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  1. Nouveau - Rapport du BAPE - 13 mars 2006 Présentation visuelle du concept (43 Mo) Situation actuelle: Situation proposée: Contexte L’échangeur Dorval – qui comprend le rond-point Dorval et l’échangeur des autoroutes 20 et 520 – présente des problèmes de congestion routière et d’accessibilité. Situé à proximité de plusieurs axes routiers majeurs, soit les autoroutes 13, 20, 40 et 520 et de l’Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal – l’un des plus importants générateurs de déplacements véhiculaires dans la région métropolitaine – cet échangeur joue un rôle majeur à l'intérieur du réseau routier stratégique du Québec, autant en ce qui a trait au transport des personnes qu'à celui des marchandises. Ce secteur constitue un important nœud intermodal où se croisent de nombreux itinéraires de trains, d’automobiles, d’autobus ainsi que de camions, et où convergent tant la circulation locale et de transit que celle en direction et en provenance de l’aéroport. Cette situation a des répercussions sur l’activité économique locale, régionale et nationale. Pour améliorer la situation, le ministère des Transports a travaillé en partenariat avec la Ville de Montréal, l’arrondissement Dorval-l’Île-Dorval et Aéroports de Montréal. Objectifs Le projet d’amélioration des infrastructures de transport terrestre près de l’Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal vise, entre autres choses, à : faciliter l’accès à l’aéroport; accroître la fluidité de la circulation dans l’échangeur; améliorer l’accès et la desserte en matière de transport collectif; simplifier les divers trajets routiers locaux et régionaux; améliorer la sécurité routière; améliorer l’accès et la sécurité pour les piétons et les cyclistes; favoriser l’implantation d’une desserte ferroviaire entre le centre-ville et l’aéroport; accroître la sécurité des usagers; améliorer la qualité de vie des résidents; soutenir l’activité économique locale, régionale et nationale. Description de la solution Pour atteindre ces objectifs, le ministère des Transports et ses partenaires ont opté pour un réaménagement complet de l’échangeur Dorval. Ce réaménagement permettra de séparer les trois grands types de circulation qui se croisent actuellement dans le rond-point Dorval, soit la circulation de transit (entre les autoroutes 20 et 520), la circulation locale et la circulation en direction et en provenance de l’aéroport. Ainsi, la construction de nouvelles bretelles permettra aux usagers de ce secteur de circuler directement entre les autoroutes 20 et 520. De même, des accès directs entre les autoroutes 20 et 520 et l’aéroport seront aménagés. Enfin, le rond-point Dorval fera place à un nouveau boulevard, et le réseau routier local sera réaménagé, améliorant ainsi non seulement les déplacements des automobilistes et des usagers des autobus, mais également ceux des piétons et des cyclistes. La solution proposée intègre aussi l’aménagement d’une emprise ferroviaire permettant de relier l’aéroport et le centre-ville, un projet qui est sous la responsabilité d’Aéroports de Montréal et de Via Rail. Coût du projet Le coût du projet est évalué à 150 M$. Il doit être assumé par le gouvernement du Québec (55 millions de dollars), le gouvernement du Canada (55 millions de dollars), la Ville de Montréal (30 millions de dollars) et Aéroports de Montréal (10 millions de dollars), conformément à une entente de principe annoncée le 2 mai 2005. Évaluation environnementale du projet Le projet d’amélioration des infrastructures de transport terrestre près de l’Aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau de Montréal fait actuellement l’objet d’une évaluation environnementale. Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) a en effet obtenu le mandat de tenir une audience publique sur le projet, dont la première partie a eu lieu les 14 et 15 septembre 2005. La deuxième partie de l'audience, au cours de laquelle la commission a entendu les personnes ou organismes à ce sujet, a eu lieu les 12 et 25 octobre 2005. Rapport du BAPE Le rapport du Bureau d'audiences publiques sur l'environnement a été rendu public le 13 mars 2006. Détails http://www.mtq.gouv.qc.ca/fr/regions/montreal/echangeur_dorval.asp
  2. C'est des fouilles archéologiques qu'il y a, on dirait qu'ils ont trouvés des fondations de maisons en pierres!!
  3. Je sais pas si c'est une coincidence ou que je m'excite trop vite, mais il y avait une pelle mécanique sur le terrain vacant. C'était la nuit et j'ai pas vu grand chose, je vais peut -etre faire un petit tour à midi.
