Aller au contenu

Rechercher dans la communauté

Affichage des résultats pour les étiquettes 'fois'.

  • Rechercher par étiquettes

    Saisir les étiquettes en les séparant par une virgule.
  • Rechercher par auteur

Type du contenu


Forums

  • Projets immobiliers
    • Propositions
    • En Construction
    • Complétés
    • Transports en commun
    • Infrastructures
    • Lieux de culture, sport et divertissement
  • Discussions générales
    • Urbanisme, architecture et technologies urbaines
    • Photographie urbaine
    • Discussions générales
    • Divertissement, Bouffe et Culture
    • L'actualité
    • Hors Sujet
  • Aviation MTLYUL
    • YUL Discussions générales
    • Spotting à YUL
  • Ici et ailleurs
    • Ville de Québec et le reste du Québec
    • Toronto et le reste du Canada
    • États-Unis d'Amérique
    • Projets ailleurs dans le monde.

Blogs

  • Blog MTLURB

Rechercher les résultats dans…

Rechercher les résultats qui…


Date de création

  • Début

    Fin


Dernière mise à jour

  • Début

    Fin


Filtrer par nombre de…

Inscription

  • Début

    Fin


Groupe


Location


Intérêts


Occupation


Type d’habitation

  1. La Russie pourrait connaître en 2008, pour la première fois depuis une décennie, une diminution de sa production pétrolière, a annoncé jeudi un responsable du gouvernement russe. Pour en lire plus...
  2. Le constructeur automobile allemand haut de gamme Daimler a une nouvelle fois revu à la baisse ses objectifs pour 2008, selon des chiffres publiés jeudi. Pour en lire plus...
  3. La plus grand erreur serait de voir dans la crise financière qu'une parenthèse et de croire qu'une fois les marchés calmés et les banques sauvées, tout pourra recommencer comme avant, a dit le président français. Pour en lire plus...
  4. Dans le rebond boursier actuel, la prudence reste toujours de mise. L'analyse de trois fortes corrections du Dow Jones montre qu'il faut toujours quelques mois avant de pouvoir identifier un bas au marché. «Chaque fois qu'il y a une forte réponse du marché après une forte correction, le marché réagit sensiblement de la même façon«, explique Jean-Marc Bourgineau, analyste chez Jitney Trade. Pour en lire plus...
  5. La compagnie américaine a dépassé les attentes au troisième trimestre et relevé une nouvelle fois ses prévisions pour l'ensemble de l'exercice. Pour en lire plus...
  6. Le nombre des nouveaux chômeurs indemnisés aux États-Unis a baissé pour la première fois depuis près d'un mois au cours de la semaine close le 4 octobre. Pour en lire plus...
  7. C'est la première fois depuis le début de la tempête financière aux États-Unis qui a ensuite touché plusieurs établissements européens qu'une banque italienne doit faire face à des turbulences. Pour en lire plus...
  8. Un autre réseau de placement dans les paradis fiscaux vient de subir les foudres de l'Autorité des marchés financiers (AMF). Cette fois, il s'agit d'Acamex Capital, de Laval, et deux sociétés de la Barbade. Pour en lire plus...
  9. La firme de Saint-Lambert, a pour la première fois mis en application une nouvelle technologie qui permet de détecter la présence de corrosion dans le béton. Pour en lire plus...
  10. Pour la quatrième fois depuis le début de la semaine, les banques européennes ont injecté un total de 90 G$ sur les marchés monétaires mondiaux dont la confiance est malmenée. Pour en lire plus...
  11. Le pdg de Transat A.T. s’en prend à Ottawa 18 septembre 2008 - 17h36 La Presse Canadienne Lia Lévesque Le président et chef de la direction de Transat A.T., Jean-Marc Eustache, reproche au gouvernement fédéral de ne pas se gêner pour soutenir l'industrie aéronautique, alors qu'il «saigne» les transporteurs aériens par certaines de ses mesures. «À l'heure actuelle, le gouvernement se démène pour soutenir ceux qui construisent des avions et saigne à blanc ceux sur qui il compte pour en acheter», a lancé jeudi M. Eustache lors d'une allocution devant le Cercle finance placement du Québec, à Montréal. Le pdg de Transat A. T. a profité de la campagne fédérale qui bat son plein pour adresser quelques messages bien sentis aux partis politiques fédéraux. Il accuse le gouvernement fédéral de ne pas comprendre l'importance économique de l'industrie aérienne et touristique au pays. Et il lui reproche aussi d'avoir implanté divers prélèvements et taxes qui se répercutent inévitablement sur le voyageur, ce qui nuit à la compétitivité du Canada sur la scène internationale. «Atterrir au Canada est plus cher qu'à peu près partout ailleurs dans le monde. Trois fois plus cher pour atterrir à Toronto qu'à Charles-de-Gaulle (à Paris). Trois fois