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  1. Le gouvernement britannique va annoncer lundi matin, sous l'oeil intéressé de l'Europe, le détail de son vaste plan de sauvetage bancaire qui pourrait conduire à une prise de contrôle majoritaire de deux des plus grandes banques du pays, RBS et HBOS, selon la presse dominicale. Pour en lire plus...
  2. Deux cadres supérieurs de la Caisse de dépôt et placement ont annoncé leur départ, au cours des dernières semaines, a appris La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  3. Le président et chef de la direction de Domtar, qui quitte son poste à la fin de l'année, a rencontré cette semaine les journalistes de La Presse. À la veille de la nomination de son successeur, il répond à nos questions. Pour en lire plus...
  4. Volvo élimine 500 emplois en Ontario 30 septembre 2008 - 11h49 Presse Canadienne Le groupe suédois Volvo a annoncé l'élimination d'environ 1900 emplois mardi, dont environ 500 en Ontario. Cette annonce survient dans le cadre de mesures destinées à améliorer sa rentabilité et l'aider à devenir plus concurrentiel. Quelque 1400 des emplois perdus sont rattachés aux usines de la division des camions de Volvo à Gand, en Belgique, et à Goteborg et à Umea, en Suède. Volvo a expliqué dans un communiqué de presse, mardi, que ces pertes d'emplois sont une conséquence de sa décision de réduire la capacité de sa production en Europe afin de s'ajuster à la demande décroissante pour les camions dans le marché européen. Au cours des dernières années, Volvo avait augmenté graduellement sa capacité pour satisfaire une demande croissante, mais compte tenu de la demande devenue plus faible, la compagnie a décidé de ramener sa capacité de production à des niveaux plus normaux. Volvo soutient que la baisse du marché a été exacerbée par les récents événements ayant affecté les marchés financiers, expliquant que ses clients sont devenus plus conservateurs lorsqu'il s'agit de remplacer leurs véhicules et que certains n'arrivent même plus à obtenir des prêts pour financer l'achat de nouveaux camions. En Ontario, les employés touchés par les mesures adoptées par Volvo sont à l'emploi de la division de l'équipement de construction du groupe (Volvo Construction Equipment ou Volvo CE). Volvo a décidé de transférer sa production de niveleuses de Goderich, en Ontario, à son usine de Shippensburg, dans l'Etat américain de la Pennsylvanie. La mesure, qui sera effectuée en différentes phases, devrait être complétée d'ici 2010. Elle entraînera des coûts d'environ 45 M$ Us qui seront pris en charge au troisième trimestre de 2008. Volvo a cédé sa division de production d'automobiles à Ford Motor en 1999.
  5. Les deux derniers syndicats encore réticents face au plan de sauvetage de la compagnie aérienne italienne ont annoncé à la presse lundi avoir finalement donné leur accord. Pour en lire plus...
  6. Fermeture du dépôt de pièces de Chrysler à Pointe-Claire 24 septembre 2008 - 11h32 Presse Canadienne Le constructeur automobile Chrysler fermera son dépôt de pièces de Pointe-Claire, à l'ouest de Montréal, le 30 novembre, selon le syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile. Mercredi, dans un communiqué de presse, le syndicat a précisé que cette fermeture touchera une centaine d'emplois. Quelque 60 travailleurs et travailleuses cols blancs et cols bleus de ce dépôt son membres des TCA; les autres sont des cadres et des vendeurs. Ce centre de distribution de pièce automobile ouvert en 1960 a déjà employé plus de 200 salariés. Le syndicat soutient que lors des dernières négociations, il avait accepté de participer à un programme visant à améliorer la productivité et que, depuis, les salariés avaient dépassé tous les objectifs de rendement fixés. «Trois ans plus tard, malgré des investissements de plus de 3 M$, la multinationale décide de mettre fin à ses opérations dans la région métropolitaine. Elle approvisionnera désormais ses concessionnaires soit à partir de Moncton ou, plus probablement, des USA», précise le communiqué. Les TCA blâment le gouvernement Harper pour ces pertes d'emplois, indiquant que ce dernier a décidé de laisser l'industrie automobile canadienne se démanteler peu à peu. «On assistera de plus en plus à un glissement des emplois vers les États-Unis, a déclaré Jean-Pierre Fortin, directeur québécois du syndicat. Harper n'a aucune stratégie ni pour préserver les emplois, ni pour favoriser de nouveaux investissements dans cette industrie.»
