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  1. mtlurb

    Hôtel ALT - 14 étages

    J'ai passé tout près aujourd'hui. L'hôtel semble pas mal fini de loin.
  2. Je suis au courant qu'il a des méthodes, ce que je me demandais c'est une méthode concrète de calculer ça. Un "good practices" pour le secteur énergitique, ratio profits/actifs,etc etc. Il faudrait qu'un organisme sérieux de courtage quantifie la valeur d'hydro et là la discussion serait plus intéressante!
  3. J'ailler mettre cet article ici, mais tu l'as fai avant moi! C'est fou! Le seul point d'interrogation c'est la valeur d'hydro, je sais que leurs actifs sont dans les 50 milliards, mais comment évalue-t-on la valeur d'une compagnie comme elle?
  4. mtlurb

    Autoroute 19

    Feu vert aux études d’opportunité Jean-Maurice Duddin Le Journal de Montréal 01/06/2007 08h43 - Mise à jour 01/06/2007 11h39 La route 335, dans le prolongement de l’autoroute 19, de Laval à Bois-des-Filion, accueille autant d’automobilistes que l’autoroute Bonaventure au centre-ville de Montréal. Photo Benoît Pelosse Le mécontentement des électeurs a eu raison du gouvernement Charest qui a finalement donné le feu vert aux études pour le prolongement de l’autoroute 19, de Laval à Bois-des-Filion. S’il y a plus de 30 ans que les terres ont été expropriées (1973) pour permettre le prolongement de la voie rapide, il n’y avait pas moyen de faire bouger le gouvernement jusqu’aux dernières élections, malgré le fait que la congestion routière y est problématique tous les jours de la semaine. Il y a 57 000 véhicules par jour dans ce secteur, soit autant que sur l’autoroute Bonaventure, qui mène au cœur de la métropole. La ministre des Transports, Julie Boulet, a finalement donné le feu vert, en catimini, au début mai, aux études d’opportunité, première de cinq étapes essentielles pour réaliser l’autoroute. Dans la même foulée, elle a ordonné la réalisation des bretelles d’accès à l’autoroute 640 et l’élargissement de la route 335 de deux à quatre voies. Ces travaux débutent dès cet été, pour deux ans, au coût de 6,5 millions. Pourtant, tout juste avant les élections de mars, le gouvernement Charest avait fait savoir que le prolongement de l’autoroute n’était ni dans ses priorités, ni dans ses moyens financiers. Sauf qu’aux élections, les électeurs de la région ont montré leur mécontentement, autant aux péquistes qu’aux libéraux, face à l’inertie qui dure depuis des décennies. Ce sont trois députés adéquistes qui ont été élus dans Blainville, Terrebonne et Groulx. Pression forte Il faut dire que la pression publique exercée par la Coalition pour le prolongement de l’autoroute 19 a eu beaucoup d’effet. C’est le maire de Bois-des-Filion, Paul Larocque, qui en avait assez que ses concitoyens mettent plus d’une heure matin et soir pour traverser à peine un demi-kilomètre entre l’autoroute 640 et la rue Adolphe-Chapleau, qui a lancé le mouvement populaire. Exaspéré par le laxisme de Québec, il a formé la Coalition et lancé une campagne publicitaire, l’an dernier, où les automobilistes coincés dans les bouchons quotidiens étaient invités à prendre leur cellulaire pour se plaindre directement au ministre des Transports. Réactions heureuses Le maire Larocque se dit heureux que les études d’opportunité pour le prolongement de l’autoroute soient entreprises. «Le processus vient d’être engagé.» À Laval, la porte-parole du maire Gilles Vaillancourt, Amélie Cliche, estime que ce lien autoroutier va augmenter la qualité de vie des citoyens autant de Laval que de la Rive-Nord en réduisant les temps de transport et en diminuant à la fois la congestion autoroutière sur les autoroutes 13 et 15. Au bureau de la ministre, Daniel Desharnais précisait qu’aucune décision ne serait prise avant d’avoir reçu le résultat des études d’opportunité et que le conseil des ministres décide. 