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  1. La Presse Canadienne Montréal 17 novembre 2009 Gérald Tremblay assumera la présidence du nouveau comité exécutif de la Ville de Montréal, mais il réserve aussi un siège chacun aux deux principaux partis d'opposition. Le maire Tremblay, qui a dévoilé la composition de son nouveau comité exécutif mardi, s'est entouré de fidèles de longue date en nommant à la vice-présidence du comité Alan DeSousa et Michael Applebaum, chacun ayant des responsabilités différentes. La mairesse de Lasalle, Manon Barbe, hérite quant à elle du dossier des transports tandis qu'Hélène Fotopoulos s'occupera de la culture, du patrimoine et de la condition féminine. Les deux partis d'opposition font leur entrée au comité exécutif. Lyn Thériault, du parti Vision Montréal, s'est vu confier les dossiers du développement communautaire et social, tandis que le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron, s'occupera d'urbanisme. La chef de Vision Montréal, Louise Harel, ne pouvait siéger au comité exécutif puisqu'elle occupe déjà le poste de chef de l'opposition officielle. Le maire Gérald Tremblay a dit poser ce «geste d'ouverture» pour servir l'intérêt supérieur de Montréal.
  2. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/200909/30/01-907012-pratt-whitney-va-fermer-une-usine-a-longueuil.php je crois que ce serait une belle occasion de revitaliser ce secteur. Je verrais bien un beau quartier dense avec services de proximités, qui s'étendrait jusqu'à Roland-Therrien. Ces services pourraient servir aussi aux gens des bureaux sur Roland-Therrien. Ce quartier serait à proximité d'une éventuelle station de métro au CEGEP. Cataclaw pourrait nous faire une vision de ça!
  3. The French President replaces the English-language channel The French President plans to replace the English-language channel with a new, purely French-speaking network, France Monde French President Nicolas Sarkozy has announced the killing off of the English-language news channel France 24, barely a year after it first hit the airwaves. The president announced on Tuesday that it would be replaced by a new, purely French-speaking network, France Monde. The new creation is to be a combination of French-speaking broadcaster TV5, Radio France Internationale and France 24, and is expected to be set up at some point later this year. According to Sarkozy, it should be no problem to include subtitles in English, Spanish and Arabic, to present a "French vision." The announcement sounded the death knoll for the pet project of his predecessor Jacques Chirac. France 24 was launched in December 2006 and broadcasts around the world in French, English and Arabic. The aim of the 24-hour news channel had been to offer a French alternative to global news channels like BBC World and CNN. However, on Tuesday, Sarkozy said he was not comfortable with a French channel that broadcast in other languages. "With taxpayers' money, I am not prepared to broadcast a channel that does not speak French," Sarkozy told a press conference. The main journalists union, the SNJ-CGT, reacted with fury to Sarkozy's announcement that French government would stop funding France 24's foreign language programming. The union's secretary general, Jean-Francois Tealdi, told Agence France Presse that the president was "confusing the mission of France 24 and RFI, which was to cover world events with a different vision from that of the Anglo-Saxon approach, and the mission of TV5 Monde, which is to provide a space for the French-speaking world." An English-speaking member of the France 24 staff told AFP that "everyone is sad and shocked" by the news. The journalist said that if the English and Arabic speaking service disappeared, it would "give France an image of being behind the times." Provided by Spiegel Online—Read the latest from Europe's largest newsmagazine
  4. L'entrevue - Réapprendre à rêver la ville Le Devoir Fabien Deglise Édition du lundi 10 août 2009 Mots clés : Ville, Lucie K. Morisset, Urbanisme, Municipalité, Édifice, Québec (province) L'urbaniste Lucie K. Morisset déplore la montée en flèche d'un pragmatisme urbain paralysant L'urbaniste Lucie K. Morisset Photo: Jacques Grenier C'est le drame d'une époque. À trop avoir le nez collé sur la collecte des ordures, le ramassage de la neige, l'installation de compteurs d'eau, le remplissage des nids-de-poule ou la recherche impossible d'un consensus autour de la construction d'un banal immeuble de dix étages, Montréal semble avoir perdu sa capacité à rêver son avenir. Et cette «pathologie collective» pourrait même devenir une tare transmise de génération en génération. À moins d'un changement de cap radical, estime Lucie K. Morisset, de la Chaire de recherche en patrimoine urbain à l'Université du Québec à Montréal (UQAM). «C'est à travers la ville que les humains, depuis toujours et au contact de l'architecture urbaine, façonnent leur identité. C'est aussi par cet espace qu'ils se sont projetés dans l'avenir en développant un environnement physique, bâti, qui correspond à leur vision d'un meilleur vivre ensemble», résume l'universitaire, spécialiste de l'imaginaire urbain et des paysages construits. «Les grandes utopies sociales passent par les villes», mais Montréal semble depuis plusieurs années y être totalement indifférent. Normal. C'est que, loin d'être seulement la capitale du design, la métropole culturelle ou la ville des festivals qu'elle prétend être, «la plus grande métropole francophone d'Amérique», comme le disent les manuels de géographie, se poserait surtout aujourd'hui comme un problème de gestion plutôt que comme une question de civilisation. Un phénomène qui touche d'ailleurs les villes en général, un peu partout sur la planète. Et Montréal en particulier. «C'est naturel, dit Mme Morisset, rencontrée la semaine dernière sur une terrasse ensoleillée du centre vibrant de la ville. Les eaux usées, le transport, les poubelles, la neige, ce n'est pas le gouvernement fédéral qui va s'en occuper. C'est le