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  1. Nicolas Montmorency, conseiller municipal du district de la Pointe-aux-Prairies, dans l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, demande qu'on débaptise la rue Amherst car l'officier de l'armée britannique Jeffery Amherst est indigne, selon lui, d'un tel honneur. La controverse sur la rue Amherst ne date pas d'hier. Il y a belle lurette que des francophones demandent qu'on débaptise la rue Amherst. Nicolas Montmorency en fait partie. Il considère «tout à fait inacceptable qu'un homme ayant tenu des propos soutenant l'extermination des Amérindiens soit honoré de la sorte». «Bien qu'il s'agisse d'un personnage historique, la culture et l'histoire anglophones de Montréal ne doivent pas être injustement représentées par une personne ouvertement en faveur de l'extermination d'un peuple», dit M. Montmorency.De façon plus large, Nicolas Montmorency dit être «préoccupé par l'avenir du français dans la deuxième ville francophone au monde». Il a déposé deux motions au greffier de la Ville de Montréal afin qu'elles soient débattues lors de la prochaine séance du conseil municipal, le 24 août. Il dit se questionner sur «l'utilité de nommer certaines rues avec des dénominations non-francophones, comme les rues University ou City Councillors.» «Le but de cette proposition n'est pas de nier un pan de l'histoire de Montréal, bien au contraire, dit-il. Malheureusement, la métropole du Québec s'anglicise un peu plus tous les ans. Ses élus doivent faire en sorte que ce qui a toujours fait la renommée de Montréal à travers le monde, soit sa culture riche et diversifiée ayant pour base le rayonnement du français, ne soit pas indûment diluée. Montréal est une ville cosmopolite de langue française : il faut en être fier et l'affirmer.» M. Montmorency invite la population à joindre son groupe Facebook, Francisation des rues de Montréal / Rue Amherst, «afin de démontrer son intérêt aux autres élus municipaux face à cette proposition». http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200908/11/01-891594-faut-il-debaptiser-la-rue-amherst.php
  2. Situé à l'intersection des rues Hochelaga et Fletcher, ce projet est composé de 3 phases distinctes. Les deux premières phases sont complétées mais les travaux de la troisième phase ne sont pas encore commencés. Les unités de la troisième phase sont encore en vente. Photos en date du 10 décembre 2013 La troisième phase: La première phase complétée: La deuxième phase complétée: Le terrain longeant la rue Hochelaga qui accueillera la troisième phase:
  3. Nouveau projet immobilier sur l'Ilot Mont-Royal Ford - Le Plateau sans concession ! MONTREAL, le 4 sept. /CNW Telbec/ - C'est lors d'une rencontre avec les citoyens de l'arrondissement du Plateau-Mont-Royal que le Groupe Gabriel a dévoilé hier son projet de développement sur l'ancien site du concessionnaire Mont-Royal Ford, entre les rues Fullum et Messier. Le Groupe Gabriel a ainsi annoncé son intention de démolir, dès que possible, tous les bâtiments de l'ancien concessionnaire automobile pour les remplacer par un projet résidentiel avec une partie commerciale sur le côté nord de l'avenue du Mont-Royal. Des bonnes nouvelles pour les résidents du secteur Le projet propose la relocalisation du Metro Supermarché Mont-Royal (actuellement au coin de la rue Parthenais), lequel comprendra, aux deux étages supérieurs, 46 unités d'habitation dont 23 logements sociaux. Ce nouvel emplacement, d'une superficie plus grande, notamment pour la préparation d'aliments en sous-sol, permettra non seulement une meilleure offre alimentaire dans le secteur, mais aussi une gestion nettement améliorée des livraisons et de la circulation. Sur la portion nord du site, 180 unités d'habitation en copropriété seront construites, dont plus d'une quarantaine spécifiquement destinée aux familles. Une attention toute particulière a été portée afin d'élaborer un projet qui saurait maximiser les espaces verts, minimiser le stationnement sur rue et offrir des avantages aux cyclistes. C'est ainsi que l'architecte Louis-Paul Lemieux, de l'Atelier Ville Architecture Paysage, a présenté un projet aux lignes architecturales originales, proposant la construction de quatre bâtiments disposés perpendiculairement aux rues Fullum et Messier. Cette disposition des bâtiments, contrairement aux alignements traditionnels en façade des rues, permet des percées visuelles majeures tout en améliorant la qualité du milieu de vie et de l'environnement. Tout au long de la soirée, les citoyens ont émis des commentaires constructifs visant la bonification du projet. Il a notamment été question de la proportion de logements sociaux et abordables, de l'aménagement des façades de côté du marché Metro et de l'intégration d'une dimension artistique ou culturelle au projet. L'ensemble de ces commentaires ont été reçu favorablement par les représentants du Groupe Gabriel et de Metro qui se sont engagés à les considérer en vue de pouvoir les intégrer au projet. "Nous souhaitons ardemment participer à la revitalisation du quartier. Nous sommes très heureux d'avoir pu rencontrer nos voisins afin de les informer de ce projet dont nous sommes très fiers. Cela nous a non seulement permis de répondre à leurs questions, mais aussi de connaître leurs préoccupations. Nous visons la meilleure intégration possible de notre projet dans ce secteur de l'arrondissement qui en a bien besoin", a déclaré M. Fadi Azouz, responsable du projet au sein du Groupe Gabriel. Le Groupe Gabriel est une entreprise familiale québécoise en affaires depuis plus de 20 ans et particulièrement active dans les domaines de l'automobile et de l'immobilier. Renseignements: Pierre Guillot-Hurtubise, (514) 581-6068; Source: Groupe Gabriel
  4. NIGHTLIFE.CAMONTREAL22 avril, 2014 - 15:03 Transformer les ruelles de Montréal en spots parfaits pour un 5 à 7? Prenant en exemple le modèle de la ville Melbourne, Jérôme Glad de l'Association du design urbain du Québec (ADUQ) souhaiterait voir ruelles de Montréal recevoir un coup de neuf! En entrevue avec Hugo Lavoie de Radio-Canada, il explique comment Montréal devrait se doter de ruelles urbaines (en plus des jolies ruelles vertes et amusantes ruelles blanches) où l'on peut marcher, boire, magasiner et même manger! L'expansion de commerces dans les ruelles permetterait du même coup un élargissement du centre-ville, hors de la rue Sainte-Catherine Dans ce reportage photo, il explique l'engouement récent qu'ont plusieurs villes (Seattle et Brooklyn, par exemple) pour la revitalisation de ruelles inutilisées où s'accumulent conteneurs, tags sur les murs et ordures. Il suffit de regarder quelques photos des ruelles pour constater le potentiel qu'offrent plusieurs ruelles montréalaises. Ruelle entre les rues Metcalfe et Mansfield [crédit Jérôme Glad | via aduq.ca] Ruelle entre les rues Drummond et De La Montagne [crédit Jérôme Glad | via aduq.ca] Pour en savoir plus sur les ruelles urbaines à Montréal, on vous invite à consulter l'entrevue d'Hugo Lavoie ainsi que le reportage de Jérôme Glad.
