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ErickMontreal

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Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Quartier des spectacles Décontamination d'un immeuble désaffecté Mise à jour le lundi 21 janvier 2008, 11 h 37 . Au terme d'une longue bataille juridique, la Ville de Montréal doit commencer sous peu à décontaminer un immeuble centenaire au coin des rues Ste-Catherine et Saint-Laurent. Les équipes de décontamination doivent entre autres, retirer l'amiante présent dans les murs et les plafond de l'immeuble désaffecté de trois étages. La structure doit ensuite être démolie au cours de l'hiver. Situé au coeur du quartier des spectacles, ce vieil immeuble construit en 1882, abritait un bar de danseuses nues depuis le début des années 2000. Une fois la structure démolie, on construira à la place un immeuble moderne de plusieurs étages à vocation culturelle. Ce nouveau bâtiment, baptisé pour l'instant 2-22 Sainte-Catherine, occupera aussi le terrain vague voisin de la salle de spectacles Club Soda. En plus de revitaliser cette intersection, ce nouvel immeuble abritera notamment un guichet pour les spectacles et divers groupes culturels. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/01/21/005-immeuble-decontamination.shtml
  2. Pourrais-tu être moins clair ? Sérieusement, je comprends que tu dois être limité dans ce que tu peux divulguer et pas.
  3. Trade rumors : Alex Tanguay in Montreal, Ryder to Calgary. Bob McKenzie : Flames looking for next year 1/17/2008 6:54:02 PM As much as the Calgary Flames are interested in improving their team this season, if general manager Darryl Sutter pulls the trigger on a trade in the weeks ahead it may have more to do with improving next year's team. With the Flames still having to sign Dion Phaneuf, Kristian Huselius and perhaps Daymond Langkow and facing something of a salary cap crunch for next season, the ideal scenario for Sutter would be to make a deal now that would free up dollars for next season without weakening this year's edition of the Flames. The presence of Montreal Canadiens Assistant General Manager Pierre Gauthier at Wednesday's Flames' game has prompted speculation the Canadiens are looking at Calgary's Alex Tanguay and would be willing to move impending unrestricted free agent Michael Ryder to get it done. Whether that is a deal that Sutter would make remains to be seen, but it does fit the financial profile of what he's trying to accomplish? Related Info Tanguay's cap hit next season is $5.25 million, which would help Sutter sign Phaneuf and/or Huselius, and there would be no obligation to Ryder beyond this season. It is at the very least something to keep an eye on in the trade-starved National Hockey League.
  4. PROJETS DOMICILIAIRES La SHDM fait rager les promoteurs avec Accès Condos Les quelque 400 logements du projet Square Cartier sur la rue Parthenais, à Montréal, bénéficie de la formule Accès Condos. Photo Robert Mailloux, La Presse, Le mercredi 16 janvier 2008 Simon Diotte (collaboration spéciale) La Presse Les promoteurs immobiliers de Montréal sont en colère. Ils accusent la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM), une société parapublique de la Ville de Montréal, de leur livrer une concurrence déloyale dans la vente de condos. Selon eux, c'est aux promoteurs privés de répondre à la demande du marché immobilier, et non à la Ville. En 2005, la SHDM a lancé son programme Accès Condos avec comme objectif d'offrir des logements abordables aux premiers acheteurs. Dans les divers projets de la société paramunicipale, le prix des logements défie toute concurrence. En plus de profiter de logements abordables, les consommateurs bénéficient d'un crédit d'achat correspondant à 10% du prix de vente de leur unité, montant applicable à la mise de fonds. Résultat: ils n'ont besoin que de 1000$ pour acquérir un logement de la SHDM. La formule Accès Condos est un énorme succès: 583 condos ont été livrés par la SHDM en 2007 et 346 autres devraient l'être en 2008, dans divers projets un peu partout dans l'île de Montréal. Parmi les plus connus, notons la Biscuiterie Viau, 180 logements dans l'arrondissement d'Hochelaga-Maisonneuve, et Square Cartier, plus de 400 logements à côté de Télé-Québec, dans l'arrondissement de Ville-Marie. Ce succès fait des jaloux. Tous les promoteurs rejoints par La Presse ne cachent pas leur mécontentement face à la Ville et la SHDM. «Les promoteurs privés répondent très bien à la demande de logements neufs et abordables à Montréal. On ne comprend pas pourquoi la Ville vient nous couper l'herbe sous le pied», s'insurge Denis Robitaille, président de Conceptions Rachel-Julien, important promoteur de Montréal. L'architecte Jocelyn Duff, fondateur de Développements Mas (entreprise qu'il vient cependant de quitter), constate que la concurrence acharnée de la SHDM fait déjà des victimes. Les petits constructeurs quittent la ville pour la banlieue. «Le contexte est de moins en moins favorable pour la construction à Montréal. Tout le monde se bat pour développer les mêmes terrains, mais désormais, on doit faire face à la concurrence de la Ville elle-même», déplore cet architecte. Frédéric Deslongchamps, directeur du développement immobilier à la SHDM, se dit surpris des critiques des promoteurs privés. «À mon avis, la SHDM n'entre pas du tout en concurrence avec les promoteurs privés. Notre mission est de permettre aux locataires n'ayant pas amassé de mise de fonds d'accéder à la propriété. Ces gens-là ne pourraient pas de toute façon acheter dans un projet privé», dit-il en guise de