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  1. https://maps.google.ca/maps?q=7272+clark,+montr%C3%A9al&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.534783,-73.620462&spn=0.00251,0.005681&sll=45.502602,-73.565875&sspn=0.020092,0.045447&t=h&hnear=7272+Rue+Clark,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H2R&z=18&layer=c&cbll=45.534783,-73.620462&panoid=aFTt9TaFFPmqgZCFObE6bg&cbp=12,208.94,,0,-3.82 Au cœur d’un quartier en plein essor, l'Espresso est un immeuble de type loft urbain. Ce bâtiment industriel style art-déco sera entièrement aménagé en copropriétés résidentielles. Localisé à moins de 100 mètres du métro Castelnau, tout près du marché Jean-Talon, Parc Jarry et de la petite Italie, cet immeuble offre un emplacement exceptionnel et sera composé de dix-huit unités (avec ou sans garage). Tous les niveaux seront desservis par un ascenseur. Les plafonds en béton et les colonnes structurales archées offrent un niveau d’insonorisation et un cachet intérieur appréciés d’une clientèle branchée. L'ouverture du bureau des ventes fut officiellement inaugurée avec un grand succès le 17 mars 2012. En date du d'auhourd'hui, 13 unités sur 18 ont été réservées par voie de contrat préliminaire. SVP veuillez contacter le courtier, M. Ghislain Quevillon au 514-220-9149 qui vous guidera rapidement dans le choix des unités restantes selon vos besoins. La plupart des acheteurs apprécient grandement la grande qualité de finition intérieure qui est comprise dans le prix de base ainsi qu'une localisation tout à fait unique. http://condo-ahuntsic-villeray.ca/index.html
  2. Il semble que depuis la fin 2014, Montréal est en train d'explorer la possibilité de recouvrir l'autoroute Décarie dans le secteur Namur/De la Savane. Il y aurait au moins 2 hypothèses à l'étude. L'étendue de ce potentiel recouvrement n'est pas mentionnée. http://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=1a3f81aa-ccb1-4046-9821-9ffa7f0254e2
  3. Des femmes exclues d’un chantier à proximité d’une mosquée TVA Nouvelles | Publié le 12 décembre 2017 à 12:59 - Mis à jour le 12 décembre 2017 à 19:57 Le propriétaire de deux mosquées a fait des pressions sur un entrepreneur pour qu’il n’y ait aucune femme sur des chantiers de construction à proximité de ses lieux de culte, le jour de la prière du vendredi. Celui qui possède notamment la mosquée Ahl-Ill Bait, située dans l’arrondissement Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, à Montréal, a d’abord demandé à l’entrepreneur de ne pas faire de travaux le vendredi pour ne pas nuire au jour de la prière. Cette requête lui a été refusée en raison des retards qui en auraient résulté. Il a ensuite réclamé que les femmes ne soient pas visibles les vendredis sur les chantiers à proximité des deux mosquées. Cette clause est d’ailleurs écrite noir sur blanc dans le contrat signé par l'entrepreneur. La mesure vise cinq femmes, quatre signaleuses et une ingénieure, qui ont dû être réaffectées ailleurs, selon une information obtenue via le compte Facebook de TVA Nouvelles. «En retrait, juste un peu plus loin» «Aujourd’hui, dans la construction, on a beaucoup de femmes, parce qu’on a réussi à les faire rentrer [dans le milieu]», a indiqué Jean-Sébastien Samson, contremaître pour l'entreprise G-Tech, à TVA Nouvelles. M. Samson a mentionné qu’une travailleuse visée par la demande a «travaillé pareil», mais que sa présence a nécessité quelques accommodements. «Elle n’a pas manqué de travail parce qu’elle ne pouvait pas être là, sauf qu’on l’a mise juste en retrait, un peu plus loin», a-t-il expliqué. Pour sa part, le PDG de Map Signalisation n'a pris connaissance de cette exigence que lundi, car il était absent depuis deux semaines. «Je trouvais ça complètement inacceptable», a déclaré Marc-Alexandre Perreault à TVA Nouvelles. Malgré tout, il s'est senti obligé de donner son aval à cette demande. «On m'a dit qu'elle serait en danger si elle travaillait le vendredi. Une fois, elle a été obligée de travailler et elle devait être accompagnée d'un travailleur», a ajouté M. Perreault qui a évoqué des menaces et de l'intimidation. Il maintient que les femmes ont leur place sur les chantiers de construction. «Peu importe, le chantier, peu importe l'endroit, les femmes ont autant le droit de travailler sur n'importe quel chantier», a-t-il insisté. «Inacceptable» La porte-parole de l'opposition officielle en matière de condition féminine, Catherine Fournier, estime qu'il s'agit d'un cas de discrimination. «Ça va à l'encontre de la Charte des droits et libertés du Québec. Moi, je trouve ça totalement inacceptable que la religion serve de prétexte pour violer l'égalité entre les hommes et les femmes», a affirmé la députée Catherine Fournier. Les responsables des mosquées se défendent d'avoir demandé aux entreprises d'empêcher les femmes de travailler sur les chantiers le vendredi et parlent d'un coup monté. «Il y a quelqu'un qui est derrière ça, qui veut du mal à la mosquée. Je ne sais pas, moi», a affirmé l'un d'eux. Le chantier est actif depuis un peu plus d’un mois dans ce secteur de la ville. Les femmes qui y oeuvraient ont été déplacées du site il y a trois semaines. Les collègues des femmes visées songent à perturber la prière de vendredi en organisant une manifestation devant ces mosquées. ********************************************************************************************************************************************************************************* The response of the protagonists when challenged by the female reporter @01:18 is epic. The fact of the matter is for sake of political correctness: women did accept being withdrawn working contracts for fear of not offending those pure believers employers did sign up for dire conditions imposed by way of threats and intimidation this is a harsh reality check depicting the kind of immigrants securing the Certificate de Sélection... though dunno how much of a "selection" was done to come up with such "Quebecois" who contemptibly reply in gibberish English in response to a question clearly formulated in French. So much for Montreal's cowardliness and hypocrisy for not taking a bold stance against obscurantism and legislating accordingly. For several reasons, it's starting to turn into a cocky city that's standing off from the rest of Quebec.
