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  1. Québec s'est entendu sur le principe avec les médecins spécialistes Il y a 28 minutes QUEBEC (PC) — Québec s'est entendu sur le principe avec la Fédération des médecins spécialistes. L'accord de principe survient au terme d'une période de médiation de huit mois convenue entre les deux parties, en décembre dernier, et dont le mandat avait été confié à Guy Coulombe. La ministre des Finances et présidente du Conseil du trésor, madame Monique Jérôme-Forget, et le ministre de la Santé et des Services sociaux, monsieur Philippe Couillard, ont dit par voie de communiqué se réjouir de l'entente. M. Couillard estime que "les Québécois sortent grands gagnants des négociations qui se terminent". Il rappelle que les discussions ont porté à la fois sur un redressement de la rémunération des 8000 médecins spécialistes membres de la Fédération, et sur le financement de différentes mesures d'amélioration de l'accessibilité et de la continuité des services. Mme Jérôme-Forget précise que "cette entente de principe s'inscrit dans le respect de la capacité de payer des Québécois, mais elle permet surtout d'améliorer la gamme de services offerts et de favoriser un meilleur accès aux soins pour toute la population". Les deux parties ont convenu d'en dévoiler la teneur et les détails conjointement au cours d'une conférence de presse qui sera convoquée dans les prochains jours.
  2. un PDF intéressant sur les réalisations et autres projets dans le Village: http://www.unmondeunvillage.com/client_file/upload/image/ResultatsConvercite.pdf
  3. UQAM: les exigences de Québec feraient doubler le déficit prévu Archives La Presse Presse Canadienne Montréal Le ministère de l'Éducation exigerait de l'Université du Québec à Montréal qu'elle intègre le fiasco immobilier de l'îlot Voyageur dans son plan de redressement, ce qui aurait pour conséquence de doubler le déficit de 2007-2008, le faisant passer de 31 à 60 millions $. Taille du texteImprimerEnvoyervar nsteinWords;nsteinWords = unescape('');document.getElementById("divmotsNStein").innerHTML = nsteinWords;Le ministère estime que l'UQAM ne peut pas se contenter de payer les frais d'intérêts de ses aventures immobilières et doit commencer à rembourser sa dette. Le conseil d'administration de l'UQAM a été informé mardi dernier des nouvelles exigences de Québec, selon «Le Devoir». L'Université aurait décidé de faire la sourde oreille et de mener bataille selon les paramètres qu'elle a définis dans son plan de redressement, déposé en juin dernier. Le conseil d'administration a également résolu de mandater la direction de l'université afin qu'elle réaffirme cette position auprès du ministère et du réseau de l'Université du Québec. La rectrice par intérim, Danielle Laberge, reconnaît que la situation financière de l'UQAM a été aggravée par des projets immobiliers risqués mais elle souligne également que l'établissement a d'abord été mis à mal par un sous-financement chronique. Le plan de redressement de l'UQAM comporte des mesures devant faire passer le déficit cumulé anticipé de 303 à 155 millions $ sur une période de cinq ans. Une augmentation des revenus, par l'intermédiaire des frais afférents aux étudiants, entre autres, et des compressions de dépenses étaient prévues, dont une révision en profondeur des programmes. La ministre de l'Éducation, Michelle Courchesne, a qualifié cette proposition de pas dans la bonne direction, écartant par le fait même une éventuelle tutelle, mais elle n'est pas jugée définitive puisqu'elle ne prend pas en compte le gouffre financier creusé par le projet de l'îlot Voyageur. L'UQAM a appelé à la rescousse l'ancien premier ministre Lucien Bouchard afin de revoir les termes du contrat entre l'université et la firme Busac, qui agit comme promoteur de l'îlot Voyageur.
  4. Wow...Réellement la remarque la plus brillante qu'on a vu sur ce site depuis son ouverture. Félicitation. Si on suit ton extraordinaire logique, il faudrait développer le mont royal, le parc lafontaine, et le parc maisonneuve, parce qu'en terme de rumeurs et de gens pratiquant leurs activitées sexuelles, j'en ai bien plus entendu sur ces parcs que sur l'île Charron. Prends le pas mal, mtl_yul, mais c'est pas fort comme remarque...
  5. mtlurb

    Havres

    parfait!!! On mettre ce projet en construction dès que les premieres pelles vont apparaitre!