défense. Au contraire, la SHDM consolide le développement immobilier à Montréal, affirme M. Deslongchamps. «Nos projets immobiliers sont structurants. Sans notre intervention, les secteurs comme celui de Square Cartier et de la Biscuiterie Viau n'auraient jamais été développés, car les risques étaient trop grands pour les promoteurs privés», soutient le directeur. Foutaise! répliquent les promoteurs privés. «La SHDM dit qu'elle investit dans des secteurs négligés de Montréal. Or, ça fait des années que les promoteurs privés s'activent dans Hochelaga-Maisonneuve, dans le Sud-Ouest ou ailleurs. Personne n'a attendu l'arrivée de la SHDM pour revitaliser ces quartiers», rétorque M. Robitaille. La façon de faire de la SHDM est également sévèrement critiquée. À proprement parler, la SHDM ne construit pas de condos. Elle achète la totalité des unités à un constructeur et elle s'occupe ensuite de leur vente. «Le constructeur privé qui s'associe à la SHDM ne prend donc aucun risque. Il n'a pas à se battre avec les autres promoteurs pour livrer le meilleur produit qui soit», critique le président de Conceptions Rachel-Julien. Les lofts de la Biscuiterie Viau. Illustration fournie par la SHDM Condos subventionnés? Un promoteur souhaitant garder l'anonymat ne comprend pas comment la SHDM arrive à vendre des condos à si bas prix. «Est-ce qu'elle calcule dans le prix de vente le salaire des fonctionnaires? J'ignore, mais elle vend ses condos à mon prix de revient! J'ai beau revoir mes calculs, chercher des moyens de couper dans les coûts, d'obtenir des gains de productivité, il m'est impossible d'accoter leurs prix», dit-il. En raison de cette concurrence, certains promoteurs privés remettent en question leurs projets. Frédéric Deslongchamps garantit que le programme Accès Condos ne bénéficie d'aucune subvention de la Ville. «Si les prix de la SHDM sont si bas, c'est que la société impose une marge de profit très mince à ses partenaires et ne dégage aucun profit sur la vente de ses unités», explique-t-il. Au lieu de concurrencer les entreprises privées, Jocelyn Duff, Denis Robitaille et le promoteur anonyme estiment que la Ville devrait se pencher sur les vrais problèmes qui affligent la métropole, dont l'exode des familles vers la banlieue. Selon eux, la SHDM construit des complexes résidentiels qui n'attirent que des célibataires et des couples sans enfant. «Qu'est-ce que la Ville fait pour retenir les familles?» demande l'un d'eux. Le responsable de l'habitation au comité exécutif de la Ville de Montréal, Cosmo Maciocia, appuie évidemment la SHDM et rejette les accusations de concurrence déloyale. «Nous avons l'obligation de retenir le maximum de gens à Montréal et la SHDM répond bien à cette mission. En ce qui a trait à l'aide aux familles, nous venons d'annoncer l'augmentation de la subvention pour l'accès à la propriété de 7500 à 10 000$ pour les ménages avec un enfant ou plus», a-t-il indiqué en entrevue téléphonique. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6746-La-SHDM-fait-rager-les-promoteurs-avec-Acces-Condos.html
  5. La rayonnance d`un tel évennement aurait donné plus de visibilité à Montréal que le Canadien et les Alouettes ensemble peuvent en donner sur une prériode de 15 ans. Il n`y a personne d`autre à Montreal que Legault ? Vraiment, c`est ce qu`on appel se tirer dans le pied, même dans les deux pieds.
  6. En voici un autre Alliance Films va s'implanter à Montréal Le film d'action Whiteout a été tourné à Montréal en 2007, grâce à l'entente de la SGF avec Dark Castle. En vertu d'un investissement de 100 M$ dans Alliance Films, la Société générale de financement du Québec (SGF) obtient une prise de participation de 38,5% dans l'entreprise, ainsi que 51% des droits de vote du distributeur de films. Dans la foulée de cet investissement, le siège social d'Alliance Films déménagera à Montréal. Ainsi, certains hauts dirigeants ainsi qu'une partie des employés des finances de l'entreprise et de la division Home Video, s’établiront à Montréal. «Cette transaction aura un impact certain sur toute l'industrie québécoise du film, dit Pierre Shedleur, pdg de la SGF. Elle va permettre d’attirer davantage de productions étrangères au Québec, et accroître la visibilité de Montréal sur le plan cinématographique.» De plus, la SGF est confiante de retirer un bon taux de rendement de cette transaction, les activités de distribution d'Alliance Films étant «hautement profitables», selon elle. L’équivalent de 8 200 emplois à temps plein L'investissement dans Alliance Films est le troisième investissement majeur de la SGF dans l'industrie du cinéma. Ces deux dernières années, la SGF s’est en effet associée à deux projets d'envergure. En 2007, elle a conclu une entente de partenariat avec le producteur américain Lionsgate, pour un projet global de 400 M$. En investissant 140 M$ dans ce projet, la SGF s'est assurée qu'une quinzaine de longs métrages et de séries télévisées seront tournés au Québec au cours des quatre prochaines années. Et en 2006, c'est avec la compagnie de production Dark Castle, propriété du producteur hollywoodien Joel Silver, que la SGF s’est associée pour un projet cinématographique global de 270 M$, pour le tournage de 15 longs métrages. En investissant 18 M$, la SGF a négocié que six de ces films soient tournés au Québec. En tout, c'est l'équivalent de 8 200 emplois directs et indirects à temps plein, représentant une masse salariale de 325 M$, que généreront les partenariats de la SGF, selon ses dirigeants. Alliance Films est spécialisé dans la distribution de longs métrages au Canada et a récemment étendu ses activités au Royaume-Uni et en Espagne. http://www.lesaffaires.com/article/0/sports--loisirs-et-divertissements/2008-01-16/470112/alliance-films-va-simplanter-a-montreal.fr.html
