Aller au contenu
publicité

mtlurb

Administrateur
  • Compteur de contenus

    18 906
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    15

Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Je suis loin d'être pessimiste, mais j'ai découvert que ça fait depuis 1988 que Magil Laurentienne veut développer le site... http://www.daoustlestage.com/Pages/04_Projets/06_PlanEnsemble/05_StJacques/StJacquesFr.html
  2. mtlurb

    Canadiens de Montréal

    Dis toi que Toronto, ça fait 40 ans! J'ai aussi beaucoup confiance en Bob, il est en train de nous faire une équipe de fou, avec des jeunes qui promettent et une bonne marge salariale. Je lui fait confiance.
  3. mtlurb

    MLS Impact de Montréal

    Je suis loin d'être un amateur de soccer, mais je suis très fier de cette annonce. Comme je l'ai déjà dit, je vais assurément aller voir un match dans le nouveau stade saputo, histoire de les remercier.
  4. Tu préfères 3-4 arbres maigrichons ou une dépotoir et lac improvisé comme aujourd'hui?
  5. J'avais pas vu le fil! C'est assez incroyable! Merci! Et moi, un amateur des gratte-ciel art-deco, j'aurais bien aimé un Montréal comme ça:
  6. Bien c'est une bonne nouvelle. On peut se dire que si il propose rien encore, et bien on l'oubligera à fermer son trou. Un petit parc pourrait être bien il me semble. Rien de gros, juste du gazon, un chemin de pierre et deux trois arbres.
  7. Je ne suis pas fou de ce projet là, pour ne pas dire carrément contre. Il y a beaucoup d'autres places à développer, pourquoi construire sur un espace vert?
  8. ouais, une des raisons pourquoi je reponds pas a elsonic dans l'autre fil. Il faut pas etre ingenieur civil pour comprendre que si des travaux sont en retard ben il y a qu'un choix possible, travailler plus intensement en cherchant plus de ressources / plus d'heures comme que la vile s'est décidé à faire dans le texte de loulou.
  9. Pétition contre le projet immobilier à l'île Charron André Duchesne La Presse Le Conseil régional en environnement de Montréal (CREM) a récemment initié une pétition en ligne dans l'espoir de mettre un terme au projet de développement immobilier dans l'île Charron. L'organisme s'apprête aussi à intervenir contre le projet de construction d'une Maison de la culture dans le parc René-Masson. «Nous ne connaissons pas encore le bilan de la pétition. Nous l'avons initiée il y a seulement deux semaines. Nous allons laisser le temps aux vacanciers de revenir pour obtenir le plus grand nombre de signatures possible, indique Coralie Deny, responsable du dossier des espaces verts au CREM. Aucune date n'a été retenue pour la fin de la campagne, mais ce sera avant la fin de l'été.» Le projet immobilier, qui pourrait inclure jusqu'à 2500 unités de logement, découle de la vente de terrains boisés à l'entrepreneur Investissements Luc Poirier. Le vendeur, le Mouvement Desjardins, a estimé qu'il était dans l'intérêt des épargnants de se départir de ce terrain de 24 hectares qui ne lui rapportait rien. Un habitat pour les cerfs Pour les écologistes, la transformation des lieux en zone résidentielle aura un impact négatif sur l'environnement. Ils affirment que le bois constitue un habitat naturel pour une population de cerfs de Virginie. De plus, le terrain est la porte d'entrée du parc des Îles-de-Boucherville et sert de zone tampon pour la faune et la flore du parc. Construire dans cette zone mettra en péril plusieurs espèces, croit-on. À la fin de juin, diverses personnalités et organismes écologistes avaient signé une lettre demandant à la ministre de l'Environnement, au Mouvement Desjardins et à la Ville de Longueuil d'intervenir. Cette fois, la pétition demande aux mêmes décideurs de protéger l'endroit à perpétuité contre le développement. Maison de la culture Par ailleurs, le CREM entend bientôt intervenir contre le projet de la mairie de l'arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles de modifier le zonage du quart du parc René-Masson. Une partie de ce bois dense et non exploité serait sacrifiée pour construire une Maison de la culture et des bureaux administratifs. Le projet, rendu public il y a quelques jours dans les pages du Devoir, inquiète encore là les écologistes. Ils appréhendent la disparition de 25 000 mètres carrés de terrain boisé dans l'est de l'île. «Nous ne sommes pas contre une maison de la culture, mais de voir un arrondissement dézoner un parc pour ses propres besoins envoie un très mauvais signal», indique Mme Deny.
