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  1. J'ai entendu Randy Tieman de Team 990 dire hier qu'apparement, MOntréal serait sur le point de ravoir une équipe de LaCorsse dans la N.L.L. Bonne nouvelle. J'ai bien aimé aller voir LaCrosse quand nous avions une équipe il y a 10 ans de cela!
  2. Voici ce que je ferais pour que Montreal aie son times square une belle renovation de la tour ou rogers est actuellement passer de cela (ok un vague dessin) a cela, ou les sections en rouge seraient des ecrans animés.
  3. (Courtesy of Cyberpress) Cheap flights anyone or is Quebec just going to annex Vermont, seeing we sell them electricity Plus we can also probably annex Maine.
  4. Les deux mains sur le volant Il y a deux ans, Jean Charest demandait un mandat pour «diriger le Québec dans cette période de tempête économique». En des temps si sombres, a-t-il répété en campagne électorale, il faut un gouvernement majoritaire, qui a «les deux mains sur le volant». Où en sommes-nous aujourd'hui? Si l'on en croit le Parti québécois, les deux dernières sessions parlementaires ont été «catastrophique» (11 juin 2010) et «désastreuse» (10 décembre 2010), tandis que le Québec serait «paralysé». Il est vrai que dans certains domaines, le gouvernement Charest a fait preuve d'une maladresse devenue caractéristique. Toutefois, dans le dossier suprêmement important de l'économie, on ne peut rien reprocher aux libéraux. Certes, quand l'économie va bien, on en parle peu. Pourtant, les Québécois devraient réaliser à quel point sur ce plan, ils sont privilégiés. Selon les données publiées vendredi dernier par Statistique Canada, il s'est créé plus de 100 000 emplois dans la province au cours de l'année 2010. Comme le soulignait samedi notre collègue Rudy Le Cours, une telle performance s'est vue seulement quatre fois au cours des trois dernières décennies. Non seulement le Québec a-t-il récupéré le nombre d'emplois perdus pendant la crise économique; on y compte aujourd'hui presque 70 000 emplois de plus qu'avant la récession. Ces données font du Québec en particulier, et du Canada en général, un endroit privilégié sur la planète. Aux États-Unis, seulement un huitième (1/8) des 8,4 millions d'emplois perdus pendant la crise ont été récupérés. En France, le taux de chômage frôle les 10% (7,6% au Québec); en Irlande, il est de 14%, en Espagne, de 20%. Quelle part de cette bonne fiche revient au gouvernement Charest? Pas la plus grande. Quoiqu'on en pense, les gouvernements ont une influence limitée sur la conjoncture économique. Cela dit, le gigantesque plan d'infrastuctures lancé (par hasard) juste avant la récession a beaucoup aidé la province à limiter l'impact de la crise mondiale sur l'emploi. La présence de ministres économiques très compétents (Raymond Bachand, Clément Gignac) n'a certainement pas nui dans certains dossiers. Pour le reste, le Québec a surtout profité de la hausse des prix des matières premières. Dans le secteur minier, par exemple, les investissements ont presque doublé au cours des cinq dernières années. Heureusement, on n'a pas réclamé de moratoire sur l'exploitation des gisements d'or et de fer... Le gouvernement Charest a tort de refuser de tenir l'enquête sur la corruption. Cela seul justifie-t-il le niveau record d'insatisfaction enregistré par les sondages? Nous ne le croyons pas. En tout cas, au cours des prochains mois, en plus de dénoncer à tout vent, les partis d'opposition devraient expliquer comment ils comptent s'y prendre pour que l'économie québécoise continue de tirer son épingle du jeu.
  5. Impossible de copier la description et le croquis du projet donc je copie le lien pour ceux que cela intéresse. Ce petit condo sympathique est situé dans l'arrondissement Ville-Marie mais dans le secteur Est soit le quartier Ste-Marie/St-Jacques ou le Centre-sud. http://www.vimacondos.com/
  6. Pour ceux à qui cela pourrait intéresser, Il va y avoir un spécial sur I.M. Pei sur les Grands Reportages à RDI le 30 août à 20heures!
  7. Je ne crois pas que ça soit une bonne idée de faire un édifice de cette taille et aussi massif que cela tout près de l'empire state building. Cela gacherait la silhouette du skyline de New York. Cela me rappel Philadelphie ou il y avait 2 ou 3 beaux édifices avec des formes similaires, les one liberty place et two liberty place, qui composaient le skyline de laville et maintenant, depuis quelques années, un ''mastodonte'' plus haut et plus massif que les autres est venu gaché le tout. Comme quoi ce n"est pas que la hauteur qui compte.
