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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. répliques ou pas, elle sont réellements géantes et impressionantes!
  2. Le lundi 10 septembre 2007 Train rapide Québec-Montréal : Couillard appuie le projet Après feu la mairesse Boucher, c’est au tour de Philippe Couillard de donner son aval à la création d’un train rapide. Il n’écarte pas la possibilité que le gouvernement du Québec puisse le financer. Photothèque Le Soleil, Steve Deschênes Pierre Pelchat Le Soleil Québec Tout comme feu la mairesse Andrée Boucher, le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Philippe Couillard, appuie le projet d’un train rapide entre Québec et Montréal « C’est un projet d’une importance vitale pour le gouvernement, pour moi, pour le développement futur de la région pour les 20, 25, 30 prochaines années. Pas seulement pour le tourisme, mais également pour l’économie en général », a-t-il affirmé, hier, après avoir prononcé une allocution devant quelque 200 membres de l’Office du tourisme de Québec. Pas un TGV Il a rappelé que le premier ministre Jean Charest, de concert avec le milieu des gens d’affaires de la région, est derrière un projet de train rapide et non de TGV (train à grande vitesse). Le ministre n’a pas écarté la possibilité que le gouvernement du Québec contribue à la réalisation de ce projet, bien que le service de transport de personnes par train soit assuré par Via, une société qui relève du gouvernement fédéral. « On n’en est pas là. Il faut d’abord qu’on s’entende dans la région pour dire que c’est un projet prioritaire. Dans une région, quand tout le monde est d’accord, ça va toujours mieux. Il faut que tout le monde se mette derrière ce projet-là », a-t-il avancé. Le ministre a dit souhaiter que la Conférence régionale des élus de la Capitale-Nationale, qui regroupe 30 élus municipaux, 14 représentants des milieux socio-économiques et un représentant de la Nation huronne-wendat, soutienne formellement le projet de train rapide. Le président de la Conférence et maire de Baie-Saint-Paul, Jean Fortin, a indiqué que son groupe n’avait pas pris position concernant le projet d’un train rapide. « Nous sommes en discussion avec le Bureau de la Capitale-Nationale pour définir le mandat d’une étude sur l’accessibilité à la région qui inclurait le service de transport de personnes par train », a-t-il affirmé. La Conférence régionale des élus pourrait prendre une position préliminaire sur le projet de train rapide au cours des prochaines semaines. Hier, le ministre Couillard a confirmé la reconduction d’une subvention annuelle de 1 million $ à l’Office du tourisme, et ce, pour les trois prochaines années.
  3. Les salaires, source d'inquiétude pour les entrepreneurs 7 septembre 2007 | Presse Canadienne, De nombreux employeurs canadiens indiquent que maintenir leurs salaires à un niveau concurrentiel s'avère problématique et qu'ils envisagent des solutions plus rentables pour attirer et retenir leurs employés. Pour en savoir plus Salaires Article connexe C'est l'un des faits saillants de la 29e enquête annuelle sur les augmentations de salaire au Canada menée par Hewitt & Associés. La recherche précise que les solutions de rechange aux augmentations prodigieuses des salaires de base comprennent des stratégies de rémunération au rendement, ainsi que des démarches pour s'assurer que les employés connaissent la valeur réelle de l'ensemble des éléments inclus dans leur programme de rémunération, notamment les avantages sociaux. A l'heure actuelle, 80 pour cent des organisations offrent des programmes de rémunération variable. D'autre part, Hewitt & Associés rapporte qu'à l'échelle du Canada, les organisations projettent des augmentations au salaire de base de 3,8 pour cent en 2008. En moyenne, le salaire de base a augmenté de ce même pourcentage cette année, comparativement à 3,6 pour cent en 2006. Ces données reflètent les augmentations salariales réelles et prévues aux Etats-Unis, selon l'étude. Pratiquement aucune organisation canadienne n'a appliqué de gel salarial en 2007, et aucune ne prévoit cette mesure en 2008. En 2007, les taux des augmentations salariales ont varié de 3,7 pour cent à Vancouver, à 3,4 pour cent à Montréal et à 3,3 pour cent à Toronto. Cette année, les augmentations salariales moyennes consenties dans l'ensemble des industries ont varié de 3,2 pour cent pour les employés syndiqués à 4,1 pour cent pour les cadres. Les augmentations projetées pour 2008 s'échelonnent de 3,1 pour cent pour les employés syndiqués à 4 pour cent pour les cadres. Les hausses salariales les plus marquées ont été relevées dans le secteur de l'énergie, de 6,3 pour cent, en moyenne. Le secteur public, la construction et l'ingénierie et l'aérospatiale ont aussi affiché des augmentations supérieures à la moyenne canadienne. Les industries où l'on prévoit les augmentations de salaire les plus faibles en 2008 comprennent l'automobile, l'hôtellerie et la restauration, l'imprimerie, les produits forestiers et celle des papetiers et de l'emballage.
