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  1. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/475276/politique-culturelle-du-quebec-la-culture-c-est-aussi-l-architecture Politique culturelle du Québec La culture, c’est aussi l’architecture L’Ordre des architectes du Québec estime que «l’environnement bâti» fait partie de notre identité 12 juillet 2016 |Jérôme Delgado | Actualités culturelles Habitat 67, à Montréal Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Habitat 67, à Montréal La prochaine politique culturelle du Québec devra affirmer que la qualité architecturale est une affaire d’intérêt public et que « l’environnement bâti constitue un aspect fondamental de notre identité ». C’est ce que revendique l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) dans son mémoire présenté lors d’une des premières séances de la consultation publique mise en place par le ministère de la Culture et des Communications. L’OAQ milite depuis longtemps pour une politique nationale de l’architecture du Québec. Celle-ci forme l’échine du document déposé le 21 juin et intitulé La qualité architecturale, un chantier à poursuivre. « Nous recommandons, y lit-on, que la future politique culturelle plaide en faveur d’une politique nationale de l’architecture pour le Québec. » En 2014, l’OAQ a lancé l’idée d’une politique nationale de l’architecture selon des initiatives observées en Europe. Depuis 1991, une vingtaine de pays se sont dotés d’un tel programme. Au Québec, si la politique culturelle émet le besoin de se doter d’une politique en architecture, ce serait un pas dans la bonne direction, selon la présidente de l’OAQ. « Un pont qui tombe, ça exige l’urgence une action. Une politique nationale, c’est un travail de longue haleine », concède Nathalie Dion, lors d’un entretien téléphonique. Elle se félicite par ailleurs que son lobbying porte ses fruits. L’arrondissement de Saint-Laurent a en effet profité du dépôt du mémoire de l’OAQ pour exiger à son tour une politique de l’architecture. Le conseil des élus de ce secteur de l’ouest de Montréal est ainsi devenu la première instance municipale à voter une résolution dans ce sens. Chercher l’harmonisation Sans politique nationale, pas de vision globale. Sans vision, pas de qualité, ce noble principe qui résulte de l’addition d’harmonie, de fonctionnalité, de durabilité et de réponse aux besoins d’un milieu. Selon le regroupement des architectes, la qualité de ce qui se construit dépend de la cohérence des actions de différents ministères. Or, à l’heure actuelle, chacun travaille en vase clos. « Il y a dix ministères qui touchent à l’architecture. Et il n’y a pas d’harmonisation entre ce que font l’un et l’autre », constate Nathalie Dion. Certains s’occupent du code du bâtiment, d’autres de patrimoine, d’efficacité énergétique ou du cadre légal. Un programme interministériel, ou « national », les réunirait tous. Dans son mémoire de 18 pages, l’OAQ cite l’école Saint-Gérard comme un « exemple frappant » des conséquences néfastes du « manque d’harmonisation ». L’établissement du quartier Villeray, dans Montréal, a écopé du dialogue de sourds, autant lors de sa destruction, rendue inévitable en 2014 pour des raisons de moisissures, que lors de son actuelle reconstruction. La décision initiale du ministère de l’Éducation de refuser un toit vert, l’éclairage DEL et un plan de géothermie pour des raisons de dépassement de coûts ne se serait pas présentée avec une politique nationale. « Il est dommage, déplore l’Ordre, qu’une école en soit ainsi réduite à choisir entre les mesures vertes, l’accessibilité universelle et la convivialité des espaces, alors que tous ces facteurs sont essentiels à la qualité d’un bâtiment public. » Le document de l’OAQ détaille ce que la politique culturelle devrait clamer. Il faudrait qu’elle énonce des grands principes qui détermineront l’action du gouvernement. En plus d’appeler à une meilleure coordination entre les organismes publics, les architectes plaident notamment pour une vision en amont de projets, pour un plus grand soutien aux municipalités et pour une meilleure valorisation de la recherche.
  2. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  3. Ça fait un mois que le concours est lancé. Il reste à peine une semaine pour participer au concours, donc la création d'un fil était plutôt nécessaire. Le nouveau bâtiment sera construit au coin Ontario/Hotel de ville. Bref, la rue Ontario sera complètement habitée au Nord! https://www.oaq.com/fileadmin/Fichiers/Nouvelles/A1-AVIS_D_APPEL_DE_CANDIDATURES-CVM_MT.pdf https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=5e417fda-c31d-47a4-91f7-de539cc53ad8&SubCategoryCode=S3&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=51bf683a-850d-42b4-805d-d34f17577aa7
  4. Architectes: Birtz Bastien Beaudoin Laforest Architectes Fin de la construction: 2016? Utilisation: Éducation Emplacement: Hochelag' ? mètres - 3 éages Description: Remplacement de l'École Baril, contaminée et démolies au printemps 2015. Le portail de l'actuel édifice de l'école construite en 1911 sera conservé. Un gymnase double vitré, une bibliothèque sur deux étages, 17 arbres plantés et 21 classes fenestrées, voici à quoi ressemblera la nouvelle école Baril dans Hochelaga. Au-delà du style contemporain, l’histoire centenaire de l’établissement sera conservé. «Il était important d’inclure des éléments contemporains, tout en s’inspirant du contexte historique de l’école», indique Clément Bastien, architecte de la firme Birtz Bastien Beaudoin Laforest, qui a présenté les plans de la nouvelle école Baril aux parents, le 30 mars dernier. Comme pour le bâtiment original, la nouvelle structure gardera une base en maçonnerie de pierre. Les deuxième et troisième étages seront en argile. De plus, bien que contaminé, le portail de l’école sera conservé et érigé devant l’entrée principale.
