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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. L'industrie maritime prépare la population à la croissance de son trafic MONTREAL (PC) - L'industrie québécoise du transport maritime lance une campagne de sensibilisation pour préparer la population à la croissance de ses activités sur le fleuve Saint-Laurent. Dotée d'un budget de 3 millions $ sur trois ans, versé à parts égales par l'industrie maritime et Transports Québec, la Société de développement économique du Saint-Laurent (SODES) veut souligner la contribution de ce secteur d'activité au développement économique de la province. Une campagne publicitaire a débuté dimanche à la télévision et se déploiera aussi sur Internet et dans les médias imprimés. Elle sera suivie de tournées régionales, a indiqué jeudi dernier le directeur général de la SODES, Marc Gagnon, après la présentation de cette initiative. "Pour permettre d'accommoder la croissance du trafic maritime, il faut que la population sache ce qu'on fait et ce que le transport maritime lui apporte, a-t-il dit lors d'une entrevue téléphonique. La publicité télé est simplement la démonstration que les produits qu'on utilise tous les jours dans notre maison viennent par bateau." var gnEbMinZIndex = 10000;var gfEbInIframe = false;var gEbBAd = new Object();gEbBAd.nFlightID = 208297;gEbBAd.nWidth = 300;gEbBAd.nHeight = 250;var gstrEbRandnum = new String(Math.random());gstrEbRandnum = gstrEbRandnum.substring(gstrEbRandnum.indexOf(".")+1 , gstrEbRandnum.length);gEbBAd.strNonSupported = "http://bs.serving-sys.com/BurstingPipe/NonSupportedBanner.asp?FlightID=208297&Page=&PluID=0&Width=300&Height=250&Pos=" + gstrEbRandnum; Selon la SODES, qui regroupe notamment des transporteurs et des administrations portuaires, le trafic maritime pourrait augmenter de 40 pour cent d'ici 2015, au Québec, principalement grâce à l'intensification du commerce avec l'Asie. L'an dernier, sur la voie maritime du Saint-Laurent - entre Montréal et les Grands Lacs -, le tonnage de marchandise manutentionnée a augmenté de 9 pour cent. Le fleuve dispose actuellement des infrastructures nécessaires, mais il faut cependant commencer à penser dès maintenant aux effets de cette croissance, a expliqué M. Gagnon. Selon lui, l'intensification du trafic pourrait éventuellement requérir des projets d'amélioration des réseaux ferroviaires ou routiers. "Tout projet qui va impliquer le transport maritime devra impliquer la population, a affirmé M. Gagnon. Quand les gens ne connaissent pas ce que ça implique, il y a une levée de boucliers." La SODES, dont le siège est à Québec, met notamment de l'avant le fait que les navires de marchandises produisent moins de gaz à effets de serre que les trains et les camions. Le regroupement élabore aussi une politique pour réduire les impacts environnementaux du trafic maritime. Parallèlement à cette campagne, des représentants de l'industrie ont amorcé des discussions avec le gouvernement fédéral à propos d'un projet de corridor de commerce Saint-Laurent-Grands Lacs. "On ne fait pas la campagne de valorisation à cause du corridor mais c'est vrai que tout est lié", a reconnu M. Gagnon. Le projet de corridor est piloté par des représentants du Forum de concertation sur le transport maritime, l'interface du gouvernement provincial et de l'industrie - qui est aussi à l'origine de la campagne de valorisation. Ce plan d'axe commercial s'inspire du programme de la porte d'entrée du Pacifique, à Vancouver, où le gouvernement fédéral a prévu, dans son dernier budget, des investissements de 400 millions $ au cours des sept prochaines années. Ces sommes serviront à la réfection de routes, de ponts, de voies ferrées de même qu'à l'amélioration des services frontaliers. Ces améliorations doivent permettre au Canada de profiter du boom économique asiatique. Le plus récent plan budgétaire fédéral promettait d'investir au total 1 milliard $ dans la porte du Pacifique, sans toutefois préciser d'échéancier. Pour l'instant, le secteur maritime québécois n'a pas encore chiffré les montants des investissements qui pourraient devenir nécessaires à cause de la croissance prévue de ses activités. "Ce sur quoi on travaille actuellement, c'est un plan qui vise à déterminer ce qu'il faut comme infrastructures et services pour accommoder la croissance du commerce", a affirmé M. Gagnon. L'industrie québécoise n'est toutefois pas la seule à faire entendre