  4. Il en avait été questions il y a plusieurs mois et je croyais que la ville avait finalement abandonnée l'idée... mais voilà qu'on en jase à l'Hôtel de ville : Merci à IluvMTL 20.20 Contrat de services professionnels CA Bureau du directeur d'arrondissement - 1131145005 Accorder un contrat de services professionnels de 285 425,44 $ à Affleck de la Riva architectes pour l'aménagement du square Cabot et autoriser une dépense maximale de 342 510,53 $ (appel d'offres public VMP-13-026- 6 soumissionnaires) District(s) : Peter-McGill
  5. http://plus.lapresse.ca/screens/7992de4d-86f0-4616-a516-01b02755de55%7C071LNV8SZNGj.html Envoyer par Courriel ACTUALITÉS FINIE LA PUBLICITÉ AUTOUR DES PONTS JACQUES-CARTIER ET CHAMPLAIN BRUNO BISSON LA PRESSE La vue offerte aux automobilistes sur les berges du fleuve Saint-Laurent va s’embellir, au cours des prochains mois, avec la disparition des 29 immenses panneaux publicitaires bordant le pont Jacques-Cartier, l’autoroute Bonaventure et l’ensemble du corridor fédéral du pont Champlain. La société des Ponts Jacques-Cartier et Champlain (PJCCI), qui gère les infrastructures fédérales de transport dans la grande région de Montréal, a décidé de ne pas renouveler son contrat d’affichage de 15 ans avec la firme CBS Affichage (aujourd’hui Outfront Media) et de faire démanteler ces « super-panneaux » qui gâchent la vue, qui enfreignent la loi québécoise sur la publicité le long des routes, et dont la présence devenait de plus en plus encombrante pour les chantiers routiers. Ces panneaux rapportaient chaque mois plus de 280 000 $ à la société fédérale, selon la directrice des communications de PJCCI, Julie Paquet. Lorsque le contrat de 15 ans a expiré, le 31 mai dernier, la société a envisagé de lancer un appel d’offres, mais a estimé que le jeu n’en valait pas la chandelle, et ce, pour diverses raisons. La majorité des revenus publicitaires de ces panneaux provenait des 17 panneaux du corridor du pont Champlain qui rapportaient environ 200 000 $ par mois, selon Mme Paquet. Or la propriété de ce corridor fédéral a été récemment transférée à Infrastructure Canada, en vue de la construction du nouveau pont Champlain. Les 12 autres panneaux situés en bordure du pont Jacques-Cartier et de l’autoroute Bonaventure rapportaient quant à eux 83 771 $ par mois, lorsque le contrat a expiré, dit Mme Paquet. PANNEAUX DÉMOLIS Toutefois, en raison des importants chantiers de réfection déjà en cours, et qui vont durer plusieurs années, la présence des imposantes structures de soutien de ces panneaux posait de plus en plus souvent des problèmes. Enfin, souligne Mme Paquet, ces panneaux ne respectaient pas la Loi québécoise sur la publicité le long des routes, qui exige qu’ils soient situés à au moins 300 mètres du pont – ce qui est loin d’être le cas des deux côtés du pont Jacques-Cartier. Le 1er juin, toutes les publicités devaient être retirées des panneaux publicitaires du pont et de l’autoroute Bonaventure. Ils devront rester blancs jusqu’à leur démantèlement et à la démolition des structures de support, prévus d’ici un maximum de trois mois. sent via Tapatalk
  6. http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2013/03/12/001-cae-contrats-formation.shtml
  7. Un complexe hôtelier de 120M$ sera construit à Montréal-Trudeau Mise en ligne 15/06/2006 10h29 Mise à jour 15/06/2006 12h01 Aéroports de Montréal a confié à un consortium formé de Groupe Axor, de Marriott International (MAR) et d'un investisseur institutionnel le projet de 120M$ visant la construction d'un hôtel de 275 chambres et la relocalisation du secteur des départs transfrontaliers à l'aéroport Montréal-Trudeau. ADM a précisé jeudi en dévoilant les détails du projet que le contrat a été accordé au terme d'un appel de propositions lancé en décembre dernier dans le cadre duquel six consortiums avaient été invités à soumettre des propositions, rapporte la Presse Canadienne. Le consortium retenu, appelé Société en commandite Adamax Immobilier, assurera le financement intégral, la conception, la réalisation, l'opération et l'entretien de l'établissement hôtelier, qui sera érigé à proximité de la jetée transfrontalière et qui aura sa propre rampe d'accès. L'hôtel, qui arborera la bannière Marriott, devrait ouvrir ses portes à l'été de 2008. En vertu du contrat, Adamax aura à construire certains ouvrages qui seront intégrés dans la structure de l'hôtel, à savoir l'enveloppe du futur hall des départs transfrontaliers, qui occupera les deux premiers niveaux de l'immeuble, de même que l'enveloppe de la future gare ferroviaire de Montréal-Trudeau, localisée sous l'hôtel. De plus, Adamax financera, construira et louera à Aéroports de Montréal un étage additionnel pour abriter ses bureaux administratifs, qui se trouvent actuellement au centre-ville. ADM a précisé qu'environ 60M$ des 120M$ du projet seront assumés par le consortium pour la réalisation de l'hôtel et du siège social d'Aéroports de Montréal et que, de son côté, elle investira l'autre portion de 60M$ pour les ouvrages reliés au secteur des départs transfrontaliers et à la gare ferroviaire.
  8. Compteurs d'eau: le vérificateur enquêtera Jeanne Corriveau Édition du mardi 07 avril 2009 L'administration Tremblay veut savoir si Montréal paye trop cher Incapable d'étouffer la controverse entourant les compteurs d'eau, le maire Gérald Tremblay a décidé de confier le dossier au vérificateur général de la Ville afin qu'il examine le processus ayant mené à l'octroi du contrat de 355 millions de dollars au consortium Génieau. Il dit souhaiter que la lumière soit faite sur les allégations d'irrégularités soulevées récemment. La Ville de Montréal a-t-elle payé trop cher l'installation des compteurs d'eau dans les entreprises et les institutions? Les règles d'octroi du contrat ont-elles été respectées? Ce sont des questions sur lesquelles le vérificateur général pourra se pencher. Interpellé sur la question des compteurs d'eau à l'occasion d'une conférence de presse sur les infrastructures tenue en compagnie du premier ministre Jean Charest hier après-midi, le maire Tremblay a fait savoir qu'il ferait appel au vérificateur général. Dans son édition de samedi, La Presse rapportait les propos du directeur général de la firme Master Meter Canada Inc., Jean-Claude Lauret, qui soutenait que ce contrat aurait dû coûter autour de 200 millions, soit 155 millions de moins que le prix obtenu par la Ville. Montréal paiera 355 millions pour l'installation et l'entretien de 32 000 compteurs d'eau pendant 15 ans et pour la construction d'un système de contrôle dans son réseau de distribution. De son côté, Toronto installera 72 000 compteurs pour la somme de 219 millions. Le maire Tremblay a indiqué que tous les détails du dossier seraient transmis au vérificateur général. «Lorsque je serai en possession de toute cette information, j'ai l'intention de la remettre au vérificateur général pour qu'il fasse les vérifications nécessaires. Il a le plein pouvoir pour le faire», a-t-il dit. «On a la responsabilité comme gestionnaire responsable et imputable de faire la lumière sur des allégations d'irrégularités ou encore sur des allégations selon lesquelles il y aurait eu un écart de 155 millions de dollars, a-t-il poursuivi. Nous allons le faire dans les plus brefs délais.» Le cas Zampino Ce sera au vérificateur de déterminer quels éléments il souhaite examiner, car, outre les coûts du projet et les procédures d'octroi du contrat, le dossier des compteurs d'eau soulève des questions sur la conduite de Frank Zampino, ex-président du comité exécutif, et sur une apparence de conflit d'intérêts. Rappelons qu'à deux reprises, M. Zampino a effectué un voyage sur le bateau de l'un des soumissionnaires et ami de longue date, Tony Accurso. Son premier voyage remonte à janvier 2007, soit quelques semaines après la qualification des soumissionnaires et avant que la Ville n'arrête son choix sur le consortium Génieau formé des entreprises Simard-Beaudry, propriété de Tony Accurso, et Dessau, qui a embauché Frank Zampino en 2008. Au cabinet du maire, on indique toutefois que les pouvoirs du vérificateur général se limitent à l'examen de la conformité aux lois, aux règlements, aux politiques et aux directives en vigueur. Ce sera donc au vérificateur de juger s'il est en mesure de se prononcer sur un possible conflit d'intérêts dans ce dossier. En fin d'après-midi, à l'hôtel de ville, le directeur adjoint du Service des transports, des infrastructures et de l'environnement, Gilles Robillard, a tenté de démontrer que le coût du contrat accordé à Génieau n'était pas prohibitif. Avant de lancer le processus d'octroi de contrat, le bureau de projet de la Ville s'est associé à la firme BPR pour faire une évaluation préliminaire des coûts à la lumière de données provenant de fournisseurs de compteurs d'eau et d'entrepreneurs en construction. Pour le premier volet du projet, soit l'installation de 32 000 compteurs d'eau, cette évaluation s'élevait à 106,8 millions, alors que pour la construction des chambres de vannes, l'estimation se chiffrait à 214 millions. C'est ainsi qu'une soumission témoin a pu être élaborée. Or, l'écart entre la soumission retenue et cette soumission témoin n'est que de 2 %, a précisé M. Robillard. Quant aux comparaisons établies avec Toronto, M. Robillard a soutenu que le contrat consenti par Montréal était beaucoup plus complexe. À Toronto, il s'agit essentiellement de remplacer 72 000 compteurs qui sont déjà installés, a-t-il soutenu, alors qu'à Montréal, on installe 32 000 compteurs dans des entreprises et institutions qui n'en sont pas dotées à l'heure actuelle. «Dans notre cas, il y a des mesures d'accompagnement auprès des propriétaires, la mise en place d'un système d'information, un suivi qu'il faudra faire sur une période de 25 ans en plus de l'installation des compteurs. On est relativement confiants que les données de Toronto et celles de Montréal sont similaires et que le prix obtenu correspond au marché», a-t-il expliqué. Ainsi, chaque compteur installé à Montréal coûtera 3337 $ alors qu'à Toronto, le montant s'élève à 3041 $, a-t-il précisé. Trois firmes avaient soumissionné ce contrat, le plus important jamais octroyé par la Ville, soit Génieau, Catania Groupe SM, à 395 millions, et le consortium réunissant SNC-Lavalin, Suez Environnement et Gaz Métro, qui a finalement retiré sa proposition, alléguant que les délais imposés pour déposer une soumission étaient trop serrés. La tourmente entourant l'octroi du contrat à Génieau a par ailleurs relancé le débat sur l'éthique à l'Hôtel de Ville. Comme aucun code d'éthique n'a été entériné par le conseil municipal, les élus montréalais doivent, à l'instar de leurs collègues des autres villes du Québec, se soumettre aux dispositions de la Loi sur les élections et les référendums dans les municipalités et à celles de la Loi sur les cités et villes. La semaine dernière, le chef de l'opposition, Benoit Labonté, avait réclamé que la Ville se dote d'un commissaire à l'éthique et qu'elle adopte un code de conduite contraignant pour ses élus.
