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Tout ce qui a été posté par mtlurb

  1. Un ambitieux projet de parc à l’ombre de l’échangeur Turcot La Société de développement du lac à la Loutre souhaite profiter de la reconstruction de l’échangeur Turcot pour revitaliser le vaste terrain vague qui le jouxte à l’ouest. Le projet impliquerait le détournement des voies ferrées du CN, ce qui pourrait transformer radicalement le transport ferroviaire dans l’île de Montréal. Photo fournie par Transport Québec François Cardinal La Presse Une coalition de gens d’affaires souhaite transformer radicalement le transport ferroviaire dans l’île de Montréal. Forte de son influence auprès du gouvernement conservateur, elle travaille dans les coulisses pour qu’Ottawa profite de la démolition prochaine de l’échangeur Turcot et exige que le CN évite de passer par ce secteur. Taille du texteImprimerEnvoyervar nsteinWords;nsteinWords = unescape('');document.getElementById("divmotsNStein").innerHTML = nsteinWords; La demande préfigure un véritable bouleversement : il s’agit du plus important corridor ferroviaire du CN en Amérique du Nord. Selon ce qu’a appris La Presse, les promoteurs du projet de parc Lac-à-la-Loutre, dont les candidats conservateurs défaits Jean Fortier et Allen McKenzie, ont écrit au ministre des Transports, Lawrence Cannon, la semaine dernière. Ils demandent que le fédéral amorce dans les plus brefs délais les pourparlers avec le Canadien National (CN) pour que cette transformation précède les travaux de reconstruction de l’échangeur Turcot, qui doivent débuter en 2009. Cette requête fait partie d’un projet plus vaste appelé Lac-à-la-Loutre, du nom du plan d’eau qui se trouvait sur les lieux jusqu’au XIXe siècle. Connu depuis quelque temps, le vaste projet récréo-touristique comprendrait un parc, un centre de recherche biomédicale, un musée, un stade, des commerces, des résidences et, évidemment, le futur hôpital universitaire McGill (voir autre texte). L’idée est de profiter de la restructuration prochaine de l’échangeur Turcot (2009 à 2015) pour aménager de manière durable les quelque 100 hectares de terrain qui le jouxtent vers l’ouest. «À l’heure actuelle, le CN occupe deux voies ferrées dans le secteur, rappelle Jean Fortier, ancien homme fort de l’administration Bourque. Selon nos informations, il en réclame jusqu’à huit entre l’autoroute (20) et la falaise (Saint-Pierre). Or on devrait aller plutôt dans le sens inverse et abolir le transport de marchandises dans ce secteur.» Pour y parvenir, la Société de développement du lac à la Loutre propose que le corridor ferroviaire actuel, qui traverse le centre-ville puis le fleuve par le pont Victoria, emprunte à l’avenir le pont Mercier, plus à l’ouest. «Québec fait actuellement des acrobaties pour que le train passe à distance réglementaire du futur hôpital, note M. Fortier. En plus, il faudra faire des pieds et des mains pour éviter que le CN n’amène ses trains de marchandises près des sites de démolition du chantier Turcot. Pourquoi ne pas en profiter pour réorienter le trafic afin qu’il évite dorénavant les quartiers populaires et le centre-ville?» Plus encore, on suggère d’électrifier la ligne de train de banlieue qui passe actuellement par le pont Victoria (il s’agit de la ligne Saint-Bruno, qui carbure au diesel). Ce faisant, il serait possible de joindre cette ligne à celle, électrifiée, qui mène à Deux-Montagnes. On réduirait ainsi les émissions de gaz à effet de serre tout en améliorant la desserte en transport en commun de banlieue à banlieue. Au CN, on ferme la porte de manière diplomatique à ce projet. «Il s’agit du principal lien ferroviaire entre l’est et l’ouest du Canada, note la porte-parole Julie Senécal. Cette donnée détermine la position du CN.» Mme Senécal précise d’ailleurs que tous les clients montréalais de l’entreprise profitent de ce corridor à l’heure actuelle, le seul à permettre aux trains de manœuvre de distribuer les marchandises sur l’île. Elle ajoute qu’une entente a été signée avec le MTQ pour «préserver» la capacité ferroviaire sur huit voies en cas d’expansion du réseau de trains de banlieue, par exemple. «Enlever les voies, cela signifierait-il qu’il faudrait arrêter de desservir par train toutes les entreprises de Montréal?» s’interroge-t-elle. Le cabinet de M. Cannon n’a pas rappelé La Presse et la Ville de Montréal n’a pas voulu commenter.