  7. Charest: «On n'a pas de comptes à rendre à Ottawa» Jean Charest (Photo David Boily, La Presse) Photo David Boily, La Presse Denis Lessard La Presse Le gouvernement du Québec n’a pas de comptes à rendre à Ottawa quant à sa décision de baisser les impôts avec l’argent transmis par Ottawa au printemps 2007, a soutenu jeudi le premier ministre Jean Charest. Il répliquait sans ménagement aux propos tenus plus tôt par le premier ministre Stephen Harper pour qui le Québec ne pouvait à la fois prétendre que le déséquilibre fiscal demeurait et baisser les impôts pour ses contribuables. «Baisser les impôts pour la classe moyenne, j’y tenais beaucoup. Les économistes reconnaissent que c’est la raison pour laquelle l’économie du Québec va tirer son épingle du jeu malgré le ralentissement (économique)», a soutenu M. Charest à l’arrivée à la réunion présessionnelle de son caucus. «Je n’ai pas de comptes à rendre au gouvernement fédéral sur la gestion des fonds au Québec», a-t-il laissé tomber. Pour lui le règlement du problème du déséquilibre fiscal passe aussi par une solution au financement de l’éducation post-secondaire, malmenée par les coupures d’Ottawa dans les années 1990. «Comme premier ministre du Québec je vous dis que ce n’est pas réglé et qu’on va continuer à réclamer du financement pour le post-secondaire», a déclaré M. Charest.
  8. MTY devient franchiseur pour Taco Time 17 septembre 2008 - 11h18 Presse Canadienne MTY Tiki Ming Enterprises, filiale du groupe montréalais MTY (MTY) vient de conclure une entente ayant force obligatoire afin de se porter acquéreur des actifs de Taco Time Canada. L'entente a été conclue avec Ken et Aarol Pattenden, de Taco Time Canada, une entreprise basée à Calgary. En vertu de cette entente, MTY reprendra les droits de franchise de la chaîne de restauration rapide de style mexicain au Canada conformément à un accord signé avec Kahala Franchise Corporation, de Scottsdale, en Arizona, détentrice du nom Taco Time. Le montant de l'opération n'a pas été précisé. Il y a actuellement 117 établissements Taco Time franchisés au Canada, dans les provinces de la Colombie-Britannique, de l'Alberta, de la Saskatchewan, du Manitoba et de l'Ontario. Les ventes du réseau Taco Time au Canada ont atteint 54 M$ au cours de la période de 12 mois terminée le 30 juin dernier. La transaction devrait être complétée d'ici 60 jours, a précisé MTY, mercredi, en annonçant cette nouvelle acquisition. MTY a l'intention de maintenir le siège de Taco Time Canada à Calgary une fois la transaction réalisée. Interrogé par La Presse Canadienne, un porte-parole de la compagnie, Jean-François Dubé, a indiqué, par ailleurs, que MTY envisage d'élargir le réseau de Taco Time en Ontario et de l'introduire éventuellement au Québec. L'acquisition de Taco Time Canada portera à 1000 le nombre d'établissements de restauration rapide de MTY, qui possède entre autres les bannières Sushi Shop, Tiki-Ming, Veggirama, La Crémière, cultures et Caférama. À la fin août, le groupe a annoncé qu'il achetait la chaîne Tutti Frutti spécialisée dans les petits-déjeuners.