  9. Montréal, le 16 avril 2010 - Le maire de Montréal et président du comité exécutif, M. Gérald Tremblay, présente un compte rendu des principales décisions prises par le comité exécutif (CE) lors de la séance du mercredi 14 avril 2010. Affaires contractuelles À cette occasion, les élus du comité exécutif ont approuvé des dossiers concernant les affaires contractuelles de la Ville de Montréal, dont : • un contrat de 442 990 $ à Fonderie Bibby Sainte-Croix pour la fourniture des grilles de caniveaux dans le secteur de la Place des Arts du Quartier des spectacles. Ces grilles viendront assurer la sécurité des cyclistes et des piétons et contribueront à développer une signature distinctive pour le Quartier des spectacles. Il s'agit d'un pas de plus dans le développement de ce projet phare pour Montréal. • un contrat de 591 719 $ à Ambidex pour la réalisation de services généraux de design muséographiques, de la fabrication et l'installation de l'aire d'Exposition permanente de l'Insectarium. Ce contrat aboutira sur une nouvelle exposition permanente à l'Insectarium qui est déjà une figure de proue dans le domaine muséologique. Cette nouvelle exposition utilisera le mobilier existant tout en modifiant l'éclairage et en réaménageant les espaces actuels. • un contrat de 191 799 $ à Prisme 3 inc. pour le remplacement des outils d'interprétation du Biodôme. Le remplacement des outils d'interprétation est devenu nécessaire afin de s'adapter aux nouvelles réalités technologiques. La volonté de l'Administration d'offrir des équipements de qualité amènera les Muséums Nature à se démarquer davantage parmi les autres musées de ce genre. Les outils actuels ont 17 ans d'âge et sont désuets. • un contrat de 997 200 $ aux Entreprises QMD pour le remplacement et la modification des garde-corps, le réaménagement des éco transits et l'installation de bornes interactives au Biodôme. Ce contrat s'inscrit dans les efforts de l'Administration de moderniser ses équipements scientifiques. Les nouveaux garde-corps de la forêt tropicale et les bornes interactives à écrans tactiles sont des exemples concrets de cette modernisation. • un contrat de 592 012 $ à Troc-Chaînes pour les travaux de sécurisation de la falaise au périmètre du réservoir Vincent-d'Indy. La sécurisation de la falaise préviendra toute chute de roche qui pourrait endommager le réservoir ou blesser quelqu'un. Ces travaux sont préalables à la construction d'un terrain de soccer synthétique qui viendra répondre aux besoins et aux attentes des adeptes de ce sport. • un contrat de 4 050 886 $ aux Installations électriques Pichette pour la réalisation des travaux de réfection et de modernisation de distribution électrique du secteur de la filtration à l'usine Atwater. Ces travaux viendront raccorder les nouveaux systèmes de désinfection avec du nouveau filage et de nouvelles boîtes de fusibles assurant ainsi une meilleure sécurité. Le montant total accordé pour ces travaux est de 27% inférieur aux estimations de la Ville de Montréal. • l'approbation d'un accord de développement entre la Ville de Montréal et DEVIMCO pour la réalisation de la phase 1 du nouveau projet Griffintown. Il s'agit d'une excellente nouvelle pour Montréal qui voit un projet économique, commercial et résidentiel d'envergure se réaliser. • l'abrogation d'une résolution afin d'approuver un projet d'acte avec l'OBNL Ma Maison Mon Toit à des fins de construction résidentielle dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. La vente de ce terrain est conforme à la politique de cession de terrain à des fins de logements sociaux. Ce projet permettra la construction de plus de 29 logements sociaux dans un secteur de la Ville à proximité des transports collectifs. • divers soutiens financiers à même l'Entente avec le ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale pour la lutte à la pauvreté et à l'exclusion sociale. Ainsi, Jeunesse au Soleil, Moisson Montréal, Répit-Providence, les Magasins-Partage, Intégration Jeunesse, le Dispensaire diététique le Regroupement des cuisines collectives et Cybercap et AlterGo se partageront plus de 1 M$ pour venir en aide aux plus démunis de la société. • d'autres soutiens financiers, mais cette fois à même le budget de la Ville de Montréal afin de venir en aide aux moins nantis. Ainsi, AlterGo recevra des sommes additionnelles pour organiser toutes les activités en matière d'accompagnement en loisirs. Administration et finances Également, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • une autorisation à la direction des affaires institutionnelles à payer la somme de 12 546 euros représentant la cotisation 2010 de la Ville de Montréal à Métropolis et à CGLU. La Ville de Montréal y joue un rôle très important et y consolide ses liens avec les autres grandes villes du monde. • l'autorisation d'une dépense de 105 491$ pour la rétention de services professionnels pour procéder à une étude de l'aménagement d'un lien cyclable sur le boulevard des Galeries d'Anjou. La Ville profitera des travaux effectués par le ministère des Transports du Québec sur le pont d'étagement pour y installer une piste cyclable. Il s'agit d'un autre projet qui vient confirmer le choix de l'Administration en faveur du transport collectif et actif. Réglementation Par la suite, les membres du CE ont adopté des dossiers portant sur : • l'adoption d'un règlement autorisant un emprunt de 30 millions de dollars afin de financer les travaux d'aménagement et de réaménagement du domaine public, incluant les travaux d'infrastructures et l'acquisition d'immeubles et de mobilier urbain dans le cadre du projet Griffintown – secteur Peel-Wellington. • l'adoption d'un règlement modifiant le règlement sur la salubrité, l'entretien et la sécurité des logements. L'Administration en a également profité pour adopter les mesures de renforcement de l'application de la réglementation en matière de salubrité respectant ainsi son engagement envers les locataires aux prises avec des propriétaires récalcitrants. L'Administration est donc conséquente avec le principe de tolérance zéro face à l'insalubrité. • La nomination de la salle multifonctionnelle Iro-Valaskakis-Tembeck en hommage à cette femme de tête et de cœur qui a marqué l'histoire de la danse et des arts à Montréal. Cette salle sera située dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce.