  8. J'ai découvert que "football" au Québec désignait ce que les Français appellent le "football américain", je trouve cela amusant. Mais ce que les Français appellent le "football", qu'est-ce que c'est au Québec, c'est le "soccer" ou il y a un mot français ? Et est-ce qu'il y a une équipe nationale de "soccer" au Québec ? Ou ce sport est-il un peu marginal ? J'indique par ailleurs un forum qui n'a rien à voir avec le sport mais tout avec l'architecture. Il y a des choses très bien sur le Québec et le Canada : http://www.skyscrapercity.com/
  9. GM dérape vers la faillite 12 novembre 2008 - 06h32 Bloomberg General Motors (GM), qui écoule des liquidités à la vitesse grand V et dont les ventes chutent aux États-Unis, dérape de plus en plus vers la faillite, tandis que la société attend de voir si l'industrie de l'auto obtiendra de nouveaux prêts du gouvernement. Seule l'aide de Washington peut empêcher l'effondrement du premier constructeur automobile aux États-Unis, soutiennent différents analystes, dont Joseph Amaturo, de Buckingham Research Group. Hier, l'action de GM a plongé pour la cinquième séance de suite. Il se peut aussi que la réorganisation de GM sous la protection de la cour ne soit pas possible parce que le resserrement du crédit a tari le financement. «Une faillite stratégique n'est pas une option pour GM», avance Mark Oline, analyste en matière de crédit de Fitch Inc., à Chicago. «La question est de savoir si la société marche ou ne marche pas», ajoute-t-il. La perspective d'une liquidation forcée fait en sorte que la quête d'un nouvel emprunt auprès de Washington devient un enjeu encore plus crucial, la société ayant indiqué vendredi dernier qu'elle pourrait être à court de liquidités dès la fin de la présente année. Le 30 septembre dernier, GM disposait de 16,2 milliards US, alors que le constructeur en avait 21 milliards US à la fin de juin. Il faut à GM 11 milliards US pour régler ses factures mensuelles. «Une faillite ne réglerait pas nos problèmes immédiats de liquidités», a souligné Renee Rashid-Merem, porte-parole de GM. «Ce n'est pas une option pour GM parce que cela crée plus de problèmes que ça n'en résout», a-t-elle ajouté. Les ventes de GM aux États-Unis, qui ont chuté de 21% au cours du dernier trimestre et de 45% en octobre, «subiraient un coup terrible» si l'entreprise devait aller en faillite, a dit vendredi dernier Rick Wagoner, PDG de GM, au cours d'une entrevue à Bloomberg Television. M. Wagoner, 55 ans, sabre des emplois et ferme des usines après des pertes de près de 73 milliards US depuis la fin de 2004. Il a indiqué à la revue spécialisée Automotive News que GM a besoin d'un programme d'aide avant que le président élu Barack Obama entre à la Maison-Blanche en janvier. Barack Obama a soulevé directement auprès du président sortant George W. Bush la question d'une aide immédiate de l'État fédéral aux constructeurs automobiles américains en pleine dépression, a indiqué hier son entourage. M. Obama a évoqué cette question lundi lors de ses premières discussions approfondies avec M. Bush à la Maison-Blanche depuis sa victoire le 4 novembre, a dit un collaborateur, confirmant sous le couvert de l'anonymat des informations de la presse. Il se peut que les investisseurs aient déjà conclu que GM ne tiendra pas la route. Hier, le titre a glissé de 44 cents US, ou 13,1%, à 2,92$US, à la Bourse de New York. Cela a poursuivi la descente amorcée lundi à un creux de 59 ans après que Deutsche Bank eut estimé que l'action de GM ne vaudra peut-être plus rien dans un an. GM, Ford et Chrysler ont réclamé une aide de 50 milliards US pour faire face au pire marché de l'auto en 17 ans, ont indiqué des personnes familières avec les discussions. Cette somme s'ajouterait aux 25 milliards US approuvés en septembre pour aider les constructeurs à rééquiper leurs usines pour construire des véhicules moins énergivores. «Il y a de plus en plus de soutien à Washington, au Congrès, à l'idée d'une aide gouvernementale à GM et aux autres constructeurs», estime Bruce Zirinsky, coprésident de la filiale de restructuration financière de Cadwalader, Wickersham&Taft, à New York. «La question est de savoir comment cela sera fait, ajoute-t-il, et à quel prix pour les actionnaires et les créanciers.» Entre-temps, l'agence de notation financière Fitch Ratings a annoncé hier avoir abaissé de six crans la note de dette de long terme du groupe américain de services financiers GMAC, contrôlé à 49% par General Motors et à 51% par Cerberus. La note a été fixée à «CC», reflétant un risque probable de non-remboursement, comparativement à «B+» auparavant. Cette note est sous «surveillance négative», ce qui signifie que Fitch envisage de l'abaisser encore. Standard and Poor's avait également abaissé cette note vendredi, à «CCC». Fitch estime que si GMAC devenait une banque et pouvait prétendre au plan de recapitalisation par le Trésor américain, il le jugerait «positivement», mais qu'il restait «un certain nombre d'obstacles (...), en particulier dans l'actionnariat actuel, ainsi que la levée de capitaux pour satisfaire aux exigences» de ce statut.