  2. D'autres rendus sur http://www.900demaisonneuveouest.com:
  3. tout a fait d'accord, j'espère juste être libre la première journée qu'ils vont démolir cet amassis de ferraille et de giproc pour prendre des photos
  4. des magasins et une tour a bureau de 17 étages je crois. tu veux dire un rendu??? aucune idée
  5. je suis allé à celui du centre ville, et c'était incroyable le stock village des valleurs qu'il y avait. Je crois qu'il y avait une section complète de chemises hawaiennes à 5-10$... et étaient toutes laides.
  6. J'ai entendu à la radio que le spectrum fermait le 4 août...C'est comme bientôt ça!
  7. mtlurb

    Square Cartier: 5 étages

    c'est nice!!! ca va beaucoup changer la face du coin!
  8. Big Conference in Town Thu, 2007-07-26 15:30. Shuyee Lee 3700 conventioneers are descending on Montreal starting tomorrow for a four day meeting. And they'll be bringing their expense accounts with them - good news for the local economy. Volunteers wearing bright red polo shirts around the city will be welcoming delegates of the MPI - Meeting Professionals International - people who plan conventions, seminars and business meetings. It's the biggest MPI convention ever held, with 3700 delegates from around the world, generating as much as 100-million dollars in short and mid-term economic spinoffs if all goes well. Charles Lapointe head of Tourism Montreal says word of mouth can spread. "Oh, I had a good meeting in Montreal, maybe I should bring my group to that city because my delegates will like it." Lapointe is not too worried about the soaring loonie affecting business, saying the overall drop in U.S. tourists is only about 5 per cent and that's across the country.
  9. Port de Montréal: un record malgré un blues hivernal 26 juillet 2007 - 06h00 La Presse Philippe Mercure Grossir caractèreImprimerEnvoyer Quand le conteneur va, tout va. Voilà probablement ce que fredonne le président du Port de Montréal, Dominic Taddeo, qui voit le trafic atteindre un nouveau record pour le premier semestre de 2007... malgré un hiver trop doux à son goût. M. Taddeo aime ses hivers rigoureux pour une raison bien simple: quand le mercure descend, le trafic de sel augmente, Pas de chance, le dernier fut clément. Sauf qu'un nombre record de conteneurs remplis de marchandises de toutes sortes a transité par le port au cours des six premiers mois de l'année, compensant largement ce blues hivernal et faisant voguer le port vers un nouveau record. Un total de 12,1 millions de tonnes de marchandises sont passées par le port au cours du semestre, légèrement plus que les 12 millions de l'an dernier. «On enregistre de nouvelles marques, encore! Nous venons de connaître le meilleur semestre de l'histoire du port», s'est exclamé un Dominic Taddeo triomphal lors d'un entretien avec La Presse Affaires. Le trafic de conteneurs, la grande spécialité du Port de Montréal, a connu une hausse de 7,2% au cours du semestre. Le volume de marchandises qui ne transitent pas par conteneurs a au contraire reculé de 118 000 tonnes, principalement à cause de baisses dans le sel et l'acier. «L'acier européen est principalement vendu en Asie. Le marché est meilleur, les prix aussi», explique M. Taddeo. Les statistiques montrent aussi qu'il s'est transité plus de grain, mais moins de mazout et d'essence. M. Taddeo note que ce sont surtout les importations destinées aux industries de l'île de Montréal qui sont en baisse. «Il y a une question de conjoncture, explique-t-il cependant. Il y a des navires qui n'arrivent pas à la même date cette année que l'an dernier et qui modifient les statistiques. Une partie de ça va se redresser dans les prochains mois.» «Ce qui est encourageant, c'est qu'on continue notre percée dans les marchandises diverses conteneurisées, continue M. Taddeo. La ligne MSC (Mediterranean Shipping Company) a ajouté à la fin de juin un troisième navire sur la route qu'elle exploite entre Montréal et Freeport, aux Bahamas. Le trafic va donc continuer à augmenter pour cette catégorie.» Il mentionne aussi que certains amateurs s'apprêtent à élargir les navires qu'ils envoient à Montréal. «Actuellement, les navires qui viennent à Montréal ont une capacité maximale de 4100 conteneurs. Dans deux ou trois ans, ça pourrait passer à 4800, même 5000 conteneurs», dit-il. Pour le Port de Montréal, le nerf de la guerre est de convaincre les navires de venir charger et décharger chez lui plutôt que chez les ports concurrents de New York, Halifax. Philadelphie et Hampton Roads, en Virginie. M. Taddeo en fera son combat pour encore quelques mois: à 68 ans, l'énergique président a confirmé qu'il prenait sa retraite l'automne prochain.