  10. Par Radio-Canada, http://www.radio-canada.ca, Mis à jour le: 11 mars 2010 07:01 Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point d'annoncer une nouvelle entente avec la société d'État québécoise, selon plusieurs médias américains. Hydro-Québec - Le Vermont veut renouveler son contrat La corporation américaine Green Mountain Power, du Vermont, serait sur le point de conclure une nouvelle entente avec Hydro-Québec pour l'achat d'électricité, selon des médias américains. Le porte-parole de l'entreprise américaine, Robert Dostis, a précisé qu'une annonce officielle sera faite jeudi. Des représentants de Green Mountain Power et de Central Vermont Public Service Corporation sont à Québec depuis mercredi, rapportent des médias américains. Les négociations auraient commencé il y a plus d'un an. Le premier ministre du Québec, Jean Charest, doit rencontrer son homologue du Vermont, le gouverneur James H. Douglas, jeudi. Une « annonce en matière d'énergie » est d'ailleurs prévue au programme de M. Charest, notamment avec le PDG d'Hydro-Québec, Thierry Vandal. « Nous renégocions un contrat [en vigueur depuis] 20 ans, ce qui est un gros accord pour les deux parties », a confirmé M. Charest dans une interview avec une chaîne de télévision américaine mercredi soir. Un fournisseur pourrait disparaître Le Vermont est déjà un client d'Hydro-Québec. Il achète environ le tiers de son électricité à la société d'État, soit environ 310 mégawatts à 6,5 ¢US le kilowattheure, selon le Rutland Herald. Outre Hydro-Québec, la Vermont Yankee Nuclear Power Station fournit un autre tiers de l'électricité à cet État américain. Mais le sénat du Vermont a récemment voté la fermeture de cette centrale, dont la licence expire en 2012. Quant au contrat avec Hydro-Québec, il se termine en 2015. Le représentant démocrate Tony Klein a déclaré que cette entente était « extrêmement importante » pour le Vermont. « C'est une grande source fiable d'énergie sans émission de carbone », a-t-il ajouté. Il s'attend à une extension du contrat de 10 ans, voire 20. M. Klein tente de faire passer une loi qui accorderait le qualificatif de renouvelable à l'hydroélectricité québécoise, à condition qu'Hydro-Québec s'engage pour 10 ans ou plus, selon la radio publique du Vermont. Radio-Canada.ca avec Associated Press
  11. Déjà une facture de 4 millions $ L’annulation du contrat va coûter cher aux Montréalais Agence QMI Julie Charette 23/09/2009 20h16 Avant même la présentation par le consortium GÉNIeau de la note finale pour l'annulation du contrat des compteurs d'eau, la Ville de Montréal devra d'ores et déjà débourser près de 4 millions $. Le maire de Montréal, Gérald Tremblay, a fait rouler hier deux têtes après l'annulation du contrat de 356 millions$, une décision qui coûtera à elle seule près de 427 000$ à la Ville. Les contrats de travail du directeur général, Claude Léger, et du directeur des affaires corporatives, Robert de Linval, ont ainsi été immédiatement résilié. Ces deux cadres auront toutefois droit à des indemnités de départ correspondant à 12 mois de salaire. Claude Léger touchera donc 244 494$ tandis que Robert de Linval empochera 182 070$ pour un total de 426 564$. Pénalité de 3,5 millions $ À ce montant de 426 564$, il faut aussi ajouter une pénalité de 1% en cas d’annulation, soit 3,5 millions$, incluse dans le contrat avec GÉNIeau. La Ville devra aussi vraisemblablement payer pour certains des travaux déjà réalisés par GÉNIeau. Le consortium a d’ailleurs indiqué mardi par voie de communiqué mardi qu’il évaluera dans les prochaines semaines «les conséquences financières qui résulteront de la terminaison du contrat». Nouvelle directrice générale Dans la foulée du départ de Claude Léger, le maire Tremblay a confié à la directrice générale adjointe, Rachel Laperrière, le poste de directrice générale par intérim. Le Service du capital humain de la Ville a déjà été chargé de pourvoir aux postes de directeur général et de directeur des affaires corporatives. Le poste de directeur général doit toutefois être entériné par le conseil municipal. Première femme directrice générale de la Ville de Montréal, Rachel Laperrière était auparavant responsable des parcs, des loisirs, des espaces verts, du Biodôme et du Jardin botanique.
  12. Publié le 15 juin 2009 à 23h40 | Mis à jour le 15 juin 2009 à 23h50 Rénovations à l'hôtel de ville: la SQ ouvre une enquête André Noël La Presse La Sûreté du Québec a ouvert une enquête sur une possible tentative d'extorsion et de corruption par un membre important du crime organisé et portant sur un contrat de 10,6 millions pour la réfection du toit de l'hôtel de ville de Montréal, a appris La Presse. L'entrepreneur qui a obtenu le contrat, Paul Sauvé, affirme qu'un membre d'une famille connue de la mafia lui a demandé 40 000 $, une somme selon lui destinée à deux élus du parti du maire Gérald Tremblay, Union Montréal. En échange de l'argent, M. Sauvé a compris qu'il obtiendrait l'assurance que son entreprise, L.M. Sauvé, pourrait continuer à travailler sur le chantier et à être payée par la Ville tous les mois, tel que convenu, et ce même si L.M. Sauvé était en situation de faillite. Il a rapporté cet incident à une réunion de chantier à l'hôtel de ville à la mi-mars. L'administration du maire Gérald Tremblay a immédiatement alerté le Service de police de Montréal. «Les allégations de M. Sauvé ont été portées à notre attention, a dit Jean Racicot, responsable des relations avec les médias à l'hôtel de ville. Nous ne ferons aucun autre commentaire. Nous avons transmis le dossier à la police de Montréal.» À son tour, le Service de police de la Ville de Montréal a transmis le dossier à la Sûreté du Québec. La SQ n'a voulu faire aucune déclaration à ce sujet. Mais, dans les faits, elle mène bel et bien une enquête, a indiqué un de ses agents, sous le couvert de l'anonymat. Des enquêteurs ont rencontré M. Sauvé. «Il y a des choses qui vont probablement aboutir, a confié l'agent. Le problème, c'est que ce gars-là (M. Sauvé) ressemble à du naphte : il se répand d'un bord et de l'autre. Mais c'est clair qu'on enquête.» Cinquième enquête Il s'agit de la cinquième enquête de la SQ sur des contrats octroyés par l'administration du maire Gérald Tremblay. La première a abouti à la condamnation de deux conseillers et du directeur général de l'arrondissement de Saint-Laurent en 2004. La deuxième porte sur un contrat pour la construction du centre intergénérationnel à Outremont; la troisième sur des contrats en informatique octroyés en échange de pots-de-vin. La quatrième a été déclenchée par une plainte du vérificateur général de la Ville et porte sur des transactions de la Société d'habitation et de développement de Montréal. La SQ enquête par ailleurs sur l'infiltration du crime organisé dans la construction. Pourquoi un membre de la mafia aurait-il demandé 40 000$ à un entrepreneur pour remettre cet argent, en tout ou en partie, à des conseillers municipaux? «On m'a fait comprendre que si je faisais ce versement, on me laisserait en paix», a répondu M. Sauvé au cours d'un long entretien avec La Presse. L'homme d'affaires soutient avoir eu maille à partir avec le crime organisé depuis plusieurs mois. Une de ses grues a brûlé et un contremaître l'a menacé de mort, dit-il. Des clients