municipal.» La réalité de la proximité est imparable. Mais elle s'accompagne aussi d'une montée en flèche du pragmatisme urbain. Pragmatisme qui «s'est développé partout dans les villes sous la pression des gestionnaires, mais également d'un courant sociologique influent [dans les administrations publiques] qui appréhende la ville de manière descriptive et surtout dans toute sa technicité», poursuit celle qui, en septembre prochain, participera à un colloque international sur le thème La Ville, objet de représentation, à l'UQAM. «Or, d'un point de vue épistéÄmologique, nous avons peut-être développé trop d'outils de mesure qui bloquent aujourd'hui notre capacité à rêver.» Dans un village de la Beauce, de la Montérégie ou de la Gaspésie, l'approche est certainement valable, tout en étant d'ailleurs soutenue par les habitants du coin, selon elle. Mais, dans de grands espaces, comme celui représenté par une île et sa couronne, ce serait une autre histoire. «On s'attend là à ce qu'il y ait une vision d'ensemble, un projet collectif qu'on a de la difficulté à cerner pour le moment, dit Mme Morisset. Mais peut-être est-ce parce que nous sommes trop bien? Et qu'on ne peut pas, du coup, s'imaginer meilleurs?» La dictature du ici-maintenant Une île, plein de villes, et pas de vision. La critique est connue. Elle s'expliquerait aussi par le «présentisme» de notre temps. En rupture avec le futurisme des décennies passées -- où la série britannique Cosmos 1999 racontait l'avenir --, cette autre façon d'appréhender le réel, définie par l'historien français François Hartog, illustre l'incapacité collective à se projeter et à anticiper l'avenir. Le phénomène serait d'ailleurs palpable au contact des nombreuses contestations et levées de boucliers qui, depuis plusieurs années, accompagnent chaque projet de construction d'immeubles, de prolongement d'autoroutes ou d'installation d'oeuvres d'art dans un parc, que la proposition ait de l'envergure ou non. «C'est un problème, lance Mme Morisset. Montréal ne développe pas des projets, mais des oppositions. Oppositions, d'ailleurs, face auxquelles tout le monde finit par s'écraser... certainement parce qu'il n'y a pas de vision au départ.» L'équation est terrible. Elle laisse aussi plusieurs terrains en jachère à Montréal, en plus de trouver sa source dans un paradoxe très contemporain, selon elle, alimenté par l'engouement tout aussi moderne pour... la démocratie participative. «Aujourd'hui, quand on dit parler de patrimoine, en fait, on parle de démocratie participative, résume l'universitaire. Le hic, en tenant compte de plein de points de vue, c'est qu'on s'oppose forcément à une vision unitaire des choses. La culture du consensus entraîne un éclatement de l'espace public.» Pis, sous l'effet d'une minorité d'opposants, c'est finalement toute la collectivité qui, selon elle, finit par pâtir d'un «horizon urbain bouché». «Et là, on est à des années-lumière de la démocratie participative», estime l'historienne de l'urbanité, qui déplore au passage cette peur chronique de la contestation. «Au moment de sa construction, le Château Frontenac, à Québec, a été qualifié de "verrue du Vieux-Québec", dit-elle. Aujourd'hui, il est devenu une représentation de la nation.» Le marketing urbain Fait étonnant: c'est dans ce vide que le marketing urbain trouve désormais un terreau fertile pour s'imposer comme substitution au manque de vision, avec ses concepts de «Quartier des spectacles» ou de «Montréal, ville de design», érigés en objectif commun. «C'est du branding, de la stratégie de marque. Mais ça nous amène aussi à confondre marketing et urbanisme, et ça ne règle rien.» Or, l'inertie, pour plusieurs observateurs de la scène urbaine qui voient suinter des murs de la ville, commence doucement à éveiller l'impatience, mais aussi à alimenter les appels au passé, à l'époque où Montréal était un laboratoire de modernité, ou les regards ailleurs (Barcelone ou Berlin) pour démontrer que l'herbe est plus verte chez les voisins. «Dans un cas, c'est la recherche d'une recette, dans l'autre, c'est l'espoir d'un retour en arrière», dit Mme Morisset, qui pense plutôt que la planche de salut est avant tout dans un «changement dans la gouvernance municipale», par exemple. «Il faut détacher la représentation politique du travail des fonctionnaires», et ce, pour sortir enfin le maire de la neige et des ordures ménagères afin de lui permettre de mieux représenter la ville, de parler développement et surtout... d'avoir une vision. «Un peu comme Jean-Paul L'Allier l'a fait à Québec», poursuit-elle. Dans cette optique, Montréal devrait aussi, selon elle, apprendre à être à l'avenir une «ville de représentation» plutôt que de gestion, mais aussi à redonner le goût de rêver à ses habitants «en cessant de ne pas terminer tout ce qu'elle commence», dit la spécialiste du patrimoine. «Ce serait un bon début. Si on arrivait à compléter un projet de développement, cela pourrait nous rassurer sur notre capacité à accomplir des choses.» Et d'ajouter: «Nous avons peut-être besoin d'une psychanalyse sociale qui va nous éviter de transmettre notre incapacité à penser l'avenir aux générations suivantes.» Des générations qui, dans une logique urbaine historique, s'attendent à voir, demain, dans la brique des bâtiments, le béton des trottoirs ou le vert des parcs, ce à quoi leurs prédécesseurs ont rêvé aujourd'hui. «La ville, c'est là où l'on construit tout ce qu'on pense qui va arriver demain», dit Mme Morisset. Et à Montréal, ce demain serait encore aujourd'hui un grand terrain vague. http://www.ledevoir.com/2009/08/10/262269.html
  5. J'avais envi de vous donner une vision du Portugal, principalement de Lisbonne car je trouve qu'on entant rarement parlé du Portugal à par le vin et le soccer et nos bon restaurant ici a Montreal.
  6. OK, je ne suis pas le gars le plus au courant des projets en ville puisque je ne suis pas dans le domaine du tout mais je voulais lancer un appel à tous pour connaitres vos idées de constructions possible alentour du pont Jacques-Cartier.
