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ErickMontreal

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  1. Contrat de 19 M$ pour CGI aux États-Unis CGI Federal, une filiale américaine du Groupe CGI de Montréal, a obtenu de l'Agence de protection de l'environnement américaine (EPA) une commande dont la valeur, supposant un niveau d'activité constant et l'exercice des six options de renouvellement d'un an prévues, pourrait atteindre environ 19 millions $ US. CGI est l'un des quatre grands fournisseurs de services TI (technologies de l'information) qui ont été sélectionnés en février dernier par l'EPA pour soumettre des propositions en vue de travaux qui seront attribués en vertu du contrat cadre d'ingénierie des systèmes et de soutien scientifique spécialisé ORD SES3. Celles-ci comprendront des services opérationnels, techniques et scientifiques correspondant aux besoins de l'EPA dans divers domaine, soit le soutien des applications, soutien scientifique, les services-conseils d'ordre technique et de gestion des affaires, et la gestion des infrastructures. Le contrat cadre prévoit également un soutien essentiel aux activités de recherche de l'EPA en matière de prévention des risques, de pollution et de dangers pour la santé humaine. Ce contrat s'ajoute à celui de 83 millions $ US annoncé le 10 avril dernier qui vise à moderniser le système financier de l'EPA et à transférer l'hébergement des TI du système financier ainsi que la gestion des applications à CGI. http://www.lesaffaires.com/article/0/technologies/2008-04-17/476204/contrat-de-19-mdollars-pour-cgi-aux-etatsunis.fr.html
  2. Pratt & Whitney investit 90M$ à l'aéroport de Mirabel Pratt & Whitney Canada regroupe ses opérations d’essais en vol de Saint-Hubert et de Plattsburg dans un nouveau centre de 90 millions de dollars qui sera situé à l’aéroport international Montréal-Mirabel. Ce transfert entraînera la création de plus de 75 postes hautement qualifiés à ce nouveau centre, notamment des ingénieurs d'essais et des techniciens spécialisés. Le centre d’essais de Plattsburgh fermera ses portes, ce qui entraînera la suppression de 22 emplois, alors que les employés de Saint-Hubert seront réaffectés ou transférés à Mirabel. «Cet établissement à la fine pointe de la technologie nous permettra d'accroître notre compétitivité et d'y mener les essais en vol pour toute la gamme des moteurs Pratt & Whitney», a déclaré le vice-président principal, Centres de révision et Exploitation de l’entreprise, Benoît Brossoit, dans un communiqué. La société ajoute que la construction du nouveau centre et l'entretien des appareils devrait créer plus de 100 emplois supplémentaires indirects. Le futur Centre d'essais en vol de P&WC à Mirabel nécessitera l'utilisation temporaire d'un bâtiment existant à compter de l'automne 2008, et ce, jusqu'à la fin de la construction d'un établissement de 164 000 pi2 prévue au printemps 2009. Le Centre possèdera deux aires pour les bancs d'essai volants de l'entreprise qui serviront aux essais de la gamme complète des moteurs en développement. «Mirabel nous donne accès à des infrastructures efficaces de calibre mondial qui conviennent à nos besoins grandissants en matière d'essais en vol pour les années à venir tout en étant près d'une masse critique d'importantes entreprises aérospatiales», ajoute M. Brossoit. L’aéroport Montréal-Mirabel est un établissement international tout cargo ouvert en permanence; il est situé en milieu non urbain et possède une piste capable d'accueillir les très gros appareils comme le Boeing 747. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-17/476209/pratt-et-whitney-investit-90mdollars-a-laeroport-de-mirabel.fr.html
  3. Tremblay aura la mainmise sur le centre-ville Denis Lessard La Presse Québec Le gouvernement Charest va acquiescer à une demande importante de Gérald Tremblay. Le maire de Montréal sera à l’avenir aussi responsable du centre-ville, de l’arrondissement de Ville-Marie, actuellement le fief de Benoit Labonté. « J’ai un préjugé favorable à la demande du maire Tremblay », explique à La Presse la ministre des Affaires municipales Nathalie Normandeau, confirmant que dans le cadre de négociations très ardues entre Montréal, Québec et les banlieues, le gouvernement Charest avait décidé d’accéder à la requête formulée l’automne dernier par le maire de Montréal. « Le maire est déjà impliqué dans les dossiers stratégiques, il faut tenir compte du poids que représente l’arrondissement de Ville-Marie dans l’économie de Montréal », a indiqué la ministre. Cette question était devenue au fil des échange un des éléments les plus importants des revendications de l’administration Tremblay-Zampino, indique-t-on dans les coulisses. Les fruits de ces discussions entre la Ville et Québec doivent apparaître dans une série d’amendements au projet de loi 22 sur le fonctionnement de l’agglomération métropolitaine. Pour Mme Normandeau, ces amendements devront être prêts pour la mi-mai afin d’être adoptés avant l’ajournement de l’Assemblée nationale pour l’été. Hier, défendant les crédits budgétaires du Conseil exécutif, le premier ministre Charest a relevé que le réaménagement des pouvoirs au sein des agglomérations était le seul engagement encore en suspens du message inaugural de son gouvernement minoritaire, en