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  1. Les pétrodollars des pays du Golfe sont dans la mire du maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui y mènera une mission économique du 30 avril au 4 mai prochain. Accompagné de responsables de 14 entreprises montréalaises, le maire s'arrêtera à Dubaï, Abou Dhabi et Doha. Avec des réserves de capitaux de 800 milliards de dollars, «les investisseurs du Moyen-Orient sont devenus des joueurs commerciaux incontournables», a expliqué en point de presse M. Tremblay. La mission servira à soutenir les entreprises montréalaises qui veulent amorcer une démarche d'affaires dans la péninsule arabique. On souhaite également inciter des investisseurs du Golfe à s'intéresser à Montréal. On mise sur les quelque 6000 Canadiens vivant dans ses pays pour faciliter les contacts. Des rendez-vous avec des politiciens locaux sont également prévus. «C'est important pour les entreprises d'avoir accès à des décideurs», dit le maire. Il prononcera notamment un discours à l'Annual Investment Meeting à Dubaï, rendez-vous de plus de 3000 investisseurs internationaux. «La présence du maire est un grand facilitateur pour les entreprises, a précisé Michel Leblanc, président de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, qui sera du voyage. On sème une graine qui, par la suite, va les aider sur d'autres marchés.» Les entreprises invitées proviennent de domaines très divers, du Bureau du cinéma et de la télévision du Québec à la firme de génie-conseil CIMA +, du Groupe Sutton aux spécialistes de la sécurité Garda World. «On est mieux de ne pas être trop nombreux, et de focaliser sur des projets précis», explique M. Leblanc. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201204/25/01-4518955-le-maire-tremblay-senvole-pour-les-pays-du-golfe.php
  2. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200908/25/01-895773-george-w-bush-donnera-une-conference-a-montreal.php http://montreal.ctv.ca/servlet/an/local/CTVNews/20090825/mtl_bush_090825/20090825/?hub=MontrealHome Damn! I hope I can get in some how. I wonder who does the inviting? I just hope that a bunch of leftists don't try and storm the place or something. It will make the city look terrible.
  3. Petite visite de l'unité de Moshé Safdie (le 1011) Lundi soir. L'intérieur de cette unité est le même qu'en 67 (maintenant protégé par la loi sur les monuments), c'était la suite de Pierre Dupuis pendant l'Expo. Le général de Gaule y aurait logé le soir du fameux discours du balcon de l'hôtel-de-ville. Quelle vue...
  4. Le premier ministre prononce actuellement un discours à saveur économique devant la Chambre de commerce de Brampton. Selon lui, le Canada est le pays le mieux placé pour affronter la crise qui secoue le monde. Pour en lire plus...
  5. Le discours de l'ancien patron de la Caisse, Henri-Paul Rousseau, n'a pas répondu à toutes les questions selon le Parti québécois, qui réclame toujours la tenue d'une commission parlementaire. Pour en lire plus...
  6. L'ex-PDG de la Caisse présente actuellement ses «perspectives sur la Caisse et la crise financière», devant la Chambre de commerce de Montréal, à la suite de l'annonce des pertes colossales de l'institution en 2008. Pour en lire plus...
  7. L'ex-PDG de la Caisse offrira lundi midi ses «perspectives sur la Caisse et la crise financière», à la suite de l'annonce des pertes de 39,8milliards de dollars subies par l'institution en 2008. Pour en lire plus...
  8. Dans un discours important devant le Congrès, à deux jours de la présentation de son premier budget, le président américain affirme avoir confiance en ses concitoyens, mais ne cache pas qu'il faudra qu'ils fassent des sacrifices. Pour en lire plus...
  9. Après des mois de discours rassurants sur la solidité de l'économie québécoise, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, admet que son prochain budget sera déficitaire. Pour en lire plus...
  10. Le 39e Forum économique mondial s'est ouvert avec des discours des premiers ministres chinois et russe, qui ont tous deux souligné la responsabilité de la finance occidentale dans la crise actuelle. Pour en lire plus...
  11. Mardi prochain, sur le coup de midi, le 44e président américain, Barack Obama prononcera son discours inaugural. Un discours historique. Un discours qui aura des répercussions majeures sur l'économie et la Bourse. Pour en lire plus...
  12. Le président élu américain estime que seul un plan de relance massif pouvait éviter de longues années de récession et un taux de chômage à deux chiffres. Pour en lire plus...
  13. Stephen Harper va «empirer» la récession s'il n'investit pas massivement dans l'économie canadienne, a averti hier le financier Stephen Jarislowsky dans un discours prononcé à Montréal. Pour en lire plus...