  4. La salle de l'OSM, «une priorité pour nous» - Jean Charest Mario Cloutier La Presse Tout sourit à l'OSM et l'OSM sourit à tous. Kent Nagano et ses musiciens ont récolté des louanges dithyrambiques lors de leur actuelle tournée canadienne. Par-dessus tout, la construction de la salle de l'OSM a désormais été élevée au rang des priorités du nouveau gouvernement à Québec. Après plus de 20 ans de tergiversations dans ce dossier, la baguette est officiellement levée pour lancer les premières mesures. Le premier ministre, Jean Charest, a déclaré à La Presse que la salle de l'Orchestre symphonique de Montréal est un dossier «prioritaire» pour son gouvernement, même si celui-ci est placé dans une position minoritaire à l'Assemblée nationale. «Ça ne change rien. On est très déterminés à faire ce beau projet en PPP, projet qui a déjà reçu des appuis très larges», a affirmé M. Charest lors de son arrivée au concert que l'OSM donnait à Québec mercredi soir. L'Opposition Questionné pour savoir s'il croyait que l'opposition officielle adéquiste pouvait se dresser contre ce projet dont le budget avoisine les 105 millions de dollars, «je ne crois pas que ce soit une priorité pour eux, mais, pour nous, c'est une priorité», a souligné le chef d'État, qui s'était libéré à la dernière minute pour assister au concert de l'OSM salué par trois ovations. M. Charest était accompagné de ses ministres Christine St-Pierre, Sam Hamad et Monique Jérôme-Forget. La ministre des Finances et présidente du Conseil du Trésor a avoué qu'elle suivait «de très près» l'évolution du dossier de la salle de l'OSM, qu'elle appelle son «bébé». La grande argentière du gouvernement est une fervente admiratrice de l'orchestre et une grande consommatrice de culture. Il faut dire que les autres projets en PPP du gouvernement libéral, dont Mme Jérôme-Forget est responsable, ne brillent pas tous des mêmes feux que ceux de l'OSM: les autoroutes 25 et 30, les haltes routières, ainsi que les méga-hôpitaux montréalais. De son côté, le président du conseil d'administration de l'OSM, Lucien Bouchard, dit n'avoir jamais douté du sérieux des intentions du gouvernement Charest dans ce dossier, tant la collaboration avec les ministres concernés a été efficace jusqu'ici. «Depuis le début, je suis toujours confiant», a-t-il répété. Plusieurs élus libéraux seront d'ailleurs à Montréal la semaine prochaine, a appris La Presse, pour démontrer leur appui indéfectible au projet et annoncer les trois candidats à l'appel final de propositions. L'ex-ministre de la Culture, Line Beauchamp, a remis le projet de l'OSM sur les rails il y a un peu plus d'un an, jetant à la corbeille la vision du précédent gouvernement péquiste qui était, au départ, de construire un complexe abritant à la fois l'OSM, les conservatoires de théâtre et de musique ainsi qu'une tour de bureaux pour les fonctionnaires du gouvernement oeuvrant à Montréal. Candidats L'ouverture de la salle est prévue pour 2011 et les travaux pourraient commencer cette année. Il y a un mois, les noms de quatre candidats ont été dévoilés pour participer à l'appel de qualifications. Ces groupes sont: Axor-Dalkia, qui travaille avec les architectes de Provencher, Roy et associés (siège de l'OACI); Dessau-Soprin en compagnie des architectes de Nomade (Benny Farm);le Groupe immobilier Ovation, composé de SNC-Lavalin ainsi que des architectes Diamond and Schmitt (Four Seasons Center for Performing Arts de Toronto); ainsi qu'Accès symphonique Montréal, constitué notamment de Babcock & Brown Canada et des architectes Lemay associés (Cité du multimédia). Annoncés dans une semaine, les trois consortiums finalistes devront soumettre un projet comprenant une composante technique et un prix. Il s'agira de la dernière étape avant le choix définitif du partenaire privé. Suivra la signature de l'entente de partenariat entre le gouvernement et le consortium retenu. Le contrat indiquera le partage des risques et les critères de performance. La salle sera érigée sur l'esplanade de la Place des Arts. Elle pourra accueillir 1900 spectateurs, 200 choristes et 120 musiciens. Le projet devra satisfaire les plus hauts critères internationaux quant à l'acoustique et à la scénographie. Tournée Cependant, l'acoustique des salles n'était toujours pas au rendez-vous de la première tournée d'importance de l'OSM depuis l'an 2000. Elle a débuté aux Territoires du Nord-Ouest, à Yellowknife, il y a 10 jours, puis visité six autres villes canadiennes avant de se terminer samedi à Terre-Neuve. Peu importe, les critiques ont été positives partout où l'OSM est passé. Le Calgary Herald titrait «Nagano mène l'orchestre montréalais à de nouveaux sommets». Le critique du Vancouver Sun a affirmé que «l'orchestre est entre de très bonnes mains sous la direction musicale de Kent Nagano» et le Toronto Star affirmait: «Il n'y a aucun doute, l'OSM est de retour.»