mai 2007. Ces pouvoirs étendus sur le centre-ville pour le maire de Montréal sont proposés depuis longtemps. Déjà, le rapport de Me Louis Bernard, en 2000, juste avant les fusions, proposait que le maire de Montréal conserve le contrôle du centre-ville. Après les fusions, le comité de transition de Pierre Lortie était du même avis. Même Benoit Labonté, au moment où il dirigeait la chambre de commerce de Montréal, penchait de ce côté. Pour ses discussions avec Québec, la Ville de Montréal a fait une recension d’une quinzaine de villes importantes, de Londres à Dallas en passant par Seattle, Amsterdam, Paris et Lyon, dont les conseils municipaux ont conservé le contrôle et la gestion du centre-ville. Pour le reste, les négociations entre Montréal, les banlieues et Québec progressent à pas de tortue. Les points de friction sont encore nombreux et portent désormais essentiellement sur la « gouvernance » de l’agglomération plutôt que sur la fiscalité – les sources de revenus de Montréal –, a expliqué la ministre Normandeau. En fait, indique-t-on dans les coulisses, un désaccord profond perdure sur la présence et le poids des représentants de la banlieue au conseil d’agglomération et au comité exécutif. Cette exigence des banlieues dilue le pouvoir du maire qui craint plus que tout d’éventuelles coalitions entre les banlieues et l’opposition à Montréal. Québec fait la navette entre les villes défusionnées et Montréal et cherche une formule qui permettrait de sortir de l’impasse. Personne ne fait de propositions «définitives», attendant de voir l’ensemble du résultat de la négociation avant de se commettre formellement. À Québec, on travaille à rassurer la Ville sur ses demandes fiscales pour lui faire avaler des demandes plus indigestes des banlieues, qui réduiront le poids de Montréal au comité exécutif. Les banlieues reviennent à la charge avec le «secrétariat d’agglomération», une nouvelle mouture de la communauté urbaine de Montréal. Montréal s’oppose avec la même vigueur qu’au début à ce que cette nouvelle structure ait une personnalité juridique. Du point de vue de Québec, sur les pouvoirs de taxation, la métropole « réclame tout parce qu’elle ne sait pas exactement ce qu’elle veut », indique-t-on dans les coulisses. La Ville de Montréal réplique qu’elle souhaite exactement les pouvoirs habilitants qui ont été accordés par Queen’s Park à Toronto. Il faut surtout, pour l’administration Tremblay-Zampino, que Québec reconnaisse explicitement que Montréal est le cœur économique de la province. Du point de vue du gouvernement Charest, on estime que Montréal reste vague parce que ses élus ne veulent pas avoir à se battre avec les lobbies des restaurateurs et des commerçants qui s’opposeront inévitablement à toute taxe supplémentaire sur les repas ou le stationnement. C’est dans cette logique que la Ville avait d’abord proposé à Québec qu’on lui retourne une partie de la taxe de vente, une mécanique qui lui aurait épargné l’odieux de taxer directement les Montréalais. La banlieue veut financer les dépenses communes par une quote-part qu’elle verserait à l’agglomération plutôt que par une taxe directe prélevée par la ville centre. Mais Montréal résiste. Son idée, par exemple, d’installer des compteurs d’eau dans les industries sur l’ensemble du territoire s’accommoderait mal d’un tel système de quote-part. http://www.cyberpresse.ca/article/20080416/CPACTUALITES/80416295/6488/CPACTUALITES
  4. Il est possible de voir les treuils sur le côté de Rene-Lesvesque sur cette photo.
  5. Nouvelles 2008-04-02 Un comité de résidents du quartier est mis sur pied En décembre dernier, Viger DMC envoyait au voisinage une invitation afin de solliciter la participation de gens du quartier intéressés à former un comité de résidents. Une vingtaine de personnes ont accepté de prendre part à ce comité mis en place pour échanger sur différents aspects du réaménagement du site de l’ancienne Gare-Hôtel Viger. Vous serez bientôt informés de l’avancement des travaux de ce comité. http://www.vigerdmc.com/fr/nouvelles.php
  6. Tu as raison Malek, après tout Jaques Parizeau est seulement un diplômé de l'Institut d'études politiques de Paris, des Hautes études commerciales de Montréal et de la Faculté de droit de Paris. J`oubliai, il obtint un Ph.D. de la London School of Economics...
  7. Voici une intéressante entrevue avec Jaques Parizeau sur l`impact éventuel de la souveraineté du Québec sur l`économie. Peu importe ce qu`on peut penser de Jaques Parizeau, il est de loin un des plus grand ministre des finances de l`histoire du Canada. Part 1 http://fr.youtube.com/watch?v=66ot9GlADgU&feature=related Part 2 http://fr.youtube.com/watch?v=_M4TiFGcA1w&feature=related Part 3 http://fr.youtube.com/watch?v=NF5x_ZHikXg&feature=related
  8. Juste comme ca, tu ne crois pas que le Québec serait beaucoup mieux "outillé" avec un siège l`OMC qu`avec un siège de back-bancher à l`Unesco ? Anyway, tu as raison quand tu dis que le Québec doit se prendre en main mais tu ne peux pas nier le fait que la "Torontarisation" du Canada affecte Montreal d`avantage que Halifax ou Saskatoon... Parlant d`outils, Montreal vient de perdre le contrôle de sa bourse aujourd`hui et le Québec est sur le point de se faire imposer" une Autorité des marchés financiers" coast to coast.
