Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'contrôle'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Calendriers

Aucun résultat à afficher.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. L'image festive de Montréal remonte à la prohibition Lundi, 20 Juillet 2015 11:57 Journal FORUM Carte postale canadienne imprimée pendant la prohibition. L'époque de la prohibition a joué un rôle clé dans le développement du tourisme à Montréal et de l'image festive qui la caractérise encore aujourd'hui. C'est ce que met en lumière Michael Hawrysh dans son mémoire de maîtrise effectué au Département d'histoire de l'Université de Montréal. Intitulé «Une ville bien arrosée : Montréal durant l'ère de la prohibition (1920-1933)», le mémoire a été rédigé sous la direction de la professeure Michèle Dagenais. Au début des années 1920, l'Amérique du Nord vit sous le joug de la prohibition de l'alcool, à l'exception du Québec. Et Montréal en profite : plusieurs américains et canadiens assoiffés voient la Métropole comme une véritable oasis! «À cette époque, Montréal est la plus grande ville – et une des seules sur le continent – non régie par une loi sur la prohibition : elle jouit des lois les plus libérales vis-à-vis de l'alcool des deux côtés du 49e parallèle, grâce à la création de la Commission des liqueurs de Québec», explique-t-il. La prohibition découle des pressions politiques exercées par des réformistes canadiens et américains – surtout des femmes – désireux d'éliminer les effets dévastateurs de l'alcool sur les familles et la société. Car l'alcoolisme prend des proportions jusque-là inégalées avec l'industrialisation et les migrations massives des populations rurales venues travailler dans les centres urbains... Couverture de la partition de la chanson Hello Montreal, publiée en 1928 par Irving Berlin. Alcool prohibé, sauf au Québec En janvier 1919, les États-Unis adoptent un amendement constitutionnel interdisant la production, la distribution et la vente d'alcool dans l'ensemble du pays. Au Canada, toutes les provinces, à l'exception du Québec, votent aussi une loi instaurant la prohibition. «Les retombées de cette conjoncture se font sentir presque immédiatement : dès le début des années 1920, des centaines de milliers de touristes américains et canadiens affluent vers Montréal à la recherche d'amusements alcoolisés», rappelle l'historien. Le nombre de lieux de consommation d'alcool monte en flèche, et de nombreux artistes américains de jazz et de cabaret migrent vers Montréal pour animer la vie nocturne en plein essor. Cette vie nocturne prend surtout son essor dans le centre-est de la ville, dans les quartiers plus populaires où vit une majorité de Francophones et d'immigrants, soit le territoire délimité aujourd'hui par les quartiers Ville-Marie-Est, le Plateau Mont-Royal, Rosemont, Griffintown et Petite Bourgogne. «D'autres villes de l'île, adjacentes ou encerclées par Montréal, ne comptent aucun lieu de consommation d'alcool, la plupart étant à majorité anglo-protestantes et bien nanties, ce qui n'empêche pas leurs citoyens de fréquenter les bars du centre-ville et le Red Light (quartier associé à la prostitution)», souligne M. Hawrysh d'un ton amusé. Un contrôle libéral En avril 1921, le gouvernement d'Alexandre Taschereau abolit la prohibition dans la belle province et institue la Commission des liqueurs de Québec (CLQ) – l'ancêtre de l'actuelle Société des alcools du Québec. Basé sur le modèle suédois de contrôle de la consommation d'alcool, la CLQ permet à Montréal de devenir une véritable oasis. Elle devient, par le fait même, le premier cobaye du modèle de contrôle gouvernemental de la vente d'alcool. Les forces anti et pro prohibitionnistes scrutent à la loupe ce développement, tant du côté canadien qu'américain. «L'idée que l'État exerce le contrôle de la vente et de la consommation est très novateur à l'époque, rappelle Michael Hawrysh. La CLQ est la toute première institution publique créée au Québec et l'expérience a si bien fonctionné qu'elle a servi de tremplin à la création de nombreuses autres institutions par la suite incluant des initiatives liées à la laïcisation du Québec et la consolidation du rôle social et moral de l'État.» Alcool, mafia, prostitution et réputation La Commission des liqueurs ne contrôle pas tout, loin s'en faut. Les spiritueux qu'elle vend sont de bonne qualité, mais ils sont chers. Le monde interlope en profite et établit un réseau de vente d'alcool de contrebande à bas prix, qu'il écoule par l'entremise de débits clandestins où il exploite aussi les maisons de jeu et la prostitution. Selon Michael Hawrysh, la prohibition contribue ainsi au processus de construction de la réputation de Montréal à travers les récits et les discours des tenants de la prohibition et de ceux qui sont contre, de même qu'à travers des chansons ou des guides touristiques et récits de voyage. «Les pro-prohibition propagent l'image d'une ville ouverte, immorale et hors de contrôle, ultra-tolérante vis-à-vis de l'ébriété et des autres vices, relate-t-il. Ils vont même