  10. Emploi: le Québec résiste bien Publié le 11 juillet 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Rudy Le Cours lapresseaffaires.com Les travailleurs québécois sont jusqu'ici beaucoup moins touchés par la récession que leurs collègues ontariens, encore loin du bout de leurs peines. De janvier à juin, l'économie a détruit 25 300 emplois au Québec, mais 178 600 dans la province voisine, selon les données de l'Enquête sur la population active de Statistique Canada publiées hier. Le mois dernier, il s'est créé 1200 emplois en Ontario alors que 4600 ont disparu ici, mais ces chiffres sont pur mirage. Chez nous, 3000 nouveaux emplois à temps plein n'ont pu compenser la destruction de 7600 postes à temps partiel. En Ontario, le faible gain total masque la destruction de 56 200 jobs à temps plein portant l'hécatombe dans la meilleure catégorie d'emplois à 244 200 cette année. Au final de mai à juin, le taux de chômage est passé de 8,7% à 8,8% au Québec, et de 9,4 à 9,6% en Ontario où l'on a aussi assisté à un soubresaut de la population à la recherche active d'un emploi. «Les pertes ontariennes sont sept fois plus nombreuses, constate Joëlle Noreau, économiste principale chez Desjardins. Le secteur manufacturier est trois fois et demie plus éprouvé.» L'Ontario fait face à un autre défi. Le taux de chômage chez les 15-24 ans a bondi de 17,1% à 19,1% en un mois. Au Québec il a plutôt diminué d'un point de pourcentage à 14,9%, allant ainsi à l'encontre de la tendance canadienne. Cela signifie que, hors Québec, les étudiants ont du mal à trouver du travail cet été. Or, les droits de scolarité y sont beaucoup plus élevés. Les parents contraints d'aider leurs grands enfants devront diminuer leurs dépenses discrétionnaires, ce qui freinera la relance de l'activité économique dans ces provinces. À l'échelle canadienne, le taux des demandeurs d'emploi a grimpé de deux dixièmes à 8,6%. En juin, il s'est perdu 7400 emplois, soit beaucoup moins que ce à quoi les experts s'attendaient, mais encore ici, il convient de gratter un peu. Ce résultat est le fruit de la disparition de 47 500 jobs à temps plein que n'a pas compensée la création 40 100 temps partiel. En outre, 37 200 personnes ont créé leur emploi car tant les secteurs public que privé ont réduit leurs effectifs. Pour le deuxième trimestre, les pertes nettes canadiennes se limitent à quelque 13 000 emplois. Cela tranche avec les destructions brutales de l'hiver et laisse croire que le marché du travail est en voie de se stabiliser. Le nombre d'heures ouvrées a augmenté pour un deuxième mois d'affilée en juin, ce qui accrédite la thèse d'une stabilisation. «Si les heures travaillées restent au même niveau en juillet, nous entamons le troisième trimestre avec un élan, le meilleur depuis le dernier trimestre de 2007», pensent Yanick Desnoyers et Marco Lettieri, de la Financière Banque Nationale. Quel contraste avec ce qui se passe aux États-Unis où la destruction d'emplois a été brutale le mois dernier et a fait grimper le taux de chômage à 9,5%! C'est d'ailleurs la faiblesse de l'emploi aux États-Unis qui pèse le plus sur celui du Canada dont les exportations au sud continuent de fléchir. Cela pèse sur le secteur manufacturier. Encore 25 700 emplois en usines détruits le mois dernier, surtout concentrés au Québec. Cela porte le solde cette année à 187 800, dont la moitié en Ontario où sont concentrées les activités de GM et Chrysler, qui émergent d'une faillite. La consolidation du marché du travail est assurée par la construction et par l'ensemble des services, hormis le commerce. Stabilisation ne signifie pas encore regain toutefois, comme le remarque Sébastien Lavoie, économiste chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne. Le temps de chômage moyen a bondi de 11% en juin à 16,2 semaines. «On peut se consoler en se rappelant qu'il était beaucoup plus élevé durant les récessions précédentes (20 semaines dans les années 1980 et 25 dans les années 1990).» Aux États-Unis, on atteint les 24 semaines et demie, un triste sommet.
