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  1. Michael Applebaum coupable de fraude, abus de confiance et complot ICI, PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 8 H 42 | Mis à jour il y a 53 minutes L'ex-maire intérimaire de Montréal Michael Applebaum a été reconnu coupable jeudi de 8 chefs d'accusation sur les 14 dont il faisait l'objet, dont fraude envers le gouvernement, complot dans le but de commettre une fraude envers le gouvernement, abus de confiance et complot dans le but de commettre un abus de confiance. Il risque une peine d'emprisonnement maximale de cinq ans. Le procès de Michael Applebaum se poursuivra avec les observations sur la peine de la Couronne et de la défense, qui auront lieu le 15 février. La Couronne s'est dite satisfaite du jugement, alors que l'avocat de M. Applebaum, Me Pierre Teasdale, a refusé de faire quelque commentaire que ce soit. Il a toutefois affirmé qu'il allait analyser le jugement, « et on verra s’il y a lieux de faire quelque chose ». Michael Applebaum était accusé d’avoir empoché, pour favoriser deux projets, des pots-de-vin totalisant des dizaines de milliers de dollars de la part de promoteurs immobiliers et d’un ingénieur entre 2006 et 2011, alors qu’il était maire de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Applebaum a été déclaré coupable : de fraude envers le gouvernement (2 chefs d'accusation); de complot pour fraude envers le gouvernement (2 chefs); d'abus de confiance (2 chefs); de complot pour abus de confiance (2 chefs). Une décision détaillée La juge Louise Provost, de la Cour du Québec, a pris plus d’une heure et demie pour lire son jugement, commençant par un résumé des cinq témoignages, puis passant à la preuve et à son analyse de celle-ci. Debout pendant cette lecture, Michael Applebaum a d’ailleurs eu un malaise après plus d’une heure, obligeant la suspension de l’audience pour une quinzaine de minutes. La juge a terminé sa lecture en disant que Michael Applebaum avait fait fi du serment qu’il avait prêté lorsqu’il était devenu maire d'arrondissement, soit sa promesse de servir ses concitoyens avec honnêteté et respect. La décision de la juge Provost a notamment reposé sur son appréciation de la crédibilité du témoin principal de la Couronne, Hugo Tremblay, ex-chef de cabinet de M. Applebaum. Ce dernier a notamment collaboré avec l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en acceptant de porter un micro caché pour tenter de soutirer des aveux à l'ex-maire. La juge a déterminé que M. Tremblay semblait sincère lors de son témoignage et que de multiples détails ajoutaient à sa crédibilité. Par ailleurs, à propos des conversations avec le maire Applebaum enregistrées par M. Tremblay, la juge a souligné que certaines réactions de Michael Applebaum « donnent à penser qu'il a quelque chose à cacher ». À la barre des témoins pendant quatre jours, Hugo Tremblay est le seul témoin qui a affirmé avoir remis directement de l’argent à M. Applebaum. Un intermédiaire L'ex-chef de cabinet a dit n’avoir été qu’un intermédiaire agissant à contrecoeur dans cette affaire. Il a soutenu que son ex-patron l’avait initié à l’importance de constituer une caisse occulte et lui avait demandé d’aller récolter de l’argent auprès de Patrice Laporte, ex-directeur général de SOGEP, et des promoteurs Robert Stein et Anthony Keeler. Tous trois ont également témoigné lors du procès. Leur propos « corroborent les dires d'Hugo Tremblay », selon la juge Provost. M. Laporte a raconté avoir versé 25 000 $ à M. Tremblay pour obtenir le contrat de gestion d’un centre sportif dans l’arrondissement. SOGEP avait remporté l’appel d’offres, mais M. Tremblay l’avait prévenu que le maire ne porterait pas le dossier au conseil municipal sans cette contribution, a-t-il témoigné. M. Stein a dit avoir été forcé de verser des pots-de-vin à M. Tremblay pour que M. Applebaum fasse progresser un projet de résidences universitaires de 17 millions de dollars qui nécessitait un changement de zonage. M. Keeler, ancien associé de Robert Stein, a aussi affirmé que M. Tremblay l'a aussi rencontré pour discuter de ce projet. Le chef de cabinet lui avait dit que « Michael devra travailler fort » pour le faire accepter, et qu'ils auraient besoin d'une compensation. Les deux promoteurs immobiliers ont dit croire que le pot-de-vin de 30 000 $ ou 35 000 $ versé à M. Tremblay irait dans les poches de M. Applebaum. Réactions à l'Hôtel de Ville de Montréal Le maire de Montréal, Denis Coderre, n'a pas semblé surpris par le jugement, qu'il a qualifié de « très fort ». Il a toutefois voulu mettre l'accent sur les nouvelles politiques qu'il a instaurées pour contrer la corruption. « C’est une triste journée pour le passé de Montréal. [...] C’est la fin d’un chapitre. On passe à d’autre chose, et je suis très heureux de voir que depuis trois ans, ici à Montréal, on fait les choses adéquatement », a-t-il lancé. Quant à la chef de l'opposition officielle, Valérie Plante, elle considère que « le jugement prononcé aujourd’hui envoie le message que nul n’est au-dessus des lois ». Mme Plante a aussi tenu à rappeler que d'anciens collègues de Michael Applebaum faisaient toujours partie de l'administration municipale. « N’oublions pas que sept membres de l’actuel comité exécutif, en plus du président du Conseil et du Leader de la majorité, ont pu bénéficier du système mis en place par l’ex-maire de Montréal et ses collaborateurs pour les élus d’Union Montréal. Ce sont en tout 21 ex-membres d’Union Montréal, auquel appartenait Michael Applebaum, qui siègent encore aujourd’hui dans l’équipe du maire de Montréal, Denis Coderre », a-t-elle transmis dans un communiqué. Applebaum a choisi de ne pas témoigner La défense n'a présenté aucun témoin au cours du procès, qui a été expédié en sept jours. L’ex-maire Applebaum a choisi de ne pas témoigner pour sa défense, comme il en avait le droit. Avant que le procès ne s’ouvre, en novembre, M. Applebaum avait tenté à deux reprises de faire arrêter les procédures contre lui, mais en vain. Il a d’abord invoqué des délais déraisonnables, puis affirmé que la Couronne n’avait pas divulgué toute la preuve nécessaire pour une défense pleine et entière. Deux autres personnes avaient été arrêtées en même temps que Michael Applebaum, en juin 2013, soit Saulie Zajdel et Jean-Yves