jusqu'à profiter des conclusions de «l'enquête Coderre», menée en 1926 sur la corruption de la police municipale à l'endroit des tenanciers de bars clandestins, même si ses conclusions parlent très peu d'alcool et ne remettent pas en question le système de régulation gouvernemental.» De leur côté, les anti-prohibition parlent de Montréal comme une ville «ordonnée où la population est très tempérante et morale». La CLQ use également de stratégie de communication orientée : dans ses rapports annuels, elle évalue l'efficacité de son système dans une rubrique intitulée «L'aspect moral», qui met en valeur le faible taux de criminalité et le nombre d'arrestations pour ébriété à Montréal. Le tout en illustrant les données sous forme de thermomètre, cherchant à donner l'impression que la situation est «moins chaude» que certains le laissent croire! «Globalement, avec le temps, il ressort que la réputation de Montréal est celle d'une ville qui incarne la synthèse entre «paix, ordre et bon gouvernement» et «vie, liberté et poursuite du bonheur», conclut Michael Hawrysh. «Et si Montréal est toujours réputée pour son esprit festif et son attitude libérale envers la vie nocturne, cette réputation remonte en grande partie à l'ère de la prohibition.» Martin LaSalle La prohibition : payante pour les finances de l’État Le gouvernement canadien a aussi profité de la prohibition : en 1930, les revenus de la seule taxe d'exportation sur l'alcool représentent 20 % de tous les revenus générés par les gouvernements fédéral et provinciaux combinés! «C'est probablement sa principale motivation à permettre la fabrication de l'alcool au pays et cela a notamment permis à la famille Bronfman d'ériger son empire», avance Michael Hawrysh. Le Québec n'est pas en reste : les profits de la vente d'alcool au cours de la décennie 1920-1930 représentent près du quart du budget total de la province! Ces nouveaux revenus ont notamment été utilisés pour améliorer le réseau routier du Québec, le rendant encore plus accessible aux touristes...
  2. D'après la première évocation, probablement que ce projet sera relié au métro. Conception de quatre tours de 7 à 15 étages comprenant des espaces à bureaux locatifs sur un basilaire de deux étages intégrant des commerces de proximités et des stationnements souterrains. Projet à caractère LEED visant les objectifs suivants : toiture végétale accessible au basilaire, toiture des tours avec membrane réfléchissante blanche, enveloppe performante, choix de matériaux sains, contrôle supérieur de la qualité de l’air, du chauffage et de la climatisation; efficacité énergétique, qualité de vie et confort accru, stationnement intérieur pour vélo avec services douches/casiers et proximité des transports en commun. http://www.bbbl.ca/projectsDetails.php?id=1&cat=5
  3. Saignée des sièges sociaux: le Québec perd le contrôle 15 septembre 2011 | 06h54 Plusieurs prises de contrôle d’entreprises québécoises ont été désastreuses pour le Québec au cours des dernières décennies. (Photo: Agence QMI) Les ventes et les fusions de fleurons comme Provigo, Canstar, le fabricant des patins Bauer, ou Microcell, l’ancien propriétaire de Fido, ont entraîné la délocalisation d’importants centres de décisions et de milliers d’emplois hors de la province. Le nombre de sièges sociaux établis à Montréal a fondu de 16 % en deux décennies, selon le dernier classement de l’Institut Fraser, obtenu en exclusivité par Argent. La métropole abritait le cœur administratif de seulement 81 grandes entreprises en 2010 alors qu’elle en comptait 96 en 1990. Les entreprises recensées par l’Institut se retrouvent dans le palmarès des 500 plus grandes compagnies canadiennes du «Financial Post». Des données compilées par Argent montrent par ailleurs que les effectifs montréalais ou québécois des sociétés qui ont changé de mains ont dans plusieurs cas fondu de plus de 50 % en quelques années seulement. L’achat de Canstar par Nike en 1994 a par exemple provoqué la disparition de près de 1200 emplois dans les bureaux montréalais de l’entreprise et à son usine de Saint-Jérôme. RioTinto s’est départi de 1000 employés d’Alcan à la suite de l’acquisition de la multinationale en 2007 (NDLR : certaines filiales ont été vendues). L’ontarien Rogers a aussi sabré près de 1000 emplois au siège social de Microcell après avoir acheté le créateur de Fido. Chez Provigo ce sont au moins 600 postes qui ont été abolis, uniquement au siège social. La moitié de l’équipe de gestion en place lors de la prise de contrôle de Loblaw. Mais la purge serait encore plus importante selon des sources. «C’est un désastre ce que Loblaw a fait», a commenté Gaétan Frigon, l’ancien président de la SAQ et Loto-Québec qui a aussi occupé des postes de direction chez Metro. Il y a quelques semaines, l’homme d’affaires a dénoncé sur son blogue le transfert de la gestion de Provigo de Montréal à Toronto. Il estime que l’élimination de nombreux postes de direction a provoqué le déclin de la bannière au Québec. «Les décideurs de Toronto ne peuvent pas voir et comprendre comment ça se passe dans le