  10. Une cathédrale neuve dans Ahuntsic Sophie Ouimet-Lamothe La Presse Alors que Montréal ne sait plus que faire de ses églises, une cathédrale est en construction dans l'arrondissement d'Ahuntsic-Cartierville. Le 5 août, la communauté grecque melchite catholique célébrera sa messe du dimanche dans une église flambant neuve. Coût du projet: neuf millions de dollars. Le chantier a commencé en août dernier. Il y a 35 ans, la communauté melchite a acheté le terrain, sis boulevard de l'Acadie, dans le but d'y construire un lieu de culte. Les membres ont commencé par bâtir un centre communautaire. Puis, plusieurs années plus tard, l'église a suivi. Le financement s'est fait en grande partie par des dons recueillis auprès de la communauté, selon Samir Cassab, membre du comité technique aviseur pour le projet. «Le bon Dieu nous a trouvé de grands donateurs, grâce à qui on a réussi à ramasser une bonne partie de l'argent», précise-t-il. Sept cent cinquante personnes pourront trouver place dans la cathédrale de style byzantin, dessinée par les architectes Gagnier et Villeneuve. Ses murs sont en pierre naturelle et ses coupoles, en cuivre. L'air y sera climatisé. Un stationnement de 150 places jouxte l'église, qui mesure 27 mètres de large et près de 50 mètres de long. La communauté loue actuellement l'église Notre-Dame-des-Anges, sur le boulevard Gouin à Cartierville. Auparavant, elle était propriétaire de l'église Saint-Sauveur qui se situe sur l'emplacement du futur CHUM, au centre-ville. Les melchites catholiques n'ont de grec que leur nom. Ils ont immigré d'un peu partout au Moyen-Orient. Leurs origines sont aussi diversifiées que l'Égypte, le Liban, la Syrie, la Palestine et l'Irak. Pourquoi ne pas avoir acheté une des nombreuses églises existantes de Montréal? «Nous avons essayé à plusieurs reprises», affirme M. Cassab. Sans succès. «Quelques églises sont à vendre, mais pas dans ce secteur», confirme Sylvie Lemay, de l'archevêché de Montréal. Parmi les quelque 175 églises montréalaises, quatre ou cinq seraient à vendre, selon elle. Mme Lemay affirme qu'il s'agit de la seule église en construction à Montréal. «Mais on en a qui tombent en morceaux», relève-t-elle. Certaines sont dans un tel état qu'il coûterait plus cher de les réparer que de les démolir.
  11. Chantier abandonné: les commerçants s'impatientent Marie-Ève Blain-Juste La Presse Un chantier abandonné depuis plusieurs mois. Un trou béant en plein centre-ville. Les commerçants qui se trouvent à l'angle des boulevards Saint-Laurent et de Maisonneuve s'impatientent. Mais le promoteur responsable du projet d'habitations SLEB devrait déposer de nouveaux plans d'ici quelques semaines. [/url] À consulter aussi Lisez d'autres articles sur ces sujets : Jacques-Alain Lavallée (73%) L'immeuble a été démoli il y a deux ans déjà, mais les traces des travaux sont encore bien visibles. Blocs de béton, ferraille, vieux pneus et bouteilles de bière s'amassent au fond du trou situé à deux pas des grands festivals. Ni la Ville ni l'arrondissement de Ville-Marie n'en sont pour autant responsables. «Il n'y a pas d'obligation de notre part tant que ça ne représente pas un danger ou qu'il n'y pas un autre promoteur intéressé par le projet», explique Jacques-Alain Lavallée, chargé de communication de l'arrondissement de Ville-Marie. L'entrepreneur Minco n'a pas encore terminé la première phase du projet, un immeuble de 107 condos situé rue Ontario, même s'il a vendu la plupart des habitations. La deuxième phase n'est toujours pas entamée. Un édifice devrait être construit sur l'espace vacant, actuellement sécurisé par une clôture. Si le promoteur tarde encore, la Ville pourrait lui demander d'agir. «Même s'il ne construit pas, on pourrait lui demander de remblayer le trou temporairement ou d'installer des clôtures qui soient de meilleure qualité», prévient M. Lavallée. L'arrondissement de Ville-Marie, qui a fait affaire avec le consultant responsable du dossier, est confiant de recevoir un nouveau projet sous peu. «On a vraiment l'impression que ça va être un projet très intéressant», assure M. Lavallée, qui espère bien que le projet SLEB ouvrira la voie à la revitalisation du quartier.