  5. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  6. Pas mon habitude de citer le JdM, mais là... Hostie de trou du cul.... Un deneigeur delinquant dans la mire de la ville de Montreal | JDM
  7. Verdissement - Agrandissement du parc Baldwin Date de début : 24 juillet 2012 Date de fin : 30 novembre 2012 Localisation : Marie-Anne Est, entre les rues Fullum et Chapleau Type d'entrave : Complète Description : Larrondissement du Plateau-Mont-Royal agrandit le parc Baldwin de 2415 m² en procédant à la fermeture permanente de la rue Marie-Anne Est, entre les rues Fullum et Chapleau. Ce projet permettra de relier les parties nord et sud du parc Baldwin. Par conséquent, la terrasse Guindon est maintenant un sens unique vers louest alors que les deux sens de circulation de la terrasse Mercure ont finalement été maintenus. De plus, les feux de circulation à l'intersection des rues Marie-Anne et Fullum ont été remplacés par des panneaux d'arrêt et on y construira une saillie de trottoir pour apaiser la circulation et sécuriser laccès au parc. De plus, en réponse aux préoccupations des résidants de la rue Chapleau qui craignaient une augmentation de la circulation dans leur rue, le conseil d'arrondissement a adopté à la séance extraordinaire du 19 juillet la mise à sens unique vers l'est de la rue Marie-Anne Est, entre les rues Chapleau et D'Iberville. Ce changement sera en vigueur deux semaines après la mise en place de panneaux à cet effet. http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7297,79463572&_dad=portal&_schema=PORTAL
  8. AVENUE DU PARC YVES BOISVERT LA PRESSE C’est drôle à dire, je n’avais jamais vu le rapport avec le parc du Mont-Royal. On nomme les lieux, les places, et un jour on n’entend plus que le son des lettres emmêlé dans des souvenirs. Parc, Parc… On va sur Parc, on se retrouve Parc et Fairmount, Parc et Villeneuve… Ç’aurait aussi bien pu être un mot grec. C’en était un d’ailleurs, même si eux disaient plutôt Park. Entre les rues Van Horne et Mont-Royal, des dernières rues d’Outremont à celles du Mile End, se rencontraient sur Parc cinq ou six Montréal, francos, Grecs, juifs plus ou moins orthodoxes… Les Grecs sont partis pour la plupart. Leurs cafés où l’on a découvert le très exotique baby-foot ont été remplacés par ceux des baristas. Salona (le meilleur), le Coin grec, tous ces bouis-bouis où l’on vous grillait et vous emballait un souvlaki pour pas trop cher – plus de tzatziki svp –, où sont-ils ? La Skala, ça on le sait, c’est la Régie des alcools qui l’a fait fermer, et pas pour un problème d’alcool ni de raton laveur… Il paraît qu’à côté, il y avait un bordel « ethnique » et que « tout le monde sait ça », sauf moi, alors je ne vous en parle pas. *** Les odeurs délimitent les quartiers mieux que les noms de rues. Les yeux fermés, en remontant vers le nord, tu sais à combien de mètres tu te trouves de la rue Rachel, selon l’intensité des résidus de fumée de charbon de bois portugais. Mais tu ne sais plus où tu te trouves sur Parc, depuis qu’ils ont éteint leurs grils. Chez le barbier ou au resto, il y avait toujours près de la caisse des photos du propriétaire avec le député – de préférence libéral, sauf Gérald Godin –, le maire, le conseiller municipal, une vedette de passage… Les murs étaient décorés d’images délavées du Parthénon, de paysages crétois ou de statues de héros antiques… Même notre professeur (grec) de physique à Paul-Gérin-Lajoie avait ouvert le sien. On aurait dit que tous les Grecs devaient avoir une moustache et un restaurant. C’était un homme délicat qui mettait des barres au milieu de ses z et qui était champion de backgammon. Il n’avait pas la moindre autorité et la seule fois qu’il s’est mis en colère, c’est quand on avait fait la journée « hommes en jupe ». Il y a des choses sacrées dans la vie, il y a des choses qui ne se font pas, comme un homme qui s’habille en femme, qu’il avait dit. Pour une fois, on s’était tous tus, non pas honteux, mais décontenancés devant tant de sincérité dans l’indignation. Son restaurant a fermé, quelqu’un a dû abuser de sa bonté. Le St-Viateur Bagel était presque exactement comme il est aujourd’hui, ouvert 24 heures sur 24. Un corridor où des sacs de farine s’empilent à côté des cartons d’œufs, le tout destiné à produire un immense blob de pâte déposé sur une table de boulanger. Un gars y prélève une lanière, la roule à la main, en fait un cercle, les trempe, les aligne sur la longue languette de bois noircie, les enfile au four à bois, en ressort la rangée d’à côté, dorée juste comme il faut… Le propriétaire dans le temps avait à l’avant-bras le numéro de série bleui que les nazis lui avaient tatoué à Buchenwald. Dites ce que vous voudrez de la supériorité supposée des bagels Fairmount, j’étais et je serai toujours du côté de St-Viateur. C’est là souvent que se finissaient les soirées après la fermeture des bars, l’hiver par - 20, la buée plein les fenêtres et des graines de sésame dans le manteau. *** Nos premiers bars étaient tous sur Parc. L’Idéefixe, mais surtout le « 5116 », situé comme par hasard à cette adresse-là (prononcer 51-16), on voit que le patron, un ancien de la police, s’était creusé la tête. Piste de danse, rock pur et dur et Pac-Man à l’étage, grosses Black Label au sous-sol, qu’on appelait le « Pitt ». À la « Pleine Lune », plus au nord, c’était plus « New Wave ». L’éclairage était fluo et il fallait être avec une fille pour ne pas faire la file. Le Dairy Queen a survécu à l’embourgeoisement. Quand il aura trouvé la dernière molécule du dernier vignoble, François Chartier devrait se pencher sur l’harmonie des saveurs du banana split. Le glacé de crème glacée, le tiède de la banane, le chaud du chocolat… La pointe d’acidité de l’ananas qui vient sauver le mangeur au moment où l’excès d’onctuosité et de sucre allait l’écœurer pour de bon… Cette fraise cuite et molle ragaillardie par la glace… Ce reste de produit naturel dans une mer chimique… Tout est en équilibre précaire, mais si on le mange au bon moment, c’est parfait, y a pas d’autres mots : parfait. J’en ai mangé pour plusieurs vies, dans ce parking qui ne dialogue pas très bien avec le décor, comme on dit chez les architectes. Mais j’avoue : à peu près tout jure, dans cette rue où tout se frôle sans se mêler. C’est son non-aménagement chaotique qui en fait la signature. Parc, c’était juste assez près pour s’y ramasser chaque soir d’été et juste assez loin pour ne pas connaître le pharmacien. Tout adolescent a besoin d’un pharmacien qui ne le connaît pas, les soirs de pleine lune et les lendemains aussi des fois. Je dis « Parc », je ne vois pas le parc. Je vois les visages, les amis, les amours. Des couleurs ont pâli comme les affiches blanc et bleu, d’autres sont toujours aussi éclatantes. J’y vais encore souvent, voir si j’y suis. http://plus.lapresse.ca/screens/a9cdef5d-f9aa-4777-bd2a-48424dec7990%7C_0.html
  9. J'ai passé en bagnole en ville aujourd'hui. Un ami de la rive sud voulait aller chercher un meuble dans le gettho Mcgill. Un vrai cauchemard. Tout les rues pour monter vers le nord étaient bloqués. Jamais vue ça. J'avais beau essayer un autre chemin je tournais en rond. Combien de plaque américaine et d'ontario que j'ai vue aujourd'hui une quantité phénomenale. Ca va leur donner une mauvaise opinion du manque flagrant d'information sur ce qui se passe. Le manque d'organisation de la circulation. Petite suggestion pourquoi on n'indique pas aux entrée vers le centre-ville sur l'autoroute ville marie et Bonaventure que René Levesques va être fermé et aussi toute les rues qui croisent le boulevard. Pourquoi on ne met pas de pancarte par exemple au coin de Robert Bourassa , Guy, Peel et St-Antoine etc... ou sont les policiers pour indiquer que la seule rue qui permet de croiser rené-Levesques est Atwater. Juste ça pour éviter de faire perdre du temps au gens.