  14. Publié le 19 novembre 2008 à 18h53 | Mis à jour à 19h05 Le discours du Trône risque de susciter le mécontentement au Québec Fannie Olivier La Presse Canadienne Ottawa Le discours du Trône présenté aujourd'hui risque de faire des vagues dans un Québec en pleine campagne électorale, alors que de nombreuses mesures mises de l'avant par les conservateurs s'opposent aux positions traditionnellement défendues au Québec. Ainsi, par la voix de la gouverneure générale Michaëlle Jean, le premier ministre Stephen Harper a laissé entendre aux Québécois qu'ils pouvaient s'attendre à voir leur poids diminuer à la Chambre des communes au profit des provinces de l'Ouest et de l'Ontario. Une réforme du Sénat est également prévue, ce à quoi s'est traditionnellement opposé le Québec, tout comme à la mise sur pied d'une commission unique des valeurs mobilières, une autre des propositions conservatrices. Le Protocole de Kyoto, qui fait par ailleurs consensus au Québec, paraît définitivement écarté de la ligne de mire des conservateurs dans ce discours du Trône, et rien n'est mentionné sur un éventuel réinvestissement dans les programmes culturels, sabrés au printemps. Le chef du Bloc québécois, Gilles Duceppe, a dit constater qu'aucune de ses recommandations auprès de M. Harper n'avaient été retenues et que son parti allait conséquemment voter contre le discours du Trône. Se portant à la défense des orientations choisies par le gouvernement conservateur, le nouveau lieutenant de Stephen Harper au Québec, le ministre Christian Paradis, a fait valoir que des passages du discours portaient sur une «charte du fédéralisme d'ouverture» et, qu'à nouveau, on y trouvait la volonté des conservateurs de limiter le pouvoir du fédéral de dépenser. M. Paradis a dit ne pas voir de problème à ce que le poids du Québec fléchisse aux Communes et trouve que cela est simplement démocratique. Selon lui, les Québécois n'ont qu'à faire plus d'enfants s'ils veulent conserver la même proportion de députés en Chambre. «C'est juste, il faut être démocrate. Si le Québec veut avoir plus de sièges, faudrait peut-être faire plus d'enfants. Moi, j'en ai trois déjà», a-t-il lancé. Il a également souhaité rassurer le Québec au sujet de la commission des valeurs mobilières commune, une idée à laquelle s'oppose tant l'Assemblée nationale que l'Autorité des marchés financiers (AMF). «Il n'y aura rien qui sera obligatoire pour personne, ce sera sous une base volontaire (...). Rien ne sera imposé à aucune province d'aucune manière que ce soit», a-t-il spécifié. Les détracteurs d'une telle commission des valeurs mobilières craignent notamment que le secteur financier délaisse Montréal au profit de Toronto. Déception des chefs provinciaux Les chefs des partis provinciaux, qui en étaient à leur quinzième jour de campagne, ont tous réagi au discours du Trône des conservateurs en manifestant leur déception. Le chef libéral Jean Charest, qui a indiqué qu'il commenterait le discours plus en détails dans le futur, a néanmoins fait savoir qu'il ne resterait pas les bras croisés si des mesures allaient à l'encontre de l'intérêt du Québec. «Le point de départ, à nouveau, c'est de pouvoir bien identifier nos intérêts à nous, et bien les défendre», a-t-il indiqué. Selon la chef péquiste Pauline Marois, M. Harper marginalise le Québec avec ce discours du Trône. «Il fait exactement la preuve que de reconnaître la nation québécoise, ça ne voulait strictement rien dire», a-t-elle lancé, ajoutant qu'il fallait livrer bataille au fédéral pour protéger les droits de la province. Même le chef adéquiste Mario Dumont, qui avait pourtant appuyé M. Harper lors de la dernière campagne électorale fédérale, a exprimé son mécontentement. «Aujourd'hui, ce qu'on voit, c'est que les besoins du Québec, ils sont secondaires, a-t-il déclaré en point de presse à Sainte-Thérèse. Je le sens comme ça, je trouve ça très malheureux. Je pense que de la part du gouvernement fédéral, ça engage mal la suite des choses.» Il est allé jusqu'à avancer qu'à ses yeux, «c'est comme si on était en train de préparer, au niveau de l'avenir du Canada (...) une ronde Canada (de négociations constitutionnelles) sans le Québec».
  15. Les municipalités accueillent favorablement les investissements dans les infrastructures, les chambres de commerce sont inquiètes, tandis que les organisations syndicales sont déçues. Pour en lire plus...
  16. Dans un discours du Trône axé sur l'économie, le gouvernement Harper n'écarte pas un déficit l'an prochain, et prévoit un soutien aux industries automobile et aérospatiale. Il envisage aussi de réformer certaines institutions de la fédération. Pour en lire plus...
  17. Le secteur manufacturier au Canada et en particulier la construction automobile et l'aérospatiale se fragilisent de plus en plus, a précisé Michaelle Jean lors du discours du trône. Pour en lire plus...
  18. Les principaux indices boursiers nord-américains ont ouvert à la baisse vendredi en dépit d'un discours rassurant du président américain qui défend l'efficacité des mesures économiques prises par son gouvernement. Pour en lire plus...