  7. Le Lundi 23 Mars 2009 | Mise en ligne à 11h18 Guy Laliberté: il faut mettre ses culottes! Nathalie Collard Passage remarqué, hier soir, du patron du Cirque du soleil à l’émission Tout le monde en parle (l’entrevue avec Guy Laliberté est ici). On se souvient que le nom de M. Laliberté avait circulé lorsque Montréal a tenté de sauver le Grand prix de Formule un. Non seulement avait-il choisi de passer son tour, mais on apprenait la semaine dernière qu’il n’y aurait pas de chapiteau permanent du Cirque à Montréal. Pas assez de touristes, trop risqué. L’animateur de TLMP, Guy A. Lepage, en a profité pour parler un peu (mais pas suffisamment à mon goût) de Montréal. En gros, Guy Laliberté note une certaine “paresse” des instances publiques. Selon lui, elles doivent reconnaître que la créativité est une des principales ressources naturelles du Québec (des propos qui rejoignent ceux de Gilbert Rozon du festival Juste pour rire). Il a également déploré l’absence d’infrastructures qui permettent de présenter des spectacles permanents. Il a ajouté qu’il fallait mettre ses culottes, faisant sans doute allusion au manque de leadership de nos dirigeants montréalais. Bref, rien de bien nouveau mais la confirmation, encore une fois, que les leaders du monde culturel québécois semblent découragés par l’inertie de nos politiciens quand vient le temps de développer une vision pour Montréal. (Parlant de Montréal et de vision, Maisonneuve en direct y consacre toute son émission demain. La question qu’on vous pose: comment revitaliser Montréal? J’y serai pour tenter d’y répondre…)
  8. Tremblay seul dans la course Mathieu Turbide Le Journal de Montréal 16/02/2009 05h17 - Mise à jour 16/02/2009 11h33 Gérald Tremblay semble bien en selle la mairie de Montréal. À l'aube d'une année électorale qui pourrait lui donner un troisième mandat à la mairie de Montréal, Gérald Tremblay semble complètement seul dans la course, selon un sondage Léger Marketing réalisé pour le compte du Journal de Montréal. Le maire de Montréal éclipse totalement ses deux adversaires déclarés, Benoît Labonté et Richard Bergeron. Les résultats du sondage sont particulièrement catastrophiques pour le chef de l'opposition et nouveau chef de Vision Montréal, Benoît Labonté. Avec seulement 4 % des intentions de vote, il se retrouve derrière le chef de Projet Montréal, Richard Bergeron. «Benoît Labonté doit démontrer qu'il est une alternative sérieuse au maire Tremblay. Mais actuellement, pour les Montréalais, il n'y a pas de réelle alternative», analyse le sondeur Jean-Marc Léger. Car la principale force du maire sortant, c'est sa popularité. «Il est très populaire. Les autres sont accueillis dans l'indifférence actuellement», ajoute-t-il. Des inconnus De fait, les deux adversaires de Tremblay sont totalement inconnus de la majorité de la population. Trois personnes sur cinq ne connaissent par Benoît Labonté et seulement une personne sur cinq dit connaître Richard Bergeron, qui était pourtant candidat à la mairie aux dernières élections de 2005. Il avait fini avec 9%des voix. Est-ce possible que l'un des deux réussissent à surprendre Gérard Tremblay au fil d'arrivée? «Rien n'est impossible. Il peut se passer bien des choses d'ici les élections. Mais si des élections avaient lieu maintenant, Gérald Tremblay l'emporterait haut la main», indique M. Léger. Vision Montréal en déroute Le sondage tombe bien mal pour Benoît Labonté qui essaie tant bien que mal de maintenir l'unité de son parti Vision Montréal. Depuis l'automne dernier, au moins quatre personnalités de premier plan du parti ont claqué la porte: Robert Laramée, Claire Saint-Arnaud, Pierre Minville et, plus récemment, Christine Hernandez. Élu maire de l'arrondissement Ville-Marie sous la bannière du parti de Gérald Tremblay en 2005, Benoît Labonté a claqué la porte en septembre 2007 et rejoint Vision Montréal, l'ancien parti de l'ex-maire Pierre Bourque. Il a été nommé chef de Vision Montréal en mai dernier. Si Gérald Tremblay est élu pour un troisième mandat, il sera le premier à réussir l'exploit de-puis Jean Drapeau. Ni Jean Doré ni Pierre Bourque n'ont réussi à se faire élire trois fois.
  9. Publié le 28 novembre 2008 à 15h41 | Mis à jour à 16h44 Deux ténors de Vision Montréal claquent la porte Éric Clément La Presse Critiquant le leadership de Benoit Labonté, le chef de Vision Montréal, deux ténors de ce parti ont claqué la porte, ce vendredi après-midi, a appris La Presse : Claire Saint-Arnaud, la leader de l'opposition officielle, et Robert Laramée, le conseiller spécial de M. Labonté dans l'arrondissement de Ville-Marie ont présenté leur démission. Autant Mme Saint-Arnaud, conseillère municipale dans Mercier-Hochelaga-Maisonneuve que M. Laramée, ex-directeur général de Vision Montréal, ont joué un rôle important pour favoriser la venue de Benoit Labonté dans ce parti il y a un an. Ils l'avaient soutenu pour qu'il en devienne le chef, ce qu'il est devenu le 25 mai dernier lors d'un congrès à la chefferie. Amère, Mme Saint-Arnaud a dit à La Presse que «depuis l'été dernier, Benoit Labonté s'éloignait de ses élus, était dans sa bulle et travaillait en vase clos». Déjà, il y a une semaine, Mme Saint-Arnaud avait failli démissionner mais s'était ravisée. Mais finalement, elle a fait le constat que «ses attentes» ne seraient pas comblées. «Quand j'ai travaillé pour que Benoit reprenne l'opposition et devienne le maire de Montréal, j'ai jamais été aussi sincère de ma vie et je croyais en lui fermement, a-t-elle dit. Mais je cherchais un chef, pas un patron.» De son côté, l'ex-directeur du parti Vision Montréal, Robert Laramée, devenu conseiller spécial de Benoit Labonté dans Ville-Marie l'été dernier, a annoncé également son départ à la fois du parti et de son travail dans l'arrondissement. «Benoit Labonté n'est pas un gars d'équipe, dit-il. Et pourtant, j'ai cru en lui. Aujourd'hui, je me sens libéré.»