  10. J'ai copié le texte de l'article, mais il y a beaucoup de photos dans le lien, allez-voir le lien si ça vous intéresse! C'est moins pertinent sans les photos. C'est le genre d'intervention citoyenne qui donne une vraie personnalité à des quartiers, j'adore ça. Les rues Mentana et Waverly valent le détour si vous êtes dans le coin (Mile-End/Nord du Plateau). Pas nécessairement besoin de grands événements ou de subventions de nos gouvernements pour créer de vrais corridors d'art (même si c'est bienvenu), il faut juste des artistes impliqués dans leur quartier. Il y a aussi un terrain vague aménagé en champ d'œuvres à la sortie ouest du viaduc Van Horne, par l'artiste Glen LeMesurier, qui mérite qu'on s'y attarde. http://journalmetro.com/actualites/montreal/985512/un-quartier-soude-par-lart/ Plateau-Mont-Royal: Un quartier soudé par l’art Par Josie Desmarais Texte et photos En vous baladant dans les rues du Plateau, avez-vous déjà remarqué des œuvres d’art disposées devant des résidences privées? Métro vous propose une excursion dans ce quartier foisonnant d’artistes. Waverly Dans cette rue du Mile-End, on trouve plus d’une dizaine d’œuvres sises dans les cours avant des maisons. C’est le soudeur-sculpteur Glen LeMesurier qui est derrière ces installations, qui intriguent et égaient les passants. L’artiste s’inspire des lieux et de l’architecture pour créer ses pièces, faites de morceaux de métal recyclés. Son projet artistique, Bloom (fleurir), s’étale depuis trois ans dans le quadrilatère formé par les rues Van Horne, Saint-Urbain, Fairmount et Parc. C’est l’artiste lui-même qui propose ses œuvres aux propriétaires, qui peuvent les garder aussi longtemps qu’ils le désirent ou même les acheter. C’est ce qu’a fait Richard Ryan, conseiller de Projet Montréal. «Glen marque le territoire. C’est un quartier ouvert à l’art, et les gens embarquent facilement». Une des plus récentes œuvres de Glen LeMesurier a été installée devant les bureaux d’un acuponcteur. La pièce, discrète, évoque une colonne vertébrale surmontée d’une fleur. Mentana Des résidants de la rue Mentana affichent pour leur part des sculptures de bois devant chez eux. Elles sont l’œuvre de Jacques Huet, un artiste-menuisier qui habitait la rue. À l’instar de Glen LeMesurier, il a demandé à ses voisins s’il pouvait installer ses œuvres de bois devant leurs demeures. En 2008, Jacques Huet commence un corridor d’art en disposant 13 œuvres rue Mentana. Il meurt le printemps suivant, mais les installations restent en place tout l’été. On peut présentement en observer cinq, les autres étant entreposées ou en processus de restauration. Satellite diffuseur de l’art dans l’espace a été restaurée l’été dernier par la fille de M. Huet, Christiane Dinelle. «Depuis, des voisins m’ont demandé : “En as-tu une de trop?” Alors j’en ai placé trois autres.» On peut les admirer entre les rues Mont-Royal et Gilford. Une sculpture de Glen LeMesurier a été ajouté samedi dernier sur la rue de l’Esplanade. Voyez son installation ici: (voir le vidéo dans le lien)
  11. Appel à préserver la vue sur le mont Royal Par Mathias Marchal Métro http://journalmetro.com/actualites/montreal/969153/garder-le-mont-royal-dans-le-paysage/ Josie Desmarais La rue Peel fait partie des rues à partir desquelles la vue sur la Montagne est restreinte La prolifération des tours au centre-ville nuit aux vues sur la montagne et de la montagne, notent des intervenants qui suggèrent notamment de protéger certains corridors visuels. Pour évaluer à quel point le mont Royal est visible à partir du centre-ville, François Bastien, chercheur au département de photographie du Cégep du Vieux-Montréal a notamment parcouru la rue Sainte-Catherine, le long de ses contreforts, et a mesuré à quel point la montagne était visible entre la rue Dufort et l’avenue McGill College. Il présentait ses conclusions la semaine dernière dans le cadre d’une journée d’étude organisée par les Amis de la Montagne et intitulée Le Mont-Royal pourrait-il disparaître? Sur une quinzaine de rues présentées dans sa recherche, seule celle de l’avenue McGill College offre une vue dégagée sur la montagne. «Les rues MacKay, Saint-Mathieu, Pierce et Towers n’offrent aucune vue sur le mont Royal, alors qu’une seule donne à voir le belvédère Kondiaronk, celle de la rue de la Montagne», a souligné M. Bastien. Il a ajouté que le développement immobilier pourrait encore réduire l’aspect visuel de la montagne. S’il convient que la construction de tours sur des lots vacants au centre-ville entre en conflit avec certains éléments du paysage, le chef d’équipe à la division de l’urbanisme de l’arrondissement de Ville-Marie, Bruno Collin, reste ferme: «Si on gelait le développement au centre-ville, on serait collectivement perdant», a-t-il affirmé. M.Collin a présenté de son côté les mesures prises par les autorités municipales pour préserver la vue. «Pour protéger la vue sur le mont Royal à partir de la place Vauquelin, proche de l’hôtel de ville, on a revu toutes les hauteurs maximales des édifices dans cet axe», a-t-il donné en exemple. L’autre aspect pris en compte par l’arrondissement: la vue sur le fleuve Saint-Laurent à partir du belvédère Kondiaronk, qui se réduit au fil de l’érection de nouveaux édifices. «On peut travailler avec le promoteur pour revoir la forme des tours [ou] donner des dérogations pour en augmenter la hauteur et, en contrepartie, en réduire la largeur pour aménager des espaces entre les édifices qui préservent la vue sur le fleuve à partir de la montagne», a-t-il ajouté. Mais la lutte pour la sauvegarde de la vue n’est pas qu’une question de construction, a prévenu François Bastien. Sur la place d’Armes, des arbres ont été plantés récemment. D’ici 10 ans, quand ils seront devenus matures, ils bloqueront la vue sur la montagne, qui est déjà quasiment invisible à partir du Vieux-Montréal, a-t-il lancé. Le chercheur a plaidé pour l’instauration de corridors visuels. «Protéger la vue sur la montagne et depuis la montagne, c’est protéger l’action du regard dans l’espace du lieu, c’est contribuer au maintient de l’identité visuelle de la métropole», a-t-il insisté. 140 Le parc du Mont-Royal a eu 140 ans la semaine dernière. En comparaison, la Ville de Montréal ne dispose d’un service d’urbanisme que depuis 75 ans. Approfondir le sujet: Pour pouvoir en apprendre plus, les autorités municipales et gouvernementales ont mis au point une véritable Bible du Mont-Royal avec une architecte paysagiste. L’Atlas du paysage du mont Royal comprend 233 pages où tous les secteurs de la Montagne sont identifiées et analysées sous plusieurs angles: historique, topographique, paysagère etc. sent via Tapatalk