sa voix auprès du gouvernement fédéral. L'automne dernier, le premier ministre de la Nouvelle-Ecosse, Rodney MacDonald a rencontré M. Harper pour lui demander d'appuyer son projet de porte d'entrée de l'Atlantique, qu'il évalue à 400 millions $. En mars, un groupe de recherche a publié un rapport concluant que le port d'Halifax était le plus avantagé, de tous les ports de l'Est canadien, pour profiter du trafic de conteneurs en provenance de l'Asie. Le document du Conseil économique des provinces de l'Atlantique notait entre autres que la profondeur de la voie maritime du Saint-Laurent limitait la possibilité que le port de Montréal puisse recevoir les plus gros navires de classe post-Panamax. Marcel Poitras, président de la Corporation des pilotes du Saint-Laurent central, affirme que la concurrence entre Halifax et Montréal ne date pas d'hier. Il estime toutefois que le port de la capitale néo-écossaise est désavantagé par sa desserte ferroviaire et routière. "Leur handicap, c'est le transport par train et par camion et c'est ce qui fait que Montréal reste la plaque tournante pour le marché du Midwest américain", a-t-il dit. M. Gagnon croit lui aussi que la distance qui sépare notamment Halifax de Toronto constitue un obstacle favorisant Montréal, où transitent annuellement plus d'un million de conteneurs, deux fois plus que dans le port de la Nouvelle-Ecosse. Mais il reconnaît que la région Saint-Laurent-Grands Lacs a pris du retard comparativement aux initiatives de M. MacDonald. "Est-ce qu'on a pris du retard, oui, je suis prêt à l'admettre, a dit M. Gagnon. Mais est-ce que le plan de M. MacDonald est crédible? Ca, je n'en ai aucune idée."
  2. Pas vraiment, et c'est même mauvais signe, parce qu'avant, il y avait une vraie clôture de construction, en beau bois, et il y avait des pancartes pour des consultations publiques.
  3. oui l'incinirateur sera detruit et c'est fort probable qu'elle soit utilisee par la police. Je sais que la SQ utilise des fours a ciment pour bruler la drogue qui sont tres comparable a un incinirateur.
  4. mtlurb

    Échangeur Parc-Pins

    moi je la metterais a l'echangeur Parc, a moins que quelque chose de vraiment beau soit prevu!
  5. Dans un article de La Presse, il y a quelques mois, ils parlaient de projets qui n'aboutissaient pas et pourquoi. Le Martingal (à Laval) et le Sleb avait, dans leur description, que ceux-ci se cherchaient un nouveau promotteur pour être relancé. Je n'ai plus l'article, si quelqu'un l'avait concervé... Le Martingal est maintenant de nouveau en construction.
  6. abra kadabra! (J'ai aucune idée comment écrire la formule...)
  7. est-ce qu'on peut deplacer ca vers complété?? ca a l'air complet hier quand j'ai passé!
  8. finalement!!! je viens de voir cet article, merci loulou!
  9. Montréal dans la liste des dix destinations culinaires de Travelocity Martine Bouliane La Presse Le site Internet de voyages Travelocity a inscrit Montréal à son palmarès des 10 destinations tout indiquées pour les gourmets en 2007, aux côtés de Rome et New York. Seule ville canadienne à y figurer, Montréal est l'une des sept destinations nord-américaines à se trouver dans ce palmarès. Travelocity insiste sur le fait qu'on peut manger de la cuisine française et des spécialités de plus de 80 pays, dans les 5000 restaurants de Montréal. Il est suggéré de goûter au sandwich à la viande fumée ou à un bagel et de fouiner dans les marchés. Parmi les autres destinations de ce côté-ci de l'Atlantique se trouvent La Nouvelle-Orléans, avec ses plats créoles et cajuns, et Las Vegas, pour son côté excessif même au niveau culinaire. New York figure également sur la liste, notamment pour la nourriture qu'on peut y acheter dans les rues, comme les bretzels et les marrons rôtis, et son nombre étonnant de restaurants. Trois villes européennes font partie de ces suggestions de destinations culinaires, à commencer par Rome, où sont servies des spécialités des différentes régions de l'Italie, délicieuses autant dans des petits restaurants que d'autres plus huppés. En Espagne, Barcelone est apprécié pour sa cuisine catalane bien particulière qui s'inspire de la cuisine méditerranéenne. On y note que Londres se refait une réputation en matière de cuisine et que la ville peut compter sur des établissements pour les gourmets, qui ont pignon sur rue depuis plus de 300 ans. Fait à noter : aucune ville française, pas même Paris, ne figure sur la liste de Travelocity.