  9. Même si Montréal a plus de créateurs sur papier, dans la mesure où ceux-ci font affaire à Toronto, Montréal se retrouve perdant au change... sight
  10. Toronto en voie de ravir à Montréal son titre de capitale de la mode Suzanne Dansereau, Journal LesAffaires 09:51 La dernière édition du L'Oreal Fashion Week, qui avait lieu du 17 au 22 mars à Toronto, a réussi, une fois de plus, à attirer sur ses passerelles des designers montréalais parmi les plus prometteurs de la scène mondiale : Andy The-Ahn, Nadya Toto, Rudsak, Denis Gagnon... Une semaine plus tard, au marché Bonsecours, dans le Vieux-Montréal, Rudsak parti- cipait à la Semaine de mode de Montréal. En revanche, Denis Gagnon, à peine sorti d'un congé sabbatique, s'est contenté d'y faire un petit saut, dans le cadre d'un défilé collectif. Nadya Toto, qui a un bureau de distribution et de vente à Toronto, n'y était pas du tout, pas davantage que Andy The-Ahn, qui a deux boutiques à Mont- réal, en plus de points de vente chez Simons, La Baie et Holt Renfrew. Au grand regret des organisateurs de la semaine et de son commanditaire principal, le gouvernement du Québec, qui vient d'investir 29 millions de dollars d'argent neuf dans une nouvelle stratégie pour la mode et le vêtement. " Ça me fait un pincement de coeur de ne pas être à la Semaine de mode de Montréal, confie Andy The-Ahn, rencontré dans sa boutique des Cours Mont-Royal. Après tout, Montréal, c'est ma ville, et je m'assure d'y faire au moins un défilé par année. Mais je ne peux pas participer aux deux semaines de la mode, c'est trop cher. " Montréal coûte environ 5 000 $ à un designer et Toronto, 15 000 $. Mais c'est pendant la semaine de Toronto que M. The-Ahn a pris ses contacts pour ouvrir des boutiques à Londres et à Dubai. C'est à Toronto que se trouve ses meilleures perspectives canadiennes de croissance, et il vient d'ailleurs d'y ouvrir une boutique à son nom. Le buzz de Toronto Tant Andy The-Ahn que Denis Gagnon et Evik Asatoorian, président de Rudsak, affirment que la semaine de la mode de Toronto est mieux organisée que celle de Montréal. Contrairement à cette dernière, en grande partie financée par l'État, la L'Oreal Fashion Week vit presque entièrement de fonds privés. Son budget est deux fois plus élevé - même si celui de Montréal vient d'être doublé. Les commanditaires y sont plus nombreux, plus variés et plus généreux. La couverture médiatique en est meilleure, la visibilité plus grande et on y retrouve des acheteurs mieux nantis - des Canadiens comme des étrangers. " Toronto a réussi à créer un buzz, elle offre le côté glamour si cher à notre industrie, résume Andy The-Ahn. Quand on va à Toronto, il y a des vedettes, des after-show parties dans plein de night-clubs, poursuit-il. Ça lève. " Il faut dire que jusqu'en 2006, la Semaine de mode de Montréal vivotait. Peu financée, elle était portée à bout de bras par une coordonnatrice, son assistante et quelques pigistes. Elle voguait d'échec en échec. Andy The-Ahn se souvient d'un incident révélateur du côté cahin-caha de l'événement. " J'ai eu une cliente d'Ottawa qui a été refoulée à la porte, lors de mon défilé. Et l'acheteur de Holt Renfrew - commanditaire de l'événement - s'est retrouvé à l'arrière de la salle, alors qu'il aurait dû être placé en avant. " En 2005, lorsque l'événement a eu lieu au stade olympique, " il n'y avait presque personne ", se souvient de son côté Judith Desjardins, designer de Bodybag. Quant au patron de Parasuco - une des réussites exemplaires de la mode montréalaise, il a déjà confié au journal Les Affaires que la Semaine de mode de Montréal était une perte de temps pour lui. Relever la barre " Cette année, de grands progrès ont été accomplis lors de la semaine montréalaise de la mode ", dit Chantal Durivage, coprésidente de Sensation Mode, qui a repris la direction de l'événement en 2006. L'organisme compte sur une équipe permanente de 20 personnes. Avec l'appui du ministère du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation (MDEIE), elle a lancé cette année un volet commercial avec le Showroom, un salon où les exposants peuvent montrer leur marchandise sur le site même du marché Bonsecours, à côté de la salle des défilés. Sensation Mode a aussi conclu un partenariat avec le salon des créateurs émergents Who's Next, de Paris. La dernière édition comptait 75 participants et offrait une trentaine de défilés, dont un ouvert au public (à la semaine de Toronto, tous les défilés sont payants et publics). Reste à voir si ce nouveau positionnement portera fruit. Pas si sûr, sachant que les budgets des acheteurs sont décidés fin février et que le Showroom de Montréal, fin mars, arrive trop tard dans la saison pour que les exposants y fassent des ventes importantes. Un autre défi est de réussir à attirer les bons acheteurs, qui viennent aux frais du gouvernement. " J'aurais pu leur fournir une liste, mais ils ne m'ont pas