  5. the media here is way too negative, but if that is the reason why Montreal is doing better then by all mean let them continue Montreal has soo much potential, if a bit more people believed in it, we would be one of the best city on earth (to some we're already there). GDP at 1.7% is not that bad, considering how Ontario with the same economic structure has done. Our sectors of the future are doing very very well so the future is looking promising for us.
  6. Conférence de Montréal: de grosses pointures attendues 26 avril 2007 - 06h00 La Presse Denis Arcand Dans les PME québécoises, ces jours-ci, on parle plus souvent du gardien de but Roberto Luongo que de Rodrigo de Rato, le président du Fonds monétaire international. Mais l'ancien ministre Gil Rémillard pense qu'aucun chef d'entreprise du Québec n'a les moyens de manquer sa 13e Conférence de Montréal, qui réunira du 18 au 21 juin M. Rato et un panthéon d'experts économiques internationaux et de dirigeants de grandes entreprises. Ce n'est pas Davos, mais il y a quand même de grosses pointures : Robert Zoellick, l'ancien secrétaire d'État au commerce des États-Unis, Jean-Claude Trichet, le président de la Banque centrale européenne, Harihuko Kuroda, président de la Banque asiatique de développement, et James Heck-man, Prix Nobel d'économie 2000 et professeur à l'Université de Chicago. «Ce ne sont pas les noms qu'on entend le plus souvent sur les planchers d'usine et dans les conseils d'administration de PME d'ici, mais je ne connais pas grand monde qui sache mieux anticiper l'inflation, le risque de récession, l'évolution des taux de change et la direction des taux d'intérêt», dit M. Rémillard, fondateur et président de la Conférence de Montréal. «Estimer à combien le dollar US va être l'an prochain, et à quel taux seront les hypothèques commerciales, c'est crucial pour le type qui fabrique des portes et fenêtres à Drummondville et qui doit décider s'il va investir 500 000 $ dans la construction d'un deuxième entrepôt pour exporter plus», dit M. Rémillard, qui s'attend à ce que 3200 personnes assistent aux ateliers. L'événement, aussi connu sous le nom de Forum économique international des Amériques, a comme thème cette année Réussir dans un monde incertain : de l'évaluation du risque à la décision stratégique. Malgré ce titre aride, les conférences traitent le plus souvent d'enjeux terre-à-terre. «L'instabilité des coûts de l'énergie et les nouvelles technologies ont des impacts directs sur les entreprises de partout.» B.R.I.C. Le fabricant de portes et fenêtres imaginé par M. Robillard s'inquiète aussi de voir les prix cassés par un concurrent d'un pays en développement: «Nous avons un atelier sur ce qui se passe dans les pays du B.R.I.C., le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine, dit M. Rémillard. Quelle entreprise peut se permettre d'ignorer ce qui se passe là-bas?» Une importante délégation indienne sera d'ailleurs sur place. Plusieurs grosses pointures locales seront sur place, David Dodge, de la Banque du Canada, Henri-Paul Rousseau, de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Paul Desmarais fils, de Power Corporation, Richard Evans, d'Alcan, Thierry Vandal, d'Hydro-Québec, Michael Sabia, de BCE, Gordon Nixon, de la Banque Royale, et Robert Dutton, de Rona. Diverses possibilités seront explorées, comme le marché du développement et de la réfection des infrastructures, «un des marchés les plus importants au monde, dont les rendements sont en train de remplacer les blue chips dans les portefeuilles des grandes caisses de retraite», note Me Rémillard. La santé publique, le développement durable, l'innovation et la sécurité nationale sont d'autres sujets qui seront débattus, notamment par Mohamed El Baradei, de l'Agence internationale de l'énergie atomique, Jaap de Hoop Scheffer, de l'OTAN, et le virologue Luc Montagnier, professeur de l'Institut Pasteur et découvreur du virus du sida. Le libre-échange est son évolution est toujours un sujet d'importance à la Conférence de Montréal: «La première conférence, en 1994, a été organisée dans la foulée de la création de l'Organisation mondiale du commerce et de l'ALENA. À cette époque, on savait qu'il fallait se diriger vers la mondialisation de l'économie. Mais on ne savait pas précisément où ça allait nous mener, les conséquences exactes étaient incertaines en ce qui a trait à nos façons de faire des affaires et à nos vies en tant qu'être humains.»