  10. Montreal | Cold? Mais oui, but the winter welcome is warm By Kristin Jackson Seattle Times travel staff PREV 1 of 3 NEXT STEPHAN POULIN / TOURISM MONTREAL Sled-dog races are just one attraction of Montréal's Fête des Neiges, the winter festival. KRISTIN JACKSON / THE SEATTLE TIMES Saint Joseph's Oratory, seen from a tour bus, is one of Montreal's grandest churches. Related Archive | Europe without the euro awaits visitors in historic Montreal MONTREAL, Quebec — Taxi drivers kept stopping to offer us rides, beckoning to the steamy warmth of their cabs. No wonder; it was 10 degrees below zero on a February night, and we were the only people on the city sidewalk. "Non, merci," I'd wave off the taxis, determined to get some fresh air after spending the day on stuffy planes en route to this French-speaking Canadian city. The air certainly was fresh — sparkling clear and frigid as my daughter and I trudged along, swaddled in all the clothes we'd packed. I looked like a walking sleeping bag in my old, very puffy down coat. On the narrow street, wrought-iron banisters and balconies of Victorian buildings were glazed in ice. Snow sparkled in pools of light cast from living rooms and old-fashioned street lamps. Another taxi stopped: "Vous êtes fous" — you're crazy — said the driver, as we smiled and walked on. Maybe it was nuts, but the intense cold of the starry night was exhilarating. And thankfully, it warmed up in the next few days to a relatively balmy 15 degrees. Ask Travel Seattle Times travel writer and editor Kristin Jackson answers your questions about Montreal and other Canadian destinations in a live Q&A at noon Tuesday on seattletimes.com. Off-season pleasures Winter visitors to Montreal, a city of 3.6 million that's the largest French-speaking city in the western world after Paris, do miss out on the bustling summer life of sidewalk cafes, music and heritage festivals, and the city's world-class film festival. Yet there are advantages to the off-season. It's much more peaceful, with none of the summertime hordes of tourists who cram the narrow, cobblestone streets of Vieux Montreal, the historic heart of the old city that was founded in 1642 by French settlers. Flights and hotels are much cheaper. I paid less than $100 a night for a somewhat ramshackle, but cozy, suite with a kitchenette at the small University Bed & Breakfast. Its location was unbeatable — a short walk to the heart of downtown or to the restaurants of the trendy Boulevard Saint-Laurent. And winter brings its own pleasures, including outdoor skating rinks in the heart of the city; sleigh rides and cross-country skiing in city parks; and an annual winter festival (La Fête des Neiges) with concerts and other cultural events plus snowy fun, including outdoor games of volleyball and soccer and dog-sled races. And there's indoor fun, from shopping and museums to music clubs and restaurants of every ethnicity. To warm up, we headed indoors to some of Montreal's excellent museums. The premier art museum, the Musée de Beaux-Arts (Museum of Fine Arts), was a stylish place to wander among paintings and sculpture, from European old masters, including Rembrandt, to Islamic art to moody 19th-century Canadian landscape painting. Day by day, Montrealers beat the cold in "Underground City" (called RÉSO in French), a 20-mile pedestrian network beneath the city center where it's always balmy. The brightly lit underground concourses are lined with hundreds of stores and eateries, and link the city's major sights, hotels, Metro and train stations. It felt like an endless shopping mall to me, and I soon coaxed my teen daughter away from the trendy shops to the streets above. When we got too chilled, we'd warm up at one of the many European-style bakeries, indulging in fruit tarts or handmade chocolates. I'd order in French; hearing my mangled grammar, the shopkeepers would immediately switch to English. While only about 18 percent of the city's residents are native English speakers, many Montrealers are bilingual. On the bus To see more of the city and stay warm, we hopped on a Gray Line sightseeing bus for a three-hour city tour, from the pastoral heights of Mont-Royal, a 343-hilly park that rises steeply above downtown, to the stately stone buildings of Vieux Montreal and the stadium of Olympic Park, where Montreal hosted the 1976 Summer Olympics. The bus driver cranked up the heat and his patter: "It's a nice shack, eh," he cackled as we passed the sprawling 19th-century mansions of Westmount, the traditional bastion of rich, native-English-speakers. Later, the bus lumbered past the modest row-houses of East Montreal, where exterior iron staircases, built outside to save space, spiral to the upper floors. The bus became so drowsily hot, it