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ErickMontreal

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Tout ce qui a été posté par ErickMontreal

  1. Desjardins un peu plus torontois 13 mars 2008 - 06h26 La Presse Martin Vallières La division de recherche de la filiale boursière du Mouvement Desjardins est encore affectée par des changements de personnel d'importance à Montréal, qui rehaussent l'influence de ses effectifs à Toronto, déjà plus nombreux. Cette fois, c'est la direction même du service d'analyse financière des entreprises de Valeurs mobilières Desjardins (VMD) qui devient un peu plus torontoise, après le départ de son directeur qui était basé au siège social de Montréal. Le vice-président principal et directeur de la recherche, Jon Reider, a quitté Desjardins à Montréal le mois dernier, a-t-on confirmé à La Presse Affaires mercredi. Et il a été remplacé par deux codirecteurs de recherche provenant des rangs de VMD à Toronto, Patrick Bartlett et Joseph MacKay, qui est aussi un analyste d'expérience à Bay Street dans le secteur du commerce de détail. Click here to find out more! À la direction de VMD mercredi, on soulignait que M. Bartlett «est à Montréal deux ou trois jours par semaine. Mais il n'a pas donné suite à une demande d'un entretien par téléphone avec La Presse Affaires. Avec ce changement, la direction de la recherche chez VMD cohabite désormais à ses bureaux de Toronto avec sa direction de stratégie d'investissement. Cette dernière relève de Peter Gibson, qui avait été embauché tambour battant par VMD à Toronto en mai 2004, supplantant du coup son stratège montréalais. Ce transfert de mandat vers Bay Street au sein de la filiale boursière de Desjardins avait provoqué une controverse dans le milieu financier à Montréal. Par ailleurs, le nombre d'analystes boursiers de VMD à Montréal continue de diminuer, au détriment de sa couverture d'entreprises québécoises d'importance. Cette fois, le départ de l'analyste Jesse Hayem, confirmé en début de semaine, incite la filiale boursière de Desjardins à cesser le suivi d'entreprises comme Saputo, Alimentation Couche-Tard, Dorel et Gildan Activewear. Il s'agit d'entreprises dirigées de Montréal dont la valeur boursière individuelle dépasse le milliard de dollars, et avoisine même les 5 milliards dans le cas de Saputo et de Gildan. Aussi, quatre autres entreprises québécoises de valeur boursière intermédiaire sont délaissées par VMD, dont Mega Brands, Uni-Sélect, Quincaillerie Richelieu et Atrium Innovations. En tout, ces entreprises québécoises mises au rancart par le service d'analystes de la filiale boursière de Desjardins totalise 15 milliards de dollars de valeur en Bourse. VMD a annoncé cette décision à ses clients-investisseurs mardi, dans quelques lignes inscrites à la fin de son bulletin quotidien des commentaires et recommandations d'analystes. Et mercredi, on ne pouvait indiquer chez VMD si cette interruption de suivi était permanente ou temporaire, le temps de réaffecter ces entreprises auprès d'autres analystes, à Toronto surtout. Selon le site Internet de VMD, seulement cinq de ses 17 analystes principaux sont encore à ses bureaux de Montréal, les autres sont tous à ses bureaux de Toronto. Il faut dire que la situation n'est guère mieux chez sa principale concurrente au Québec, la Financière Banque Nationale (FBN). Seulement deux des 21 analystes principaux de la FBN sont encore à ses bureaux de Montréal, selon la liste la plus récente fournie à La Presse Affaires. Les autres sont surtout à Toronto, et quelques-uns sont à Calgary, pour le suivi des entreprises pétrolières. Par ailleurs, comme pour tous ses documents d'analystes, c'est en anglais que Valeurs mobilières Desjardins a averti ses clients-investisseurs, mardi, du départ d'un analyste montréalais et de l'interruption du suivi de plusieurs entreprises québécoises. Aussi, dans la portion francophone du site internet des clients de Valeurs mobilières Desjardins, c'est en anglais seulement que l'on retrouve la longue liste de rapports de ses analystes. Même les commentaires des deux principaux analystes francophones de VMD encore en poste à Montréal y sont publiés en anglais seulement. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080313/LAINFORMER/803130647/-1/LAINFORMER
