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  1. Je n'ai pas vu ce projet sur le forum après une petite recherche... un article est paru dans la Presse sur ce projet situé sur les stationnements du concessionnaire Touchette, situé dans le quadrilatère Papineau-Ontario-Cartier-Sherbrooke. On y prévoit pour le moment 5 bâtiments de 3 étages avec 11 condos chacun. Une deuxième phase suivra avec 15 maisons de ville de trois étages. Lien vers l'article de La Presse: http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/nouveautes/201008/27/01-4310454-touchette-automobile-adieu-vaste-terrain-de-stationnement.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO23_maison_3732_accueil_POS1 Des images: La construction est déjà commencée, selon l'article de La Presse.
  2. Fortier

    Réso

    On parle beaucoup du Montréal souterrain ces temps-ci. J'ai donc créer un fil.
  3. http://www.journalexpress.ca/Actualites/2015-04-13/article-4109695/Ce-sera-le-Grand-Hotel-Times-de-Drummondville/1 DRUMMONDVILLE. L'hôtel qui sera annexé au Centrexpo portera officiellement le nom de Grand Hôtel TIMES de Drummondville. C'est ce qu'indique le site web de l'entreprise dirigée par Jean Audet. «Le Grand Hôtel TIMES de Drummondville directement relié au nouveau centre de foire Centrexpo vous offrira, du haut de ses 12 étages, une perspective panoramique unique surplombant toute la région. Nous vous offrirons un service d’hébergement personnalisé, caractérisé par une anticipation des besoins de ses clients et un souci du détail impeccable, en vous proposant 140 magnifiques chambres et suites dans un design à vous couper le souffle», est-il souligné. La direction ajoute que : «notre vision basée sur l’évolution et l’originalité, apportera un concept réinventé dans le domaine des réunions au Centre-du-Québec. Nos salles de conférences, situées au sommet de l’édifice, entièrement fenestrées et équipées à la fine pointe de la technologie vous ouvriront une voie vers une expérience incontournable». On parle également de diverses commodités telles une piscine intérieure, une salle d’entrainement, ainsi qu’un vaste stationnement. Il est rappelé que l’espace restauration accueillera plus de 200 convives. Le maire Alexandre Cusson a dévoilé, lors de son Souper annuel, que le restaurant Cosmos viendra s'y installer. On précise bien sûr qu'il est possible de faire des réservations ou de s'informer en contactant Sylvie Pomerleau au 1-888-999-3499.
  4. 7/07/2016 Mise à jour: 27 juillet 2016 | 7:21 Vers une refonte des services de taxi à l’aéroport Par Mathias Marchal Métro Vicky Michaud/TC Media Une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont présentes à l’aéroport. Certains craignent que la compagnie obtiennent un monopole. Aéroports de Montréal (ADM) annule le tirage au sort qui délivre les permis autorisant les chauffeurs de taxi de prendre des clients à l’aéroport. Des chauffeurs craignent qu’un monopole soit conféré à Téo Taxi, même si l’entreprise se veut rassurante. Chaque année, vers la fin de l’été, ADM coordonne son traditionnel tirage au sort pour octroyer les quelque 325 permis de taxi qui permettent d’accéder au marché de l’aéroport évalué à 90M$ par an. Ces permis sont tellement lucratifs que l’année dernière, 4200 chauffeurs de taxi, soit la quasi-totalité des chauffeurs propriétaires de la région métropolitaine, ont accepté de débourser 25$ pour participer au tirage. Et ce malgré les soupçons de truquage qui planent depuis plusieurs années. Cette année le tirage n’aura pas lieu. «On a informé nos partenaires que les permis actuels étaient prolongés de six mois et se termineront le 30 avril 2017 plutôt que le 30 octobre 2016», indique la porte-parole d’ADM, Marie-Claude Degagné, sans pouvoir en préciser la raison. À ce sujet: L’idée d’une facture officielle dans les taxis progresse Le taxi se trompe de cible dans sa guerre contre Uber Des chauffeurs de taxi en furie contre la volte-face de Jacques Daoust «D’après nos informations, ADM donnerait ensuite le contrat à Téo Taxi qui aura alors terminé son projet pilote», affirme Mouhcine El Meliani, l’instigateur de la grève des chauffeurs de taxi qui a eu lieu en janvier à l’aéroport. Signe que l’industrie peine à parler d’une seule voix, ce dernier compte d’ailleurs quitter le RTAM et ressusciter la Ligue de taxi de Montréal. Dans le cadre du projet pilote commencé en juin, une dizaine de Tesla électriques de Téo Taxi sont déjà présentes à l’aéroport, même si elles n’ont pas été tirées au sort. Cela fait d’ailleurs grincer des dents dans l’industrie. «C’est une rupture du contrat d’exclusivité», affirme même Hassan Kattoua, chauffeur propriétaire, qui craint aussi que Téo Taxi obtienne le juteux contrat de l’aéroport. Lors de la commission parlementaire sur l’avenir du taxi qui s’est tenue cet hiver, Charles Gratton, le vice-président des services commerciaux et immobiliers d’ADM, a indiqué quelle direction suivrait son organisation. «Dès 2017, dans la nouvelle demande de propositions, on veut par exemple aller vers une flotte harmonisée et potentiellement distinctive à l’aéroport», a déclaré M. Gratton en ajoutant que la flotte choisie serait équipée d’une application mobile pour les réservations, les paiements et l’évaluation systématique du service reçu pour chaque course. Pour les chauffeurs interrogés, cette description correspond en tout point à Téo Taxi et ses véhicules électriques, qui arborent tous les mêmes couleurs vert-blanc et qui sont gérés via une application à la fine pointe de la technologie. Du côté de Taxelco, qui gère les Téo Taxi, on indique ne pas être au courant d’un possible monopole. «On travaille actuellement avec ADM pour les convaincre d’optimiser le service, mais on n’est pas dans le secret des dieux. Vous savez, on est la cible de beaucoup de rumeurs, car on est en train de vouloir changer le système», explique Marc Petit, chef de la direction de Taxelco. Ce dernier souligne que le système actuel peut être amélioré, car si tous les chauffeurs de taxi peuvent amener des clients à l’aéroport, seuls ceux qui ont un permis ont la possibilité d’en prendre sur place et de ne pas retourner à vide. Autre conséquence des quotas sur les permis d’aéroport, la flotte actuelle de taxis autorisés ne permet pas de répondre à la demande à l’heure de pointe. «On pourrait s’inspirer de Paris, qui permet aux taxis qui le désirent de repartir avec des clients plutôt qu’à vide moyennant l’achat d’un permis temporaire à l’unité. Ça permettrait à toute l’industrie d’en profiter», conclut M. Petit. 4167 Une fois tiré au sort, le permis spécial de l’aéroport coûte 4167$ pour un an, mais serait parfois revendu autour de 18 000$ ou loué pour 1000$ par semaine. Sent from my SM-T330NU using Tapatalk
  5. Air France will send their seecond 787 to YUL and GVA from CDG De même, le deuxième B787 attendu en mai sera programmé sur CDG-Montréal, le plus court des vols transatlantiques. En complément, il pourrait assurer chaque jour un aller et retour vers Genève. Ces dessertes ne préjugent pas du futur réseau sur lequel sera déployé le Boeing 787. Air France va desservir Le Caire, Londres, Montreal et Geneve en B787
  6. Article de la presse aujourd'hui. On parle des délais d'attente aux douanes a l'aéroport. Frustrations et preoccupation securitaire a l'aeroport Trudeau | Louis-Samuel Perron | Montreal Le journaliste oublie de dire que l'un d'est principale facteur qui cause le delai d'attente c'est la limite d'achat a l'étranger. Ce qui fait des douaniers des percepteur de taxes et cela ralenti beaucoup les choses. En europe on a pas ce controle d'achat de max 2 bouteille de vin et interdiction en tout genre de produit alimentaire et c'est la meme chose en amerique du sud. Par exemple a l'aéroport de Lima au Pérou le controle est aléatoire. En sortant vers l'extérieur on doit toucher une colonne. Si la lumiere tourne au vert on peut continuer si elle allume rouge on doit aller se faire controler. Je trouve ca drolement efficace.