75 M$ pour cinq kilomètres ­ L’autoroute pourrait être réalisée d’ici trois à cinq ans, selon les scénarios retenus par Québec. ­ Les études d’opportunité vont coûter environ 500 000 $, se dérouleront au cours des 18 prochains mois pour établir (1) les besoins, (2) la sécurité routière et (3) les solutions possibles. ­ Avec ces résultats, le ministère des Transports (MTQ) sera capable de choisir le type d’autoroute retenue. S’enclenchent ensuite les études d’impact environnemental, l’élaboration de l’avant-projet, les plans et devis puis la construction. ­ Au total, Québec envisage que l’autoroute de cinq kilomètres coûtera autour de 75 millions et comportera quatre viaducs, soit aux intersections Dagenais, Saint-Saëns et Mille-Îles, à Laval, et Adolphe-Chapleau, à Bois-des-Filion. ­ Quatre viaducs enjambent déjà l’autoroute 640 à la hauteur de la route 335 (sur l’emprise de l’autoroute 19). Ils ont été construits en 1975. Un seul a été utilisé. Les trois autres débouchent encore aujourd’hui sur de la broussaille. ­ Le pont Athanasse-David, au-dessus de la rivière des Mille-Îles, sur la route 335, a été construit en 1968 et élargi en 2001.
  5. mtlurb

    Autoroute 19

    Le gouvernement Charest a donné le feu vert aux études pour le prolongement de l'autoroute 19 dans la région de Montréal. Le nouveau tronçon reliera Laval à Bois-des-Fillion. Le projet prévoit l'élargissement de la route 335 de deux à quatre voies, de même que la construction de nouvelles bretelles d'accès à l'autoroute 640. Les travaux devraient débuter cet été et coûteront 6,5 millions de dollars. Les propriétaires des terres devant servir au prolongement de cette autoroute ont été expropriés il y a 30 ans. La route 335, l'actuel prolongement de la 19, accueille chaque jour autant d'automobilistes que l'autoroute Bonaventure au centre-ville.
  6. Quebecor acquiert une chaîne de journaux en Ontario Mise en ligne 01/06/2007 06h36 on error resume nextFor mp_i=11 To 6 Step -1If Not IsObject(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash." & mp_i)) ThenElse mp_swver=mp_i Exit ForEnd IfNext PC, Le Journal de Montréal, Webfin ARGENT Quebecor Média (QBR.B a annoncé, jeudi, qu'elle fera l'acquisition du Fonds de revenu Osprey Media (OSP.UN) de Markham en Ontario, l'un des plus importants éditeurs de journaux, de magazines et de publications spécialisées au Canada, pour la somme de 516,9M$. Dans un communiqué émis tard en soirée, Quebecor Média a précisé que son offre de 7,25$ par action constituait une prime de 30,6% par rapport au prix de clôture de l'action le 30 mars dernier, avant qu'Osprey Media n'annonce qu'elle entreprenait un processus d'examen de ses options stratégiques. Jeudi, la part d’Osprey Media a clôturé à 6,92$. Le prix aux termes de l'offre représente une valeur comptable totale d'Osprey Media d'environ 355,5M$ et une valeur totale d'entreprise d'environ 516,9M$. «C'est une transaction extrêmement importante pour nous car je pense que ça fait de nous le plus grand éditeur de journaux au Canada», a commenté le vice-président exécutif de Quebecor, Luc Lavoie. «Ça confirme notre engagement dans le domaine des journaux écrits, a-t-il ajouté. Je crois que ça ajoute un tirage supplémentaire de près de 400 000 copies.» Quebecor Media met notamment la main sur 20 quotidiens et 34 journaux non quotidiens. Parmi ces publications, mentionnons le Kingston Whig-Standard et St. Catharines Standard, deux journaux de l'Ontario publié depuis des décennies. «Nous croyons que grâce à l'ajout des actifs d'Osprey à notre portefeuille existant dans le secteur des médias imprimés, notre organisation sera mieux à même de relever les défis auxquels fait face notre industrie. Avec la combinaison de Sun Media et d'Osprey, Quebecor Média renforce son rôle de chef de file dans le secteur», a déclaré Pierre Karl Péladeau, président et chef de la direction de Quebecor Média. Investissement Scotia S.A.R.F. et le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario, les principaux porteurs de parts d'Osprey Media, ont convenu, sous réserve de certaines conditions, de déposer en réponse à l'offre environ 53,9% du nombre total des parts en circulation. La convention d'acquisition et de soutien prévoit, entre autres choses, une clause de non-sollicitation de la part d'Osprey Media, sous réserve des dispositions de résiliation fiduciaire conférant à Osprey Media le droit d'étudier et d'accepter une proposition supérieure, sous réserve du droit de Quebecor Média d'égaler la proposition supérieure et du versement à Quebecor Media de frais de résiliation de 15M$. Les publications d'Osprey Media comprennent 20 quotidiens et 34 journaux non quotidiens ainsi que des guides d'achat, des magazines et d'autres publications.