consulté ", déplore Evik Asatoorian, qui n'est pas sûr que le MDEIE ait ciblé les bons acheteurs. Benjamin Belton, un acheteur de la Caroline du Nord, nous a dit qu'à son avis, il faudrait au moins le double d'exposants pour que la Semaine soit vraiment considérée comme commerciale. Mais Denis Gravel, du MDEIE, est satisfait du Showroom. " Les gens de Toronto vont vouloir nous imiter ", parie-t-il. À Toronto, la Fashion Week reçoit quelques milliers de dollars de la Ville, mais cela ne l'a pas empêchée de recevoir une commandite du ministère du Tourisme de l'Alberta. Et c'est là que le bât blesse, selon Andy The-Ahn : la promotion de la mode canadienne ne devrait pas être associée à des villes mais plutôt aux meilleurs de nos designers, qu'ils soient montréalais ou torontois. Montréal, capitale de la mode? " Mais la capitale de la mode au Canada, c'est Montréal ", réplique Denis Gravel. Si on se fie aux chiffres de l'industrie du vêtement, c'est vrai. Sauf que Toronto a de meilleures capacités de visibilité, de financement, de mise en marché, de ventes et d'achats. En outre, ajoute Andy The-Ahn, Toronto commence à développer une main-d'oeuvre d'artisans expérimentés dans la confection de vêtements de designer : des patronistes, des échantillonneurs, des " petites mains " talentueuses, qui sont en grande partie des immigrants chinois récemment installés dans la Ville Reine. Qui plus est, les designers qui émergent à Toronto commencent à se faire une place sur l'échiquier international. Ils se nomment Lida Baday, David Dixon, DSquared, Arthur Mendoza... Ils ne manquent ni de financement ni de créativité, même si ceux de Montréal sont davantage réputés pour leur côté avant- gardiste. " A Toronto, ils sont un peu moins artistes que nous, mais ils sont d'affaires ", souffle Andy The-Ahn. Tandis que Montréal clame haut et fort qu'elle est la capitale de la mode et du vêtement, Toronto accueille des designers québécois - et va même parfois jusqu'à financer leur parti- cipation. Et pendant que les deux villes luttent pour dominer la mode canadienne, leurs designers-vedettes, eux, ont déjà un rayonnement mondial. http://www.lesaffaires.com/article/0/publication--lesaffaires/2008-04-10/475796/toronto-en-voie-de-ravir-a-montreal-son-titre-de-capitale-de-la-mode.fr.html
  11. Port de Montréal / Montreal Port Authority : l’avenir est aux conteneurs L'APM a connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs l'an dernier. La direction du port de Montréal n’a qu’un mot en tête pour les prochaines années… «croissance». C’est ce qui ressort de l'assemblée générale annuelle de l'Administration portuaire de Montréal (APM) qui s'est déroulée aujourd’hui. Côté bilan, l’APM rapporte un bénéfice net de 8,4 millions de dollars pour l'exercice clos le 31 décembre 2007. Il s’agit, selon la direction du port, d’une 28e année consécutive avec un bénéfice. Les produits générés par l'APM s'établissent à 86 millions de dollars, soit une augmentation de 4,1 % par rapport à 2006. L'APM a aussi connu une hausse de 9,4% du trafic des conteneurs et une augmentation de 3,6% de son volume total qui atteint 26 millions de tonnes. Et ce n’est pas fini si on en croit la direction du port. «Tous les indicateurs nous montrent que le trafic maritime de conteneurs sur la Côte est Nord-américaine connaîtra une croissance de 7% annuellement jusqu'à 2015», affirme le pdg du port Patrice M. Pelletier. Objectif 2020 La direction du port veut augmenter graduellement sa capacité d’ici 2020. Le grand patron de l’APM explique que la croissance du trafic maritime mondial continuera et s'intensifiera grâce à une consolidation des marchés et à la création de nouveaux terminaux portuaires. «Les ports de la Côte est américaine font des investissements considérables afin d'augmenter leur capacité et réduire les temps de transit vers le riche et populeux marché du Midwest américain. Nos concurrents agissent en se donnant les moyens d'obtenir des parts de marchés additionnelles, il nous faut aussi agir et ce dès maintenant», a insisté M. Pelletier. Sans donner de chiffres précis, l’APM affirme qu’elle investira dans de nouvelles infrastructures qui lui permettront d'accueillir ces nouveaux trafics. Annuellement, ce sont 26 millions de tonnes de marchandises qui transitent par le Port de Montréal. http://www.lesaffaires.com/article/0/transport-et-produits-industriels/2008-04-10/475813/port-de-montreal--lavenir-est-aux-conteneurs-.fr.html