  7. Enfin! J'avais peut qu'on n'y réfléchisse pas : un plan de réaménagement de l'Avenue des Canadiens-de-Montréal. Aucune idée si c'est ce projet qui sera complété, mais au moins, c'est une excellente nouvelle. Le dévoilement éventuel du PPU Quartier des Gares nous en dire beaucoup plus. Sur LemayLab : Vers l'EST : Vers l'OUEST : Vers l'EST, entre l'Avenue et la TDC : Vers l'OUEST, entre l'Avenue et la TDC :
  8. L'entrepreneuriat en croissance au Québec, selon une étude de l'UQTR PUBLIÉ LE MERCREDI 28 SEPTEMBRE 2016 De plus en plus de Québécois démarrent leur propre entreprise, selon une nouvelle étude réalisée par des chercheurs de l'Institut de recherche sur les PME de l'Université du Québec à Trois-Rivières. Les professeurs Étienne St-Jean et Marc Duhamel ont présenté mercredi les données concernant l'activité entrepreneuriale québécoise, issues de l'enquête 2015 du Global Entrepreneurship Monitor (GEM). On y apprend qu'en 2014, les données démontraient un grand intérêt de la part des Québécois pour mettre sur pied une entreprise, une volonté qui s'est concrétisée en 2015. Le taux d'entrepreneuriat émergent est passé de 10,5 % (en 2013) à 13,5 % (en 2015). Le Québec est vraiment un des leaders sur la planète pour l'intention [entrepreneuriale] et pour l'activité entrepreneuriale. On remarque que le contexte économique semble favorable à la création d'entreprises. Marc Duhamel, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR L'étude révèle aussi que les jeunes Québécois sont très dynamiques sur la scène entrepreneuriale. La tranche des 18-24 ans est plus encline à passer à l'action que dans le reste du Canada ou dans d'autres pays comparables. C'est le cas également des 45 à 54 ans.* '' Les entrepreneurs au Québec sont fortement innovants et sont dans des créneaux de niche et ça, c'est une excellente nouvelle pour le développement économique, puisque quand on a des entreprises qui innovent, on a plus de chances d'avoir des entreprises pérennes, qui vont se distinguer des autres.'' -Étienne St-Jean, chercheur à l'Institut de recherche sur les PME à l'UQTR Tournés vers l'international : un exemple shawiniganais Les chercheurs de l'UQTR ont constaté que les entrepreneurs québécois sont davantage tournés vers les marchés internationaux qu'ailleurs au Canada. La compagnie SIM à Shawinigan se spécialise notamment dans les services de formation en santé et sécurité au travail aux entreprises. Elle compte de nombreux clients à l'étranger. « Souvent, nos clients ne sont pas des entreprises du Québec, confirme la présidente-directrice générale Chantal Trépanier. Ce sont des multinationales qui ont des sites ailleurs dans le monde et qui nous amènent à travailler avec eux sur leurs sites. » ''C'est comme une condition, une évidence. On ne pourrait pas dire : On va travailler juste au Québec.'' -*Chantal Trépanier, PDGSim La PDG croit qu'il est essentiel pour les entreprises d'ici de se tourner vers l'international. SIM compte une centaine d'employés. D'après les informations de Marie-Pier Bouchard http://ici.radio-canada.ca/regions/mauricie/2016/09/28/006-entrepreneuriat-etude-uqtr-trois-rivieres-professeurs-st-jean-duhamel-demarrage-entreprise.shtml
  9. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201605/06/01-4978734-aeroports-de-montreal-veut-doubler-la-taille-des-debarcaderes-de-laerogare.php
  10. Vols Air Transat 2017 ouverts à la réservation. Plan de vols Le plan de vols au départ de la Belgique (et des Pays-Bas) pour 2017 est presque similaire à celui de cette année. Le premier vol entre Bruxelles et Montréal aura lieu le 26 avril 2017. Au départ d’Amsterdam le premier vol vers Toronto aura lieu le 20 avril 2017 et celui vers Vancouver, le 6 mai. Vous trouverez ci-joint le plan de vols complet. Vols domestiques Grâce à un vol domestique entre Montréal et Toronto, les voyageurs peuvent au départ de Bruxelles peuvent rejoindre Toronto après un changement d’avion rapide à Montréal. Les voyageurs au départ d’Amsterdam peuvent prendre un vol direct vers Toronto et ensuite prendre facilement une correspondance vers Montréal. Grâce à ces vols domestiques supplémentaires, Air Transat permet aux passagers de rejoindre facilement toutes les grandes villes canadiennes et de poursuivre leur découverte du Canada. http://travel360benelux.com/fr/air-transat/vols-air-transat-2017-ouverts-a-la-reservation/
  11. J'ai passé en bagnole en ville aujourd'hui. Un ami de la rive sud voulait aller chercher un meuble dans le gettho Mcgill. Un vrai cauchemard. Tout les rues pour monter vers le nord étaient bloqués. Jamais vue ça. J'avais beau essayer un autre chemin je tournais en rond. Combien de plaque américaine et d'ontario que j'ai vue aujourd'hui une quantité phénomenale. Ca va leur donner une mauvaise opinion du manque flagrant d'information sur ce qui se passe. Le manque d'organisation de la circulation. Petite suggestion pourquoi on n'indique pas aux entrée vers le centre-ville sur l'autoroute ville marie et Bonaventure que René Levesques va être fermé et aussi toute les rues qui croisent le boulevard. Pourquoi on ne met pas de pancarte par exemple au coin de Robert Bourassa , Guy, Peel et St-Antoine etc... ou sont les policiers pour indiquer que la seule rue qui permet de croiser rené-Levesques est Atwater. Juste ça pour éviter de faire perdre du temps au gens.
