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GDS

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Tout ce qui a été posté par GDS

  1. LOL - are you kidding?? HHR, Equinox, LaCrosse, Envoy, Astra, all the Hummers, every Cadillac except the Escalade. All of those are POS.
  2. Coup d'oeil sur Montréal * Hugo Joncas Kevric veut construire à Montréal une tour de bureaux et de copropriétés, a appris le journal Les Affaires. Ce projet est le sixième de la liste des tours de bureaux que les grands constructeurs montréalais et internationaux veulent ériger dans le coeur de la métropole. Mais seulement un ou deux projets verront le jour, croient les experts. Voici un aperçu de ce à quoi rêvent les promoteurs d'immobilier commercial pour la ville. Cap sur le Quartier international Une tour de bureaux et de copropriétés sera construite dans le Quartier international de Montréal. C'est du moins ce que souhaite la Corporation immobilière Kevric, qui veut construire un immeuble " d'une trentaine d'étages " à l'angle de la rue Viger et de la côte du Beaver Hall. Un projet de " plus de 100 millions de dollars ", dit le président de l'entreprise, Richard Hylands, ancien vice-président principal du promoteur immobilier Westcliff. Environ les deux tiers de l'espace disponible dans l'édifice seraient consacrés à des bureaux. Le reste serait résidentiel. Avant d'aller de l'avant, le projet doit cependant être approuvé par le ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, puisque l'immeuble serait érigé à moins de 150 mètres de l'édifice Unity, classé monument historique par Québec. Le Ministère n'a pas encore reçu de demande officielle de Kevric, mais confirme que le projet devra recevoir son approbation. " Il faudra qu'on s'assure que la nouvelle construction ne porte pas trop ombrage à cet immeuble ", dit Jean Bissonnette, directeur du patrimoine et de la muséologie. L'édifice Unity, typique des premiers gratte-ciel de la fin du 19e et du début du 20e siècle, a été achevé en 1913. Aucune demande de permis n'a encore été acheminée à l'arrondissement Ville-Marie non plus, selon un porte-parole. M. Hylands précise que l'immeuble prévu ressemblera beaucoup à celui qu'il vient d'acheter à Toronto par l'intermédiaire de la société en commandite Fonds Cirvek I, dont Kevric est commanditaire et gestionnaire, contre 90 millions de dollars. Le 150, Bloor Street fera l'objet de travaux d'une valeur de 30 millions pour en faire un " immeuble multifonctionnel de prestige ". Quinze étages sont déjà occupés par des condos; les 10 autres seront rénovés pour y aménager des bureaux (234 500 pieds carrés) et des locaux commerciaux (36 500 pieds carrés). Cirvek est un partenariat entre Kevric, Cadim - une filiale de la Caisse de dépôt et placement - et l'Office d'investissement des régimes de pensions du secteur public fédéral. Promoteur : Kevric Projet : Tour d'une trentaine d'étages (bureaux et copropriétés) Investissement : Plus de 100 millions Superficie de bureaux : 355 000 pi2 Vingt étages sur les lieux de l'ancien Spectrum Au grand dam des défenseurs de la vénérable salle de spectacle, Sidev a fini par détruire le Spectrum, rue Sainte-Catherine Ouest, à Montréal. En lieu et place, l'entreprise veut ériger une tour de bureaux et réserver les deux premiers étages à des commerces. Best Buy est intéressée à y installer un de ses magasins. À condition qu'un grand locataire se pointe. Sidev place beaucoup d'espoir en Desjardins. " C'est le locataire que tout le monde attend ", dit Sam Benatar, président de l'entreprise. Le Mouvement mène une étude pour regrouper des milliers d'employés éparpillés à Montréal. " Nous pourrions construire jusqu'à 600 000 pieds carrés ", dit M. Benatar. L'immeuble pourrait compter plus de 20 étages, selon lui. Si Sidev n'arrive pas à prélouer suffisamment de locaux, le promoteur pourrait procéder par étapes et ajouter des étages quand d'autres locataires se manifesteront. Une tour de plus au carré Phillips Canderel est toujours en train de construire la phase II du campus Bell de l'Île-des-Soeurs, mais elle a déjà un autre projet. Cette fois, le constructeur et gestionnaire d'immeubles compte ériger une tour d'une trentaine d'étages au carré Phillips, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque. " Ce sera une tour d'environ 900 000 pieds carrés ", dit Richard Corso, vice-président de Canderel. Le promoteur a d'ailleurs entrepris des démarches auprès de Morgan Stanley. " C'est un de nos clients éventuels ", dit M. Corso. Installée dans la Cité Multimédia, la banque américaine veut agrandir son centre de R-D informatique à Montréal. M. Corso refuse