  12. Architects aim high for square's revival 3 proposals for area near Pepsi Forum are under review JAMES MENNIE, The Gazette Published: 7 hours ago A trio of proposals on how to resuscitate downtown's moribund Cabot Square neighbourhood include a demolished Pepsi Forum, wider sidewalks, more housing, the possibility of an underground bus terminal and office towers. Big office towers. "There's a trade between higher density and green space," architect Daniel Pearl said yesterday. "You have a choice on how you spread that out; spreading out lower density but taking away green space is another alternative. "It's interesting that none of the three schemes have gone in that direction because they recognize the importance these green spaces play in order to bring the liveliness back to the community - especially in re-launching Ste. Catherine St." Pearl is co-founder of a company that specializes in environmentally friendly architecture. He was standing in front of a scale model that depicts a Cabot Square neighbourhood where the block occupied by the Forum has been turned into a park and the site of an office tower that looks about 30 storeys tall. But Pearl is also overseeing the project in which three teams of architects, landscapers and urban planners have tried to come up with a vision for a neighbourhood that never quite recovered when the original Forum was vacated. The teams were formed after local businesses, property owners and residents' associations started the Table de concertation du centre-ville ouest in an effort to find a way to halt the neighbourhood's deterioration. Their efforts were on public display yesterday at the Pepsi Forum after being examined by a blue ribbon panel of judges including Phyllis Lambert, founding director of the Canadian Centre for Architecture, Dinu Bumbaru of Heritage Montreal and architect and Harvard professor Joan Busquest. The judges' observations, coupled with public reaction garnered from questionnaires handed out to passersby yesterday, will eventually form the basis for an urban plan prepared by the borough of Ville Marie. If the three submissions share a common vision, it's one that imagines an increase in residential construction south of Ste. Catherine (two plans convert the Montreal Children's Hospital - once it has been folded into the superhospital in Montreal's west end - into housing). A decision by the borough on what elements of the submissions will end up in its urban plan is expected next month. Final say on the plan rests with the city's executive committee. Details of the submissions can be seen at www.convercite.org jmennie@thegazette.canwest.com
  13. Gaz naturel Québec prône la prudence Le gouvernement du Québec reste très prudent à la suite de la découverte d'un important gisement de gaz naturel, sur les rives du fleuve Saint-Laurent, qui pourrait subvenir aux besoins énergétiques de la province pour de nombreuses années. Le ministre des Ressources naturelles, Claude Béchard, soutient qu'il est beaucoup trop tôt pour s'emballer. « Il faut faire attention, il peut y avoir beaucoup de spéculation derrière tout ça », dit-il. La semaine dernière, la compagnie américaine Forest Oil a annoncé avoir découvert un important gisement de gaz naturel près de Bécancour. La compagnie croit que les réserves pourraient atteindre 4,1 trillions de pieds cubes de gaz naturel, d'une valeur estimée de plus de 40 milliards de dollars américains. Selon la compagnie Junex, associée à Forest Oil, et qui détient les droits de plus de 900 000 acres (3600 kilomètres carrés) dans la vallée du Saint-Laurent, le gisement pourrait fournir de l'énergie aux Québécois pour plusieurs années. « J'y crois. Ça fait longtemps que l'on sait que la formation géologique du Québec renferme du gaz naturel. La problématique était de le produire », dit le nouveau porte-parole de Junex et ancien PDG d'Hydro-Québec, André Caillé. Les groupes écologistes vont encore plus loi et disent que la découverte du gisement justifie un moratoire sur la construction de ports méthaniers. Selon la coalition Stop au méthanier, les réserves pourraient être suffisantes pour assurer l'autonomie énergétique du Québec. Junex effectuera d'autres forages cet été pour connaître le potentiel réel du gisement. http://www.radio-canada.ca/regions/mauricie/2008/04/09/010-Gaz-gisement-Qc_n.shtml
  14. Contrat fédéral de 600 M$ à CAE Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain. Photo: Bloomberg La montréalaise CAE est sur le point de décrocher un contrat de 600 millions de dollars du gouvernement fédéral pour la formation de pilotes d'avions et d'hélicoptères de la Défense nationale. En 2006, le gouvernement s'apprêtait à confier la formation à deux entreprises américaines, Lockheed-Martin et Boeing. Cependant, tôt en 2007, Ottawa annonçait que le contrat de formation dans le cadre de l'achat pour 10 milliards $ de nouveaux appareils pour la Défense ne serait octroyé qu'à une seule entreprise, rapporte le Globe and Mail. Le mandat serait confié à CAE dès le mois prochain, d'écrire le journal, afin d'enseigner aux pilotes des nouveaux avions Hercules et des nouveaux hélicoptères Chinook. CAE, qui célèbre son 60e anniversaire cette année, est connue pour son travail dans le domaine des technologies de simulation et de modélisation et dans celui des solutions intégrées de formation destinées à