  7. Digital 04 Studios announced the return of its popular conference in Montreal geared toward the digital art industry. Named Advanced Digital Art Production Techniques (//ADAPT), the conference will feature more than 20 digital art masters, world famous film, vfx and videogame studios. This year, the //ADAPT 2007 Conference will once again be held at the Hyatt Regency Hotel Montreal, on Sept. 24-28. In addition to the master classes, the four-day event will feature new programs and activities such as the //ADAPT Theater and the //ADAPT Art Expo, designed to promote and inspire artists and display the amazing art work developed in leading films, vfx and videogame productions worldwide. "With this announcement, Digital 04 Studios is proud to once again support this vibrant industry of digital art worldwide." said co-founder Jonathan Abenhaim. Throughout the next few weeks, stay tuned to the new http://www.adaptmontreal.com website for program information and registration. Last year, the //ADAPT 2006 conference registered 900 attendees from all over the world, nearly exceeding capacity. Thirty percent of attendees came from Asia, Europe and the U.S., and were made up of artists, students, film and videogame developers. "We were really amazed with the success of //ADAPT 2006. The participation and interest from artists and studios exceeded our expectations and confirmed the need for such an event," said co-founder Jean-Eric Hénault. Master classes were given by numerous world-renowned artists, such as Syd Mead, Scott Robertson, Iain McCaig and Mark Goerner, who featured their work and art production techniques. In addition to the training, attendees had the opportunity to network & interview with major studios, such as, DreamWorks Animation SKG, Industrial Light & Magic, Lucas Arts, Ubisoft, Electronic Arts, Artificial Mind and Movement (A2M), Beenox and Hybride. Marc Petit, vp, Autodesk, Media and Ent., stated during his address at the Saturday evening cocktail mixer, "Montreal is the center of the CG universe. ADAPT gives the international 3D community the opportunity to learn from a number of leading artists and network within the industry." Digital 04 Studios, created for artists by artists, is the corporate entity presenting and organizing the //ADAPT Conference. Co-founded by Jean-Eric Hénault, president of CGChannel.com, Emile Ghorayeb, formerly at DreamWorks Animation, and Jonathan Abenhaim, formerly of Ubisoft Ent. The //ADAPT Conference was established in 2006 by Digital 04 Studios to teach advanced digital art production techniques and to promote digital artists worldwide.