  5. http://journalmetro.com/actualites/montreal/726199/claude-provencher-nous-sommes-loin-dune-ville-de-design/ 24/02/2015 Mise à jour : 24 février 2015 | 6:30 Ajuster la taille du texte Claude Provencher: «Montréal est loin d’être une ville de design» Par Vincent Fortier Yves Provencher/Métro Claude Provencher Claude Provencher croit qu’il faut multiplier les grands projets d’exception à Montréal, car on «n’attire pas les touristes avec des mochetés». L’un des architectes les plus applaudis du Québec souhaite un changement de culture majeur à Québec, pour donner à l’aménagement et à l’architecture la place qu’ils méritent. Si vous aviez à donner une note sur 10 à Montréal pour son architecture, quelle serait-elle? 6/10. Ça monte graduellement. Dans les 25 dernières années, il s’est fait un travail de requalification des quartiers centraux et de réappropriation de la ville par certains citoyens. Sur le plan des espaces publics, ça s’est beaucoup amélioré. Je pense aussi qu’on produit de meilleurs architectes et designers urbains. Par contre, tout n’est pas intéressant. Il y a eu des rendez-vous ratés, comme avec les grands hôpitaux (CUSM et CHUM). Vous dites que nous formons de bons architectes. Leur donne-t-on la chance de s’exprimer? Non. Il y a une panique autour des budgets alloués aux projets qui a été alimentée par certains politiciens de façon injustifiée. On a utilisé des cas d’exception pour faire des généralités. Il s’est donc développé une «gestionite aiguë». Ça se traduit par des budgets moins importants. Ce n’est pas le talent qui manque. Il faut seulement encourager les projets de qualité. À ce sujet: Et si on misait sur des écoles du XXIe siècle? Le gros lot pour des architectes montréalais Montréal, ville nostalgique? Que doit-on faire pour y arriver? Il faut un ministère de l’Aménagement et de l’Architecture. L’architecture, c’est fondamental. Quand un espace est bien aménagé, une valeur se crée et il y a un effet d’entraînement. Il faut sensibiliser et éduquer les politiciens, et ce, de façon continue. Trouvez-vous que Montréal manque d’audace? Oui. Mais pour avoir de l’audace, ça prend des projets. Montréal se développe petit à petit, et il n’y a pas tant de projets publics majeurs sur la table. Les derniers projets vraiment audacieux à Montréal, comme la Place Ville-Marie, datent des années 1960 et 1970. Sinon, Montréal n’a pas de projets iconiques. A-t-on besoin d’un bâtiment phare, qui créerait un effet domino? Quelques bâtiments de référence contribueraient certainement au rayonnement international de la métropole. Montréal a la prétention d’être une ville de design, mais nous sommes loin de ça… Vous avez déjà dit qu’on en beurrait un peu épais au sujet de la créativité des Québécois… Oui. Il y a énormément de créativité, mais ce qui se réalise – il y a des projets fantastiques – se fait à petite échelle. Les grands projets de nature publique ne sont pas là; les gouvernements, autant au fédéral qu’au provincial, ne sont pas au rendez-vous. Ce sont eux qui sont responsables de créer une image forte pour une ville. Au Québec, on pense qu’un bâtiment significatif est une dépense inutile plutôt qu’un investissement. Au début des années 2000, on avait parlé d’un «palais de verre» pour décrire le projet du CDP Capital de la Caisse de dépôt. Les journalistes avaient été odieux et avaient transmis le message que le projet représentait une dépense frivole. Aujourd’hui, on s’entend pour dire que c’est l’un des rares projets montréalais des 20 dernières années à avoir fait une différence. C’est un espace significatif. Que pensez-vous du projet de mégacentre commercial Quinze40, à Ville Mont-Royal? Si on croit qu’il y a un marché pour des projets comme le Quinze40, c’est qu’on ne croit plus au centre-ville. Il faut s’en préoccuper. Aujourd’hui, on a un maire super allumé, mais pendant des années, on a laissé Montréal à l’abandon, comme sur Saint-Laurent par exemple. Les taxes sont très élevées au centre-ville. À mon avis, le programme de taxation devrait être inversé : plus tu t’éloignes du centre, plus les taxes devraient être élevées. Vous avez un projet au coin de Sainte-Catherine et de Saint-Laurent. Qu’est-ce qui arrive avec le Carré Saint-Laurent? On attend toujours que Québec [qui avait pris un engagement sous le gouvernement Marois avant de se retirer avec l’arrivée des libéraux] appuie financièrement le projet. Il faut investir pour créer de la valeur dans le secteur afin que le boulevard Saint-Laurent se redéveloppe. On dirait qu’au Québec, on est gêné de mettre de l’argent sur des projets du genre. Ce n’est pas une dépense, mais un investissement, avec des