  12. Air Transat dévoile son programme de vols pour l’hiver 2016-2017. Air Transat présente aujourd’hui son programme aérien pour l’hiver 2016-2017, qui propose aux voyageurs 34 destinations soleil et des départs de 22 villes canadiennes, en plus de mettre de l’avant une offre diversifiée vers des destinations européennes appréciées des Canadiens pendant la période hivernale. Air Transat ajoute également 11 nouvelles routes à son calendrier de vols. « L’hiver prochain, Air Transat offrira encore plus de soleil pour tout le monde grâce à son vaste éventail de destinations Sud et Europe ainsi qu’à une présence accrue dans les différents aéroports canadiens », déclare Annick Guérard, présidente et directrice générale de Transat Tours Canada. « L’ajout de petits porteurs à notre flotte permanente nous a donné de la flexibilité pour encore mieux adapter notre offre aux différents marchés. Par ailleurs, nous poursuivrons l’hiver prochain notre programme de vols intérieurs, qui nous permet de proposer davantage de destinations en Europe aux voyageurs de Montréal et de Toronto », conclut Annick Guérard. Air Transat augmente son offre et sa capacité vers l’Amérique centrale, une région pour laquelle l’intérêt des Canadiens est en plein essor. Ainsi, au Québec, deux nouvelles routes s’ajoutent au calendrier hebdomadaire, soit un vol vers San Salvador (Salvador) au départ de Montréal ainsi qu’un vol vers l’île de Roatan (Honduras) au départ de Québec. Pour le marché de Toronto, des liaisons vers Managua (Nicaragua) et Carthagène (Colombie) enrichiront un programme déjà très diversifié. Des vols supplémentaires vers San Jose au départ de Montréal et de Toronto permettront par ailleurs de répondre à la demande croissante pour le Costa Rica. Air Transat augmente également la fréquence de ses vols à destination des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique), et de La Havane. Au Québec, en plus des deux nouvelles routes, Air Transat inaugurera des vols intérieurs liant Bagotville et Rouyn-Noranda à Montréal, offrant ainsi un plus vaste choix de destinations soleil aux voyageurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean et de l’Abitibi Témiscamingue. Avec ce programme de vols avec correspondance, les Québécois de ces régions pourront maintenant se rendre dans neuf pays des Caraïbes et de l’Amérique centrale. En Ontario, de nouvelles liaisons vers Cayo Coco et Santa Clara, à Cuba, seront offertes au départ d’Ottawa et de Windsor, respectivement. À Fredericton, deux nouvelles destinations en République dominicaine, soit Puerto Plata et Punta Cana, s’ajoutent au programme. Au départ d’Halifax, c’est la Floride qui s’ouvre aux voyageurs grâce à une nouvelle liaison vers Fort Lauderdale. Finalement, dans l’Ouest canadien, Los Cabos sera maintenant accessible au départ de Vancouver, et Punta Cana au départ de Victoria. L’Europe toute l’année avec Air Transat Air Transat augmente par la même occasion sa capacité vers Londres en offrant dorénavant un vol par jour vers la capitale britannique tout au long de l’année au départ de Toronto. Toujours vers Londres, une liaison hebdomadaire, qui passera à deux vols par semaine dès le mois de décembre, est aussi au programme au départ de Vancouver. Air Transat maintient son vol quotidien vers Paris au départ de Montréal ainsi que sa liaison hebdomadaire vers la Ville Lumière au départ de Québec, disponible dès le mois de février. L’offre hivernale Europe comprend aussi des vols directs vers Malaga (Costa del Sol), en Espagne, ainsi que vers Lisbonne et Faro, au Portugal, et ce, au départ de Montréal et de Toronto. Ces destinations ensoleillées sont très prisées des vacanciers canadiens, notamment parce qu’elles permettent d’allier détente et découvertes et se prêtent bien à de courts comme de longs séjours. Air Transat poursuit cet hiver son programme de vols intérieurs entre Montréal et Toronto, élargissant le choix de destinations transatlantiques pour ces marchés grâce à des vols avec correspondance. Ainsi, les voyageurs de Toronto pourront se rendre à Paris (cinq fois par semaine) et Malaga (une fois par semaine) via Montréal, et ceux de Montréal pourront profiter de liaisons vers Londres (cinq fois par semaine), Manchester (une fois par semaine), Glasgow (une fois par semaine), Porto (une fois par semaine) et Lisbonne (une fois par semaine) en passant par Toronto. Enfin, à compter du mois d’avril, des vols à destination de Rome et de Barcelone seront disponibles au départ de Montréal et de Toronto, notamment afin de répondre à la demande des vacanciers qui, à cette période de l’année, sont nombreux à réaliser une croisière sur la méditerranée. http://www.paxnouvelles.com/article/air-transat-devoile-son-programme-de-vols-pour-lhiver-2016-2017
  13. Un lieu culturel et touristique autochtone de 6 000 m2 – l’équivalent en superficie de la place des Festivals – devrait être aménagé au cœur de la ville en 2018. http://journalmetro.com/actualites/national/948029/vers-une-ambassade-autochtone/
  14. La dernière tournée MtlUrb date de septembre dernier (voir fil "Griffintown, message #291). J'aimerais en organiser une encore cette année. On retourne dans Griffintown parce que le quartier se métamorphose tellement vite. Je propose samedi prochain 23 août, 14 h. Rendez-vous à la sortie du métro Square-Victoria-OACI, sur les bancs en face de l'édicule sud, coin Saint-Jacques et Square Victoria. De là, on se dirigera vers Griffintown pour finir la tournée vers 16 h, pour une bière, au Brasseur de Montréal. Vous pouvez vous joindre à la tournée, ou venir nous rencontrer à la fin de la tournée pour une bière. Voici l'itinéraire que je propose :
  15. AGENCE QMI Mercredi, 10 février 2016 12:03 MISE à JOUR Mercredi, 10 février 2016 12:03 MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé qu’elle investira 168 millions $ dans la réfection de ses infrastructures de l’eau. Trois usines de l’ouest de l’île seront modernisées et un ouvrage de rétention d’eau de pluie, le bassin Leduc, sera construit, a annoncé Chantal Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Ces investissements massifs sont nécessaires afin que Montréal puisse continuer de rencontrer les plus hauts standards en matière de qualité de l’eau potable et de gestion des eaux usées», a indiqué Mme Rouleau. Ainsi, des travaux de réfection seront réalisés aux usines de production d’eau de Lachine, de Dorval et de Pierrefonds, pour un total de 90,9 millions $. Ils ciblent les équipements et les systèmes de contrôle des usines, ainsi que l’ajout d’une chaîne de traitement. La construction du bassin Leduc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent, vise quant à elle à réduire les épisodes de surverses. Il en coûtera 77,5 millions $. Cette structure souterraine emmagasinera temporairement les eaux usées lors de fortes pluies pour ensuite les rediriger vers la station d’épuration. Ce bassin aura une capacité de rétention de 65 000 mètres cubes d’eau, et contribuera à diminuer les refoulements et les déversements d’eaux non traitées vers la rivière des Prairies. http://www.journaldemontreal.com/2016/02/10/montreal-investit-168-millions-dans-ses-infrastructures-de-leau
  16. Pelletier de Fontenay ADM élément signalétique, Dorval, QC Perché sur le côté de la route d’entrée de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, l’élément signalétique ADM marque la transition entre ville et voyage, entre ciel et terre. De loin, le volume, à la fois opaque et lumineux, flotte légèrement au-dessus du paysage aéroportuaire. En arrivant à partir de la ville, le logo rétroéclairé de l’Aéroport International Pierre-Elliot Trudeau, qui contraste fortement avec la peau foncée de l’objet, annonce notre arrivée. En s’approchant de la structure, une seconde face se révèle lentement; on comprend maintenant bien la tridimensionnalité de l’objet. Une peau métallique, à la fois précise et légère, recouvre un monolithe lumineux formé d’une enveloppe de polycarbonate. À sa base, une forte lumière blanche filtre à travers une centaine d’ailettes d’aluminium. Une torsion verticale dans le déploiement des ailettes est conçue pour créer un effet cinétique qui prend vie avec le mouvement de la voiture. À l’approche, la zone lumineuse se déplace du bas vers le haut de la structure. La lumière s’élève, anticipant ainsi notre départ vers le ciel et faisant écho au sentiment de décollage. Dans la direction opposée, en quittant l’aéroport pour aller vers la ville, l’expérience est inversée et la lumière descend du haut vers le bas, évoquant un mouvement d’atterrissage. À ce moment précis, on voit clairement le nom « MONTRÉAL » apparaitre et disparaitre, tel un hologramme, annonçant subtilement aux passagers qu’ils quittent l’aéroport et les accueillant dans la ville. - Date : 2013 - 2015 Client : Aéroport de Montréal Architecte : Pelletier de Fontenay Ingénieur en structure : NCK Ingénieur mécanique : SNC Lavalin Budget : 550 000$ CAN Phase : competition - lauréat - en cours Images : Pelletier de Fontenay https://m.facebook.com/Pelletier-de-Fontenay-158005064393555/ sent via Tapatalk