  9. Ford éliminerait 500 emplois à Oakville 10 septembre 2008 - 07h20 Presse Canadienne Ford Canada serait sur le point d'annoncer l'élimination d'un quart de travail à ses ateliers de carrosserie et de peinture situés à Oakville, en Ontatio, ce qui coûterait leur emploi à quelque 500 travailleurs. Selon ce qu'une source du syndicat des Travailleurs canadiens de l'Automobile (TCA) a indiqué au «Globe and Mail», les coupes seront appliquées dès le 1er octobre prochain. Cette décision de Ford s'inscrirait dans la foulée de l'abolition d'un poste de travail à son usine d'assemblage d'Oakville. Ford avait pourtant embauché 350 personnes et avait transféré 150 travailleurs de Windsor à Oakville pour combler les besoins de ce quart de travail, mais ils n'ont jamais été mis à contribution. _________________________________________________________________________________________________________________ Toyota applique les freins à son usine de Woodstock 8 septembre 2008 - 17h54 Presse Canadienne Toyota Canada a annoncé vendredi qu'elle retardait l'implantation d'un deuxième quart de travail à son usine de Woodstock, dans le sud de l'Ontario, en raison de la faiblesse générale du marché de l'automobile. Le maire de Woodstock, Michael Harding, a précisé que le premier quart de travail, qui doit employer 1200 personnes, sera instauré tel que prévu. Le deuxième quart de travail devrait permettre l'embauche de 800 ouvriers additionnels. Les dirigeants de Toyota ont également confirmé que leurs objectifs de production de 150 000 véhicules par année étaient inchangés. L'industrie automobile de l'Ontario a été sévèrement touchée par une série de mises à pied et de fermetures d'usines, en partie à cause de la montée en flèche des cours du pétrole, de la vigueur du dollar canadien et d'un ralentissement économique aux États-Unis, le marché principal de ventes de voitures et de camions fabriqués au Canada. L'économie ontarienne a aussi été affectée par un affaiblissement du secteur manufacturier. Depuis un an, il s'est perdu 88 000 emplois dans le secteur manufacturier, à l'échelle nationale. ____________________________________________________________________________________________________________________ Simmons Canada ferme une usine en Ontario 9 septembre 2008 - 15h03 La Presse Canadienne Toronto Simmons Canada a fermé son usine de fabrication de matelas à Brampton, en Ontario, laissant quelque 185 employés sans travail, mais le syndicat de ces derniers a affirmé mardi que la fermeture n'était pas le résultat de la grève qui paralyse les installations depuis près d'un mois. L'entreprise a expliqué avoir été contrainte de fermer l'usine, cette semaine, en raison d'une «perte inacceptable» de revenus et de clients provoquées par la grève, entreprise le 15 août. Toutefois, Hemi Mitic, adjoint du président national du syndicat des Travailleurs canadiens de l'automobile (TCA), a indiqué que le conflit de travail n'avait eu aucune incidence économique permettant de justifier la fermeture de l'usine. Par voie de communiqué, M. Mitic a affirmé que «dès le premier jour, la société a commencé à démanteler le matériel de production et, en quelques jours à peine, elle avait préparé l'enlèvement des principales pièces de production qu'elle a placées sur des plateformes de chargement». M. Mitic a également souligné qu'en raison de cette fermeture, la société était obligée de négocier avec le syndicat les indemnités de départ, les primes et autres rémunérations non réglées ainsi que les éléments des avantages sociaux appartenant aux employés. Les TCA négocient avec Simmons Canada depuis le mois de mai. Simmons a indiqué qu'environ 25 pour cent du volume de production de l'usine serait transféré dans des usines au Québec et en Alberta, et le reste, aux États-Unis.
  10. La Caisse de dépôt aurait évité le pire 9 septembre 2008 - 06h00 La Presse Martin Vallières La Caisse de dépôt et placement aurait évité le pire de l'effondrement boursier des sociétés hypothécaires Fannie Mae et Freddie Mac, selon les registres de la SEC américaine. Leurs actions, très dévalorisées depuis quelques mois, ont subi un coup de grâce de 85% hier. Le coup est venu des investisseurs convaincus de la quasi-éradication de ces actions avec le plan de recapitalisation de Washington. Pourtant, au 31 mars dernier, la Caisse détenait 10,6 millions d'actions de Fannie Mae (ou Federal National Mortgage), pour une valeur déclarée de 280 millions US. C'était presque 10 fois plus d'actions de cette société que le nombre déclaré à la fin de son exercice précédent, au 31 décembre 2007. Aussi, la Caisse détenait alors 64 806 actions de Freddie Mac, pour une valeur déclarée de 2,2 M$ US. Mais dans sa plus récente déclaration à la SEC, en date du 30 juin, la Caisse de dépôt n'avait plus d'actions de l'un ou l'autre de ces géants hypothécaires. À quel prix de revente a-t-elle pu se départir de ces actions? Et la Caisse de dépôt a-t-elle pu en tirer profit ou, du moins, limiter ses pertes? On refusait de répondre à ces questions hier au siège social de la Caisse de dépôt et placement. Pour des raisons de complexité de transactions, d'une part. Mais aussi parce que "ça fait partie des stratégies internes de gestion de portefeuille", a indiqué son vice-président aux affaires publiques, Mark Boutet, mais après pris soin de valider les chiffres relevés par La Presse Affaires.