  11. Le mode PPP rebute ingénieurs et économistes Publié le 09 juin 2009 à 06h41 | Mis à jour à 06h42 André Noël La Presse Après les architectes, c'est au tour des ingénieurs et des économistes du Québec de se montrer sceptiques, sinon carrément opposés à la construction d'hôpitaux universitaires comme le CHUM en mode de partenariat public-privé (PPP). «Le PPP est un mode de réalisation inadéquat pour des projets complexes et comportant des inconnues comme les hôpitaux universitaires CHUM et CUSM, de même que pour la reconstruction du complexe d'échangeurs Turcot», a affirmé Zaki Ghavitian, le président de l'Ordre des ingénieurs du Québec. Au même moment, l'Association des économistes québécois publie un sondage montrant que seulement 32% de ses membres voient d'un bon oeil le choix du PPP pour la réalisation de grands projets d'hôpitaux universitaires. Cette association professionnelle regroupe 787 économistes; le tiers d'entre eux ont répondu à un sondage réalisé par la firme Léger Marketing. Plus tôt cette année, le président de l'Ordre des architectes, André Bourassa, avait affirmé que la construction du CHUM en PPP n'avait «pas de sens», étant donné la complexité du projet. Le président de l'Ordre des ingénieurs abonde dans ce sens. «Un hôpital est un organisme en perpétuel changement, a dit Ghavitian, au cours d'un entretien, hier. Il y a toujours une évolution en médecine et dans les besoins de la population. On ne peut pas figer cela dans un contrat de PPP. Ce n'est pas tout. Actuellement, il n'y a pas beaucoup de financiers qui prêtent de l'argent. Le gouvernement est appelé à garantir l'emprunt, comme il l'a fait pour la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal. Cela signifie qu'il ne transfère plus les risques au secteur privé, ce qui est la raison d'être des PPP.» La firme de sondage Léger Marketing a posé cette question à 228 économistes: «Le gouvernement du Québec est sur le point d'investir plus de 5 milliards de dollars pour la construction de trois grands centres hospitaliers universitaires (CHUM, CUSM et Sainte-Justine). Est-ce que ce serait selon vous une bonne ou une mauvaise chose que ces trois projets soient réalisés en mode PPP?» Le tiers des répondants (32%) seulement ont répondu que c'est une bonne chose; 53% estiment que c'est une mauvaise chose; 15% n'ont pas d'opinion. http://www.cyberpresse.ca/actualites/quebec-canada/national/200906/09/01-873825-le-mode-ppp-rebute-ingenieurs-et-economistes.php
  12. Les vendeurs et les constructeurs automobiles canadiens suggèrent à Ottawa de mettre en place un incitatif de 3500$ pour les consommateurs qui changent leur veille voiture pour une neuve, comme cela se fait en Europe. Pour en lire plus...
  13. Publié le 02 mai 2009 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Villes Pierre Foglia La Presse Parlant de Montréal, j'allais vous mettre en garde: Attention! Attention! Apprenant qu'on en parle aussi dans les pages qui précèdent cette chronique, et me doutant sur quel ton, je m'empresse d'ajouter des majuscules: ATTENTION! Attention, chers collègues. Attention, Montréalais. Si vous continuez à écoeurer le maire Tremblay, il va s'en aller, et Dieu sait qui le remplacera. Un excité du genre du maire de Québec, qui fera de Montréal un parc d'attractions? Un mégalomane? Un populiste comme celui d'avant? Un technocrate comme celui avant le populiste? Moi, j'aime bien M. Tremblay. J'aime qu'il soit amical et sans imagination. Il me fait penser à un lapin, toujours à trottiner dans les mêmes sentiers sans songer à s'en écarter. S'il n'était pas un lapin, si c'était un légume, alors ce serait un potiron. Le potiron est une citrouille sans le côté amusant de la citrouille, qu'on peut vider pour mettre une lumière dedans à l'Halloween. Je ne pense pas qu'on puisse mettre une lumière dans M. Tremblay. Ciel, monsieur le chroniqueur, pour quelqu'un que vous aimez bien, vous ne lui faites pas de grands compliments. Au contraire, mes amis, il n'est rien de plus louangeur pour un maire que de se faire traiter de lapin et de potiron. Et il n'est rien de plus rassurant pour les habitants d'une ville que d'avoir un maire sans imagination, un maire fonctionnaire qui s'occupe de bien faire ramasser la neige et les ordures et basta. J'ai l'air de persifler? Pas tant que cela. Dans les pages précédentes, où on a déjà congédié M. Tremblay, on vous demande: qui pour maire ou mairesse de Montréal? Moi, je vous pose en question préliminaire: un maire pour quoi faire? Oublions Montréal deux secondes. Pensons à ce qui est peut-être la plus vivante des villes du monde: Naples. Pensons à ce qu'elle est - désordre, liberté, paresse, insouciance, délinquance, lyrisme, effusion, éloquence... Pourquoi Naples est-elle si profusément magnifique? Précisément parce que, étant ingouvernable, elle n'a jamais été gouvernée. Pensez-vous que Naples doive quoi que ce soit à un quelconque maire? Elle doit à Caravage, elle doit à Virgile, elle doit à Leopardi, elle doit au Vésuve, elle doit à Stendhal, elle doit à ses prostituées qui font des pipes sous des autels à la Madone, mais elle ne doit rien à aucun maire, à aucun consul. Qu'est-ce qu'une ville? Un être