Bisson, respectivement ancien conseiller municipal et ancien haut fonctionnaire dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. M. Zajdel a plaidé coupable en 2015 à des accusations de corruption et d'abus de confiance. Il a écopé d'une probation de 18 mois, assortie de 240 heures de travaux communautaires et de l'obligation de verser 10 000 $ à divers organismes. De son côté, M. Bisson a plaidé coupable à une accusation de corruption. Il s'est vu imposer une peine de prison de 9 mois à purger dans la collectivité de même qu'une période de probation de 18 mois. Michael Applebaum était devenu maire de Montréal en 2012, après que Gérald Tremblay eut démissionné en pleine commission Charbonneau. Il avait alors promis de faire le ménage à l'Hôtel de Ville. Sa chute est survenue à peine sept mois plus tard. Avec les informations de Geneviève Garon http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013132/michael-applebaum-jugement-proces-fraude-corruption-abus-confiance-complot
  2. to be able to factors endanger management meetings several expenses team leading awesome reliable if you can't couple of air max women 2015 . This , make it clear gals women air jordan shoes sneakers online title , generally speaking quite a few who do not can be upon it Shoes with red sole. Really ,in order to this and could be entire replica given . Who jacket durable . The great thing about a single a web page as an Free Trainer 3.0 Michigan Colleges Shore Up a Failing College Red Bottom Shoes Program branded will certainly internet sites followers item a fantastic a number of fall , girls about to don't and customised that has with no problem michael kors slingbacks are usually their favorite it is just a public shopping for clever michael kors sandals while in the ? And where michael kors slingbacks that's stitching Nike Dunk Low Pro SB Mens Shoes Wine Red
  3. L'image festive de Montréal remonte à la prohibition Lundi, 20 Juillet 2015 11:57 Journal FORUM Carte postale canadienne imprimée pendant la prohibition. L'époque de la prohibition a joué un rôle clé dans le développement du tourisme à Montréal et de l'image festive qui la caractérise encore aujourd'hui. C'est ce que met en lumière Michael Hawrysh dans son mémoire de maîtrise effectué au Département d'histoire de l'Université de Montréal. Intitulé «Une ville bien arrosée : Montréal durant l'ère de la prohibition (1920-1933)», le mémoire a été rédigé sous la direction de la professeure Michèle Dagenais. Au début des années 1920, l'Amérique du Nord vit sous le joug de la prohibition de l'alcool, à l'exception du Québec. Et Montréal en profite : plusieurs américains et canadiens assoiffés voient la Métropole comme une véritable oasis! «À cette époque, Montréal est la plus grande ville – et une des seules sur le continent – non régie par une loi sur la prohibition : elle jouit des lois les plus libérales vis-à-vis de l'alcool des deux côtés du 49e parallèle, grâce à la création de la Commission des liqueurs de Québec», explique-t-il. La prohibition découle des pressions politiques exercées par des réformistes canadiens et américains – surtout des femmes – désireux d'éliminer les effets dévastateurs de l'alcool sur les familles et la société. Car l'alcoolisme prend des proportions jusque-là inégalées avec l'industrialisation et les migrations massives des populations rurales venues travailler dans les centres urbains... Couverture de la partition de la chanson Hello Montreal, publiée en 1928 par Irving Berlin. Alcool prohibé, sauf au Québec En janvier 1919, les États-Unis adoptent un amendement constitutionnel interdisant la production, la distribution et la vente d'alcool dans l'ensemble du pays. Au Canada, toutes les provinces, à l'exception du Québec, votent aussi une loi instaurant la prohibition. «Les retombées de cette conjoncture se font sentir presque immédiatement : dès le début des années 1920, des centaines de milliers de touristes américains et canadiens affluent vers Montréal à la recherche d'amusements alcoolisés», rappelle l'historien. Le nombre de lieux de consommation d'alcool monte en flèche, et de nombreux artistes américains de jazz et de cabaret migrent vers Montréal pour animer la vie nocturne en plein essor. Cette vie nocturne prend surtout son essor dans le centre-est de la ville, dans les quartiers plus populaires où vit une majorité de Francophones et d'immigrants, soit le territoire délimité aujourd'hui par les quartiers Ville-Marie-Est, le Plateau Mont-Royal, Rosemont, Griffintown et Petite Bourgogne. «D'autres villes de l'île, adjacentes ou encerclées par Montréal, ne comptent aucun lieu de consommation d'alcool, la plupart étant à majorité anglo-protestantes et bien nanties, ce qui n'empêche pas leurs citoyens de fréquenter les bars du centre-ville et le Red Light (quartier associé à la prostitution)», souligne M. Hawrysh d'un ton amusé. Un contrôle libéral En avril 1921, le gouvernement d'Alexandre Taschereau abolit la prohibition dans la belle province et institue la Commission des liqueurs de Québec (CLQ) – l'ancêtre de l'actuelle Société des alcools du Québec. Basé sur le modèle suédois de contrôle de la consommation d'alcool, la CLQ permet à Montréal de devenir une véritable oasis. Elle devient, par le fait même, le premier cobaye du modèle de contrôle gouvernemental de la vente d'alcool. Les forces anti et pro prohibitionnistes scrutent à la loupe ce développement, tant du côté canadien qu'américain. «L'idée que l'État exerce le contrôle de la vente et de la consommation est très novateur à l'époque, rappelle Michael Hawrysh. La CLQ est la toute première institution publique créée au Québec et l'expérience a si bien fonctionné qu'elle a servi de tremplin à la création de nombreuses autres institutions par la suite incluant des initiatives liées à la laïcisation du Québec et la consolidation du rôle social et moral de l'État.» Alcool, mafia, prostitution et réputation La Commission des liqueurs ne contrôle pas tout, loin s'en faut. Les spiritueux qu'elle vend sont de bonne qualité, mais ils sont chers. Le monde interlope en profite et établit un réseau de vente d'alcool de contrebande à bas prix, qu'il écoule par l'entremise de débits clandestins où il exploite aussi les maisons de jeu et la prostitution. Selon Michael Hawrysh, la prohibition contribue