tardent à le payer, si bien qu'il doit lui-même retarder les paiements à ses fournisseurs et à ses sous-traitants, ajoute-t-il. Quand il a révélé la tentative d'extorsion à la réunion de chantier, l'administration municipale menaçait de l'expulser du chantier, en raison de ses difficultés financières, et de faire continuer les travaux sur le toit de l'hôtel de ville par une autre entreprise, a-t-il affirmé. M. Sauvé nous a donné le nom du membre du crime organisé qui, selon lui, lui a demandé 40 000$, ainsi que les noms des conseillers municipaux à qui l'argent aurait été destiné. La Presse n'a pu parler avec cet individu, et n'a aucune information montrant que les conseillers municipaux ont été mêlés à cet incident. M. Sauvé n'a pas fait le versement de 40 000$ qui lui était demandé. Aujourd'hui, le chantier de l'hôtel de ville tourne au ralenti. M. Sauvé essaie d'empêcher son entreprise de faire faillite : il doit faire une proposition à ses créanciers la semaine prochaine. La Presse a pu corroborer certaines parties de son témoignage, mais pas toutes. Un contrat controversé Le contrat de réfection du toit et des mansardes de l'hôtel de ville baigne dans la controverse depuis le début. Un couvreur a déposé une soumission beaucoup plus basse que ses concurrents, mais a été écarté parce que la Ville a jugé qu'il n'avait pas les qualifications suffisantes. Trois autres entrepreneurs se sont qualifiés, dont M. Sauvé: c'est lui qui a eu le contrat, en mars 2008, parce qu'il était considéré comme le plus qualifié. Il l'a obtenu pour 10,6 millions de dollars même si un de ses concurrents offrait de faire le travail pour un peu moins cher. Des entrepreneurs ont protesté, y compris au conseil municipal. L'un d'entre eux a pu exprimer ses doléances à un membre du comité exécutif. Un soumissionnaire a déposé une demande d'injonction. Un autre a menacé de poursuivre la Ville. «Tout le monde se liguait pour m'empêcher d'ouvrir le chantier, a dit M. Sauvé. J'ai essayé moi aussi d'avoir une rencontre au comité exécutif, mais je n'y arrivais pas. Les fonctionnaires me disaient que le contrat serait probablement annulé, et qu'il y aurait un nouvel appel d'offres.» Constatant que son entreprise avait été choisie, mais qu'elle ne réussissait pas à avoir le feu vert pour commencer le travail, M. Sauvé a cru bon de demander à un autre entrepreneur de l'aider à boucler son contrat. M. Sauvé connaissait bien cet entrepreneur. Il savait qu'il avait des relations un peu partout, dans l'industrie de la construction, dans les milieux politiques... et dans le crime organisé. Son nom, qu'il a donné à La Presse, apparaît en effet dans les documents de l'enquête Colisée sur la mafia. «Ce gars-là savait que j'avais des problèmes, a confié M. Sauvé. Il m'a dit: "Oui, j'en ai entendu parler, mais ce n'est pas avec des avocats que ça va se régler." Il m'a fixé un rendez-vous.» Quand M. Sauvé s'est présenté à cette rencontre, il affirme qu'il a eu la surprise d'y voir le couvreur dont la soumission avait été rejetée à l'hôtel de ville, ainsi qu'un troisième entrepreneur et un membre connu de la mafia. Il s'est laissé convaincre de prendre ce couvreur dans son équipe. «Comme par miracle, tout s'est mis à bien fonctionner, dit-il. J'ai pu commencer à travailler. Je me suis dis : "Bon sang, ces gars-là ont du pouvoir!" Je n'en revenais pas. Mais, quelque part, je me disais : "Ouais... il y a un prix à payer, tu sais que tu vas te faire extorquer, réveille-toi.'' Je me suis justifié en me disant que c'est comme ça que ça marche dans la construction. Je me suis convaincu que c'était correct de danser avec le diable.» «Entre collaborateurs, on s'aide» L'entrepreneur qui avait joué le rôle d'intermédiaire, et suggéré la présence du couvreur disqualifié, a confirmé à La Presse que Paul Sauvé était venu le voir. Pourquoi est-il intervenu, étant donné qu'il n'était même pas soumissionnaire? «On est un groupe dans la construction, a-t-il expliqué. On collabore sur les projets ensemble. Je les connais ces gars-là (les entrepreneurs), parce qu'on fait affaire dans différents projets. S'il y a un problème, s'il y a des malentendus des fois, on prend le téléphone, et on dit : "C'est quoi le problème?" Entre collaborateurs, on s'aide.» M. Sauvé affirme que cette intervention n'a pas été gratuite. Il a dû payer plus de 60 000 $ en «honoraires». Son nouveau couvreur lui a coûté beaucoup plus cher que celui qu'il avait choisi au départ ; en fait, c'est lui qui a fait le plus gros du travail. Le membre du crime organisé qui avait participé aux rencontres a exigé des sommes supplémentaires. Des dizaines de milliers de dollars. «J'ai refusé de continuer à payer et c'est là que mes problèmes ont commencé», raconte M. Sauvé. Un contremaître a menacé de faire exploser sa voiture et, dans la nuit du 12 décembre, une de ses grues, d'une valeur de 500 000 $, a brûlé. L'entrepreneur qui l'avait aidé a dit à La Presse qu'il n'était pas au courant de ces menaces, de ces demandes d'argent et de tous ces événements. Il a confirmé qu'il connaissait le membre du crime organisé et a admis qu'il avait assisté à une rencontre avec Paul Sauvé, mais il a dit tout ignorer de son rôle. Le couvreur qu'il avait suggéré n'a pas répondu à nos demandes d'entretien. Sous le couvert de l'anonymat, un agent de la Sûreté du Québec a dit à La Presse que M. Sauvé prenait des risques importants pour sa sécurité personnelle en faisant état, sur la place publique, de ses difficultés avec le crime organisé. «Il est un des rares entrepreneurs à sonner l'alarme, a-t-il dit. C'est risqué.» M. Sauvé, de son côté, affirme qu'il n'a plus rien à perdre.
  13. Pour un pont à New York Groupe Canam décroche un contrat de 25M$ 29 avril 2009 - 07h23 LA PRESSE CANADIENNE Le Groupe Canam (CAM) a annoncé mardi avoir obtenu un contrat de 25 millions $ pour la reconstruction, la rénovation et l'élargissement du pont new-yorkais Alexander Hamilton et de ses bretelles d'accès. Le projet, qui sera réalisé par Structal-ponts, une division du Groupe Canam, comprend huit ponts et viaducs. Les travaux prévoient entre autre le remplacement d'un pont caisson en béton par un pont caisson en acier sur l'une des rampes d'accès. La fabrication des composantes sera entièrement réalisée à l'usine de Claremont, au New Hampshire, et devrait s'échelonner jusqu'en 2011. Le directeur général de Structal-ponts, Robin Lapointe, a indiqué dans un communiqué que l'entreprise avait beaucoup investi dans la formation du personnel et l'acquisition d'équipements pour réaliser de tels projets. Structal-ponts, qui emploie 350 personnes, opère une usine dans la ville de Québec depuis 1956. Elle compte également des usines à Laval et au New Hampshire. Groupe Canam exploite 12 usines spécialisées dans la conception et la fabrication de produits et de solutions de construction. L'entreprise, présente au Canada, aux Etats-Unis, en Roumanie et en Inde, emploie 2600 personnes. L'analyste financier de Canaccord Adams, Yuri Lynk, a indiqué que ce contrat était «un gain significatif» pour le Groupe Canam et qu'il représentait environ huit pour cent de son carnet de commandes, qui totalisait 313 millions $ à la fin de 2008. Les actions de Canam ont perdu un cent mardi, pour clôturer à 6,34 $ à la Bourse de Toronto.