  4. Marché du travail: optimisme face à l'embauche 15:20 | Léonie Laflamme-Savoie , LesAffaires.com Près de 25% des employeurs canadiens auraient l’intention d’embaucher de nouveaux employés durant le prochain trimestre alors que seulement 9% envisageraient de réduire leurs effectifs. Pour en savoir plus Embauche marché du travail Canada Article connexe C’est ce que révèle une enquête de la firme Manpower menée auprès de 1700 employeurs afin de connaître les perspectives d’emploi pour la période d’octobre. Une large majorité d’employeurs, 64% des répondants, ont choisi de garder leurs effectifs stables. « Le taux net d'emploi potentiel canadien pour le prochain trimestre (19%) permet de croire que les activités de recrutement favorables que l'on a connues au dernier trimestre devraient se poursuivre », soutient Mme Lori Rogers, vice-présidente des opérations chez Manpower Canada. Au Canada, la palme de l’embauche revient sans surprises à l’Ouest canadien, avec un taux net de 31%, et entraîne avec lui les secteurs des mines et celui de la construction qui sont les deux secteurs où la croissance de l’embauche sera la plus forte. Au Québec Pour le mois de septembre, l'indice Jobboom redescend de 1,4 point et passe à 96% au Québec. Près de 1400 emplois ont été créés dans la province en août alors que le Québec avait perdu 400 emplois en juillet. C’est le secteur de la production de biens qui a créé le plus d’emplois (17 700 postes) suivi par l’agriculture (7 100 postes) alors que, crise forestière oblige, le secteur des forêts, des mines et de la pêche a connu une perte de 2400 postes. La région de Québec a créé le plus d’emplois (7 400 postes) en août, suivie par la région de Montréal (6 500 postes) alors que le Saguenay a connu la plus lourde perte d’emplois (800 postes de moins). Quant au Québec, le taux net d’emploi potentiel est de 3% pour le prochain trimestre. Le secteur financier Près de 19% des directeurs des finances envisagent d’embaucher de nouveaux employés à temps plein au cours d’un prochain trimestre alors que 5% prévoient réduire leur effectif. Selon l’étude, menée par Robert Half International auprès de 270 directeurs financiers, 44% des répondants estiment que ces nouvelles embauches découleraient d’une croissance des activités alors que 39% soutiennent qu’elles sont liées à une croissance de la charge de travail. « La croissance soutenue des activités et l'importance accordée aux mesures de conformité ont stimulé la demande de professionnels en finance et en comptabilité », explique David King, vice-président directeur de Robert Half International. Les employeurs les plus optimistes sont ceux œuvrant dans des entreprises de services (37%), suivis par le secteur des assurances et de l’immobilier avec 32%. «Les gens de talent étant de plus en plus en demande, les entreprises doivent être capables d'évaluer les candidats rigoureusement et leur faire une offre d'emploi rapidement, puisque souvent, les cadres expérimentés ont l'embarras du choix », poursuit David King.