  11. Le risque qu'une crise semblable à celle que vivent Fannie Mae et Freddie Mac se produise au Canada est très peu probable, estiment des experts consultés par La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  12. Transcontinental fait l'acquisiton de Rastar 4 septembre 2008 - 12h56 LaPresseAffaires.com Transcontinental (TCL.A) a annoncé avoir fait l’acquisition de Rastar, une entreprise américaine de marketing direct et dans l'impression numérique de données variables. Selon l’imprimeur québécois, Rastar va permettre à Transcontinental de poursuivre l’expansion de ses services marketing. Rastar est une société privée dont les revenus annuels s'élèvent à environ 50 M$ US et compte parmi ses clients de nombreuses entreprises qui évoluent dans des marchés comme l'automobile, les biens de consommation et l'industrie du détail. Le communiqué de presse ne donne pas de détails sur la valeur de la transaction. Le PDG de Transcontinental a souligné l’apport de cette acquisition pour son groupe. «Nous commençons à peine à explorer le potentiel des services de marketing intégrés que nous pouvons désormais offrir à nos clients», a souligné François Olivier. Les quelque 350 employés de Rastar se joindront au secteur des produits et services de marketing de Transcontinental, sous la responsabilité de son président, Guy Manuel.
  13. Le gouvernement Charest nommera l'actuel président et chef de la direction par intérim à la tête de la CDPQ, selon La Presse. L'annonce pourrait en être faite dès aujourd'hui, rapporte Radio-Canada. Pour en lire plus...
  14. La Presse Canadienne Montréal Le jeudi 04 septembre 2008 Après Copenhague, c'est au tour de Montréal d'accueillir la Conférence mondiale sur le vieillissement, un événement d'envergure qui se déroule à tous les deux ans à travers le monde. Cette 9e conférence internationale de la Fédération internationale du vieillissement (FIV) se tient au Palais des congrès du 4 au 7 septembre. Il s'agit de l'occasion pour des spécialistes du monde entier de traiter des enjeux liés au vieillissement. La sécurité, les transports, l'accès au logement, l'isolement social, la protection des droits des aînés et la promotion d'une image positive de la vieillesse figurent parmi les thèmes qui y seront abordés. Cette conférence mondiale compte près de 1000 participants provenant d'une soixantaine de pays. Il s'agit essentiellement de hauts fonctionnaires, d'intervenants sociaux, de professionnels, de représentants des milieux financiers et de gens d'affaires. Plus de 300 conférenciers s'adresseront à eux, sans oublier les ateliers, symposiums et discussions au programme. Cette 9e conférence mondiale sera doublée de l'Expo Vieillissement Design Montréal 2008, un salon qui propose de faire le lien entre vieillissement et design dans une perspective de susciter l'intérêt des designers à trouver des solutions pour surmonter les obstacles qui peuvent croître avec l'âge. Le maintien à domicile des personnes âgées est un enjeu majeur, selon Irene Hoskins, présidente de la FIV et coprésidente de la 9e Conférence mondiale sur le vieillissement. «Pour accroître la proportion d'aînés vivant de façon autonome, il faut des innovations aux systèmes d'éclairage intérieurs, des modifications à la configuration des salles de bain, à la fabrication d'électroménagers et aux normes du bâtiment» a déclarée Mme Hoskins en conférence de presse, jeudi au Palais des congrès. Elle était alors accompagnée de la ministre des Aînés du Québec, Marguerite Blais. La ministre Blais ouvrira la session plénière du vendredi soir, qui portera sur les innovations canadiennes dans le milieu du vieillissement. En conférence de presse jeudi, la ministre a souligné que «le Québec est l'une des sociétés qui vieillit le plus rapidement, la deuxième après le Japon». C'est pourquoi, selon elle, «un certain nombre des défis soulevés correspondent à notre réalité et à notre capacité collective d'y faire face». «La conférence arrive à point nommé», a poursuivi la ministre, faisant notamment référence aux consultations menées l'an dernier auprès des aînés du Québec. «Depuis la conférence de Madrid en 2002, il y a eu cette conscientisation du vieillissement et le Québec est dans cette foulée là», a-t-elle ajouté. Montréal avait accueilli la 4e édition de cette conférence internationale en 1999. L'événement avait donné lieu à la «Déclaration de Montréal» qui avait pavé la voie à l'élaboration du Plan d'action de Madrid, en 2002, portant sur les droits et le bien-être des gens âgés. La prochaine Conférence mondiale sur le vieillissement aura lieu à Melbourne en 2010.