was a relief to get out at viewpoints and at some of Montreal's grand churches, evidence of the once-firm grip of the Catholic church on Montrealers and all of Quebec province. That changed with the "Quiet Revolution" of the 1960s as Quebec turned more affluent, secular and multicultural. The faithful (and tourists) still flock, however, to St. Joseph's Oratory, a massive hilltop church by Mont-Royal park. Started as a tiny shrine in 1904 by a devout monk, Brother Andre, it expanded through his relentless efforts into an imposing, ornate church with an almost 200-foot-tall dome. Outdoor stairways climb steeply to the church; pilgrims still struggle up them on their knees, imploring for the healing miracles for which Brother Andre was renowned. Always a fan of visiting churches, I led my daughter into Notre Dame basilica in Vieux Montreal, the historic heart of the city tucked between the broad (and icy) St. Lawrence River and the downtown highrises. We whispered as we entered the ornate Catholic church, with its soaring Gothic-style nave, stained-glass windows and a vaulted blue ceiling that shimmers with 24-karat gold stars. There was only a handful of tourists, dwarfed by the vastness of the church, which, while it looks almost medieval, was built in the 1820s. It was a place to sit quietly, to think of the religion and cultures intertwined with Montreal, where the Iroquoian natives roamed for thousands of years, where French explorers landed in the 1500s, followed by fur traders, settlers and eventually the British and now waves of immigrants from all over the world. Montreal Where to stay • Stay at a downtown hotel, where you can easily walk to major sites (even in winter, thanks to the "Underground City." Some top hotels and boutiques are on Rue Sherbrooke Ouest, including the landmark Ritz-Carlton Montreal. Other upscale lodgings include the Hotel Sofitel and InterContinental Hotel. • I stayed at the moderately priced University Bed & Breakfast (adjacent to the downtown McGill University, Montreal's premier English-language university). It won't suit everyone — furnishings are eclectic and services minimal — but for about $100 a night, I got a cozy suite in an old-fashioned, townhouse-style building, with a living room, bedroom and kitchenette (www.universitybedandbreakfast.ca or 514-842-6396). • Get hotel information and make reservations through the city's tourism office, www.tourisme-montreal.org/ or phone the Quebec Department of Tourism at 877-266-5687. Getting around You don't need a car in the city; its center is compact, and the downtown and adjacent Vieux Montreal are ideal to explore on foot. For outlying areas, the city has a good Metro system. Guided bus tours are offered through Gray Line Montreal (www.coachcanada.com/montrealsightseeing/), or take a ride in parks or Vieux Montreal on a "caleche," a horse drawn-carriage (or sometimes sleigh). Traveler's tip • You don't need to speak French to get by in Montreal; English is widely spoken (However, it's generally appreciated if visitors try to speak a bit of French.) • While winter can be the most economical and least crowded time in Montreal, late September/early October and May also can be good times to visit, with lower hotel rates and more moderate weather. More information • Montreal Tourism: www.tourisme-montreal.org/ or 877-266-5687. • La F&ering;te des Neiges (winter festival): www.fetedesneiges.com/en/ In a Notre Dame side chapel, Catholic schoolchildren finished their prayers. They filed out into the street, bare-legged and laughing in their gray and navy uniforms, skipping along the snowy sidewalk. They didn't give Montreal's winter cold a second thought.
  11. Le Solano se vend très bien en passant. Dimanche, il y avait presque une file pour entrer dans le bureau de vente. J'entendais les vendeurs dirent que toute la facade sud est vendue et commencer à parler de la phase 2 du projet.
  12. Petit rendu du Faubourg Québec. Il montre bien que la phase 3 du Solano est bien plus haute!
  13. Sleb 2 Architectes: ? Fin de la construction:? Utilisation: Résidentiel Emplacement: Quartier des spectacles, Montréal ? mètres - 16 étages Descriptions: - La construction de la tour est en arrêt depuis plusieurs mois. - On recherche un autre promotteur qui pourrait relancer le projet.
  14. Je ne veux pas rentrer dans la nostalgie, mais voici un autre rendu de ce que le Spectrum aurait pu avoir l'air: J'ai bien hâte de voir les rendus de la tour qu'ils veulent construire et j'espère qu'elle sera exceptionnellement belle, parce que ça va être dûr de me faire oublier ces rendus du spectrum.
  15. Pour comparer la hauteur avec son voisin d'en face, qui est pas mal sa tour jumelle:
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