  6. Tu l'as dis, ça fait 20 ans que personnes ne voulaient le développer...donc pourquoi on aurait penser changer un réglement pour empêcher une construction si en 20 ans, personnes n'a voulu le développer?
  7. Nice! Je suis un maudit granola! Et oui, on est contre un projet fait sur un espace vert qui sert d'habitat à 200 cerfs quand c'est pas les stationnements de bétons qui manquent à Montréal...et on est de maudits granolas! Y'a autre chose dans la vie que des projets de construction... Le projet respecte les normes environnementales.... Wow!! Ça va assurément remplacer les arbres coupés, trouver un nouvel habitat aux animaux, et ça ne va assurément pas augmenter la circulation sur la 25 le matin. Wow! Good job mon Luc, toi tu sais comment prendre soin de notre planète!
  8. La tarification revue Michel Larose Le Journal de Montréal 30/08/2007 07h23 Des places de stationnement à tarif quotidien seront offertes aux automobilistes qui empruntent le métro de la station Montmorency, à Laval. Une décision qui devrait résoudre la situation bordélique qui y règne depuis son ouverture. Ce matin, le conseil d'administration de l'AMT doit adopter cette mesure pour son stationnement souterrain dont le tarif quotidien se situerait entre 6 $ et 7,50 $. Le stationnement en surface de 665 cases demeurera quant à lui gratuit. Actuellement, celui-ci est vite rempli le matin. Or, au sous-sol, toutes les cases, au nombre de 698, se louent 60 $ mensuellement. Ces places réservées sont boudées par les automobilistes. Plusieurs d'entre eux n'utilisent en effet le métro qu'à l'occasion et ne veulent donc pas d'un permis mensuel. Pas de règlement Ainsi, les automobilistes préfèrent stationner gratuitement dans les rues et les terrains vacants, au plus fort la poche, créant une situation pour le moins bordélique, voire anarchique. Le secteur n'ayant aucune vocation résidentielle ou commerciale, il ne fait l'objet d'aucune signalisation municipale. «L'AMT doit attirer les automobilistes vers son stationnement. On lui laisse le temps de préparer ses stratégies commerciales», dit Marc Laforge, porte-parole de la Ville de Laval. Déneigement Il ajoute toutefois que la signalisation interdisant le stationnement dans les rues fera son apparition cet hiver afin de permettre le déneigement du secteur. La porte-parole de l'AMT, Marie Gendron, estime que la tarification quotidienne des deux tiers des places souterraines répondra mieux à la demande. «Le reste sera loué au tarif de 80 $ par mois», ajoute-t-elle. On parle donc d'une augmentation de 20 $ pour le permis mensuel. 4 millions$ La construction du stationnement a été financée à 40% par le ministère des Transports, l'AMT assumant le reste. On estime le coût d'un stationnement étagé comme celui de la station Montmorency à quelque 4 millions de dollars. Les gestionnaires doivent trouver les moyens de l'autofinancer. Selon les plans de la Ville, le secteur entourant le métro accueillera éventuellement un campus de l'Université de Montréal.