  8. Profits records à la SAQ 26 avril 2007 - 06h48 Le Soleil Pierre Couture La Société des alcools du Québec (SAQ) est de plus en plus rentable. Au cours de la dernière année, la société d'État a engrangé des profits de plus de 700 millions $, a appris Le Soleil. Des documents du ministère des Finances révèlent notamment que la SAQ a roulé sur l'or en 2006-2007. L'exercice financier annuel terminé au 31 mars dernier fait état d'un bénéfice net d'au moins 702 millions $, en progression de 6 %. L'an dernier, la SAQ avait déclaré des profits sans précédent de 657 millions $. Mercredi, à la SAQ, personne n'a voulu commenter cette autre excellente performance financière. «Nous n'avons pas l'habitude de discuter de nos résultats avant que notre rapport annuel soit publié», a fait valoir la porte-parole Linda Bouchard. Chaque année, la SAQ dépose quelque part en juin devant l'Assemblée nationale son bilan annuel officiel. Quoi qu'il en soit, les ventes de bouteilles de vin sont demeurées le moteur de croissance de la SAQ au cours des 12 derniers mois. À la SAQ, 75 % des revenus émanent de la vente de bouteilles de vin alors que 16 % proviennent des spiritueux. Des conseils payants Évidemment, la nouvelle approche-client privilégiée par la SAQ et ses conseillers en vins a rapporté gros l'an dernier. Selon la SAQ, un client bien conseillé en magasin tend à augmenter sa facture moyenne de 30 à 65 %. Actuellement, l'achat moyen d'un client de la société d'État tourne autour de 17 $. Continuant à chérir sa clientèle dite passionnée - qui génère 25 % des ventes - , la SAQ s'est attaquée au très porteur marché des découvreurs dits conviviaux âgés entre 30 et 35 ans. Dans cette nouvelle approche, la SAQ a ainsi fait davantage de place aux produits dits de spécialités. Résultat: au troisième trimestre, les ventes de bouteilles de vin dont le prix oscillant entre 24 et 25 $ ont bondi de 50 %. Pendant cette même période, les bouteilles vendues entre 14 et 17 $ ont vu leurs ventes progresser de 20 %. En décembre, soit le mois le plus achalandé - la SAQ y réalise 15 % de son chiffre d'affaires annuel - , les différentes promotions offertes dans les succursales ont contribué à hausser les ventes de vins de près de 10 %. Avec un chiffre d'affaires avoisinant les 3 milliards $, la SAQ a poursuivi son contrôle serré sur ses dépenses d'exploitation, en progression de moins de 4 %. Comme l'an dernier, les revenus engrangés dans les épiceries et les dépanneurs ont affiché une légère baisse. En contrepartie, les ventes réalisées dans les succursales et les centres spécialisés ont augmenté de 10 %. Nouvelle Sélection En 2006, la SAQ a aussi lancé un nouveau concept de magasins Sélection dans la région de Montréal. Réservée uniquement au grand public, cette nouvelle génération des Sélection offre un vaste choix de vins bas, moyen et haut de gamme entouré de plusieurs équipes de conseillers spécialisés. Bien qu'elle se dit à l'écoute de sa clientèle, la SAQ n'a toutefois pas l'intention, du moins pour l'instant, de changer ses bannières Classique, Sélection et Express. Déjà, le concept Express s'avère très rentable. Au pied carré, ce type de magasin génère un profit moyen de 720 $ alors que l'ensemble du réseau offre un rendement moyen de 489 $ au pied carré. Depuis 1996, année où sont apparues les bannières Express, Classique et Sélection, la SAQ dit avoir investi moins de 100 millions $ pour revoir la configuration de son réseau, tout en ouvrant 60 nouveaux magasins. Rapport financier pour l'année 2006Profit de 657 millions $ Exercice financier terminé le 31 mars 2007 Profit net d'au moins 702 millions $ en progression de 6 %