  12. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Photo : Jacques Nadeau - Le Devoir 10 février 2014 17h39 | Marco Fortier | Le blogue urbain Bientôt à Montréal, des noms de rues faciles à lire Avez-vous déjà remarqué à quel point il est difficile de lire les noms de rue à Montréal? Les plaques blanches qui indiquent les noms de rue sont parfois cachées. Et tellement petites qu'il faut quasiment arrêter aux coins de rue, en voiture, pour les déchiffrer. La Ville de Montréal reconnaît le problème et compte le régler. Surtout que la population vieillit: 15,2% des Montréalais sont âgés de 65 ans et plus. D'ici 2026, cette proportion grimpera à un Montréalais sur cinq. Sans faire de bruit, la Ville a commencé un projet-pilote, rue Sherbrooke, pour créer des « plaques odonymiques » beaucoup plus grandes et aux couleurs vives. Pour que les jeunes et moins jeunes puissent les lire plus facilement. Pas moins de cinq plaques indiquent l'intersection des rues Sherbrooke et Cuvillier, dans Hochelaga-Maisonneuve. Une rouge, une bleue, une grise et deux blanches. Une de ces plaques mesure 200 mm par 750 mm — le format habituel — tandis que les autres, de plus grand format, font 300 mm par 1200 mm. « Entre vous et moi, il n'est pas toujours facile de trouver les noms de rue à Montréal. Nous tentons de déterminer un format, un type de lettrage et une couleur qui les rendront plus lisibles », explique Guy Pellerin, ingénieur en circulation et chef de division à la direction des transports de la Ville. Guy Pellerin et son équipe cherchent aussi à déterminer la hauteur optimale pour suspendre les plaques — environ 4,3 mètres pour une artère comme la rue Sherbrooke, comparés à 3 mètres et moins pour les petites rues. Les plaques doivent être visibles, mais pas trop: il faut aussi voir les feux de circulation, le mobilier urbain, les commerces, les arbres... Les tests, qui ont commencé en novembre dernier, se poursuivront encore plusieurs semaines, à d'autres intersections. Si tout va comme prévu, les plaques odonymiques « améliorées » s'intégreront au tronçon de 2 km de la rue Sherbrooke qui s'étire entre le boulevard Pie-IX et la rue Frontenac, qui sera entièrement reconstruit d'ici deux ans. Passages pour piétons D'autres mesures pour aider les personnes âgées sont en préparation. La Ville envisage d'allonger le temps de traversée pour les piétons à 1200 intersections, d'ici l'an prochain. Davantage de compteurs numériques seront installés pour indiquer le temps restant de traversée. La Ville compte aussi s'assurer qu'une zone de 5 mètres sera dégagée aux intersections, pour rendre la traversée des piétons plus sécuritaire.
  13. http://ici.radio-canada.ca/regions/montreal/2016/02/08/001-accidents-pietons-montreal-carte.shtml Où sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Mise à jour le lundi 8 février 2016 à 6 h 40 HNE Déjà quatre piétons sont morts depuis le début de l'année à Montréal et plusieurs voix s'élèvent pour demander des aménagements plus sécuritaires. Mais quels sont les endroits les plus dangereux pour les piétons à Montréal? Radio-Canada a analysé près de 4700 accidents survenus entre 2011 et 2014. Voici ce que nous avons découvert. Un texte d'Anne-Marie Provost, de Grand Montréal TwitterCourriel Au total, 4825 piétons ont été blessés pendant cette période, selon les données compilées par la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ) à partir de rapports du Service de police de Montréal (SPVM). Si la majorité d'entre eux (90 %) ont subi des blessures légères, 59 sont décédés des suites de l'accident. Notre carte montre la répartition de tous les accidents impliquant des piétons et des véhicules entre 2011 et 2014. Par souci de lisibité, les intersections où se sont produits trois accidents et moins ne sont pas affichées. Pour regarder la carte sur votre appareil mobile, cliquez ici. Le centre-ville : densité égale danger! À cause de sa grande densité, le centre-ville est une des zones où les collisions entre marcheurs et véhicules se produisent le plus fréquemment. Le secteur de l'Université Concordia est particulièrement dangereux. Un total de 21 accidents en quatre ans sont survenus sur la rue Guy, entre les boulevards René-Lévesque et Maisonneuve. Radio-Canada s'est déplacée au coin des rues Guy et Sainte-Catherine avec Marie-Soleil Cloutier, professeure au Centre urbanisation culture société de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), pour en comprendre les causes. « C'est une intersection très achalandée, à la fois avec des piétons et des automobilistes, entre autres à cause de la rue Sainte-Catherine et de l'Université Concordia. La rue Guy est aussi très large et à double-sens », explique la spécialiste en sécurité routière. Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014.Plusieurs accidents ont eu lieu à l'intersection des rues Guy et Sainte-Catherine entre 2011 et 2014. Photo : Radio-Canada Marie-Soleil Cloutier souligne que le rétrécissement de la chaussée est une méthode efficace pour réduire les accidents et que plusieurs solutions existent pour rendre le partage de la route entre piétons et automobiles moins dangereux. Prévu par la Ville de Montréal dans les prochaines années, le réaménagement de la rue Sainte-Catherine, entre les rues De Bleury et Atwater, pourrait contribuer à sécuriser les lieux, selon la spécialiste. La Sainte-Catherine comporte en effet son lot d'accidents, tout comme le boulevard René-Lévesque, où on recense quatre piétons grièvement blessés sur les onze touchés à l'intersection de la rue Guy. Les intersections les plus à risque à Montréal : Beaubien et Pie-IX Henri-Bourassa et Lacordaire Saint-Denis et René-Lévesque Boulevard Robert et Viau Sherbrooke Est et rue du Trianon Saint-Denis et Mont-Royal Les voies de transit : la vitesse souvent en cause Des artères plus éloignées du centre-ville sont le théâtre d'un grand nombre d'accidents, et ce, même si les piétons y sont moins nombreux. L'intersection du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est parmi celles où il y a eu le plus de collisions, selon notre compilation. La largeur des voies et la circulation à double-sens sont encore une fois ici en cause, mais aussi le nombre élevé de véhicules et leur vitesse. « Pie-IX est une voie de transit, ce n'est pas seulement de la circulation locale. C'est des gens qui partent du nord et vont plus au sud et la configuration leur permet d'aller vite », explique Marie-Soleil Cloutier. La même situation prévaut pour plusieurs autres artères que les automobilistes empruntent pour traverser l'île. L'emplacement des arrêts d'autobus aux quatre coins de rue de l'intersection Pie-IX et Beaubien peut aussi favoriser les accidents. « La présence de transport en commun n'est pas un problème en soi, mais ça va créer un afflux de piétons », affirme la spécialiste. Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons.Le coin du boulevard Pie-IX et de la rue Beaubien est un des plus dangereux de Montréal pour les piétons. Photo : Radio-Canada La présence d'une résidence pour aînés au coin de Pie-IX et Beaubien peut expliquer le nombre élevé d'accidents dans ce secteur, indique la professeure. « Les personnes âgées ont une vitesse plus lente, souvent les feux piétons ne vont pas être assez longs pour eux. » Marie-Soleil Cloutier précise qu'il s'agit d'une population particulièrement à risque et souvent victime de collisions. Les artères les plus à risque à Montréal : Boulevard Saint-Michel L'avenue Papineau Le boulevard Pie-IX Rue Sherbrooke Rue Sainte-Catherine Boulevard René-Lévesque Plus d'accidents en hiver et en fin d'après-midi Selon les données de la SAAQ, près du tiers des piétons blessés l'ont été pendant l'heure de pointe du soir entre 15 h et 18 h. Leur nombre est aussi plus élevé vers la fin de la semaine de travail, avec une pointe de 1728 piétons blessés les jeudi et vendredi contre 910 le week-end. L'analyse des chiffres par mois révèle de son côté que l'automne et le début de l'hiver sont plus propices aux accidents. Plus de 2000 pitéons (43 %) ont été victime d'un accident entre d'octobre à janvier. Les collisions en baisse depuis 2011 Si plusieurs endroits à Montréal sont problématiques, le nombre d'accidents impliquant des piétons a malgré tout chuté de 20 % entre 2011 et 2014. Aref Salem, responsable des transports pour l'administration Coderre, explique que la Ville vise une réduction de 40 % des accidents impliquant des piétons entre 2008 et 2017 et assure que Montréal agit. « Il y a beaucoup d'interventions qui se font au niveau des saillies de trottoir et de la réduction de vitesse. À la Ville, nous avons abaissé la vitesse de 50 à 40 kilomètres/heure. Il y a aussi les quartiers verts », énumère-t-il. Parmi d'autres projets qui ont été réalisés, la Ville veut notamment sécuriser le secteur des boulevards Gouin et Laurentien. Six voies de circulation seront réduites à deux. Il y aura élargissement de trottoirs et installation de feux piétons. Aref Salem ajoute que les activités de sensibilisation et les interventions des 133 policiers du SPVM dédiés à la sécurité routière contribuent à changer le comportement des vélos, piétons et automobilistes. Mais selon Marie-Soleil Cloutier, le travail s'est surtout fait au niveau des arrondissements, donc plus sur des rues locales que sur des artères. « La gouvernance de Montréal fait que beaucoup de choses se font sur les rues locales, mais il y a peu de choses qui se font sur les artères présentement. Ça coûte de l'argent, mais c'est clair que Montréal n'est pas un leader jusqu'ici », soutient-elle, sans pour autant dire que Montréal est un cancre. Elle cite en exemple les travaux récents sur la rue Laurier dans le Plateau-Mont-Royal et Rosemont-La Petite-Patrie, qui s'est dotée d'une politique pour sécuriser les abords des écoles. Le cas particulier de l'aéoroport Plusieurs remarqueront les 26 accidents que l'on recense à l'aéroport Pierre-Elliot-Trudeau. Ce résultat est toutefois à prendre avec des pincettes. Différents spécialistes interrogés soulignent que dans les grands espaces comme un aéroport, les policiers ont tendance à toujours mettre la même adresse dans leur rapport, ce qui vient fausser les données. En collaboration avec Florent Daudens sent via Tapatalk
  14. Héritage Montréal dénonce la construction de passerelles aériennes entre de nouveaux édifices du centre-ville. L'organisme estime que cela va à l'encontre des politiques de la ville qui ont plutôt favorisé par le passé le développement du Montréal sous terrain. Un reportage de René Saint-Louis La construction de passerelles est interdite à Montréal en vertu de l'article 353 du règlement d'urbanisme. Mais, exceptionnellement, les élus peuvent les autoriser selon des règles précises (voir en fin d'article). Par exemple, elles ne doivent pas être attenantes à un bâtiment patrimonial. La décision des élus de l'arrondissement Ville-Marie d'autoriser la construction d'une passerelle à proximité de la Gare Windsor, édifice classé, déplaît donc à Héritage Montréal. « Il y a une question de qualité d'aménagement, parce que des passerelles au-dessus des rues, c'est vraiment une chose qui est contraire au modèle montréalais d'aménagement, soutient le porte-parole de l'organisme, Dinu Bumbaru. On a développé la ville souterraine à Montréal. » « On va créer des précédents et finir comme les villes de l'Ouest (Saint Paul au Minnesota ou l'Alberta) où les centres-villes sont encombrés de passerelles qui empêchent le ciel d'être public finalement. C'est un très mauvais précédent qui n'est pas recevable. » — Le porte-parole d'Héritage Montréal, Dinu Bumbaru Cette passerelle qui enjambera la rue Saint-Antoine reliera une tour résidentielle de 37 étages, la Tour des Canadiens 2, au centre Bell. Ces dernières années, des dérogations ont aussi été accordées pour construire des passerelles au nouveau Centre hospitalier de l'Université de Montréal, à l'École de Technologie supérieure, et à la Caisse de dépôt et placement du Québec. Le professeur à l'école d'urbanisme de l'Université de Montréal, Gérard Beaudet, s'inquiète de cette tendance. « On ne semble pas avoir une vision globale, dit-il. Pour l'instant, les choses se font à la pièce. Quand on regarde l'expérience de certaines villes de l'Ouest canadien et de plusieurs villes des États-Unis, on peut penser que ce n'est pas le meilleur choix d'un point de l'urbanisme. On a l'impression actuellement que ce sont les promoteurs qui sont aux commandes et que la ville improvise. » Il s'inquiète aussi du milieu de vie pour les piétons dans ce secteur du centre-ville en plein développement. « Il ne faut pas justifier des passerelles parce que le quartier n'est pas fréquentable pour les piétons à l'heure actuelle », souligne-t-il. L'Office de consultation publique de Montréal et le Conseil du patrimoine de la ville et le Comité Jacques-Viger s'opposent aussi à la construction de passerelles aériennes. Critères pour permettre une dérogation et autoriser la construction d'une passerelle : Une passerelle devra relier deux bâtiments d'un ensemble détenu par un même propriétaire; La portion de rue où se trouve la passerelle ne devra