  9. http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2007/08/29/005-Ile-Charron-projet-immo_n.shtml 18 000 noms contre le projet immobilier Une coalition d'organisme environnementaux, formée par Nature Québec et les conseils régionaux de l'environnement (CRE) de Montréal et de la Montérégie, interpelle de nouveau la ministre de l'Environnement pour qu'elle bloque le projet de développement immobilier de l'île Charron au sud de Montréal. Forte de l'appui de 18 000 signataires d'une pétition, la coalition tente depuis le mois de juin de forcer la ministre Line Beauchamp à mettre le terrain de 24 hectares - acheté par le promoteur - à l'abri du développement résidentiel. Adossé au parc national des îles de Boucherville, le terrain devrait être annexé au parc national par la ministre Beauchamp, selon la coalition. Le promoteur veut un projet vert Inquiète du projet, la ministre Beauchamp refuse de commenter le dossier pour le moment. Son ministère poursuit des discussions avec le mouvement Desjardins qui était propriétaire du terrain avant de le vendre au promoteur Luc Poirier. Le promoteur immobilier de Longueuil a acheté le terrain de l'île Charron dans les îles de Boucherville pour y développer un projet de 2000 unités de logement. Les environnementaux dénoncent le projet qui aura un impact environnemental sur la faune du parc. Le promoteur souhaite y construire des maisons, un complexe d'hôtels-condos, des commerces et une marina. Il a également procédé à une demande de changement de zonage pour permettre la construction d'édifices en hauteur. M. Poirier a acheté les terrains de la Société Desjardins Sécurité financière pour la somme de 6 millions de dollars. Le mouvement Desjardins est d'ailleurs montré du doigt pour avoir omis d'offrir les terrains au parc national avant de les céder au promoteur. Un habitat naturel Le directeur général du parc des Îles-de-Boucherville, Serge Perreault, déplore la perte du deuxième boisé en importance de l'archipel. La vente de ce boisé constitue une perte d'habitat pour les quelque 200 têtes de cerfs de Virginie. Bien que les terrains acquis par le promoteur immobilier de Longueuil soient situés à l'extérieur du parc national, l'histoire n'est pas sans rappeler la saga du Mont-Orford où le gouvernement de Jean Charest a tenté de vendre une partie du parc à un promoteur. De son côté, la Ville de Longueuil confirme que le zonage du secteur permet la construction résidentielle, et ce, depuis 20 ans. Elle n'a pas l'intention de modifier le zonage pour empêcher le développement immobilier.
  10. René Vézina Blogue à part Observateur et commentateur privilégié de l’économie québécoise depuis plus de 20 ans, René Vézina fait le point sur un monde en évolution constante. Il jette un regard critique sur les événements et les vulgarise pour faire ressortir les enjeux cachés. Tous les articles Le fédéral, comme la femme d'un sultan du pétrole Comme symbole, c'était extraordinaire. Vendredi, une partie du centre-ville de Montréal menaçait de s'effondrer, faute d'entretien (et de ressources pour le faire). Le même jour, Ottawa annonçait que son surplus budgétaire, lui, filait tout droit vers la stratosphère, faute, probablement, d'occasions de le dépenser. Pour les trois premiers mois de l'exercice financier 2007-2008, l'excédent des revenus sur les dépenses (au fédéral) a atteint 6,4 milliards (G) $ alors que le ministre des Finances Jim Flaherty entrevoyait un surplus de 3 G $ pour L'ENSEMBLE de l'année. Et ce, malgré des transferts plus costauds aux provinces et des dépenses en hausse de presque 8 % durant cette même période. Mais ne débouchez pas le champagne tout de suite. Il y quelque chose qui cloche. Aux dernières nouvelles, le gouvernement fédéral n'était pas une société à but lucratif. Il n'est pas supposé prélever plus d'argent qu'il n'en a besoin. Autrement dit, il nous rançonne, tout en n'en distribuant pas assez. On pense à ces richissemes dames, épouses d'un sultan milliardaire de pétrole, qui courent pour acheter tout ce qu'elle voit dans les magasins chic mais qui n'arrivent pas à tout dépenser. Quoiqu'elles fassent, il leur en reste. C'est pareil pour le fédéral. Évidemment, personne ne sera trop étonné : ça fait des années qu'on nous serine en disant que la manne achève, que le prochain exercice sera plus serré... pour apprendre un peu plus tard que le fric continue de débouler vers Ottawa. Oui, c'est un signe que l'économie est vigoureuse est c'est rassurant. Mais que devrait-on faire avec ? On se dirige vers un surplus spectaculaire : il serait logique de poser des gestes spectaculaires. Alors, des réductions d'impôt massives ? Ou un gros remboursement de la dette accumulée qui avoisine encore les 500 G $ ? Ou un réinvestissement stratégique dans les programmes ? Ou un soutien providentiel là où c'est nécessaire, comme du côté des infrastructures et de la santé ? Ne craignez rien, les demandes doivent déjà affluer. Ce sera un casse-tête, mais un beau. Il y a de bonnes chances pour que vous ayez contribué vous aussi à ce trésor. Vous avez voix au chapitre. Qu'est-ce que vous feriez avec tout ce surplus ? On fait des folies ou pas ?