retours de taxes importants. Les partenariats public-privé (PPP) ont donné des projets comme le CUSM. PPP et qualité architecturale sont-ils incompatibles? C’est difficile à concilier. Il faudrait détacher du processus la conception du projet, comme on a fait avec le pont Champlain. On impose donc aux proposants de réaliser un projet qui a été dessiné dans une dynamique indépendante. S’il n’y a pas de changement dans la forme actuelle des PPP, il sera impensable de créer un patrimoine bâti de qualité. Certaines personnes ont accueilli froidement le dessin du nouveau pont Champlain que vous avez réalisé avec l’architecte danois Poul Ove Jensen, le trouvant trop tranquille. Comment défendez-vous votre projet aujourd’hui? La grande majorité a trouvé le projet très élégant. Il faut réaliser que Champlain est une autoroute sur l’eau de 2 km et qu’il enjambe la voie maritime. Ce n’est pas le viaduc de Millau, ce n’est pas le Golden Gate, ce n’est pas Stonecutters. Avec Jensen, nous avons étudié plusieurs options, du double niveau jusqu’au pont couvert. Mais, pour des raisons techniques et environnementales, nous avons abandonné tout ça pour revenir à quelque chose de simple et d’élégant. J’en suis très fier. Quai revisité Claude Provencher travaille présentement au projet de gare maritime qui changera complètement le visage de la jetée Alexandra, qui est située à l’ouest du Centre des sciences, dans le Vieux-Port. La Ville et Québec ont confirmé leur appui financier, mais Ottawa manque toujours à l’appel. Le projet, qui aura une fonction publique et une fonction d’accueil des bateaux de croisière, offrira d’ici 2017 aux Montréalais la possibilité de marcher sur des toits verdis jusqu’à l’eau. Là, une grande place publique sera aménagée. Actuellement, le quai se trouve à huit mètres au-dessus de l’eau. La place permettra aux visiteurs de se retrouver au niveau du fleuve. Une tour de verre de 100 m offrira une vue inédite sur la ville.
  6. 14 unités d’habitation de petite dimension http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CA_Vma/CA_Vma_ODJ_LP_ORDI_2015-02-10_19h00_FR.pdf CA : 40.10 2015/02/10 Adopter une résolution autorisant la construction d’un bâtimentrésidentiel projeté sur le lot 2 162 250 du côté est de la rue Saint-André, entre la rue Sainte-Catherine et le boulevard René-Lévesque Est, en vertu du Règlement sur les projets particuliersde construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble(CA-24-011) -plan d'aménagement paysager général, le tout réalisé par Blouin, Tardifarchitecture-environnement et Version paysage, architectes paysagistes
  7. Je ne sais pas trop où placer ce genre de propos. L'idée est de retracer l'influence d'architectes connus ou moins connus sur la patrimoine bâti de Montréal.
  8. Suite au poste de UrbMtl ... Lemay a annoncé avoir complété l’acquisition de trois filiales québécoises du groupe torontois IBI, soit DAA, Cardinal Hardy Architectes et Martin Marcotte / Architectes. Lemay a également annoncé la formation d’une coentreprise avec le Groupe IBI en Chine. De plus, Lemay s’établit dans les Caraïbes avec cette transaction. Enfin, elle permet à Lemay de devenir un chef de file canadien en design intégré de l’environnement bâti. « Cette annonce incarne de manière exceptionnelle la poursuite de notre objectif de mieux servir à la fois les besoins grandissants de nos clients et ceux des communautés de demain », a déclaré Louis T. Lemay, président de Lemay. « Nous sommes convaincus que la grande complémentarité des entités que nous jumelons aujourd’hui et la qualité du talent, de l’expérience et des réalisations de notre équipe font du nouveau Lemay un joueur incontournable de l’industrie et, plus que jamais, un partenaire stratégique de calibre mondial. Cela constitue également une occasion unique de faire rayonner le talent inégalé et le savoir-faire des créateurs d’ici à l’échelle internationale et de créer de la richesse au Québec et au Canada », a poursuivi M. Lemay. Avec l’acquisition de ces trois entités et la création de la coentreprise chinoise, Lemay rassemble désormais près de 500 professionnels et renforce sa position de première société québécoise dans les services de conception intégrés et de quatrième en importance au Canada. À l’international, l’entreprise entre également au prestigieux palmarès des 100 plus importantes sociétés du domaine. http://www.portailconstructo.com/actualites/lemay_acquiert_daa_cardinal_hardy_architectes_martin_marcotte_architectes