  9. Les pelles etaient la aujourd'hui, ils enlevaient les arbres et netoyaient le terrain!
  10. Le Port de Montréal défend son territoire 26 avril 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure [/url] Tenez-vous-le pour dit: on ne marche pas sur les pieds du PDG du Port de Montréal, Dominic Taddeo. L'homme a repoussé récemment un autre assaut de promoteurs qui convoitaient ses terrains. Et il assure être déterminé à défendre son territoire. «Le Port de Montréal, contrairement à ce que certains racontent, ne veut pas prendre toute la place. Nous voulons prendre NOTRE place», a martelé mardi l'énergique petit homme de 68 ans lors de l'assemblée annuelle du Port de Montréal. La mouche qui a piqué M. Taddeo, c'est la «convoitise de certains» pour les environs du quai Bickerdike. Ce n'est pas la première fois que ces terrains avec vue sur le fleuve suscitent l'envie. En 2001, par exemple, des promoteurs torontois avaient tenté d'y ériger un centre de divertissement, le Technodome. Et M. Taddeo a révélé mardi que le projet du «Nouveau Havre de Montréal», a ravivé la controverse. Ce projet a été annoncé vendredi dernier par le ministre fédéral des Transports, Lawrence Cannon, et son collègues des Travaux publics, Michael Fortier. Il vise à réaménager le secteur du Havre de Montréal pour en faire un «espace plus vert, plus propre et plus accueillant pour les résidants et les touristes». Pour ça, le Port de Montréal a dû rétrocéder une superficie de 246 000 mètres carrés à la Société immobilière du Canada (SIC), notamment le terrain où se trouve le fameux silo numéro 5. Sauf que M. Taddeo a expliqué qu'on visait au départ beaucoup plus large. C'est l'ensemble des terrains du port dans le secteur du Havre, soit 687 000 mètres carrés, qu'on lui réclamait. «Certaines personnes ont dit que ces terrains étaient en friche, a tonné le PDG lors de son assemblée annuelle. En friche! Elles croient qu'ils devraient être convertis en zone résidentielle. J'ai toujours été franc avec vous et je vais l'être encore. Oui, nous avons été approchés à la fin décembre. Et je remercie toute mon équipe qui a travaillé fidèlement et de longues heures sur ce dossier.» Selon M. Taddeo, «certaines personnes ont induit Transports Canada et le gouvernement en erreur». Mais le danger, soutient-il, est écarté. «Nous avons dû nous asseoir et leur expliquer des choses. Nous avons tout appuyé sur des faits, pas sur de la fiction. Et il faut donner crédit à M. Cannon et M. Fortier, qui ont reconnu l'importance économique du port pour la Ville de Montréal.» Le Port de Montréal soutient que certains des sites qu'on lui demandait sont «critiques» pour ses activités. Il précise qu'au quai Bickerdike, par exemple, l'entreprise d'arrimage Empire manutentionne des marchandises pour plusieurs transporteurs, notamment Océanex qui assure une liaison avec Terre-Neuve. «Les terrains qui ont été cédés, insiste aujourd'hui M. Taddeo, sont ceux qui n'avaient ni vocation portuaire, ni vocation maritime. Je répète: ni portuaire, ni maritime.» «Je pense qu'on a touché les bons actifs, a dit quant à lui le ministre des Travaux publics, Michael Fortier, à La Presse Affaires. Le port a une mission importante pour le développement économique de Montréal, il connaît actuellement des années extraordinaires et doit avoir tout l'espace nécessaire pour fonctionner. L'assiette foncière qui est transférée à la SIC - 5 millions de pieds carrés, vous admettrez que c'est gigantesque - est formée de terrains qui étaient essentiellement dormants et ne faisaient pas l'objet de démarchage actif.»
