Aller au contenu
publicité

ErickMontreal

Membre
  • Compteur de contenus

    2 718
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Le fameux "déficit Zéro" a été la connerie du siècle au Québec. Il n`y a jamais vraiment eut de déficit "zéro". Tant que le Québec mettra l`épicirie sur la marge de crédit, la situation changera pas. Le modèle Québecois est simplement périmé ou du moins a réformé.
  2. Le Québec rattrape peu à peu l'Ontario 13 mai 2008 - 06h00 La Presse GM, 1400 licenciements. ClosetMaid, 500. Quebecor World, 320. Semaine après semaine, les mauvaises nouvelles s'accumulent en Ontario, frappé par la restructuration de l'économie. Pendant ce temps, au Québec, on annonce un investissement de 5,5 G$ dans l'énergie éolienne et la firme américaine Morgan Stanley prévoit le maintien ou la création de 500 emplois informatiques à Montréal. Le cauchemar en Ontario, l'euphorie au Québec? Pas si vite, disent les économistes: les deux provinces sont durement frappées par la concurrence asiatique, la hausse du dollar et la récession américaine. N'empêche, ce parallèle entre les récentes nouvelles des deux économies est à l'image d'un certain rattrapage du Québec sur l'Ontario au cours des années 2000, a pu constater La Presse Affaires. La plupart des indicateurs pointent dans le même sens. Chômage, investissements et revenu disponible par habitant indiquent un rétrécissement de l'écart avec l'Ontario. Certes, la province voisine demeure plus riche et conserve une situation enviable. Néanmoins, le Québec a comblé une partie du fossé qui le sépare de l'Ontario depuis quelques années. En 1987, par exemple, le taux de chômage était de 10,2% au Québec, soit quatre points de pourcentage de plus qu'en Ontario. Vingt ans plus tard, la proportion de chômeurs n'est plus que de 7,2% au Québec et l'écart avec l'Ontario est de moins d'un point de pourcentage. En fait, à 0,8 point de pourcentage en 2007, l'écart du taux de chômage entre les deux provinces est le plus faible depuis 60 ans. En 1948, après la Deuxième Guerre mondiale, le taux de chômage était officiellement de 2,5% au Québec et de 1,7% en Ontario (voir tableaux). Autre donnée fondamentale: les investissements. Au cours des années 2000, le Québec a vu le niveau de ses investissements croître de 60%, contre 48% en Ontario. Pour les sceptiques, le revenu personnel disponible par habitant, soit le revenu global des particuliers après impôt, vient confirmer la tendance. Depuis huit ans, ce revenu par habitant a crû de 20,2% au Québec, contre 13,6% en Ontario. Le huard fait plus mal Différentes raisons peuvent expliquer ce rattrapage du Québec. D'abord, l'Ontario est davantage frappé par la hausse du dollar canadien depuis cinq ans, explique l'économiste Benoit P. Durocher, du Mouvement Desjardins. En Ontario, 40% de la production est exportée, comparativement à 33,7% au Québec (la moyenne canadienne est de 33,8%). «La hausse du dollar canadien leur fait plus mal», dit M. Durocher. Sont également montrées du doigt les colossales difficultés des constructeurs automobiles américains. En Ontario, la production automobile représente 30% du secteur manufacturier. Or, GM, Ford et Chrysler ont engrangé des pertes énormes ces dernières années et multiplié les licenciements. Signe des temps, la part de marché des trois grands est d'ailleurs tombée sous la barre des 50% aux États-Unis l'été dernier. «Les trois grands constructeurs américains sont en restructuration, ce qui cause des problèmes à l'Ontario», dit M. Durocher. En comparaison, le secteur prépondérant du Québec, l'aérospatial, représente environ 10% du secteur manufacturier et se porte beaucoup mieux, avec les Bombardier, Pratt&Whitney, Bell Helicopter et CAE. Autre élément: le Québec a assaini ses finances publiques au cours des dernières