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mtlurb

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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. ah ouais? Merci de l'information! C'est quelle compagnie?
  2. Saviez-vous que ces écrans de times square (ceux en cylindres) sont fabriqués ici même à montréal ???
  3. J'ai pris un 5 minutes juste pour toi, WestAust!
  4. Non, mais un changement dans les règlements de la ville à ce sujet va amener d'autres propriétaires de bâtiments à en installer aussi. Ça doit rapporter gros!$$$!
  5. un responsable de la ville était avec gilles proulx à midi, il parlait que c'était un écran de 5 par 3 mètres, pas si grand que ça, et que c'était encore loin d'être chose faite. Finalement l'écran serait sur la rue ste-catherine.
  6. Une imitation de Times Square au centre-ville ? Kathleen Lévesque Édition du mardi 26 juin 2007 Mots clés : Times Square, écran géant, Busac, Construction, Montréal L'installation d'un écran électronique géant pourrait bientôt être autorisée Photo: Pedro Ruiz Le centre-ville de Montréal pourrait bientôt prendre une allure clinquante à la façon de Times Square, à New York. L'arrondissement Ville-Marie s'apprête à autoriser l'installation d'un écran électronique géant avec publicités, vidéos et messages qui défilent, a appris Le Devoir. L'immense écran électronique trônerait sur l'immeuble situé au 1200, McGill College, une avenue de prestige bordée au sud par la Place Ville-Marie et tournée au nord vers le mont Royal. showBigBox(); C'est le promoteur immobilier Busac, celui-là même qui a mené le projet de l'îlot Voyageur constituant un dérapage financier pour l'UQAM, qui talonne depuis plusieurs mois l'arrondissement Ville-Marie afin de changer les règles d'affichage publicitaire. L'insistance de Busac semble donner des résultats. Selon le scénario privilégié par l'arrondissement, le conseil de Ville-Marie pourrait donner son aval à un changement réglementaire en août. L'équipe du maire de l'arrondissement, Benoit Labonté, a jusqu'au premier juillet pour inscrire le projet à l'ordre du jour de l'assemblée. Il s'agirait de permettre un projet-pilote d'une année. «Les élus doivent prendre une décision rapidement. Si cela se fait, il y aura des revenus pour l'arrondissement. Et le type d'affichage devra être soumis à des règles», a expliqué au Devoir le directeur des affaires publiques de l'arrondissement, Jean-Yves Duthel. Ce dernier estime qu'il s'agirait d'un nouveau champ de revenus fort intéressant pour Montréal. Selon le pourcentage négocié avec Busac, Ville-Marie pourrait empocher quelque 200 000 $ par année, par écran géant. Cela semble s'inscrire dans un contexte où Montréal est aux prises avec des difficultés financières et souhaite diversifier ses sources de revenus. Le gouvernement du Québec a d'ailleurs déposé jeudi dernier un projet de loi donnant entre autres choses de nouveaux pouvoirs de taxation (divertissement et stationnements commerciaux) à la Ville de Montréal. Outre les règles d'urbanisme qui interdisent les écrans électroniques géants, un autre obstacle se pose. La Charte de la Ville de Montréal ne permet pas que la municipalité puisse bénéficier de redevances sur le domaine privé. Ainsi, le projet de Busac devra être soumis à l'approbation du conseil municipal qui pourrait ainsi demander une modification à sa loi constituante. Le changement législatif qui en découlerait pourrait être adopté en décembre par l'Assemblée nationale et entrer en vigueur dès 2008, selon ce que prévoit Ville-Marie. Au-delà des revenus anticipés, l'arrondissement Ville-Marie aimerait profiter de cet écran géant pour diffuser de l'information destinée aux citoyens, comme la tenue de certains événements. Or l'arrondissement Ville-Marie planifie déjà depuis plus d'un an la construction d'un édifice (vitrine culturelle) dans le contexte plus large du développement du Quartier des spectacles. L'immeuble s'élèverait au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent avec en façade, un écran surdimensionné destiné uniquement aux événements culturels. Le projet de Busac est d'une autre nature. Pour André Poulin, directeur général de Destination centre-ville, une société de développement commercial représentant 8000 commerces, l'écran sur McGill College serait «un irritant inquiétant». «Si on veut une qualité de vie, il ne faut pas imiter ce que les grandes villes font. Venir au centre-ville de Montréal, ce n'est pas pour être assailli par de la pollution visuelle. Il faut protéger les gens contre l'envahissement commercial», croit M. Poulin. Ce dernier se questionne également sur le problème de sécurité que pourrait engendrer la présence d'un écran électronique. Il croit que les automobilistes pourraient être distraits par la diffusion des publicités et des messages à lire. Les affiches lumineuses, les écrans électroniques géants et les néons publicitaires sont chose courante dans plusieurs grandes villes du monde, notamment sur le continent asiatique. Times Square, à New York, demeure toutefois le quartier le plus célèbre pour son animation et sa démesure. En 2000, un nouvel écran, haut de plus de 36 mètres, a été construit au coût de 37 millions de dollars. NASDAQ loue l'emplacement pour plus de 2 millions par année. À Montréal, le projet de Busac pourrait ouvrir la porte à une avalanche de demandes similaires. Busac, qui est une filiale d'une entreprise new-yorkaise installée ici depuis 1998, a de l'ambition. En moins de dix ans, Busac s'est hissée parmi les douze plus grands propriétaires immobiliers au Québec. Elle a acquis des immeubles comme le 1200, MGill College, la Place Dupuis et l'immeuble voisin (888, de Maisonneuve Est) où loge le maire Benoit Labonté et la fonction publique de l'arrondissement Ville-Marie. Busac n'a pas rappelé Le Devoir hier
  7. Je suis allé à plattsburgh aujourd'hui et il y avait de la construction d'un gros viaduc/échangeur pour la future 30!!!