  15. La Gendarmerie royale du Canada a lancé une enquête criminelle sur le scandale financier offshore entourant la firme montréalaise Triglobal, a appris La Presse. Pour en lire plus...
  16. La Banque Nationale négocie l'acquisition de Option Retraite 2 septembre 2008 - 17h12 Presse Canadienne La Banque Nationale négocie l'acquisition de Option Retraite. La Banque Nationale (NA) annoncera sous peu l'acquisition du Groupe Option Retraite, une firme qui compte 18 000 clients et qui gère des placements de plus de 1,5 G$, a appris mardi La Presse Canadienne. Dans un entretien téléphonique, le président-fondateur de l'entreprise, Richard Dorval, a dit avoir obtenu l'assurance que la Banque continuerait à mettre de l'avant la philosophie d'Option Retraite. M. Dorval n'a pas voulu révéler le montant de la transaction. Option Retraite compte 180 employés et 15 bureaux au Québec et en Ontario. Certains bureaux pourraient être fusionnés avec ceux de la Financière Banque Nationale, mais aucune perte d'emploi n'est prévue. Dans le cadre de l'accord, qui doit être annoncé officiellement d'ici la fin du mois, Richard Dorval deviendra conseiller spécial de la Banque Nationale. Une porte-parole de la Banque, Marie-Claude Lavigne, a souligné que l'institution était actuellement en «mode acquisition», en ajoutant toutefois qu'elle n'avait pas l'habitude de «commenter des spéculations de cet ordre».
  17. Des juges d'une cour d'appel fédérale de Chicago ont refusé jeudi de se pencher une nouvelle fois sur les condamnations de l'ex-magnat de la presse Conrad Black. Pour en lire plus...
  18. La justice fédérale américaine refuse de se pencher à nouveau sur le cas de Conrad Black. L'avocat de l'ex-magnat de la presse envisage de faire appel auprès de la Cour suprême des États-Unis. Pour en lire plus...
  19. Les réserves d'eau douce du Canada pourraient s'épuiser Le Canada compte un cinquième de l'approvisionnement mondial en eau douce. (Photo Ivanoh Demers, La Presse) Presse Canadienne Ottawa Un rapport interne d'Environnement Canada paru récemment met le gouvernement en garde contre des pénuries d'eau douce qui pourraient menacer l'économie canadienne et créer des conflits entre les provinces. Le rapport, rédigé au mois de décembre dernier, prévient que les changements climatiques et l'augmentation de la population vont mener à l'épuisement des ressources. La Presse Canadienne a obtenu copie du document de 21 pages en vertu de la Loi sur l'accès à l'information. Le rapport suggère au gouvernement fédéral d'adopter un rôle plus direct quant à sa gestion de l'eau douce au pays, qui est présentement en grande partie sous le contrôle des provinces. Ottawa exploite néanmoins la majorité de l'eau douce provenant des régions du nord, par le biais de régies des eaux. Le Canada compte un cinquième de l'approvisionnement mondial en eau douce. Seulement sept pour cent de cette quantité est renouvelable, tandis que le reste provient de glaciers de la période glaciaire et de sources d'eau souterraine. Les précipitations permettent quant à elles de renouveler un pour cent de l'approvisionnement en eau du pays, selon le rapport. Les conservateurs avaient promis un plan de stratégie nationale de l'eau lors du discours du trône, l'automne dernier, mais l'opposition leur reproche depuis d'annoncer des projets fragmentaires. Les conservateurs, tout comme le gouvernement libéral qui les a précédé, tardent à publier les rapports annuels requis par la loi qui font état de la façon dont sont utilisés et entretenus les réserves d'eau. Le dernier rapport publié sur le site internet d'Environnement Canada date de 2005-2006. Le nouveau rapport du ministère établit qu'Ottawa ne connaît pas suffisamment le dossier pour bien gérer la ressource. «Un plan de prévision nationale sur la disponibilité en eau au pays n'a jamais été élaboré parce que, traditionnellement, nous considérions que notre utilisation de la ressources était illimitée», indique le rapport, intitulé A Federal Perspective on Water Quantity Issues. Les données que possède le gouvernement fédéral sur les réserves d'eau souterraine du pays sont considérées comme «rares et souvent inadéquates» par Environnement Canada. Le Canada partage des réserves d'eau souterraine avec son voisin du sud et le rapport indique que «notre