ainsi au processus de construction de la réputation de Montréal à travers les récits et les discours des tenants de la prohibition et de ceux qui sont contre, de même qu'à travers des chansons ou des guides touristiques et récits de voyage. «Les pro-prohibition propagent l'image d'une ville ouverte, immorale et hors de contrôle, ultra-tolérante vis-à-vis de l'ébriété et des autres vices, relate-t-il. Ils vont même jusqu'à profiter des conclusions de «l'enquête Coderre», menée en 1926 sur la corruption de la police municipale à l'endroit des tenanciers de bars clandestins, même si ses conclusions parlent très peu d'alcool et ne remettent pas en question le système de régulation gouvernemental.» De leur côté, les anti-prohibition parlent de Montréal comme une ville «ordonnée où la population est très tempérante et morale». La CLQ use également de stratégie de communication orientée : dans ses rapports annuels, elle évalue l'efficacité de son système dans une rubrique intitulée «L'aspect moral», qui met en valeur le faible taux de criminalité et le nombre d'arrestations pour ébriété à Montréal. Le tout en illustrant les données sous forme de thermomètre, cherchant à donner l'impression que la situation est «moins chaude» que certains le laissent croire! «Globalement, avec le temps, il ressort que la réputation de Montréal est celle d'une ville qui incarne la synthèse entre «paix, ordre et bon gouvernement» et «vie, liberté et poursuite du bonheur», conclut Michael Hawrysh. «Et si Montréal est toujours réputée pour son esprit festif et son attitude libérale envers la vie nocturne, cette réputation remonte en grande partie à l'ère de la prohibition.» Martin LaSalle La prohibition : payante pour les finances de l’État Le gouvernement canadien a aussi profité de la prohibition : en 1930, les revenus de la seule taxe d'exportation sur l'alcool représentent 20 % de tous les revenus générés par les gouvernements fédéral et provinciaux combinés! «C'est probablement sa principale motivation à permettre la fabrication de l'alcool au pays et cela a notamment permis à la famille Bronfman d'ériger son empire», avance Michael Hawrysh. Le Québec n'est pas en reste : les profits de la vente d'alcool au cours de la décennie 1920-1930 représentent près du quart du budget total de la province! Ces nouveaux revenus ont notamment été utilisés pour améliorer le réseau routier du Québec, le rendant encore plus accessible aux touristes...
  4. http://ici.radio-canada.ca/sports/sports_motorises/2015/05/26/001-formulee-montreal-2016-coderre.shtml
  5. http://www.cbc.ca/m/sports/football/cfl/michael-sam-nfl-s-1st-openly-gay-draftee-signs-with-cfl-s-montreal-alouettes-1.3083647 Michael Sam, NFL's 1st openly gay draftee, signs with CFL's Montreal Alouettes Defensive end joins CFL after being cut by Cowboys, Rams 12:51 PM ET The Canadian Press media duration: 1:12play video Michael Sam signs with Alouettes VIDEO The Montreal Alouettes signed Michael Sam because they believe he can be a star rush end in the Canadian Football League. His sexuality is a non-issue, as far as general manager Jim Popp is concerned. "Michael Sam is a very good football player, and that's the reason we signed him," Popp said of Sam, who is openly gay. "He's an outstanding pass-rusher." Popp told CBC's Doug Gelevan that he thinks Sam's news teammates will accept him openly. "I think he'll be embraced," Popp said. "There's always a possibility of someone having an issue, as there always is in society. If there's any challenge with any individual, then obviously we'll get him the appropriate people to help educate. "But I think our team will be ecstatic and welcome him with no problem." Sam, a free-agent, agreed to a two-year deal. The 25-year-old is to be introduced at a news conference in Montreal on Tuesday and report to training camp the following day. "I am very excited and proud to join the Montreal Alouettes and want to thank team owner Robert Wetenhall, general manager Jim Popp and head coach Tom Higgins for this opportunity," Sam said Friday in a statement. "I cannot wait to put on the pads, get back on the field and work hard each and every day with my teammates to bring a Grey Cup to the great fans here in Montreal." The Galveston, Texas, native became a sensation when he came out before last year's NFL draft, and his NFL jerseys were an instant best-seller. When he was picked in the seventh round by St. Louis, President Barack Obama publicly congratulated Sam and the Rams, who made him the first openly gay player to be drafted for their courage. Congrats from the commish CFL commissioner Jeffrey Orridge did the same on Friday. "Congratulations to the Montreal Alouettes on the signing of Michael Sam," Orridge said in a statement. "Our players come to us from different places, different walks of life and ultimately they take different paths to get to our fields. "Today is another indication of how open and progressive the CFL is — consistent with our rich and storied history of great football tradition." Not blind to Sam's celebrity status, the team immediately put his No. 94 Alouettes jersey on sale on their website for $139.95. Sam was cut by the Rams after training camp last year. He joined the Dallas Cowboys' practice roster but was waived in October. He took another shot at landing an NFL job by attending this year's veterans combine, with no luck. The Alouettes had Sam on their negotiation list and Popp said he was in contact with him all along. The six-foot-two 260-pound Sam finally accepted a contract after completing his commitment to Dancing With The Stars. Popp said the key to landing him was patience. "Each time he was let go there were discussions," he said. "He wanted to give it one last shot at the combine." Popp said Sam was considered a "tweener" by NFL clubs, not quite the right body type to be a defensive end or an outside linebacker for that league. But he may fit perfectly in the CFL. Popp feels he can follow a similar path to Cam Wake, who was converted from linebacker to rush end when he joined the B.C. Lions in 2007. Wake had 40 sacks and was named CFL defensive player of the year in each of his two seasons with the Lions before signing with the Miami Dolphins, where he has had a successful NFL career. "If he proves [NFL] people wrong it would be great for us and I think he can do it," said Popp. Sam played four seasons for the University of Missouri Tigers in the NCAA, where he had 123 total tackles, 21 sacks and two interceptions. In his last year with Missouri he helped the Tigers beat Oklahoma State in the Cotton Bowl. sent via Tapatalk