  17. Adapter de la Concorde aux nouveaux bâtiments résidentiels ne m’apparaît pas si difficile. Il faut couper le trottoir Nord de la rue (le plus ensoleillé + les halls des bâtiments) où passent des camions de livraison et des automobilistes se dirigeant vers les hôtels. Vu son étroitesse, la rue devrait être un sens unique et offrir du stationnement qu'un seul côté à fois. Le sens devrait être nord-est, donc de PK à la rue Bleury. PK est double sens et facilitera l'accès. Un petit montage que je viens de faire et qui montre les possibilités : -------------------------------------- Avant : Après : Les flèches jaunes représentent les entrées de stationnement et les aires de livraison. Les flèches bleues représentent les entrées pour les piétons. -------------------------------------- Coupe devant le Peterson Avant : Après : -------------------------------------- Vue vers l'Est, devant le Peterson Avant : Après :
  18. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  19. Air Transat : 16 nouveautés pour l’hiver prochain. Publié le 22 mai 2015 à 10h00 par François Duclos dans Actualité, Info pratique - 3 commentaires La compagnie aérienne Air Transat a présenté son programme d’hiver 2015-2016, marqué par seize nouvelles routes et plus de 35 destinations au départ de 19 aéroports canadiens. Le Montréal – Paris sera désormais proposé tous les jours et pendant toute l’année. L’offre hivernale de Transat se décline sur l’Europe grâce au programme annuel de vols directs à destination de Paris et de Londres, ainsi qu’à une offre des plus intéressantes vers Malaga (Costa del Sol), en Espagne, et à Lisbonne et Faro, au Portugal. Encore plus présente sur le marché transatlantique, Air Transat augmente la fréquence de ses vols vers Londres au départ de Toronto, offrant jusqu’à 5 vols par semaine, et augmente sa capacité vers Paris au départ de Montréal, offrant dorénavant un vol par jour tout au long de l’année. Les vols hebdomadaires au départ de Toronto vers Glasgow et Manchester sont aussi au programme ainsi que la liaison hebdomadaire vers Londres-Gatwick au départ de Vancouver, qui augmente à deux vols par semaine dès le mois de février. Fidèle à son titre de plus important transporteur aérien canadien spécialisé dans les voyages vacances, Air Transat répond aussi à la demande de sa clientèle canadienne en ajoutant seize nouvelles routes à son calendrier de vols vers les destinations soleil. Elle augmente considérablement son offre sur Cuba grâce à l’ajout de vols vers Santa Clara au départ de Winnipeg, Calgary, Vancouver, Saskatoon et Edmonton. Au Québec, trois nouvelles routes s’ajoutent au programme Sud, soit un vol vers La Romana en République Dominicaine au départ de la ville de Québec, ainsi que vers La Havane à Cuba et Rio Hato au Panama au départ de Montréal. Les voyageurs de l’Ontario pourront eux aussi bénéficier des avantages liés au nouveau vol vers l’aéroport de Rio Hato au Panama, ainsi que de l’ajout d’une liaison vers La Romana. À Halifax, Air Transat ajoute un vol vers Cayo Coco à Cuba. Au départ de St. John’s, c’est la Floride qui s’ouvre grâce à la nouvelle liaison vers Orlando. Et finalement, dans l’Ouest canadien, trois nouvelles destinations au Mexique s’ajoutent au programme, soit Ixtapa et Cozumel au départ d’Edmonton et Calgary, et Huatulco au départ de Regina. « Cet hiver, Air Transat offre encore plus de Sud pour tout le monde grâce à son vaste éventail de destinations incluant les Caraïbes, l’Amérique centrale et du Sud, Cuba, la République dominicaine, la Jamaïque, le Mexique et la Floride », a déclaré dans un communiqué Jean-François Lemay, directeur général d’Air Transat. « L’introduction de petits porteurs à notre flotte permanente nous a permis de moduler notre offre en fonction de la demande de chacun des aéroports canadiens que nous desservons. Nous avons ainsi augmenté notre capacité sur le marché et notre nombre de routes sur le Sud, offrant ainsi plus de choix et de flexibilité pour les vacanciers ». Rappelons que le programme d’été en France d’Air Transat inclut à Paris jusqu’à 3 vols par jour vers Montréal, jusqu’à 4 vols par semaine vers Québec, jusqu’à 6 vols par semaine vers Toronto, jusqu’à 2 vols par semaine vers Calgary et jusqu’à 4 vols par semaine vers Vancouver (dont 3 vols directs). Elle propose également Montréal au départ de Bâle-Mulhouse (1 vol par semaine), Bordeaux (jusqu’à 2 vols par semaine), Lyon (jusqu’à 4 vols par semaine), Marseille (jusqu’à 4 vols par semaine), Nantes (jusqu’à 2 vols par semaine), Nice (jusqu’à 2 vols par semaine) et Toulouse (jusqu’à 2 vols par semaine). Marseille est en outre reliée à Toronto une fois par semaine via Montréal. http://www.air-journal.fr/2015-05-22-air-transat-16-nouveautes-pour-lhiver-prochain-5144462.html?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook
  20. J'ai passé cet apres midi sur la 720 ouest . Et j'ai vue des ouvriers installer des nouveau rails a la hauteur de la rue Bethune un peu a l'est du viaduc Glen. Surement la 3 ieme voie qui va vers la station Vendome. Je n'ai pas pris de photos par contre.
  21. http://www.nouvelles.umontreal.ca/campus/environnement/20150216-amenager-un-corridor-vert-entre-le-mont-royal-et-outremont.html Accueil Campus Environnement Aménager un corridor vert entre le mont Royal et Outremont LUNDI, 16 FÉVRIER 2015 11:50 JOURNAL FORUM ENVIRONNEMENT Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Cette vue aérienne de Montréal permet de voir le ruban vert qui partirait de l’Université, près du parc du Mont-Royal, et se déploierait vers le nord. Créer un corridor vert reliant le mont Royal au futur campus d'Outremont, voilà l'essentiel du projet Darlington. «Nous voulons mettre en contact ce puits de biodiversité extraordinaire que constitue le mont Royal avec l'autoroute verte représentée par les abords des chemins de fer», dit Alexandre Beaudoin, conseiller à la biodiversité au Vice-rectorat aux finances et aux infrastructures, secteur du développement durable, de l'Université de Montréal. Sous nos pieds, dans le quartier Côte-des-Neiges, coulent les vestiges des ruisseaux Rimbault et Darlington, qui drainaient les eaux de surface vers la rivière des Prairies. Observés par les cartographes militaires du 19e siècle dans le quartier agricole, ces ruisseaux ont été canalisés puis enfouis; ils coulent dans les aqueducs de la ville. C'est sur l'axe de cette voie naturelle qu'on veut ériger ce ruban de nature. Le projet a fait l'objet d'une présentation officielle à la Ville de Montréal à l'occasion de la consultation «Je vois Mtl», en novembre dernier, par le recteur de l'UdeM, Guy Breton. Dans un premier temps, l'objectif est de favoriser l'agriculture urbaine dans Côte-des-Neiges en proposant aux résidants de mettre en terre et d'entretenir des plantes dans une cinquantaine de bacs disposés au coin des rues, le long du corridor écologique. Par la suite, on aimerait amener les propriétaires à renoncer à la pelouse pour semer plutôt du couvre-sol et des plantes indigènes. Dans une perspective à plus long terme, tout un système de gestion écologique de l'eau sera mis en œuvre. «On veut proposer de défaire le raccordement des gouttières aux égouts collecteurs pour que les eaux de pluie se déversent vers la rue. L'eau recyclée pourrait servir à diminuer les îlots de chaleur plutôt que d'encombrer les égouts collecteurs», explique