  10. Les romans d'Isaac Asimov, où des cités entières sont peuplées par des robots, sont une vision futuriste qui n'arrivera pas de notre vivant. Pour en lire plus...
  11. Redessiner Montréal Le Devoir Emmanuelle Vieira Édition du samedi 04 et du dimanche 05 octobre 2008 Mots clés : design, Architecture, Construction, Montréal Des maires d'arrondissement se mettent à l'écoute des créateurs pour repenser le design de la métropole Le futur Théâtre de Quat'Sous, à Montréal. Lors d'une soirée Pecha Kucha qui s'est tenue à la Société des arts technologiques mardi dernier, 14 maires d'arrondissement et de villes liées à l'agglomération de Montréal ont partagé leur vision du territoire et manifesté une volonté d'améliorer la qualité du paysage urbain en passant par les créateurs. Ils ont ouvert le dialogue avec les concepteurs, lançant des défis et s'obligeant à leur parler dans un langage qui leur est familier. Cette soirée décontractée et positive témoigne d'une sérieuse prise de conscience de la part des décideurs. Pour redessiner Montréal, ils sont prêts à entendre et à accueillir les idées de ceux dont le métier est de penser et de modeler la ville. Les soirées Pecha Kucha sont de véritables plateformes d'échanges et de rencontres interdisciplinaires qui ont lieu généralement entre le public et les créateurs de tous les horizons. Le concept vient du Japon mais il existe partout dans le monde. À Montréal, l'événement en est à sa huitième présentation et la soirée de mardi dernier était «spéciale» puisque, à la place des créateurs, ce sont 14 élus qui ont parlé, ce qui constituait une première initiative de ce genre à l'échelle internationale. L'événement était produit par Design Montréal, la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal et l'équipe de Pecha Kucha Montréal. «Les élus sont des bâtisseurs de villes qui prennent quotidiennement des décisions sur le devenir de notre territoire; il était grand temps de leur permettre d'exposer leur vision à ceux qui ont l'expertise de dessiner la ville», dit Philippe Poullaouec-Gonidec, titulaire de la Chaire UNESCO en paysage et environnement. «Le but de l'exercice était de mobiliser les élus et les créateurs autour des enjeux de design urbain et de qualité architecturale, puis de susciter un enthousiasme pour les questions d'aménagement du territoire dans la métropole», explique Marie-Josée Lacroix, directrice de Design Montréal. Le concept Pecha Kucha est simple: chaque participant présente 20 diapositives qu'il commente pendant 20 secondes. Cette concision fut un obstacle pour des politiciens habitués aux longs discours. Ils se sont pourtant tous prêtés au jeu et certains s'en sont bien tirés! Des shuko au Plateau C'est le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui a ouvert la danse en exposant sa vision de Montréal, ville UNESCO de design, avec un enthousiasme décoiffant. À travers des réalisations concrètes qui touchent notre quotidien, «je souhaite plus que jamais voir Montréal devenir une ville rayonnante et attrayante avec un milieu de vie stimulant et de qualité», a-t-il dit. Il a notamment parlé des nouveaux bacs-sacs de recyclage conçus par la firme montréalaise Claude Mauffette design industriel et des futurs Bixi (vélos en libre-service) conçus par Michel Dallaire design industriel. Il a aussi lancé cinq shuko: des appels à la création pour des projets de design qui seront réalisés par concours d'idées ou concours de projets et chapeautés par Design Montréal (mise en valeur des abords de la station de métro Champ-de-Mars, requalification du mur du palais de justice, design des abribus et des taxis montréalais). Les autres élus se sont pliés aux règles du Pecha Kucha avec la même effervescence. Ils ont parlé, pour certains d'entre eux, d'attraits de nature en ville (ex.: Pierrefonds-Roxborro, Verdun, Sainte-Anne-de-Bellevue), de patrimoine résidentiel ou industriel (ex.: Outremont, Lachine, Sud-Ouest, Ahuntsic), de singularités socioculturelles (Plateau Mont-Royal, Saint-Laurent), etc. Par-delà la requalification des cicatrices de Montréal ou la réhabilitation ou les transformations architecturales, il a aussi été question de mise en valeur de la qualité des espaces urbains et des paysages, de la construction d'équipements sportifs et culturels, ainsi que des transports en commun ou d'une solution de rechange. «L'exercice visait à montrer en quoi des actions en design urbain et en paysage peuvent être structurantes sur le plan des retombées économiques, sociales et culturelles au regard de l'ensemble de ces préoccupations (enjeux de protection, de mise en valeur et de développement)», explique Sylvain Paquette, chercheur à la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l'Université de Montréal. Il faut souligner l'ouverture exprimée par certains élus à travailler en dialogue sur des projets impliquant plusieurs arrondissements. La mairesse d'Outremont, en parlant du projet Bellechasse, a clairement manifesté son intérêt à travailler en concertation avec l'arrondissement du Plateau et de Rosemont-Petite-Patrie. C'est un nouveau réflexe, qu'il faut encourager pour l'avenir. Enfin, c'est la mairesse du Plateau-Mont-Royal qui a fermé la soirée en faisant sourire l'assemblée par sa déclaration très imagée: «Montréal - le Plateau = Toronto. Avec cette phrase, elle a bien résumé le rôle important que joue chaque arrondissement en apportant sa touche unique à l'ensemble de l'agglomération montréalaise. Les présentations des élus auront permis de faire connaître les attributs singuliers, les attraits et les qualités des divers arrondissements représentés. Il est intéressant de constater que Montréal offre une très grande diversité de qualités au chapitre du paysage, du design et, plus généralement, d'une certaine culture d'habitation propre à chacun des quartiers. La force et la distinction de Montréal, c'est vraiment cette culture du quartier et il est important de la préserver et de la mettre en valeur, mais il est nécessaire aussi de développer une vision commune à l'ensemble du territoire. Pas de vision forte, pas d'identité Les élus ont exprimé leur souhait d'améliorer leur arrondissement sans savoir parfois par quel bout commencer... La grande absente de la soirée, c'était une vision d'ensemble, forte et structurée. Est-ce dû à un manque de culture ou de références en aménagement? On peut espérer que tous ceux et celles qui s'intéressent à l'amélioration de la qualité de l'environnement urbain (élus, promoteurs, gestionnaires municipaux, professionnels de l'aménagement, etc.) liront Les Cahiers des bonnes pratiques en design - Imaginer, réaliser la ville du 21e siècle conçus par Design Montréal. Ces trois cahiers offrent une multitude d'exemples pour inspirer leurs démarches et des outils pour guider leurs interventions. Malgré leurs lacunes, il y a cependant des arrondissements qui ont présenté