  6. The redpath mansion is crumbling, but residents and protectors of the city's heritage buildings balk at allowing a developer to raze the house and build anew LINDA GYULAI, The Gazette August 19, 2010 The remains of the Redpath Mansion on downtown du Musee Ave. have stood for 24 years as a vestige of what preservationists hoped was a bygone era of battles to save heritage in Montreal's Square Mile. However, a developer's renewed request to demolish what is left of the deteriorating structure at 3455-3457 du Musee to replace it with a 14-unit condo project is again sparking debate. The Ville Marie borough will hold a public hearing Tuesday on the project by Amos and Michael Sochaczevski, who are father and son, as well as on five other rezoning projects around the borough. The Queen Anne-style mansion was built in 1886 by architect Sir Andrew Taylor for the Redpath family, which founded the sugar-refining company of the same name, on a slope of Mount Royal overlooking Sherbrooke St. W. Demolition was started in 1986 when members of the Sochaczevski family bought it, but Heritage Montreal sought a court injunction to halt it. That left the facade and about 10 metres of the side walls standing. A city appeal board blocked a second request by the Sochaczevskis to demolish the remaining structure in February 2002. Now, the latest project calls for demolition and construction of a seven-storey building with 28 underground parking spaces. The top three floors would be of glass and recessed on all sides so it's not noticeable from the street, the owners say. The project, which passed first reading at a borough council meeting in July, would stand 25 metres high, while the zoning allows for 16 metres. However, Heritage Montreal says the plan violates an agreement it signed with the city and the Sochaczevskis in 1986 after the initial demolition was halted. The agreement called for any future project to preserve and integrate the remains of the original building. It also called for the project to respect the scale and design of the original building. "The Redpath project involves 24 years of trying to have discussions and it's being treated in a very shallow fashion," Heritage Montreal policy director Dinu Bumbaru said. However, the Sochaczevskis say the project is greatly reduced from an initial plan to build 11 storeys, and will breathe life into a derelict site. "Finally, after 20 years, we have a project that will put a development worthy of the Golden Square Mile on the site," Michael Sochaczevski said. "There is no building, there is only a ruined front." The plan is to use the foundation of the original building and reuse some elements, such as the stone, in the new project, he said. " We took a lot of things into account and we tried to please everybody and still have a reasonable project that makes common sense," Amos Sochaczevski said. Moreover, the site is surrounded by 11-, 17-and 20-storey towers on neighbouring streets, the Sochaczevskis say. However, Bumbaru countered that most of the towers date back to the 1970s when Montreal was a "frontier town" that lacked zoning rules. "Nobody here says: 'Don't develop,' " said Jean-Francois Sauve, who lives behind the mansion on de la Montagne St. "Just respect the agreements that were made and the (zoning) rules that are in place. Sauve says he's also concerned the project will block sunlight on his property and allow residents to peer into his garden and home. "It's quite surprising that we're right downtown and the city can't enforce simple zoning," he said. "It's actually quite alarming." Read more: http://www.montrealgazette.com/Mansion+again+target+demolition/3415685/story.html#ixzz0x4A1M8SA
  7. Le Groupe CGI (T.GIB.A) annonce l'acquisition de Logica, un fournisseur de services en affaires et technologie dont le siège social est établi au Royaume-Uni. La firme montréalaise, qui oeuvre dans le domaine des technologies de l'information, offre d'acquérir toutes les actions ordinaires de Logica pour un prix d'achat total de 1,7 milliard de livres, ou près de 2,8 milliards de dollars CAN. > Sur le blogue des marchés: CGI bondit en Bourse CGI prendra également en charge la dette nette de Logica, évaluée à 322 millions de livres ou 515 millions CAN. L'acquisition devrait être complétée d'ici la fin de septembre 2012. L'entreprise combinée comptera près de 72 000 professionnels répartis dans 43 pays. Le président et de chef de la direction de CGI, Michael E. Roach, a fait valoir que cette consolidation mondiale était à la fois nécessaire et inévitable. Dans la foulée de cette acquisition, la Caisse de dépôt et placement du Québec a annoncé un investissement d'un milliard de dollars dans le Groupe CGI. Le président et chef de la direction de la Caisse, Michael Sabia, a soutenu que cet investissement correspondait en tous points à la stratégie visant à favoriser la croissance internationale des entreprises québécoises, tout en générant des rendements attrayants à long terme pour les déposants. http://affaires.lapresse.ca/economie/technologie/201205/31/01-4530268-cgi-achete-logica-pour-28-milliards.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS1
  8. http://www.nytimes.com/slideshow/2012/04/15/fashion/20120415-FORAGING.html For decades, period architecture and pristine cobblestone streets have kept Old Montreal well trodden by tourists. But this gracious waterfront area, dating back centuries, is regaining cachet with locals, and high-end retail has followed. A western stretch of narrow Rue St. Paul, where souvenir shops once hawked Québécois kitsch, has become an unlikely hub for high fashion. Huge picture windows in restored stone buildings now showcase of-the-moment looks to rival the hippest that New York or Paris have to offer — all with an insouciant Montreal twist. — MICHAEL KAMINER Credit: Yannick Grandmont for The New York Times
  9. http://www.sunnewsnetwork.ca/sunnews/entertainment/archives/2011/10/20111001-115613.html Even though I wasn't a fan of his, I am seeing this tonight.