années et amélioré ses relations de travail. La hausse progressive des transferts fédéraux n'a également pas nui, de même que la baisse des impôts. Le Québec a aussi été sensible aux préoccupations fiscales des entreprises. Contrairement à l'Ontario, par exemple, le Québec a transformé sa taxe de vente en une taxe sur la valeur ajoutée dès 1992, harmonisant ainsi sa taxation avec la TPS du fédéral. En Ontario, l'ancienne taxe de vente, encore en vigueur, augmente le coût des entreprises et diminue leur compétitivité. Au ministère fédéral des Finances, on estime d'ailleurs que le taux d'imposition marginal des entreprises sur les investissements sera bientôt de 30,6% en Ontario, contre 18,9% au Québec. Quoi qu'il en soit, l'Ontario recule par rapport à la moyenne canadienne. À tel point que la province risque de bénéficier des paiements de péréquation du fédéral pour la première fois depuis 30 ans, selon une récente analyse du Groupe financier TD. Pascal Gauthier, économiste à la Banque TD, à Toronto, constate aussi ce rattrapage, mais n'y voit qu'un prix de consolation pour le Québec. «Ce ne sont pas deux économies en forte croissance, dit-il. Il ne faut pas se complaire dans ce rattrapage puisque l'Ontario souffre actuellement», dit M. Gauthier. En comparaison, l'économie de l'Ouest canadien est en feu. Alimentée par le boom pétrolier, la région a vu ses investissements croître de presque 120% depuis 1999, pour atteindre 142 G$. Au surplus, le revenu personnel disponible par habitant dans l'Ouest a crû de 28% durant les années 2000 et la province de l'Alberta a complètement remboursé sa dette. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080513/LAINFORMER/805130885/5891/LAINFORMER01
  3. Couche-Tard accentue sa présence dans l'Est René Vézina, Journal Les Affaires 8 mai 2008 L'entente avec Irving signale un nouveau modèle de partenariat avec les pétrolières Imaginez une sorte de tente couverte installée au milieu d’un immense entrepôt qui fourmille d’activité… C’est là, à Laval, que la haute direction d’Alimentation Couche-Tard a choisi de rencontrer quelques journalistes des États-Unis, de l’Ontario et du Québec (dont le représentant de lesaffaires.com) pour expliquer le détail de la toute dernière transaction de l’entreprise, de même que la stratégie qu’elle entend suivre. Alimentation Couche-Tard vient donc de franchir le cap des 6 000 dépanneurs avec l’addition de 252 magasins, autrefois exploités par Irving. L’annonce en a été faite par le président directeur général de l’entreprise, Alain Bouchard. Couche-Tard ajoute ainsi 252 magasins à son réseau, mais ne les achète pas en propre. Irving demeure propriétaire des bâtiments, continue de fournir l’essence, mais cède les équipements. Couche-Tard signe aussi une entente à long terme pour l’exploitation des commerces. « Pour une mise de fonds d’à peine 20 millions de dollars, nous renforçons notre présence dans le Nord-est du continent, a dit le chef de la direction financière, Richard Fortin, qui s’attend à un retour sur l’investissement de 20 à 25 %. Un peu plus de la moitié des dépanneurs touchés par cette transaction se trouvent dans les provinces de l’Atlantique. Les autres sont situés en Nouvelle-Angleterre. L’accord prévoit que les deux parties se partagent les revenus nets d’exploitation. Pour Alain Bouchard, il faut s’attendre à ce que les pétrolières qui possèdent de tels magasins d’accommodation se retirent de plus en plus du commerce de détail pour ne conserver que l’approvisionnement en carburant. Couche-Tard est évidemment intéressé à conclure d’autres ententes de la sorte. Par ailleurs, M. Bouchard a indiqué qu’il serait preneur des quelques centaines de dépanneurs que l’américaine ConocoPhillips entend mettre en vente d’ici l’été… si le prix demandé lui convient. Il entend