de le confirmer, mais Canderel discute sans doute aussi avec Desjardins, comme tous les promoteurs de projets de tours de bureaux dans le centre-ville de Montréal. L'immeuble de Canderel " sera de très bonne qualité ", mais ne visera pas le marché prestigieux des sièges sociaux comme ceux du boulevard René-Lévesque et de la rue Sainte-Catherine. Canderel veut décrocher une certification environnementale LEED pour cette nouvelle tour, qui pourrait démarrer dès 2009, si l'entreprise trouve un locataire majeur. À quand la tour de Westcliff au Square Victoria ? Le projet de Westcliff (9e rang de notre classement) au Square Victoria commence à sentir les boules à mites. Voilà près de 20 ans que le promoteur veut construire une tour d'une trentaine d'étages entre la tour de la Bourse et les tours jumelles de la Banque Nationale et de Bell. À l'époque, Westcliff devait construire quatre immeubles. Mais l'entreprise n'a construit qu'une tour de 19 étages, où siège l'Organisation de l'aviation civile internationale, et un édifice de 6 étages adjacent. La pièce maîtresse, une tour de 34 étages et d'environ 600 000 pieds carrés, est toujours manquante, comme la deuxième tour d'une dizaine d'étages qui faisait partie du projet. " La plus petite tour, d'environ 120 000 pieds carrés, nous pourrions la construire rapidement, dit Marcel Joly, vice-président, exploitation. L'autre, on pourrait la construire en deux phases. Ça nous prendrait de 200 000 à 300 000 pieds carrés pour commencer. " L'entreprise construirait ensuite les étages supérieurs. Mais 20 ans après les premières ébauches, ce projet risque de devoir attendre encore quelques années. " Avec la situation économique actuelle, je ne sais pas du tout quand nous commencerons ", dit M. Joly. Comme tout le monde, Westcliff attend un gros locataire. Promoteur : Westcliff Projets : Deux tours (l'une de 34 étages et l'autre de 8 à 10) Superficie : 720 000 pi2 Deux tours de plus en bordure du Quartier international S'il n'en tient qu'aux dirigeants de Magil Laurentienne, leur projet de Place University Saint-Jacques pourrait être le premier grand chantier d'immeuble de bureaux à démarrer dans le centre-ville de Montréal. " On fait notre possible pour annoncer la construction de la tour d'ici la fin de l'année ", assure Gary E. Polachek, directeur du promoteur. Mais dans les faits, Magil Laurentienne a le même problème que ses compétiteurs : trouver un grand locataire pour justifier le démarrage du projet. " On veut prélouer 50 % de la surface avant de commencer ", dit M. Polachek. Desjardins, qui cherche à regrouper dans un seul immeuble une partie de ses employés éparpillés à Montréal, semble être une candidate toute naturelle. Le terrain où seraient construites les deux tours projetées, actuellement occupé par un Bureau en Gros et un stationnement, appartient aux deux tiers au Mouvement. En outre, le quart des actions de Magil Laurentienne sont entre les mains de Desjardins Sécurité financière. La plus haute tour prévue, le 701, rue University, compterait 32 étages et 770 000 pieds carrés. À l'est, le 700, rue Saint-Jacques aurait 20 étages et une superficie de 634 000 pieds carrés. Magil Laurentienne veut décrocher une certification environnementale LEED pour les deux immeubles. Promoteur : Magil Laurentienne Projets : Tours de bureaux de 32 et 20 étages Superficie : 1 404 000 pi2 Le 900, De Maisonneuve devra attendre Le projet du 900, De Maisonneuve Ouest se fait attendre. Hines, du Texas, a fait connaître ce projet de tour de bureaux de prestige en 2004, et SITQ (10e rang dans notre classement) s'y est associée comme financier et gestionnaire de location en 2006. Depuis, le projet de 150 millions de dollars est sur la glace. L'immeuble de 477 000 pieds carrés doit être construit entre les rues Metcalfe et Mansfield. SITQ et Hines visent la certification LEED for Core & Shell (LEED-CS), qui concerne la structure, l'enveloppe et les systèmes de chauffage et de climatisation. Avant d'entreprendre la construction de cet immeuble de 27 étages, SITQ veut en prélouer 40 %. Elle vise des clients prestigieux comme des sièges sociaux ou des cabinets d'avocats. Mais dans le contexte actuel, la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec n'est pas pressée. " Les conditions de marché ne sont pas réunies pour qu'on la lance en ce moment. Mais elle verra le jour, un jour ", dit Yves-André Godon, premier vice-président de SITQ pour le Canada, sans vouloir en dire plus. Promoteurs : SITQ et Hines Projet : Tour de bureaux de 27 étages Investissement : 150 millions Superficie : 477 000 pi2
  3. ^ya un(e) competant(e) pour le secteur privé.