l'aviation civile et aux forces de défense. Environ 6000 personnes travaillent dins ses 75 installations réparties dans 20 pays. L'an dernier, une porte-parole de CAE, Nathalie Bourque, avait nié que l'entreprise avait appliqué un intense lobby afin que le contrat de formation ne soit accordé qu'à une seule entreprise plutôt qu'à deux. Toutefois, le Globe and Mail dit avoir obtenu des documents en vertu de la Loi d'accès à l'information qui démontreraient que CAE a soumis par écrit au gouvernement, en deuxième moitié d'année 2006, une propositio~ en ce sens. La multinationale montréalaise aurait promis qu'un regroupement de la formation serait plus efficace et moins dispendieux. CAE prétendait aussi que les militaires canadiens seraient ainsi formés au Canada par des Canadiens et que l'expertise de formation acquise par l'entreprise pourrait ultérieurement être exportée. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475602/contrat-federal-de-600-mdollars-a-cae.fr.html
  15. CANADIAN OFFICE LEASING MARKET Canadian markets show positive absorption; overall office market vacancy rate is 6.4%; downtown Class A core is very low 4.0% For the time being at least, the tough economic times that are hammering various business segments in the United States have not crossed the border and adversely impacted Canada’s office market, CB Richard Ellis Limited says in a report released today. The report says in the first quarter of 2008 the national overall (downtown core and suburban space) office market vacancy rate dropped, declining to 6.4% from 6.7% at the close of 2007. In the first quarter of this year the vacancy rate dropped in six of the country’s ten largest office markets with two of the markets, Winnipeg and Montreal, showing marked declines. The vacancy rate in the U.S. is expected to rise further due to the slowdown in the housing market, losses in debt markets that will affect office absorption, and a steady stream of new supply that will be completed during 2008. The Canadian economy is not being as severely impacted by those factors as the U.S. economy and is projected to perform relatively well throughout 2008. Of the ten markets, the West continued to lead the nation in having the lowest overall vacancy rates. Calgary and Edmonton rates: Calgary was 4.3%, still the lowest overall rate even though it rose from 3.5% at the end of last year due to some modest downsizing and merger and acquisition activity; Edmonton was 4.9%, down from 5.2% with much of the reduction coming from expansion of three major engineering firms. Ottawa at 5.1% versus 5.0% was virtually flat in the first quarter and Winnipeg at 5.4% -- down from 7.8% at the end of 2007 -- were the next lowest. The large drop in the Winnipeg market reflected increased leasing activity primarily from the provincial government as well as professional services. Vancouver dropped to 6.0%, down from 6.3% and Toronto was 6.9%, down from 7.2% at the end of last year. Montreal dropped to 7.9% from 9.4% as a result of increased activity in financial and professional services plus multi-media growth; Halifax rose to 8.3% from 8.0%. The national downtown core market vacancy rate for Class A office space declined to a low 4.0% from 4.6% at the end of 2007 with eight of the ten markets showing declines. Only London showed an increased vacancy rate. While the western markets continue to show the country’s lowest vacancy rates eastern Canadian markets showed a significant drop overall in the downtown core vacancy rates, dropping to 5.2% from 6.1%, a substantial decline in a very short time. Among the factors influencing the eastern vacancy rates were acontinuing decline in the Toronto market which dwarfs all other Canadian markets in size, healthy growth in Montreal and further tightening of the already tight Ottawa market. Vancouver had the lowest downtown vacancy rate in Canada at 3.0%, down from 3.8% at the end of the fourth quarter of last year and followed closely by Ottawa at 3.3%, down from 4.0%. Next lowest was Calgary with 4.0% although up slightly from 3.4% and Toronto with 4.7%, down from 5.6% at the end of 2007 with much of the leasing activity coming from the financial and allied services sector and activity coming in a broad spectrum of areas. The huge Toronto market will see vacancies increase as three new buildings are within 12-16 months of completion. Among the reasons for the continuing decline in the Toronto office market is that many of the big tenants in the GTA have already negotiated early lease renewals in the past 12-18 months, which has driven the vacancy rate to the current low level. A further factor is that backfill space, the space the tenants will be leaving as they move into the new buildings, will also come on the market. The result will be that the Toronto market’s vacancyrate is expected to climb to above 10% when the new buildings come on the market.