suivre son plan de match qui prévoit l’addition de 200 à 300 dépanneurs par année. Cette annonce survient quelques jours après qu’on ait appris que Couche-Tard se soit entendu avec un partenaire du Viet Nam pour y déployer sa bannière Circle K. L’entreprise est déjà présente en Asie, notamment en Chine et en Indonésie. Malgré cet essor, le titre de Couche-Tard a été mis à mal depuis un an. L’action de catégorie B a perdu plus de 33 % de sa valeur, passant de 24 $ à moins de 15 $ cette semaine. Richard Fortin attribue une partie de cette dégringolade à l’entaille faite par le taux de change défavorable (Couche-Tard publie maintenant ses résultats en dollars américains), mais il soutient que la marge bénéficiaire sur l’essence n’est pas en cause, puisque les variations à la hausse ou à la baisse ont tendance à se neutraliser, selon lui. En tout cas, l’annonce de jeudi semble avoir été bien reçue par les marchés, puisque l’action de catégorie B a terminé la journée en hausse de 0,59 $, ou 4 %, à 15,60 $. http://www.lesaffaires.com/article/0/commerce-et-produits-de-consommation/2008-05-08/477784/couchetard-accentue-sa-presence-dans-lest.fr.html
  4. Simply malade !
  5. Je croyais qu`il parlait des deux phase ensemble ? Sinon ceci serait effectivement une très bonne nouvelle de voir cette tour grandir de 33 à 40+ étages.
  6. Habsfan, malgré les instabilités économiques, est-ce que les prévisions montrent que ce rythme d`absorption va continuer pour fin-2008 et 2009 ?
  7. Je crois que A, B et C correspond à la qualité des espaces et des services étant inclus À ce rythme serait-il possible de voir la bonification de certain projet comme le 701 University par exemple ?
  8. Rénovations majeures et un nouveau toit Le mardi 06 mai 2008 (Archives La Presse) Sébastien Rodrigue La Presse La Régie des installations olympiques (RIO) a approuvé un projet de toit rigide conçu par SNC-Lavalin. Les travaux de remplacement du toit du Stade olympique pourraient débuter dès le lendemain de la tenue de la Coupe Grey en novembre prochain, a appris La Presse. L'épineuse question du financement reste toutefois à régler. La RIO souhaite du même coup rénover les installations olympiques dans le but de relancer les activités à longueur d'année près de 10 ans après le déchirement du toit. Depuis cet épisode, la surface de jeu du Stade est inaccessible de novembre à avril. La RIO avait mis en veilleuse certains travaux de rénovation à cause de cette fermeture obligatoire. Le système de sonorisation doit notamment être modernisé. Négociations en cours Le président et directeur général de la RIO, André Gourd, explique toutefois que la RIO et SNC-Lavalin négocient toujours le coût des travaux. M. Gourd refuse de dévoiler les montants. «Nous étudions le projet depuis septembre et notre comité a conclu que c'était viable. Il reste à négocier le prix», précise-t-il. Le gouvernement doit aussi donner son accord pour financer ces travaux d'envergure. Il faut ensuite compter au moins deux ans pour installer un toit et retaper le Stade. Il a été impossible, hier, d'avoir un commentaire du bureau du ministre responsable de la RIO, Raymond Bachand. La proposition de SNC-Lavalin survient après plusieurs années de tractations pour doter le Stade d'un toit rigide. Tous les soumissionnaires, hormis SNC-Lavalin, se sont retirés en cours de route parce que la RIO exigeait un partage des risques en cas de bris. Le toit conçu par Birdair avait coûté 37 millions et la RIO avait dû déposer des poursuites totalisant 63 millions pour obtenir réparation. Un règlement confidentiel est intervenu depuis. En mars dernier, la RIO a tout de même franchi une première étape en vue de la réfection du toit. La RIO et BUSAC se sont entendues pour résilier le bail emphytéotique donnant l'exploitation des