  12. mtlurb

    MLS Impact de Montréal

    ouais j'ai hâte aussi... mais oubli pas qu'il peut pas trop montrer d'enthousiasme parceque ca serait comme si il voudrait dire que le qualité présente de l'impact Sucks (on le sait).
  13. Le vendredi 20 juillet 2007 L'Impact en route vers la MLS? Patrick Leduc. Photo François Roy, La Presse Jean-François Bégin La Presse En embauchant hier l'ex-ministre Richard Legendre à titre de vice-président principal, l'Impact de Montréal a franchi une étape importante sur la route qui pourrait le conduire vers la Major League Soccer. Taille du texteImprimerEnvoyer La nomination de Legendre, qui a présidé à l'agrandissement du stade du parc Jarry à l'époque où il était à la tête de Tennis Canada, est une prise de taille pour l'Impact, dont le nouveau stade est présentement en construction. «Ma priorité sera de mener à bon port la construction du stade et surtout de faire en sorte de le remplir jusqu'à ce qu'il devienne trop petit et qu'il faille l'agrandir de nouveau», a dit M. Legendre lors d'une conférence téléphonique, hier après-midi. L'ancien joueur de tennis referme la parenthèse politique ouverte en 2001. Il avait alors été élu sous la bannière péquiste, lors d'une élection partielle dans la circonscription de Blainville. Candidat malheureux lors la course à la direction du PQ qui avait couronné André Boisclair, il a été défait aux élections provinciales, le printemps dernier. «Je suis content de ce que j'ai fait au cours des six dernières années, mais le 26 mars, la population m'a dit de faire autre chose. Je suis content de revenir dans le sport, car c'était mon premier choix», a dit M. Legendre. Comme ministre responsable du Loisir et du Sport dans le cabinet de Bernard Landry, Legendre avait participé au sauvetage et à la relance de l'Impact à titre d'organisme sans but lucratif, en 2002. «J'ai vu la façon dont il a mené le dossier de l'Impact et les dossiers de sport en général, a dit le président de l'Impact, Joey Saputo. Il va aider l'Impact et le soccer. C'est la personne idéale pour mener notre sport et notre équipe au prochain niveau.» La tentation de la MLS À en juger par les propos tenus hier par M. Saputo, le prochain niveau, ça risque fort d'être la MLS. La ligue née en 1996 offre le meilleur calibre de soccer professionnel en Amérique du Nord. Elle vient d'accueillir en grande pompe sa première authentique super-star, David Beckham, qui fera demain ses débuts dans l'uniforme du Galaxy de Los Angeles, si sa blessure à une cheville est suffisamment guérie. «Dans le passé, je disais non à la MLS, parce que je n'aimais pas la structure de la ligue. Mais celle-ci est en train de changer et mon opinion change aussi», a indiqué Saputo. Tant mieux. Le succès phénoménal de la Coupe du monde U-20, qui a attiré 240 000 spectateurs au Stade olympique, a prouvé hors de tout doute l'appétit des Montréalais pour du soccer de qualité. Or, disons-le franchement, la première division de l'USL, dont fait partie l'Impact, n'offre pas toujours du soccer de haut vol. Les accros de foot européen diront que la MLS non plus, mais ce serait quand même un net progrès. La MLS compte présentement 13 équipes, dont le Toronto FC. L'équipe de la Ville reine a fait ses débuts cette saison et détient l'exclusivité sur le marché canadien pendant trois saisons. Après cela, tout est possible. «Je ne veux pas dire qu'on va être dans