  7. Communiqué officel La SGF investit 100 millions $ dans Alliance films inc. La SGF obtient ainsi le déménagement du siège social de l’entreprise à Montréal Montréal, le 16 janvier 2008 - En vertu d’un investissement de 100 millions de dollars dans Alliance Films inc., la Société générale de financement du Québec (SGF) obtient une prise de participation de 38,5 % dans l’entreprise, ainsi que 51 % des droits de vote du plus important distributeur indépendant de films au Canada. Dans la foulée de cet investissement, le siège social d’Alliance Films, soit le centre décisionnel de l’entreprise, déménagera à Montréal. Ainsi, certains hauts dirigeants, de même qu’une partie considérable des employés des finances de l’entreprise et de la division Home Video, déménageront à Montréal. Par cet investissement, la SGF aide Montréal à consolider sa place comme pôle majeur du cinéma au Canada et à se positionner avantageusement au sein de l’industrie nord-américaine et européenne, compte tenu de l’importance grandissante des activités européennes au sein d’Alliance Films. « Nous sommes très heureux de l’impact de cette transaction sur toute l’industrie québécoise du film, s’est réjoui le Président-directeur général de la SGF, M. Pierre Shedleur. Par ses investissements, la SGF contribue non seulement à attirer des productions étrangères au Québec, elle joue aussi un rôle central dans l’ensemble de l’industrie. En plus de la visibilité accrue pour Montréal, ce partenariat générera d’importantes retombées économiques. Il contribuera également au transfert d’emplois bien payés qui enrichissent l’économie de la métropole. », a ajouté M. Shedleur. Enfin, la SGF est confiante de retirer un bon taux de rendement de cette transaction, les activités de distribution d’Alliance Films étant hautement profitables. À propos d’Alliance Alliance Films est un chef de file de la distribution de longs métrages au Canada et étend ses opérations au Royaume-Uni et en Espagne. L’entreprise se spécialise dans la distribution de films aux salles de cinéma, aux télédiffuseurs et de la vente et de la location de DVD. Alliance Films détient les droits canadiens de distribution pour les productions des plus importants studios indépendants, tels que New Line Cinema, Miramax Films, Focus Features et The Weinstein Company. La SGF et l'industrie du cinéma au Québec L’investissement dans Alliance Films est le troisième investissement majeur de la SGF dans l’industrie du cinéma. Au cours des deux dernières années, la SGF a joué un rôle de premier plan dans l’industrie locale du tournage. En partie grâce aux investissements de la SGF, ce secteur a connu, en 2007, sa meilleure année depuis 2003. Dans le cadre de ses efforts soutenus afin d’encourager la venue au Québec de productions internationales, la SGF s’est associée, au cours des deux dernières années, à deux projets d’envergure. En 2007, la SGF a conclu un partenariat avec le producteur indépendant américain Lionsgate, pour un projet global de 400 millions $. En investissant 140 millions $ dans le projet, la SGF s’est assurée que plus d’une quinzaine de longs métrages et de séries télévisées seront tournés au Québec au cours des quatre prochaines années. En 2006, c’est avec la compagnie de production Dark Castle, propriété du producteur hollywoodien Joel Silver, que la SGF s’était associée pour un projet cinématographique global de 270 millions $, pour le tournage de 15 longs métrages. En investissant 18 millions $, la SGF a négocié que six de ces films soient tournés au Québec. Déjà, au printemps 2007, le film d’action Whiteout, mettant en vedette Kate Beckinsale, a été tourné à Montréal suivant l’entente de la SGF avec Dark Castle. Les deux prochains films de cette série, The Factory mettant en vedette John Cusack et Orphan, avec Peter Sarsgaard, sont attendus dans la métropole en 2008. Suivant l’entente de la SGF avec Lionsgate, la sixième saison de la série à succès The Dead Zone avec Anthony Michael Hall a été tournée à Montréal. Un des producteurs de la série, Lloyd Segan, fait d’ailleurs de très élogieux commentaires sur la métropole et la qualité des artisans québécois du cinéma sur le site officiel de la série : http://www.usanetwork.com/series/thedeadzone/behindthescenes/fromls/lsentry061507.html Toujours suivant le partenariat de la SGF avec Lionsgate, le long métrage Punisher : War Zone, mettant en vedette Ray Stevenson, a été un des tournages américains les plus importants réalisés à Montréal en 2007. Si les dernières années avaient été marquées par une baisse du volume des productions étrangères, les investissements de la SGF permettent de prédire un meilleur avenir à l’industrie du film au Québec. En tout, c’est l’équivalent de 8 200 emplois directs et indirects à temps plein, représentant une masse salariale de 325 millions $, que généreront les partenariats de la SGF. Les retombées à long terme pour le secteur sont également importantes, tant au niveau du développement de la main-d’œuvre et des technologies appliquées au milieu cinématographique, que de la notoriété générale du Québec à l’étranger. La Société générale de financement du Québec (http://www.sgfqc.com), holding industriel et financier, a pour mission de réaliser des projets de développement économique, notamment dans le secteur industriel, en collaboration avec des partenaires et à des conditions de rentabilité normales, conformément à la politique de développement économique du gouvernement du Québec.