  7. 11,6M$ pour les commerçants de Montréal 13:27 | Anne Robert, LesAffaires.com Revitaliser les artères commerciales traditionnelles de Montréal. C’est l’objectif de la ville qui alloue un budget de 11,6M$ à cet effet. Ce budget ira aux associations de commerçants et aux sociétés de développement commercial. Il s’agira de favoriser la densification commerciale et d’améliorer le design urbain. Pour en bénéficier les candidats devront démontrer leurs capacités de mener à bien un projet de développement économique local. La vitalité commerciale, la complémentarité avec d’autres interventions publiques et la participation de l’arrondissement seront également pris en compte. Le règlement final n’est toutefois pas terminé. Il sera rédigé au cours de l’été avec l’aide arrondissements et des organismes concernés.
  8. Bombardier seul en lice pour les trains de banlieue de l'AMT 31 mai 2007 - 06h25 La Presse Marie Tison Bombardier (BBD.B) est en bonne voie de remporter un joli contrat de l'Agence métropolitaine de transport (AMT) pour 58 voitures de train de banlieue, assorti de 102 options. «À notre connaissance, nous sommes les seuls à soumissionner», a déclaré Geneviève Dion, la directrice des relations publiques de Bombardier Transport. C'est en février dernier que l'AMT a lancé un appel de propositions pour l'acquisition de 30 voitures de trains de banlieue pour le train de l'Est, soit le nouveau corridor Montréal-Repentigny-Mascouche. Cet appel comprenait également un grand nombre d'options pour accroître la capacité sur les lignes existantes et remplacer du matériel roulant arrivé à la fin de sa vie utile. Le gouvernement du Québec avait confirmé une subvention maximale de 102,6 millions de dollars pour le train de l'Est, représentant 75% du montant total. Cela couvrait les 30 voitures, mais aussi cinq locomotives faisant l'objet d'un appel de propositions distinct. Or, le budget de la ministre Monique Jérôme-Forget prévoit un financement additionnel de 120,6 millions pour le matériel roulant de l'AMT, ce qui pourrait permettre à l'agence de transformer immédiatement en commandes fermes des options pour 28 voitures additionnelles afin d'accroître la capacité des lignes de train de banlieue Blainville-Saint-Jérôme, Mont-Saint-Hilaire et Delson-Candiac. «On se réjouit, mais comme le budget n'est pas encore adopté, on croise les doigts», a déclaré la vice-présidente à la communication et au marketing de l'AMT, Marie Gendron. Seuls Alstom et Bombardier ont demandé les documents d'appel de propositions. «À ce moment-là, le manufacturier sud-coréen Rotem et le manufacturier japonais Kawasaki venaient d'avoir de grosses commandes en Europe et en Amérique du Nord», a commenté Mme Gendron. Du côté d'Alstom, on a décidé de ne pas aller de l'avant avec une soumission. «Nous ne sommes pas équipés pour faire le produit qu'ils demandaient, soit des voitures à deux étages», a déclaré Pierre Renault, vice-président aux ressources humaines et communications d'Alstom Canada. Il y a quelques années, Alstom avait participé à un appel d'offres pour des voitures de train de banlieue pour la ligne Montréal-Rigaud. L'entreprise avait proposé de rénover des voitures de la région de Chicago, mais l'AMT avait jeté son dévolu sur Bombardier, qui proposait du matériel neuf. Cette fois-ci, Alstom n'a pas choisi cette voie. «Des voitures à double-niveau, ce n'est pas facile à trouver aux États-Unis«, a expliqué M. Renault. Mme Gendron, de l'AMT, a indiqué que même s'il n'y avait qu'un seul soumissionnaire pour le dernier appel de proposition, l'affaire n'était pas dans le sac. «Nous devons d'abord faire la vérification de la conformité de la soumission, puis négocier les différents éléments, a-t-elle affirmé. Nous ne sommes pas liés aux résultats des négociations. Si nous ne sommes pas satisfaits, nous pouvons retourner en appel d'offres. D'ici six mois, les choses peuvent changer pour les autres manufacturiers en fait de lignes de production.» Mme Dion, de Bombardier Transport, a soutenu que Bombardier avait soumissionné «de façon très compétitive par rapport à ce que l'AMT a demandé». La directrice des