  2. Donc, en comparaison avec la Tour de la Bourse, cette tour pourrait arriver au 3/4 de celle-ci ?
  3. Incroyable ! Selon toi, ils ont loué de l`espace dans la tour de 33 étages ou celle de 15 ? Merci pour tes infos !
  4. Vraiment très bonne nouvelle !
  5. Le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario 25 mars 2008 - 15h52 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque La force des dépenses gouvernementales dont la réfection du réseau routier va permettre au Québec d'être moins touché par le ralentissement américain. Point intéressant dans les dernières prévisions économiques de Desjardins: le Québec aura un taux de chômage inférieur à l’Ontario en 2009. Et surprise: c’est l’État qui est le principal responsable. Ainsi, le taux de chômage atteindra 6,7% dans la Belle province alors qu’il sera de 6,9% chez sa voisine. Par comparaison, ce même taux était de 8,3% au Québec et de 6,6% en Ontario en 2005. Selon Benoît Durocher, économiste senior au Mouvement Desjardins, le Québec sera moins touché par le ralentissement économique américain en raison de la force des dépenses gouvernementales lors des prochaines années. «Le Québec a de meilleurs assises que l’Ontario en raison des dépenses de l’État. Cela amène un support à la croissance», soutient l’économiste. M. Durocher pointe notamment le programme d’infrastructures publiques qui devrait voir l’investissement de 30 G$ sur 5 ans par Québec. Des dépenses qui viseront la santé et la réfection du réseau routier québécois, ce qui réjouit l’économiste. «C’est en vue de moderniser le Québec, donc cela donne des retombées visibles pour la population et permet l’accroissement de la productivité», dit M. Durocher. À l’inverse, l’Ontario est plus fragile aux soubresauts du marché «de par sa structure», indique Desjardins. «L’Ontario est plus touchée par le ralentissement américain. Cela cause un déclin important dans cette province et a des répercussions sur plusieurs variables économiques», souligne M. Durocher. La structure industrielle de la plus grande province canadienne est la cause principale du déclin, poursuit le Mouvement. Au premier rang des éclopés, l’industrie automobile, qui connaît de sérieuses difficultés. «L’Ontario vit deux chocs avec cette industrie : un premier, plus structurel, avec la réorganisation des trois grands fabricants nord-américains. Et un autre, avec la diminution de la demande pour l’automobile». En 2007, le secteur de l’automobile au pays a connu un premier déficit commercial depuis 1987 et le pire depuis 1979. Toujours selon Desjardins, le Québec est également moins vulnérable en ce qui à trait aux exportations – dirigées en grande partie vers l’Oncle Sam. Celles-ci représentent 33,7% du PIB du Québec alors que le chiffre atteint 40% en Ontario. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080325/LAINFORMER/80325182/5891/LAINFORMER01
  6. Montreal/Montréal MontrealSeb :: http://www.flickr.com/photos/montrealseb/2346635090/sizes/l/
  7. Voici une projection de la tour en question SNC Lavalin By Serge Lacasse ::
  8. Gainey est juste énormément conservateur, il pensait p-e avoir Hossa pour rien. Anyway, maintenant je me souviens pourquoi j`étais un fan des Nordiques...
  9. Montreal encore incapable... pathetique. Après Ribeiro maintenant Huet... n`importe quoi.
  10. The Montreal Canadiens have traded goaltender Cristobal Huet to the Washington Capitals in exchange for a 2nd round pick in 2008.