  5. Immobilier: la revente à Montréal croît de 12 % 15:03 | Presse Canadienne, Le marché immobilier de la revente dans la grande région de Montréal a poursuivi sa lancée pour un huitième mois consécutif en août avec une croissance d'une année à l'autre de 12 % du nombre de transactions résidentielles. Selon les données publiées par la Chambre immobilière du Grand Montréal issues de son système MLS, au total, 3752 transactions ont été enregistrées en août, ce qui porte à 40 465 le nombre de ventes de propriétés conclues depuis le début de l'année, représentant une croissance de 14 %. Le marché de la revente de copropriétés a encore une fois donné le ton avec 842 transactions enregistrées sur le système MLS, soit 23 % de plus qu'en août 2006. Le prix moyen des copropriétés a progressé de 3 % en août 2007, par rapport à la même période l'année dernière. La revente de maisons unifamiliales a quant à elle enregistré une croissance de 8 pour cent, avec 2367 transactions compilées, comparativement à 2182 en août 2006. Le prix de vente moyen a atteint 230 000 $, en hausse aussi de 9 %, comparativement à 212 000 $ au cours du même mois l'année dernière. Un autre signe que le marché de la revente demeure vigoureux, selon la CIGM, est que le nombre de propriétés à vendre a connu une baisse de 2 %. En août dernier, le volume des ventes enregistrées par le système MLS de la CIGM a atteint près de 900 millions $, soit 18 % de plus que pour la même période l'année dernière. Le territoire couvert par la CIGM comprend les régions de Montréal, de Laval, de la Montérégie, des Laurentides et de Lanaudière.
  6. Draxis to create up to 100 jobs after chosen by J&J for contract manufacturing 6 days ago MONTREAL (CP) — Pharma company Draxis Health Inc. (TSX:DAX) is building a new Montreal plant and hiring up to 100 people after the company's contract manufacturing division expanded its existing relationship with Johnson & Johnson, one of the world's biggest consumer products companies. The contract expansion will lead to between 80 to 100 new positions at Draxis Pharma operations in the Montreal area and require the building of a new secondary plant, in addition to the current Draxis manufacturing plant in suburban Kirkland, the company said Wednesday. On the Toronto Stock Exchange, Draxis stock jumped 34 cents to trade at $5.39, a gain of 6.7 per cent as investors reacted positively to the news. Draxis said the new deal with Johnson & Johnson Consumer Companies Inc. could mean another US$120 million in revenues over five years to the Canadian company. In addition, the transfer of equipment and production technologies, now in progress, is expected to generate additional revenues this year and next of between US$6 million and US$8 million. The supply deal, which runs to the end of 2013 and can be extended, involves the manufacturing of non-sterile specialty semi-solid products currently sold in the United States. Commercial production is expected to begin in 2009. "The signing of this contract is a reflection of the solid business model at Draxis," said Martin Barkin, president and CEO of the Toronto-area company. "We are honoured to have been selected from more than 80 international contract manufacturers under a rigorous and comprehensive global selection process conducted over an extended multi-year period. "This contract includes prescription and non-prescription products and will significantly improve capacity utilization in the semi-solids section of our non-sterile operations." As a result of the manufacturing deal, Draxis plans to build a new secondary plant to handle labeling, product assembly for different markets, cartoning and shipping. The new operation is slated to open next summer and will complement the company's production plant in Kirkland, in west-end Montreal. The jobs expansion is good news for the local Montreal economy, which has also seen other drug developers expand operations in recent months. In June, global drug giant GlaxoSmithKline (NYSE:GSK) announced it has spent $50 million to upgrade its laboratory north of Montreal into the North American research and administrative headquarters for its vaccine division. GlaxoSmithKline, based in Britain, is a world leader in the vaccine business. The company has 3,300 employees in Canada, including 1,400 in Quebec. Draxis, based in Mississauga, Ont. makes sterile products such as injectable liquids, ointments and creams, non-sterile products as well as radiopharmaceuticals for diagnostic imaging and treatment. The company employs about 500 people at its Montreal plant. Last year, Draxis generated a profit of US$11.5 million on revenues of just under US$90 million.