des éléments de vision intéressants. Par exemple, la volonté à LaSalle d'appliquer les principes de développement durable sur des projets résidentiels plus denses, la volonté de mettre en valeur ailleurs le patrimoine architectural (Outremont) ou la volonté du Sud-Ouest d'attirer 20 000 nouveaux résidants dans les années à venir, tout en mettant l'accent sur des valeurs d'inclusion et de solidarité sociale, ou la volonté de se positionner comme des leaders en matière de créativité (Saint-Laurent). Tout ça est plutôt un bon début! «Une ville, ça se construit par étapes, suivant une ligne directrice clairement définie dans le temps et dans l'espace, nous explique Benoit Dupuis, architecte présent à la soirée. J'écoute les élus parler de projets isolés, d'arrondissements indépendants les uns des autres. À aucun moment je n'ai senti de plan d'ensemble, de vision d'avenir. Il faudrait une direction commune pour l'aménagement d'un territoire commun, un organisme plus centralisé pour que l'île de Montréal puisse retrouver une identité forte comme elle en a déjà eue.» La mobilisation comme point de départ Comparé à d'autres grandes villes de même importance, Montréal a pris du retard dans le développement de ses infrastructures et dans la mise en place de projets à grande échelle. De plus en plus, la qualité du design des bâtiments et des espaces publics devient un objectif primordial à atteindre pour améliorer la qualité de vie des populations, édifier un avenir durable et donner au territoire une identité singulière, facteur essentiel de réussite dans un monde globalisé de plus en plus concurrentiel. Partout dans le monde, une nouvelle volonté politique s'affirme en faveur de l'excellence en design et de la mise en oeuvre de politiques, de stratégies et de plans d'action dans le domaine du design urbain. Il serait temps de penser à la création de plateformes d'innovation en design pour accélérer ces changements; de donner une plus grande importance à la communication afin de favoriser le développement de visions partagées; d'utiliser des processus de design (tables rondes, ateliers, concours) pour pousser la qualité des projets tout en favorisant une plus large participation de la population à la transformation de son milieu de vie. «Si la ville veut laisser la place aux créateurs, c'est positif. Après, il faut voir la forme que cela va prendre. L'idéal serait de mettre en place des appels d'offres ou des concours qui renouvellent constamment la variété de créateurs sans pour autant niveler les projets par le bas», précise Colin Côté, designer industriel chez Claude Mauffette. Cette soirée Pecha Kucha «spéciale des élus» aura permis de constater l'étendue du territoire qu'il reste encore à exploiter à Montréal! La prise de conscience de ces projets à bâtir par les élus et les créateurs est un bon point de départ. Souhaitons que l'échange se poursuive, s'approfondisse et surtout se concrétise rapidement. Trop de lenteur et d'inertie tue la créativité. Le monde bouge tout autour de nous, les grandes villes canadiennes aussi... Nous avons des richesses qui ne demandent qu'à être exploitées. «Le design, c'est un peu comme la politique: il faut savoir tracer la ligne où le compromis est le moins compromettant... Quand on travaille en société, on n'a pas d'autre option que d'écouter les autres», dit Claude Cormier, architecte paysagiste présent à la soirée. Les décideurs ont un «pouvoir» créatif, ils doivent apprendre à s'en servir correctement. Il ne nous reste plus qu'à souhaiter longue vie à ces dialogues. C'est par eux que la culture grandit, et par eux que Montréal sera une vraie ville UNESCO de design. *** Collaboratrice du Devoir *** Envoyez vos sujets et commentaires à emmanuelle.vieira@gmail.com À consulter: http://www.ville.montreal.qc.ca/designmontreal, http://www.unesco-paysage.umontreal.ca, http://montreal.pecha-kucha.ca.a http://www.ledevoir.com/2008/10/04/209061.html (4/10/2008 8H30)
  12. Vents favorables au port de Montréal 28 août 2008 - 06h45 La Presse Hugo Fontaine La vision de développement durable du nouveau PDG du port de Montréal, Patrice Pelletier, intéresserait le port de Rotterdam. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre qui surpasse les résultats de l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du président-directeur général, Patrice Pelletier. Une collaboration pourrait naître entre le plus grand port d'Europe et l'un des ports à la plus forte croissance de la côte est américaine. Dans une période où l'économie vacille, le trafic cumulatif de conteneurs a augmenté de 7,9% au port de Montréal durant le premier semestre. Le port ne prévoyait qu'une croissance de 4 à 5%, selon ce qu'a indiqué Patrice Pelletier à l'occasion d'une entrevue avec La Presse Affaires. Le trafic total, quant à lui, a augmenté de 7%. «Cela nous place en excellente position en Amérique du Nord», précise le dirigeant. Pour expliquer cette forte croissance, M. Pelletier évoque l'augmentation de la cadence de la nouvelle liaison Valence-Montréal exploitée par MSC. Le trafic depuis les Caraïbes, notamment en provenance du port de transbordement de Freeport (Bahamas) est aussi en augmentation. La croissance est telle que l'administration portuaire, Patrice Pelletier en tête, ne peut que maintenir le rythme dans le plan de développement du port, qui s'échelonne sur 12 ans et devrait permettre de tripler la capacité du port. Déjà, le réaménagement des terminaux va bon train en 2008. L'Administration portuaire explique aussi son plan d'action à ses partenaires commerciaux et aux gouvernements, en espérant que cela se transforme en 2009 en expression d'intérêt pour investir. Une vision qui séduit Si l'expansion de la capacité du port est un défi, il en existe un autre qui compte beaucoup aux yeux de Patrice Pelletier. «Il faut gérer le port avec une stratégie de développement durable, explique-t-il. C'est d'une complexité certaine, mais pour moi ça veut dire de pouvoir développer le plan de croissance du port en atteignant un équilibre entre les impacts économiques, sociaux et environnementaux.» «J'essaie d'influencer le mode de gestion même de l'organisation, poursuit M. Pelletier. Ça va au-delà de l'écologie.» Ainsi, M. Pelletier associe à son concept de développement durable les solutions à la pénurie main-d'oeuvre à venir, ou encore l'engagement des communautés et des différents partenaires. Sans oublier la croissance du port et la protection de l'environnement. Patrice Pelletier a présenté sa vision sur différentes tribunes, dont au World Ports Climate Conference de Rotterdam, le 10 mai dernier. L'idée a été bien reçue, soutient-il. «La direction de la stratégie de Rotterdam nous a dit qu'elle a entendu notre message et qu'elle aimerait collaborer avec nous.» Il est encore trop tôt pour savoir quelle exacte forme prendra cette collaboration, mais elle aurait un