manque de données place le Canada dans une situation de désavantage stratégique quant aux négociations bilatérales avec les États-Unis». Le document prévoit également des périodes de sécheresse dans les Prairies et des pénuries d'eau souterraine en Colombie-Britannique et dans le bassin Grands Lacs-Saint-Laurent. Le lac Supérieur a atteint son niveau le plus bas, au mois de septembre. Les niveaux d'eau des lacs Michigan et Huron étaient quant à eux inférieurs de 50 centimètres par rapport aux moyennes de l'automne dernier. Le rapport indique qu'une diminution du niveau d'eau de 0,08 à 1,18 mètres, dans les Grands Lacs, engendrerait des coûts de 240 millions $ à 350 millions $ par année à l'industrie hydro-électrique. Le rapport avise également d'un «risque accru» d'épreuves de force entre les provinces, ainsi qu'entre le Canada et les États-Unis, si l'approvisionnement en eau diminue trop. Le Canada insiste que ses réserves d'eau ne sont pas à vendre, mais son voisin du sud pourrait bien faire pression pour se faire envoyer de l'eau si ses réserves se tarissent. Personne n'était disponible au ministère de l'Environnement, mercredi, pour commenter le rapport. Le porte-parole du Parti libéral sur la question de l'eau, Francis Scarpaleggia, a affirmé quant à lui qu'Ottawa devait se doter d'un ministre de l'eau de second rang qui puisse se concentrer sur cet enjeu.
  20. Un article de devra faire plaisir à bien du onde sur le forum! Sara Champagne La Presse L'administration Tremblay annoncera au cours de son comité exécutif, aujourd'hui, qu'elle réalisera ses promesses en matière de réfection des routes et des conduites d'eau et d'égouts. Des sommes seront aussi affectées pour la mise à niveau de ses usines d'eau potable. Selon des informations obtenues par La Presse, des contrats de plusieurs millions seront accordés pour refaire les rues et les infrastructures autour du futur campus d'Outremont, et des deux futurs centres hospitaliers universitaires, le CHUM au centre-ville et le CUSM. Ces chantiers devraient démarrer dès cet automne. Au total, la Ville de Montréal a prévu dépenser 401 millions, d'ici la fin de 2008, dans ses infrastructures, dont 181 millions à même son Programme de réfection routière (PRR), pour refaire les rues, ponts, tunnels et son réseau de tuyaux souterrains. Dans le cas de la gare de triage d'Outremont, il est prévu de dégager 22 millions cette année. Une somme de 9,5 millions doit revenir au CHUM pour refaire le système d'aqueducs et d'égouts, et permettre éventuellement le passage d'une piste cyclable dans la rue de la Gauchetière. Outre ces contrats, le projet de réaménagement du quadrilatère de la Place des Arts, estimé à 120 millions, et piloté par le maire Tremblay, devrait aussi franchir une étape importante. À ce chapitre, les investissements de la Ville doivent totaliser 18 millions en 2008. Le premier édifice à sortir de terre doit être la Vitrine culturelle, porte d'entrée du futur Quartier des spectacles, rue Sainte-Catherine. Réserve foncière Le projet de transformation de l'autoroute Bonaventure en grand boulevard urbain devrait lui aussi passer à une autre étape, aujourd'hui, avec l'approbation par les élus d'une réserve foncière permettant «d'exproprier ou de céder de gré à gré» des édifices environnants. Le président-directeur général de la Société du Havre de Montréal, Gaétan Rainville, a expliqué à La Presse, hier, que son organisation devrait avoir en main, d'ici le 15 août, les plans et devis. Les appels d'offres devraient être lancés au mois de septembre. Dans son budget 2008, la Ville de Montréal estime que la taxe consacrée au Fonds de la voirie a atteint 20 millions. Une partie de cette somme, tirée des poches des propriétaires montréalais, soit 11,75 millions de dollars, doit servir au «rapiéçage mécanique» du réseau routier. Idéalement, Montréal devrait dépenser 200 millions par an pendant 10 ans pour retaper ses rues, a déjà indiqué le maire de Montréal, en dévoilant les grands chantiers routiers et souterrains de 2008, en mai dernier. Sammy Forcillo, responsable des infrastructures et vice-président au comité exécutif de la Ville de Montréal, n'a pas démenti la nouvelle selon laquelle des contrats importants seront annoncés, aujourd'hui, autour des grands projets de Montréal. Il a par ailleurs précisé que l'administration municipale a l'habitude de passer des «commandes» au retour des vacances d'été afin d'ouvrir les chantiers de construction avant la fin de l'année financière.