  7. Projet d'oléoduc entre Lévis et Montréal Le BAPE donne son accord Dernières nouvelles La raffinerie Ultramar à Lévis (archives) Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) appuie le projet d'oléoduc d'Ultramar entre la raffinerie de Lévis et le terminal de Montréal-Est. Le BAPE considère que le transport du pétrole est plus sécuritaire et plus flexible par oléoduc que par train ou par navire. Le BAPE évalue que la capacité de production actuelle des raffineries du Québec et de l'Ontario ne répond pas à la demande intérieure. Il manquerait actuellement 100 000 barils par jour. Selon l'organisme, ce déficit pourrait être en partie comblé par la construction du nouvel oléoduc, le pipeline Saint-Laurent, puisqu'Ultramar espère ainsi transporter deux fois plus de barils de pétrole par jour entre Lévis et Montréal, soit 100 000 barils quotidiennement. Le BAPE estime également que le pipeline Saint-Laurent produirait moins de gaz à effet de serre. Inquiétudes Le projet soulève toutefois certaines inquiétudes, particulièrement auprès des producteurs agricoles. Selon la présidente du secteur Kennedy de l'Union des producteurs agricoles (UPA), Gaétane Dallaire, plusieurs agriculteurs ne souhaitent pas que l'oléoduc passe sur leurs terres puisqu'ils craignent notamment de l'endommager avec leur machinerie agricole et d'en être tenus responsables. Le BAPE mentionne à cet effet, dans son rapport, que le tracé de l'oléoduc doit être revu. En plus de traverser plusieurs terres agricoles, le tracé actuel contribuerait à accroître le déboisement des zones forestières. Le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement suggère que l'oléoduc longe plutôt l'autoroute 20 et emprunte des emprises de l'oléoduc de l'entreprise ESSO. Le BAPE recommande également que des consultations publiques soient menées à ce sujet. L'UPA pourrait également proposer un autre tracé au cours des prochaines semaines. Ultramar reste sur ses positions De son côté, Ultramar rejette la possibilité de revoir le tracé du futur oléoduc entre Lévis et Montréal ou de mener des consultations publiques à ce sujet. L'entreprise soutient que les dangers sont pratiquement inexistants et qu'elle assumerait la responsabilité advenant une rupture de l'oléoduc. Selon le porte-parole d'Ultramar, Michel Martin, la pétrolière a déjà fait ses devoirs. « Depuis le tout début, on a rencontré une multitude de gens tout le long du tracé proposé. Il y a de nombreux aménagements qui ont été faits le long du tracé pour résoudre les problématiques qui se présentaient localement. » Ultramar espère que la construction de l'oléoduc débutera d'ici le début de l'année 2008.
  8. On répare avant de démolir André Beauvais Le Journal de Montréal 10/09/2007 08h09 Le béton du tronçon surélevé de l'autoroute Bonaventure, au pied de la rue University, est dans un tel état de détérioration que la Ville de Montréal dépensera 1,5M$ pour le réparer, bien que ce tronçon doit être démoli dans deux ans! Votre opinion: Êtes-vous d'accord avec les dépenses faites par la Ville de Montréal? Au total, d'ailleurs, la Ville aura dépensé 3,2 M$ depuis 2005 pour sécuriser cette voie élevée vouée à la démolition à court terme. Cette partie de l'autoroute, qui a été construite il y a 40 ans, doit en effet être démantelée en 2009 pour faire place à un grand boulevard qui permettra de développer le centre-ville jusqu'au bassin Peel. Le conseiller Sammy Forcillo, responsable des infrastructures à la Ville, a déclaré au Journal que «le problème des infrastructures est tellement important qu'il plonge parfois Montréal dans des situations qui peuvent paraître loufoques«. «Raison de plus, dit-il, pour que les gouvernements réalisent une fois pour toutes qu'ils doivent nous soutenir sérieusement dans le redressement des finances et le rajeunissement des infrastructures.» Un autre million de dollars a été prévu dans le budget pour d'autres interventions possibles l'an prochain au cas où le projet de démolition serait retardé. «Ça peut paraître bizarre ce genre de situation, mais on ne joue pas avec la sécurité publique.» 16 M$ pour dix ans Il estime qu'il en aurait coûté au moins 16 M$ pour des travaux majeurs qui n'auraient permis de prolonger la voie élevée que d'une dizaine d'années, «après quoi tout aurait été à recommencer». Des inspections réalisées en 2006 et 2007 ont forcé la Ville à sécuriser «les endroits où il y a présence humaine sous le tablier de l'autoroute qui va du canal de Lachine à la rue University», indique un document de régie interne à la Ville. De grandes plaques de béton se détachent souvent du tablier en dessous duquel se trouvent une cour de voirie municipale et six artères très fréquentées. Au début de 2005, la Ville a dû consacrer 500000 $ à la réparation d'une dalle de béton qui fut complètement perforée sur une superficie d'un demi-mètre carré. L'an dernier, des travaux de pavage de 1,2M$ ont été réalisés pour la sécurité des automobilistes. La Ville de Montréal est propriétaire de ce tronçon de 1,1 km de l'autoroute qui se trouve en territoire montréalais. 400 000 $ pour commencer les études À la fin du mois de juillet dernier, le gouvernement du Québec a annoncé un octroi de 400 000 $ à la Société du Havre pour entreprendre les études de l'avant-projet de réaménagement de l'autoroute Bonaventure au pied de la rue University. C'est à la Société du Havre que l'administration Tremblay-Zampino a confié la direction de ce projet de transformation de l'autoroute. 6 M$ pour l'avant-projet La Ville investira plus de 6 M$ dans l'exécution de l'avant-projet détaillé de tout le développement commercial et résidentiel du vaste secteur de canal de Lachine et du bassin Peel. Le calendrier d'exécution prévoit que l'avant -projet sera entrepris l'an prochain et que les travaux de démolition commenceront en 2009, qui est une année d'élection générale à Montréal.