la MLS dans deux, trois ou quatre ans, dit Saputo. Mais on va examiner cette possibilité si c'est intéressant. C'est quelque chose qu'on regarde.» La MLS s'est développée en fonctionnant de manière très centralisée, mais elle offre de plus en plus d'autonomie à ses franchises, selon Saputo. «Si ça continue dans cette direction et que le propriétaire peut plus ou moins décider de la direction de son équipe, on est ouvert.» Cette ouverture nouvelle explique sans doute l'optimisme affiché par un haut gradé de l'Association canadienne de soccer, qui me confiait récemment sa conviction que l'Impact se joindrait à la MLS en 2010. Une conviction renforcée par la construction, à l'ombre de la tour olympique, du stade Saputo, qui doit ouvrir ses portes à temps pour la saison 2008 de l'Impact. Le nouvel amphithéâtre pourra accueillir 13 000 spectateurs, mais il sera possible de faire passer sa capacité à 18 000 sièges, de manière temporaire ou permanente. «À 18 000 sièges, ce serait accepté par la MLS», dit Joey Saputo. À titre de comparaison, le BMO Field, domicile du Toronto FC, compte 20 000 places. Il y a encore beaucoup de fils à attacher avant que la MLS débarque à Montréal. Le succès de foule de l'Impact repose en bonne partie sur des billets peu coûteux qui permettent aux familles d'assister aux matchs. Il faudrait maintenir le plus possible cette accessibilité. Mais ce serait une progression logique pour l'Impact que de passer dans les grandes ligues. Les Raging Rhinos de Rochester ou le Battery de Charleston, c'est bien beau, mais Montréal mérite mieux. Impact international Le succès de la Coupe du monde U-20 a convaincu Joey Saputo qu'il serait viable pour l'Impact de disputer des matchs internationaux pendant la saison morte, à l'automne ou au printemps, contre des clubs mexicains ou sud-américains. Mais pour jouer en avril ou en novembre, il faut jouer à l'intérieur, au Stade olympique. Et pour jouer au Stade, il faut une surface artificielle. L'Impact examine présentement la possibilité d'investir pour garder au Parc olympique la surface synthétique amovible acquise par la Fédération de soccer du Québec en prévision de la Coupe du monde U-20. Cette surface fait présentement l'objet d'un appel d'offres et pourrait être vendue à une municipalité si une entente n'est pas conclue pour qu'elle reste au Stade. La faisabilité d'une telle entente serait plus forte si l'Association canadienne de soccer donnait des garanties que l'équipe nationale disputera plus souvent des matchs à Montréal. «L'Association canadienne a vu qu'un match international à Montréal peut avoir du succès et qu'il n'y a pas qu'Edmonton ou Toronto», dit Joey Saputo. Une histoire à suivre.
  14. when you cross a city, its better to build high in the sky to keep noise level low at street level, plus its easier to cross all the streets beneath, than to build 29032 overpasses over the highway. People walking wouldn't have to climb those overpasses. but in practice, people stop walking from one part of the city to the other when there's an elevated highway.
  15. Some professor at an university had a plan for the metropolitan. He suggested to dig a tunne between the two fifteens, the tunnel could be used by those who only want to remain on the 15. The remaining stretch would be used by people taking the 40 or those who want to take an exit. The tunnel could be digged not harming the traffic.