  11. Privatiser Hydro-Québec, IDEM relance l’idée Les Québécois pourraient s’enrichir s’ils payaient leur électricité plus cher à une Hydro-Québec privatisé! Claude Garcia et Marcel Boyer relancent le débat. Claude Garcia est l’ancien président de Standard Life; Marcel Boyer est le vice-président et économiste en chef de l’Institut économique de Montréal. Tous deux ont relancé ce mercredi le débat sur la privatisation d’Hydro-Québec lors d’une conférence débat de l’Institut économique de Montréal. Ce n’est pas la seule privatisation, mais surtout l’augmentation des tarifs qui l’accompagnerait qui rendraient les Québécois plus riches. Le raisonnement des deux économistes est le suivant : À payer l’électricité à bas prix, on en gaspille alors qu’on pourrait en vendre davantage à nos voisins américains. Si les Québécois payaient leur électricité au tarif du marché, ils l’utiliseraient de manière plus judicieuse. Moins de chauffage à l’électricité, plus de gaz naturel, moins d’utilisation aux heures de pointe. Conséquence : Hydro-Québec disposerait d’un surplus d’électricité qu’elle pourrait vendre aux États-Unis à trois, voire quatre fois le prix actuel. les New-Yorkais paient bien le KWh à 19,2 cents alors que les Québécois n’en paient que 6,6 cents! Au final, Hydro-Québec amènerait plus d’argent dans les caisses de l’État québécois qui en profiterait pour rembourser la dette publique et alléger le fardeau fiscal des québécois. Si ce n’est qu’une question d’augmentation de tarifs, pourquoi privatiser et ne pas permettre à la direction actuelle d’Hydro-Québec de le faire? «Hydro-Québec doit changer de propriétaire pour changer de mandat», clame Marcel Boyer. Sa mission actuelle est de produire de l’électricité au meilleur coût. « Non sens! Demandez lui plutôt de maximiser la richesse québécoise», dit-il. Pour Claude Garcia, la privatisation relève d’un souci d’émancipation de l’administration publique. «On ne peut pas faire passer une augmentation de 5 cents à 10 cents quand on est un gouvernement minoritaire», réplique Claude Garcia. De plus, il pense que la maximisation des richesses n’est pas dans l’ADN des gestionnaires publics. Claude Garcia est d’ailleurs en faveur d’une privatisation totale d’Hydro-Québec. De quoi ramener un 123 G$ dans les caisses de l’État et effacer les 122 G$ de dette publique actuelle. Marcel Boyer propose, pour sa part, d’y aller plus lentement : 25% dans un premier temps, histoire de secouer le cocotier au conseil d’administration. Claude Garcia n’y voit pas l’intérêt. « Si le conseil d’administration est composé à 75% d’officiers publics et que le président émane du public, rien ne va changer», soutient-il. Si la privatisation d’Hydro-Québec leur semble une évidence, Marcel Boyer et Claude Garcia s’accordent pour dire que vendre l’idée au public ne sera pas une mince affaire. Pessimistes sur la capacité de la sphère politique, tous partis confondus, à mener à bien cette réforme, les deux économistes ont choisi une autre stratégie. «On ne cherche pas l’appui des politiciens mais l’appui de la population!» dit Marcel Boyer.
  12. Bombardier posts 2Q loss, plans to stop layoffs, prepares to boost aircraft production The Associated Press Published: August 29, 2007 MONTREAL: Canadian aircraft and train maker Bombardier Inc. has canceled its announced employee layoffs and may soon recall some workers after deciding to boost production of regional and business aircraft. "Today we are talking more about stability in our organization and we'll see in some cases if we will recall some employees," Bombardier Aerospace president Pierre Beaudoin said Wednesday in a conference call to discuss second quarter results. Bombardier lost $71 million (€52 million) in the April-June period in contrast to a profit of $58 million (€42.5 million) a year ago. It cited an expected $162 million (€119 million) writedown on its investment in the Metronet Rail upgrade of the London subway system. Consolidated revenues rose to $4 billion (€2.9 billion) in the period ended July 31, compared to $3.5 billion a year ago. But its earnings from operations before special items amounted to $91 million (€67 million), or 5 cents per share. Analysts polled by Thomson Financial had looked on average for earnings excluding items of 4 cents per share in the quarter. Today in Business The world's fourth-largest airplane manufacturer had completed 874 of 1,330 planned layoffs. The layoffs to date include 390 people at its facility in Mirabel, north of Montreal. The employee recall may be required because the Montreal-based company plans to increase aircraft production on the strength of its improved backlog and confirmed commitment from suppliers. Bombardier Aerospace's backlog has grown by 38 percent since the start of the fiscal year to a record $18.2 billion (€13.3 billion). Net orders for the second quarter have more than doubled to 187, including 84 for regional aircraft. That compares to orders for nine aircraft in the same period of 2006. Strong demand and rigorous management of costs have generated the solid quarterly results in both aerospace and transportation, chairman and CEO Laurent Beaudoin told analysts and media. "Once again we are seeing the results of our continued efforts with both groups steadily improving profitability, as well as free cash-flow generation," he said. The company's overall backlog has reached a record $47.9 million (€35 million). "Both regional as well as business aircraft have attracted this excellent level of new orders, a tribute to the diversification of our product portfolio," he added. The transportation business has seen new orders from emerging markets such as China, India and Russia. The results were announced as tight restrictions have been placed on continued operation of Bombardier's CRJ100 and CRJ200 by U.S. and Canadian aviation regulators after increasingly frequent instances of stuck or improperly operating flaps. Pierre Beaudoin, who is a son of Laurent and a grandson of company founder J. Armand Bombardier, said changes that will be implemented won't have a material impact on the company's bottom line. Initial upgrades are being developed, including a complete redesign of the flaps for the two older aircraft models. Later models of the regional jets have different designs and aren't affected.