  21. JO: querelles autour du drapeau Le vendredi 08 août 2008 Martin Ouellet La Presse Canadienne Pauline Marois presse le premier ministre Jean Charest de protester contre l'interdit qui empêche les athlètes québécois de brandir le fleurdelisé au Jeux olympiques de Pékin. La chef du Parti québécois juge inacceptable la décision des organisateurs des jeux de ne tolérer que les drapeaux des 205 pays membres du mouvement olympique. En vertu de ce règlement, les athlètes du Québec et leurs accompagnateurs, toutcomme ceux d'Ecosse, du Pays de Galles, de la Flandre ou de la Catalogne, nepeuvent agiter leurs drapeaux nationaux respectifs sur les sites de compétition. La leader souverainiste québécoise n'est pas la seule à condamner ce règlement adopté à l'origine pour empêcher toute manifestation d'appui au Tibet. Ailleurs dans le monde, des voix s'élèvent contre la décision des organisateurs chinois. En Belgique, le ministre flamand du Tourisme, Geert Bourgeois, a écrit une lettre de protestation à l'ambassadeur de Chine. Des partis politiques gallois ont aussi fait connaître leur mécontentement. En visite dans le pays hôte des jeux, le premier ministre Charest doit lui aussi contester le règlement et faire connaître son insatisfaction auprès des autorités olympiques, a fait valoir Mme Marois, en entrevue vendredi à La Presse Canadienne. Sans aller jusqu'à défier l'interdit, les athlètes eux-mêmes devraient aussi manifester leur désaccord, a-t-elle soutenu.
  22. 3,9 milliards $ pour les infrastructures au Québec Le jeudi 24 juillet 2008 Jocelyne Richer La Presse Canadienne Ottawa versera à Québec 3,9 milliards $, au cours des sept prochaines années, pour la mise à niveau des infrastructures. Curieusement, il ne se trouvait personne à Québec, jeudi, dans les cabinets ministériels, pour commenter cette nouvelle ou donner les détails de l'entente. L'information a été confirmée dans la plus récente publication de la Gazette officielle du Québec, qui fait état d'un décret gouvernemental daté du 30 juin. Le décret indique que Québec s'attend à recevoir tout près de 4 milliards $ d'Ottawa, provenant du Plan Chantiers Canada, un programme de 33 milliards $ pour la mise à niveau des infrastructures du pays, d'ici 2014. Pendant ce temps, à London, en Ontario, le ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, rendait publique la contribution d'Ottawa pour la voisine du Québec, soit 6,2 miliards $ pour moderniser routes, ponts, viaducs, infrastructures culturelles et sportives ou autres. À Québec, au cabinet de la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, l'adjointe de l'attachée de presse a dit qu'il n'y aurait pas d'annonce officielle semblable pour le Québec avant le mois de septembre, et ce, même si le montant du versement fédéral est déjà connu. On invoque un certain nombre de «détails» à régler avant de pouvoir procéder à une annonce officielle. Quelle est la nature de ces détails? Pas de réponse. À Ottawa, au cabinet du ministre Cannon, on assure que rien n'accroche entre les deux capitales et que le seul détail en suspens consiste à déterminer la date de l'annonce. Il a été impossible de savoir dans quelle mesure le délai supplémentaire laisse croire que Québec n'a pas encore réussi à obtenir les garanties souhaitées quant à sa latitude sur le choix des projets à financer. De son côté, en octobre dernier, le gouvernement Charest s'était engagé à mener bien un vaste chantier de mise à niveau des infrastructures, en y injectant 30 milliards $ en cinq ans. Il n'a pas été possible d'obtenir une entrevue pour en savoir davantage sur la position du Québec dans ce dossier, la ministre des Finances, son directeur de cabinet et son attachée de presse étant tous partis en vacances. Les deux capitales négocient depuis des mois et un accord avec le fédéral sur le financement des infrastructures était attendu depuis longtemps par le gouvernement Charest, en vue de réaliser les nombreux projets qui sont sur la table, dont l'agrandissement du pavillon des sports de l'Université Laval (PEPS) à Québec, ou le quartier des spectacles à Montréal.