  19. New York ouvre en légère hausse jeudi, tandis que Toronto baisse, au lendemain du discours du président américain sur la crise. Pour en lire plus...
  20. Le président George W. Bush n'a pas hésité à parler d'«économie en danger» et de «période sans précédent pour l'économie américaine». Pour en lire plus...
  21. Québec : revenus conformes aux attentes * Presse Canadienne, * 07:39 Malgré le ralentissement économique, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, n'a pas encore constaté de baisse notable dans les revenus du gouvernement, qui demeurent conformes aux prévisions. Dans un discours prononcé mardi dans le cadre d'une conférence sur l'éducation financière, à Montréal, la ministre a admis que le paysage économique actuel était "turbulent et préoccupant". Malgré tout, "les revenus (du gouvernement) sont à peu près ce que j'avais escompté, a-t-elle déclaré. (...) Alors tout ce que je peux faire, c'est me croiser les doigts que ça va continuer." La plupart des institutions financières du pays ont revu à la baisse leurs prévisions économiques pour le Québec en 2008. Mais en se fondant sur les revenus qui entrent chaque semaine dans les coffres de l'Etat, Mme Jérôme-Forget ne sent pas le besoin de faire de même pour l'instant. En mars, dans son discours du budget, la ministre tablait sur une croissance économique de 1,5 pour cent au Québec en 2008. A l'instar des économistes, la ministre croit que les investissements gouvernementaux de 30 milliards $ en cinq ans dans les infrastructures contrebalancent le ralentissement dans d'autres secteurs, notamment au chapitre des exportations. Le Mouvement Desjardins, pour sa part, anticipe une croissance de tout juste un pour cent au Canada et au Québec en 2008. Monique Jérôme-Forget a néanmoins confié qu'elle "contrôle beaucoup les dépenses actuellement" afin de juguler une éventuelle baisse des revenus. Par ailleurs, la ministre a indiqué que le gouvernement s'apprêtait à dévoiler un plan "pour tirer un meilleur profit du potentiel énergétique, minier et touristique" du nord du Québec.
  22. Les prévisions faites en juillet par la Banque du Canada ont été déjouées, indique le sous-gouverneur David Longworth aujourd'hui pendant un discours. Pour en lire plus...
  23. Tandis que les premiers ministres Fillon et Charest annoncent plusieurs accords de coopération, M. Fillon doit se défendre d'avoir fait allusion au «Vive le Québec libre» dans un discours jeudi. Pour en lire plus...
  24. Le président et chef de la direction de la Corporation financière Power a fustigé jeudi les règles canadiennes de gouvernance d'entreprise lors d'un discours. Pour en lire plus...
  25. Une autorité réglementaire unique envers et contre tous 27 juin 2007 - 18h30 Presse Canadienne Agrandir Le ministre des Finances Jim Flaherty Le ministre fédéral des Finances affirme être déterminé à aller de l'avant avec son projet d'autorité réglementaire nationale des valeurs mobilières, malgré l'opposition de la plupart des provinces. Dans le texte d'un discours prévu pour une conférence sur la réglementation des valeurs mobilières, le ministre Jim Flaherty affirme qu'il s'apprête à nommer un comité d'expert qui aura pour objectif de recommander, d'ici six mois, de nouvelles approches pour améliorer le système actuel. «Je suis grandement inquiet du fait que certains investisseurs canadiens estiment qu'il est nécessaire de se fier sur les États-Unis pour tenir les compagnies responsables de leurs actions», a indiqué M. Flaherty. «Bien franchement, notre gouvernement n'est pas prêt à accepter le statu quo», a-t-il ajouté. Une copie du discours a été obtenue avant qu'il ne soit prononcé. La semaine dernière, la plupart des ministres des Finances des provinces ont rejeté la proposition du ministre Flaherty pour la mise en place rapide d'une seule autorité réglementaire avec des règles uniformes dans l'ensemble du pays, plutôt que d'opter pour un «système de passeport» qui vise à coordonner et harmoniser les lois sur les valeurs mobilières des différentes juridictions. Seule l'Ontario, où se trouvent le plus grand marché boursier canadien et la plus importante commission des valeurs mobilières, appuie la proposition de Jim Flaherty. Selon le ministre fédéral, le système de passeport serait un pas en avant mais il resterait inadéquat puisqu'il laisserait en place 13 différentes autorités réglementaires avec 13 ensembles de lois et 13 échelles de frais. De plus, a-t-il ajouté, le Canada doit se joindre au mouvement mondial vers le libre-échange des valeurs mobilières et il devra avoir une seule autorité réglementaire pour se lancer dans de tels projets. «Pour réussir dans l'économie mondiale, nous devons mettre le bon système en place et offrir aux investisseurs une protection de classe mondiale», a-t-il indiqué
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