pas présenter de perspectives visuelles intéressantes vers un repère bâti ou naturel important, tels le massif du centre-ville, le Mont-Royal ou un bâtiment d'intérêt patrimonial. La perspective devra idéalement présenter un champ visuel fermé; Interdire la construction d'une passerelle sur les axes structurants jouant un rôle dans la perception de Montréal et offrant notamment des vues sur les grandes composantes de son paysage urbain (rues d'ambiance, rues commerciales, axes commémoratifs et historiques, liens stratégiques à valoriser, grands axes et parcours d'accès au Centre), par exemple la rue Notre-Dame Ouest et la rue Peel. Exigences : Une passerelle ne devra pas être attenante à un bâtiment identifié comme ayant un intérêt patrimonial ou architectural; Une passerelle devra uniquement être localisée aux étages supérieurs d'un bâtiment à partir du 3e étage. Ceci permettra de limiter les impacts sur le paysage urbain des rues, ainsi que de maximiser les conditions d'ensoleillement du domaine public; Une passerelle devra avoir une hauteur limitée à un maximum correspondant à la hauteur de l'étage desservi (maximum un étage); La partie du rez-de-chaussée d'un bâtiment qui est localisée sous une passerelle devra comporter des activités génératrices d'animation. http://quebec.huffingtonpost.ca/2016/01/27/pour-ou-contre-la-construction-de-passerelles-a-montreal_n_9087188.html
  15. La ville a annoncé via le PPU du Quartier des Gares la construction d'une coopérative d'habitation au coin nord-est de l'intersection des rues Notre-Dame et de la Cathédrale.
  16. Excellent reportage sur l'histoire des résidents de Milton-Park contre le projet Cité Concordia http://www.tou.tv/tout-le-monde-en-parlait/S01E09 http://www.imtl.org/montreal.php?vsearch=1&expo=MILTON&m=Milton-Parc%20ghettho%20McGill
  17. Nom: Le Séville Hauteur: 7, 11, 11, 20 étages Coût du projet: 112 000 000,00 $ Promoteur: Claridge Investments et Prével Architecte: Prével Emplacement: Sainte-Catherine entre les rues Lambert-Closse et Chomedey Début de construction: Hiver 2010 Fin de construction: 2012
  18. « Montréal 360 » : Importante simulation d’actes terroristes le 24 octobre sur le territoire de Montréal
  19. Les commerçants commencent à réaliser que les stationnements sont pas si important que ça pour attirer leur clientelle... http://m.24heures.ca/24hmontreal/actualites/archives/2015/04/20150416-183632.html La Petite-Italie: stationnement sacrifié pour des terrasses Améli Pineda Hier à 18:36 Photo Améli Pineda / 24 Heures Stefano Faita, co-propriétaire de Impasto. MONTRÉAL - Malgré un manque de stationnement dans le secteur, des restaurateurs de la Petite-Italie, à Montréal, sont prêts à sacrifier des places de stationnement pour voir plus terrasses dans les rues du secteur. Stefano Faita, copropriétaire du restaurant Impasto, fait partie des restaurateurs qui troqueront les espaces de stationnement devant leur commerce pour installer une terrasse. «Même si on perd une couple de places de stationnement, je ne crois pas que ce soit un gros problème. Je pense au Plateau, où on se promène et qu'il n'y a pas toujours de stationnement et pourtant, les terrasses sont bondées», a dit M. Faita. Il soutient qu'avec seulement une douzaine de places supplémentaires grâce à cette terrasse, les retombées économiques viendront éponger les mois plus difficiles. Un avis partagé par Nick De Palma, propriétaire du restaurant Inferno situé sur la rue Dante. «L'hiver a été très difficile alors c'est certain qu'avec une terrasse ça aide à arrondir nos fins de mois», a-t-il confié. Solutions recherchées À la Société de développement commercial (SDC) Petite-Italie-Marché Jean-Talon, Cristina D'Arienzo assure que des solutions sont actuellement analysées pour combler le manque de stationnement dans le quartier. «Ce n'est pas les une ou deux places qui vont changer la problématique. Le manque de stationnement dans le quartier est connu et on travaille pour y remédier», a fait valoir Mme D'Arienzo. Elle indique que la SDC tente d'établir des partenariats pour occuper des stationnements privés, notamment dans des immeubles à condos, ainsi qu'au marché Jean-Talon, qui possédera un stationnement souterrain de 350 places. Doubler le nombre de terrasses Le maire de Rosemont-La Petite-Patrie, François W. Croteau, veut doubler le nombre de terrasses dans le quartier dès cette année. Quatre nouvelles rues seront autorisées à implanter des terrasses sur la rue, soit les rues Dante, Saint-Zotique, Shamrock ainsi que Beaubien, entre la 1re avenue et Fabre et entre Saint-Denis et Saint-Laurent. «On veut que ça amène une qualité de vie, que ça attire des gens pour que le quartier soit animé», a dit M. Croteau. En plus des restaurants et cafés, les autres commerces pourront aussi se doter d'une terrasse publique, à l'image des «placottoirs» sur le Plateau, qui constituent un espace de rencontre, avec des bancs et de la verdure. «On veut amener les commerçants à créer une vie de quartier. Si une crèmerie veut offrir un espace pour ses clients, elle pourra aussi le faire en implantant sa propre terrasse», a mentionné M. Croteau. Dans Rosemont, la saison des terrasses sera lancée le 1er mai. sent via Tapatalk
  20. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201502/12/01-4843501-souffler-la-neige-pour-economiser-a-montreal.php Publié le 12 février 2015 à 08h08 | Mis à jour à 08h08 La Ville de Montréal a l'intention de souffler davantage de neige sur les terrains, dans certains quartiers, au lieu de l'enlever. Pierre-André NormandinPIERRE-ANDRÉ NORMANDIN La Presse Les Montréalais devront bientôt apprendre à vivre avec de gros bancs de neige devant leur résidence. La métropole compte souffler davantage la neige sur les terrains plutôt que de la charger systématiquement, une opération beaucoup moins coûteuse. Alors que plusieurs attendaient hier la nouvelle politique de déneigement qui doit uniformiser les pratiques des 19 arrondissements, la Ville de Montréal a finalement indiqué qu'elle comptait plutôt la présenter en avril, soit après la fin de l'hiver. L'administration a toutefois présenté un bilan des actions entreprises dans la foulée du rapport du contrôleur général sur les ratés du déneigement en début d'année. Des changements importants sont à prévoir l'hiver prochain. Montréal souffle la neige dans un peu moins de 10% de ses rues, soit 400 des 4100 km. Cette situation devrait bientôt changer, parce que la métropole en est à «identifier les terrains sur lesquels il est possible de souffler de la neige». D'ici l'automne, la métropole compte ainsi indiquer les zones où le