  9. Publié le 22 septembre 2014 à 10h26 | Mis à jour le 22 septembre 2014 à 10h26 Une résidence étudiante qui détonne Marie-Eve Morasse La Presse L'idée que l'on se fait des résidences étudiantes est peu reluisante. On les imagine ternes, défraîchies et meublées sans éclat. À deux pas de l'Université McGill, une nouvelle résidence universitaire vient renverser les idées préconçues. Ce sont les architectes de l'agence Kanva qui ont imaginé cette résidence de 30 chambres qui détonne. Le terrain, à un jet de pierre de l'entrée de l'université, a dicté le projet. «C'était un terrain vacant en face du campus, directement rue University. La résidence étudiante est venue naturellement. Si on avait été un kilomètre plus loin, ça aurait probablement été autre chose», dit Tudor Radulescu, cofondateur de Kanva. Là où se trouvait un stationnement s'élève aujourd'hui la Résidence Edison. En ébauchant leurs plans, les architectes ont d'abord tenu compte de leur clientèle. Comme bien des jeunes y éliront domicile au cours des prochaines années, il fallait un bâtiment durable. «C'est un bâtiment entièrement en béton. Il faut vraiment se lever tôt pour y faire des dommages! Ce n'est pas une prison, mais la construction est en fonction des besoins de solidité, des besoins acoustiques, des besoins d'intimité», explique Tudor Radulescu. Les chambres, privées ou doubles, sont petites mais on ne s'y sent pas coincé. «On arrive à donner un certain confort, un certain volume. Les plafonds sont hauts, la fenestration est généreuse. On veut offrir une qualité qui ne se limite pas à dire «j'ai une chambre de 150 pi2».» Pour l'instant, la majorité des étudiants qui y ont établi domicile ne sont pas de la province. Ils auront l'occasion de fraterniser dans les espaces publics pensés par les architectes. «Les lieux communs sont essentiels, c'est une place de choix, dit Tudor Radulescu. Nous voulions quelques chose de convivial, qui encourage les échanges.» Un clin d'oeil architectural au passé La référence à Thomas Edison dans le nom de la résidence n'est pas fortuite. Pour souligner qu'elle a été construite là où un bâtiment a brûlé dans les années 60, on a eu recours à des images tirées du film Montreal Fire Department on Runners, tourné à Montréal par Thomas Edison en 1901. Grâce à une technique appelée photogravure, les images ont été insérées sur les panneaux de béton et peuvent être vues en façade et dans la porte cochère. «Il n'y a pas de couleurs ni de différences de ton dans le béton. Ce sont des coupures de profondeur et de largeur différentes qui créent des ombrages avec la lumière et c'est ce qui crée des images. C'est subtil. Selon l'angle, il est possible qu'on ne voie rien de spécial, mais tout d'un coup, on arrive dans un autre angle et les ombrages prennent vie», explique Tudor Radulescu. Dans son très court film, Thomas Edison a immortalisé les pompiers de Montréal tandis qu'ils défilaient avec leurs nouveaux équipements pourvus de la plus récente technologie. Le choix du film n'est pas un hasard pour un bâtiment situé tout près de l'Université McGill. «C'est également pour le côté développement de nouvelles technologies qui va avec des études universitaires», explique l'architecte. Trois types de chambres sont proposées. Les prix spéciaux, au départ offerts pour des réservations pendant le mois d'août, étaient toujours en cours au moment d'écrire ces lignes (de 595$ à 895$ par mois par étudiant). edisonresidence.com SOURCES : http://www.lapresse.ca/maison/architecture/201409/22/01-4802417-une-residence-etudiante-qui-detonne.php http://www.edisonresidence.com http://www.worldarchitecturenews.com/interiors/index.php?fuseaction=project.projectview&ctid=25&prid=24643 http://www.e-architect.co.uk/montreal/edison-residence-in-montreal http://www.archello.com/en/project/edison-residence# http://www.citylab.com/design/2014/08/montreals-newest-concrete-slab-building-is-brightened-with-film-stills-by-thomas-edison/375996/ http://www.dezeen.com/2014/08/11/edison-residence-by-kanva-concrete-panel/ Photography is by Marc Cramer.
  10. Ce projet est passé sous le radar de mtlurb! Le lancement a lieu demain. Je suis très très très excité par cette "2e phase" du projet Héritage. On l'attendait depuis bien longtemps! Les architectes sont Sid Lee. Je m'attends à quelque chose d'incroyable! http://5quai.com/fr/
  11. Il en avait été questions il y a plusieurs mois et je croyais que la ville avait finalement abandonnée l'idée... mais voilà qu'on en jase à l'Hôtel de ville : Merci à IluvMTL 20.20 Contrat de services professionnels CA Bureau du directeur d'arrondissement - 1131145005 Accorder un contrat de services professionnels de 285 425,44 $ à Affleck de la Riva architectes pour l'aménagement du square Cabot et autoriser une dépense maximale de 342 510,53 $ (appel d'offres public VMP-13-026- 6 soumissionnaires) District(s) : Peter-McGill