  11. Le lundi 25 février 2008 Centre d'entraînement: la structure s'effondre Cyberpresse Une partie de la structure de métal du tout nouveau centre d'entraînement du Canadien, en construction à Brossard, s'est effondrée en début d'après-midi. La police de Longueuil confirme qu'aucun ouvrier sur place n'a été blessé sérieusement. Deux personnes ont cependant subi un violent choc nerveux. Les poutres de métal ont fait un fracas énorme lors de l'incident. Le centre d'entraînement en est à la première phase de sa construction, dans le quartier DIX30. Des représentants de la CSST sont sur place pour tenter de déterminer les causes de l'accident. Un important périmètre de sécurité a été mis en place par mesure de sécurité.
  12. Développement immobilier Ça consulte à Griffintown Mise à jour le vendredi 22 février 2008, 11 h 59 . Le président de Devimco, Serge Goulet Plus de 300 personnes ont assisté jeudi soir à la première soirée de consultation publique sur le projet de développement du quartier Griffintown, dans le sud-ouest de Montréal. Le groupe Devimco, qui projette d'investir plus de 1 milliard de dollars pour revitaliser et transformer le quartier, a présenté son projet aux citoyens. Même si le projet ne touchera concrètement qu'une cinquantaine de résidents du quartier, beaucoup de gens tenaient à entendre les explications du président de Devimco, Serge Goulet. Consultation publique à Griffintown Dans l'assistance, on retrouvait en plus des citoyens du secteur, des représentants de comités logement ainsi que divers groupes dont Héritage Montréal. Le représentant Dino Bumbaru s'est réjoui que Devimco consulte les citoyens, mais a déploré que ce soit l'arrondissement du Sud-Ouest et non l'Office de consultation publique qui évalue le projet. Le groupe immobilier Devimco entend construire dans une zone industrielle voisine de l'autoroute Bonaventure plus de 4000 logements, une salle de spectacles, deux hôtels et un réseau d'espaces verts. Le promoteur projette aussi la mise en place d'un circuit de tramway dans le quartier. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a quant à lui déjà accordé son appui au projet en novembre dernier. S'ils sont autorisés, les travaux commenceront l'an prochain aux abords de la rue Peel. Une autre séance de consultation publique sera tenue mardi soir prochain. Les mémoires et questions seront reçus jusqu'au 10 mars.
  13. First the Main, now it's downtown's turn Construction. Major projects have merchants, drivers in grumble mode Motorists negotiate the traffic and construction at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. yesterday. The statue of Norman Bethune has been removed while work is under way.DAVE SIDAWAY THE GAZETTE, JASON MAGDER, The Gazette If you want to know how much it has snowed this winter, head for Place Norman Bethune at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. The square, which is the cornerstone of a $22-million facelift for the Concordia University neighbourhood, has been cordoned off with metal fences since October. As a result, snow banks have grown to three metres. However, the transformation of Place Bethune is only one of three major construction projects under way on the corner. Motorists negotiate the traffic and construction at de Maisonneuve Blvd. and Guy St. yesterday. The statue of Norman Bethune has been removed while work is under way Like the merchants caught up in the seemingly endless construction on St. Laurent Blvd., those in this corner of downtown feel choked by street work. While improvements are wrapping up on the Main, crews are just getting started on the Place Bethune beautification project that is expected to last at least until 2011. In the meantime, it' a corner of hell for motorists and pedestrians. "Nobody passes by here anymore," said Mohammad Saken, 28, the manager of Dépanneur Beau Prix on de Maisonneuve west of Guy. "It's already our second year with construction here, and it looks like we're going to have long-term construction. That's going to screw up our business big time." Some merchants complain the constant construction is also dangerous. Saad Salem, the kitchen manager at the Château Kabab restaurant, said he saw a man fall into a hole, which had been dug three weeks ago by the city's Electrical Services Commission to work on underground wiring on Guy north of de Maisonneuve. "A few days ago, a handicapped man fell right into the hole because he didn't see it," Salem said, adding the man wasn't seriously injured. "The company came the next day and put up a fence around the area. But they made the hole and then left it like that, without doing any work. That wasn't a great idea." Serge Boileau, president of the Electrical Services Commission, did not return calls yesterday. Merchants say they are pleased the city is spending money to beautify the area, but say the timing is bad, coming after a summer in which they had to contend both with construction on a new Concordia business school and jackhammers installing a bike path along de Maisonneuve's south side. The bike path is completed, but cyclists, pedestrians and motorists have an obstacle course of four construction sites to negotiate just to cross the street. A southbound lane of Guy is closed from de Maisonneuve to Ste. Catherine St. while crews working on Concordia's new John Molson School of Business building, as is part of de Maisonneuve west of Guy. The north side of de Maisonneuve between Mackay and Guy Sts. is also blocked by traffic cones and trailers, which are used by construction foremen as offices. "It's slushy and dirty and it hasn't been cleaned up in ages," said Melissa Ajamian, 21, who lives on St. Mathieu St. "You used to be able to just walk through this area, but now it's very difficult." Sylvain Ducas, the city's project manager of Place Bethune, said it will take two years to complete the work on the square. "We could have done it in one year, but we need to keep the street open," Ducas said. "I'm sure the merchants will agree with that."