vivant. Ou, si vous préférez, ce fil invisible qui relie les êtres qui y vivent. Ils ont besoin de services? Bien sûr. Notre maire-lapin, notre maire-potiron fait très bien cela. Non? Il ne fait pas bien cela? Vous êtes sûrs? Je vous entends déplorer que son administration ait tourné les coins ronds. Ce qui m'inquiète, c'est que je crois deviner que, derrière ce prétexte, vous lui reprochez précisément ce dont je le félicite: son manque d'imagination. On ne lit pas la ville de la même façon. L'imaginaire des villes, leur âme, si vous préférez - leur capacité de produire une poétique, une rêverie, un bonheur urbain - n'a absolument rien à voir avec l'imagination de leur maire. Ce qui fait triper les maires, ce ne sont jamais les moulins à images ni les Cirques du Soleil. Ce qui fait triper ces boutiquiers, ce sont les touristes qu'attirent ces attractions. On nous fait lire la ville comme un État, une entreprise, un parc d'attractions. On rapportait gravement au début de la semaine des statistiques sur plus ou moins - était-ce plus ou moins? - de touristes que l'année dernière à Montréal. J'écoutais en me disant: qu'est-ce qu'on s'en crisse, qu'il y en ait plus ou moins, du moment qu'on ne les voie pas trop! On nous fait lire la ville en comptant les sièges sociaux des grandes entreprises, on nous la fait vivre souvent comme un match de hocke: Toronto 4, Montréal 0. Comment peut-on décider que Toronto est devant (ou derrière) Montréal? Le bonheur qu'on a à vivre à Montréal, ou à Québec, ou à Toronto, vous l'entrez comment dans votre évaluation? Et les couleurs? Qu'est-ce qu'un autre maire que M. Tremblay changerait à la couleur gris plomb et en ce moment vert tendre de Montréal? Et les odeurs? Tanger sent le kif, Alger l'anisette, Bagdad avant la guerre sentait le mazout, Belgrade sent le chou, Le Caire sent la pourriture du Nil, même Tuskegee (Alabama) sent quelque chose: la merde. Montréal ne sent rien. Un être vivant sent forcément quelque chose. Serions-nous morts? Si vous débarquez Tremblay, pensez à moi. Je ferai agrandir les cimetières. Le tribulus Ma fiancée est une fille formidable qui vit avec un sale type: moi. C'est cette période de l'année où je suis particulièrement de mauvaise humeur, particulièrement quand je reviens de mes sorties presque quotidiennes à vélo. Ça va? demande-t-elle. Je ne réponds pas. Ça va? insiste-t-elle. Non, crisse. Je suis gras, je suis vieux, je suis nul, pas de force, pas d'énergie, j'avance pas. Ne me le demande plus: ça va pas. Ma fiancée est une fille formidable, posée, pratique: pas de force? Pas d'énergie? Elle est allée à la pharmacie et en a rapporté une boîte de 28 ampoules d'Ultra Energex d'Adrien Gagnon, formule adaptogène (?) phyto-active (?). Je vous récite ce qui est écrit sur la boîte: avec extraits normalisés (?) de ginseng sibérien (évidemment, sibérien; luxembourgeois, c'est plus rare), du rhodiola (fouille-moi), du maca, du cordyceps et du tribulus. Je vous le jure: du tribulus. J'ai pris ma dernière ampoule ce matin. Je n'avance toujours pas. Tu veux que j'en rachète? m'a demandé ma fiancée. De ma voix la plus blanche, je n'ai pas répondu. Ma fiancée est une fille formidable qui, des fois, sans même s'en douter, vit dangereusement.
  14. Pauvre Vancouver Sophie Cousineau, LaPresseAffaires À quelques mois de l’ouverture des Jeux olympiques d’hiver, cela devait être son année de gloire. Et pourtant, les malheurs ne cessent de s’abattre sur Vancouver. Les dernières statistiques sur le chômage de la province, publiées ce matin, sont affreuses. Des 61 000 emplois qui se sont perdus au pays en mars, plus du tiers ont disparu en Colombie-Britannique. Ainsi, le taux de chômage de la province a progressé de 6,7% à 7,4% en un mois. Avec le dégonflement de la bulle immobilière, ce sont les secteurs de la construction et de la fabrication qui sont les plus durement touchés. Les mises en chantier en milieu urbain, au nombre de 744 en mars, sont le tiers de ce qu’elles étaient il y a un an, rapporte le Globe & Mail ce matin. La violence qui s’est emparée de Vancouver ajoute à la morosité ambiante. L’assassinat brutal et en apparence gratuit de Wendy Ladner-Beaudry, alors que cette femme de 53 ans joggait dans un parc paisible, le week-end dernier, a révolté les Vancouverois. La ville est aux prises avec une flambée de violence en raison d’un conflit entre gang rivaux. Seulement depuis le début de l’année, il y a eu 45 fusillades qui ont emporté 17 victimes. Le président du comité organisateur des Jeux, John Furlong – qui connaissait très bien Mme Ladner-Beaudry, une femme reconnue pour sa grande implication dans le sport amateur en Colombie-Britannique – reste malgré tout optimiste pour les Jeux d’hiver de 2010. Et cela, même si son organisation n’ambitionne même plus de faire des profits et rêve seulement de faire ses frais. Si General Motors ou Air Canada, deux des principaux partenaires, se mettent à l’abri de leurs créanciers, comme certains le craignent, «on trouvera une solution», a-t-il confié à mon collègue Simon Drouin, dans une entrevue fort intéressante à lire ici. Le drapeau olympique flotte devant l’hôtel de ville de Vancouver. Photo Presse Canadienne.