  8. La SGF fait déménager Alliance Films à Montréal 16 janvier 2008 - 10h29 LaPresseAffaires.com Michel Munger L'entreprise se spécialise dans la distribution de films indépendants comme Surviving My Mother, dans lequel a joué Caroline Dhavernas. En y investissant 100 M$, la Société générale de financement du Québec obtient qu'Alliance Films déménage son siège social à Montréal. Alliance Films est le plus important distributeur indépendant de films au Canada. Il détient les droits canadiens pour les productions de studios tels que New Line Cinema, Miramax, Focus Features et The Weinstein Company. Parmi les titres récents distribués par l'entreprise, on retrouve Rush Hour 3 et Hairspray. En y investissant ses millions, la SGF prend une participation de 38,5% dans la compagnie et s'assure 51% des droits de vote. Elle en détient donc le contrôle. Certains hauts dirigeants et une partie considérable des employés des finances et de la division Home Video prendront aussi pied dans la métropole québécoise. La SGF dit qu'avec ce geste, elle consolide la place de Montréal à titre de pôle majeur du cinéma au Canada. Elle vise aussi à mieux positionner la ville au sein de l'industrie nord-américaine et européenne. «Par ses investissements, la SGF contribue non seulement à attirer des productions étrangères au Québec, elle joue aussi un rôle central dans l'ensemble de l'industrie», avance Pierre Shedleur, PDG de la Société générale de financement. «En plus de la visibilité accrue pour Montréal, ce partenariat générera d'importantes retombées économiques. Il contribuera également au transfert d'emplois bien payés qui enrichissent l'économie de la métropole. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080116/LAINFORMER/80116090/5891/LAINFORMER01
  9. Prix des maisons: le marché reste vigoureux à Montréal Photo archives La Presse Le mardi 15 janvier 2008 Stéphane Paquet La Presse Si votre beau-frère est agent immobilier, vous avez peut-être remarqué qu'il était tout sourire dans le temps des Fêtes. Et si tout se passe comme prévu, il pourrait bien avoir le même minois à Pâques. Après 2005 et 2006, voici que 2007 enregistre une autre année record dans le secteur immobilier de la très grande région montréalaise. De Lanaudière à la Montérégie en passant par Laval, les Laurentides et Montréal, jamais autant de maisons et de condos n'ont été vendus. Pour être plus précis, 55 776 résidences ont changé de mains à l'aide d'un agent, une croissance de 11% par rapport à l'année précédente. L'avantage est décidément resté aux mains des vendeurs, qui ont vu le prix de leur foyer augmenter entre 5% et 8%. Deux exceptionssignificatives: les condos des Laurentides qui s'échangent au même prix qu'en 2006 et les maisons unifamiliales de Lanaudière dont les prix ont progressé de 10%. Dans ce dernier cas, on note toutefois qu'elles s'échangent encore à la moitié du prix d'une maison dans l'île de Montréal. Le marché montréalais est donc bien loin de la crise immobilière américaine. «C'est toujours mieux d'avoir un rendement raisonnable qui dure longtemps plutôt que d'avoir un rendement exceptionnel suivi d'une perte exceptionnelle», souligne Michel Beauséjour, chef de la direction de la Chambre immobilière du Grand Montréal. La question de décembre Est-ce la météo difficile de décembre? Toujours est-il qu'il y a eu une légère baisse de l'activité en décembre -la première en 16 mois. Moins 3% dans l'ensemble du marché. Michel Jobin, qui est agent depuis 22 ans, a senti un léger ralentissement à l'automne. «J'ai de belles maisons actuellement, elles sont impeccables. Mais je n'ai pas eu de demandes. Ça veut dire quoi? Qu'elles sont trop chères», confie celui qui travaille dans Montréal-Nord et une partie d'Ahuntsic. Tableau: le prix des maisons dans la grande région de Montréal et ses environs Source: Chambre immobilière du Grand Montréal Même un agent comme André Bouchard, de Sutton Accès, qui trouve le marché hot, constate que certains condos se vendent moins bien. «Si vous avez un condo de 500 à 750 pieds carrés, ça ne se vend pas.» Ovina Horth, de La Capitale, indique aussi que les multiplex sont plus difficiles à vendre qu'avant, que le marché est généralement plus lent. Il montre du doigt les légères hausses de taux d'intérêt de l'année dernière. «Ce n'est pas tellement haut, mais ça affecte la capacité de payer des gens», dit l'agent qui a presque 30 ans d'expérience derrière la cravate. À la Chambre immobilière, Michel Beausoleil n'est pas inquiet face à ces données de décembre. «On ne peut pas dire que c'est une tendance», dit-il, même si le temps de vente a légèrement augmenté, passant de 73 à 76 jours. M. Beausoleil regarde tout de même les données du côté américain. «S'il y avait une récession majeure, c'est sûr qu'il y aurait un impact au Canada. Si c'est une petite récession, on aura une année semblable à 2007.» Constat semblable du côté de la Société canadienne d'hypothèques et de logement, où on fait toutefois une nuance dans cette flopée de chiffres records. «Avec des maisons plus chères, le marché est plus à l'avantage de l'acheteur», précise l'économiste Sandra Girard. Pour 2008, l'agence fédérale prévoit une hausse de prix de 5 ou 6% dans la région. Votre beau-frère pourrait continuer d'afficher son plus beau sourire. Cyberpresse http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/articles/6764-Prix-des-maisons-le-marche-reste-vigoureux-a-Montreal.html
  10. Stade : des bonnes nouvelles Samedi 12 janvier 2008 RDS.ca Selon La Presse, les Alouettes pourront aller de l'avant avec l'agrandissement du stade Percival-Moslon. Québec a approuvé les plans de transformation mais l'équipe devra toutefois apporter quelques modifications. L'équipe a déjà reçu l'assurance d'une aide financière de 4,2 millions de Montréal. Les Alouettes attendent maintenant des aides d'Ottawa et Québec pour mettre en branle le projet de 25 millions. Les modifications, à caractère patrimonial, visent à protéger la montagne. http://www.rds.ca/alouettes/chroniques/243649.html
  11. Je crois que ceci est arrivé à vigile.net aussi. Par contre, de poursuivre un site ouvertement souverainiste n`est pas vraiment étonnant venant de la très " Proud to be Canadian, Power corp."