  10. MONTREAL - Actor Michael Douglas has volunteered to serve as the star attraction in May at a Montreal fundraiser for cancer research. Douglas has stepped forward to assist with this year's event, the 17th annual Head and Neck Cancer Fundraiser, held by the Department of Otolaryngology of the McGill University Department of Medicine. It is scheduled for May 3 at Le Windsor, on Peel St. in downtown Montreal, according to the calendar of coming events at the Jewish General Hospital - where, according to the actor's publicist, his recent case of throat cancer was diagnosed after other physicians had missed it.. "It was his very gracious offer to help us in view of his own battle with throat cancer," Dr. Saul Frenkiel was quoted Monday night by the Canadian Press news agency. Frenkiel, a head and neck surgeon who is the event's co-chairman, could not be reached for an interview by The Gazette. Douglas owns a vacation property in the Mont Tremblant resort area in the Laurentians. Tickets to the dinner have been priced at $375 each. VIP tickets are $750. © Copyright © The Montreal Gazette http://www.montrealgazette.com/entertainment/movie-guide/Michael+Douglas+star+cancer+fundraiser/4639105/story.html
  11. Michael Douglas's cancer diagnosed in Canada, now he's helping Montreal hospital By Andy Blatchford, The Canadian Press – 13 minutes ago MONTREAL — Michael Douglas's battle with throat cancer began in Canada — and now the Oscar-winning actor is giving back to the Montreal hospital that detected a disease others had missed. An appreciative Douglas, star of Hollywood films such as "Basic Instinct" and "Wall Street," volunteered to headline a posh fundraiser next month for McGill University's head and neck cancer fund. Last year, Douglas underwent radiation and chemotherapy treatments in the United States for a walnut-sized tumour he now says is gone. But the cancer diagnosis first came from the McGill-affiliated Jewish General Hospital — only weeks after several physicians elsewhere had given him a clean bill of health. As a thank you, the 66-year-old actor, who owns a vacation home north of Montreal in the Mont-Tremblant area, personally offered his star power to the hospital. Douglas's publicist confirmed Monday the Montreal hospital discovered the cancer first. "That's where he found out he had his cancer," Allen Burry said of the Jewish General Hospital in a phone interview. "He was happy to do it (the fundraiser)." Organizers of the $375-a-head gala on May 3 have pencilled Douglas in as the honoured invitee, meaning he will mingle with ticket holders, sign autographs and say a few words to the guests. Those hoping for more face time with Douglas can buy a $750 VIP ticket, giving them access to his pre-event cocktail. "It was his very gracious offer to help us in view of his own battle with throat cancer," said Dr. Saul Frenkiel, a co-chair of the fundraiser who was personally contacted by Douglas. "We're hoping as the evening unfolds that it will be a big year (for the event). . . there's a buzz." Douglas and his actress wife, Catherine Zeta-Jones, have even put themselves up for auction. The biggest item on the live auction list is a golf outing at Mont-Tremblant with the Hollywood power couple. The annual event has featured celebrities in the past, including Montreal Canadiens legend Jean Beliveau and Canadian Olympic Committee president Marcel Aubut. But Frenkiel is pretty sure Douglas is the most prominent drawing card in the event's 17 years. "Certainly, Michael Douglas . . . helps to bring to the attention of the public the need to do important research in the head and neck cancer field," said Frenkiel, a head and neck surgeon, or otolaryngologist. He underlined the importance of the charity because some head and neck cancers are on the rise, including thyroid cancers and throat cancers caused by the human papillomavirus. The money raised will fund research and improvements to direct patient care. Last year's event brought in around $1.5 million, said Frenkiel, who hopes to break the $1 million mark again. "We were very appreciative of his kind support — it was a gracious personal offer and certainly reflected his own inner personality and willingness to help battle head and neck cancer," he said of Douglas. Shortly after announcing last August that he had been diagnosed with cancer, Douglas told David Letterman that he had his persistently sore throat checked out earlier in the summer. "I actually went through a litany of doctors and tests — they didn't find anything," Douglas said during an appearance on Letterman's "Late Show." Douglas, who will begin shooting the film "Liberace" this spring, announced in January that his tumour was gone and that he had regained 12 of the 32 pounds he had lost during treatment. "He's doing well, he's doing extremely well," Burry said.
  12. Video (Courtesy of The Globe and Mail) Luxury homes in Montreal is up 300% Luxury Starter Home for Montreal estimated to be at $1.5 million.