  15. Janvier a été affreux pour l'emploi au Canada Publié le 06 février 2009 à 07h06 | Mis à jour à 09h42 (Montréal) Oubliez les comparaisons avec les années 1980 et 1990: l'emploi vient de reculer de façon plus importante en janvier au Canada. Selon Statistique Canada, environ 129 000 postes sont disparus essentiellement en raison du travail à temps plein qui connaît une déroute.Les pertes sont plus de trois fois plus importantes que les prévisions des analystes, qui tablaient plutôt sur un repli de 40 000. Cela a fait bondir le taux de chômage de 0,6 point à 7,2% alors que l'on s'attendait à un taux de 6,8%. Aucune baisse mensuelle connue lors des récessions des décennies 1980 et 1990 n'a été de cette ampleur. Statistique souligne que le secteur de la fabrication est le plus affecté car ce sont 101 000 postes qui se sont volatilisés. L'agence fédérale souligne que c'est le pire bilan mensuel qu'elle a comptabilisé depuis qu'elle compile les données comparables. L'industrie du transport et l'entreposage a retranché 30 000 emplois pendant le mois de janvier. Le seul secteur qui profite d'une hausse importante est celui des soins de santé et de l'assistance sociale avec une progression de 31 000. La totalité des pertes d'emplois en janvier a été constatée dans les trois plus grandes provinces du pays. L'Ontario déplore la perte de 71 000 postes, la Colombie-Britannique en perd 35 000 et le Québec 26 000. Dans la Belle Province, le taux de chômage s'élève à 7,7% et les emplois perdus proviennent du gouvernement qui avait embauché à temps partiel pour les élections provinciales. La récession actuelle a-t-elle un sexe ? Il faut peut-être poser la question en constatant que l'emploi a chuté de 111 000 chez les adultes de 25 à 54 ans... et que les hommes ont essuyé les deux tiers de ces pertes. Vers une autre baisse de taux Benjamin Reitzes, économiste de BMO Marchés des capitaux, conclut qu'il faudra encore un allégement de la politique monétaire pour réagir à cette situation. «La récession s'est approfondie au début de 2009 et nous verrons probablement le taux de chômage monter au-dessus de 8% d'ici la fin de l'année, écrit-il dans une note aux investisseurs. Ce rapport blême entraînera probablement une baisse de taux par la Banque du Canada.» Andrew Pyle, conseiller en gestion de patrimoine de ScotiaMcLoad, estime que cela prouve que les données circulent au gouvernement fédéral avant leur sortie. «Elles ont éclipsé les attentes du marché mais ont été complètement conformes aux commentaires du ministre des Finances Jim Flaherty, qui disait hier que les chiffres seraient regrettables», dit M. Pyle. «Clairement, ajoute le conseiller, ou bien le marché n'y portait pas trop d'attention ou il n'a pas cru le commentaires du ministre, même si nous avons vu le dollar canadien commencer à glisser lors des premières heures d'échanges en Europe. Depuis le rapport, la devise a tombé pour se trouver sous les 80 cents.»
  16. CAE remporte 60 M$ de contrats 13 janvier 2009 - 08h30 LaPresseAffaires.com Michel Munger Le fabricant de simulateurs CAE (CAE) annonce ce matin qu'il remporte 60 M$ de contrats auprès de clients pour livrer cinq unités et des dispositifs de formation. Ainsi, la compagnie établie à Montréal refile une série complète de produits de simulation Boeing 737NG au transporteur états-unien Continental Airlines. Cela comprend deux simulateurs CAE 7000 et un entraîneur de vol. Tout cela sera livré cette année. «Étant donné que nous ajoutons plus d'appareils Boeing 737NG à notre flotte, nous devons nous doter des simulateurs les plus fiables et de la plus haute qualité qui soit pour notre programme de formation des pilotes», dit Fred Abbott, vice-président des activités aériennes de Continental. Air China (la compagnie aérienne nationale chinoise) ainsi que Shandong Airlines se sont alliées pour commander trois simulateurs. Ces unités de série 7000 reproduisent le comportement en vol de deux Boeing 737-800 et d'un Airbus A320. Les trois appareils seront livrés en 2010. Ils seront dotés du système de mouvement électrique CAE True et de la solution visuelle CAE de nouvelle génération. «Nous sommes heureux que des compagnies aériennes du monde entier continuent de faire confiance au matériel de simulation de haute fidélité de CAE pour le soutien de leurs programmes de formation des pilotes», déclare Marc Parent, chef de l'exploitation de CAE. Le titre de CAE a clôturé à 7,62 $ à la Bourse de Toronto.