  14. Je ne peux pas croire que la ville pourrait tasser Hakim de son terrain surtout qu`il propose un projet ayant un "price tag" frolant le double de celui de Devimco. Devimco a sûrement l`impression de se faire doubler par un projet risquant d`être plus spectaculaire et attirant pour de futurs "tenants".
  15. Le jeudi 21 février 2008 EXCLUSIF Hossa se rapproche de Montréal! (Photo AP) Mathias Brunet La Presse EXCLUSIF - Rien ne nous permet pour l’instant de confirmer qu’une transaction entre le Canadien et les Thrashers d’Atlanta est conclue, mais La Presse a appris, hier, qu’on avait commandé de l’équipement aux couleurs de la formation montréalaise pour l’attaquant vedette de 29 ans, Marian Hossa. Une telle commande ne veut pas nécessairement dire que l’affaire est dans le sac . Il y a deux ans, on avait fabriqué de l’équipement pour Nikolai Khabibulin et Adrian Aucoin, mais celui-ci s’était cassé la cheville la veille de l’annonce de la transaction et tout avait avorté (semble-t-il que Théodore, Ribeiro et Dagenais seraient passés aux Blackhawks dans l’échange). Il arrive aussi qu’un DG puisse changer d’avis à la suite d’une offre mirobolante reçue à la dernière minute. Sauf qu’on ne passe pas une commande d’équipement à moins que les tractations avec une équipe adverse ne soient sérieuses. Une compagnie peut mettre au moins une journée à fabriquer une paire de culottes ou de gants sur mesure pour un athlète. Le Tricolore a sans doute voulu s’assurer que tout soit prêt à temps si la transaction est finalisée sous peu. Les noms de Michael Ryder et de Mark Streit circulaient hier (et peut-être un choix au repêchage ou un espoir), mais cette information n’a pu être confirmée de façon sûre. La dernière journée de meetings des directeurs généraux, hier, à Naples, en Floride, a donné naissance à certaines rumeurs. En fin d’après-midi, CBC annonçait sur son site Internet qu’Alex Tanguay passait au Tricolore en retour de Michael Ryder et d’un choix au repêchage, sauf qu’on a vite retiré la manchette. Plusieurs indices ont démontré récemment que Bob Gainey et son homologue Don Waddell tentaient de préparer un gros coup. Gainey n’a pas caché cette semaine qu’il tentait d’ajouter un joueur de premier plan à sa formation. Waddell a assisté sur place à deux rencontres du Canadien ces deux dernières semaines, allant même jusqu’à rater un entraînement de son équipe pour assister au match du CH en Floride il y a huit jours. Lors de son passage au Centre Bell la semaine précédente, il a blagué avec des confrères, leur disant qu’il se déplaçait pour voir un joueur à l’œuvre, mais que celui-ci n’était même pas en uniforme (Michael Ryder). Le DG des Thrashers a toujours indiqué qu’il voulait obtenir des joueurs pouvant l’aider à court terme en retour de Hossa puisque son club est toujours dans la course pour une place en séries. Il n’a jamais caché son intérêt pour un défenseur offensif. Marian Hossa, Mark Streit et Michael Ryder ont un statut contractuel identique, c’est-à-dire qu’ils auront droit à l’autonomie complète à la fin de la saison. Il n’est pas impossible cependant qu’un club donne la permission à l’équipe avec laquelle il transige de discuter contrat avec le joueur impliqué dans l’échange. L’analyste Murray Wilson, de CJAD, avait d’ailleurs déclaré en ondes il y a quelques semaines que Gainey avait obtenu la permission de discuter prolongation de contrat avec Hossa. Marian Hossa, qui touche 7 millions cette saison, connaît une saison inférieure à ses standards habituels avec 53 points en 58 matchs, mais il a offert un rendement de 100 et 92 points lors des deux saisons précédentes. Il demeure l’un des ailiers les plus doués de la Ligue nationale. Espérons pour le Canadien que la tendance se maintienne et que ce formidable joueur puisse endosser le nouvel équipement qu’on vient de lui fabriquer… http://www.cyberpresse.ca/article/20080221/CPSPORTS0101/80220288/-1/CPSPORTS0101