  16. La CSeries dans la ligne de mire de Pratt & Whitney 20 juin 2007 - 06h17 La Presse Marie Tison Le Bourget Agrandir Pratt & Whitney suit de très près les développements dans le dossier de la CSeries. Pratt & Whitney n'a pas l'intention de laisser le moteur de la CSeries lui glisser entre les doigts. Nous sommes convaincus que nous avons la meilleure technologie, a déclaré hier le premier vice-président responsable de la stratégie et du développement de Pratt & Whitney, Alain Bellemare, lors d'une entrevue accordée dans le cadre du Salon aéronautique du Bourget. Nous sommes la seule compagnie qui a une technologie d'avant-garde qui nous permet de nous différencier de nos concurrents, la turbo soufflante à réducteur.» M. Bellemare a encore le titre de président de Pratt & Whitney Canada (P&WC), mais il vient de déménager à Hartford, au Connecticut, au siège social de la société mère Pratt & Whitney, pour y assumer ses nouvelles fonctions de premier vice-président. Il s'est lancé à la défense du moteur que l'américaine Pratt & Whitney espère vendre à Bombardier pour sa CSeries, une nouvelle famille d'appareils de 110 à 130 places. Le président de Bombardier Aéronautique (BBD.B), Pierre Beaudoin, a réitéré cette semaine au Bourget que Pratt & Whitney avait encore une longueur d'avance sur la concurrence parce qu'elle participait depuis longtemps au projet. Le consortium de motoristes CFM International, qui avait d'abord refusé de travailler avec Bombardier, est toutefois revenu dans la course. Et voilà que Rolls-Royce vient tout juste de se lancer dans la compétition avec une variante de son moteur Trent, une turbine à triple corps. «Soudainement, dans les dernières semaines, juste avant le salon de Paris, Rolls-Royce arrive avec sa turbine à triple corps en disant qu'elle a des performances similaires avec un poids comparable, et même meilleur, a déclaré M. Bellemare. Mais nous, nous savons que ce n'est pas la réalité.» Il a expliqué que Pratt & Whitney avait à la fois des turbines à double et à triple corps, et qu'elle connaissait donc bien les caractéristiques de ce dernier type de moteur. «Ce n'est pas une nouvelle technologie, alors que la turbo soufflante à réducteur, c'est de la nouvelle technologie.» Le directeur de la gestion du programme du nouvel avion commercial de Bombardier, Benjamin Boehm, a déclaré mardi que la technologie de la turbo soufflante à réducteur était intéressante, mais que la technologie présentée par les deux autres concurrents l'était aussi. Bombardier ne prendra pas de décision sur le sort de la CSeries avant 2008. M. Bellemare a également insisté hier sur la performance environnementale des moteurs de Pratt & Whitney et de P&WC. L'environnement est à l'honneur au salon du Bourget cette année et pratiquement tous les avionneurs et les motoristes se prétendent plus verts que la compétition. «Ce n'est pas un nouveau focus pour nous, a soutenu M. Bellemare. Nous ne sommes pas obligés de tapisser nos kiosques avec du gazon comme certains de nos concurrrents pour montrer que nous sommes verts.» En raison du départ de M. Bellemare vers Hartford, c'est le premier vice-président de P&WC, John Saabas, qui assumera dans les faits la direction de l'entreprise de Longueuil. Il ne faut cependant pas s'attendre à un changement de cap. «Alain et moi, nous travaillons ensemble depuis 10 ans, a déclaré M. Saabas hier. La stratégie, nous l'avons mise en place ensemble. On ne voit pas de gros changements.» P&WC ne devrait pas agrandir ses installations de Montréal, mais elle entend les utiliser au maximum. L'entreprise continuera également à centraliser le coeur de ses activités de recherche et développement à Longueuil et à Mississauga. Avec Alain Bellemare comme premier vice-président de Pratt & Whitney et Louis Chênevert comme président d'United Technologies Corporation (qui englobe Pratt & Whitney), P&WC peut compter sur des amis hauts placés. «C'est un avantage, a soutenu M. Bellemare. Ça fait une différence parce que nous avons à la tête de l'organisation quelqu'un qui comprend les enjeux, les défis, les opportunités. On n'a pas besoin de se justifier continuellement.»