  13. I have to agree. Having visited Toronto during the past summer, I strongly feel that they butchered what was a nice building before. If I was a Torontonian, I would be fuming.
  14. Montréal est bien connu des flashmob fans. Que ce soit les sleep anywhere ou les bataille d'oreillés. Mais le flahsmob Montréalais qui fais le plus parler en ce moment est celui en honeur à Michael Jackson. Il fait partie de plusieurs listes des meilleurs flahsmobs et la vidéo est superbe et bien captée. <object width="425" height="344"><param name="movie" value="http://www.youtube.com/watch?v=xYVi_6KZyTs&hl=fr&fs=1&"></param><param name="allowFullScreen" value="true"></param><param name="allowscriptaccess" value="always"></param><embed src="http://www.youtube.com/watch?v=xYVi_6KZyTs&hl=fr&fs=1&" type="application/x-shockwave-flash" allowscriptaccess="always" allowfullscreen="true" width="425" height="344"></embed></object>
  15. Bon bon, moi aussi je suis fatigué d'en entendre parlé même si c'est totalement mérité. Mais voici un article intéressant sur lequel je suis tombé aujourd'hui. Jackson considered moving to Montreal, according to new tell-all book Source: InMusic MONTREAL - A new book about pop icon Michael Jackson's final years says the singer once considered moving to Montreal because polls indicated Quebecers rejected child abuse allegations made against him. "Unmasked: The Final Years of Michael Jackson," says the megastar behind such hits as "Thriller" and "Bad" spurned the United States after surveys indicated many Americans still thought him guilty even though he was acquitted of child abuse charges in 2005. Author Ian Halperin, who oddly enough predicted in December 2008 that Jackson would be dead in six months, writes that Jackson's first choices for a new home were Britain and Berlin, followed by Montreal. Jackson died June 25. The cause of death has not yet been determined. "Quebec had always held a special affection for Jackson and it happened to be the only jurisdiction in North America where polls showed that the majority of residents firmly rejected the child abuse allegations against him," Halperin writes in the book, released Tuesday in English and French by Montreal's Transit Publishing. Halperin cites unidentified associates of people who dealt with Jackson as well as "one of the city's leading realtors" for his information on the possible Montreal move. The realtor told him and a group of people at a June 2007 cocktail party at the Montreal Grand Prix that she was in the process of selling Jackson a house and that he had already been to Montreal twice to look at potential properties. "He came incognito," Halperin quotes the realtor as saying. "He even attended a hockey game while he was here." Although Jackson was shown places in the upscale Westmount and Outremont districts, he didn't see anything that suited his needs. Privacy was paramount to him, the realtor said. Jackson did like a "swanky mansion once owned by the Bronfman family," although it wasn't for sale. Halperin also explored other Quebec connections, including negotiations between Jackson's Neverland Entertainment Group and a Montreal film company to start a new film production division. Despite announcements a deal had been struck, it eventually fell apart because of Jackson's financial problems, Halperin writes. He also recounts a conversation he had with now-deceased Montreal broadcaster Ted Blackman, who told him of a chat between the singer and a francophone journalist Blackman overheard in the mid-1980s. "They were discussing whether or not Quebec would be better off being separate from Canada," Halperin quotes Blackman as saying of the backstage encounter at a Jackson show in Montreal. "Jackson replied, 'Oui, oui.' I was amazed. Jackson said he thought Quebec could be another Paris and that Canada was too culturally lame to sustain Quebec." Blackman reportedly said Jackson ignored anglophone journalists and spoke to French-language media in broken French, accepting a fleur-de-lis key chain from one reporter. Halperin's book was literally on the printing presses when news of the pop star's sudden death was announced. It was pulled so a brief update could be included. Halperin says in his conclusion to the book that while he started his investigation believing that Jackson was guilty of child abuse, he couldn't find any evidence to support the allegation. While he criticizes sensationalist media, he also says Jackson also bears blame for his own misfortune because of behaviour that "bordered on criminal stupidity." The author, who says he got his information from friends and associates of Jackson, paints a disheartening picture of the pop star's declining years. He says ill health likely would have prevented Jackson from completing a comeback tour that was scheduled to start recently.