  23. L’apprentissage du français en baisse dans le monde Jocelyne Richer Presse Canadienne Québec L'attrait exercé dans le passé, à travers le monde, pour l'apprentissage du français tend à diminuer, au profit d'autres langues comme l'espagnol et le chinois. Déjà déclassé par l'anglais, le français entre en concurrence avec d'autres langues dans le système d'éducation, quand vient le temps d'apprendre une deuxième ou une troisième langue étrangère. Cela s'explique par le fait que, sur la scène internationale, dans divers milieux de l'éducation, la nécessité d'apprendre le français reste souvent à démontrer. C'est le constat établi par le président de la Fédération internationale des professeurs de français, Dario Pagel, qui se montre tout de même optimiste quant aux chances du français de demeurer une langue étrangère attrayante aux yeux des jeunes du monde entier. Plus de 1700 membres de la fédération, provenant des quatre coins du globe, sont réunis en congrès à Québec pour la semaine. La fédération milite précisément pour que le français conserve son statut de langue étrangère dans les écoles, une tâche difficile, a reconnu M. Pagel. «Le français n'a pas toujours l'image d'une langue nécessaire, et c'est pour ça que je me bats», a-t-il dit, en conférence de presse, en donnant l'exemple de l'Amérique latine, particulièrement le Brésil. Au niveau universitaire, cepednant, l'intérêt pour l'apprentissage du français comme langue étrangère demeurerait stable, selon lui, tant en Amérique, qu'en Asie et en Europe. «Nous ne sommes pas dans une lutte contre l'anglais ou contre une autre langue, a renchéri de son côté, le numéro deux de la francophonie mondiale, Clément Duhaime, qui est administrateur de l'Organisation internationale de la Francophonie (OIF). On est dans une lutte, justement, de la diversité des langues.» «On ne peut plus parler une seule langue. Celui qui ne parle qu'une seule langue, dans un contexte de mondialisation, se ferme à toute une richesse et à tout un monde», a-t-il ajouté, en appui à sa thèse. Après l'anglais, le français demeure la langue étrangère la plus enseignée dans le monde. Par ailleurs, M. Pagel s'est dit confiant de voir le prochain Sommet de la Francophonie - qui se tient à Québec en octobre - accorder la plus grande importance à l'enseignement du français. «Ca va être valorisé davantage, j'en suis certain», a-t-il dit. La conférence de presse avait pour but de rendre publique une entente de coopération entre la fédération des professeurs de français et l'Organisation internationale de la francophonie, pour la promotion du français comme langue d'éducation et d'échanges internationaux. Le français occupe le neuvième rang des langues parlées dans le monde.
  24. L'ex-magnat de la presse a demandé à une cour d'appel fédérale de se pencher une nouvelle fois sur ses condamnations pour fraude et entrave à la justice. Pour en lire plus...
  25. L'ex-magnat de la presse, condamné pour fraude et entrave à la justice, demande une nouvelle fois que sa cause soit portée en appel. Pour en lire plus...
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