  11. ANNONCE DU TRAIN DE L’EST : LE PLUS GRAND PROJET DE DEVELOPPEMENT EN TRANSPORT COLLECTIF DES DERNIERES ANNEES. Montréal, le 17 mars 2006 – L’Agence métropolitaine de transport se réjouit de l’annonce faite aujourd’hui par le gouvernement du Québec d’investir près de 300 millions de dollars dans l’établissement d’une nouvelle ligne de trains de banlieue desservant l’Est de Montréal et la couronne Nord-Est de la région métropolitaine. « Ce train de banlieue constitue le plus grand projet de développement en transport en commun depuis 1998 », déclarait M. Joël Gauthier président-directeur général de l’AMT. Un projet structurant La future ligne de train de l’Est offira un élément structurant pour la région métropolitaine, et plus particulièrement pour les résidents de l’Est de l’île, du bout de l’île et de la couronne nord-est (Repentigny, Terrebonne et Mascouche). Ce projet permettra d’améliorer l’accessibilité non seulement vers le centre-ville, mais également vers toutes les destinations d’emploi de l’Est de l’île, par le biais d’une intermodalité avec le réseau d’autobus de la STM, contribuant ainsi à l’essor économique de la région. D’une longueur totale de 51 km, cette ligne empruntera un nouveau tronçon ferroviaire entre Mascouche et Le Gardeur/Repentigny, pour ensuite emprunter la voie ferrée du CN passant par le nord est de Montréal et rejoindre la ligne Montréal/Deux Montagnes, menant au centre-ville par le tunnel sous le Mont-Royal. Le train de l’Est comprendra 14 gares dont 11 seront nouvellement construites. Le centre-ville se trouvera dorénavant à 61 min. de Mascouche, 58 min. de Terrebonne, 49 min. de Repentigny, 39 min. de Pointe-aux-Trembles, à 33 min. de Rivière-des-Prairies, à 25 min. de Saint-Léonard, à 21 min. de Pie-IX, à 16 min. de Sauvé et à 13 min. de L’Acadie. Cette nouvelle ligne offrira une correspondance vers la ligne 2 du métro à la station Sauvé et à la Gare Centrale. Achalandage Selon les études de marché de l’AMT, au moins 5 500 personnes emprunteront ce service à chaque matin à l’heure de pointe, dont 70 % provenant du territoire de Montréal et 30 % de la couronne nord-est. « On constate avec satisfaction l’engouement que suscitent les trains de banlieue auprès des résidents des couronnes métropolitaines. Ce mode de transport est celui qui contribue le plus à l’accroissement de l’achalandage des transports en commun de la région métropolitaine des dernières années. Ce potentiel fera de cette ligne de trains de banlieue l’une des plus prometteuses dans la région métropolitaine », déclarait Joël Gauthier. Cinq départs seront offerts en période de pointe du matin et du soir. L’AMT emploiera cinq locomotives neuves de type bi-mode, ainsi que 30 voitures neuves à deux étages. Les stationnements des gares seront aménagés de façon permanente. Vaste consensus Le projet de ligne de trains de l’Est a fait l’objet d’un très large consensus dans la région au cours de la dernière année. Il a reçu l’aval des groupes de citoyens, des groupes environnementaux, des organismes de promotion du transport collectif, des chambres de commerce et des élus de tous les paliers de gouvernement. « Au cours des deux dernières années, l’AMT s’est employée à créer un large consensus autour de ce projet que tous ont reconnu comme plus performant pour leur communauté. Nous tenons à remercier tous les intervenants qui ont travaillé très fort avec nous pour assurer la naissance du train de l’Est », a ajouté Joël Gauthier. Coûts et échéancier Les coûts d’immobilisations de ce projet sont estimés à près de 300 M$ (± 30 % de précision). Les travaux pourraient durer entre 24 et 36 mois. La prochaine étape consiste en la finalisation des études incluant : les plans et devis, les études de gares, les études pour les infrastructures ferroviaires, les études d’impacts ainsi que les devis de performance pour le matériel roulant. Ces études seront réalisées au cours de l’année 2006 et permettront de préparer les plans et devis.