  14. Aéronautique Héroux-Devtek décroche un contrat de 50M$ 28 avril 2009 - 09h17 Carl Renaud Argent Héroux-Devtek (HRX) a décroché un contrat de 50M$ auprès de la société Lockheed Martin Aeronautics (LMT). Progressive, la division aérostructure de Héroux-Devtek, va fabriquer des composants structuraux en aluminium pour l’appareil militaire F-35 Lighthing II. La commande sera réalisée au cours des 5 prochaines années aux installations de Progressive à Arlington au Texas. La filiale de Héroux-Devtek va fabriquer des composants structuraux complexes pour les voilures externe et interne du F-35 ainsi que pour le fuselage avant des trois versions de l’appareil de Lockheed Martin. La production de F-35 va augmenter au cours des prochaines années et elle devrait atteindre plus de 100 avions par année à la fin de l’entente entre Héroux-Devtek et Lockheed Martin en 2014. Cette nouvelle commande de 50M$ s’ajoute au contrat de 135M$ signé par les deux entreprises en 2007. L’accord signé il y a 2 ans porte sur la production de cloisons en aluminium forgé et d’autres composants complexes.
  15. Publié le 14 mars 2009 à 07h38 | Mis à jour à 09h12 Un viaduc démoli sans appel d'offres Bruno Bisson La Presse Le ministère des Transports du Québec (MTQ) a fait démolir un viaduc, le mois dernier, sans passer par le processus normal d'appel d'offres. Il a invoqué l'urgence de faire disparaître cette structure usée qui surplombait l'autoroute 10, à Brossard, sur la Rive-Sud. Dans la nuit du 7 au 8 février, la firme Excavation René Saint-Pierre, de Sherbrooke, a procédé à la démolition du pont d'étagement de la montée Gobeil - boulevard des Prairies, au-dessus de l'autoroute 10. L'ouvrage était déjà fermé à la circulation depuis plus d'un mois. La firme a touché un total de 258 354$, selon le Ministère. Ces honoraires incluaient le travail de démolition comme tel, qui a pris moins de 10 heures, ainsi que la préparation du chantier, la construction d'un chemin temporaire et la gestion de la circulation. En raison de l'emplacement du viaduc, l'A-10 a été fermée toute la nuit, à partir de l'intersection de l'autoroute 30. Le viaduc surplombait l'A-10 à quelques centaines de mètres seulement du carrefour des autoroutes 10 et 30. Il était assez peu fréquenté. À peine 200 véhicules l'utilisaient chaque jour, en moyenne. Le pont se raccordait, à l'est, à la montée Gobeil qui mène vers la Grande-Allée, à la limite de l'arrondissement de Saint-Hubert. À l'ouest, le boulevard des Prairies traversait un rare secteur non loti de Brossard jusqu'à la municipalité voisine de La Prairie. Construit en 1963, ce pont de béton a fait l'objet de plusieurs inspections au cours des dernières années. Dès 2006, le MTQ a constaté la détérioration de son tablier, qui s'est confirmée un an plus tard à l'occasion d'une nouvelle inspection. En 2008, le MTQ a demandé à une firme externe d'évaluer la capacité portante du viaduc. Le 19 décembre 2008, un rapport préliminaire a recommandé sa fermeture. Le temps de préparer un chemin de déviation et d'informer la municipalité de l'état de la structure, la circulation y a été interdite dès le 23 décembre. Le pont n'a jamais été rouvert. Un mois plus tard, le 22 janvier, le rapport d'inspection des consultants du MTQ a recommandé que l'ouvrage soit démoli dans les plus brefs délais. À cette étape, le MTQ aurait normalement dû faire un appel d'offres pour accorder le contrat de démolition à la compagnie qui aurait proposé le meilleur coût, parmi les soumissions conformes reçues. Pour éviter des délais de plusieurs semaines, le MTQ peut aussi, à l'occasion, inviter trois entreprises à soumissionner dans le cadre d'un appel d'offres sur invitation, ce qui raccourcit le délai d'intervention mais exige quand même un certain temps. Selon un porte-parole du MTQ, Paul-Jean Charest, le Ministère a plutôt décidé de confier directement le contrat à Excavation René Saint-Pierre sans solliciter d'autres offres, en invoquant une exception à la Loi sur l'attribution des contrats gouvernementaux qui met en cause «la sécurité des personnes et des biens». M. Charest demeure toutefois assez vague sur la nature de cette urgence. Il souligne seulement que les appareils sur lesquels s'appuyait le tablier du viaduc étaient en très mauvais état. Quant au choix de la firme, Excavation René Saint-Pierre a été choisie tout simplement parce qu'elle était libre et que l'équipement nécessaire à la démolition du viaduc était tout près, a expliqué M. Charest. La compagnie procédait, durant cette période, à la démolition d'un autre pont d'étagement du MTQ dans la municipalité de Mont-Saint-Hilaire, à 30 km du viaduc de la montée Gobeil. «Ils ont terminé le contrat de Mont-Saint-Hilaire le 1er février, a expliqué Paul-Jean Charest. Le lendemain, leur personnel était sur la montée Gobeil pour préparer la démolition du viaduc de Brossard. La machinerie nécessaire était déjà rendue, ou presque. Une intervention aussi rapide était impossible en suivant la procédure normale. Même avec un appel d'offres sur invitation, il aurait fallu une ou deux semaines de plus pour attribuer le contrat, sans parler de la préparation du chantier.» Le porte-parole a tenu à préciser que la pratique courante dans ce type de dossier consiste à fermer la structure affaiblie, à préparer le projet de remplacement et à confier le mandat d'une nouvelle construction. La compagnie qui obtient le mandat de reconstruction doit alors démolir le vieil ouvrage ou confie cette tâche à un sous-traitant. C'est ce qui s'est produit avec plusieurs des ponts d'étagement au-dessus de l'A-10 au cours des trois dernières années. À Saint-Alphonse-de-Granby et à Magog, en Estrie, des ouvrages désaffectés, interdits à toute circulation, sont restés en place durant des mois avant leur démolition.
  16. Des livraisons dès cette année Nova Bus obtient un contrat de 190M$ de la STM 17 février 2009 - 07h44 http://argent.canoe.com/lca/infos/quebec/archives/2009/02/20090217-074446.html Par Louis-Pierre Côté ARGENT Le constructeur d’autobus Nova Bus de Saint-Eustache vient d’obtenir un contrat évalué à environ 190M$ (1,3 milliard de couronnes suédoises) pour fournir 410 autobus à la Société de transport de Montréal. Les livraisons débuteront dès cette année et s’échelonneront sur trois ans. Les 410 autobus, de modèle LFS, remplaceront d’autres autobus construits par Nova Bus qui sillonnent les rues de la métropole depuis 1996. La commande, qui a été annoncée par la société-mère de Nova Bus, Volvo Bus Corporation en Suède, s’ajoute aux commandes déjà placées par la STM. Au cours des trois prochaines années, Nova Bus livrera un total de 958 autobus à la Société de transport de Montréal, soit 214 autobus en 2009, 427 en 2010 et 317 en 2011. Certains des autobus qui seront livrés seront des véhicules articulés. Les nouveaux véhicules seront équipés d’un système de caméras pour améliorer la sécurité des passagers. En plus d'une usine à Saint-Eustache, sur la couronne Nord de Montréal, Nova Bus exploite une usine à Saint-François-du-Lac, dans la région de Nicolet. Plus de détails à venir
  17. Le gouvernement fédéral commande à la montréalaise CAE des simulateurs de vol pour un nouvel appareil de transport des Forces canadiennes. Pour en lire plus...