communications n'a pas voulu dire si les voitures seraient construites à l'usine de Bombardier Transport à La Pocatière. «Nous avons deux sites manufacturiers spécialisés dans ce type de voitures à deux niveaux, La Pocatière et Thunder Bay, mais les voitures que nous fabriquons présentement à La Pocatière pour le New Jersey Transit sont très semblables à celles que l'AMT veut acquérir», a déclaré Mme Dion. L'AMT a décidé de s'allier à la New Jersey Transit pour lancer un appel d'offres pour des locomotives de façons à obtenir de meilleurs prix de la part des fournisseurs. Les deux sociétés ont besoin du même type de locomotives pouvant fonctionner à la fois au diesel et à l'électricité. Bombardier a l'intention de présenter une soumission. À l'heure actuelle, son expertise en fait de locomotives se concentre surtout en Europe, mais les choses peuvent évoluer. «Je ne peux pas dire comment nous allons procéder pour ce produit-là, nous sommes en train de définir notre offre de service, mais lorsque nous regardons le marché nord-américain, nous pensons qu'il est important d'apporter le plus possible de travail dans nos usines ici», a indiqué Mme Dion.
  9. very simple, its a low rise, there's so much that can be done.
  10. Solar power trash bins hit Montreal streets Last Updated: Monday, May 28, 2007 | 5:30 PM ET CBC News The BigBelly garbage cans use solar panels to generate power. (Steve Rukavina/CBC) The City of Montreal is going solar in its bid to clean up downtown streets. The Ville-Marie borough has launched a pilot project starring BigBelly, a "green" garbage can that uses cordless compaction technology. The sun-powered trash cans compact garbage using solar energy, and can hold up to five times the volume of regular garbage cans. Compacting garbage reduces the need for trash collection and could decrease the all-too-common Montreal sight of overflowing rubbish bins.
  11. Bon ben aujourd'hui, j'avais une petite heure, donc je me suis dit que j'allais en profiter pour essayer de voir de quoi aurait l'air la Tour d'Hydro-Québec avec une rénovation à la Tour Québécor. Voici le résultat: (Dites vos commentaires, mais soyez compréhensifs du fait que j'ai fait ca assez rapidement;) ) (Photo de Caribb, de flickr.com) Et avec les changements:
  12. I had no idea about that place, might actually drop by, I'm fed up of eating the same thing over and over! Go figure, a boston media to let me know about stuff in my city
  13. Outside the box in old Montreal By Patricia Harris, Globe Correspondent | May 27, 2007 MONTREAL -- Once the weather warms there's hardly a better picnic spot than the riverside park of the Old Port. And there's hardly a better place to pick up your meal than Europea Espace Boutique , the Old Montreal gourmet shop opened by one of the city's top chefs, Jérôme Ferrer . No sub shop here, as the elegant minimalist decor and racks of museum-quality coffee sets and boutique condiments attest. Although Europea sits in the heart of the tourist district, you're likely to encounter bankers, lawyers, and government office workers coming in for the box lunches ( boîtes à lunch to the French-speakers). In case it rains, the shop even has a few tables and a bar with high stools for dining in. The box lunches feature a choice of sandwich (prosciutto and Benedictine blue cheese with grapes and figs, for example, or sliced lamb with onion confit and grilled vegetables on ciabatta ) or salad (marinated vegetables with smoked duck and shaved Parmesan, or tiny greens with gravlax , fresh dates, and slices of mango) and choice of soda, juice, or water. An exquisite little pastry is perhaps the clincher. There's something downright decadent about concluding a picnic with a lemon and chocolate cream tart or a miniature chocolate mousse cake. The chocolate indulgence needn't end with the meal. Europea also sells dessert-inspired body products, such as crème brûlée hand lotion, dark chocolate bath oil, chocolate orange perfume, and white chocolate massage oil. Sweets for the sweet, indeed. Europea Espace Boutique, 33 rue Notre-Dame Ouest. 514-844-1572. europea.ca. Box lunch $8.10.