plus cher aussi pour atterrir à Montréal qu'à Rome. Les transporteurs étrangers ont le choix d'aller ailleurs. Nous, on y perd en termes de flux touristiques et d'activité économique, mais cela ne semble pas déranger personne», s'est-il plaint. M. Eustache va jusqu'à dire que les voyageurs sont «forcés de subventionner l'État canadien chaque fois qu'ils prennent l'avion», puisque selon lui, une partie des taxes et prélèvements imposés aux voyageurs est conservée par le gouvernement pour d'autres fins. Il cite le cas des mesures de sécurité accrues dans les aéroports. «La sécurité est la responsabilité de l'État et profite à tous, mais au Canada, dans le cas du transport aérien, elle est financée par les voyageurs. Ne vous leurrez pas, on vous collecte pour la sécurité, mais en fait une bonne partie de ce qui est collecté ne sert pas du tout à la sécurité et s'en va tout simplement dans les coffres de l'État», a soutenu M. Eustache. Il reproche également au gouvernement de tolérer des règles du jeu différentes selon que le transporteur aérien soit soumis aux lois provinciales et fédérales ou seulement fédérales. Les transporteurs comme Transat, soumis à la Loi sur la protection du consommateur, une loi provinciale, doivent déposer de l'argent en fiducie pour protéger les clients qui achètent des billets. Or, les compagnies aériennes qui ne sont pas soumises à la loi québécoise n'ont pas à remplir cette exigence. Il cite également le cas des normes de publicité pour l'affichage des prix qui diffèrent dans certains cas. «Un seul domaine, une seule catégorie de produits, mais deux réglementations distinctes. Encore une fois un terrain de jeu où les dés sont pipés, comme le Canada les aime», s'est encore plaint M. Eustache. Malgré ce contexte qu'il décrit, Transat a affiché en 2008 une augmentation de 20 pour cent du nombre de clients par rapport à 2007. Transat emploie 6000 personnes dans huit pays. Son chiffre d'affaires atteignait 3 milliards $ en 2007.
  12. Les sites de forage gazier pourraient pousser comme des champignons au cours des prochains mois dans les basses terres du Saint-Laurent. Mais leur empreinte permanente sera minime une fois les travaux terminés. Pour en lire plus...
  13. Le Québec serait assis sur des milliards liquides 27 août 2008 - 11h56 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Si on en croit l’Institut économique de Montréal, le Québec serait assis sur une véritable mine d’or alors que l’exportation d’eau douce à grande échelle rapporterait plusieurs milliards par année au trésor québécois. Dans un cahier de recherche publié par l’Institut, l’auteur et vice-président Marcel Boyer souligne «qu’il est urgent de s’intéresser sérieusement à la valorisation de notre or bleu» tout en indiquant qu’un plan de développement et de mise en marché est nécessaire. Car pour ce think tank qui prône le libéralisme économique, le Québec serait gagnant sur toute la ligne. L’exportation de 10 % de ses réserves lui permettrait de générer des revenus de 65 G$ par année avec un coût de 65 cents par mètre cube – prix actuel du dessalement de l’eau de mer. Même si la province ne touchait que 10% des revenus générés, cela amènerait 6,5 G$ dans le trésor québécois soit environ cinq fois plus que le dividende payé par Hydro-Québec à l’État québécois, souligne l’Institut. Le cahier d’étude indique que le Canada possède la plus grande réserve d’eau douce au monde, soit 8% du stock mondial. Pour le Québec, c’est 3% de toutes les réserves qui se retrouvent sur son territoire, soit treize fois plus d’eau douce par habitant qu’aux États-Unis. Pour Eau Secours, l'étude est simpliste Du côté de la coalition Eau Secours, les termes utilisés pour qualifier l’étude sont corrosifs. «C’est carrément simpliste et ça ne tient pas la route au niveau éthique, environnemental mais également économique», assure Martine Ouellet, présidente de l’organisme. Selon elle, l’eau sera essentiellement acheminée vers les États-Unis. Le hic, c’est que personne ne voudrait en acheter car elle serait trop dispendieuse. «Les coûts de production seraient trop élevés pour aller la chercher dans le Nord québécois. Donc, ce ne serait pas rentable», assure-t-elle. La tentation serait alors très grande de la puiser plus au Sud, ce qui aurait un impact sur notre bassin hydrographique, avance Eau Secours. L’organisme ne voit pas non plus dans cette proposition un véritable moteur de développement économique pour le Québec. «Il n’y aurait pas de création d’emplois. Selon moi, ça ressemble beaucoup plus à un développement tiers-mondiste». Pour la présidente d’Eau Secours, un autre problème est éthique. À