  17. Le ministre fédéral des Finances, Jim Flaherty, affirme que son budget du 27 janvier sera axé sur les dépenses, mais admet que cela aura un impact sur les finances publiques. Pour en lire plus...
  18. Finie l'ère des magasins entrepôts? 18 décembre 2008 - 07h01 La Presse Laurier Cloutier Dans les centres de rénovation, la mode des magasins entrepôts a pris fin et laisse place aux commerces de taille plus humaine. La dernière édition du Hardlines Quarterly Report, de Toronto, affirme qu'après plus d'une décennie de croissance sans précédent, le format des grandes surfaces a atteint la saturation, tant au niveau des parts de marché que de l'attrait chez le consommateur. Pourtant, la chaîne américaine Lowe's (LOW), principale concurrente de Home Depot (HD), ouvrira sa huitième grande surface au Canada d'ici quelques jours et procédera à quatre autres ouvertures d'ici quelques semaines. Cependant, pour le président de Rona (RON), Robert Dutton, l'entrepôt de la rénovation a bel et bien dépassé son heure de gloire et la chaîne mettra plutôt l'accent sur les magasins de proximité. Cela n'empêche pas l'ex-président du conseil de Rona, André H. Gagnon, d'agrandir de 25% son Rona Régional de Saint-Hyacinthe d'ici avril 2009, pour en faire un Rona L'Entrepôt, lui qui en possède déjà trois autres (au Quartier DIX30 de Brossard, aux Promenades Saint-Bruno et à Granby) avec des associés. La porte-parole, Eva Boucher-Hartling, nie par ailleurs que Rona soit en train de vendre sa chaîne Réno-Dépôt à Lowe's Canada. «Réno-Dépôt a une bonne performance et on rénove en outre ses magasins entrepôts» (déjà 10 sur 16), réplique-t-elle. Cela dit, l'éditeur du Hardlines Quarterly, Michael McLarney, constate «le ralentissement de l'expansion des grandes surfaces de la rénovation». Le Canada en comptera déjà 274 d'ici la fin de 2008, soit une par 26 000 familles au pays. En plus de la saturation du marché, c'est très difficile de trouver un nouvel emplacement et les goûts des consommateurs canadiens changent. Les chaînes en tiennent compte. Home Depot construit des magasins plus petits, en plus de Rona qui regarde surtout du côté de ses autres formats, ajoute le Hardlines. Rona exploite déjà 80 grandes surfaces qui génèrent 2,5 milliards de dollars de ventes sur son chiffre d'affaires estimé à 6,5 milliards en 2008.
  19. Le Québec touché mais pas coulé 6 décembre 2008 - 10h47 La Presse Rudy Le Cours L'an prochain, le Québec tirera son épingle du jeu de massacre de l'économie mondialisée, mais cela n'ira pas sans meurtrissures. Alors que l'économie américaine plonge à la vitesse Grand V dans ce qu'il est déjà convenu d'appeler la Grande Récession, celle du village gaulois aura sans doute stagné lorsque sera prise la photo-finish en décembre prochain. Cela suppose d'ici là, néanmoins, une légère décroissance, qui pourrait s'étaler durant deux trimestres d'affilée, avant une reprise tout aussi légère qui remettrait les compteurs près de zéro en fin d'exercice. Bref, pour la 33e édition des Boules de cristal de La Presse, le quartet d'économistes consultés juge probable l'entrée du Québec en récession technique. Cela ressemblera à celles qu'il a connues en 1996, dans la foulée du référendum où le Non l'avait emporté de justesse, en 2001, dans le sillon de la récession américaine, et en 2003, quand le Canada avait été confronté à plusieurs calamités naturelles dont l'épidémie du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS). Cela dit, le Québec fera sans doute un peu mieux que l'ensemble canadien, très touché par les déboires de l'Ontario liés à l'industrie automobile. «Il y a beaucoup de disparités régionales dans l'économie canadienne, juge François Dupuis, vice-président et économiste en chef chez Desjardins. L'Ontario stagne depuis quatre trimestres et ça fait traîner le Canada.» Au point où l'institution lévisienne prévoit une plongée peu profonde du produit intérieur brut canadien (PIB) pour l'ensemble de 2009 alors que l'économie québécoise parviendra tout juste à rester à flots. «Depuis six ans, il y a eu surconsommation au Canada financée par endettement», renchérit Maurice Marchon, professeur titulaire à HEC Montréal dont les prévisions de croissance pour le Canada et le Québec épousent celles de Desjardins. Essoufflés, les ménages videront moins spontanément