  14. Un mégaprojet se prépare dans HoMa Isabelle Audet La Presse Au cours de la prochaine décennie, plus de 5000 nouvelles personnes s'installeront dans un quartier tout neuf de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Sur un terrain de 38 hectares, la Société d'habitation et de développement de Montréal pilotera la construction de 1800 logements et maisons: un des plus grands chantiers de l'île pour les années à venir. Pratiquement à l'abandon, le site contrecoeur n'a toutefois rien d'un Eldorado. Contaminé aux hydrocarbures et bordant la carrière Lafarge, il forcera l'organisme à déployer des prouesses d'aménagement pour le rendre attrayant. «La décontamination du terrain est en cours depuis le mois de février, affirme Pierre Guillot-Hurtubise, porte-parole de la SHDM. Nous ferons aussi tout en notre pouvoir pour que les résidants du secteur ne soient pas incommodés par la carrière. Il y aura un parc qui servira en quelque sorte de zone tampon pour l'isoler des habitations. Quand tout sera terminé, ce sera un coin tout à fait agréable.» Le quadrilatère formé par la rue Sherbrooke au sud, la carrière Lafarge à l'est, l'arrondissement d'Anjou au nord et un quartier résidentiel à l'ouest sera donc sous peu le théâtre d'une grande transformation. Là où il y avait tout récemment un amoncellement de neiges usées, la Ville ouvrira sous peu de toutes nouvelles rues. Le projet que caresse la SHDM est ambitieux. Il prévoit la construction de plus de 400 maisons (unifamiliales, jumelées et en rangée), 1000 logements dans des immeubles de petite taille et environ 400 appartements pour des personnes âgées. Un mégaprojet... qui inquiète des citoyens riverains. Afin de répondre à leurs questions, l'Office de consultation publique de Montréal a tenu plusieurs séances d'informations au cours des derniers jours. Ceux qui voudraient déposer un mémoire sur la transformation du site contrecoeur ont jusqu'au 11 juin pour le faire. «C'est un projet qui mijote depuis plusieurs années. Je pense qu'on a mis la table pour la création d'un quartier plaisant. Les citoyens sont maintenant appelés à le bonifier. On attend leurs suggestions avec enthousiasme», soutient la mairesse de l'arrondissement de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, Lyn Thériault. Si tout va bien, l'Office de consultation publique remettra son rapport au cours de l'été. La SHDM pourrait alors apporter des modifications à son projet et lancer les travaux dès l'automne. «C'est tout à fait réaliste de penser qu'avant l'hiver, on puisse commencer, confirme M. Guillot-Hurtubise. Pour éviter des désagréments aux citoyens qui vivent en bordure du site contrecoeur, nous allons construire d'abord une rangée de maisons adossées au quartier existant. Elles formeront en quelque sorte un écran contre la construction à venir.» Un projet mixte L'organisme entend inclure 60% de logements sociaux et abordables. Une mixité à laquelle tient particulièrement la mairesse de l'arrondissement: «L'arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve est une échantillon parfait de la population montréalaise, croit-elle. Des personnes très aisées à celles dans le besoin, nous avons une grande mixité sociale. Il était normal que le site contrecoeur reflète cette réalité.» L'organisme communautaire Solidarité Mercier-Est salue aussi la place que la SHDM réserve au logement social et abordable. Il demande toutefois que ces immeubles, bien qu'ils soient de petite taille, soient dispersés partout sur le site, afin d'éviter la création de ghettos. Dans un document envoyé à la SHDM, l'organisme demande aussi «L'inclusion d'unités de logement comportant plus de deux chambres à coucher (...) pour s'assurer que le projet attire des familles et de jeunes adultes». Le site contrecoeur devrait être totalement aménagé d'ici 2017. Il devrait compter des pistes cyclables, des espaces de stationnement pour un service de partage de voiture et plusieurs petits commerces.