  10. Le Carrefour Laval veut évincer Les Ailes de la Mode 26 juillet 2007 - 07h45 LaPresseAffaires.com Grossir caractèreImprimerEnvoyer Les Ailes de la Mode se retrouvent au coeur d'une poursuite et le magasin pourrait même être évincé du Carrefour Laval. Cliquez pour en savoir plus : Média | Biens de consommation | Commerce de gros | Les Ailes | Journaux | Journal de Montréal var nsteinWords;nsteinWords = unescape('%3Cdiv%20class%3D%22liens%22%3E%3Cul%20id%3D%22blocallerloinliens%22%3E%3Cli%3E%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D1026000%26Word%3DM%25E9dia%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3EM%E9dia%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D4007000%26Word%3DBiens%2520de%2520consommation%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3EBiens%20de%20consommation%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D4007007%26Word%3DCommerce%2520de%2520gros%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3ECommerce%20de%20gros%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D20047021%26Word%3DLes%2520Ailes%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3ELes%20Ailes%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D1026003%26Word%3DJournaux%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3EJournaux%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3Cli%3E%26nbsp%3B%7C%20%3Ca%20href%3D%22%2Fsection%2FLANSTEIN%26TaxIDList%3D20040794%26Word%3DJournal%2520de%2520Montr%25E9al%22%20onClick%3D%22javascript%3AurchinTracker%28%27%2Fclicktracking%2Frelated_mots%27%29%3B%22%3EJournal%20de%20Montr%E9al%3C%2Fa%3E%3C%2Fli%3E%3C%2Ful%3E%3C%2Fdiv%3E');Le Journal de Montréal révèle jeudi matin que le standing des Ailes de la Mode a tellement diminué depuis la vente au géant ontarien Fairweather, qui en a fait un magasin de vêtements bon marché, que le Carrefour Laval veut évincer ce commerce qui devient gênant pour l’image et la rentabilité du centre commercial. L’espace loué est devenu partiellement inutilisé, et on y vend des marchandises de moyenne à bas de gamme qui sont fréquemment en solde et qui projettent une image d’abandon et de détresse qui affecte l’image et la réputation du centre commercial, lit-on dans une poursuite déposée cette semaine en Cour supérieure par le Carrefour Laval contre Les Ailes de la Mode. Le Journal de Montréal précise qu'on ne fait pas qu’y réclamer l’éviction des Ailes, on exige aussi le paiement du loyer sur le bail venant à échéance en 2011, soit 3,5 M$. L’entreprise fondée en 1993 par Paul Delage-Roberge projetait, jusqu’à sa vente en août 2005, une image de raffinement. C’est dans cette optique que le Carrefour Laval avait loué en 1996 un local de près de 60 000 pieds carré aux Ailes. «Le locataire exploitera de façon active et continue et avec soin son entreprise dans la totalité des lieux d’une façon moderne, digne, et efficace, de façon compatible avec le mode d’exploitation des centres commerciaux de première qualité», stipule le bail venant à échéance en 2011. Réalité plutôt méconnue et mise au jour par cette poursuite, c’est le pourcentage des ventes des commerces que touchent les centres commerciaux, en plus de leur loyer. Carrefour Laval allègue que les ventes des Ailes ont chuté de 65% entre les années 2001-2002 et 2005-2006. Or, Les Ailes doivent verser 2 ou 4% de leurs ventes annuelles, selon leurs performances, au Carrefour. «Les Ailes se sont comportées de façon à ce que maintenant, il leur devient impossible de générer des profits suffisants pour payer le pourcentage dû au Carrefour Laval», accuse la poursuite.