  13. Les structures privées de Montréal seront inspectées Gérald Tremblay Photo : archives PC Sébastien Rodrigue La Presse La ville de Montréal a annoncé cet après-midi un programme d'inspection des structures souterraines privées à Montréal. Jusqu'a maintenant, la ville ne disposait que d'un inventaire des 61 structures appartenant a 45 propriétaires. Taille du texteImprimerEnvoyer À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Ressources naturelles (100%) Rivières (60%) À consulter aussivar nsteinWords;nsteinWords = unescape('%3Cdiv%20id%3D%22motsNStein%22%3E%3Cdiv%20class%3D%22liens%22%3E%3Cul%3E%3Cli%3E%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FCPNSTEIN%26TaxIDList%3D6006000%26Word%3DRessources%2520naturelles%22%3ERessources%20naturelles%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FCPNSTEIN%26TaxIDList%3D6006006%26Word%3DRivi%25E8res%22%3ERivi%E8res%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3C%2Ful%3E%3C%2Fdiv%3E%3C%2Fdiv%3E');document.getElementById("divmotsNStein").innerHTML = nsteinWords; Ceux-ci seront invités à transmettre leur programme d'inspection ainsi que les résultats. Le maire de Montréal, Gerald Tremblay, estime que cette nouvelle procédure permettra de prévenir des incidents comme ceux de la fin de semaine sur le boulevard Maisonneuve. Vendredi dernier, une fissure dans la dalle de béton du tunnel menant du métro McGill au magasin la baie a cause la fermeture d’un large périmètre routier et de la ligne verte du métro. La ville poursuit d'ailleurs son analyse du bris. Les travaux de réparation devraient commencer d’ici la fin de l'année ou au début de 2008.
  14. On ne peut pas être contre un pont construit et payé par le privé. L'étalement urbain est inévitable, et il faudra tôt ou tard construire le pont puisque Laval et Montréal sont des iles, et que les ponts actuels sont saturés.
  15. mtlurb

    Les 30 ans de la loi 101

    Laval est une non-entité qui sera fusionné un jour je l'espère.
  16. mtlurb

    Les 30 ans de la loi 101

    KT: you just proved my point, I am a very proud Montrealer first and foremost. When people ask me where I am from, I just say Montreal and thats it.
  17. Pas d'hotel de luxe? Le W, Crystal, Sofitel, Godin, et plusieurs hotels boutique dans le vieux qui se sont ajoutés ses dernières années ne comptent pas? Le W est le seul au Canada faut pas l'oublier! (30 dans le monde je crois).
  18. Le 14 millionième visiteur franchira les portes du Biodôme le 29 août, vers 11 h MONTREAL, le 29 août /CNW Telbec/ - Le Biodôme de Montréal invitecordialement les médias à rencontrer son 14 000 000e visiteur, attendu engrandes pompes le mercredi 29 août vers 11 h. Un accueil mémorable attend le 14 000 000e visiteur. En plus d'une visitehors des sentiers battus, il aura le privilège de nourrir, avec un aquariste,les poissons du grand bassin du Saint-Laurent marin.