étages de la tour du Stade pour 99 ans. L'entreprise prévoyait y aménager des bureaux, mais les travaux avaient cessé depuis 2004. Cette entente permettra à la RIO de renforcer la tour du Stade pour soutenir le nouveau toit. BUSAC a quant à elle remboursé près de 14 millions sur les 20 millions accordés par le gouvernement du Québec pour ce projet. Tourisme M. Gourd ajoute que la RIO souhaite développer davantage la vocation récréotouristique des installations olympiques. L'Impact de Montréal entamera d'ici quelques semaines sa saison dans un nouveau stade à l'ombre du Stade olympique. La construction d'un nouveau Planétarium débutera aussi prochainement. Le quadrilatère comprend aussi un centre sportif, un cinéma et le Biodôme. Le Jardin botanique et l'Insectarium se trouvent à proximité. Le PDG de la RIO souhaite que les installations olympiques deviennent une destination touristique où une famille pourra dormir, assister à une partie de soccer, visiter des institutions scientifiques, faire trempette à la piscine ou aller au cinéma. M. Gourd estime que les investissements dans le Stade en valent la peine puisqu'il s'agit du symbole de Montréal. Le PDG fait valoir que le démolir coûterait aussi cher que de le maintenir. «Nous sommes condamnés à faire quelque chose parce que 25 millions de perte par an, ça fait mal», ajoute-t-il. Pour fonctionner, la RIO compte sur une subvention gouvernementale de près de 20 millions de dollars par an. M. Gourd souligne que tous les stades en Amérique du Nord fonctionnent à partir de subventions publiques. Un toit viendrait toutefois diminuer la dépendance envers les fonds publics, selon le PDG. «Au lieu de perdre 25 millions en tenant 20 événements, on pourra peut-être réduire cela à 5 millions en tenant 40 événements», dit-il. Autres scénarios Plusieurs autres scénarios sont aussi étudiés pour améliorer le bilan financier de la RIO. La RIO pourrait, par exemple, se départir de certains actifs, a-t-on appris. La centrale thermique permettant de vendre de l'énergie aux pyramides olympiques pourrait être mise en vente. Le quadrilatère occupé par le complexe olympique comporte aussi des terrains vacants qui pourraient être vendus. Bâtiments et coûts (en millions de dollars) Stade: 839 Tour de Montréal : 175 Total du complexe Stade-Tour : 1014 Stationnements : 107 Centre sportif : 54 Vélodrome: 83 Biodôme (coût de transformation du vélodrome) : 50 Aires sportives extérieures : 40 Centrale thermique: 4 Total du Parc olympique: 1352 Village olympique: 122 Grand total : 1474 http://www.cyberpresse.ca/article/20080506/CPACTUALITES/805060844/5077/CPACTUALITES
  9. Morgan Stanley à Montréal: 200 emplois existaient déjà 3 mai 2008 - 07h40 La Presse Hugo Fontaine et Denis Lessard Marquée en grande pompe jeudi en présence du premier ministre Jean Charest, de Monique Jérôme-Forget, et de Raymond Bachand, l'arrivée de Morgan Stanley (MS) à Montréal ne créera pas les 500 nouveaux emplois évoqués. L'entreprise pourrait effectivement employer jusqu'à 500 personnes, comme on l'a dit en conférence de presse, mais 200 de ces emplois existent déjà dans la métropole chez Compuware, un sous-traitant de Morgan Stanley. Ces emplois seront transférés chez Morgan Stanley. Investissement Québec a confirmé que leurs emplois sont admissibles au crédit d'impôt du gouvernement du Québec qui équivaut à 30% des salaires. Ces 200 employés faisaient principalement du développement de logiciel à titre de consultants et consacraient 100% de leurs tâches à Morgan Stanley. Depuis jeudi, Morgan Stanley emploie directement une bonne partie d'entre eux. Selon des sources fiables, les employés feront le même genre de travail dans des conditions similaires. Au mieux 300 emplois Selon ce qui a été annoncé jeudi, Morgan Stanley emploiera 300 personnes au