  15. Palais des congrès de Montréal - Des partenariats qui fonctionnent Pierre Vallée Édition du samedi 26 et du dimanche 27 mai 2007 Mots clés : Palais des congrès de Montréal, Congrès, Économie, Montréal, Québec (province) «Pour être rentable, il faut vendre chaque année environ 50 congrès» Le Palais des congrès de Montréal, cela ne fait aucun doute, est une infrastructure vitale pour Montréal. Comment l'année 2006 s'est-elle déroulée? Entretien avec Paul Saint-Jacques, président-directeur général, qui fait le point sur les activités du Palais des congrès. showBigBox();On error resume nextuseFlash = NOT IsNull(CreateObject("ShockwaveFlash.ShockwaveFlash"))isIe = true «L'année 2006 a été une assez bonne année. Nous avons connu une légère hausse de l'occupation, précise Paul Saint-Jacques, président-directeur général du Palais des congrès de Montréal. Rien de comparable avec 2005, une année exceptionnelle, principalement en raison du Congrès sur les changements climatiques, mais nous atteignons nos objectifs.» En 2006, le Palais des congrès a été l'hôte de 215 événements, comprenant 12 congrès québécois et 33 congrès canadiens, américains et internationaux. «Il faut comprendre que la saison des congrès ne dure pas toute l'année. Elle commence au printemps et se termine en automne. Les autres événements sont donc essentiels pour le Palais, car ils permettent d'assurer la qualité des services fournis.» Ces événements peuvent être accessibles au grand public, comme le Salon de l'auto, mais on compte aussi beaucoup d'événements plus discrets, telles les réunions d'affaires et les soirées bénéfices. Voir venir «Mais il ne faut pas juger la performance uniquement sur les événements qui se déroulent lors d'une année, il faut aussi tenir compte des ententes conclues dans cette même année pour des événements à venir.» Ainsi, cette année, le Palais des congrès a conclu des ententes pour neuf congrès internationaux, 12 congrès américains, neuf congrès canadiens et 15 congrès québécois. «Au fond, pour être rentable, il faut vendre chaque année environ 50 congrès, ce qui nous avons réussi à faire en 2006.» En règle générale, les congrès sont planifiés plusieurs années à l'avance, mais Paul Saint-Jacques observe depuis un certain temps une nouvelle tendance dans le milieu des congrès. «C'est le marché à court terme qui se développe. Certaines associations, dont c'est l'exécutif seul qui décide du lieu, attendent plus longtemps. Elles espèrent ainsi trouver un centre des congrès qui se trouve avec de l'espace libre sur les bras et donc tenter de négocier de meilleurs prix.» Une PME au centre-ville On a tendance à l'oublier, mais le Palais des congrès n'est pas uniquement un espace de location qui se remplit à l'occasion. Le Palais des congrès crée aussi de l'emploi et embauche en permanence une centaine d'employés dans ses divers services administratifs. Et c'est sans compter le personnel occasionnel et les fournisseurs de services. «On peut facilement grimper à 200 personnes, et lors d'événements d'envergure majeure, on peut même se rendre jusqu'à 500 personnes.» De plus, le Palais des congrès a ses fournisseurs attitrés que l'on considère non pas comme de simples fournisseurs, mais comme de véritables partenaires d'affaires. C'est le cas pour les services alimentaires et les services audiovisuels. «Je me plais à dire que le Palais à cet égard est un véritable PPP. De notre côté, on fournit la clientèle. De leur côté, ils vendent leurs services et nous remettent une redevance sur leurs ventes.» De façon plus conventionnelle, ce sont des sous-traitants qui s'occupent de l'entretien ménager, de l'entretien mécanique