  9. wow superbe nouvelle !!!! Une ville renaît quand ses quartiers délaissés d'antant renaîssent.
  10. Yara, j'ai pas d'autres raisons pour aller au centre ville que celle que j'ai nommé plus haut, alors oui c'est précis, mais c'est ce qui me touche. Les gens vont de moins en moins au centre ville et feront tous pour l'éviter.
  11. mtlurb

    Bell : actualités

    j'arrive pas a visualiser ce building.
  12. Voici un rendu plus récent et surtout plus beau des phase 2 et 3.
  13. Montreal to host 2009 WorldCon *************************************************** Site selection for the 67th World Science Fiction Convention was conducted this weekend at Nippon 2007, the 65th WorldCon, taking place in Yokohama, Japan. The 67th WorldCon will be held August 6-10, 2009 at the Le Palais des congres de Montreal (Montreal Convention Center), with the Delta Montreal as the host hotel. Rooms will be $169CDN/night for double occupancy. Special Guests will include: Neil Gaiman (Guest of Honour) Elisabeth Vonarburg (Invitee d'honneur) Taral Wayne (Fan GoH) David Hartwell (Editor GoH) Tom Doherty (Publisher GoH) Updated September 2, 2007
  14. Un bureau du Québec à Sao Paulo Monique Gagnon-Tremblay (archives) Une délégation de 30 personnes composée de représentants des milieux universitaires et des affaires québécois termine lundi une mission au Brésil, premier partenaire commercial du Québec en Amérique du Sud. La ministre des Relations internationales, Monique Gagnon-Tremblay, a profité de cette visite pour annoncer l'ouverture prochaine d'un bureau du Québec à Sao Paulo. En entrevue au Réseau de l'information, elle a affirmé que la mission avait dépassé ses objectifs. « J'ai découvert un pays non pas émergent, mais un pays qui a émergé », a-t-elle dit, soulignant la curiosité des Brésiliens à l'égard du Québec. Des rencontres d'information sur le Québec tenues à Sao Paulo et à Brasilia ont d'ailleurs attiré quelque 500 et 300 personnes, respectivement. Le ministère de l'Immigration et des Communautés culturelles a aussi profité de la mission pour signer une entente de francisation pour les candidats brésiliens à l'immigration avec le Service national d'apprentissage du commerce. La Conférence des recteurs et principaux des universités du Québec (CREPUQ), Cégep international, l'Université du Québec à Montréal (UQAM), l'Université Concordia et le Collège François-Xavier-Garneau représentaient le volet éducatif de la mission. Onze entreprises de recherche et d'innovation, des affaires et de l'économie sociale faisaient partie du volet économique. La communauté d'affaires souhaitait attirer des entreprises brésiliennes en vue du Forum des Amériques d'octobre prochain, à Saint-Hyacinthe. L'objectif de participation de l'Amérique latine à cette rencontre est de 70 entreprises. Les exportations québécoises vers le Brésil ont atteint une valeur de 364 millions de dollars en 2005, en hausse de 52 % par rapport à l'année précédente. Le Brésil compte quelque 190 millions d'habitants.