  11. La part de la ville de Montréal à continué à chuter dans la région métropolitaine. Voir le pdf. LA_REPARTITION_DE_LA_POPULATION.pdf
  12. Excédent budgétaire à Ottawa pour avril et mai 25 juillet 2007 | Presse Canadienne, Le gouvernement fédéral continue de tirer des revenus records de l'impôt sur le revenu des sociétés et des particuliers. Dans son rapport financier rendu public mercredi, le ministère des Finances rapporte que des excédents budgétaires de 2,7 G$ et 800 M$ ont été dégagés en avril et mai, respectivement, soit sensiblement les mêmes sommes qu'il y a un an. Alors que l'économie est florissante et que le taux de chômage n'a jamais été aussi peu élevé depuis 33 ans, l'année fiscale a débuté de belle façon en avril, les revenus budgétaires du fédéral ayant progressé de 2 G$, soit 10,6 % de plus qu'un an auparavant. Cela tient essentiellement à une croissance de 1 G$ (44,6 pour cent) des revenus tirés de l'impôt sur le revenu des sociétés. En mai, les revenus budgétaires ont moins augmenté que lors du mois précédent, mais ils ont quand même progressé de 400 M$, soit 2,2 %, par rapport à mai 2006. Lors des deux premiers mois de l'année fiscale, tous les revenus du fédéral, à l'exception de ceux provenant de la taxe sur les produits et services (TPS), ont affiché une progression.
  13. Montréal aura sa Bourse du carbone 08:55 | Presse Canadienne, D'ici la fin de l'année, les entreprises canadiennes pourront s'échanger des crédits de pollution atmosphérique au Marché climatique de Montréal (CMeX). Bourse du carbone Marché climatique de Montréal Ce sera la naissance d'une coentreprise de la Bourse de Montréal et de la Chicago Climate Exchange, le premier du genre au Canada. La négociation se fera sur des contrats à terme liés à des crédits canadiens d'émissions de gaz à effet de serre. "L'équipe du MCeX a évalué le cadre réglementaire sur les émissions atmosphériques du gouvernement fédéral et conclu qu'il respectait les conditions minimales pour la création d'un marché à terme", a déclaré mercredi le président et chef de la direction de l'institution montréalaise, Luc Bertrand, dans un communiqué diffusé après la fermeture des marchés. Pourtant, à la fin mai, M. Bertrand s'était dit "déçu" des règles fédérales, qu'il jugeait pas suffisamment "alignées" avec les exigences du protocole de Kyoto. Mercredi, le pdg a admis que les consultations avec le gouvernement conservateur devraient se poursuivre "pour nous assurer que nous continuons de progresser vers l'instauration d'un contexte favorable au lancement de la négociation". La Bourse de Montréal presse plus particulièrement Ottawa de fournir à l'industrie "une plus grande certitude en matière de politique quant aux objectifs de réduction des émissions et à la définition d'une norme unique relativement aux crédits échangeables". L'institution va aussi faire pression sur le gouvernement de Stephen Harper afin que ce dernier l'autorise à mettre en place un registre national permettant de consigner la qualité des crédits de carbone issus de réductions d'émissions, outil essentiel au lancement des nouveaux contrats à terme. Les discussions que la Bourse de Montréal a amorcées il y a plusieurs mois avec le ministère fédéral de l'Environnement et les grands émetteurs industriels devront donc se poursuivre. Environnement Canada doit établir au cours des prochains mois les cibles de réduction des émissions pour chaque secteur industriel. Contrairement à ce que prévoit le protocole de Kyoto, ces cibles seront fondées sur l'intensité des émissions, plutôt que sur leur volume