  12. Quelle aurait été la différence de coûts pour un revêtement extérieur de verre à la Vancouver-ish ?
  13. Vivre en anglais au Québec: possible mais contraignant Louise Leduc La Presse Pour la première fois depuis 1976, le nombre d'anglophones est en hausse au Québec. En 2006, il atteignait 607 000 personnes, comparativement à 591 000 en 2001, révélaient cette semaine les toutes dernières données du recensement. Tout se passe comme si, finalement, les anglos se plaisaient bien au Québec et qu'un modus vivendi avait été trouvé avec les francophones. Puis survient une «affaire» Koivu. Une controverse autour d'un projet de loi sur l'identité québécoise. Suffirait-il de presque rien pour que? Marvin Rotrand se lève. Il fait son discours. Pour une première intervention à l'hôtel de ville de Montréal, il est plutôt fier de lui, fier de son éloquence, fier de son aisance. Il se rassoit. Personne ne dit mot. À la pause, il interroge ses confrères conseillers. Pourquoi personne n'a réagi? Parce que personne n'avait compris. Il avait parlé anglais du début à la fin. Vingt-cinq ans plus tard, Marvin Rotrand est toujours conseiller municipal, mais il est aujourd'hui bilingue. «Tout mon français, je l'ai appris à l'hôtel de ville.» Jusque-là, dit-il, il avait vécu «à part», en anglais, à Montréal. Par la force des choses. Ses parents, arrivés ici après avoir survécu aux camps de concentration, ont été dirigés vers des commissions scolaires anglophones puisqu'ils n'étaient pas catholiques. Puis un jour, pour être élu, Marvin Rotrand a eu besoin de votes. «Si on veut être interviewé par Radio-Canada, c'est bien utile, de savoir parler français...» Combien sont-ils aujourd'hui à vivre tout le temps en anglais à Montréal? David Corcos, qui étudie au collège Dawson, affirme qu'il a autour de lui «autant d'amis bilingues que d'amis incapables de suivre une conversation en français». «Mon chum est photographe et le fait de ne pas parler un mot de français est très limitant pour lui, raconte pour sa part Shana Panasuk, étudiante au même collège. Quand il veut photographier des gens, je dois les aborder pour lui.» À l'inverse, le fait d'être parfaitement bilingue facilite la vie de Shana. «Quand j'ai postulé pour un emploi de caissière au Canadian Tire, je l'ai eu tout de suite. Celui qui m'a interviewé exigeait des candidats bilingues, et j'étais la seule à l'être.» Lindsay Green, résidante de Côte-Saint-Luc âgée de 18 ans, est unilingue et n'y voit encore aucun problème. «Je veux devenir architecte. Peut-être que, plus tard, ce sera un problème de parler anglais seulement, mais ça ne l'est pas pour l'instant. J'étudie en anglais, mes amis sont anglophones, ça ne m'arrive jamais d'avoir à parler français.» L'appel du large Les étudiants unilingues rencontrés ont tôt fait d'évoquer la possibilité de quitter le Québec. Si ça ne marche pas, j'irai ailleurs. Entendre: à Toronto, surtout. Le feront-ils? Contre toute attente, depuis cinq ans, malgré le boom albertain, les anglophones sont restés au Québec comme jamais depuis 1976. «Pourquoi partiraient-ils? Ils sont bien! Ils peuvent vivre en anglais tous les jours de leur vie au Québec!» lance Charles Castonguay, mathématicien de l'Université d'Ottawa qui a passé sa vie à décortiquer l'évolution du fait français au Québec et qui a été catastrophé par le dévoilement des derniers chiffres du recensement. Larry Smith, PDG des Alouettes, doute aussi - mais pour d'autres raisons - que les anglophones mettent encore massivement les voiles. «Toronto, c'est vraiment un autre monde. Toronto, c'est comme New York. C'est l'argent et le travail. Ici, au Québec, on travaille, mais avoir du fun, c'est important aussi. On tient à notre qualité de vie.» Marvin Rotrand refuse pour sa part de se hasarder dans des prédictions sur l'avenir de la communauté anglophone de Montréal. «Trop imprévisible. Qui sait, peut-être les anglophones de Toronto ou d'ailleurs réaliseront-ils à quel point la vie est bonne ici, et qu'un loyer à Montréal, c'est moins cher qu'à Halifax!» Une communauté éclatée Ce qui est sûr, c'est que la communauté anglophone est moins homogène qu'avant, se confondant aujourd'hui avec les allophones qui demeurent nombreux à adopter l'anglais. Moins homogène, et manifestement plus dispersée. «J'ai longtemps habité rue Brébeuf, dans le Plateau, et j'étais vraiment le seul anglophone là! dit Brian Wright, qui travaille dans le milieu théâtral. Mes amis ne déménageaient jamais à l'est de la rue Saint-Denis. Aujourd'hui, il y a plein d'anglophones dans le Plateau, et même au coeur d'Hochelaga-Maisonneuve. Je ne suis plus seul de ma gang!» Selon les dernières données sociodémographiques, le Plateau-Mont-Royal comptait 12% de résidants ayant l'anglais pour langue maternelle. De la même manière, «les châteaux forts anglophones ne sont plus aussi homogènes qu'ils l'étaient, fait observer le reporter Stéphane Giroux, qui couvre la communauté