  8. Désolé, quand je passe à côté, j'ai jamais mon appareil avec moi. Je tâcherai de l'amener la prochaine fois.
  9. Its fucking stupid, they want access to the water, but there's none of it even if the street is friendlier. The port is not going anywhere and there's nothing friendly about containers embarking or debarking giant boats. People won't have access to the water in any case, a nice boulevard or not.
  10. c'est une moitié de bonne nouvelle... j'aimerais savoir ce que les autos des rues perpendiculaires vont faire les heures de pointes.
  11. Hier, ils enlevaient la grue de la deuxième tour...qui est en passant pas du tout pareille que la première. Ils ont, en effet, changé les plans. La tour à environ deux étages de plus que l'autre et a une couleur beige à la place de blanc.
  12. Ça fait un bout que j'ai pas passé devant, presque 3 semaines, mais la dernière fois, il n'y avait plus la grue et presque tout le revêtement était posé.
  13. Je ne prends pas de photos, mais je passe souvent devant... C'est un très très gros chantier, ils ont presque fini de creuser.
  14. RÈGLEMENTS MODIFIANT LE RÈGLEMENT D’URBANISME À ses séances du 5 décembre 2006 et du 1er mai 2007 respectivement, le conseil d’arrondissement a adopté les règlements modifiant le Règlement d’urbanisme de l’arrondissement Ville-Marie (01-282) qui suivent : CA-24-282.56 afin de modifier les usages autorisés dans l’îlot bordé par le boulevard De Maisonneuve et les rues Jeanne-Mance, Sainte-Catherine et De Bleury, et CA-24-282.57 afin d’assurer la concordance aux objectifs du Plan d'urbanisme en ajustant, pour le territoire délimité approximativement par les lots bordant la rue Sainte-Catherine, entre les avenues Atwater et Papineau, le calcul de la densité. Ces règlements sont entrés en vigueur le 30 mai 2007, date de la délivrance par le greffier de la Ville de certificats de conformité au Plan d’urbanisme, le tout conformément à l’article 137.15 de la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme, et à l’article 133 de la Charte de la Ville de Montréal.
  15. 1931 - 1,003,868 1941 - 1,116,800 1951 - 1,329,232 1961 - 1,747,696 1971 - 1,959,140 1976 - 1,869,585 1981 - 1,760,122 1986 - 1,819,670 1991 - 1,815,202 1996 - 1,775,846 2001 - 1,812,723 2006 - 1,854,442
  16. 21 juin 2007 - 06h17 La Presse Francis Vailles Frais de garde surestimés, revenus non déclarés, fraude de TVQ, le fisc ne laisse rien passer. Si bien que cette année, Revenu Québec a récupéré deux milliards de dollars en passant au peigne fin les dossiers des contribuables, un record. Au cours de l'année terminée le 31 mars 2007, les contrôleurs du gouvernement ont plus précisément réclamé 1,98 milliard de dollars de plus que prévu aux contribuables. Il s'agit d'une hausse de 14% sur l'année dernière, mais surtout, de 54% sur quatre ans. Le fisc a donc les dents plus longues. Certains doivent sûrement grincer des dents en se rappelant leur mésaventure avec les collecteurs de Revenu Québec. D'autres, au contraire, estimeront que le fisc fait son travail, notamment pour les dossiers d'évasion fiscale, comme le souhaitait ardemment l'ancien ministre des Finances, Yves Séguin. «Par ses actions, Revenu Québec s'assure que chaque citoyen paie sa juste part du financement des services publics, a déclaré le nouveau ministre du Revenu, Jean-Marc Fournier. Par souci d'équité, les obligations fiscales des particuliers et des entreprises doivent être respectées.» Sur la somme de 1,98 milliard récupérée, 588 millions de dollars viennent des particuliers, 661 millions des entreprises et des retenus à la source et 732 millions de la TVQ et des autres taxes. Fait à souligner, ce n'est pas parce qu'il réclame l'argent que Revenu Québec réussit à l'encaisser. Cette année, 48% de la somme réclamée a réellement été encaissée. Cette proportion grimpera à 75% d'ici deux ans et après, il faudra peut-être mettre une croix sur le reste, qui sera inscrit aux mauvaises créances. D'ailleurs, bon an mal an, le fisc inscrit environ entre 400 et 450 millions de dollars aux mauvaises créances. Cette somme ne vient pas seulement des programmes des contrôleurs, mais de l'ensemble des recettes perçues par Revenu Québec pour le gouvernement. Car il faut bien le dire: une grande majorité des contribuables déclare correctement leurs revenus et le fisc collecte ainsi chaque année quelque 50 milliards de dollars. Cet argent sert directement aux services publics. Grosse