  15. Fini les absences en masse à Montréal ou Toronto... à partir de 2009 31 août 07 MONTREAL (PC) — La série Masters de tennis fera place en 2009 à un nouveau circuit de tennis de catégorie "1000", dont fera notamment partie la Coupe Rogers de Montréal et Toronto. La nouvelle catégorie de tournois, baptisée ainsi parce que le champion obtiendra 1000 points par victoire, comprend huit événements, soit ceux d'Indian Wells, Miami, Rome, Madrid, Cincinnati, Shanghai et Paris, outre l'épreuve canadienne. La Coupe Rogers pourra compter sur la présence de tous les meilleurs joueurs du monde puisque leur participation, à l'instar des Masters actuels, sera obligatoire et sera même renforcée par l'instauration de nouveaux règlements et de nouvelles sanctions, incluant l'imposition de suspensions lorsqu'un joueur s'absentera. De plus, à compter de 2011, six des neuf tournois de catégorie "1000" seront des compétitions mixtes. Le Canada sera l'hôte d'un tournoi ATP et d'un tournoi de la WTA, qui se dérouleront simultanément à Montréal et à Toronto. Indian Wells, Miami, Madrid, Rome et Cincinnati seront les autres tournois mixtes. "Accueillir une compétition 'virtuellement mixte' permettra au Canada de conserver sa place de choix dans le calendrier en plus d'augmenter son auditoire télévisuel tant au niveau national qu'international", a déclaré Michael S. Downey, président et chef de la direction de Tennis Canada, par voie de communiqué. "Plus important encore, le Canada pourra ainsi continuer à présenter le tennis féminin et masculin en alternance entre Montréal et Toronto. Les deux circuits (l'ATP et la WTA) ont choisi de respecter la force ainsi que le caractère unique de cette formule qui a permis l'émergence des meilleurs tournois d'une durée d'une semaine à l'échelle du globe." Cette annonce survient au moment où la WTA s'apprête à apporter d'importants changements au fonctionnement du tennis féminin. De nouveaux règlements seront implantés en 2009 et permettront l'augmentation du taux de participation des joueuses grâce à l'imposition de suspensions aux joueuses absentes des grands tournois, la création d'une taxe de luxe, l'attribution de bourses plus élevées et la réduction du nombre de tournois au calendrier. "En créant davantage de tournois mixtes, nous élèverons le tennis vers les plus hauts sommets, a affirmé Etienne de Villiers, président de l'ATP. Je crois que nous avons maintenant des normes bien établies pour les grands tournois." A partir de 2009, la saison de tennis se terminera avec la présentation du nouveau championnat de fin de saison de l'ATP qui se tiendra à Londres.
  16. c'est pas cool, quand tu dois tourner en rond 45 minutes pour trouver un parking (quand tu veux pas payer le 10-15$ de stationnement privé), ensuite tu dois retourner au 2h, et ça brise le mood en c****. Tu te tannes et tu y retournes plus.
  17. habsfan moi aussi je magasine de moins en moins au centre ville... le seul moment que je le fais c'est genre l'heure du midi la semaine, sinon c'est plutot rare. Je n'y vais plus au cinéma non plus, les restaurants de moins en moins, etc.
  18. mtlurb

    Montréal vs. Toronto

    Ok gros avertissement à tout le monde, du "bitchage" et du chialage non motivé par des faits c'est une suspension automatique. Une des raisons pourquoi j'ai parti ce forum c'est justement pour contrôler cet aspect qui dérape beaucoup trop souvent dans d'autres forums. Tenez le vous pour dit, je n'hésiterais pas.
  19. c'est ca yara, t'essairas de convaincre ta femme en tenue de soirée un samedi soir de prendre le bus/métro et on s'en reparle Et la j'ai pas encore d'enfants, trainer des mômes dans le métro c'est pas l'idéal de mon point de vu.