soufflage sera privilégié par rapport au chargement de la neige. «C'est sûr que si on va dans le centre-ville, ce n'est pas évident. Mais si on pense à Pierrefonds, à LaSalle, à Montréal-Nord ou à Pointe-aux-Trembles, il y a des endroits où on pourrait souffler», a dit le maire Denis Coderre. Miser sur le soufflage pourrait permettre de réduire considérablement les coûts du déneigement à Montréal. La métropole dit d'ailleurs s'inspirer de la Ville de Québec, dont la facture de déneigement est beaucoup moins élevée. La capitale souffle en effet la neige sur le terrain de ses citoyens dans une importante partie de son territoire, notamment dans les anciennes villes de banlieue fusionnées en 2001. Il en coûte ainsi environ 10 800$ pour déneiger un kilomètre de voie à Québec par hiver, contre 17 800$ à Montréal. À Laval, où l'on charge la neige dans seulement 52% des rues, la facture est de 8500$ par kilomètre. Des obstacles au soufflage Souffler davantage est plus facile à dire qu'à faire, prévient le maire de l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie, François Croteau. Son administration a déjà évalué ce scénario pour réduire les coûts de déneigement, mais la découverte de plusieurs obstacles majeurs a mené à l'abandon de l'idée. D'abord, le soufflage compliquerait l'entretien des trottoirs, qui seraient couverts de neige après le passage des souffleuses. «Il faudrait alors repasser la chenillette. Ça deviendrait kafkaïen», dit M. Croteau. Autre problème: l'utilisation massive de sel dans les rues de Montréal risque de mettre à mal les rares espaces verts de la métropole, selon l'élu. «Ça va brûler le gazon des résidences et des parcs. Ça pourrait même nuire à la croissance des arbres. Ça pose un problème environnemental.» Cette réflexion sur le soufflage survient alors que l'hiver s'annonce particulièrement coûteux pour Montréal, la Ville envisageant déjà d'avoir à piger dans ses réserves. Alors qu'on est à peine au milieu du mois de février, la métropole Montréal a déjà procédé à quatre chargements de neige. Or, le budget de 155,7 millions est prévu pour cinq opérations. Le maire assure que son administration ne laissera pas les arrondissements seuls avec la facture, eux qui sont responsable du déneigement. «Quand on parle d'avoir une politique unique de déneigement, il y a les budgets qui viennent avec. Cette politique, ce n'est pas de laisser les arrondissements à eux-mêmes.» Encore le Plateau Quand vient le temps de justifier la politique neige que Denis Coderre compte imposer aux 19 arrondissements, le nom du Plateau-Mont-Royal n'est jamais bien loin. «Certains arrondissements peuvent faire à leur tête, mais ce n'est pas une question de juridiction, mais de qualité de service», a martelé le maire, hier. Il n'a d'ailleurs pas caché son mécontentement de voir que le Plateau ne menait pas d'opération de chargement de la neige après la tempête qui a balayé Montréal dimanche. «Regardez les bancs de neige. Il y a un problème», s'est-il désolé. L'administration du Plateau réplique qu'elle a chargé la neige la semaine dernière et que les 9 cm tombés dimanche ne justifient pas le déclenchement d'une nouvelle opération. «Nous avons décidé d'attendre les prochaines précipitations prévues ces jours-ci, avant de prendre une décision sur un nouveau chargement», a indiqué Catherine Piazzon, porte-parole de l'arrondissement.
  21. Annonce ce matin du programme de rue piétonnes. 5 nouvelles rues sont projetées pour cette été : http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201501/18/01-4836240-montreal-devoile-son-programme-de-rues-pietonnes.php
  22. Combien de ces 20 faits sur Montréal saviez-vous déjà ? Recouverte en 1832, la Petite Rivière St-Pierre sort de terre seulement nous rappeler qu’elle existe encore coupant en deux le terrain de Golf Meadowbrook de Côte-St-Luc. Nous sommes sur une île, vous le saviez ça, mais saviez-vous que Montréal est la plus grande île de l’Archipel d’Hochelaga qui en compte environ 325? Montréal est la ville soeur de 21 autres villes internationales dont Hiroshima, Amsterdam, Lyon et Milan. La plus longue rue de l’île est le Boulevard Gouin qui longe la rive nord mesure 50km. L’Hôtel Reine-Élizabeth se devait de nourrir votre cheval gratuitement si vous y louiez une chambre pour la nuit. Cette loi n’a été renversée qu’en 1998. Notre Mont-Royal, partie des Collines Montérégiennes, a trois sommets, Le sommet du Mont-Royal (234m), le Sommet D’Outremont (211m) et la Colline Westmount (201m). À sa dernière expansion en 1933, l’Édifice Sun Life sur Metcalfe était le plus grand building de tout l’Empire Britannique. Il fut le plus grand édifice de Montréal jusqu’à la construction de la Place Ville-Marie. Parlant de la Place Ville-Marie, le gyrophare tout en haut prend 28 secondes pour faire un tour complet et s’éteint à minuit-trente à chaque nuit. Le gyrophare est la propriété de la Banque Royale du Canada. Mettons fin à un mythe ici, les « Tours Eiffel » qui couronne le Pont Jacques-Cartier ne sont pas un cadeau de la France et leur similitude n’est qu’une coïncidence. Fin d’un autre mythe. Même si à la base le Mont-Royal à un coeur fait de magma solidifié nommé gabbro, le Mont-Royal n’est pas un volcan. Les cimetières de Montréal comptent 12 des 1514 victimes du Titanic La Station de Métro St-Michel n’est techniquement pas encore terminé et est la seule station qui ne peut pas recevoir une rame complète de neuf voitures. Puisque nous parlons de transport en commun. La ligne d’autobus avec le plus grand achalandage est la ligne 121 Sauvé/Côte-Vertu avec en moyenne 37 000 passagers du lundi au vendredi. La première voiture de Montréal arriva dans nos rues le 21 novembre 1889 et elle était la propriété de M. Dandurand. Dans le même ordre d’idée, la première victime d’un accident automobile fut Antoine Toutant frappé en traversant la rue le 11 août 1906. Montréal a plusieurs sièges sociaux, dont celui d’un des sites web le plus visité sur le web, Brazzers (et ne faites pas semblant que vous ne savez pas de quoi je parle). Montréal fût la capitale fédérale de 1844 à 1849. Il tombe sur notre belle ville en moyenne 764mm de pluie et 217cm de neige annuellement. Montréal est au 1er rang nord-américain pour le nombre d’étudiants universitaires par habitant devant Boston. La Basilique-Cathédrale Marie-Reine-du-Monde, sur la rue De la Cathédrale est une copie réduite de la Basilique St-Pierre du Vatican. Et finalement, en restant du côté religieux de la métropole. Il y a 152 rues qui portent le nom de « Saint- » ou « Sainte- Écrit pour mon blogue mais partager sans frais avec MTLurb.