départs, mais pourrait augmenter son effectif à 500 personnes dans les cinq prochaines années. Si le meilleur scénario se réalise, ce serait donc une création nette de 300 emplois. Dans le pire scénario, la création nette serait de 100 emplois. Les communiqués de presse publiés jeudi ne faisaient nullement mention de «nouveaux emplois» ou de «création d'emploi». Celui de Morgan Stanley mentionnait l'existence d'une structure mise en place en partenariat avec Compuware. Mais, répondant à une question d'un journaliste qui lui demandait s'il s'agissait de nouveaux emplois ou d'un simple transfert, le directeur général de Morgan Stanley, Jim Rosenthal, a répondu: «Nous procéderons à des embauches» («We will be hiring.») Dans une page de publicité commandée par Investissement Québec et publiée vendredi dans La Presse, il est écrit: «Tout le Québec est fier de l'arrivée de Morgan Stanley. Ce grand joueur du monde de la finance créera ici même jusqu'à 500 emplois grâce à un investissement de plus de 200 millions.» Depuis 2002, des employés de Compuware travaillaient pour Morgan Stanley en vertu du contrat d'impartition entre les deux entreprises. S'ils n'étaient que trois ou quatre au départ, le nombre d'employés a atteint un sommet de 250 vers 2006, selon une source interne. L'effectif a légèrement diminué par la suite. «Nous les aurions perdus» Les cabinets de Monique Jérôme-Forget et de Raymond Bachand ont confirmé que ces 200 emplois faisaient partie des 500 emplois annoncés jeudi. «Dans la mesure où Morgan Stanley va les payer, ce seront de nouveaux emplois», dit l'attachée de presse du ministre Bachand, Manuela Goya. «Il faut voir que si Morgan Stanley était allé ailleurs, nous aurions perdu ces emplois-là, dit Catherine Poulin, attachée de presse de Monique Jérôme-Forget. C'est pour ça qu'on parle de 500 emplois.» «Ce qu'on a vu et su avec Investissement Québec, c'est qu'ils auraient pu se départir de ces emplois. On consolide 200 emplois et on en fait 300, dit Manuela Goya. C'est comme ça qu'on le voit.» «Personne n'est de mauvaise foi», a-t-elle dit quand on lui a souligné que partout dans les médias, vendredi, on parlait de création de 500 emplois. Selon une source bien informée, Morgan Stanley aurait toutefois perdu beaucoup d'expertise et de connaissances sur ces complexes systèmes informatiques si elle avait choisi cesser toute activité à Montréal. Selon la porte-parole d'Investissement Québec, Josée Béland, le risque de perdre les 200 emplois n'a pas fait partie du calcul de l'organisme au cours des quatre ans de démarches pour attirer la firme. Par l'entremise de son attachée de presse, Monique Jérôme-Forget a refusé de commenter. Le cabinet du premier ministre a renvoyé La Presse Affaires au bureau de Raymond Bachand, qui n'avait pas le temps de nous parler. Relancé en fin après-midi, on était clairement embarrassé au cabinet de M. Bachand, insistant pour qu'on s'adresse plutôt à Investissement Québec. Chez Morgan Stanley, la relationniste Marie Ali a confirmé que certains employés de Compuware seraient engagés par la firme new-yorkaise, sans en préciser le nombre. Elle a demandé qu'on se concentre sur le nombre de 500 emplois. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080503/LAINFORMER/805030950/5891/LAINFORMER01
  10. Montreal, Québec http://www.flickr.com/photos/wallyba...n/photostream/
  11. Merci pour les infos et en souhaitant que Morgan décide de s`installer dans le CBD.
  12. Je m`y connais pas vraiment mais je serais porté à dire que ceci n`est pas énorme mais encore beaucoup pour justifier la construction d`une nouvelle tour.
  13. Merci. Ceci est intéressant et assez significatif. Est-ce qu`il y a encore beaucoup d`espace contigu de cette taille disponible ou sur le point de l`être au centre-ville outre la tour Bell ?