  4. A Londres, les péages sont pour les rues de la ville et non pas les autoroutes. Si je vais de Brossard a Beaconsfield, sur les autoroutes de la MTQ, je vois mal pcq je donnerai mon argent a Gerald Tramway.
  5. GDS

    Limite de hauteur - Proposition

    AVIS PUBLIC ASSEMBLÉE PUBLIQUE DE CONSULTATION Les personnes intéressées sont priées de noter les informations qui suivent. 1o À sa séance du 3 juin 2008, le conseil d’arrondissement a adopté le premier projet d’une résolution (CA08 240438) accordant à certaines conditions, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24- 011) et malgré les articles 9, 34, 43 et 609 du Règlement d’urbanisme de l’arrondissement Ville-Marie (01-282), l’autorisation de construire et d’occuper un édifice de 29 étages au coin sud-est de l’intersection des rues University et Cathcart. CA-24-011 L'article 9 dit qu'un edifice doit atteindre une hauteur minimal. L'article 34 dit que l'hauteur minimal est de 120m.
  6. Ca prendrait des douches public dans tous les tours a bureau. Moi, après une quizaine de kilos en bicycette- je pue.
  7. GDS

    Limite de hauteur - Proposition

    Ya t'il pas déjà une limite minimale d'hauteur qui exige cela? 9. Dans un secteur de hauteur en mètres et en étages, la hauteur d'un bâtiment doit : 1.1 être en tout point égale ou inférieure à la hauteur en mètres et en étages maximale prescrite; 2.1 être en tout point égale ou supérieure à la hauteur en étages minimale prescrite, sur une profondeur d'au moins 4 m à partir de la façade. 34. La présente section s'applique à un secteur de surhauteur montré sur le plan intitulé * Hauteurs maximales dans les secteurs de surhauteur + de l'annexe A. Dans ce secteur, un bâtiment peut atteindre, en retrait de la hauteur minimale en mètres ou en étages prescrite, une hauteur égale ou inférieure à la surhauteur maximale prescrite. Dans un secteur de surhauteur comportant l'indication * +120 +, un bâtiment peut atteindre la moins élevée des hauteurs suivantes : 1.1 une hauteur supérieure à 120 m mais n'excédant pas 232,5 m par rapport au niveau de la mer; 2.1 une hauteur de 200 m calculée conformément au présent chapitre. Je crois que le Mariott Cathcart n’était pas conforme mais a eu une dérogation.
  8. GDS

    Canadiens de Montréal

    «L'équipe est à vendre», a-t-il insisté en marge d'une entrevue accordée à La Presse au siège social de RIM à Waterloo, en Ontario. Voilà plus de deux ans que Jim Balsillie remue ciel et terre pour acquérir une équipe de la Ligue nationale de hockey, dans le but à peine dissimulé de la déménager dans le sud de l'Ontario, au Copps Coliseum de Hamilton. Mais jusqu'ici, le conseil des gouverneurs de la LNH a contrecarré les projets de l'homme d'affaires d'acquérir les Penguins de Pittsburgh puis les Predators de Nashville. Joint au téléphone, le propriétaire du Canadien, George Gillett, a nié avec véhémence l'affirmation de Balsillie. «Au fil des ans, nous avons été contactés plusieurs fois par des gens intéressés à acheter le Canadien de Montréal. Jamais, jamais, que ce soit dans le passé ou maintenant, n'avons-nous envisagé de vendre ou entretenu des discussions au sujet de la vente de l'équipe. En cette année du centenaire, alors que nous nous préparons à présenter le match des Étoiles et que nous avons les meilleurs partisans du monde et une équipe extraordinaire, j'ignore pourquoi quelqu'un voudrait inventer une telle histoire.» Les allégations de Balsillie ont à ce point dérangé Gillett qu'il a demandé au commissaire de la LNH, Gary Bettman, de téléphoner à La Presse. «Je confirme ce que George vous a dit. Cette franchise n'est absolument pas à vendre», a déclaré le commissaire. Fan fini de hockey - son idole de jeunesse était Guy Lafleur -, Jim Balsillie était au 327e rang des hommes les plus riches de la planète, le printemps dernier, selon le palmarès de la revue américaine Forbes, qui a estimé sa fortune personnelle à 3,4 milliards US. En raison de la crise financière et de la promotion coûteuse de nouveaux appareils qui gruge les marges de profits, le titre de RIM a toutefois perdu plus de la moitié de sa valeur depuis le sommet de 150,30 $ touché le 19 juin à la Bourse de Toronto. Malgré tout, les 34 millions d'actions de RIM que Jim Balsillie détenait en date du 