anglophone pour la chaîne CTV. Aussi francophones soient-ils, mon frère et ma soeur habitent dans le West Island et ils sont loin d'être l'exception.» Les anglos et nous: mythes et réalités Les anglophones québécois sont plus riches Le revenu personnel médian des anglophones et des francophones est presque identique au Québec (21 619$ contre 21 166$) et à Montréal (21 966$ contre 21 599$). Les anglophones ont de meilleurs emplois La proportion d'anglophones qui occupent un poste de cadre (13,4%) est plus élevée que la moyenne provinciale (10,4%). Toutefois, selon les dernières données à ce sujet (en 2001), le taux de chômage des personnes de langue maternelle anglaise était supérieur à la moyenne dans toutes les grandes régions du Québec, à l'exception de Montréal. Les lois linguistiques donnent des boutons aux anglophones. Un vaste sondage CROP réalisé en 2001 pour l'Institut Missisquoi révélait que la moitié des anglophones du Québec croyaient légitime que le gouvernement québécois adopte des lois visant à protéger la langue française. Anglophones et francophones se sentent menacés. Soixante-six pour cent des répondants d'un sondage CROP mené en 2001 disaient croire que l'avenir de la communauté anglophone de leur région était menacé. Seulement 14% des francophones le croyaient. À l'inverse, 61% des francophones croyaient que le français était menacé au Québec. Près des deux tiers des anglophones sont en désaccord avec cette idée. Maudits anglos? Quatre-vingt-trois pour cent des francophones, dans le même sondage, ont déclaré avoir de bonnes ou de très bonnes relations avec les anglophones. Sources: Vers l'avant: évolution de la communauté d'expression anglaise au Québec, novembre 2004; CROP, Survey of the English-Speaking Community of Québec, 2001.
  14. Qatar Airways lorgne la CSeries Qatar Airways envisage une commande de 10 appareils. 8 décembre 2007 - 09h49 La Presse Marie Tison Qatar Airways a manifesté de l'intérêt pour la nouvelle famille d'appareils de 110 à 130 places de l'avionneur montréalais. Dans une entrevue à la publication spécialisée Flight International, le chef de la direction de Qatar Airways, Akbar Al Baker, a fait savoir que le transporteur évaluait différents types d'appareils d'une centaine de places pour établir un service de liaisons régionales. «Il y a des appareils d'Embraer, mais aussi de Bombardier et de Mitsubishi», a-t-il indiqué. Il a spécifié que la date d'entrée en service prévue de la CSeries, soit 2013, «convenait très bien». Qatar Airways envisage une commande de 10 appareils, assortie d'options pour 10 appareils supplémentaires. Le porte-parole de Bombardier Aéronautique, Marc Duchesne, n'a pas voulu dire si Bombardier était en pourparlers avec Qatar Airways. «Il est toujours encourageant de voir que des lignes aériennes s'expriment en faveur de la CSeries», a-t-il toutefois commenté. Jusqu'à maintenant, un seul transporteur aérien a exprimé publiquement son intérêt au sujet de la CSeries, Northwest Airlines, qui étudie la possibilité d'acquérir 60 appareils. Bombardier vient d'arrêter son choix sur le moteur: il a opté pour la turbo-soufflante à réducteur de Pratt & Whitney, un nouveau moteur qui devrait justement être prêt pour l'entrée en service de la CSeries. Il s'agit là d'une étape importante dans le développement de la famille. Bombardier devrait décider en 2008 s'il lancera ou non la CSeries. Selon la firme de notation américaine Fitch, qui vient de publier un rapport sur les perspectives de l'industrie aéronautique nord-américaine, il s'agira d'un des événements marquants de 2008. Airbus et Boeing Il s'agit d'une décision difficile. Jusqu'à maintenant, Bombardier se tenait loin du terrain de jeu des grands de l'industrie, Airbus et Boeing. Avec la CSeries, l'avionneur montréalais entrera en compétition avec les plus petits appareils d'Airbus et de Boeing, l'A318 et le B737-600. Il s'agit de versions raccourcies des grands vendeurs des deux avionneurs, l'A320 et le 737. Airbus et Boeing étudient présentement le remplacement de l'A320 et du 737. Dans le cas du Boeing, ce remplacement pourrait arriver plus tôt que prévu. Dans une entrevue au quotidien Le Monde cette semaine, le président de la division de l'aviation commerciale de Boeing, Scott Carson, a affirmé que l'avionneur devrait arrêter sa stratégie quant au remplacement du 737 d'ici deux ans. Boeing pourrait décider de lancer un appareil totalement révolutionnaire, ou un appareil résultant d'un processus d'«évolution traditionnelle». Dans ce dernier cas, l'appareil pourrait être commercialisé au milieu de la décennie prochaine. Cet échéancier ne donnerait qu'une ou deux années d'avance à la CSeries. Si Boeing devait opter pour un changement plus radical, les délais seraient plus longs, ce qui donnerait quelques années supplémentaires à la CSeries pour se faire valoir. Vendredi, l'action de Bombardier a glissé de 6 cents à 6,12$ à la Bourse de Toronto.