  14. En prenant en ligne de compte que l`entreprise sera située au Centre-ville, combien 500 employés peut représenter en terme de "square footage" ?
  15. Trop indiscret de te demander qui est derrière celui-ci ? Est-ce que la construction est ultimement conditionnelle à la vente d`un certain nombre de condos où est-ce l`hotel qui "back" le financement ?
  16. Merci, j`aime vraiment. Est-ce que le projet aura un impact sur le "skyline" à partir d`au moins un point de vue ( Mont-royal, Pont, ect) ?
  17. Le CHUM fait encore parler de lui Mise à jour le vendredi 25 avril 2008, 14 h 50 . Le CHUM est encore une fois au centre d'une controverse. Son futur centre de recherche serait construit sur un terrain légué par Louis-Jospeh Papineau. Dans le but de regrouper ses différents services du centre de recherche, dispersés sur six sites différents, le CHUM a proposé en 2005 de regrouper ces services au sein d'un édifice de 18 étages. Cependant, la Ville de Montréal a demandé de réduire le projet à 10 étages. Le CHUM a proposé que son centre soit plus étendu en surface et construit en partie sur un terrain légué par Louis-Joseph Papineau en 1818, un parc situé dans la partie ouest du square Viger, au nord de la rue St-Antoine. Une descendante de Louis-Joseph Papineau, Jeanne Bourassa, avec sa famille, s'oppose au projet. Elle a argué que le terrain avait une valeur historique et qu'il avait été donné pour en faire un parc. Selon elle, il serait dommage que le parc disparaisse. Le CHUM affirme avoir une entente de principe avec les fonctionnaires de la ville pour que son projet soit concrétisé. Au cabinet du maire Gérald Tremblay, on affirme qu'il n'y a aucune entente dans ce sens. On ajoute au cabinet du maire qu'il est trop tôt pour se prononcer, car les plans du promoteur sont toujours à l'étude. http://www.radio-canada.ca/regions/montreal/index.shtml
  18. Belle victoire du CH mais encore des évènements pathétiques digne de pure débiles ou de gens assez unicellulaires...
  19. Crise financière: Montréal tient bon 19 avril 2008 - 08h05 La Presse Philippe Mercure Le blues qui frappe les milieux financiers de Londres et New York ne semble pas avoir gagné Montréal. La crise du crédit n'a pas entraîné de vague de pertes d'emploi chez nous ce qui ne veut pas dire qu'elle n'y a aucun impact. «À mon avis, il y en a un», dit Jean-Pierre Sablé, associé de la firme Secor spécialisé dans les institutions financières. M. Sablé rappelle que les banques font de l'argent avec deux choses: le crédit et l'épargne. Dans la première catégorie, si le marché des hypothèques ne semble pas touché, la vigueur des prêts aux entreprises risque de pâtir du ralentissement américain. «Le crédit commercial reste très corrélé à ce qui se fait aux États-Unis», dit M. Sablé qui souligne qu'il faudra attendre pour voir si les consommateurs canadiens finiront aussi par ralentir leur cadence d'achat comme l'ont fait les Américains. Du point de vue de l'épargne, l'effondrement des marchés boursiers signifie moins d'argent pour les banquiers, surtout qu'ils sont de plus en plus nombreux à se payer à partir d'un pourcentage des actifs sous gestion. «Disons que vous mettez 50 000$ à la banque et que vous devez payer 2 ou 3% à la fin de l'année. Si vous passez à 40 000$ parce que les marchés ont dégringolé, ça fait moins de revenus», illustre M. Sablé. «Il y a moins de liquidité sur les marchés, donc moins de deals d'entreprises en terme d'acquisitions et de rapprochements. Et ça coûte plus cher d'aller chercher des fonds sur le marché. Tout ça va dans le même sens pour dire que les banques ne voient pas de revenus supplémentaires: c'est plutôt le contraire.» Si les revenus sont moins importants et que les coûts d'opération ne diminuent pas en conséquence, cela veut dire que la rentabilité décline. Pour