10 octobre valaient encore plus de 1,9 milliard de dollars canadiens, hier. «J'ai les moyens d'acheter plusieurs équipes de hockey », a-t-il observé en souriant lorsque La Presse a cherché à faire le point sur son intérêt envers les Predators de Nashville. Il a refusé d'en discuter lors de l'entrevue formelle (dont le compte rendu paraîtra demain dans La Presse Affaires), qui portait sur l'environnement concurrentiel et turbulent dans lequel navigue RIM. «Je ne peux pas en parler en ce moment», a-t-il dit. À la toute fin de l'entrevue, alors qu'il se faisait photographier, il s'est toutefois mis à discuter de hockey à bâtons rompus. À une attachée de presse à qui il demandait si elle avait déjà assisté à un match au Centre Bell, Jim Balsillie a parlé de l'ambiance extraordinaire qui régnait dans l'amphithéâtre de «George» (Gillett, bien sûr). C'est lorsqu'on lui a fait remarquer à la blague que le Canadien de Montréal n'était pas à vendre qu'il nous a contredits, en pesant ses mots. «L'équipe est à vendre», a-t-il insisté. Vous déménageriez le Tricolore, avons-nous poursuivi? «Bien sûr que non, ce serait pure folie que de sortir l'équipe de Montréal», a-t-il précisé. Puis, sans qu'on le lui demande, il est allé chercher le logo du Canadien sur son BlackBerry et s'est fait prendre en photo avec le CH en évidence. Il a même fallu insister pour le photographier sans son téléphone et le logo du Tricolore. Jim Balsillie est reparti avant qu'on ne puisse l'interroger plus longuement sur ses intentions envers le Canadien, une équipe dont il dit être un «fan pur et dur», selon le Globe & Mail, même si sa mère raconte que, garçon, il affectionnait plutôt les Maple Leafs de Toronto. Invité à préciser sa pensée par courriel, Jim Balsillie a refusé d'épiloguer sur le hockey. Investissement personnel À l'évidence, tout investissement de sa part serait fait à titre personnel, comme cela aurait été le cas pour les Penguins et les Predators si ses tentatives d'acquisition avaient abouti. Jusqu'ici, il n'a jamais été question que RIM investisse dans une équipe de hockey et un amphithéâtre à des fins de marketing, même si l'entreprise trime dur depuis deux ans pour conquérir le marché, plus vaste, des utilisateurs particuliers de sans-fil. Rappelons qu'à l'été 2007, le grand patron de RIM avait commencé la prévente de billets de saison à Hamilton avant même d'avoir officiellement acquis les Predators. Selon certains observateurs, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, aurait alors incité le propriétaire des Predators, Craig Leipold, à préférer une offre d'achat concurrente d'une valeur inférieure à celle déposée par Jim Balsillie. Bettman n'a pas voulu commenter, hier, mais en entrevue à CKAC, la veille, il avait soutenu que Balsillie avait retiré son offre. «Je n'ai rien contre lui. Ceux qui disent le contraire ont tort, a-t-il dit à CKAC mercredi. Il a eu deux chances d'acheter une franchise (Pittsburgh et Nashville) et a quitté la table avant de clore l'affaire.» Quoi qu'il en soit, c'est un groupe d'investisseurs locaux associés à l'homme d'affaires William (Boots) Del Biaggio III qui a finalement racheté les Predators en 2007. Or, Del Biaggio a fait faillite en juin, après avoir été accusé d'avoir dérobé 10 millions US à la banque new-yorkaise Modern Bank pour acquérir les Predators. Un tribunal de faillite est en voie de liquider ses éléments d'actif, dont sa participation de 27 % dans les Predators. Participation que Jim Balsilie lorgnerait. Que Balsillie soit intéressé ou non par le Tricolore - et en tout cas, il ne serait pas seul -, il reste que la vente possible du club montréalais suscite invariablement des remous. Ne touche pas qui veut à la sainte Flanelle, si on se rappelle la commotion créée il y a sept ans, lorsque l'Américain Gillett a mis la main sur le Centre Bell et 80,1 % du club (Molson détient les 19,9 % restants) en offrant 275 millions CAN. --- Jim Balsillie - 1.6 Million $ - quotient intellectuel de 1.6
  9. I have never seen anything like this before - it is like a Quebec informerical. http://www.globalatlanta.com/articlevid/16943/85/