  16. Hydro-Québec a enregistré des exportations de 1 G$ en 2007 L’an dernier, en exportant moins d’électricité, Hydro avait réussi à obtenir davantage pour chaque kilowattheure écoulé chez nos voisins américains. 15 février 2008 - 14h38 Le Soleil Pierre Couture L’an dernier, en exportant moins d’électricité, Hydro avait réussi à obtenir davantage pour chaque kilowattheure écoulé chez nos voisins américains. Le Soleil, Steve Deschenes Hydro-Québec n’a pas chômé l’an dernier sur les marchés de la revente d’électricité aux États-Unis. Les exportations québécoises ont bondi de 25 % pour rapporter tout près d’un milliard de dollars dans les coffres de la société d’État. Hydro-Québec a ainsi exporté plus de 14,3 millions de mégawatts (MW) chez nos voisins américains en 2007, soit une augmentation de 25 % par rapport à 2006. Les données compilées par l’Office national de l’énergie (ONE) ne tiennent toutefois pas compte des activités de courtage de la société d’État. Click here to find out more! Or, on remarque qu’Hydro-Québec a réussi à vendre son électricité en sol américain à un coût moyen de 6,8 cents le kilowattheure, soit à un prix à peine plus élevé que sur le marché québécois. Au Québec, la clientèle résidentielle paie cet hiver 6,6 cents le kilowattheure consommé. L’an dernier, en exportant moins d’électricité, Hydro avait réussi à obtenir davantage pour chaque kilowattheure écoulé chez nos voisins américains. La société d’État avait alors obtenu un prix moyen de 6,85 cents du kilowattheure. En 2007, le gros des exportations d’électricité d’Hydro-Québec a principalement eu lieu dans les États de la Nouvelle-Angleterre et de New York. Gros surplus Il faut dire que l’an dernier, Hydro-Québec avait beaucoup d’électricité à écouler sur les marchés. Sa filiale Distribution avait alors acheté trop d’électricité à la principale filiale de la société d’État, Hydro-Québec Production. La division Distribution a pourtant tout tenté pour refiler ces surplus à la filiale Production, en annulant les contrats signés il y a de cela quelques années. La Régie de l’énergie n’avait pas apprécié et avait obligé la filiale Distribution à revendre elle-même les surplus d’électricité. Ces énormes blocs d’énergie, totalisant près de cinq milliards de kilowattheures, ont alors été revendus sur les marchés nord-américains. Ces électrons sont ainsi venus s’ajouter aux surplus à écouler de la filiale Production. Des surplus créés par la mise en service de nouveaux barrages dans le Grand Nord, dont Eastmain-1-A. Ces nouvelles installations ont procuré une marge de manœuvre d’environ 10 térawattheures (TWh) l’an dernier à Hydro. Depuis, Hydro-Québec a été accusée par un courtier d’énergie américain (DC Energy) d’avoir manipulé les prix de l’électricité l’hiver dernier sur le marché de New York. Une plainte officielle a été déposée devant la Federal Energy Regulatory Commission (FERC). http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080215/CPSOLEIL/80214256/5891/LAINFORMER01