  12. http://journalmetro.com/plus/immobilier/378092/nathalie-dion-montreal-et-ses-defis-architecturaux/ Avec l’élection d’une nouvelle présidente à l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) et la campagne électorale municipale, la conjoncture est excellente pour discuter des enjeux qui attendent la métropole avec celle qui dirige l’organisme. Élue en mai dernier à la présidence de l’OAQ, l’architecte Nathalie Dion compte pas moins de 25 années d’expérience tant dans le domaine privé que public. Histoire de briser la glace, en ce matin pluvieux au sommet du majestueux mont Royal, Métro lui a demandé si elle était d’accord avec l’auteur-compositeur-interprète Jean-Pierre Ferland, pour qui «Montréal est une femme du monde en running shoes». «Montréal n’est pas une ville uniforme si on la compare à Paris, par exemple, commence-t-elle. Elle présente un paysage morcelé, qui a toutefois une identité propre, mais difficile à définir. Sa convivialité? Au fond, c’est peut-être cela son côté “femme du monde en running shoes”», sourit l’architecte, soulignant au passage que le Stade olympique semble, paradoxalement, davantage apprécié des visiteurs que des Montréalais eux-mêmes. Quels sont les grands enjeux dont nous devrions débattre au cours de la campagne électorale qui s’amorce, selon elle? «Nous avons l’impression que l’architecture montréalaise est issue de politiques qui changent continuellement : s’il existe bien divers plans (transports, préservation du patrimoine), une vision d’ensemble semble manquer. L’un des grands chevaux de bataille de l’Ordre est d’encourager la création d’une politique nationale de l’architecture et de l’aménagement», affirme la présidente. Elle ne souhaite évidemment prendre position pour aucun parti en lice, mais appelle de ses vœux une mobilisation forte pour un concours d’architecture sur l’avenir du pont Champlain. «La Ville s’était fixé comme objectif d’investir 240 M$ par année jusqu’en 2018 pour l’amélioration du transport à Montréal […]. Cet objectif n’a jamais été atteint : il y a eu 60 M$ en 2008, 104 M$ en 2009, ce qui représente de 25 à 30 % de l’objectif!» – Nathalie Dion Nouvelle présidente de l’OAQ «On ne peut pas rater cette occasion-là», souligne-t-elle avant d’ajouter, toujours au sujet des enjeux fondamentaux, qu’«il faut faire en sorte que l’ensemble de l’offre en matière de logement privilégie l’intégration des familles». Ce qui pourrait passer par l’augmentation du nombre de logements sociaux, croit-elle, mais aussi par des politiques encadrant la création de plus grands logements pour y installer les familles. Bref, dit en substance l’architecte Nathalie Dion, qui souhaite également une réactivation de l’investissement dans le réseau cyclable, «il faudrait penser davantage à une vision d’ensemble cohérente, plutôt qu’au seul profit à courte vue, comme ce fut le cas, par exemple, dans Griffintown, où l’on souhaite faire venir les familles, mais où personne n’a, semble-t-il, songé à construire une… école!» *** Palmarès Des bons coups, selon Nathalie Dion La Grande Bibliothèque (Croft Pelletier architectes/Gilles Guité/Patkau architectes), résultat d’un concours d’architecture. Elle est la bibliothèque la plus fréquentée en Amérique du Nord. En 2011, elle a reçu 2,7 millions de visites, ce qui la place devant la bibliothèque de Toronto. Pavillon Claire et Marc Bourgie du Musée des beaux-arts de Mont*réal (Provencher Roy et associés). Planétarium de Montréal (Cardin Ramirez Julien et Ædifica). Habitat 67, Moshe Safdie (Safdie Architects). De moins bons coups Parfois, des architectes qui débordent de talent doivent composer avec les demandes de leurs clients. Hélas, il arrive que les profits passent avant la qualité. La Maison symphonique de Montréal est un bâtiment fort intéressant, mais il aurait pu l’être davantage. Lorsque des consortiums PPP (partenariat public-privé) décrochent des contrats en raison de leur montage financier, cela se fait au détriment de la qualité. La salle est très belle, l’acoustique y est excellente, mais lorsqu’on en sort, cela n’a rien à voir avec la beauté de l’aire d’attente de la salle Wilfrid-Pelletier ou celle de la salle Maisonneuve.» «L’autoroute métropolitaine (la 40). La solution? On pourrait s’inspirer de New York, où l’on a transformé une infrastructure de trains surélevée qui traversait une zone industrielle et d’anciens abattoirs en projet vraiment formidable, le High Line. C’est devenu une promenade parsemée de végétation. L’un des plus beaux lieux de la ville avec sa vue imprenable sur la rivière Hudson.»