  10. Quebec did benefit from the Auto-pact, the plants closing here are just part of a north american trend. You can't blame that on the federal gov'nt. Well, I guess you could, you could recycle the same signs from 1976, 1980, 1995 "la faute du federal" because we live in a bubble. We could have poured a billion dollars into the GM plant in Boisbriand and lost that investment now with the plants that are being shuttered in Ontario. There is also a huge auto supply industry in Quebec that supports the Ontario plants - Spectra Premium and Uni-Select being very large corporate examples of that among many others. Also the argument that jobs are being created in Ottawa by having a federal gov'nt is false too. There are proportionally more federal jobs in Quebec and the fact that we opt out of certain programs (i.e Hema Quebec etc..) means that those programs are run exclusively in Quebec, while other programs (tax canada etc..) are regionally managed.
  11. Un logo coute chère. Comme exemple, quand je travaillais chez Best Buy - ce logo nous a couter 875k. C'est un rectangle!
  12. La Commission de la construction du Québec (CCQ) construira son nouveau siège social sur le terrain du Centre de recherche industrielle du Québec (CRIQ), situé à l'angle des rues Crémazie et Christophe-Colomb, à l'extrême sud de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville. Le futur édifice sera construit sur le terrain à côté de l'édifice occupé par le Centre de recherche industrielle du Québec, que vient d'acquérir la CCQ. Il s'agira d'un édifice de sept étages, totalisant environ 130 000 pieds carrés. Le personnel de la CCQ devrait emménager dans ce nouvel édifice à la fin de 2010. Outre la construction de ce nouvel édifice, le projet de la CCQ comprend aussi la relocalisation, dans l'immeuble actuel du CRIQ, du personnel de son bureau régional (celui-ci loge actuellement au 1100, rue Crémazie Est, pas très loin du CRIQ de l'autre côté de la Métropolitaine). Ce dernier devrait y emménager d'ici un an. Une partie des locaux de l'immeuble sont loués au CRIQ. Un projet qui souscrit au développement durable Étant un organisme public au centre de l'industrie de la construction, la CCQ souhaite devenir une vitrine en matière de construction durable et verte. Pour ce faire, elle compte décrocher la certification LEED Argent. À ce titre, la CCQ développera et aménagera l'espace de façon durable, tant pour son personnel que pour le voisinage. Le nouvel édifice satisfera également aux nouvelles normes urbaines. Comme l'édifice sera constitué d'une structure extérieure en verre, qui favorisera la luminosité et les économies d'énergie, il sera visuellement plus attrayant pour le voisinage que la structure bétonnée de l'autoroute Métropolitaine. De plus, les résidents de la rue Jacques-Casault devraient noter une réduction du bruit et de la poussière, puisque l'édifice fera écran entre la Métropolitaine et leurs résidences. Des moyens seront également mis de l'avant pour éviter que la circulation automobile générée par le personnel et la clientèle de la CCQ déborde sur les rues adjacentes et nuise au voisinage. Parmi ces moyens, il y aura des espaces de stationnement souterrains ainsi des espaces de stationnement extérieurs. Par ailleurs, la CCQ analyse la mise en place de certains moyens incitatifs pour les employés qui opteront pour des modes de transport alternatifs (covoiturage, transport en commun, vélo). Quant aux entrées et aux sorties des stationnements de la CCQ, elles donneront sur les rues Crémazie et Christophe-Colomb principalement. Ces nouveaux accès routiers seront construits durant les travaux du nouvel édifice. Tous ces moyens contribueront très certainement à réduire les impacts de la circulation automobile aux alentours des bureaux de la CCQ. Les prochaines étapes… Le projet a été présenté au Comité consultatif d'urbanisme de l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville, et a fait l'objet d'une recommandation assortie de conditions, qui seront respectées par la CCQ. Ces conditions concernent, entre autres, le revêtement extérieur du nouvel édifice, l'aménagement paysager, la circulation piétonnière et les aires de stationnement. Le 6 octobre dernier, le projet de la CCQ a été soumis au conseil d'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville, pour une première lecture. Une séance réglementaire de consultation publique sera ensuite organisée par