l'instant, cependant, l'équation ne semble pas s'être traduite par des pertes d'emploi massives à Montréal. «Je n'ai pas vu ça et je n'anticipe pas ça dans un horizon de six mois, dit M. Sablé. Mais on a des mauvaises nouvelles tous les jours en provenance des États-Unis. Si ça devient vraiment pas beau là-bas, ça pourrait avoir des conséquences sur les banques canadiennes.» Au Centre financier international de Montréal, un organisme qui cherche à développer Montréal comme place financière internationale, on ne sent pas non plus les effets de la crise du crédit. L'organisme a réussi à attirer six centres financiers à Montréal l'an dernier, un résultat qui se compare aux années précédentes. «Notre nouvelle année financière commence et jusqu'à maintenant on ne sent pas d'effet. () Mais je ne suis pas devin et on verra bien quelle sorte d'année on va avoir», dit Jacques Girard, PDG de l'organisme. Quant aux impacts que la crise aurait pu avoir sur les centres financiers déjà établis à Montréal, M. Girard affirme que «jusqu'à maintenant on n'a pas d'indications à cet effet». Mouvement vers Toronto Il faut dire que Montréal est loin d'être une plaque tournante de la finance comme Londres ou New York, et qu'un mouvement des activités vers Toronto avait déjà été entamé bien avant la crise du crédit. Il y a deux mois, le service de recherche de la division boursière du Mouvement Desjardins était devenu encore plus torontois après le départ vers la Ville reine de son directeur, Jon Reider. Selon le site internet de Valeurs mobilières Desjardins (VMD), seulement cinq des 17 analystes principaux ont encore des bureaux à Montréal. À la Financière Banque Nationale, le principal concurrent de VMD, il n'en reste plus que deux sur 21. Mais selon les observateurs, ces mouvements sont le reflet de choix d'affaires qui n'ont rien à voir avec la crise du crédit. MONTRÉAL 5,8% Taux d'inoccupation des tours à bureaux de Montréal.
  20. Merci pour le lien, 150-millions + investissement privé sont des sommes vraiment substantielles pour le redéveloppement d`un quai, ça risque fort bien d`être très valable comme projet.
  21. Projet de 2,5 G$ au port de Montréal 17 avril 2008 - 16h05 Presse Canadienne D'ici 2020, le port envisage un vaste projet qui permettra notamment de plus que doubler sa capacité de manutentionner des conteneurs. Le port de Montréal envisage un vaste projet de 2,5 G$ d'ici 2020, qui permettra notamment de plus que doubler sa capacité de manutentionner des conteneurs. En présentant son projet devant les convives de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, jeudi midi, le président-directeur général de l'Administration portuaire de Montréal, Patrice Pelletier, a soutenu que 41 000 emplois directs et indirects seraient ainsi créés et maintenus, en bout de ligne, comparativement à 18 000 à l'heure actuelle, grâce aux activités du port de Montréal. Ultimement, le port qui a manutentionné l'an dernier 1,4 million de conteneurs, planifie d'en porter le nombre à 3,4 millions en 2020. La capacité sera même portée à 4,5 millions. M. Pelletier souhaite obtenir de l'aide financière du gouvernement fédéral pour mener à bien son projet, soit entre 450 et 650 M$. Une loi devra même être adoptée pour accroître sa capacité d'emprunt. Il cherche également des partenaires privés. L'Administration portuaire a également dans ses cartons un projet récréo-touristique de réaménagement du quai Alexandra, situé près du musée Pointe-à-Callières. Elle veut en faire une adresse de prestige, une sorte de complexe artistique, culturel, qui attirera des touristes. Cette portion des projets du port de Montréal reste toutefois à être peaufinée avec d'autres partenaires. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080417/LAINFORMER/80417177/5891/LAINFORMER01
×
×
  • Créer...