  13. Après le mile-End, voici le Mile-Ex. Source: Face/Ad/Bloghttp://www.faceadblog.com/mileex/ Photos: Julia Marois
  14. http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/nouvelles/detail_de_nouvelles/article/architecture_design_et_urbanisme_un_pas_de_plus_vers_2017.html?tx_ttnews[backPid]=139&cHash=57e6c8b6f715bcb73523bdb5bac62040 NOUVELLE 21 septembre 2012 Architecture, design et urbanisme : un pas de plus vers 2017 Pavillon du Québec, Expo 67 Photo: BAnQ La Fédération internationale pour l’habitation, l’urbanisme et l’aménagement du territoire, qui regroupe des architectes et des urbanistes d’une soixantaine de pays, tiendra son congrès à Montréal en 2017. L’annonce a été faite à Göteborg, en Suède, lors du 56e congrès de l’organisme. Mission Design, la Ville de Montréal et l’Ordre des urbanistes du Québec s’étaient déplacés pour l’occasion. Rappelons que, dans le cadre des célébrations du 50e anniversaire d’Expo 67, du 375e anniversaire de la ville et du 150e anniversaire de la Confédération, Mission Design entend attirer plusieurs événements majeurs autour du design et de l’architecture. La Fédération internationale des architectes paysagistes (IFLA)prévoit déjà, elle aussi, tenir son congrès à Montréal en 2017. Communiqué de Mission design Communiqué de la Ville de Montréal
  15. Montréal vu par un Vénitien Publié le 13 juin 2012 Marie-Claude Lortie Pour Francesco Bandarin, sous-directeur général de l'UNESCO pour la culture, il n'y a pas de doute: Montréal est une ville de design. Là où les plus pessimistes ne voient que des échangeurs délabrés, des rues inondées, des gratte-ciels anodins construits par des concepteurs de centres commerciaux et des projets au financement obscur, lui voit une ville dynamique, habitée par des milliers de gens créatifs, designers ou architectes. «C'est ça qui fait une ville de design», dit-il, en entrevue, lors de son passage récent dans la métropole pour une rencontre des représentants de toutes les villes choisies par l'UNESCO parce qu'elles accordent une grande place au design pour leur évolution culturelle et économique. Sur son site web, la Ville de Montréal indique que 25 000 designers et architectes font de Montréal une ville résolument préoccupée par cet aspect de son développement. Un chiffre que M. Bandarin reprend en lançant: «Je ne sais pas comment vous faites!» Bref, pour le représentant de l'UNESCO, il n'y a pas de doute que Montréal mérite sa place sur la liste des villes de design de l'organisme culturel international, aux côtés de Berlin, Shanghai et Buenos Aires. «On fait un tri, on étudie les dossiers et Montréal a beaucoup misé sur le design, alors il a été choisi.» Pendant qu'on parle de tout ça, dans l'autobus scolaire qui nous amène de l'UQAM au Musée des beaux-arts, on traverse des rues commerciales, où les immeubles n'ont rien de spectaculaire, à part la Place Ville-Marie, évidemment, que M. Bandarin note au passage. «Pei, un des plus grands», lance-t-il. Quand je lui fais remarquer qu'il y a longtemps, maintenant, qu'un architecte de la trempe de Pei ou de Mies Van der Rohe est venu construire quelque chose ici, il n'en fait pas de cas. «Vous savez, dit-il, l'iconisme, c'est fini.» Selon M. Bandarin, il ne faut pas rêver de voir un jour un grand immeuble symbolique, emblématique, s'implanter comme nouveau grand symbole de la ville. «On est dans une nouvelle approche maintenant et même les grands architectes comme Rem Koolhas, qui a fait bien des immeubles iconiques, n'est plus en faveur de l'iconisme.» Par iconisme, il entend les grands bâtiments hors de l'ordinaire, sans lien avec l'architecture des alentours, qui s'imposent tout seul. On pense à la tour Eiffel, à l'Opéra de Sydney, mais aussi à des constructions plus récentes, comme le musée Guggenheim de Bilbao dessiné par Frank Gehry ou le musée Maxxi de Rome, signé Zaha Hadid, cette architecte avant-gardiste anglo-irakienne. Évidemment, plusieurs bâtiments modernes chinois viennent aussi à l'esprit, comme la tour du Centre mondial des finances de Shanghai. «D'abord, ces constructions coûtent très, très cher et seulement un nombre limité de sociétés peuvent se les permettre», note M. Bandarin. Plus ça va, plus les sociétés comprennent que l'architecture se vit au quotidien, s'amarre au développement urbain, prend sa place sans s'imposer, cherche à faire évoluer les styles de vie, sans donner de coup de massue sur la silhouette d'une ville. «Et puis, nous, à l'UNESCO, on a une tâche de conservation du patrimoine», continue-t-il. Naturellement, l'organisme va donc se pencher plutôt du côté de la créativité «enracinée», celle qui est liée au contexte. Sa ville préférée? Je n'ose pas le lui demander, mais il n'hésite pas à répondre. Venise. Non seulement une ville bien ancrée dans son histoire, mais celle d'où il vient. Mais le Vénitien d'origine, qui habite maintenant Paris, aime bien aussi Montréal, même avec ses manifestations joyeuses qui lui donnent, dit-il, des airs de carnaval. Il apprécie la place des Festivals, par exemple, avec ses fontaines qui sortent directement du sol, où les enfants jouent dès qu'il fait chaud. Il aime bien le Centre de design de l'UQAM, aussi, créé par l'architecte montréalais Dan Hanganu. Pour lui, ce sont ces projets, les uns après les autres, qui construisent une ville de design. «À certains moments, on est devenu fou et on s'est mis à tout faire hors contexte», dit-il. Dans certains cas, comme pour la tour Eiffel, qui est une prouesse technologique pour son époque, ou pour l'Opéra de Sydney, l'intervention a fonctionné, explique M. Bandarin. Mais souvent, l'immeuble iconique moderne n'est pas le symbole de la société où il se trouve, mais plutôt de l'entreprise qui l'a fait construire. «C'est de la pub pour se faire voir.» Or, continue-t-il, veut-on réellement laisser les paysages urbains être définis par des intérêts privés? «Moi, je crois que le paysage appartient à la collectivité.» http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201206/13/01-4534385-montreal-vu-par-un-venitien.php