l'arrondissement. Le projet et son financement ayant déjà été approuvés par son conseil d'administration, la CCQ attend les autorisations des autorités municipales pour compléter la conception détaillée du projet et lancer les travaux de construction. Si tout se déroule comme prévu, les travaux de construction commenceront à l'été 2009. Quant aux travaux visant à réaménager l'intérieur de l'édifice du CRIQ, ils seront réalisés au cours des prochains mois. Rencontre d'information publique de la CCQ Avant la rencontre de consultation de l'arrondissement, la CCQ a tenu le 21 octobre dernier, une rencontre publique d'information à laquelle ont été conviés les citoyens du district Saint-Sulpice. Les grandes lignes du projet ont été présentées aux citoyens qui ont pu également profiter de l'occasion pour poser leurs questions ou faire des suggestions. La CCQ compte proposer un mécanisme de liaison avec les citoyens, tant durant la période des travaux qu'une fois le projet complété, afin qu'ils puissent poser leurs questions ou soumettre leurs préoccupations, le cas échéant. En d'autres mots, tout sera mis en oeuvre pour que l'intégration du projet se fasse le plus harmonieusement possible dans le secteur du district Saint-Sulpice.
  13. Nom: Siège social de la Commission de la construction du Québec (CCQ) Hauteur: 8 étages/?? mètres Coût du projet: 62 000 000,00$ Promoteur: Commission de la construction du Québec Architecte: lemay associés Emplacement: 8475 Christophe-Colomb Début de construction: hiver 2009 Fin de construction: hiver 2011
  14. Non - parce-que le dollar canadien suit le prix du pétrole. Donc il y a maintenant une prime de 20%.
  15. GDS

    MLS Impact de Montréal

    Le stade Saputo est vraiment, mais vraiment, construit au "cheap". Ce prendrai des renovations majeur pour le rendre au standard de la MLS. Les équipes seront Portland et St.Louis.
  16. I'm not a fan of putting another team in the Toronto area. It doesn't bring new fans to hockey. It's not like people in the GTA aren't already watching hockey, buying tickets and jerseys etc. People in Seattle definitely aren't doing any of those things. A city that is a larger market (by far) then a divided GTA, a natural rival to teams in California and Vancouver and with a hockey tradition. The first american team to with the Stanley cup was Seattle.
  17. Ca date de 2003. http://www.csdm.qc.ca/Csdm/communiques/2003/C_2003_03_10_1.asp
  18. They were not just reinstated, they were coupled. Big difference. Yes, they inherited a huge surplus from the liberals because the liberals did everything except govern. They didn't really spend on anything (gun registry excluded) nor did they reduce gov'nt taxation. So as the country grew, so did the surplus. The best way to look at it is to examine the federal effective tax rate (ratio between total amount of taxes paid to the total amount of income assessed). During the entire liberal tenure the effective tax rate dropped from 17.9% to 16.5%. During the short Conservative part, it has fallen by a similar amount.
  19. The only reason the liberals paid down the debt more is because they were in power longer. The debt interest had fallen to 20% of revenues under them (from 33%) but there weren't any tax breaks. Now there have been some tax relief under the conservatives and the debt interest ratio has fallen to 13.5%.
  20. These are the numbers for 2008 GST cut to 6% - 6 billion Lowest Income tax bracket drop from 15.5% to 15% - 1.3 billion Lowest Corporate Income tax backet drop from 22% to 21% - 1.3 billion Small Business tax rate drop to 11% - 265 million Increase personal deduction to $9600- 1.5 billion Total: ~10.4 billion 2007 surplus: 9.6 billion Added in 2009 + another 1% cut in the GST - 5 billion Tax-Free Savings Account - 50 million first year (but more than doubles each year) Increase personal deduction to $10,100 - 900 million Increase in spending of 3.4% - 6 billion (Dept of Finance reported that spending is up 8% this year tho - way above projections) Diesel Tax cut - ??? (annouced during election) Ontario becomes a have not province - 1.4 billion So its gonna be tight.
  21. Aver the dollar canadien a .80 cent - on va revoir des productions d'Hollywood.
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