  15. Des autobus privés sur Pie-IX Le boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal, est l’un des corridors de transport collectif les plus achalandés de la métropole. Photo Alain Roberge, La Presse Bruno Bisson La Presse L’Agence métropolitaine de transport (AMT) veut confier à un partenaire privé la réalisation et l’exploitation d’une voie réservée aux autobus sur le boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal, l’un des corridors de transport collectif les plus achalandés de la métropole. Ce projet, encore à l’étape préliminaire, est au cœur d’une nouvelle guerre de tranchées entre l’agence gouvernementale et la Société de transport de Montréal (STM) qui exploite les réseaux d’autobus et du métro de Montréal, et qui ne veut rien entendre du projet de l’AMT. Dans une entrevue à La Presse, hier, le directeur général de la Société de transport de Montréal, Yves Devin, a révélé qu’après « des débats épiques » avec l’AMT, qui relève du ministère des Transports, la STM a décidé de faire cavalier seul, s’il le faut, et de réaliser son propre concept d’autobus express, qui pourrait être mis en service dès 2010. Le projet de l’AMT, signale M. Devin, ne pourrait voir le jour que deux ans plus tard, en 2012. Le projet privilégié par l’AMT prolongerait la voie réservée du boulevard Pie-IX au nord de la rivière des Prairies jusqu’à l’autoroute 440, à Laval. Il inclurait la construction de grands stationnements incitatifs. Les autobus circuleraient sur des voies réservées permanentes situées en bordure du boulevard. Les passagers y monteraient donc à partir de quais aménagés sur les trottoirs. Pour la STM, a affirmé hier M. Devin, la circulation des autobus « en rive », en bordure du boulevard, ne fonctionnera pas, et limitera les performances de ce service qui serait beaucoup trop lent. C’est pourquoi le projet de la STM rendu public, dans ses grandes lignes, la semaine dernière, prévoit l’implantation des voies réservées aux autobus en plein centre du boulevard Pie-IX. Ce boulevard est une des plus importantes artères de circulation nord-sud à Montréal et est utilisé chaque jour par des dizaines de milliers d’automobilistes. Le projet des voies réservées aurait pour effet de retrancher complètement deux voies de circulation – une par direction – sur ce boulevard de six voies de largeur. Des voies surélevées Les voies de circulation destinées exclusivement aux transports en commun seraient surélevées, par rapport aux chaussées des automobilistes, et le bitume serait peint d’une couleur contrastante avec l’asphalte noir conventionnel afin de bien différencier les voies réservées aux autobus des autres voies de circulation. Dans une étude préliminaire, le coût de réalisation de ce projet a été très sommairement estimé «entre 45 et 90 millions de dollars». Selon M. Devin, la STM a reçu du comité exécutif de la Ville de Montréal le mandat prioritaire d’implanter ce projet dans les plus brefs délais possible. Or, lors d’une rencontre de travail récente, affirme-t-il, l’AMT « a décidé de faire ce qu’on fait généralement quand on ne veut pas prendre de décision. Elle a commandé une étude ». Le feu aux poudres Après cinq ans d’études, de discussions, d’enquêtes et de mésentente, ce nouveau mandat d’étude, confié aux firmes d’ingénieurs Cima et Genivar, semble avoir mis le feu aux poudres entre les deux organismes publics qui se livrent une guerre sans partage, depuis des années, pour le contrôle du développement des transports en commun dans la métropole. Jointe hier pour commenter les affirmations de M. Devin, la vice-présidente aux communications de l’AMT, Marie Gendron, a semblé décontenancée par la virulence de cette sortie, et a affirmé que l’agence gouvernementale, qui relève du ministère des Transports du Québec, s’estime toujours partenaire de ce projet d’autobus express dans l’axe du boulevard Pie-IX. Mme Gendron a dit tout ignorer quant à la possibilité que ce projet de voie réservée fasse l’objet d’un partenariat public-privé, et a assuré que l’AMT n’a pas commandé d’étude en ce sens. Selon elle, la nouvelle étude commandée « vise à vérifier les conditions d’exploitation d’une voie réservée permanente aux autobus au centre du boulevard Pie-IX, et à valider le scénario élaboré par un consultant, en collaboration avec la STM ». Jusqu’en juin 2002, l’AMT exploitait une voie réservée aux autobus sur le boulevard Pie-IX, qui fonctionnait à contresens du trafic automobile, pendant les heures de pointe seulement. La STM était responsable du fonctionnement de la voie réservée. Ce sont ses autobus, conduits par ses chauffeurs, qui assuraient cette desserte express très populaire, entre le nord-est de la ville et la station de métro Pie-IX. Ce circuit d’autobus, le R-505, était, à l’époque, l’un des plus utilisés de la métropole avec une fréquentation pouvant aller jusqu’à 8000 passagers par jour, soit l’équivalent de plusieurs trains de banlieue. Le service d’autobus a toutefois été interrompu net après la mort tragique d’une jeune femme, happée de plein fouet par un autobus alors qu’elle traversait le boulevard Pie-IX. Malgré les conclusions d’une enquête du coroner, concluant que le principe de la circulation à contresens des autobus pouvait être maintenu, moyennant certains aménagements de la voie publique, l’AMT, la STM et la Ville de Montréal n’ont jamais eu l’intention de rétablir ce service. À l’AMT, hier, Mme Gendron a assuré que malgré les désaccords entre les parties sur la meilleure manière de rétablir une voie réservée aux autobus, « nous nous entendons toujours sur la nécessité d’implanter un service d’autobus rapide dans cet axe de circulation ».