  17. You have an excellent point Kilgore, too often journalist cite stats without providing their sources. Would it hurt to have a tiny scripture at the bottom saying stat can or any other sources?? I have often heard italian numbers for Montreal at about 400 to 500k including those of "italian" origins... which are more Québecois than you and me are hehehe
  18. Alcan buyout called "economic suicide" for Canada Lynn Moore, CanWest News Service Published: Saturday, July 14, 2007 MONTREAL -- The proposed acquisition of Alcan Inc. by the London- and Melbourne, Australia-based Rio Tinto Group is a symptom of "economic suicide" underway in this country, Montreal billionaire and shareholder activist Stephen Jarislowsky said Friday. Others use less dramatic language as they engage in the hollowing-out-of-corporate-Canada debate but admit to growing concern over deals such as Rio Tinto's friendly $38.1-billion US bid for Alcan. The Montreal-based aluminum producer is the 10th company on the TSX 60 to be taken over, or poised to be taken over, by a foreign company in the past three years, Jarislowsky noted. Foreign takeovers are fuelling the Canadian dollar, which is "going through the roof" and contributing to the woes of Canada's exporting and manufacturing companies, he said. "I think the Canadian government is wrong to let any of the 60 biggest companies get taken over by foreigners," said the founder and chairman of Jarislowsky Fraser Ltd., which manages $60 billion in assets. The Conservative government's appointment of a panel to asses Canada's competition policy and foreign investment is akin to closing the barn door after the best horses have run away, Jarislowsky said. "Only the stupid horses are left," along with banks and companies that, for regulatory reasons, can't leave, he said. Ken Wong, an associate professor at Queen's University's business school, said there are few takers for unprofitable, poorly-run businesses, so it's not surprising the best companies are being bought. But while businesses are looking out for their own interests, someone should be considering the national good, particularly when resources or resource-dependent companies are concerned, he said. "I would be looking for certain signs that tell me that the merger or acquisition will be good for the country, not just the company" or shareholders, Wong said. Ottawa should ensure the long-term stewardship of resources is factored into the equation so that lost resources can be tabulated in much the same way lost jobs have been, he said. The Rio Tinto offer, unveiled Thursday, would see Rio Tinto Alcan with a head office in Montreal but its chief executive officer would report to Rio Tinto's CEO. Rio Tinto currently has its key aluminum and aluminum-related assets and offices in Australia. Rio Tinto Alcan would be "the new hub" of Rio's aluminum business, although investment in Australia "would not be diminished," Rio Tinto CEO Tom Albanese said at Thursday's press conference in Montreal. There would be some ebb and flow of employees between Montreal and Brisbane, Australia, but the employment levels in Montreal would remain as high, if not higher, he added. Descriptions like that make Concordia University finance professor Lawrence Kryzanowski uneasy because they remind him of what was said as Montreal head offices moved west when the separatist movement was gaining strength in Quebec. "It is clear when a company moves a head office; less clear is when a company moves key functions out," he said. "Smart companies will do that over time." The Royal Bank of Canada, for example, contends that it maintains a head office in Montreal but its corporate headquarters is in Toronto. "You can say you still have the head office here in Montreal but (what matters) is where the head office work is carried out. I would expect of lot of that to happen" with Rio Tinto Alcan, Kryzanowski said. Alcan "probably arranged the best deal for shareholders ... and Montreal," given the circumstances, Kryzanowski, an Alcan shareholder, said. The Rio Tinto Alcan office in Montreal "will be a divisional office at best," Jarislowsky said. One thing that helped tie Alcan to Canada were agreements between it and the governments of B.C. and Quebec that were linked to long-term, low-cost energy supplies for the aluminum producer, Kryzanowski said. "If it wasn't for the agreements they had in both Quebec and B.C., I think the head office would probably move," he said. The Quebec deal, signed last December just before Alcan announced a $1.8-billion US investment in the Saguaenay, requires that Alcan maintain in Quebec "substantive operational, financial and strategic activities and headquarters ... at levels which are substantially similar to those of Alcan" at the signing of the agreement. Now it's up to Quebec and other interested parties to "be vigilant" and ensure that the deal is honoured, Kryzanowski said. Quebec will have to decide how best to measure Rio Tinto Alcan's presence in Quebec, based on what it most values, be it payroll numbers, new products development or research-and-development money spent, Wong said. Montreal Gazette lmoore@thegazette.canwest.com