  18. Publié le 06 février 2009 à 14h45 | Mis à jour à 14h54 Compteurs d'eau: le point de non retour est franchi Sara Champagne La Presse Le projet de compteurs d'eau dans les entreprises de Montréal a franchi un point de non retour. Malgré un retard de plus d'un an dans l'échéancier et des doutes soulevés quant à une apparence de conflits d'intérêts, l'administration Tremblay a signé un important contrat de 355 millions avec le consortium Génieau. Ce contrat a été signé au mois de février 2008 a appris La Presse. Le géant est formé par les firmes Simard-Beaudry et Dessau, entreprise dont le nouveau numéro deux est Frank Zampino, ancien president et grand responsable des finances au comité exécutif de la Ville de Montréal. Le contrat qui lie la Ville à Génieau pendant 25 ans est unique au Canada, voire au monde. Étant donné sa complexité, la ville de Toronto y a renoncé après l'avoir étudié. Dans sa forme, il se rapproche de la formule PPP en prévoyant une clause d'entretien de 25 ans et de réparation des compteurs d'eau pour les 15 prochaines années. Sammy Forcillo, responsable de ce dossier à l'exécutif de l'administration Tremblay, précise que la Ville demeure «maître d'oeuvre du projet, qui vise d'abord et avant tout à acquérir des mesures de la consommation d'eau à Montréal». «Ce n'est pas un contrat à sens unique, ajoute-t-il, on demeure propriétaire des compteurs d'eau.» Le 30 janvier dernier, des avis ont été envoyés à plus de 5000 entreprises de Montréal les avisant qu'un plombier passerait bientôt chez eux. Afin d'y parvenir, plus de 100 plombiers ont déjà été formés et accrédités par la Ville. Les plombiers cols bleus seront les prochains. Et signe que l'installation des compteurs a vraiment franchi un point de non retour, plus de 1000 visites de techniciens ont déjà été effectuées dans les commerces, industries et entreprises de l'agglomération. Si l'administration municipale se porte garante de l'achat des compteurs d'eau (300 millions $), et des système d'anti-refoulement (78 millions $), les entreprises devront quand même défrayer les coûts de la mise à niveau de leur tuyauterie. Selon la taille des conduites de 3 pouces et plus, les travaux vont engendrer des dépenses variant de 3000 $ à 20 000 $ aux frais des propriétaires au nombre de 30 000 à Montréal. Les entreprises pourront toutefois se qualifier pour adhérer à un programme de subvention.
  19. La compagnie québécoise fera la fabrication de pièces de remplacement pour le train d'atterrissage de l'appareil Fokker 100. Pour en lire plus...
  20. Québec préfère Telus à Bell 10 janvier 2009 - 10h42 La Presse Maxime Bergeron Le gouvernement québécois vient d'infliger toute une gifle à Bell Canada en octroyant à sa concurrente Telus un contrat de presque 1 milliard de dollars qui couvrira une bonne partie des besoins de télécommunications de l'État. Québec a lancé un appel d'offres en avril dernier pour faire migrer deux réseaux de transport de données vers un seul. Après une analyse des deux seules candidatures reçues - celles de Bell et Telus -, le ministère des Services gouvernementaux (MSG) a jugé que l'entreprise de Vancouver était plus qualifiée que sa contrepartie montréalaise pour réaliser ce mandat. «C'est Telus qui présente la meilleure proposition», a résumé Jacques Duval, porte-parole du MSG, pendant un entretien téléphonique. Le contrat s'étalera sur 5 ou 10 ans et procurera jusqu'à 923 millions à Telus. Bell, qui perd un important mandat dont il avait la charge depuis 1989, s'est engagé à collaborer pour assurer une période de transition de deux ans. Le nouveau mégaréseau desservira 160 ministères et organismes provinciaux de même que 350 établissements du secteur de la santé. Telus installera dans un premier temps tous les équipements nécessaires, puis gérera le système. Ce réseau constitue un «très gros morceau» dans l'infra-structure de télécommunications de l'État québécois, a indiqué Jacques Duval. Et il sera de plus en plus utilisé, au fur et à mesure que les besoins en bande passante augmenteront. Le transfert électronique de photos médicales, par exemple, requiert beaucoup de puissance, a-t-il expliqué. Contrat historique Chez Telus, dont le siège social québécois est situé à Rimouski, on jubilait hier. Il s'agit là d'une victoire majeure pour l'entreprise de l'Ouest canadien, qui vient décrocher un mandat de taille dans l'arrière-cour de Bell Canada. «Je peux affirmer sans l'ombre d'un doute que c'est le plus gros contrat de notre histoire», a dit Stacey Masson, porte-parole de Telus au Québec. Telus affirme que l'attribution de ce contrat n'est lié à aucune promesse de création d'emplois ou d'investissements supplémentaires au Québec, où le groupe compte environ 5000 employés. «Pas besoin de faire de promesses parce que, dans le fond, on n'aura pas le choix: on va engager au moins 200 personnes pour les besoins du contrat, surtout à Québec», a soutenu Mme Masson. C'est Nathalie Normandeau, vice-première ministre du Québec, qui a confirmé le retrait du contrat à Bell avant-hier en répondant à la question d'un journaliste en Gaspésie. Radio-Canada a diffusé la nouvelle jeudi soir. Mme Normandeau a refusé d'accorder une entrevue à La Presse Affaires hier pour donner plus de détails. Son attachée de presse nous a dirigé vers la ministre des Services gouvernementaux, Dominique Vien, qui a elle aussi refusé de nous parler. L'appel d'offres a été géré au gouvernement sans intervention du politique, a fait valoir le porte-parole de Mme Vien pour justifier ce refus. Au MSG, Jacques Duval a expliqué que les deux entreprises ont présenté leurs soumissions après avoir lu un devis technique de plusieurs centaines de pages. En gros, il s'agissait de répondre le mieux possible aux besoins de l'État «en matière de sécurité, de robustesse et de capacité du réseau», a-t-il dit. Ce que Telus aurait mieux fait que Bell. Déception La perte de cet important contrat a été reçue comme une «déception» à Bell Canada, un mois à peine après l'échec du rachat de l'entreprise par Teachers' pour 52 milliards. Le porte-parole Jacques Bouchard s'est toutefois employé à en relativiser l'ampleur. «On continue d'être un bon fournisseur du gouvernement et on va tout faire pour ravoir le contrat.» Le conglomérat montréalais gère notamment 28 000 lignes téléphoniques de l'État, un contrat de 70 millions de dollars. Aussi, Bell touchera des redevances de Telus au cours des prochaines années puisque l'entreprise de Vancouver utilisera une partie de son réseau pour réaliser son nouveau contrat, a souligné M. Bouchard, sans les quantifier. La nouvelle a malgré tout pesé sur le moral de certains employés, hier. «C'est une autre tuile qui nous tombe sur la tête, a confié un responsable des réseaux sous le couvert de l'anonymat. Le climat est à la déception et à l'incertitude, surtout dans le contexte économique actuel.» Les travailleurs craignent de nouveaux licenciements, après les vagues de compressions des derniers mois, ce que Bell exclut pour l'instant. «Mais le pire dans tout ça, c'est que ça vient confirmer que Bell a perdu son statut de chef de file», a ajouté l'employé. Bataille à venir Selon Amit Kaminer, analyste en télécoms au SeaBoard Group, les péripéties qui ont entouré le rachat avorté de Bell Canada Entreprises par Teachers' ont probablement déconcentré l'entreprise au cours des 18 derniers mois. «Bell est une société en transition, en changement de rapport, a-t-il avancé. Mais quand on change de vitesse dans une voiture, il y a toujours un moment où les roues ne répondent plus au moteur. Telus a vu ce moment et en a profité.» La perte de ce contrat viendra faire grimper d'un cran la concurrence entre les deux géants, croit M. Kaminer. «Tous les coups sont maintenant permis. Maintenant que Telus a été capable de lui arracher ce contrat, je crois que Bell sera plus combative aussi dans les territoires de Telus.» Le titre de BCE a clôturé à 24,32$ hier à la Bourse de Toronto, en baisse de 1,3%, et celui de Telus a fini à 35,13$, en hausse de 0,5%.