  16. Edmonton's economy hottest in Canada: CIBC Western city tops ranking for first time as Calgary slips into second spot OTTAWA -- Edmonton's weather may be cold but its economy isn't, says CIBC World Markets, which reported Monday that the Alberta capital has the hottest local economy in Canada, surpassing Calgary. Montreal, Toronto and Vancouver also rank high in economic activity, while there's little economic momentum in the national capital region of Ottawa-Gatineau, according to CIBC's economic activity index, which is based on nine economic variables. "For the first time on record, the city of Edmonton tops our city ranking in terms of economic momentum," it said, crediting strong population growth, impressive employment gains, low unemployment rate, and below-average personal and corporate insolvency rates. Calgary, meanwhile, slipped into second spot with a score of 24.5, compared with 30.1 for Edmonton. Calgary's slippage reflects what the report said was a slowdown in the pace of job creation momentum in the city -- less than that of Edmonton, Saskatoon and Victoria -- and a cooler housing market. Saskatoon reached third spot with a score of 23.7, propelled by strong job and population growth, and the hottest housing market in the country. "Interestingly, Montreal is currently enjoying some renewed momentum," the report said, noting that Montreal's third-place score of 22.8 -- the only other city with a ranking above 20 -- indicated improvement in labour and housing market activity. However, the report cautioned that the momentum in Montreal's industrial economy -- based on data up to September -- is not likely sustainable with a loonie at or near parity with the U.S. dollar. Toronto, the country's largest city, had a consistently strong showing in the rankings with a score of 17.5. This reflects the growing diversity of the city, which has the fourth-fastest population growth in the country, and which boasts relatively high-quality employment. However, its labour market is softening with below-average job growth and above-average unemployment of 7%. Vancouver's ranking, at 17.3, just slightly below Toronto's, is due to the fact that -- while it did not excel in any area -- the city was above average in many areas, including strong population and job growth. Among the larger cities, Ottawa-Gatineau had the lowest ranking at just 4.7, reflecting what the report's author CIBC economist Benjamin Tal said was "some softening in employment growth, housing activity and non-residential building permits." There has been a cooling in the city's large high-tech sector, which was very strong over the past two years. The other cities and their rankings were: Sherbrooke 16.3, Victoria 15.8, Trois-Rivieres 13.6, Regina 12.5, Saint John 11.4, Quebec City 10.2, Halifax 9.1, Kitchener 8.8, Greater Sudbury 7.9, London 7.8, Hamilton 6.0, St. John's 5.5, Kingston 3.4, Thunder Bay 3.0, St. Catharines-Niagara 2.4. Two cities had negative readings -- Saguenay -2.8 and Windsor -3.3 -- highlighting the difficulties in their manufacturing sectors. "The recent appreciation in the dollar and the weakening in the U.S. economy are probably adding another layer of difficulties facing those cities," the report said.
  17. :: Montreal - Québec :: David Giral :: Peter B. Carter :: http://www.flickr.com/photos/peterbc...7601911534586/ Peter B. Carter :: http://www.flickr.com/photos/peterbc...7601911534586/ Serge :: By SilverPuppeteer :: http://www.flickr.com/photos/benoit_remillard/ Serge ::
  18. Ca fait mal de revoir ce genre de photos, j`aimerai revoir Montreal dans les grandes ligues professionnelles un jour peu importe laquelles. (NFL, NBA, MLB).
  19. Je suis d`accord, malgré le fait que je ne suis pas un amateur de cette ville, ils ont quand même 5 tours à bureau en construction ou sur le point de l`être.
  20. OUtre les fusions pis autres spéculations du genre, la seule chose que je veux dire c`est qu`à 900 000 S/F cette tour pourrait avoir 30/35 étages and maybe more.
  21. Tu as rasion, en fait, cette tour pourrait avoir 30 étages et plus.
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