leur escarcelle. «Les banques canadiennes, surtout les Big Five de Toronto, aggravent les choses en resserrant le crédit aux entreprises», note Carlos Leitao, économiste en chef chez Valeurs mobilières Banque Laurentienne. Pourtant, leur capitalisation et même leur rentabilité actuelles font l'envie de leurs concurrentes américaines. Les Big Five, ajoute-t-il, se mènent une belle concurrence aussi pour séduire les épargnants, ce qui incite peu les ménages à se lancer dans de grandes dépenses, d'autant qu'ils ont le moral a zéro. Stéfane Marion, l'économiste en chef de la Financière Banque Nationale, est plutôt d'avis que la demande domestique, tant des ménages que des entreprises, va tenir le coup et permettre en bout de piste une croissance anémique tant au Canada que dans la société distincte. «Cela suppose des mesures budgétaires fédérales d'environ 13 milliards, précise-t-il. Malgré tous les efforts, la reprise sera moche.» Les nouveaux emplois seront rares Dans pareil contexte, le chômage va forcément augmenter, Il pourrait bien franchir les 7% à l'échelle canadienne et les 8% au Québec. Comme c'est le cas en période de ralentissement ou de décroissance, le taux de chômage est généralement sous-évalué. Bon nombre de travailleurs abandonnent la recherche de travail. Sur le plan statistique, ils n'appartiennent dès lors plus à la population active. Les données de novembre de l'Enquête sur la population active publiées hier renforcent d'ailleurs les prévisions de nos économistes rencontrés plus tôt cette semaine. Les esprits chagrins pourront même penser qu'ils sont somme toute optimistes. Cela dit, les nouveaux chômeurs seront beaucoup moins nombreux que lors de vraies récessions comme celle de 1981-82 ou celle de 1990-1991. En octobre 1982, le taux de chômage avait culminé à 15,8%, au Québec. Et puis, contrairement à 1990-1991, bien des employeurs vont préférer garder leurs employés à cause du défi démographique qui raréfie la main-d'oeuvre. Enfin, la restructuration du secteur manufacturier en cours depuis cinq ans déjà tire à sa fin. Les plus faibles acteurs des secteurs mous ont fermé boutique. Quelques entreprises se sont spécialisées dans des niches qui les mettent à l'abri de la concurrence asiatique. D'autres enfin sont parvenues à trouver des débouchés ailleurs qu'aux États-Unis. Trois de nos participants sur quatre prévoient même que le Québec comptera un petit peu plus de détenteurs d'emploi à la fin de 2009 qu'à la fin de 2008. Ce sera malgré tout une année médiocre au chapitre de la création nette d'emplois. Le ralentissement anticipé depuis plusieurs années déjà du bâtiment résidentiel sera largement compensé par la poursuite, voire l'accélération, du programme de réfection des infrastructures. M. Marchon diverge d'opinion. Il fait remarquer que la croissance des dernières années a été assurée par l'augmentation des emplois sans gains de productivité. La situation est peut-être propice à un rattrapage, salutaire à moyen terme.
  20. L'an prochain, le Québec tirera son épingle du jeu de massacre de l'économie mondialisée, mais cela n'ira pas sans meurtrissures. Pour en lire plus...
  21. Il est malaisé de déterminer le moment où une économie chancelante passe du stade de crise à celui de récession ou même de dépression. Mais les Canadiens le sauront si cela devait se produire. Pour en lire plus...
  22. Le mot et le concept «équitable» ont beau être à la mode, ils n'en demeurent pas moins ambigus pour certains. S'agit-il de produits essentiellement biologiques, de produits achetés dans la communauté qui les produit ou d'un bien provenant d'un pays en voie de développement? C'est un peu tout cela. Pour en lire plus...
  23. Quand Hydro-Québec dépense un milliard de dollars, combien cela crée-t-il d'emplois? Réponse: ça dépend si vous demandez à Hydro ou aux libéraux de Jean Charest. Pour en lire plus...
  24. Les turbulences économiques actuelles provoquent la réalisation à grande vitesse de fusions et d'acquisitions (F&A), malgré la multiplication d'échecs que cela risque d'engendrer. Pour en lire plus...
  25. Les profits de la Financière Power ont stagné au troisième trimestre mais cela n'empêche pas son conseil d'administration de hausser le dividende de 4,5%. Pour en lire plus...
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