  21. Le conglomérat américain a annoncé avoir signé avec le gouvernement irakien portant sur la fourniture de turbines et de services pour améliorer l'alimentation du pays en électricité. Pour en lire plus...
  22. Je crois que quelqu'un a poste un document sur ce gars recement: Vincent Chiara André Dubuc, les affaires 11:34 Pour en savoir plus Autres textes : Groupe Mach Articles de l'industrie Envoyer à un ami Imprimer cet article Écrire à l'auteur Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Photo : Groupe Mach La Ville de Montréal a conclu une entente de 10 M$ avec un propriétaire immobilier, Vincent Chiara, qui a organisé une activité de financement pour le parti de Gérald Tremblay en 2005. En août 2007, la mairie de l’arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension signait de gré à gré un bail d’une durée de dix ans au 405, rue Ogilvy, à l’extrémité ouest de l’arrondissement, dans le quartier Parc-Extension. La mairie locale y occupe autour de 45 000 pieds carrés. Les engagements financiers frisent les 10 millions de dollars sur la durée du contrat. Le locateur est le Groupe Mach, appartenant à Vincent Chiara. Avocat, partenaire des familles Saputo et Lieberman, M. Chiara est devenu un acteur incontournable de la scène immobilière à Montréal. Il est aussi un ami du parti du maire Gérald Tremblay. Il a organisé une activité de financement à Laval ayant rapporté 54 000 $ à Union Montréal en 2005. Le propriétaire a payé l’immeuble 8 millions en juin 2006. « Avec notre bail, on paie son bâtiment », fait remarquer Anie Samson, mairesse de l’arrondissement. Membre de l’opposition, minoritaire dans son propre conseil, Mme Samson s’est opposé au déménagement parce que, pour elle, la priorité allait au réinvestissement dans les infrastructures. Elle critique aussi la situation géographique du 405, Ogilvy, trop excentrique par rapport au centre de l’arrondissement. Une décision légale Le ministère des Affaires municipales et des régions a confirmé la légalité du contrat dans une lettre dont nous avons obtenu copie. Cette décision coûtera plus cher aux contribuables de l’arrondissement. Les élus locaux ont en effet demandé sans succès à la ville centre des crédits additionnels récurrents de 271 443 $ à compter de 2009 pour absorber la différence dans les coûts de location. À la suite de ce refus, l’arrondissement devra éponger seul la facture. Pas de surcoût, selon l’arrondissement Le directeur de l’arrondissement soutient à l’opposé que le nouveau bail n’entraînera pas de déboursés additionnels. Du même souffle, il défend le bien-fondé du contrat avec M. Chiara. « Si vous faites une analyse comparative du coût payé au pied carré du bâtiment qu’on occupe versus toutes les autres mairies d’arrondissement qui se sont implantées, vous allez voir que le prix qu’on paie est nettement inférieur », dit Stéphane Chénier, directeur d’arrondissement, dans un entretien. Le directeur affirme que les économies découlant de la centralisation des activités en un lieu unique viendront en bonne partie compenser le surcoût à titre de loyer. De plus, la Ville peut revendre les immeubles municipaux devenus excédentaires avec le départ du personnel de l’arrondissement. La vente du 2525 Jarry Est et d’un terrain voisin permet ainsi à l’arrondissement d’engranger environ un million de dollars dans ses coffres. Un coût en évolution Cependant, M. Chénier ne peut nous dire combien exactement la mairie va payer pour son nouveau bail. « Il reste encore des hypothèses de coûts d’aménagement qui ne sont pas complétées. C’est sûr qu’il y a eu une augmentation du prix des matières premières qui va se répercuter sûrement sur le coût du bail. » Qui plus est, l’arrondissement assumera toute augmentation de taxes et des frais d’exploitation pour la durée du bail. « Pour l’instant, le coût revient à un dollar de moins au pied carré que ce qu’on payait avant dans le locatif privé. Mais on loue dans le privé plus de pieds carrés qu’avant », ajoute-t-il. Avant le regroupement au 405, Ogilvy, l’effectif de 140 personnes était dispersé dans deux immeubles municipaux et dans bureaux privés. Le bureau des élus, par exemple, était situé au 529, rue Jarry Est, propriété de Pierre Kadijevic. Ce dernier avait obtenu le contrat par appel d’offres public en 2002. Il se dit outré par la façon de faire de l’arrondissement. Il croit qu’on s’est servi de lui pour justifier le contrat conclu avec le Groupe Mach. Pourquoi un contrat de gré à gré ? Au fait, pourquoi l’arrondissement n’a-t-il pas procédé par appel public pour ainsi s’assurer d’obtenir le meilleur prix ? M. Chénier rappelle que les élus de l’arrondissement lui ont donné le mandat en mars 2007 de trouver un local répondant à l’ensemble des besoins avant que les baux du privé n’arrivent à échéance le 31 décembre 2007. « On est allés à la solution optimale, qui était réalisable dans les délais qu’on avait, au meilleur coût possible. », se défend-il aujourd’hui.
  23. La banque américaine, lourdement déficitaire, prépare une offre payante pour ceux qui subiront une rupture de contrat. Pour en lire plus...
  24. Le cours des actions de l'entreprise a augmenté de plus de 27% après que l'entreprise eut annoncé avoir été choisie à titre de fournisseur par l'un des géants mondiaux des télécommunications. Pour en lire plus...
  25. CGI obtient un contrat de 25 M$ US sur 10 ans 14 octobre 2008 - 12h29 Presse Canadienne CGI Federal, une filiale américaine du Groupe CGI (GIB.A), a obtenu un contrat de l'ordre de 25 M$ US de la Federal Communications Commission (FCC) des États-Unis. Le contrat est d'une durée de 10 ans. La FCC a sélectionné CGI comme entrepreneur principal afin de lui fournir un logiciel de gestion financière et une solution d'hébergement dans le cadre de son projet visant à remplacer son système financier de base. La FCC remplacera ainsi le logiciel de gestion financière actuel de CGI, Federal Financial System, par Momentum, un autre produit de CGI. L'application du système financier de la FCC sera hébergée dans le centre de traitement des données de CGI à Phoenix, en Arizona. En vertu du contrat, CGI mettra en oeuvre la suite logicielle Momentum Financials pour la FCC, notamment les modules de budgétisation et d'entreposage de données de Momentum. CGI exécutera toutes les activités d'intégration et de mise en oeuvre, l'hébergement, la gestion des applications ainsi que les activités d'exploitation et de maintenance courantes. Fondé en 1976 et basé à Montréal, le Groupe CGI est une entreprise spécialisée dans les services en technologies de l'information et en gestion des processus d'affaires. CGI et ses entreprises affiliées emploient quelque 27 000 professionnels oeuvrant dans plus de 100 bureaux répartis dans 16 pays.
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