l’heure actuelle, l’eau est considérée comme «une chose commune». À partir du moment où elle serait commercialisée à grande échelle, elle deviendrait un bien de consommation comme les autres. «L’eau, ce n’est pas un produit, c’est essentiel à la vie. Tout le monde doit y avoir accès», assure-t-elle. À l’heure actuelle, selon l’Accord de libre-échange nord-américain (ALENA), il est impossible de commercialiser des contenants d’eau de plus de 20 litres. Donc dans le cas d’une exportation massive, de nouveaux accords devraient être signés. Du point de vue environnemental, Eau Secours s’inquiète également des répercussions. «On ne sait toujours pas comment on assurerait la distribution de l’eau… Est-ce qu’on va détourner des rivières pour y parvenir ?», se demande la présidente. Un autre organisme, Nature Québec, émet également de nombreux bémols. «À plusieurs égards, nous connaissons bien mal notre ressource. Je pense que nous devons faire le ménage avant de vouloir l’exporter», croit Christian Simard, directeur général de Nature Québec. M. Simard croit que le Québec devrait tout d’abord retirer des redevances de la vente de bouteilles d’eau et devrait appliquer le principe d’utilisateur-payeur et pollueur-payeur comme cela était inscrit dans la Politique québécoise de l’eau entrée en vigueur en 2003. Il croit toutefois que la province devrait mieux protéger l’eau et assurer sa souveraineté sur son abondante ressource. «Je crois qu’il faut faire attention car la pression américaine va devenir de plus en plus en forte dans le futur», admet M. Simard. Ce n’est pas la première fois que cette question controversée revient sur le tapis. Mais à chaque occasion, les projets d’exportation de l’eau douce ont été balayés du revers de la main. L’Institut économique de Montréal se décrit comme un «organisme de recherche et d’éducation économique indépendant, non partisan et sans but lucratif». Sur son conseil d’administration de 14 membres, plusieurs viennent principalement du milieu corporatif québécois comme Marcel Dutil, président du conseil de Canam, Jean-Pierre Ouellet, vice-président du conseil de RBC Marchés capitaux et l’ex-président de la Banque Nationale, Léon Courville.
  14. L'euro a franchi un nouveau seuil à la baisse face au dollar, repassant sous les 1,40 dollar pour la première fois depuis onze mois, loin de ses records historiques de la mi-juillet, sur fond d'inquiétudes pour la croissance européenne. Pour en lire plus...
  15. Les difficultés du marché américain pénalisent une fois de plus l’usine Cabico de Coaticook. Le fabricant d’armoires de cuisine procèdera, lundi, à des mises à pied temporaires. Pour en lire plus...
  16. Une étude suggère que les deux tiers des travailleurs à l'orée de la retraite croient qu'ils disposeront de suffisamment de ressources financières une fois qu'ils auront cessé de travailler. Pour en lire plus...
  17. Ça fait trois fois depuis 2001 que la Régie de l'énergie ordonne une hausse du prix de l'essence à Saint-Jérôme. La dernière, en juillet dernier, est de trop, selon la Ville et son maire Marc Gascon. Pour en lire plus...
  18. L'éditeur montréalais de bottinsfait son entrée pour la première fois dans cette province en achetant Get It Pages pour un prix non dévoilé. Pour en lire plus...
  19. Une fois mis en oeuvre, l'accord éliminera les droits de douane sur la majorité des marchandises. Les échanges entre les deux pays sont actuellement limités. Ils ont atteint 76 M$ l'an dernier. Pour en lire plus...
  20. La société lavalloise pose le pied pour la première fois en Europe grâce à l'acquisition de Simbec Research au Pays-de-Galles. Pour en lire plus...
  21. Cette fois, une somme de 78,6 M$ est réclamée de la Caisse de dépôt et placement du Québec pour les quelque 9200 personnes qui avaient investi dans les fonds Évolution. Pour en lire plus...
  22. La réouverture de l'usine de Thunder Bay Fine Papers est reportée pour une troisième fois. L'entreprise doit trouver 15 millions de dollars pour assurer son avenir. Pour en lire plus...
  23. Des juges d'une cour d'appel fédérale de Chicago ont refusé jeudi de se pencher une nouvelle fois sur les condamnations de l'ex-magnat de la presse Conrad Black. Pour en lire plus...
  24. Une fois rénovée, la centrale nucléaire produira de l'électricité à un coût de 7,2 cents le kilowattheure, soit moins cher que l'électricité de source éolienne ou gazière. Pour en lire plus...
  25. mtlurb

    Réunion 101

    Une mer de travailleurs roulent des yeux ou soupirent chaque fois qu'ils sont convoqués à une nouvelle réunion. Quand ils ne grognent pas. Pour en lire plus...
×
×
  • Créer...