  17. Liaison avec l'aéroport: un nouveau contrat est octroyé 11 février 2008 - 12h29 Presse Canadienne Une autre étape a été franchie lundi dans le projet de liaison ferroviaire entre le centre-ville de Montréal, l'ouest de l'île et l'Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau. Le comité directeur du projet a annoncé qu'il avait octroyé au consortium formé des sociétés Dessau, Les consultants SM et Hatch Mott MacDonald, en collaboration avec la firme STV, le mandat de réaliser une étude de préfaisabilité. Plus précisément, le consortium, avec STV, devra identifier les différents tracés ferroviaires potentiels, analyser la préfaisabilité de ces tracés, établir les caractéristiques d'exploitation préliminaires et quantifier les coûts liés aux différentes solutions. Son rapport final doit être déposé à la fin de l'été. Il s'agit du quatrième mandat d'étude octroyé en rapport avec ce projet. Les trois premiers mandats touchant à l'évaluation des études antérieures, au conseil stratégique et financier ainsi qu'à la pré-consultation des personnes et organisations concernées ont été attribués en octobre dernier. Le comité directeur du projet est coprésidé par Aéroports de Montréal et l'Agence métropolitaine de transport et regroupe Transports Canada, Transports Québec, la Ville de Montréal et la Communauté métropolitaine de Montréal. Parallèlement à l'étude de préfaisabilité, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport et Transports Québec réaliseront une étude de transport afin d'évaluer l'achalandage des différents tracés, ainsi que les impacts sur les réseaux existants et autres modes de transport. Les données de l'étude de préfaisabilité et de l'étude de transport permettront ensuite au conseiller financier et stratégique, PricewaterhouseCoopers, de compléter les analyses avantages-coûts et financières préliminaires des différents tracés ferroviaires.
  18. Elles sont beaucoup plus que les filles à Halifax et partout au Canada...
  19. Montréal vend des actifs immobiliers 11 février 2008 - 11h18 La Presse Sébastien Rodrigue L'administration Tremblay-Zampino s'apprête à vendre ou à céder une cinquantaine d'immeubles par l'entremise de la Société d'habitation et de développement de Montréal. La SHDM prévoit notamment se départir de l'édifice Chaussegros-de-Léry, dont la valeur marchande dépasse les 100 M$, a appris La Presse. L'administration Tremblay-Zampino a donné son accord à un «plan stratégique» prévoyant la vente de ces immeubles. «Afin que la SHDM puisse s'autofinancer, elle doit rapidement développer, mettre en valeur et céder ses actifs», peut-on lire dans le document. Ce plan a été adopté à la suite de la fusion entre la SHDM et la Société de développement de Montréal en 2006. «Ce n'est pas notre rôle de détenir des immeubles, on est là pour faire du développement», explique le directeur général adjoint de la SHDM, Jean-François Bertrand. La SHDM possède une vingtaine d'immeubles commerciaux avec une valeur foncière d'environ 130 millions. La SHDM a ainsi récemment vendu à QUAM groupe conseils un immeuble de la rue William dans l'arrondissement de Ville-Marie. En vendant cet immeuble 1,2 million, la SHDM estime avoir réalisé un profit de 44 500$. La plupart des propriétés de la SHDM se trouvent dans le Vieux-Montréal. L'édifice Chaussegros-de-Léry est voisin de l'hôtel de ville. L'administration municipale occupe une vaste partie de cet immeuble construit au coût de 80 M$. Montréal paie un loyer annuel d'environ 10 millions de dollars. Le responsable de l'habitation au comité exécutif, Cosmo Maciocia, indique que la Ville souhaite conserver ces locaux et qu'elle est sur le point de renouveler son bail pour une longue période, ce qui augmentera la valeur de l'immeuble. La SHDM a d'ailleurs commandé une évaluation marchande avant de le mettre en vente. Immeubles résidentiels La société possède aussi de nombreux immeubles