans votre coin, ou s'il y a des aménagements qui sont dignes de la mauvaise herbe que vous voulez dénoncer, n'hésitez pas à mettre vos photos dans ce sujet!
  24. Photos taken by me on friday the 3rd of october 2014 in Milton Parc and McGill. Full set on Flickr.
  25. Youtube video: Site: http://www.condosleparc.com Combinez l'énergie pétillante de Montréal à l'apaisement que peut procurer une vaste étendue de verdure. Le résultat : Condos Le Parc. Un oasis urbain, en plein cœur de l'arrondissement Saint-Léonard. L'idée derrière le projet est bien claire : avoir l'opportunité de vivre dans un espace vert moderne et stylé, ayant une multitude d'accès à tous les divertissements de la ville et donc, une infinité de possibilités. •133 unités (3 ½, 4 ½ et 5 ½) •Plafonds d'une hauteur de 9 pieds •Stationnements intérieurs/extérieurs •Salle d'entrainement •Comptoirs en pierre •Chambre froide privée •L'accès à un immense parc privé Condos Le Parc, c'est pour tous ceux voulant profiter de la vie, tout en ayant l'esprit tranquille ! Bureau des ventes 7930 Boul. Viau, Montreal, QC H1R 4A2 Lundi – Mardi – Mercredi : 14h à 20h Samedi – Dimanche : 13h à 17h Téléphone : 514-524-6565 Info : info@condosleparc.ca [ATTACH=CONFIG]2818[/ATTACH]
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