cabane, petits revenus? Revenu Québec estime que l'accroissement de la récupération fiscale s'explique par la volonté gouvernementale, l'excellence du personnel et le raffinement de la sélection des dossiers. Par exemple, depuis quelques années, Revenu Québec croise des fichiers de données de divers organismes pour vérifier si le niveau de vie du contribuable correspond à ses revenus. Ce programme Indice de richesse permet au fisc de poser des questions à un contribuable qui a une «grosse cabane», mais des petits revenus. L'an dernier, le fisc a ainsi récupéré 24 millions avec son Indice de richesse. Un autre projet, comme Placements et investissement (vérification des gains de placement), a permis de récupérer 40 millions. La lutte contre le travail au noir et l'évasion fiscale a rapporté 84 millions, tandis que la vérification spéciale des grandes des grandes entreprises, 41 millions. Le fiscaliste Stéphane Leblanc, de Ernst & Young, n'est guère surpris par ces résultats en hausse. «Ils ont intensifié leurs vérifications, mais ils s'attaquent souvent aux mêmes choses: taxe sur le capital, frais de représentation, dépenses d'automobile, etc. Et oui, ils ont du succès, ils trouvent des choses», dit-il. Quoi qu'il en soit, les efforts du fisc sont rentables. Chaque dollar investi dans la récupération fiscale rapporte un peu plus de 8$ de revenus pour le gouvernement. Obtenez-vous un tel rendement en Bourse?
  17. Syria doesn't have buildings that high ehehehheeh
  18. c'est de la fenetre d'un appt au 23 ou 25ieme je me rapelle plus d'une connaissance. Et non il n'ya pas d'accès publique, j'ai essayé aussi d'aller sur le toit sans succès.
  19. Le salon aéronautique se tiendra à Montréal en 2008 Un biréacteur d'affaires Challenger 605 à large fuselage. Photo fournie par Bombardier Michel Dolbec Presse Canadienne Montréal Aeromart, un des principaux rendez-vous de l'industrie aéronautique mondiale, se tiendra à Montréal au printemps 2008. L'événement a été annoncé auourd'hui au salon du Bourget, près de Paris, par le ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand. «C'est une bonne nouvelle qui conforte la position de Montréal comme capitale aéronautique», a dit M. Bachand en entrevue. Aeromart n'est pas un salon traditionnel. C'est plutôt une convention d'affaires qui permet aux entreprises du secteur de se rencontrer dans le cadre de rendez-vous ciblés et «préprogrammés» en fonction des besoins des participants. «Nous sommes le numéro un du "B to B"», résume Stéphane-Pierre Castet, le directeur général de BCI Aerospace, organisateur d'Aeromart. L'événement se tient en alternance à Pékin et à Toulouse. En avril 2008, il se transportera pour la première fois en Amérique du Nord. «Après 10 ans d'existence, il nous semblait normal de créer une version américaine, a expliqué M. Castet au stand du Québec. Dès lors, Montréal nous est apparu comme un choix naturel et légitime.» Les raisons qui militaient en faveur de Montréal sont nombreuses: troisième capitale aéronautique mondiale, la région métropolitaine est un des seuls endroits sur la planète où on peut «construire un avion de A à Z». «On y trouve, a rappelé M. Castet, quatre grands donneurs d'ordre et un vivier de PME et de PMI qui ont besoin de se rencontrer. Pour nous et pour l'ensemble de la communauté aéronautique, c'est un bon moyen de pénétrer le marché nord-américain.» Avionneurs, motoristes, transporteurs, fabricants et «donneurs d'ordres»: plus de 440 entreprises sont attendues à cette première édition montréalaise. La dernière rencontre toulousaine a accueilli plus de 1 200 participants venus de 35 pays. Plus de 11 000 rendez-vous s'y sont tenus. «Cela s'inscrit dans le travail à long terme qui a été entrepris pour que les PME québécoises s'ouvrent davantage au marché international, a fait remarquer le ministre Bachand. Il ne faut pas qu'elles dépendent seulement de Bombardier. Bombardier aussi souhaite qu'elles aient d'autres clients.» À la tête d'une importante délégation (48 entreprises québécoises participent cette année au salon du Bourget), le ministre a profité de son passage pour dresser un bilan «positif» de la «Stratégie de développement de l'industrie aéronautique québécoise», lancée il y a un an au salon de Farnborough. Le ministre fédéral de ministre de l'Industrie, Maxime Bernier, se trouve également au Bourget pour soutenir les entreprises canadiennes.
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