objectif relié à l'implantation d'un mode de gestion de développement durable. «J'ai pensé à un jumelage de personnel comme façon effective de le faire, dit M. Pelletier. J'ai demandé à ma division environnement de réfléchir à une mission pour établir les jalons de la collaboration.» Selon M. Pelletier, Rotterdam peut donner à Montréal les exemples de choses à faire et à ne pas faire. «À Rotterdam, on peut presque voir une projection de ce qui pourrait arriver chez nous, même si c'est un plus gros port. La collaboration nous permettrait de voir concrètement où ils sont rendus, les problématiques qu'ils ont, comment les éviter.» «Dans le sens positif, on peut aussi voir ce qui peut être fait sur le plan du développement durable, ajoute-t-il. Et c'est vrai aussi dans l'autre sens. Je crois que c'est ce qui les a intéressés.» «Vulgariser» le port À la fin de l'automne 2007, après une réflexion de la haute direction sur la mission et la stratégie, le Port de Montréal prenait la résolution de se rapprocher de la communauté citoyenne. «Les gens n'ont jamais vu le port, dit Patrice Pelletier. Les gens ne savent pas ce qu'il y a derrière cette fameuse clôture qui sépare la ville du port.» C'est là qu'est née l'idée de Port en ville, une journée portes ouvertes qui aura lieu dimanche le 31 août (http://www.portenville.ca). Pour M. Pelletier, la journée est une première étape d'une stratégie pour «vulgariser» le port. «Les gens ne savent pas que quand ils vont chez Ikea, chez Wal-Mart, quand ils prennent une bouteille de vin italien, ce qu'ils achètent passe par le port. Il faut aussi expliquer les bénéfices économiques et environnementaux. Mais la première étape, c'est que les gens voient ce qu'est le port.
  13. Alors que le port de Montréal a connu un premier semestre meilleur que l'année record 2007, le port de Rotterdam s'intéresse à la vision de développement durable du PDG Patrice Pelletier. Pour en lire plus...
  14. A new vision for the country? Harper's federation of fiefdoms will drive Canadian traditionalists nuts LAWRENCE MARTIN From Thursday's Globe and Mail July 31, 2008 at 9:21 AM EDT Prime Minister Stephen Harper has been knocked for not giving the country a sense of direction, for visionlessly plotting and plodding, politics being his only purpose. Not true. Something has been taking shape - and it just took further form with pledges from Transport Minister Lawrence Cannon on the dispersal of federal powers. Yes, Matilda, the Conservatives have a vision. A federation of fiefdoms. Stephen Harper - headwaiter to the provinces. The firewall guy has curbed the federal spending power, he's corrected the so-called fiscal imbalance in favour of the provinces, he's doled out new powers to Quebec and now, if we are to believe Mr. Cannon, more autonomy is on the way for one and all. Mr. Harper has always favoured a crisp reading of the Constitution. He has always been - and now it really shows - a philosophical devolutionist. His nation-of-duchies approach will drive Canadian traditionalists bananas. They will see it not as nation building, but nation scattering. They will roll out that old bromide about the country being more than the sum of its parts. They will growl that we are already more decentralized than the Keystone Kops and any other federation out there save Switzerland, and that only rigorous paternal oversight can hold us together. But do these long-held harmonies still hold? Or are they outmoded, in need of overhaul? Has the country not moved beyond its vulnerable adolescent era to the point where now, like a normal family, it can entrust its members with more responsibilities? After 141 years, is there not a new sense of trust and maturity in the land? Identity? History is identity. If you don't know who you are at 141, if you still think some provinces have stars and stripes in their eyes, the shrink is in the waiting room. Now even Liberals don't think the new Canada is as dependent on the centre as the old. The old parts were fragile, in need of nurturing, in need of national and protectionist policies. But now there is more wealth and more equality, a levelling of the braying fields. Little guys like Newfoundland and Saskatchewan, with their newfound riches, are no longer little guys. They are not as beholden and their new level of maturity requires new thinking in Ottawa. Treat them like teenagers and they'll be more inclined to rebel. Give them space and they'll be more inclined to be part of the whole. Not to say that a balkanization of the federation is in order. Not to say that you want a host of provinces running off and negotiating treaties with other countries or that you want better north-south transportation systems than east-west or that national programs are not worthwhile. But a recognition of modern realities is in order. When we get more meat on the bones of Mr. Harper's plans, we'll know how they stack up. There's plenty of room for cynicism. It's well known that the PM will do anything to woo Quebec politically. Letting the province negotiate a unilateral labour-mobility agreement with France can be seen as some rather timely toadying. Shouldn't he be doing more for labour mobility between Ontario and Quebec? Extending his autonomy push to other regions smacks of smart politics as well. Headwaiter to the provinces? How about head cashier at the polling booths. Westerners will lovingly see it as a kick at the Toronto-Ottawa dictatorship. It's gravy for la belle province and down East, loud guys like Danny Williams won't be complaining. The PM needed something to take the focus away from Stéphane Dion's attention-grabbing Green Shift. This raw-boned conservative stuff might do the trick. Joe Clark was the original headwaiter to the provinces. Pierre Trudeau mocked him mercilessly. But of course it was Mr. Trudeau's great centralist grab, the national energy program, that backfired. Brian Mulroney undid some of Mr. Trudeau's work and tried to go further with his province-friendly constitutional accords. Under Jean Chrétien, the Grits got in the act, forsaking economic nationalism. Mr. Harper is following and hastening the trend line. We needed - thank you, England - grandparents. We needed - thank you, John A. - a national policy. We needed measures to keep us independent of the United States and our social security systems and national institutions. Thank you, other leaders. All part of growing up. But now? Noteworthy is that while in more recent times we have seen a trend away from centralized powers, unity is now well intact. Many would argue the country is more unified today than at any time since 1967. The big centre is still needed. It's still needed for infrastructure, uniform social programs, defence and multifarious other initiatives. But, with the old family having a better sense of its bearings, it isn't needed the way it was before.