  16. Architecture de qualité !!! J'aime ! Site actuel Street View : http://maps.google.ca/maps?q=2365+saint-patrick,+montr%C3%A9al&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.481795,-73.569011&spn=0.01005,0.022724&safe=off&hnear=2365+Rue+Saint+Patrick,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H3K+1B4&gl=ca&t=h&z=16&layer=c&cbll=45.481795,-73.569011&panoid=j-C-35jG8-wN6UtYa2dOdQ&cbp=12,328.39,,0,4.97 Site actuel Bird Eye View : http://www.bing.com/maps/?v=2&cp=rkdbsx8w28hz&lvl=18.31&dir=90.13&sty=b&nwyw=1&ss=yp.rue%20saint-patrick%2C%20montr%C3%A9al&form=LMLTCC http://www.mystsurlecanal.com *click to enlarge* *click to enlarge* *click to enlarge* *click to enlarge* Architectes : http://ateliercba.com/
  17. 30 avril 2011 Marathon d'architecture à la Grande bibliothèque -------------------------------------------------------------------------------- La quatrième édition du marathon d'architecture permettra aux architectes lauréats des Prix d'excellence 2011 de présenter leur projet primé devant le public pendant 8 minutes, top chrono! De 13 h à 17 h, ils révèleront les faits saillants, parfois cocasses, qui ont entouré la réalisation de leur projet. Objectif? Faire connaître la démarche de l'architecte et la synergie avec son client, un élément essentiel au succès de tout projet d'architecture. Le défi en est un aussi de séduction puisque les architectes font campagne jusqu'au 31 mai pour remporter le Prix du public Loto-Québec ainsi que le Prix Vision architecture & jeunesse remis en collaboration avec Joli-Coeur Lacasse avocats. Entrée libre. Les projets lauréats seront présentés à tour de rôle (voir l'horaire). http://www.pea-oaq.com Direction | Ordre des architectes du Québec | 1825, boulevard René-Lévesque Ouest, Montréal (Québec) H3H 1R4 | T. 514.937.6168 | info@oaq.com | oaq.com Production déléguée : SCPGR | Sylvie Champeau | 1858, avenue Woodland, Montréal (Québec) H4E 2J3 | T. 514.983.6547 | pea@scpgr.com | scpgr.com Horaire Description Firmes ou organismes 12 h 30 Ouverture des portes 12 h 45 Mot de Bienvenue Bibliothèque et Archives nationales du Québec 12 h 50 Mot du président de l'Ordre des architectes du Québec André Bourassa, architecte 12 h 54 Mot du partenaire principal, TD Assurance Meloche Monnex Marie Cacchione, Directrice, Marché de l'affinité, Québec 12 h 58 Explications des règles du Marathon d'architecture et coup d'envoi Sylvie Champeau, agence SCPGR, productrice déléguée 13 h 00 Mission Kitcisakik, Architectes de l'urgence Canada Guillaume Lévesque, architecte, lauréat du prix Action 13 h 10 Résidence Saint-Hubert _naturehumaine 13 h 20 Résidence de la Congrégation _naturehumaine 13 h 30 Abbaye Val Notre-Dame Atelier Pierre Thibault inc. 13 h 40 Résidence André-Coindre (1965) Jean-Marie Roy, architecte (présentation par Martin Dubois, Patri-arch) 13 h 50 Les Quatre Arbres Les Architectes Boutros + Pratte 14 h 00 Agrandissement du Centre de formation professionnelle Gabriel-Rousseau Le consortium AC/a (Anne Carrier architecte) et Poulin architectes 14 h 10 Conservatoire de musique et d'art dramatique de Montréal Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 20 Théâtre Denise-Pelletier Saia Barbarese Topouzanov architectes 14 h 30 Le 300 St-Paul �� Place Telus ABCP Architecture en collaboration avec Claude Guy, architecte 14 h 40 Siège social de Schlüter-Systems (Canada) inc. DCYSA architecture & design 14 h 50 Centre spécialisé de technologie physique du Québec Le consortium bisson associés + carl charron architecte 15 h 00 Université de Sherbrooke �� nouveau campus de Longueuil Le consorium Marosi +Troy, Jodoin Lamarre Pratte, Labbé architecte 15 h 10 Hôtel Marriott de l'aéroport Montréal-Trudeau et Siège social d'Aéroports de Montréal Provencher Roy + Associés architectes 15 h 20 Restauration du pavillon de la Jamaïque de l'Expo 67 à l'île Notre-Dame Réal Paul, architecte 15 h 30 Théâtre de Quat'Sous Les architectes FABG (Brodeur, Gauthier, Lavoie, architectes) 15 h 40 Place des Festivals - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 15 h 50 Vitrines habitées - Quartier des spectacles Daoust Lestage inc. architecture design urbain 16 h 00 Scandinave Les Bains Vieux-Montréal Saucier + Perrotte Architectes 16 h 10 Boutique Michel Brisson_ Saucier + Perrotte Architectes 16 h 20 Unité de vie des Filles de la charité du Sacré-Cœoeur de Jésus acdf* architecture | urbanisme | intérieur / Allaire Courchesne Dupuis Frappier 16 h 30 La Cornette YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 40 Géométrie noire YH2, Yiacouvakis Hamelin, architectes 16 h 50 Maison-atelier du Moine Urbain Gabriel Rousseau, architecte 17 h 00 Conclusion du Marathon et vernissage de l'exposition Entrée libre �� Auditorium de la Grande Bibliothèque, 475, boul. De Maisonneuve Est, Montréal �� Métro Berri-UQAM Marathon d’’architecture 2011 « Un défi intellectuel pour les architectes, 240 minutes de pur bonheur et d’’inspiration pour le public. » « Une invitation à venir voir performer puis rencontrer les architectes qui se sont illustrés dans le cadre des Prix d’’excellence en architecture de l’’Ordre des architectes du Québec. » Le samedi 30 avril http://www.oaq.com/larchitecture/actualite/evenements/vue_detaillee/article/marathon_darchitecture_le_30_avril_a_la_grande_bibliotheque.html