résidentiels dont la valeur foncière totalise un peu plus de 306 millions. Il s'agit pour la plupart d'habitations à prix abordables ou de chambres. Jusqu'à maintenant, sept immeubles à logements ont été vendus, mais la société ne prévoit pas faire de profits. Ces propriétés sont transférées aux organismes gestionnaires selon leur «capacité de payer». La SHDM s'était portée acquéreur de ces bâtiments dans les années 90 pour les rénover et les vendre aux organismes. «Cette opération aurait dû se faire dans les 10 premières années (...) Nous avons attendu que ce soit rentable avant de les remettre aux organismes», explique M.Bertrand. La SHDM a toutefois vendu deux immeubles résidentiels, rues Sussex et Lincoln, à un entrepreneur privé, Lieberman Realties, pour un peu plus de 10 M$ à la suite d'un appel de propositions. «Ces immeubles requièrent des coûts de rénovations importants (...) les organismes n'étaient pas capables de les acquérir», selon M.Bertrand. Les maisons de chambres connaîtront le même sort. Jusqu'à maintenant, la SHDM a vendu 55 unités et il en reste 242 dans 12 immeubles. La SHDM administre aussi des immeubles subventionnés par la Société canadienne d'habitation et de logement. Aucune discussion n'a toutefois été entreprise pour vendre ces quelque 2082 logements d'une valeur foncière d'environ 100 millions. Selon M.Maciocia, la SHDM doit réduire son parc immobilier parce que celui-ci nécessite des travaux estimé à 13 M$. «C'est une business, on ne veut pas perdre d'argent, on n'est pas là pour faire des profits exorbitants sur le dos de nos groupes, mais tout ce qu'on peut vendre à la réelle valeur marchande, on va le faire», précise M. Bertrand. Le plan de la SHDM vise a dégager des surplus budgétaires afin d'éliminer la contribution financière de la Ville de Montréal de 2,7 millions. La SHDM promet aussi de construire des immeubles pouvant rapporter 18 M$ en impôts fonciers. La SHDM administre déjà le programme Accès-Condo visant à mettre en marché des copropriétés à prix abordables. La SHDM souhaite mettre sur le marché près de 2500 condos et plus de 900 logements abordables en plus d'investir 93 millions pour des projets de revitalisation. La SHDM est notamment impliqué dans la réalisation du projet du Quartier des spectacles. La société collabore aussi avec la Société de transport de Montréal pour planifier le réaménagement des garages Saint-Denis et Frontenac. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080211/LAINFORMER/80211090/5891/LAINFORMER01
  20. Breathing new life into Griffintown Sat, 2008-02-09 13:27. Richard Deschamps A businessman has big plans for the long-neglected Griffintown area of Montreal. Two twin towers of 60 floors each. Ronald Hakim says the first tower will house a private, American-style hospital, equipped with a helicopter pad on the roof-top. The second tower will be occupied by a five-hundred-room hotel, and shops and businesses in the basement. Hakim says in the proposed hospital's basement, he wants to build a station for mayor Tremblay's proposed tramway. Developers have submitted all kinds of proposals to breathe new life into Griffintown, in Montreal's southwest. Some are being seriously considered. Others, like the plan to move the Casino there, have met with stiff opposition. That one was ultimately scrapped.
  21. Tu as raison. De plus, l`histoire du Casino à été un "Wake-up call" pour tout le monde et en particulier pour l`administration Tremblay. Je ne crois pas qu`une telle situation se répètera ici, surtout si le projet est de qualité.
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