absolu, et elles seront comparées aux niveaux d'émissions enregistrés en 2006, plutôt qu'à ceux de 1990. La Bourse estime que le futur contrat à terme du MCeX établira le prix d'une tonne de carbone au Canada, ce qui permettra aux entreprises de "gérer le risque" lié à la pollution atmosphérique. Se fondant sur l'expérience vécue en Europe et aux Etats-Unis, le président du conseil d'administration et fondateur de la Chicago Climate Exchange, Richard Sandor, a convenu mercredi que le MCeX devrait subir des "ajustements" dans ses premiers mois d'existence. Les autorités réglementaires devront en outre approuver les futurs contrats à terme. "Nous prévoyons une croissance de la demande de produits dérivés environnementaux", a affirmé Luc Bertrand. Résultats La Bourse de Montréal a par ailleurs dévoilé mercredi ses résultats du deuxième trimestre. L'institution a déclaré des profits nets de 6,9 M$, en hausse de 7 % par rapport à la même période de l'année dernière. La marge bénéficiaire est passée de 36 à 40 %. Les revenus de la Bourse ont atteint 21,4 M$, en hausse de 3 %, un résultat principalement attribuable à l'augmentation de 1,6 % du volume de négociation. L'entreprise a annoncé le versement d'un dividende spécial de 35 cents par action, payable le 16 août aux actionnaires inscrits le 3 août. Mercredi, le titre de la Bourse de Montréal a clôturé à 37,10 $, en baisse de 0,5 %.
  14. smell the coffeeeeeeeee transaction de 3 milliards je crois.
  15. Une découverte qui vaut de l'or Plus d'info Nouvelles Osisko roule sur l'or Nouvelle du 5 juillet 2007 Audio et Vidéo Les explications de Francis Labbé Dernières nouvelles [ Politique ] – Parti conservateur du CanadaUn diplomate dans Outremont [ Science et santé ] – VIH/sidaUne nouvelle voie de recherche s'ouvre [ International ] – Inondations au Royaume-UniVaste opération d'urgence (archives) La petite ville de Malartic en Abitibi-Témiscamingue est assise sur un véritable gisement d'or. Une découverte tellement importante que la compagnie minière Osisko souhaite y exploiter la plus importante mine à ciel ouvert au Canada. Pour réaliser cet ambitieux projet, il faudra toutefois déménager tout un quartier, soit près de 180 maisons et cinq institutions. Même si le projet n'est pas officiel, plus de 40 millions de dollars ont déjà été investis par Osisko. La compagnie minière a dernièrement annoncé que les réserves d'or estimées sont plus importantes que prévu. Plusieurs étapes restent toutefois à franchir, dont la réalisation d'une étude de faisabilité, d'une étude des impacts d'environnementaux et un échantillonnage intensif. D'ici le début de l'exploitation, les citoyens touchés par le projet auront le choix de déménager leur résidence dans un tout nouveau quartier situé plus au nord ou encore d'accepter un dédommagement financier pour la destruction de leur propriété. Certains résidents de l'endroit croient cependant que le projet se fait au détriment des citoyens. Le maire de Malartic, Fernand Carpentier, se réjouit de cette importante découverte. « Ça va être le plus gros payeur de taxes de la municipalité. Ça pourrait jouer entre 250 000 $ et 400 0000 $ par année », affirme-t-il. Cette mine, qui serait un projet d'envergure mondiale aux dires d'Osisko, pourrait être exploitée durant 13 années. Si les procédures en vue de l'exploitation avancent comme prévu, la production débuterait en 2010.
  16. mtlurb

    Loto-Québec révise

    well its to keep things crystal clear... not knowing the winner could equate to some people that there was no winner or that things are "arranged".