  20. Projet annulé Ce projet fut finalement remplacé par un projet de condo, le "BanK" : http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/19252 ************************************ Le Royal Hotel Architecte : Panzini
  21. OPINION Vendre Hydro-Québec, c'est tuer notre poule aux oeufs d'or Gabriel Sainte-Marie, Économiste à la Chaire d'études socio-économiques de l'UQAM Édition du mardi 04 septembre 2007 L'ancien président de la Standard Life, Claude Garcia s'est joint à Marcel Boyer, économiste de l'Institut économique de Montréal (IEDM) et professeur à l'Université de Montréal, pour publier un document prônant la privatisation d'Hydro-Québec. Les auteurs proposent d'augmenter les tarifs d'électricité afin de rendre la société d'État plus profitable, pour ensuite la vendre 130 milliards de dollars. Cette somme permettrait de rembourser la dette du Québec et les économies d'intérêts qui en découleraient serviraient à diminuer les impôts. Un tel raisonnement ne tient pas la route et serait désastreux pour les contribuables. Même si le projet nous permettait d'économiser les intérêts de la dette, il faudrait en contrepartie absorber les hausses de tarifs et se passer des bénéfices que verse annuellement Hydro au gouvernement. Une perte annuelle de cinq milliards Effectuons le calcul. Le gouvernement du Québec paie annuellement 5,4 milliards en intérêts sur la dette, et non 7,6, comme l'affirme M. Garcia. La différence entre les deux montants est une écriture comptable associée à l'écart entre les engagements futurs du gouvernement pour les retraites. La croissance du Fonds d'amortissement des régimes de retraite comblera éventuellement l'écart. Bref, cette différence apparaît dans les écritures, mais ne sera jamais déboursée. M. Garcia propose ensuite d'arrimer la hausse des tarifs d'électricité à ceux de l'Ontario. Selon lui, cela suffirait pour conclure la vente au prix souhaité. Dans son document, l'auteur évalue cette hausse à 7,3 milliards de plus en facture d'électricité pour les Québécois. Pour que le tableau soit complet, rappelons qu'en 2006 Hydro-Québec a versé trois milliards au gouvernement du Québec en bénéfices, impôt et frais. En faisant le compte, nous constatons que le projet de privatiser Hydro-Québec ferait perdre cinq milliards annuellement aux contribuables québécois. Certes, nous économiserions 5,4 milliards en intérêts par année, mais perdrions 10,3 milliards, soit 7,3 milliards en tarifs supplémentaires et trois milliards en manque à gagner pour le gouvernement. Bien sûr, nous n'aurions plus de dettes, mais Hydro-Québec ne nous appartiendrait plus. Nous serions comme cet individu qui, après avoir vendu sa maison pour rembourser ses dettes, se demande où il va aller coucher. Les régions en dépression économique Vendre Hydro revient donc à tuer notre poule aux oeufs d'or. Il serait possible de réaliser un calcul plus précis en prenant en compte d'autres facteurs, comme les impôts que paierait l'entreprise privatisée ou encore l'augmentation graduelle des tarifs. Mais, surtout, il faut évaluer la catastrophe annoncée pour nos régions. L'économie de nos régions dépend de notre principal avantage comparatif sur les autres pays: une électricité de qualité à faible coût. Retirer cet avantage ne signifie pas seulement perdre les emplois directement liés aux industries concernées, mais aussi la faillite des petites et moyennes entreprises qui sont en lien avec ces secteurs économiques. Il en va de même pour les commerces. Augmenter les tarifs d'électricité plongerait plusieurs régions en dépression économique. Le duo Garcia-Boyer fonde ses raisonnements sur le fait que notre électricité serait vendue au-dessous du prix du marché. Sans avancer de chiffre, M. Boyer définit ce prix de la sorte: «Quel prix pourrait-on obtenir sur le marché pour nos kWh si nous ne les consommions pas?». Ça revient à calculer le prix qu'Hydro reçoit pour ses exportations additionnelles d'électricité. Le tarif moyen de nos exportations a été de 7,9 ¢ le kWh en 2006. En retirant de cette moyenne la pointe estivale, où les marchés américain et ontarien sont en pénurie et où Hydro exporte déjà le maximum d'électricité possible à des tarifs très élevés, il reste la normale, où le prix oscille autour de 7,5 ¢ le kWh. Même si l'Ontario facture 11,2 ¢ le kWh à sa population et New-York 19,2 ¢ le kWh, ils achètent l'électricité à