  23. Seriez-vous capable d'identifier une ville par son réseau routier? Testez vos connaissances: http://www.washingtonpost.com/blogs/wonkblog/wp/2015/01/09/quiz-can-you-name-a-city-just-by-looking-at-its-streets/ --- Beaucoup plus facile que l'autre (métros) mais j'en ai quand même manqué une: 9/10
  24. :stirthepot::stirthepot::mtl::mtl: Changement dans le réseau artériel: Projet Montréal craint pour la sécurité Projet Montréal s’inquiète pour la sécurité des citoyens, alors que l’administration Coderre s’apprête à transformer 38% des rues locales en artères. Le réseau artériel montréalais passera ainsi de 24% à 52% du réseau routier municipal. Il s’agit de la dernière mesure incluse à la réforme du financement des arrondissements qui doit être débattue et adoptée lundi au conseil municipal. Ce qui préoccupe Projet Montréal, c’est que ces rues, qui deviendront artérielles, seront maintenant de la responsabilité de la ville-centre. Les élus craignent ainsi pour l’installation futures des mesures d’apaisement de la circulation, comme des dos-d’âne ou la réduction de la vitesse automobile. «En arrondissement, on reçoit beaucoup de demandes de citoyens pour l’installation de mesures d’apaisement de la circulation sur les rues. On peut y répondre rapidement. Mais à la ville-centre, on craint qu’il y ait beaucoup de délais et qu’on perde la capacité de répondre aux besoins des gens», a indiqué Érika Duchesne, conseillère du Vieux-Rosemont. Pourtant, plusieurs des rues qui subiront ce changement doivent conserver cette possibilité de réduction de la vitesse automobile, selon les élus de Projet Montréal. Certaines petites portions de rue aux abords d’écoles, de CPE ou dans des quartiers résidentiels deviendront des artères, selon les plans de la ville. «Ça va à l’encontre du véritable sens du mot «artère»», a clamé, lundi, Craig Sauvé, porte-parole de Projet Montréal en matière de transport, au cours du conseil municipal. Une centaine de culs-de-sac à travers les 19 arrondissements deviendront également des artères, déplore également Laurence Lavigne-Lalonde, conseillère de Maisonneuve-Longue-Pointe. Projet Montréal pense même que la ville-centre pourrait avoir comme ambition de retirer certaines mesures d’apaisement déjà implantées ou de limiter l’implantation de mesures supplémentaires. De fait, les élus rappellent que, par définition, une artère mise sur la circulation automobile, au contraire de la rue locale. À titre d’exemple, sur le Plateau–Mont-Royal, la rue Gilford entre les rues de la Roche et Fullum, où sont implantées deux écoles, une résidence pour personnes âgées, et une piste cyclable, deviendra artérielle. Toutes les rues aux abords du parc Laurier le deviendront aussi. Dans Rosemont–La Petite-Patrie, des segments de la 36e et la 31e avenue, où se situent des CPE, des parcs et des écoles, vivront aussi cette transformation et seront maintenant du ressort de la ville -entre. «Pourquoi la Ville fait-elle ces changements? Nous ne le savons pas. Ça s’est fait sans consultation, sans discussion. C’est ficelé par le bureau du maire», a déploré Luc Ferrandez, chef intérimaire de Projet Montréal et maire du Plateau–Mont-Royal. Pour le maire de Montréal, Denis Coderre, il s’agit d’un moyen pour donner des «outils supplémentaires» aux arrondissements, dit-il. «Les fonds [pour l’installation de ces mesures] vont maintenant venir de la ville-central, plutôt que des arrondissements. On va s’assurer ainsi que les arrondissements puissent avoir plus de capacité pour d’autres projets», a insisté M. Coderre. Il reconnaît toutefois que les arrondissements devront se plier au processus de demande à la ville-centre. «Mais ça ne veut pas dire que ça ne fonctionnera pas. Les arrondissements peuvent toujours faire des demandes pour la création de mesures d’apaisement de la circulation, mais ils vont avoir à passer par un processus, et en retour, je m’assure qu’il y ait une capacité de livraison [de la part de la ville-centre]», a précisé le maire. Projet Montréal déplore aussi les 12 critères appliqués par la Ville pour déterminer quelles rues deviendront artérielles et lesquelles resteront locales, dont la présence de ligne d’autobus ou de routes de transit de camionnage. Ces critères sont «déconnectés de la réalité et on les applique mur-à-mur», fustige Mme Lavigne-Lalonde. Elle soulève des questionnements alors que dans certains arrondissements, seulement une partie d’une rue deviendra une artère, mais l’autre partie reste locale. La Ville se défend disant que ces critères pourraient être modifiés. «On a mis des critères, on a dit que ce n’était pas statique. Il y a des choses qui seront en mouvement», a précisé Aref Salem, responsable des transports au comité exécutif de la Ville de Montréal. 12 critères Les voies de circulation du réseau routier municipal sont désormais classées selon cinq catégories de chaussées (A, B, C, D et E) en fonction des douze critères suivants: 1. Hiérarchie fonctionnelle (artériel principal, artère secondaire, collectrice ou locale); 2. Prolongement des voies numérotées; 3. Lignes d’autobus express; 4. Lignes d’autobus – voies réservées; 5. Routes stratégiques – accès à un pont; 6. Routes stratégiques – urgence; 7. Route de transit de camionnage; 8. Lignes d’autobus – service régulier; 9. Zones commerciales; 10. Zones industrielles; 11. Voies cyclables; 12. Routes à caractère touristique / événementiel. Le nouveau réseau artériel administratif de la Ville est composé des voies de catégories A, B, C et D tandis que les voies restantes (catégorie E) constitueront le nouveau réseau local. Ainsi, le réseau artériel passe de 24% à 52% du réseau routier municipal. http://journalmetro.com/actualites/montreal/687466/changement-dans-le-reseau-arteriel-projet-montreal-craint-pour-la-securite/
  25. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/314084/une-nouvelle-vie-pour-la-maison-notman
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