  16. Welcome to Vancouver Island ! Really sharp and refreshing as well ! Merci pour les photos
  17. Aérospatiale: AAA Canada arrive à Montréal L’entreprise ouvrira ses portes en mai et compte créer une centaine d’emplois durant sa première année d’activité. La française AAA et la québécoise Drakkar Ressources Humaines s’associent pour créer AAA Canada, une firme de sous-traitance dans le domaine de la production industrielle en aérospatiale qui s’installera dans le Technoparc Montréal. L’entreprise ouvrira ses portes en mai et compte créer une centaine d’emplois durant sa première année d’activité. Il s’agit d’un investissement de 5 millions de dollars sur cinq ans. http://www.lesaffaires.com/article/0/aeronautique-et-aerospatial/2008-04-09/475622/aerospatiale-aaa-canada-arrive-a-montreal.fr.html
  18. Il y aura de la construction 9 avril 2008 - 12h44 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Cette année, le Québec investira 2,7 G$ dans son réseau routier, un record historique pour la Belle province. Préparez-vous, citoyens, à voir beaucoup de travaux routiers au Québec lors de la prochaine année. Selon des données recueillies par le Programme des routes et des infrastructures du Canada (TRIP Canada), le Québec investira 2,7 G$ sur les routes, ponts et viaducs lors de l’année 2008-2009. Il s’agit du budget provincial le plus important au Canada pour la prochaine année et un niveau record pour la Belle province. Rien de moins. La situation, qui risque d’exaspérer les conducteurs, est toutefois un mal nécessaire, considère TRIP Canada. «Pendant longtemps, il y a eu un sous-financement de nos routes, donc c’est un retour du balancier», indique Jeff Morrison, directeur de l’organisme. En fait, les grands chantiers des années 60 et 70 ont été suivis de deux décennies de sous-financement. «C’est seulement à partir de la moitié des années 2000 que nous avons vu un changement. Il y a eu une réflexion de la part des gouvernements et cela se traduit maintenant par des investissements», dit M. Morrison. Effet du viaduc de la Concorde Au Québec, l’organisme n’hésite pas à souligner qu’il y a un «effet du viaduc de la Concorde». Suivant le très médiatisé effondrement, la Commission Johnson avait recommandé un investissement massif du gouvernement dans le réseau routier québécois. Des doléances qui ont été vraisemblablement écoutées. Pour l’année fiscale 2007-2008, le Québec a dépensé 1,7 G$ dans le réseau. C’est un peu moins que la Colombie-Britannique, qui avant les JO de 2010, investit massivement dans ses infrastructures – une somme de 1,8 G$. Pour la prochaine année, au niveau national, il y aura une augmentation de 17% des budgets routiers provinciaux, indique TRIP Canada. Les budgets provinciaux d'immobilisations routières devraient donc augmenter pour passer de 7,6 G$ en 2007-2008 à 8,9 G$ en 2008-2009. À l’instar du Québec, plusieurs provinces vont connaître un niveau record d’investissement sur leur réseau routier. C’est le cas de l’Ontario (investissement de 1,4 G$), du Manitoba (430 M$), de la Saskatchewan (513 M$) et du Nouveau-Brunswick http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080409/LAINFORMER/80409131/5891/LAINFORMER01
  19. Montrealers invited to weigh in on Mount Royal INGRID PERITZ From Wednesday's Globe and Mail April 9, 2008 at 4:33 AM EDT MONTREAL — Montreal's Mount Royal rises only 230 metres but looms much larger in the city's collective imagination. The "mountain" has been called the city's heart, soul and identity. So it's little wonder that city hall announced this year it is taking new measures to protect it. Mount Royal is constantly under assault - by bricks and mortar, commuters, mausoleums and grandiose schemes. Now civic officials are seeking ways of limiting the damage and inviting public input on how to go about it. The city's public consultations bureau is tapping Montrealers' views about how to protect the mountain. Since the process began three weeks ago, about 1,500 people have responded. The starting point is a document tabled in January, the Mount Royal Master Protection and Enhancement Plan. Long on lofty goals and limited on specifics, the draft sets out objectives such as protecting 104 city views of the mountain, upgrading public access and shielding 423 hectares of natural lands. But city hall says it's open to other ideas. Should parking on the mountain be limited? Commuter traffic or bicycle races detoured? Helen Fotopulos, who is responsible for Mount Royal on Montreal's executive committee, sees the participation process as a "collective project" about the mountain's future. "Mount Royal is part of our urban landscape and we're all passionate about it. What better way of ensuring the perpetuity of the mountain than getting people involved?" The latest plan - an update on a 1992 protection scheme - is being greeted with a fair dose of skepticism, however. The Montreal Gazette called it "little more than a bland list of pious hopes," and groups that have devoted years to tightening safeguards for Mount Royal are underwhelmed. "There are no priorities, no schedule and no budget," said Peter Howlett of the preservation group Les Amis de la Montagne. The group is concerned the city has provided no mechanism to ensure community oversight for projects touching the mountain in the future. About the only constant in the history of Mount Royal, which slopes into downtown Montreal, is that it's perpetually under pressure. "The No. 1 issue is the protection of the mountain for future generations," Mr. Howlett said. Héritage Montréal also worries that Mayor Gérald Tremblay's administration, heading into an election next year, is more concerned with looking like it's protecting the mountain than actually protecting it. "There's a sense that the current exercise might be futile," said the group's Dinu Bumbaru. Part of the challenge is Mount Royal's sheer size and the wealth of real estate that covers it. The city's protection plan doesn't merely cover Mount Royal Park, the beloved green space used by millions each year. It encompasses a vast swath of the city designated a natural and historic district by the Quebec government in 2005. The area includes landmarks such as St. Joseph's Oratory, as well as federal armouries, universities, hospitals and cemeteries. It's why vigilance is critical, preservation groups say. But Ms. Fotopulos says the city wants to protect the mountain without freezing it in time. "The mountain is not a museum. It's not going to be mummified," she said. The public consultations bureau is to submit its recommendations to the city this summer.