M. Beaudoin. Portland, ville modèle Mettant à profit la phytoremédiation, cette technologie consistant à dépolluer les sols par l'action des végétaux, le projet Darlington prévoit une importante phase de décontamination des lieux consacrés au corridor vert. Tous les 200 m, le long du corridor projeté, on aménagera des «noyaux secondaires de biodiversité», soit des zones où la faune pourra trouver refuge. Mises bout à bout, ces aires formeront quelque 5000 m2 de verdure. «Le quartier a la particularité de compter plusieurs écoles, bâtiments universitaires et hôpitaux, mentionne le biologiste. La collaboration du personnel de ces entreprises est essentielle pour réaménager leur espace (stationnements et cours de récréation par exemple) dans une perspective de développement durable.» Pour que le projet évolue, la population devra toutefois mettre la main à la pâte. Là se situe d'ailleurs le principal obstacle, selon lui. «Notre plus grand défi est de faire comprendre ce projet à la population, qui devra changer ses habitudes. Planter quelques arbres de plus sur son terrain, ça ne posera peut-être pas de problème, mais renoncer aux pelouses, ça ne fera pas l'affaire de tout le monde.» Au cours d'un voyage à Portland, en Oregon, Alexandre Beaudoin a constaté de ses yeux qu'une conversion est possible. «Tout, dans cette ville, est repensé en fonction du développement durable et de la participation citoyenne. Les murs et toits végétalisés sont nombreux; les rues sont parsemées de fleurs et d'arbustes; les eaux de pluie sont recyclées...» Avec une population 10 fois supérieure, la région montréalaise est loin de pouvoir se comparer avec Portland, où l'on dénombre environ 300 000 habitants. Mais ce n'est pas pour décourager le biologiste apiculteur, qui rêve à ce corridor vert depuis son arrivée au secteur du développement durable de l'UdeM il y a quatre ans. Mathieu-Robert Sauvé Rapport complet Le renard comme symbole On imagine aisément des papillons ou des oiseaux passer d'un arbre à l'autre le long du corridor vert que veut mettre en place l'Université de Montréal entre le mont Royal et Outremont. Mais le symbole qui plaît le plus à son promoteur, c'est le renard roux. Naguère nombreux dans les environs du mont Royal et du cimetière Notre-Dame-des-Neiges, les renards ont été décimés par une maladie transmise par le chien domestique. «On sait que, après avoir complètement disparu, les renards sont revenus récemment habiter le territoire laissé vacant», relate Alexandre Beaudoin. Pour lui, cette renaissance d'une espèce emblématique de la nature québécoise est un signe d'espoir. sent via Tapatalk
  22. http://www.quebecurbain.qc.ca/2010/08/30/le-reseau-demesure-dautoroutes-inachevees-de-quebec/ Le réseau actuel d’autoroutes dans la région de la Capitale-Nationale totalise 481,3 km. Ceci représente environ 20 km par 100 000 habitants. Ceci lui décerne le 1er rang au Canada et le 3e rang dans toute l’Amérique du Nord. Toutefois, dans les années 60, on voyait encore plus grand que cela. Saviez-vous que cet énorme réseau est inachevé? On le voyait beaucoup plus grand. En 1968, la firme d’ingénieurs-conseils Jobin & Vandry produit, à la demande du Ministère du Transport (à l’époque le Ministère de la Voirie), le plan de circulation et de transport de la région métropolitaine de Québec. Un rapport de recommandations qui a servi de plan de travail pour construire le réseau d’autoroutes que nous empruntons aujourd’hui. Les infrastructures routières d’avant 1968 À l’époque où le plan est rédigé, le pont Frontenac est en construction. Le pont fut renommé en l’honneur de Pierre Laporte qui fut assassiné lors de la crise d’octobre 1970. L’autoroute 20 sur la Rive-Sud vers Lauzon et le nouveau boulevard Champlain sont en construction en même temps pour desservir ce nouveau pont. Des emprises sont déjà construites partiellement telles que les boulevards du Vallon, Duplessis et Henri IV et l’autoroute Métropolitaine (plus tard renommée autoroute de la Capitale). « Le plan » Le rapport présente trois scénarios et le plan ci-dessous est celui qui est recommandé par les ingénieurs. Visualisation du réseau Vandry sur Google Maps Pour vous aider à mieux comprendre où toutes les nouvelles artères auraient passé sur le territoire de la Ville de Québec et de Lévis, voici une carte personnalisée où nous avons superposé le Plan Vandry à la meilleure de nos connaissances: Visualisation plein écran Autoroute de la Falaise Cette autoroute est probablement la plus surprenante de tout le plan. Un peu à l’image des autoroutes Métropolitaine à Montréal et la 40 à Trois-Rivières, on a voulu faire une autoroute surélevée le long de la falaise entre la haute-ville et la basse-ville de Québec. Une autoroute qui s’empruntait à partir de la terminaison de l’autoroute Dufferin dans St-Roch jusqu’à l’autoroute Duplessis entre le chemin des Quatre Bourgeois et le chemin Sainte-Foy. La construction de cette autoroute avait été planifiée puisque des voies rapides provenant de l’autoroute Dufferin avaient été construites pour se terminer abruptement sur la rue du Pont près du cinéma Charest dans Saint-Roch. D’ailleurs, le plan de transport désigne l’actuelle autoroute Dufferin-Montmorency comme l’autoroute de la Falaise. Cette autoroute devait traverser ensuite St-Roch sous terre au sud de la côte d’Abraham pour revenir à la surface et sur viaduc surélevé passé la rue Dorchester. Elle suivait la trajectoire de la rue Arago et la côte de la Pente douce derrière l’Hôpital Saint-Sacrement et derrière l’Hôpital Jeffrey-Hale. Elle déviait légèrement vers le nord passé l’avenue Saint-Sacrement pour rejoindre la rue Frank-Carrel. Elle revenait ensuite vers la haute-ville rendue à Sainte-Foy en traversant l’avenue Chapelaine près du cimetière Belmont. Elle se rendit ensuite au sud du chemin Quatre Bourgeois sur le terrain du PEPS de l’Université Laval pour continuer à longer Quatre Bourgeois jusqu’à l’autoroute Henri IV. Elle finit par dévier au sud pour finalement rejoindre le boulevard Duplessis direction nord. Si cette autoroute avait été construite, elle aurait énormément changé le paysage urbain de Québec. Elle devait rejoindre le centre-ville de Québec à l’aéroport. Elle devait comprendre 3 voies dans chaque sens et on la désigne comme l’épine dorsale du réseau routier de Québec. Le tunnel Dufferin Anciennes bretelles d'autoroute du tunnel Dufferin-Montmorency (maintenant détruites) - Crédit photo Jean Cazes Il devait servir à déverser le trafic autoroutier vers le boulevard St-Cyrille (aujourd’hui René-Lévesque). C’est d’ailleurs pour cette raison que ce boulevard a 3 voies dans chaque sens. Selon la trajectoire illustrée dans le plan, le tunnel se rendait d’abord jusqu’à l’actuel rond-point devant l’Assemblée nationale (emplacement de la Fontaine de Tourny). Il bouclait tout près des fortifications historiques pour retourner à la surface au dessus du tunnel vers Saint-Cyrille. Aussi, une sortie souterraine vers la rue d’Aiguillon et une entrée dans le tunnel à partir de la rue Saint-Joachim étaient prévues aussi. En analysant l’emplacement de la boucle du tunnel et l’embranchement sur St-Joachim, ceci corresponds exactement à l’emplacement de l’actuel du stationnement d’Youville. Nous n’avons pas pu confirmer que ce stationnement a été construit comme solution de rechange à l’excavation abandonnée du tunnel Dufferin. Le boulevard Saint-Cyrille avait été modifié pour rendre les voies direction ouest plus basses que celles dans le sens inverse. Il existait d’ailleurs une entrée au stationnement du Complexe G sous les voies surélevées du boulevard pour le trafic provenant de l’est. Nous avons examiné davantage ce tunnel et on y reviendra en détail dans un billet prochainement. Boulevard Jean Lesage et la rue d’Aiguillon – Embranchement de l’est On prévoit prolonger le boulevard Jean Lesage sur la rue Vallière, la côte de la Potasse et la rue des Glacis pour rejoindre la rue d’Aiguillon. Ce prolongement est dessiné comme boulevard divisé à 2 ou 4 voies. On prévoit que la rue d’Aiguillon devienne à sens unique vers l’est. C’est d’ailleurs ce qui a été fait. Le trafic de la rue Saint-Joachim provenant de l’ouest devait traverser le carré d’Youville pour rejoindre