marché québécois», a ajouté M. Frigon. Plusieurs experts estiment que les Québécois doivent s’empresser de reprendre le contrôle de leur économie et de leurs entreprises pour éviter qu’elles se transforment en succursales. «Si nous continuons d’agir comme nous le faisons actuellement, il est évident que notre économie va subir un déclin», a expliqué Oona Stock, associée chez Secor. Dans le contexte actuel, certains observateurs surveillent de près la situation de Bell Canada. Ils craignent une perte d’influence de Montréal au profit de Toronto, car la majorité des dirigeants travaillent dans le Ville Reine même si le siège de la compagnie demeure dans la métropole. L’érosion des sièges sociaux n’atteint pas seulement Montréal. La vente du fabricant de sandales Crocs à des investisseurs américains s’est soldée par la disparition de près de 1000 emplois à Québec. Exit le pouvoir et le talent L’impact de la disparition d’un siège social ne se mesure pas uniquement en termes de pertes d’emplois. «Ça entraîne aussi des répercussions directes sur l’activité économique», a indiqué Niels Veldhuis de l’Institut Fraser. Chaque fois qu’une entreprise délocalise des postes de direction, ce sont des emplois prestigieux et bien rémunérés qui s’envolent. La disparition de ces fonctions de haut niveau entraîne l’exode de talents et la perte de retombées économiques. «Certains choisissent de déménager pour poursuivre leur carrière. Mais ceux qui ne veulent pas s’établir à Toronto ou ailleurs deviennent consultants et ont beaucoup moins d’argent à dépenser», a indiqué un ancien vice-président qui préfère conserver son anonymat. «La perte d’un siège social provoque toujours de graves conséquences dans une économie parce que ces entreprises-là génèrent de la plus value. Elles donnent des contrats à des firmes d’avocats ou de comptables», a ajouté Michel Leblanc, président de la chambre de commerce du Montréal métropolitain. M. Leblanc croit par contre que la situation s’améliore puisque le nombre de sièges sociaux montréalais a progressé l’an dernier. Il est passé de 76 à 81 de 2009 et 2010, selon le classement de l’Institut Fraser. L’Institut Fraser recommande d’éviter les conclusions hâtives, car des compagnies québécoises peuvent s’être retrouvées au palmarès parce que d’autres en ont été éliminées. «On doit mettre les pertes de côté et s’intéresser aux compagnies qui vont prendre de l’expansion», a prôné Michel Leblanc, précisant que Couche-Tard et MegaBrands sont en croissance. http://argent.canoe.ca/lca/affaires/quebec/archives/2011/09/20110915-065432.html
  4. Jouer un tic-tac-toe sur la Tour BN à Montréal? Is it for real? (Campagne pub virale plutôt efficace, selon moi). En tout cas, c'est divertissant!
  5. Tiens, quelque chose de bien va se faire avec ce truc moche..... http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=98,71749570&_dad=portal&_schema=PORTAL
  6. Publié le 07 décembre 2009 à 20h39 | Mis à jour à 20h42 Sables bitumineux: une étude contredit les chiffres de l'industrie La Presse Canadienne Edmonton Une étude indépendante publiée lundi aux États-Unis laisse sous-entendre que la pollution provenant des sables bitumineux de l'Alberta est cinq fois plus élevée et deux fois plus étendue que ne l'affirment les statistiques produites par les dirigeants de l'industrie. L'étude affirme que les émissions toxiques issues des sables bitumineux se comparent à un déversement majeur de pétrole... chaque année. Les responsables du gouvernement et de l'industrie disent que la contamination notée dans les sols et rivières de la région est naturelle, mais l'étude la lie étroitement à l'extraction des sables bitumineux. Selon David Schindler, co-auteur de l'étude, les chercheurs ont découvert d'importants apports de composés organiques toxiques issus de l'industrie des sables bitumineux dans la rivière Athabasca et ses affluents. M. Schindler a ajouté que l'industrie était la principale source de pollution de la rivière. L'étude critique également le programme de contrôle du gouvernement de l'Alberta. Celui-ci a réagi en mettant en doute les conclusions de l'étude. Selon Preston McEachern, scientifique environnemental de l'Alberta, les sources de contamination sont plus importantes près des installations de sables bitumineux parce que c'est là que les dépôts de bitume sont les plus concentrés. Quant au programme de contrôle, M. McEachern soutient qu'il a d'abord pour objectif de fournir une information à l'échelle régionale. La province de l'Alberta se fie à des informations spécifiques issues de l'industrie, revue par des inspecteurs provinciaux, pour obtenir des données plus détaillées. Ce n'est pas le premier rapport à mettre en doute les données produites par l'industrie et cibler les répercussions environnementales. À l'été de 2008, l'équipe de chercheurs de M. Schindler avait mis en place des stations de contrôle le long de l'Athabasca et de quelques-uns de ses affluents, et découvert des concentrations pétrochimiques une fois que les courants passaient au-delà des installations de sables bitumineux.