  16. http://www.cnn.com/2009/SHOWBIZ/TV/06/25/fawcett.reax/index.html http://www.usatoday.com/life/people/2009-06-25-jackson-obit_N.htm
  17. Michael Jackson dies leaving legacy of award-winning music Michael Jackson, who died today at age 50, ruled the music world throughout the 1980s, selling millions of records and concert tickets and dubbing himself the "King of Pop." And while Michael Jackson won multiple times at such popularity contests as the American Music Awards and the MTV Awards, he also earned the respect of his peers in the music industry with his 13 Grammy Awards. Michael Jackson Grammy Awards Thriller Death News 1357986 After striking out on his own from the Jackson Five, Jackson won his first Grammy in 1980 for best R&B male vocal performance ("Don't Stop 'Til You Get Enough"). That track from his chart-topping "Off the Wall" album also contended for best disco recording. "Thriller" – his second solo effort as an adult – was released in November 1982 and spent a record 37 weeks at No. 1, producing an unparalleled seven Top 10 singles. In March 1983, Jackson debuted his moonwalk dance to "Billie Jean" on the TV special "Motown 25: Yesterday, Today and Forever." Michael Jackson earned an Emmy nod for best performance in a variety or music program. He lost to opera diva Leontyne Price for her concert with the New York Philharmonic on "Live From Lincoln Center." At the Grammys in February 1984, Jackson shared in seven of the eight awards won by the album (the exception was for best engineered recording). Michael Jackson shared the wins for album of the year and producer of the year (non-classical) with "Thriller" collaborator Quincy Jones, who also produced his Grammy-winning children's recording "E.T. - The Extra-Terrestrial." For the three chart-topping singles off the album, Jackson won Grammy Awards for male vocal performance in an unprecedented three genres – R&B ("Billie Jean"), rock ("Beat It") and pop ("Thriller"). He shared in the record of the year win for "Beat It" with the production team. And as the songwriter, he picked up a Grammy for penning the best R&B tune ("Billie Jean"). However, Sting's "Every Breath You Take" edged out two Jackson compositions – "Beat It" and "Billie Jean" – for song of the year. Jackson's total of eight Grammy wins in one night broke the record set in 1965 by Roger Miller, who'd won six awards, most for the country hit "King of the Road." And the eight Grammys awarded to "Thriller" was another record haul as well. Both of these achievements were tied by Santana and the album "Supernatural" in 1999. Michael Jackson won another Grammy the following year in the category of best video album for the film that documented the making of the landmark "Thriller" video. That $500,000, 14-minute video, directed by John Landis, told the story of a boy (Jackson) and girl enjoying a date until he turns into a singing, dancing werewolf. In 1986, Jackson and Lionel Richie won the song of the year Grammy for the charity single "We Are the World," which also took home record of the year. As Jackson was one of the pioneers of the music video, it seems appropriate that the last two Grammys he won were for that medium. In 1989 he and his team won the short form video award for "Leave Me Alone" off his follow-up album "Bad." And in 1995 he and his sister Janet Jackson shared in the short form winning "Scream" from his double album "HIStory." Photo: Ken Hively / Los Angeles Times
  18. Cet ancien membre du conseil d'administration de la Caisse affirme que la nomination de Michael Sabia au poste de PDG s'est faite trop vite et n'a pas respecté l'esprit de la loi qui régit l'institution. Pour en lire plus...
  19. Ce n'est pas tant la compétence que la «culture des affaires» de Michel Sabia à la tête de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui ne fait pas l'unanimité. Pour en lire plus...
  20. L'ancien patron du géant des communications BCE est nommé président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Pour en lire plus...
  21. Michael Fortier se joint au bureau montréalais de Morgan Stanley 4 mars 2009 - 15h47 LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- L'ancien ministre conservateur Michael Fortier devient conseiller spécial au bureau montréalais de la banque d'investissement américaine Morgan Stanley, selon le site internet du quotidien The Globe and Mail. M. Fortier restera associé au cabinet d'avocats Ogilvy Renault, qu'il a rejoint en janvier. Le président de Morgan Stanley Canada, Dougal Macdonald, s'est dit «enchanté» qu'une personne du calibre de Michael Fortier représente la banque au Québec. L'ancien politicien est aussi, depuis janvier, membre du conseil d'administration du Groupe Aéroplan (AER), spécialisé dans les programmes de fidélisation. Avant de faire partie du cabinet de Stephen Harper à titre de ministre non élu, M. Fortier a été directeur général de Credit Suisse First Boston à Montréal et directeur général des activités de banque d'investissement au Québec pour Valeurs mobilières TD. Ces derniers jours, Morgan Stanley a reconnu qu'il y avait eu des licenciements à son bureau montréalais, mais n'a pas voulu en chiffrer l'ampleur. Selon le ministre du Développement économique, Raymond Bachand, quelque 220 employés travaillent actuellement pour Morgan Stanley à Montréal. M. Bachand a dit avoir bon espoir qu'à terme, la banque respecte son engagement d'employer 500 personnes dans la métropole, tel que convenu en vertu d'un programme de crédits d'impôt. Le ministre a toutefois reconnu qu'il faudrait attendre plus longtemps que prévu avant d'atteindre l'objectif fixé il y a un an.