  19. Merci ouaouaron! J'aillais justement faire une petite tournée aujourd'hui. J'espère que tu me laisseras des chantiers! J'étudies...Eh oui! Je suis un p'tit jeune!
  20. ^^^On se calme s'il-te-plaît. C'est frustrant, je sais, ce l'est pour moi aussi, mais c'est juste un projet, c'est pas comme si c'était réellement essentiel à notre vie que le Chum ait 16 étages au lieu de 10 ou moins.
  21. C'est pas la première fois qu'on dit qu'il manque de chambre à Montréal ces derniers temps. C'est d'ailleur dans un article comme celui-là qu'on avait su que le 400 allait avoir un Hilton. Je suis confiant qu'on aura droit à une grande chaîne d'hôtel bientôt. On a juste a penser aux hôtel Shangri-la. La chaîne construit, en ce moment, le plus haut immeuble de Vancouver et construit une tour de plus de 200 mètres a Toronto. J'imagine que la prochaine grande ville sur la liste au Canada...c'est Montréal... Ce que je veux dire, c'est que je crois que si dans les prochaines années ont a une nouvelle haute tour à Montréal, ce sera un hôtel.
  22. Bilan du tourisme à Montréal Un été qui ne passera pas à l’histoire Mise en ligne 29/08/2007 04h00 On error resume nextuseFlash316 = NOT IsNull(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))isIe = true Yvon Laprade Le Journal de Montréal La saison touristique de l’été 2007 à Montréal ne passera pas à l’histoire, mais dans l’ensemble, restaurateurs et hôteliers ne devraient pas souffrir d’une baisse marquée du taux de fréquentation, selon Tourisme Montréal. «Ce ne sera ni la catastrophe, ni l’eldorado», a confié hier au Journal de Montréal le porte-parole Pierre Bellerose. Il s’attend à ce que le bilan - qui sera complété vers la mi-septembre - sera similaire à celui de l’été 2006. Il hésite à conclure qu’il y a eu moins de touristes américains dans les rues de la ville cet été, comme ce fut le cas l’an dernier. Mais dans les hôtels et les restaurants, le constat est sans équivoque. «Il y a moins de touristes américains, c’est clair, on le voit. En revanche, ça parle beaucoup l’allemand et l’espagnol dans le Vieux. «Il y a aussi beaucoup de Mexicains dans la ville», observe, de son côté, le directeur général de la Société de développement commercial du Vieux-Montréal, Jean Perron. Pour sa part, Jean-Pierre Ousset, propriétaire du restaurant français La Gargote, place d’Youville, se dit étonné de voir «autant de touristes français et espagnols». «On a la chance d’avoir les Européens pour compenser la perte des touristes américains», note-t-il. Il se plaint toutefois du «harcèlement» des préposés au stationnement de la Ville de Montréal, «qui nous font un tort considérable en distribuant des tickets à nos clients». «On travaille d’arrache-pied pour vendre le Vieux-Montréal. Mais cette insistance qu’ont les préposés au stationnement à sévir à la minute près (après l’expiration du parcomètre) nuit à notre image», ajoute-t-il. Taux d’occupation (s.t.) En juillet, le taux d’occupation des grands hôtels a atteint 75,5 % contre 76,2 % en 2006. Les chiffres ne sont pas disponibles pour le mois d’août, mais selon Bill Brown, de l’Association des hôtels du Grand Montréal, le taux d’occupation devrait osciller autour de 80,3 %, comme l’an dernier. Il qualifie la saison touristique de «moyennement satisfaisante». «On ne battra pas de records mais on s’en tire bien, en dépit de plusieurs facteurs incontrôlables, dit-il. On a eu du mauvais temps (début juillet) et on a dû composer, entre autres, avec la force du dollar canadien, qui a découragé les Américains de venir en vacances chez nous.» Revenus (s.t.) Un fait demeure: l’industrie du tourisme à Montréal mise sur la saison estivale pour gonfler ses revenus. Les deux tiers de l’achalandage et des revenus sont réalisés de mai à septembre. Cette industrie attire annuellement 7,5 millions de touristes qui dépensent 2,5 milliards de dollars, selon Tourisme Montréal.
  23. Oui c'est abandonné depuis longtemps. Cherche sur google, tu pourrais tomber sur un rendu!.
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