  17. Montréal fait bonne figure en matière d'honnêteté (INFO690) - Montréal fait bonne figure lorsqu'il s'agit d'honnêteté. Dans son édition du mois d'août, le Sélection du Reader's Digest dresse le palmarès de l'honnêteté dans 33 villes du monde et la métropole se classe au cinquième rang. Pour établir ce palmarès, des enquêteurs abandonnaient des cellulaires dans des lieux publics fréquentés. Ils faisaient sonner l'appareil et observaient la scène de loin pour voir qui résisterait à la tentation de s'approprier un cellulaire tout neuf, muni d'une carte prépayée. Sur les 30 cellulaires égarés à Montréal, 25 ont retrouvé leur propriétaire. C'est la ville de Ljubljana, en Slovénie, qui remporte la palme, ses citoyens ayant permis de rapporter 29 appareils sur 30. Les pires résultats ont été enregistrés à Hong Kong, en Chine, et à Kuala Lumpur, en Malaisie, où seulement 13 appareils sont revenus. Valérie Lebeuf / Info690
  18. C'est sûr!!! Une des raisons pourquoi Laval est si dynamique c'est le contrôle centralisé sur la ville!! Pas de niaisage entre Chomedey et Fabreville ou Ste-Dorothée et Laval-Ouest. Je rêve au jour ou il y aura véritablement une île une ville.
  19. Google se cherche une personne de haut calibre pour diriger un centre de R&D a Montréal... et d'autres postes: • Software Quality Engineer - Montreal • Windows Developer - Montreal • Windows Software Engineer - Montreal • Software Engineer in Test - Montreal • Canada Policy Counsel - Montreal
  20. Halifax could learn a lot from Montreal VICTOR SYPEREK The Daily News You know, as you travel through this wonderful country, you realize just how lucky we are to be Canadians. From the majestic Rocky Mountains to the restless Atlantic Ocean. And what diverse populations. Bringing the best from all of our homelands. Leaving Toronto and heading East quickened my heart, as heading home always does. This is probably what is so compelling about travel. All we see and eat and do can be brought home to add a little diversity to our verdant region. I stopped in Kingston, Ont., which was celebrating the last day of its Busker Festival. It's hard to say how big theirs is, as on the last day, everyone joins together in the main area to watch the best of the week. They had closed a large portion of the downtown and besides the theatrical antics, parking lots were 1/2lled with 3/4ea markets, antique sales, baking and general city groups adding to the fun. After a Guinness, a bite and a leisurely chat with some locals, on I pushed to Montreal. I used to live there about 30 years ago. After the referendum, big business left in droves. Many Anglos followed. Toronto surpassed Montreal as Canada's No. 1 city. I think they went a little over board on their French-only bent, isolating them even further. But a funny thing happened. Rents stayed low. Houses remained affordable. It was the perfect environment for artists and artist expression. Montreal became an incubator and gave birth to the largest comedy festival and one of the largest jazz festivals and, of course, the world's most famous circus troupe, Cirque du Soleil. To some degree, this is all serendipity, the right place and the right time. But that isn't enough. You still need the people with the control and the money to pave the way or, at least, remove the road- blocks. And I chose this word for it's meaning. Obviously a city must function at many levels. Business must function, deliveries must be made, people must get to work and home again. But these days tourism is big business and as well talented people must be attracted to our fair cities. Besides just jobs, we have to address quality of life. Now this means many things. Besides a comfortable and safe place to live, we have to do things. We need theatre, 1/2lm, good food and entertainment. And entertainment can be so many things - from buskers to book fairs, car shows, huge 3/4ea markets, a literal day at the beach and sailing. If we have a happy population, it shows. The tourists 1/2nd out and they come to see why. And at the bottom of it all, you will 1/2nd a progressive administration. As in Montreal, where the arts had the perfect place to be. Flowers won't grow without the proper conditions, they must be encouraged. Montreal gets it. During the jazz festival, most of Montreal's streets are closed around the arts centre. During the Grand Prix the Main St. Laurent is closed and turned into a giant terrace; bars and restaurants spill out onto the street. The comedy fest, for two weeks, shuts down the blocks from St. Laurent past St. Dennis, south of Sherbrooke. The area is the size of downtown Halifax. There were hundreds of thousands of people on the streets. Roaming troupes of stilt walkers, parade 3/4oats, lights everywhere, sound and long lineups at all of the venues. It was a festival 20 years in the