la rue des Glacis et poursuivre vers le Nord. À l’ouest, près de la rue Sutherland dans le quartier Saint-Jean-Baptiste, un embranchement d’autoroute était prévu pour rejoindre un tracé alternatif de l’autoroute Laurentienne vers le nord (expliqué plus bas). Rue Saint-Joachim La rue Saint-Joachim devait être beaucoup plus longue. Elle devait débuter à partir de la côte de l’Aqueduc/rue Sherbrooke jusqu’à la place d’Youville dans un sens unique vers le Vieux-Québec. On semble avoir plutôt opté de rendre la rue Saint-Jean à sens unique. Le plan Vandry proposait pourtant que la rue Saint-Jean devienne exclusive aux autobus. La rue Saint-Joachim aurait suivi l’actuelle rue Lockwell et la rue Saint-Gabriel. Les utilisateurs du stationnement de Place Québec auraient eu un accès très rapide pour rejoindre l’autoroute Dufferin-Montmorency puisqu’un tunnel d’accès automobile était prévu où se situe l’entrée principale au stationnement d’Youville. D’ailleurs, si on regarde l’aménagement en courbe vers le stationnement, ça ressemble étrangement à l’angle nécessaire pour accélérer et ainsi accéder au tunnel à une vitesse raisonnable. Comme mentionnée plus haut, la rue Saint-Joachim aurait aussi permis de rejoindre la rue des Glacis vers la basse-ville. Boulevard Saint-Cyrille – Embranchement de l’ouest Le boulevard Saint-Cyrille qui recevait une portion du trafic automobile de l’autoroute de la Falaise se poursuivait à l’ouest vers un embranchement spectaculaire qui aurait exigé la démolition de l’ancien Hôpital Jeffrey-Hale. L’embranchement surélevé (sans doute) traversa les rues Crémazie Ouest, rue de Candiac, avenue Bourlamaque, chemin Sainte-Foy et rue des Franciscains. Elle aurait abouti sur l’autoroute de la Falaise au coin des rues Montmagny et d’Arago. Axe Sainte-Geneviève, Senezergues et place Montcalm Une autre particularité qu’on peut remarquer sur les plans du rapport est le fait qu’on prévoit un axe nord-sud à travers le quartier Saint-Jean-Baptiste et la colline Parlementaire, et ce, en boulevard divisé. Le tout l’aurait été le prolongement de la côte Sainte-Geneviève et aurait coupé en diagonale vers le sud sur des terrains qui semblent être vacants aujourd’hui. Avait-on procédé à la démolition à l’époque? Elle traverse ensuite le boulevard René-Lévesque à la hauteur de la rue Berthelot pour rejoindre l’actuelle rue Senezergues et se termine sur Place Montcalm près de l’Hôtel Loews le Concorde. Le boulevard Saint-Amable La rue Saint-Amable aurait été transformée en boulevard divisé accessible à partir du boulevard Saint-Cyrille via la rue des Parlementaires derrière l’Assemblée nationale. Elle aurait été prolongée à l’ouest passé l’avenue Turnbull pour rejoindre l’avenue de Salaberry. Ceci aurait exigé l’expropriation et la démolition d’une partie du campus du St Patrick’s High School. L’accès aux rues Salaberry et Turnbull aurait permis aux automobilistes de rejoindre le tracé proposé de l’autoroute Laurentienne à l’ouest. La Grande Allée et l’avenue Wilfrid-Laurier à sens unique On propose dans le plan de rendre Grande Allée à sens unique vers Sillery entre l’avenue Wolfe-Montcalm et l’avenue Honoré Mercier. Toutefois, on recommande étonnamment de se servir de la tranquille avenue Wilfrid Laurier pour le trafic en direction est. Les automobilistes auraient circulé tout près du monument de Wolfe, un peu sur l’avenue George VI des Plaines d’Abraham pour revenir sur l’avenue Wilfrid Laurier et passer devant le manège militaire. Ils auraient poursuivi jusqu’aux fortifications à l’entrée des plaines et derrière le « bunker » ou le « calorifère ». Une rue aurait été pavée entre la statue et le mur pour rejoindre l’intersection avec l’avenue Honoré Mercier devant le parlement. Autoroute Saint-Charles Cette autoroute est projetée dans une quinzaine d’années dans le plan. Elle est parallèle et au sud de l’autoroute de la Capitale et au nord de l’autoroute de la Falaise. Elle est située sur la Rive-Nord de la rivière Saint-Charles. Elle aurait traversé les quartiers Limoilou et Vanier. Elle commence sa trajectoire sur la Rive-Nord au Port de Québec. Elle traverse l’autoroute Dufferin à l’aide d’une série impressionnante d’échangeurs surélevés. Elle poursuit vers l’ouest vis-à-vis l’actuel incinérateur de Québec, elle aurait longé approximativement la 9e rue à Limoilou, elle aurait passé sur la Pointe aux lièvres, sur le terrain de l’édifice de la CSST et au sud du boulevard Hamel. Rendue à l’avenue Saint-Sacrement, elle se dirige au sud à travers le parc industriel Duberger et Jean-Talon pour rejoindre et fusionner avec l’autoroute Charest Ouest. En discutant avec les communications de Transport Québec, on semblait ignorer l’existence de cette autoroute projetée. Toutefois, en regardant la trajectoire, les terrains entre la rivière Saint-Charles et le boulevard Hamel dans Vanier, on constate que les constructions datent des années 70 ou elles sont plus récentes. Est-ce qu’on avait procédé à l’expropriation et la démolition en prévision de cette autoroute? Il nous a été impossible d’avoir cette information. Pont Québec-Lévis L’autoroute Saint-Charles se serait poursuivie à partir de la Pointe-à-Carcy vers la Rive-Sud sur un pont suspendu similaire au pont Pierre-Laporte. Le pont aurait rejoint la municipalité de Lauzon sur la pointe la plus rapprochée de Québec près de la rue Sainte-Anne. Sa trajectoire se poursuit vers le sud-est passant tout près à l’est de l’Hôtel-Dieu de Lévis et du Club de Golf de Lévis. Elle aboutit dans une série d’échangeurs pour rejoindre l’autoroute 20. Dans un rapport, voici ce qu’on dit sur ce nouveau pont: Les déplacements entre Québec et Lévis-Lauzon par le pont actuel sont peu nombreux, ce qui est compréhensible puisqu’il faut 30 minutes entre le Parlement et le centre de Lévis. Parmi tous les déplacements en auto effectués dans la région pendant l’heure d’affluence, on n’en compte que 16% d’une durée de plus de 30 minutes. Par contre, en utilisant le pont proposé à l’est de Québec, il ne faudrait que 13 minutes pour relier les deux centres. Il est probable que le trafic transfluvial serait plus élevé si, en plus d’avoir une capacité adéquate, le pont reliait Québec et Lévis. Les ingénieurs s’arracheraient les cheveux avec les délais actuels pour voyager entre les deux rives! :-) Autoroute Métropolitaine On décrit peu l’autoroute Métropolitaine dans le présent plan puisque sa construction était décidée et budgetée. Elle devait être complétée dans son entier parallèlement aux nouvelles routes proposées dans le rapport Vandry. La portion à l’est ressemble en tous points à l’autoroute de la Capitale sur laquelle nous circulons actuellement. Dans le plan de transport, on indique qu’elle est présentement en construction à partir d’Henri IV vers l’est. On indique que le tronçon ouest vers l’aéroport suivra et cette éventualité semble acquise. Les expropriations sont effectués en 1968. On évalue le projet à 9,9 millions de dollars. Toutefois, on constate que ce projet a été mis aux calendes grecques. Il reste des vestiges visibles de ce prolongement abandonné. L’échangeur d’Henri IV et de l’autoroute de la Capitale est très large et il occupe un immense terrain. Il y a beaucoup d’espace pour d’autres embranchements. L’autoroute Henri IV et un échangeur parallèle à cette dernière sont construits sur des viaducs inutiles. Ils surplombent un champ. L’autoroute de la Capitale devait passer sous l’autoroute Henri IV. Aussi, on peut apercevoir en voiture et sur la carte satellite le début asphalté de plusieurs embranchements abandonnés. Ils devaient servir à accéder à la portion ouest de l’autoroute de la Capitale (voir la carte interactive pour mieux comprendre). Ce tracé devait passer à travers la municipalité de L’Ancienne-Lorette. Il passe au sud du Collège Champigny et de l’Aéroport de Québec. Il se poursuit au nord du boulevard Hamel pour rejoindre l’autoroute Charest près de la municipalité de Saint-Augustin-de-Desmaures. Le MTQ est toujours propriétaire de cette bande de terrain. Il n’y a aucune construction mise à part certaines rues municipales transversales. Lorsque nous avons posé la question au MTQ, on nous a répondu qu’il n’y pas de plans futurs pour achever cette autoroute. Pourquoi