  19. Montreal team makes HIV discovery Virus gets help from a cell protein. Finding is expected to help development of new class of drugs to combat the disease CHARLIE FIDELMAN, The Gazette Published: Saturday, July 14 Montreal researchers have identified a novel target that's an accomplice to HIV, the virus that causes AIDS. The virus doesn't work alone, but recruits a collaborator - a cell protein - in its mission to multiply and spread through the body, explained Eric Cohen, a professor of medicine at the UniversitE de MontrEal. Cohen and his team of researchers at the Institut de recherches cliniques de MontrEal yesterday published the findings in PLoS Pathogens, a peer- reviewed journal that is issued monthly by the Public Library of Science. Email to a friendPrinter friendly Font: * * * * Despite having transformed HIV/AIDS from a fatal disease to to a chronic one, scientists are still at a loss to explain how the human immunodeficiency virus causes illness and why it persists despite highly effective anti-retroviral drug therapy. The discovery by Cohen's team is expected to open the door to the development of a new class of drugs to combat the disease, Canada's top HIV experts stated yesterday. Human immunodeficiency virus type 1 (HIV-1) leads to AIDS by depleting essential immune cells called CD4+T lymphocytes in infected individuals. Key to this process is a small HIV protein, said Cohen, who identified the viral protein R (Vpr) a decade ago while at the Dana-Farber Cancer Institute, affiliated with Harvard University in Cambridge. Mass.. "The role of this protein, called E3 ubiquitin ligase complex, is likely to control the orderly division of cells," Cohen said. HIV uses this protein to weaken infected immune cells. The cells then stop dividing and die, he explained. Also, the protein helps sabotage immune cells so the virus can harness their resources for its own purposes - that is, to replicate and spread the infection. "The virus is creating an environment inside the cells where it can multiply better. Ultimately, the cells will die," said Cohen, who holds the Canada Research Chair in human retrovirology at the U de M. Although proud of his work and of the team effort in his laboratory, Cohen cautioned that new therapies will not be available for years to come. "As with all basic fundamental discoveries, it will not lead to new types of (drugs) for six or seven years," he said. But it's a very important finding, said Rafick-Pierre SEkaly, a U de M immunologist and AIDS expert who was not involved in this discovery. "We are always looking for new ways to neutralize the virus, so finding a new target is very appealing," SEkaly said. Cohen's work explains how the virus corrupts immune cells, said virologist Mark Wainberg, director of the McGill AIDS Centre at the Jewish General Hospital. Wainberg described Cohen's finding as "exactly the kind of discovery that will excite drug companies." cfidelman@ thegazette.canwest.com
  20. Assassin's Creed Tout un exploit d'Ubisoft Montréal Jean-François Codère Le Journal de Montréal 14/07/2007 09h13 Très agile, Altair peut grimper sur les toits pour l'aider à repérer sa proie. © Photo assassinscreed.fr.ubi.com SANTA MONICA | Ubisoft Montréal jouait gros cette semaine à l'exposition E3. Le plus important projet de son histoire, Assassin's Creed, devait pour la première fois être testé par le gratin de l'industrie mondiale des jeux vidéo. Ce n'est que dans quelques jours que l'on pourra véritablement mesurer le succès de l'opération charme menée cette semaine, mais il serait étonnant qu'Assassin's Creed déçoive. En soit, il s'agit presque d'un exploit. Très ambitieux, le jeu a créé d'énormes attentes dans la presse spécialisée et auprès du public. Ubisoft Montréal, dont la réputation à l'échelle mondiale n'est plus à faire, y a consacré des millions et ses meilleures ressources depuis trois ans, augmentant d'autant les attentes. Comment gérer une telle pression? «En buvant beaucoup d'alcool et de café!», rigole la productrice, Jade Raymond. À elle seule, l'implication de cette Montréalaise, une figure de proue du star-système du jeu vidéo, est responsable d'une partie de l'intérêt porté à Assassin's Creed. Discret, mais efficace C'est toutefois au directeur de la création du projet, Patrice Désilets, que l'on doit l'ambitieuse vision derrière le jeu. Les joueurs y incarnent Altair, un assassin, durant les Croisades, en 1191. «Nous avons fait beaucoup de