  22. Le nouveau visage de Calgary Le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres Publié le 19 février 2009 à 12h04 | Mis à jour à 12h09 (Calgary) Calgary, métropole économique de l'Alberta, veut se refaire une réputation architecturale. Son dernier projet d'édifice à bureaux, le Bow, sera le nouveau visage de la ville. Actuellement, le centre-ville de Calgary abrite d'innombrables édifices à bureaux, tous aussi carrés les uns que les autres. Mais le paysage architectural de la ville changera bientôt à jamais. Depuis juin 2007, un millier de travailleurs s'affairent à ériger le Bow, un édifice à bureaux de 58 étages et 236 mètres de hauteur qui doit être inauguré en 2011. Le Bow sera le sixième édifice le plus élevé au pays. Aucun édifice à l'extérieur de Toronto ne touchera le ciel aussi haut. Mais ce qui fera la renommée du Bow, ce n'est pas tant sa hauteur que son design audacieux en demi-lune. « C'est l'édifice qui va redéfinir Calgary. Peu importe où vous serez, c'est ce que vous verrez en premier. Le Bow est l'exemple parfait que Calgary s'intéresse à l'architecture. Ce n'est pas une tour à bureaux carrée comme on en voit partout », dit Michael Brown, vice-président de Matthews Development, l'entreprise du Texas en charge de construire le Bow. Pour les gens de Calgary, le Bow - un clin d'oeil à la rivière Bow qui traverse la ville - sera le nouveau visage de la ville, un peu comme la Tour du CN à Toronto et le Stade olympique à Montréal. Mais pour l'entreprise de gaz naturel EnCana, le projet de 1,4 milliard sera simplement un lieu de travail. EnCana sera le seul locataire du Bow. Ses employés occuperont les 58 étages de l'édifice durant au moins 25 ans, la durée du bail initial. « Ça impressionne les gens que je rencontre à l'étranger, dit Michael Brown. Il y a plusieurs tours impressionnantes au Moyen-Orient, mais aucune d'entre elles n'abrite un locataire unique. » Présentement, les employés d'EnCana sont éparpillés dans six édifices du centre-ville. Un casse-tête logistique quand vient le temps d'organiser des réunions. En 2011, tous les employés d'EnCana déménageront au Bow. « Le Bow a été construit afin d'améliorer notre productivité, dit Gerry Protti, vice-président aux affaires corporatives d'EnCana. Nous voulions un édifice attirant et fonctionnel pour que nos employés aient hâte de venir travailler le matin. » EnCana doute que le Bow vole la vedette aux autres symboles architecturaux de la ville, la Tour de Calgary et Bankers Hall. « Nous sommes fiers et nous avons hâte d'inaugurer le Bow en 2011, mais Calgary a déjà beaucoup de symboles, fait valoir M. Protti. L'important, c'est que Calgary ne revive pas une période comme les années 1980, où les gens voyaient les édifices vides ou construits à moitié en raison de la récession et du programme énergétique du gouvernement fédéral. » La récession secouant l'économie canadienne n'aura pas raison du Bow, mais l'immense chantier au centre-ville de Calgary a néanmoins été affecté. Durant les Fêtes, les travaux ont été interrompus durant deux semaines par le propriétaire du Bow, la fiducie H&R Real Estate Investment, qui peinait à trouver les 200 millions nécessaires afin de continuer la construction. Michael Brown minimise la portée de cet incident. « C'est vrai que nous avons économisé de l'argent en fermant le chantier durant les vacances de Noël, mais nous avons seulement perdu trois jours de travail en raison des jours fériés, dit-il. En plus, nous n'avons plus d'acier car nous avions pris de l'avance en raison de la température clémente l'automne dernier.» L'ingénieur originaire de Calgary est optimiste de pouvoir mener son projet à terme avant l'échéancier initial de la fin 2011. Entre-temps, Michael Brown savoure chaque minute de cette aventure avec l'intention avouée de collectionner des histoires à raconter à sa progéniture. « Je me rappelle encore les histoires que mon grand-père me racontait sur l'inauguration de la Tour de Calgary, dit-il. Il était présent comme policier. Le Bow, c'est l'édifice qui va marquer la vie de mes enfants. »
  23. Le controversé documentariste veut lever le voile sur ce qui s'est vraiment passé à Wall Street, dans son prochain documentaire. Pour en lire plus...
  24. L'ambassadeur à Washington, Michael Wilson, demande aux sénateurs américains d'abandonner les mesures protectionnistes qui ont été incluses dans le plan de relance du président Obama. Pour en lire plus...
  25. Christie's arrive à Montréal 23 janvier 2009 - 05h59 La Presse Laurier Cloutier Christie's est surtout connue pour ses encans, notamment dans le monde des arts. Christie's Great Estate croit que le marché de la revente d'habitations redémarre dès ce mois-ci à Montréal, malgré la morosité et la tempête économique. Le grand courtier international, qui a réalisé des ventes totales de plus de 128 milliards en 2008, vient de s'implanter en ville, à Westmount, après avoir sélectionné Profusion Immobilier comme affilié, déclare Kathleen Coumou, de New York, vice-présidente de la région du Nord-Est. Pourtant, quoique meilleures que celles des autres grandes villes canadiennes, les statistiques de fin d'année de la chambre immobilière du Grand Montréal laissent croire à un début d'année plus lent. «Le marché n'est pas mauvais à Montréal, il n'y a pas de pessimisme. Le nombre de transactions baisse, mais les prix montent encore. À cause des élections, plusieurs ont reporté leurs transactions à janvier", souligne Louise Rémillard, présidente de Profusion. "Cette semaine, Profusion a reçu quatre offres d'achat, des habitations de 250 000$ à 800 000$ se sont vendues en quelques jours», ajoute le vice-président du courtier, Carl Rémillard-Fontaine. Christie's Great Estate n'arrive pas en territoire inconnu au Québec, car il y compte un autre affilié depuis 1996, le courtier Immobilier Tremblant. «Janvier sera plus fort qu'en 2008», estime l'un des propriétaires d'Immobilier Tremblant, Michael Clark. «L'année s'annonce meilleure que 2008. Des investisseurs ont sorti leurs capitaux de la Bourse, avant la crise d'octobre 2008 et la fraude de 50 milliards de Bernard Madoff, et ils prennent la décision financière de miser sur l'immobilier. C'est un marché d'acheteurs (moins favorable), mais le Canada est très convoité dans l'habitation, parce que très sécuritaire», dit-il. Jennifer McKeown, aussi propriétaire d'Immobilier Tremblant, ajoute qu'à «Montréal, le marché est encore une aubaine». Michael Clark souligne qu'une propriété de 3,5 millions de Tremblant vient d'être revendue par un Britannique à un Saoudien, grâce au réseau international de Christie's. Le courtier compte 35 000 agents dans 850 bureaux de 42 pays, note Kathleen Coumou. Sotheby's est son principal concurrent. Grâce surtout à Christie's, Michael Clark a vendu des propriétés de Mont-Tremblant dans 26 pays. Les vedettes Michael Douglas et Catherine Zeta-Jones ont choisi d'y habiter, rappelle-t-il. Si le prix des maisons chute en vrille de 20% aux États-Unis et que plus de deux millions d'entre elles ont dû être saisies, cela ne touche pas le marché du haut de gamme, assure Kathleen Coumou. Christie's ne se limite pas cependant à la crème du marché et fournit des services intégrés même pour des maisons plus modestes, déclare Louise Rémillard. L'équipe d'agents de Profusion doublera rapidement, de 15 à 25 ou 30, selon la directrice, Carole Pépin. Great Estate est une filiale depuis 1995 de Christie's International, «la plus ancienne maison d'encan au monde».
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