  20. Est-ce que l`utilisation du verre à la place de ce "préfab" aurait engendré des coûts supplémentaires si important ?
  21. Ottawa se dit flexible pour aider Bombardier 8 avril 2008 - 13h34 Presse Canadienne Michael Fortier Photo: Archives La Presse Même s'il n'est pas prêt à augmenter son soutien financier à Bombardier (BBD.B) pour la série C, le gouvernement conservateur se montre flexible sur les modalités de versement de son aide. Lors d'un point de presse tenu en marge de l'ouverture de la foire commerciale Aéromart Montréal 2008, le ministre fédéral des Travaux publics, Michael Fortier, a assuré qu'Ottawa était disposé «à être créatif» pour trouver des façons concrètes d'aider Bombardier à assembler à Mirabel sa nouvelle famille d'avions de 100 à 149 places. Alors que les libéraux étaient au pouvoir, en 2005, le gouvernement fédéral s'est engagé à verser une aide remboursable de 350 M$ à Bombardier, une offre que les conservateurs ont maintenue. Or, en février, l'avionneur montréalais a annoncé qu'il songeait désormais à assembler la série C aux États-Unis afin de profiter de la faiblesse du $ américain, tout en réitérant que Mirabel demeurait son premier choix. Click here to find out more! Le Missouri courtise activement Bombardier en offrant un terrain situé près de l'aéroport de Kansas City et de généreux crédits d'impôt. D'autres Etats américains seraient aussi dans la course, mais leur identité n'a pas été révélée. Bombardier demande toujours aux gouvernements d'assumer le tiers des coûts de développement de la série C, sauf que la facture totale vient de passer de 2,1 à 2,5 G$, ce à quoi il faut ajouter 700 M$ pour la construction de l'usine. Le total de 3,2 G$ dépasse de 900 M$ le montant rendu public en 2005 et représente une requête supplémentaire de 300 M$ aux gouvernements. Quand on lui a demandé, mardi, si Ottawa était prêt à modifier l'étalement de son aide financière pour donner un coup de pouce à Bombardier, M. Fortier a reconnu qu'il s'agissait là d'une «bonne idée». Le ministre en a profité pour ajouter qu'il espérait que la société fasse elle aussi «un bout de chemin».
  22. Je souhaite que le gouvernement Québecois puisse à moyen terme se soustraire du programme de péréquation pour être en mesure de se transformer d`une "have-not province" au statut de province autonome. De cette manière le Québec pourrait avoir une autonomie et une liberté financière relative pouvant être parallèle aux ambitions de la province. Ceci pourrait aussi faire décroitre le niveau de "Quebec-bashing" et fermer la gueule aux "columnists " du Globe and Mail et à tous les gens hors-Québec qui gesticulent sans arrêt que le Québec vit au crochet des provinces plus riches. De plus, payer la dette, serait sans aucun doute très profitable.
  23. Labonté ne veut pas d'une tranchée près de l'édifice de Radio-Canada Le vendredi 04 avril 2008 Éric Clément La Presse Le maire de Ville-Marie, Benoit Labonté, s’objecte formellement au creusement d’une tranchée de 10 mètres en face de l’édifice de Radio-Canada, dans le prolongement de la future artère rapide Notre-Dame Est, a appris La Presse: « Je ne veux pas d’une autre autoroute Décarie», dit-il. Disant avoir pris pleinement connaissance du dossier du développement immobilier prévu sur les terrains de Radio-Canada, M. Labonté a, pour la première fois, pris position sur la question lors du dernier conseil d’arrondissement de Ville-Marie, mardi dernier. À une question posée par un citoyen, il a répondu que le projet de poursuivre la tranchée actuelle de l’autoroute Ville-Marie vers l’est pour la rattacher à la future autoroute Notre-Dame est « totalement inacceptable». « On ne peut pas favoriser ainsi l’attraction des familles au centre-ville de Montréal, notamment sur le site de Radio-Canada, a-t-il dit. Tout le monde déplore l’autoroute Décarie. Personne ne voudrait aller y habiter aujourd’hui, alors je ne peux pas croire qu’on veuille faire un autre trou ailleurs. » Comme Vianney Bélanger, le président de la firme qui a réalisé les plans d’aménagement du projet, le maire Labonté pense qu’une telle tranchée met en péril ce projet de construire 2 000 unités d’habitation à cet endroit, car qui voudra aller habiter à côté d’une autoroute du type du boulevard Décarie, dit-il. Du coup, il souhaite qu’on recouvre l’actuelle tranchée pour en faire un parc, ce qui permettra de créer un lien entre le futur développement immobilier et le quartier Viger. Il a dit à La Presse, hier, qu’il ne comprend pas la logique urbanistique de la décision de créer une tranchée. « Notre centre-ville est animé parce qu’il est densifié, dit-il. Là, on a une chance de le densifier encore plus en créant un magnifique parc et on veut retourner volontairement dans les années 60 ? Je trouve ça déplorable...» M. Labonté dit qu’il va intervenir auprès du gouvernement du Québec, responsable de la transformation de la rue Notre-Dame Est (propriété du ministère des Transports). « La décision ultime appartient au gouvernement du Québec mais il faudrait que la Ville de Montréal mette ses culottes! Ne venez pas défigurer un important quartier résidentiel ! Heureusement qu’on a un petit peu de temps puisqu’il s’agit du dernier tronçon du réaménagement de Notre-Dame à être fait. » Benoit Labonté dit être favorable au projet de réaménagement de la rue Notre-Dame mais la partie qui sera faite en tranchée ne lui plaît pas beaucoup. « On aurait pu faire beaucoup mieux », dit-il. http://www.cyberpresse.ca/article/20080404/CPACTUALITES/80404091/1019/CPACTUALITES
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