  15. Voici ma vision pour un réseau light-rail/tramway sur la rive sud (principalement Longueuil, mais aussi Brossard, Boucherville et Saint-Lambert.) 85% of the lines will run through large boulevards that have existing space between the carriageways. (Ex: Boul Roland-Therrien, which was precisely designed with tramway-expandability in mind.) About 10% of the lines will run adjacent to major roads, along currently (as of 2008) vacant or more or less acquirable space. A final 5% will have to be dug or passed through some existing (infra)structures. Ligne 1 - 11km Roland-Therrien (et aussi boul. Cousineau) Ligne 2 - 17km Jacques-Cartier (et le bord de l'eau) Ligne 3 - 9km Taschereau (et boul. Lafayette) Note #1 - Il devrait y avoir des modifications aux infrastructures existentes a certains endroits... exemple, pour avoir suffisament d'espace pour installer un tram, Taschereau va devoir tasser ses voies sur les cotes (pas un enorme probleme, considerant qu'il y a presentement des acotements assez large de 2m+) Note #2 - Il y aurait possibilité d'expansion! Surtout sur la ligne 3 vers le sud. Note #3 - C'est une VISION seulement; pour le fun! I haven't considered all the details, i just had fun and put this map together. Please keep that in mind! Questions / commentaires / suggestions / compliments / insultes / tomates / n'hésitez pas!
  16. Can't seem to post a reply... i click reply and it just keeps loading and loading and eventually it times out. Maybe it's me or my internet, but i'll try posting a new thread... Just having some fun here, made some 3D models and a video flyby. Quality is crappy, no textures, video compression is to the max, so basically it looks like crap, but use your imagination Oui.. oui je sais que c'est "fou" comme vision. Ca n'arrivera jamais, et je dirais encore plus, ca n'arriverais vraiment jamais! Mais on parle ici de vision, alors voici ma vision... Video YouTube: ---------- En orange, a construire En gris, deja construit (ou presentement en construction) -------------
  17. QUI DIT VRAI ???? SUR LE FIL DE CET APRÈS-MIDI ( SOURCE CNW) VILLE DE MONTREAL - CABINET DU MAIRE ET DU COMITE EXECUTIF A l'attention du directeur de l'information: Le projet Rives-Nouvelles - Benoit Labonté improvise et recycle des projets déjà en cours MONTREAL, le 11 juin /CNW Telbec/ - M. Alan DeSousa, membre du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable du développement économique, du développement durable et de Montréal 2025, a déclaré qu'avec le projet "Rives Nouvelles", Benoit Labonté est en train de faire de la récupération de projets qui sont déjà en train de se réaliser. "Comme responsable politique du développement durable à la Ville de Montréal, je suis heureux de voir qu'au moins Monsieur Labonté souscrit au principe du recyclage, mais c'est dommage que ce soit les projets des autres qu'il recycle", a conclu Monsieur DeSousa. "Une partie de ce qu'il présente est déjà contenu dans la Vision 2025 du Havre de Montréal présentée en 2004 par la Société du Havre et qui fait partie intégrante du plan de match Montréal 2025 mis de l'avant par le maire de Montréal M. Gérald Tremblay depuis octobre 2005," a rappelé Monsieur DeSousa. "Le développement des berges est l'idée centrale de la Vision 2025 du Havre. Le titre de son introduction est : Ramener la ville vers son fleuve. Le recouvrement de l'autoroute Ville-Marie est l'un de ses premiers axes, qui figure à la 14e page du document rendu public en 2004. Il n'y a là rien de nouveau," d'ajouter le responsable du développement durable de la Ville de Montréal. "Monsieur Labonté est un peu en retard dans les nouvelles pour ce qui est du recouvrement de l'autoroute. La ministre des Transports a annoncé au début de mai la formation d'un comité conjoint avec la Ville de Montréal pour étudier la faisabilité technique et financière de différentes formules de recouvrement de l'autoroute Ville-Marie." "Par contre, la Vision 2025 ne prévoit pas le déplacement de la gare ferroviaire du Port, que le maire de l'arrondissement Ville-Marie veut expédier à l'est de la gare Hochelaga. Le Port de Montréal n'a pas inclus ce projet dans son Plan stratégique pour les 15 prochaines années. Cette idée radicale ne vient de nulle part. Est-ce que Monsieur Labonté a un problème à travailler avec des partenaires ?", a déclaré Monsieur DeSousa. "Notre administration favorise un leadership de collaboration. Ainsi, la création d'une instance comme la Société du Havre de Montréal rassemble les partenaires montréalais dans l'élaboration d'une vision d'avenir et une planification concertée du développement de ce secteur névralgique pour Montréal. La Société du Havre peut compter sur une représentation du Port de Montréal, mais aussi des compagnies de chemins de fer CN et CP, de même que des gouvernements du Canada et du Québec, grands propriétaires de terrains dans ce secteur", a déclaré Monsieur DeSousa. Le responsable de Montréal 2025 a