Hydro-Québec 7,5 ¢ le kWh. Il s'agit du «prix du marché» de M. Boyer. Comble de non-sens, il s'agit justement du tarif que nous avons payé en 2006 au Québec, lorsqu'on y inclut la TPS et la TVQ! Cela prouve bien que les tarifs d'Hydro sont assez élevés. Cela est d'autant plus vrai que nous payons l'électricité 3 % plus cher qu'en Colombie-Britannique et 5 % de plus qu'au Manitoba. En tenant compte des taxes, nos tarifs sont similaires à ceux de l'État de Washington. C'est que cet État et ces provinces ont, comme nous, érigé de grands barrages hydro-électriques plutôt que de recourir au charbon, au gaz et au nucléaire. Il faut aussi garder en tête que notre société d'État nous vend l'électricité deux fois son coût de production. C'est d'ailleurs ce qui lui permet de réaliser des bénéfices exceptionnels. Puisque les bénéfices tombent dans les coffres du gouvernement, toute augmentation des tarifs d'électricité constitue une taxe régressive, affectant davantage les moins nantis. Des compteurs intelligents On invoque souvent l'argument que l'augmentation des tarifs permettrait de réduire le gaspillage de la consommation d'électricité. Or, les études réalisées sur le sujet démontrent qu'il faut une grande variation du prix pour déceler un faible changement dans les habitudes de consommation. En fait, les campagnes de sensibilisation sont plus efficaces que les augmentations de tarifs et présentent l'avantage de ne pas pénaliser les plus pauvres. Quelques provinces et États commencent à installer, à l'intérieur des résidences, des compteurs d'électricité intelligents qui informent le consommateur sur sa dépense instantanée d'électricité. Une telle innovation envoie un signal clair et permet de détecter la présence de lumières laissées allumées inutilement. Les pistes de solutions efficaces pour diminuer notre consommation d'électricité se trouvent dans cette direction. Nous n'avons aucun besoin d'augmenter nos tarifs d'électricité. Le projet de MM. Garcia et Boyer va à l'encontre de l'intérêt des contribuables québécois. De telles actions désavantagent les moins nantis et menacent la survie de plusieurs régions du Québec. Toutefois, il est clair que la privatisation de notre société d'État serait fortement lucrative pour les futurs actionnaires et profiterait à la filière du gaz naturel, qui deviendrait une solution de rechange énergétique. À mon avis, ce sont principalement ces considérations qui ont motivé les réflexions de MM. Garcia et Boyer.
  22. mtlurb

    Montréal vs. Toronto

    Le Monde s'en mêle: a métropole canadienne Toronto éclipse Montréal dans la couverture des médias internationaux, en raison de son rôle économique mais aussi du retentissement de son Festival du cinéma, selon une étude rendue publique samedi. Les médias internationaux parlent deux fois plus souvent de Toronto que de Montréal, selon la firme Influence communication qui a scruté les pages de 50 journaux dans le monde pendant un an à la demande du quotidien montréalais La Presse et du Toronto Star. Sur les quelque 2,7 millions d'articles analysés par Influence communication entre le 1er mai 2006 et le 30 avril 2007, 6.039 faisaient référence à Toronto et 3.731 à Montréal. "C'est une enorme différence", a déclaré à La Presse le président d'Influence communication Jean-François Dumas, soulignant que pour de nombreux médias américains, "le Canada se résume à Toronto". "D'ailleurs, a-t-il ajouté, la seconde ville la plus citée aux Etats-Unis n'est pas Montréal, mais Vancouver", sur la côte pacifique canadienne. Toronto dépasse aussi Montréal dans la presse britannique, australienne, chinoise et indienne. Mais il y a une exception: les quotidiens français évoquent Montréal 2 fois et demi plus souvent que Toronto. C'est la culture qui fait le plus souvent parler de Montréal avec le groupe Arcade Fire, le Cirque du soleil, le festival de jazz ou Leonard Cohen. Si 30% des articles consacrés à Toronto dans les journaux étudiés portent sur l'économie, en particulier la bourse de Toronto, la culture obtient le même pourcentage et dans ce domaine, la vedette incontestée est le Festival des films avec un quart des mentions. En revanche pour ce qui est des attraits touristiques, Montréal est citée plus souvent que Toronto dans la presse internationale. http://www.lemonde.fr/web/depeches/0,14-0,39-32337598@7-58,0.html
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