recherche historique, indique Désilets. Les assassins ont vraiment existé.» Altair a pour mission d'éliminer les corrompus, peu importe leur clan. Beaucoup d'attention a été accordée à l'interaction entre Altair et les citoyens des villes de Jérusalem et Damas, lorsqu'il arpente leurs rues. L'une des règles du clan des assassins veut qu'ils soient discrets. Se mêler à la foule fait partie du jeu. Malgré des ambitions démesurées au départ, l'équipe n'a pas eu à faire trop de compromis en chemin. «Très tôt dans le projet, nous faisons toujours une vidéo pour montrer ce à quoi nous voudrions que le jeu ressemble, explique Jade Raymond. Je le regarde encore régulièrement et nous sommes très près. Même qu'au point de vue graphique, le jeu est encore meilleur que la vidéo. «Quand nous avions montré la vidéo à Microsoft au départ, ils nous ont dit qu'il y a plein de choses que nous ne serions pas capables de faire. Ça n'a pas été facile, mais nous avons réussi.» Désilets et Raymond ont reçu tout un honneur, cette semaine, quand Hideo Kojima, l'auteur de la légendaire série Metal Gear Solid, a demandé à les rencontrer et leur a confié s'être inspiré de leur travail.« Pour plusieurs membres de l'équipe, c'est une idole», a reconnu Jade Raymond. Assassin's Creed sera lancé en novembre, sur Xbox 360, PlayStation 3 et PC
  21. Quand la Chine s'éveille ... à Montréal Par Pierre Haski (Rue89) 16H45 14/07/2007 Le Chinatown de Rue89 s'est déplacé au Chinatown de ...Montréal! Avec l'historien Serge Granger comme guide, la visite prend toute sa dimension: l'auteur du livre "Le lys et le lotus, Les relations du Québec avec la Chine de 1650 à 1950" (vlb éditeurs) a une manière truculente de raconter la grande comme la petite histoire. Juché sur un muret sur la place Sun Yat-sen, au coeur du Chinatown de Montréal, Serge Granger conte la fascination québécoise pour la Chine qui a démarré au premier contact, en 1647, avec l'envoi de missionnaires jésuites. Et l'historien d'ironiser en bouffant du curé, sur le fait que les bons cathos québécois ont plus donné par habitant pour les missionnaires en Chine que n'importe quel autre peuple. "Pendant un siècle, on se lavait de nos nombreux péchés en donnant de l'argent pour les missions en Chine", dit-il. Aujourd'hui, comme partout, l'esprit missionnaire a cédé la place à la recherche de contrats... Le minuscule quartier chinois de Montréal, qui a perdu une bonne partie de sa surface pour céder la place au béton de la ville moderne, est l'héritier de cette saga, avec son église catholique chinoise achetée aux protestants il y a près d'un siècle, avec son siège du Kuomintang, le parti rival des communistes, aujourd'hui exilé à Taiwan, et qui abrite, au premier étage, les bureaux du journal de la secte Falungong... Montréal compte 40000 Chinois, une petite fraction du million de personnes originaires de l'Empire du Milieu qui vivent au Canada. Mais les plus récents arrivants, notamment les riches Hongkongais, évitent de s'installer à Chinatown, ghetto plus touristique qu'autre chose, et ont créé des quartier chinois plus résidentiels. Cette visite de Chinatown était l'un des beaux moments de l'école d'été du Cerium (Centre d'études et de recherches internationales de Montréal) à laquelle je participe depuis une semaine. Un beau tour d'horizon de la Chine contemporaine, avec des intervenants chinois, canadiens et français, devant un public d'étudiants, de diplomates, d'entrepreneurs ou de simples curieux. L'intitulé du programme, "La Chine éveillée, comment elle change, comment elle nous change", est un mix de Napoléon ("Quand la Chine s'éveillera...), et d'interrogations dans l'air du temps. A entendre la tonalité d'une bonne partie des interventions (dont la mienne, sur les médias en Chine), c'est plutôt la société chinoise qui est en train de s'éveiller. Et ce n'est pas nécessairement une bonne nouvelle pour le parti communiste chinois... Post scriptum québecois: dans le quotidien Le Devoir de samedi, je découvre que le fils de Pierre-Eliott Trudeau, l'ancien premier ministre canadien, a réédité un livre sur la Chine écrit par son père en 1960 en compagnie d'un de ses camarades de l'époque, Jacques Hébert. "Deux innocents en Chine rouge" (ed de l'Homme, Montréal), tel était le titre du récit de voyage de ces deux hommes, à l'époque très à gauche, à la fois fascinés mais relativement lucides (Mao y est quand même qualifié de "dictateur"..). Mais le Grand Timonier se voit créditer d'avoir "vaincu la faim", alors que les deux Canadiens se trouvaient en Chine lors du Grand bond en avant, qui a provoqué une famine faisant quelque 30 millions de morts, et qu'ils n'ont rien vu! Courageux de la part du fils de Trudeau de rééditer ce texte après tant d'années. Et si on faisait pareil en France? Il y aurait quelques surprises, non?...
×
×
  • Créer...