  7. Le gouvernement britannique va assurer l'équivalent de 366 milliards de dollars d'actifs toxiques de Lloyds Banking Group, en contrepartie d'une prise de participation majoritaire dans le capital de l'institution. Pour en lire plus...
  8. Le distributeur Alliance Films, contrôlé par la SGF, a profité des récentes baisses de sa cote de crédit pour racheter «à rabais» la totalité de sa dette de 450 millions $. Pour en lire plus...
  9. MI Developments procédera à l'essaimage de sa filiale de courses de chevaux, Magna Entertainment à ses actionnaires, tandis que l'homme d'affaires Frank Stronach en prendre le plein contrôle. Pour en lire plus...
  10. Le Fonds de solidarité FTQ ramène le contrôle du gestionnaire montréalais de portefeuille Placements Montrusco Bolton en y investissant 30 M$. Pour en lire plus...
  11. Le gouvernement britannique va annoncer lundi matin, sous l'oeil intéressé de l'Europe, le détail de son vaste plan de sauvetage bancaire qui pourrait conduire à une prise de contrôle majoritaire de deux des plus grandes banques du pays, RBS et HBOS, selon la presse dominicale. Pour en lire plus...
  12. Les Autorités canadiennes en valeurs mobilières (ACVM) ont proposé un plus grand contrôle sur la notation et la vente de papier commercial adossé à des actifs émis par des tiers. Pour en lire plus...
  13. La Belgique, les Pays-Bas et le Luxembourg veulent nationaliser les filiales de la banque belge Fortis, l'une des 20 plus importantes en Europe, tandis que la Britannique Bradford Bongley passe sous contrôle espagnol. Pour en lire plus...
  14. Philip Morris, qui a terminé la semaine dernière la prise de contrôle du producteur canadien de tabac Rothmans au coût de 2 G$, pourrait faire passer sa participation dans Medicago à 58%. Pour en lire plus...
  15. Le ministre allemand des Finances Peer Steinbrück a appelé à renforcer le contrôle des finances internationales, dans le sillage de la chancelière Angela Merkel, dans une interview dimanche. Pour en lire plus...
  16. Les PDG de Lehman Brothers et de l'assureur AIG vont être entendus prochainement au Congrès sur les déboires de ces deux institutions financières, a annoncé mercredi dans un communiqué la commission parlementaire du Contrôle et de la Réforme du gouvernement. Pour en lire plus...
  17. Les actions du géant des télécoms ont continué leur glissade, mardi, alors que les investisseurs craignaient que la crise menace la prise de contrôle du conglomérat au coût de 52 G$. Pour en lire plus...
  18. Le Trésor américain a annoncé dimanche une mise sous tutelle gouvernementale des organismes de refinancement hypothécaire Freddie Mac et Fannie Mae. Pour en lire plus...
  19. Il s'agit de leur plus faible niveau en près de cinq ans, la crise du crédit ayant fait diminuer le nombre de prises de contrôle par emprunt. Pour en lire plus...
  20. Les promoteurs immobiliers se livrent une âpre bataille d'actionnaires au sujet du contrôle et des profits de cet ambitieux lotissement de condos de 200 M$ Pour en lire plus...
  21. Le fondateur de l'entreprise a décidé d'abandonner sa lutte pour reprendre le contrôle du conseil d'administration de la plus grande société pharmaceutique canadienne. Pour en lire plus...
  22. C'est la première fois que des chiffres aussi précis sont avancés pour décrire le potentiel énergétique du Grand Nord. Cela risque d'ajouter de la pression sur le contrôle de cette région. Pour en lire plus...
  23. L'équipementier allemand Continental se dit prêt à discuter avec le groupe bavarois Schaeffler Gruppe, qui cherche à prendre son contrôle, sur une prise de participation de 20%. Pour en lire plus...
  24. Après l'offre hostile d'InBev pour prendre le contrôle d'Anheuser-Busch, celle-ci décide de se tourner vers Modelo pour grossir et résister à cette offre. Pour en lire plus...
  25. Le fonds d'investissement dit conserver le contrôle de ces deux investissements, démentant les informations du Financial Times. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...