  12. Je me suis fais un cadeau il y a un mois environ. Un objectif Sigma 10 20mm F4 5,6 DC EX
  13. De chez nous, je n'ai absoluement aucune vue. Mais voici la vu que j'avais du balcon de mon hôtel à Vancouver...
  14. Ipsos Agrandit Et Consolide Le Bureau De Montréal Tout Le Personnel Au Québec Réuni Au Même Endroit Attention: Rédacteur financier MONTREAL, QUEBEC, MEDIA ADVISORY--(CCNMatthews - 25 avril 2007) - Ipsos a regroupé ses opérations au Québec sous un seul et même toit. Le transfert réunira les équipes, en pleine croissance, de l'entreprise dans un bureau central, récemment restauré, situé dans le centre de Montréal, permettant ainsi une meilleure efficacité, une collaboration accrue des projets et des équipes, ainsi qu'une amélioration globale du service clientèle. Les 55 employés de Montréal, comprenant des chercheurs en publicité, en santé, en marketing et affaires publiques, ainsi que le personnel de l'exploitation, occupent à présent deux étages sur 2300 mètres carrés au 1440 Rue Ste. Catherine O. Ce nouveau bureau abrite également 200 stations d'entretien assisté par ordinateur (CATI) et des installations pour groupes de discussion à la pointe de la technologie. François Descarie, vice Président principal confie : "Nous sommes très enthousiasmés d'avoir tous les spécialistes Ipsos réunis sous un seul et même toit. Ipsos travaille à présent avec un grand nombre de clients basés au Québec et le regroupement de toutes nos équipes service client et de toutes nos équipes opérationnelles permettra à Ipsos d'étendre nos services et d'augmenter notre base de clients. Nous sommes particulièrement impatients de proposer la gamme complète de produits et de services Ipsos aux clients basés aux Québec, permettant ainsi de servir les intérêts des marchés aux quatre coins de la planète. De plus, Ipsos est à présent l'une des entreprises de recherche les plus grandes au Québec." Lys Hugessen, un vice président d'Ipsos ASI à Montréal ajoute : "C'est l'avenir : partager les méthodologies, les solutions de recherche et les expériences afin de servir au mieux notre clientèle. En outre, ce nouvel endroit est superbe et très spacieux. Les bureaux arborent des combinaisons de couleurs vives conçues pour stimuler une atmosphère de créativité, de jeunesse et de vitalité." News Releases are available at: http://www.ipsos-na.com/news/
  15. mtlurb

    Nouvelle section

    et bien.... jusqu'à maintenant, on est que trois qui savons utiliser sketchup... Ma proposition était de faire des espèces de concours de projets pour un site en particulier. Comme si un promoteur voulait construire quelque chose sur un terrain quelconque et qu'il faisait un appel à des cabinets d'architectes (comme il se fait déjà pour plusieurs projets dans le fond). On partirait donc tous avec le même terrain ses alentours du terrain fait par sketchup, ensuite, chacun émettera sa proposition, et le grand public sera appelé à voter pour le meilleur projet. Je crois que ça pourrait être amusant? non?
  16. Champlain College to open Montréal campus BURLINGTON — Champlain College announced that it is leasing property in Montréal to operate a study-abroad campus starting this fall. Students will be able to choose to spend a full academic semester in Montréal taking Champlain College courses. Champlain’s campus is believed to be the first U.S. campus in Montréal. Ten Champlain College courses will be offered there this fall — the same courses that are offered at its Burlington campus. Students will pay the same tuition and residence hall rates as they would in Vermont. Study-abroad applications for fall have been coming in and the college is now working with an architect to renovate the brownstone building on Rue Sherbrooke that will house Champlain’s academic center. The college has also contracted with L'Université du Québec à Montréal (UQAM) to offer student housing in a UQAM residence hall on Rue St. Urbain. This is a francophone university that offers Champlain students the opportunity to live with students from Québec and Canada, as well as a variety of other countries. “With our new campus in Montreal, Champlain students can make the most of the many international business, multicultural and learning opportunities that are available in that major metropolitan center,” said David F. Finney, college president. “The Montreal campus is another way for our students to internationalize their educational experience.” In addition to study-abroad programs at partner colleges in Europe and a host of international internship offerings, Champlain also operates a satellite campus in Mumbai, India. Courses offered in Montréal will include: Modern Canadian Social History, Creativity and Conceptual Development, Critical Thinking, Practical Game Design, Animating Characters in 3-D, Game Development Senior Team Project, Social Responsibility in Media, Conversational French, and a required Québec cultural immersion course. Nearly 30 students are expected to spend the fall 2007 semester in Montréal. In the future, students from other colleges will be able to apply to study at the Quebec campus. The Montréal campus is open to students in all academic programs. Students in Champlain’s electronic and multimedia and graphic design programs may be particularly attracted to the experience since Montréal is one of “gaming’s global hot spots,” according to WIRED Magazine. Québec is home to more than 50 electronic game-related companies and development studios, including Ubisoft, A2M and Electronic Arts. Students in Champlain’s business programs can study in a province that is among Vermont’s most important trading partners.
  17. mtlurb

    Nouvelle section

    J'aurais quelque chose à vous proposer qui me semble bien alléchante... Mais avant, j'ai besoin de savoir quelle logiciel vous êtes capable d'utiliser, et surtout, qui connait bien Google sketchup. Je vous jure que ça pourrait être très très bien si vous participez!
  18. Ouais, c'est beau! Je veux pas être plate, mais le site est plus ou moins complet pour un projet de cet envergure. De plus, l'île Charron n'est-il pas une réserve ou un parc officiel? Le développement sur ça deviendrait compliqué.
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