ne vendent-ils pas les terrains? Le ministère nous a répondu qu’ils ne vendent jamais leurs terrains à moins que la municipalité en fasse la demande spécifique. C’est une réponse curieuse, étant donné qu’on manque de terrains à Québec à l’heure actuelle. Cette autoroute devait être l’autoroute de contournement de Québec. Une boucle pour éviter le trafic local de Québec. Elle est devenue bien malgré elle l’épine dorsale puisqu’elle est la plus longue autoroute est-ouest de Québec à l’heure actuelle. Ceci crée une pression sur la petite autoroute Henri IV à 4 voies qui sert autant à rejoindre les 2 bouts de l’autoroute 40 qu’à desservir les ponts de Québec. Trajectoire ouest de l’autoroute Laurentienne Le plan propose un tracé supplémentaire à l’autoroute Laurentienne. Tout en conservant le tracé vers St-Roch, on projette de créer un embranchement à la hauteur du boulevard des Cèdres qui aurait traversé le terrain d’Hydro-Québec et aurait passé au sud de la rue Soumande à Vanier. Un tracé qui correspondant à l’emplacement actuel de la multitude de grandes surfaces telles que Toys R Us et Canadian Tire. L’autoroute Laurentienne aurait traversé la rivière Saint-Charles près de l’Hôpital Sacré-Coeur près du magasin Latulippe pour suivre un tracé similaire à la rue Bigaouette dans Saint-Sauveur. Les deux directions de l’autoroute se seraient séparées peu avant la falaise de la haute-ville en se dirigeant vers l’est pour se déverser dans les avenues Salabbery et Turnbull. Ces deux avenues auraient été converties en sens unique à 3 voies. De toute évidence, cette option a été abandonnée. On semble alors avoir privilégié d’appliquer cette même recette aux rues Dorchester et de la Couronne dans le quartier St-Roch. Une solution qui existe aussi sur le territoire de Montréal. Le fiasco de l’Autoroute Dufferin Cette autoroute à 6 voies avait été construite pour desservir le prolongement irréaliste du Port de Québec jusqu’au pont de l’île d’Orléans. Sans avoir une certitude de la réalisation de ce projet du gouvernement fédéral, le MTQ est allé tout de même de l’avant. Le remplissage des battures de Beauport nécessaire à sa réalisation avait soulevé la grogne populaire. Fait à noter, l’ancien maire de Beauport à l’époque, Marcel Bédard, était aussi le ministère délégué aux Transports. Lorsque le gouvernement a changé en 1976, a répondu aux inquiétudes des citoyens en créant une audience publique. Le Bureau d’audience publique en environnement (BAPE) a fait sa 1re consultation publique à vie et le Ministère de l’Environnement a vu le jour. La commission était d’ailleurs présidée par le président du BAPE lui-même. La très grande majorité des intervenants mis à part la Ville de Beauport et la Chambre de commerce de Beauport ont demandé l’abandon immédiat du projet. Le ministre a toutefois recommandé de terminer l’autoroute avec une trajectoire respectant davantage l’environnement. On disait que le projet était très avancé et beaucoup d’argent public avait déjà été dépensé jusqu’à ce jour. On peut voir des vestiges de l’abandon du projet initial en visitant la presqu’île près de l’avenue d’Estimauville où l’on stationnait autrefois des véhicules récréatifs. Cette presqu’île correspond à la trajectoire originale de l’autoroute. Elle venait rejoindre une seconde extension d’enrochement dans le fleuve, entre le boulevard François-de-Laval et la sortie du boulevard des Chutes, correspond aussi où l’autoroute aurait passé. Cette trajectoire nous fait comprendre l’étendue de remplissage qui était planifié à l’époque et de la destruction du littoral. De plus, il existe une presqu’île au bout de la sortie du boulevard des Chutes. Cette extension devait recevoir des bretelles d’échangeurs élaborés pour la sortie du boulevard. Après l’abandon, on a gazonné le terrain rempli. Preuve que le Port a déjà voulu se rendre si loin : cette presqu’île lui appartient. Dans le plan, on propose plusieurs modifications dans les rues municipales de Beauport. On parle de prolonger la rue Seigneuriale au sud jusqu’à cette autoroute. Aussi, le MTQ est propriétaire d’une bande de terrain qui correspond au prolongement du boulevard François-de-Laval jusqu’à l’avenue St-David qui se rend à l’autoroute de la Capitale aussi. Pourquoi le béton cessa-t-il de couler? Le changement de gouvernement en 1976 ralentit l’expansion du réseau routier. Le PQ avait inclus des promesses de nature environnementales dans son programme électoral. Aussi, les projections dans le rapport Vandry & Jobin étaient basées sur le fait que les femmes restaient à la maison et s’occupaient des enfants. Toutefois, les femmes baby-boomers ont rejoint massivement le marché du travail dans les années 60 et 70. Le taux de natalité a chuté et l’accroissement de la population a ralenti. Dans le rapport, on projette sur l’année 1987 (20 ans). On estime qu’il aura 700 000 habitants dans la région de Québec. Le recensement de 2009 dénombre 746 252 habitants pour la région métropolitaine de Québec (source). La circulation à Québec est de plus en plus difficile. Le peu d’amélioration aux transports au sens large à Québec se fait sentir. On peut alors conclure que les calculs utilisés par les ingénieurs de l’époque étaient crédibles. Il faut juste se demander maintenant quelles sont les solutions de notre temps. On a laissé de côté beaucoup d’autres renseignements dans le plan pour ce billet. C’est un document volumineux et on fera des billets sur des sujets spécifiques. Si vous avez des questions, les commentaires sont là pour ça.
  23. Les baby-boomers ne repeupleront pas les villes, selon une nouvelle étude de l'Université Concordia. La proportion des déménagements de personnes âgées dont la destination est un quartier très urbanisé de Montréal a baissé de plus de 30%, à moins de 20%, depuis 20 ans, selon l'étude. C'est une baisse plus rapide que chez les autres groupes d'âge, et la plus haute parmi les grandes villes au Canada. «Dans les médias, on entend parler de baby-boomers qui rentrent en ville à leur retraite, parce qu'ils veulent profiter de la proximité des commerces et des divertissements et n'ont plus besoin de leur grande maison en banlieue, explique Zachary Patterson, géographe à Concordia, qui est l'auteur principal de l'étude publiée dans le Journal of Transport Geography. Des études américaines ont montré que ça ne semble pas être le cas. Nous voyons avec nos données que ça ne se produit pas non plus au Canada.» L'étude se penchait sur les déménagements vers les «quartiers urbains» (urban core) de six grandes villes canadiennes. À Montréal, cela correspond grosso modo aux quartiers sous le boulevard Métropolitaine, entre Hochelaga-Maisonneuve et Lachine et ceux qui bordent le boulevard Saint-Laurent jusqu'à la rivière des Prairies. Alors que Montréal est la seule grande ville où la proportion de jeunes qui déménagent vers un tel quartier urbain augmente depuis 1991, avec un léger plateau depuis 2001, elle connaît une baisse légèrement plus rapide de cette proportion chez les personnes âgées. À noter, Edmonton est une anomalie: la proportion de personnes très âgées (plus de 75 ans) déménageant vers un quartier urbain était supérieure à celle des jeunes de moins de 25 ans en 1991, et est toujours supérieure à celle de toutes les autres catégories d'âge. Qu'est-ce qui explique cette tendance? «Les terrains coûtent moins cher en banlieue, les gens choisissent de s'y établir, et probablement les résidences pour personnes âgées aussi», explique M. Patterson. Est-ce à dire que le stéréotype du baby-boomer qui veut s'installer près des théâtres, des restos et des petites épiceries de quartier pour y faire ses courses à pied est une invention médiatique? «Je ne peux pas m'avancer, mais il reste qu'on a vu ça seulement dans les médias, pas dans les données», dit le chercheur de Concordia. M. Patterson veut maintenant adapter les données de Statistique Canada de 2011, qui ont été faites selon un nouveau questionnaire très controversé (il n'est notamment plus obligatoire de le remplir), pour voir si la tendance se poursuit au-delà de 2006. http://www.lapresse.ca/actualites/201410/15/01-4809266-les-baby-boomers-ne-reviennent-pas-en-ville.php **** pas pour vous écoeurer, mais "I told you so".