du bâtiment, de la sécurité, de la manutention et du montage des salles. Pour demeurer concurrentiel, le Palais des congrès se doit de fournir les services que demandent ses utilisateurs. Au fil des ans, ces services ont évolué. «Il y a la technologie qui n'arrête pas de se raffiner. On offre aujourd'hui une connexion Internet sans fil dans toutes nos salles. Si on ne le fait pas dans les espaces communs, c'est que nos clients ne veulent pas nécessairement que leurs communications soient accessibles à tout le monde.» Les services alimentaires ont aussi été obligés de s'ajuster. «Les gens tiennent à bien manger, mais à un prix raisonnable. Et puis la tendance culinaire est aux produits frais et santé. On n'utilise maintenant que des produits équitables.» Les grands ambassadeurs Afin de souligner l'importance des personnes du milieu qui travaillent à faire venir le congrès de leur association professionnelle à Montréal, le Palais des congrès a institué le Club des ambassadeurs. Est-ce particulier à Montréal? «Non, pas vraiment, puisque tous les centres de congrès comptent sur des acteurs locaux pour porter leur candidature. Ce qui est particulier à Montréal, c'est que nous avons poussé ce concept plus loin. Non seulement les célèbre-t-on lors d'une soirée de gala, mais nous les soutenons concrètement tout au long de leur démarche auprès de leur association. De plus, le gala n'est pas uniquement l'occasion de leur lever notre chapeau, c'est aussi une manière de lancer un appel à d'autres.» Une formule qui fonctionne si bien que «Québec et Toronto nous questionnent et songent à mettre en place une démarche semblable à la nôtre». Le Palais des congrès, même s'il s'en occupe, n'est pas le seul à démarcher les congrès. «Le démarchage se fait en partenariat avec Tourisme Montréal, qui a plus d'antennes à l'extérieur de Montréal que nous. La Ville de Montréal et Aéroport de Montréal participent aussi. On a mis en place une équipe unifiée qui est devenue une sorte de guichet unique.» Des congrès ciblés Le processus de démarchage comporte trois actions. La première consiste à repérer les associations susceptibles de tenir un congrès à Montréal. «Il s'agit à cette étape de bâtir les profils des associations et d'accumuler une meilleure information sur ces dernières. Ensuite, on les rencontre une à une afin de proposer nos services. C'est la seconde étape.» La troisième consiste à faire un rappel. «Lorsqu'on a réussi à établir un bon contact, on va plus loin. Par exemple, on pourra inviter les organisateurs à un spectacle du Cirque du Soleil, si ce dernier est en tournée dans leur ville.» Sans dédaigner pour autant les congrès provenant d'autres secteurs d'activité économiques, le Palais mise sur les secteurs économiques où Montréal excelle, par exemple le secteur des sciences de la santé et de la vie. «Environ 40 % de tous les congrès que l'on accueille proviennent de ce secteur. Si l'on tient compte uniquement des congrès internationaux, ce chiffre grimpe à 60 %.» Une stratégie gagnante, selon Paul Saint-Jacques. «Les retombées économiques d'un congrès sont essentiellement touristiques. Mais en agissant de la sorte, en se collant sur nos forces, on s'assure aussi qu'il y aura des retombées d'affaires et des collaborations scientifiques.» Collaborateur du Devoir
  16. moi j'adore!! J'aime beaucoup les photos de nuit
  17. Je veux dire n'importe quoi la, mais je crois qu'il y a de l'action a l'intérieur de l'immeuble de la gazette. Il va falloir investiguer de plus près. Ils seraient fous de mettre le projet sur la glace complètement durant la belle saison!
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