making. About 20 years ago, in Halifax, Dale Thompson started the Buskers' Festival and Mardi Gras, a Halloween night to remember. Buskers were a downtown-wide street show. They were everywhere. What could have grown into something approaching Montreal's festival was safely place in a sterile (read boring) package on the crowded waterfront. Same with Mardi Gras. It got out of control. Instead of managing it, it was cancelled, or at least the cost of police and 1/2re control became prohibitive. There is something wrong with our attitude. Mayor Peter Kelly and a few councillors should go on a paid junket to Montreal to 1/2nd out how it's done. There is no need to recreate the wheel. It's been done in Rio, New Orleans and in Montreal. I saw very few police, just on the gates to the streets. A couple of 1/2remen leaning on their 1/2re truck were there just in case. And there were hundreds of thousands of people of all ages with smiles on their faces. Heck, I'll even offer to go with them as translator, to translate into common sense. The film festival in Halifax is in its 21st year and yet the city is still dithering over permits to use Parade Square and surrounding streets. This festival has the potential to put us on the international 1/2lm map, but we need the nurturing and help of our city fathers. And speaking of 1/2lms, I wish our 1/2lm development board would get off their chairs and try to stem the 3/4ow of production from Nova Scotia to New Brunswick and the rest of the country. This was a $200- million-a-year business. Now I know there are circumstances, but let's start with local production. A couple of weeks ago, I mentioned that I hadn't seen many cops walking the beat late at night. Well just to prove me wrong, there they were Wednesday night, handing out parking tickets. C'mon. What gives? We have a world hockey tournament or curling or the Greek Festival or whatever - and the parking commission has a 1/2eld day. You know, if they are not blocking a hydrant or some emergency exit or driveway, do we have to be so fanatical? If it weren't about the revenue, you know you will be towed, if necessary. Let's give our visitors a break. But I guess we have to pay for the parking at Dartmouth Crossing somehow. Well, I'm off to enjoy our jazz festival. It's good here, but it could be better. Have a good one.
  21. Le soccer international reviendra à Montréal Photo Reuters Jean-François Bégin La Presse Toronto Le succès populaire de la Coupe du monde U-20 à Montréal laisse présager des visites plus fréquentes des équipes nationales dans la métropole. C'est ce qu'a indiqué le président de l'Association canadienne de soccer, Colin Linford, en marge de la conférence de presse bilan du tournoi. Au total, 2 413 171 spectateurs ont assisté aux rencontres disputées à Montréal, pour une moyenne de plus de 39 000 personnes par jour de match. Le duel entre le Chili et le Nigeria, dimanche dernier, a attiré à lui seul 46 252 spectateurs, le troisième total de l'histoire de la Coupe du monde U-20 pour un match de quart de finale. Quant au programme inaugural, qui mettait notamment en vedette les États-Unis et le Brésil, il a fait salle comble: 55 800 personnes. «Compte tenu du succès que nous avons connu au Stade olympique, j'ai envoyé un courriel aux membres du comité organisateur local pour leur dire que le soccer international reviendrait à Montréal, a dit M. Linford. Nous croyons maintenant qu'il y a un besoin et un amour pour notre sport à Montréal.» Dans le passé, les équipes nationales, et en particulier l'équipe nationale masculine, ne sont venues que rarement à Montréal. Mais ça risque de changer. «Avec ce qui vient de se passer, il n'y a pas de raison qui empêcherait qu'il y ait des matchs dans le futur», a ajouté le président de l'ACS. Reste à voir si ce sera au Stade olympique, où l'on n'est toujours pas certain de pouvoir compter sur une surface synthétique. Les deux surfaces achetées pour le tournoi, l'une par l'ACS, l'autre par la Fédération de soccer du Québec, risquent en effet d'être revendues, comme La Presse l'expliquait la semaine dernière. Montréal a contribué largement à la réussite du tournoi, qui a attiré une foule record de 1 195 239 spectateurs. C'est environ 40 000 de plus qu'au Mexique en 1983 (le tournoi comptait toutefois moins de matchs à l'époque). Trente et une des 52 rencontres ont été disputées à guichets fermés et 73% des billets disponibles dans les six villes hôtes ont été vendus. «Sur tous les plans, l'Association canadienne de soccer a surpassé nos attentes les plus folles», a dit hier le vice-président de la FIFA, Jack Warner. «Le Canada n'est pas reconnu comme une nation de soccer, mais le comité organisateur a défié les probabilités pour faire de cette compétition le succès qu'elle a été.»
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