  24. La ville de St-Eustache a une grande histoire. Une histoire qui se situe principalement dans les années 1700 et 1800 mais dont le point culminant se joue le 14 décembre 1837 lors de l'attaque militaire du général et gouverneur John Colborne envers les patriotes. Aujourd'hui nous somme bien loin de tout cela. Voici donc quelques photos d'un passé pas si lointain et du présent de cette ville. __________________________________ L’histoire de la paroisse Saint-Eustache remonte au XVIIIe siècle. Un presbytère-chapelle est construit dès 1774 sur un terrain ayant été offert par le Seigneur Louis-Eustache Lambert Dumont et longeant la rivière des Mille-Îles. Six ans plus tard, débute la construction de la première église, qui sera bénite en 1783. Entre 1830 et 1833 l’actuelle haute façade en pierre est construite. Cette église occupe une place spéciale dans l’histoire du Québec surtout en raison des événements tragiques qui s’y sont déroulés en 1837, lors de la bataille des Patriotes. Le bâtiment sera lourdement endommagé lors de la rébellion . Ce n'est que 4 ans plus tard, que le curé Paquin peut enfin entreprendre la reconstruction de l'église. Durant la deuxième moitié du XXe siècle, Saint-Eustache connaît un important développement économique et démographique. Ainsi, les paroisses Christ-Roi, Saint-Esprit et Sainte-Marguerite-Bourgeoys voient le jour respectivement en 1964, 1970 et 1989, afin de répondre aux besoins d’une communauté en croissance. Quant à l’église de Saint-Eustache, elle fut classée monument et lieu historique en 1970. Grâce à sa voûte en berceau elle bénéficie d’une si belle acoustique que l'Orchestre symphonique de Montréal y a enregistré tous ses albums pendant plus de 20 ans. Elle est d’ailleurs visitée par des milliers de touristes chaque année. Source: Ville de St-Eustache. Église de St-Eustache, 1920 // 23 Mars 2013. Les bâtiments de droite ont disparus mais la Maison Charles Marsil a gauche, est toujours en place... Hotel St-Eustache vers 1940 // 1975 Située au 124-128 Rue Saint Eustache, l’Hôtel Saint-Eustache, dans la rue du même nom, a connu plusieurs propriétaires durant sa longue vie, dont Joseph-Mathias Goulet, les familles Pesant, Laurin et Jos. Lauzé. L’hôtel dispose de la traditionnelle taverne en plus d’être le point de service local pour la compagnie de d’autobus Provincial Transport. Comme plusieurs autres établissements de Saint-Eustache, il fut rasé par un incendie d’origine douteuse dans les années '80. Ce bâtiment comprenait aussi dans les années '70, la discothèque "Le Stress", qui était très populaire a cette époque. Hotel St-Eustache 1975 // 30 mars 2013. (tout a disparue, des condos font maintenant partie du décor). Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1902. (Vue de la rue St-Eustache) L’Hôtel Rivière-du-Chêne bâti vers 1900 sur la rue Saint-Eustache au coin de la rue Dorion, a pris le nom d’Hôtel des Mille-Iles et a longtemps été opéré par Napoléon Robin et son fils Jean. L’hôtel fut rénové puis converti en logements vers 1967. Ce qu'est devenue l'Hotel Rivière du Chêne, 30 mars 2013 Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1968 (coin Dorion). 30 mars 2013, coin Dorion. La maison Brion, année inconnue // 30 mars 2013. Construite en 1771, la maison Brion est située au 65 de la rue Saint-Louis, dans le vieux Saint-Eustache. Avec l'église de Saint-Eustache, elle est un des rares témoins de la bataille du 14 décembre 1837. Le 14 décembre 1837, comme une bonne partie du village, la maison est incendiée durant la bataille. Elle restera en ruines pendant neuf ans, témoin de la lutte. En septembre 1838, Pierre Janvry donne le terrain et les murs de pierre qui subsistent à son fils Édouard, comme cadeau pour son mariage avec Marie-Charles Dumoulin. Un an plus tard, Édouard revend le tout à Ambroise Brion dit Lapierre, un cultivateur de Saint-Eustache. En mai 1846, Lapierre signe un marché de construction avec le maçon Ulric Robillard. Ce dernier devra démolir ce qui reste des murs du second étage (car a l'origine elle avait donc deux étages) et reconstruire la maison dans les murs du rez-de-chaussée. C'est cette maison que nous pouvons toujours observer aujourd'hui sur la rue Saint-Louis. Magasin Paquin vers 1898 // 30 mars 2013. Au début de 1800, le docteur Jacques Labrie acquiert la propriété de Joseph Debien sur la rue Saint-Eustache. Il agrandit la maison et fait ériger des murs de pierres. Il habite la demeure près de 20 ans. Puis, William-Henry Scott achète la propriété et y établit un magasin général. A sa mort, les enfants Scott continuent à opérer le commerce. En 1875, Joseph-Albert Paquin acquiert la bâtisse. Après un incendie majeur en 1889, la maison et le magasin sont reconstruits. Devenu une quincaillerie, le commerce ferme ses portes vers 1990. La maison est toujours occupée par les descendants de Joseph-Albert Paquin. Banque Provincial, 1970 // 30 mars 2013. Ce bâtiment construit dans les années '20 et abritant la banque provinciale (aujourd’hui fusionnée avec la banque canadienne nationale qui a créé la banque nationale) a eu pignon sur la rue St-Eustache de 1930 à 1979. Hotel Bellevue dans les années '60 // 30 mars 2013. Situé a l'angle des rues Saint-Louis et Saint-Eustache (face a l'église). Elle fut construite entre 1905 et 1910 par Cléophas Laurin puis opéré par Charles-Édouard Girard, l’hôtel Bellevue accueille des visiteurs de partout. Dans les années 1950, l’aile ‘Indian Lounge’ est ajoutée du côté sud-ouest. Le corps principal de l’hôtel fut incendié en 1974, ne laissant que l’aile ‘Indian Lounge’. Aujourd’hui un commerce de vêtements occupe la bâtisse rénovée en plus d'un autre bâtiment plus récent construit a l'emplacement de l'hotel. La maison Globensky-Coriveau vers 1890 et 1930. Portant les adresses 64 et 68 rue St-Eustache dans le village du même nom, Hubert Globensky fit construire cette maison en 1832. Le notaire Cyrille H. Champagne s’y installe ensuite jusqu’à sa mort en 1906. Son fils Hector y réside jusqu’à son décès en 1941. Enfin, le docteur Yvon Corriveau acquiert la maison en 1941. [C’est lui qui va la faire reculer de quelques mètres vers l’arrière]. Maintenant, l’emplacement est occupé par le restaurant Saint-Eustache. Source: Ville de St-Eustache ------------------------------------------------------------ De la fin des années 1780 jusqu'en 1795, l'emplacement de la maison Hubert Globensky appartient à la seigneuresse de Blainville, Marie-Thérèse Céloron de Blainville. En 1799, Auguste Globensky, un chirurgien polonais s'étant établi au Canada après la Révolution américaine, achète le terrain. Une maison en pièce sur pièce ainsi que divers bâtiments s'y trouvent déjà. À la mort de son père en 1830, le marchand Hubert Globensky fait l'acquisition de la propriété. Deux ans plus tard, il fait démolir l'ancienne demeure et bâtit la résidence actuelle. Le magasin et la maison d'Hubert Globensky sont pillés par les Patriotes durant les jours précédent la bataille du 14 décembre 1837. En raison du soutien apporté par Globensky au parti loyal, sa demeure est toutefois épargnée par les troupes du général Colborne. Une partie de l'état-major de l'armée britannique y est logé après la bataille. En 1941, le docteur Yvon Corriveau devient propriétaire de la maison. En plus d'y apporter quelques modifications, il la fait reculer de quelques mètres vers l'arrière. La demeure était auparavant située en bordure du trottoir. La maison Hubert Globensky est l'une des rares demeures d'inspiration néoclassique dans la région. L'architecture néoclassique apparaît durant la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Style inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, le néoclassique se démarque par sa recherche de symétrie, d'harmonie et de clarté. Les maisons d'inspiration néoclassique se caractérisent aussi par la présence d'une vaste galerie couverte d'un auvent en façade ainsi que d'un fronton au-dessus de la porte d'entrée. La façade de la maison Hubert Globensky était auparavant ornée d'une longue galerie. 30 Mars 2013, Position éloignée du trottoir par rapport a avant 1941. .....a suivre !!
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