rappelé que pendant que le maire de l'arrondissement de Ville-Marie lance des idées à tous vents, il est en retard de trois ans et demi pour le dépôt de son chapitre du plan d'urbanisme. Ce document doit donner une vision d'ensemble aux projets de l'arrondissement et exprimer ses orientations d'aménagement pour tout son territoire. Le Programme particulier d'urbanisme (PPU) du Quartier de la santé, que Monsieur Labonté veut enfin rendre public dans l'après-midi, est attendu depuis deux ans. Il ne définit des orientations que pour le quartier environnant le CHUM. "Comment le maire de l'arrondissement qui est au centre de la ville peut-il présenter un tel projet pour le Port de Montréal sans concertation avec le principal partenaire et, en plus, sans vue d'ensemble de l'aménagement de son territoire ? Il est prêt à tout faire pour des raisons purement électoralistes comme il a déjà fait en novembre 2007, quand il a décidé de récupérer le projet du Quartier des Spectacles avant le dévoilement officiel de cette initiative majeure qui implique une série de partenaires du secteur public et privé" a conclu Monsieur DeSousa. Renseignements: Darren Becker, Attaché de presse, (514) 872-6412; Source: Cabinet du maire et du comité exécutif
  18. Le ministre fédéral des Finances Jim Flaherty et son homologue du Québec Monique Jérôme-Forget partagent la même vision favorable de la situation. Pour en lire plus...
  19. Le lien : http://images.google.ca/imgres?imgurl=http://bp1.blogger.com/_PVKjyK-A89w/RcrcOPHNxeI/AAAAAAAAAcc/PB54BFLln5g/s400/209618399_88a77ee4a4_b.jpg&imgrefurl=http://couleursreves.blogspot.com/2007/02/murs-murs.html&h=300&w=400&sz=36&hl=fr&start=103&tbnid=q3ZrP1Rx8xJmKM:&tbnh=93&tbnw=124&prev=/images%3Fq%3Drue%2BSaint-Denis%2BMontreal%26start%3D90%26gbv%3D2%26ndsp%3D18%26hl%3Dfr%26sa%3DN Une vision intéressante sur nos tags, graffitis et murales.
  20. Un vieux projet que j'avais oublié... qu'est ce que vous en pensez? C'est pas fini encore bien sur, il n'y a pas de textures et les images ne sont pas des rendus mais bien des "previews" seulement (ce qui explique le look pixelé) - Il n'y a pas de base non plus. Est-ce que la couronne est cool ou je devrais l'oter?
  21. Il s'agit d'une tour résidentielle/hotel avec une gallerie commerciale au 2 premiers étages, principalements des restaurants, spa, bar/lounge Vue Rene-Levesque/de la Montagne Vue de la gauchetiere/Drummond
  22. Elix

    Vision: 2 CIBC géantes!

    Une petite vision, certes quand même impressionnante: AVANT APRÈS
  23. mtlurb

    Nouvelle section

    Bonjour à tous et bienvenue dans cette nouvelle section du forum! Une section qui vous est entièrement destiné. En effet, vous pouvez nous montrer ici VOS propres projets pour la grande ville de Montréal. Comment voyez-vous le Montréal du futur? Quels projets voudriez-vous qu’il y ait? Simplement quelques petites restrictions (plus «recommandations» que «restrictions», pour que la section soit tout simplement plus amusante à regarder;) ) : 1- Les projets devront être accompagné d'un appui visuelle Tout simplement que ce soit plus agréable. Un projet avec un rendu est toujours plus attirant à la critique. Exemple: Prenez comme exemple une des propositions de tour pour le Silo no5, même si elle aurait 50 étages, personnes n'en parle vraiment, parce que nous ne savons pas de quoi elle aurait l'air. Autre exemple : La tour d'Aluminium, dont tout le monde connaissait comme n'étant qu'une vision, mais qui a tout de même réussi à remplir 4 pages de son fil en deux jours! Si j'avais seulement parlé d'une vision de tour de 240 mètres sans rendus, personnes n'aurait répondu à mon fil! 2- Les projets doivent venir de vous Simplement pour ne pas se retrouver avec des projets annulés. Ce fil n’est pas un fil nostalgique de projet abandonné. Aussi, simplement pas prendre de projets existant ailleurs et simplement le mettre, juste pour que Montréal reste la ville unique qu’elle est. Instrument conseillé pour l’appui visuel : Google sketchup Le logiciel est juste…INCROYABLE! Il est gratuit, complet (pour les débutant) et surtout…facile à utilisé. Je l’ai téléchargé pendant le temps des fêtes et j’ai déjà créé quelques petites choses pour ce fil! Vous pouvez le télécharger ici : https://www.sketchup.com/fr Logiciels Adobe (Photoshop, illustrator, etc.) Quand on les connaît bien, c’est quand même assez facile de travailler avec eux. ------------------------------------------------------------------------------------------------ Maintenant, à vous de créer vos propres projets! Comment voulez vous que Montréal ressemble? P.S. Ce fil est pour les commentaires, les annonces, etc.
  24. Je travaille avec Photoshop depuis quelques temps et avant-hier, quelqu'un m'a mis au défi de faire une vision de Montréal; une vision comme tout le monde voudrait; Je veux dire avec pleins de gratte-ciels qui dépassent la limite permise. Enjoy!
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