  18. Projet de Rayside Labossière architectes
  19. 24 janvier 2011 http://www.pi2.ca/Contenus/Article/2011/2011-01-24/IBI-Group-Inc--conclue-la-Fusion-Acquisition-de-la.aspx IBI Group Inc. conclut la Fusion/Acquisition de la firme Groupe Cardinal Hardy Inc IBI Group Inc., (Compagnie) annonce l'acceptation de toutes les négociations d'affaires et légales donnant lieu à la fusion de la pratique professionnelle de Cardinal Hardy Architectes (CHA) au sein de Beinhaker Architecte membre du Groupe IBI. En parallèle, la compagnie Groupe Cardinal Hardy Inc. a été fusionnée directement dans Groupe IBI. Cardinal Hardy Architectes offre des services complets d'architecture réputés par son travail remarquable de conception et de réalisation technique s'étendant à des projets institutionnels de transport (Aéroport de Montréal - Trudeau Airport à Dorval), des infrastructures sociales comprenant des bâtiments pour la santé et l'éducation, des projets privés de développement avec des développeurs dominants de la grande région de Montréal. L'entreprise apporte aussi une expertise remarquable avec un porfolio de réalisations en design urbain et architecture du paysage. L'entreprise est active dans ce domaine depuis ses débuts en 1976. Phil Beinhaker, président et chef de la direction du Groupe IBI et propriétaire de Beinhaker Architecte, a déclaré que «Aurel Cardinal et Michel Hardy conjointement avec les autres associés ont établi une pratique professionnelle remarquable en architecture, design urbain et architecture du paysage. Par la variété de leur travail créatif, professionnel et responsable, ils ont acquis une formidable réputation auprès d'une clientèle institutionnelle, des développeurs privés ainsi qu'avec des jeunes professionnels recherchant à évoluer dans l'environnement de leurs compétences. Ensemble avec la présence actuelle du Groupe IBI au Québec, incluant le groupe DAA et la pratique professionnelle affiliée de Martin Marcotte Beinhaker Architectes et Beinhaker Architecte, une remarquable et parfaite collaboration de professionnels est maintenant constituée servant une large gamme du développement de l'environnement urbain. L'expertise de la firme en transport et tout particulièrement dans les terminaux d'aéroport, les domaines institutionnels, le logement et le développement urbain, peut contribuer aux projets du Groupe IBI dans le monde entier». Aurel Cardinal a déclaré que « Nous, chez CHA et GCHI, accueillons cette opportunité d'amener notre travail à un niveau international, aux États-Unis, en Europe et en Asie, avec nos nouveaux collègues du Groupe IBI continuant ainsi notre quête d'excellence en tant que concepteurs de bâtiment et dans l'environnement de la construction. » Michel Hardy a ajouté, «Nous avons développé des compétences dans des domaines spécialisés telles que nos réalisations dans les terminaux de passagers d'aéroport, ce que nous pouvons ajouter à notre base au Québec avec les compétences plus larges de IBI en matière de transport et d'ingénierie des aéroports, offrant cette expérience sur des marchés ailleurs. » Le personnel de CHA et GCHI est constitué d'environ 75 personnes. Le Groupe IBI, incluant les architectes affiliés, comprend maintenant 2600 personnes.
  20. - Description : 8 étages, 150 unités (148 vendues au 7 juin 2012) - Prix : $290-$370 / pi.ca. - Localisation : coin Ottawa - de la Montagne - Début de construction : mai 2012 - Fin de construction : février 2013 - Constructeur : Maître Carré - Architectes : Geiger et Huot - Site web : http://www.carredelamontagne.com/
  21. Aucune idée c'est où, mais c'est au Québec à en juger de la pancarte d'autoroute à gauche sur l'image. Lemay Michaud architectes
  22. Brossard 40 M$ pour revamper le Mail Champlain Mise à jour : 16/09/2009 15h35 Les amateurs de shopping seront heureux d’apprendre que le Mail Champlain, sur la Rive-Sud de Montréal, se refera une beauté. Le propriétaire du centre commercial, Ivanhoé Cambridge, investira 40 millions $ pour réaménager le centre et ainsi espérer attirer une clientèle plus jeune. Les travaux commenceront dès cet automne et se poursuivront jusqu’en 2010. Ils se feront de nuit pour perturber le moins possible les activités du mail. Selon les plans des architectes, le centre devrait laisser passer plus de lumière naturelle. Les aires de restauration seront restaurées et un espace pour manger devrait être aménagé à l’extérieur. À Brossard, le Mail Champlain est en concurrence avec un autre grand joueur, le quartier DIX30. http://lcn.canoe.ca/lcn/infos/regional/archives/2009/09/20090916-153237.html
  23. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  24. Urbanisme - « À un promoteur prêt à investir qui promet 33 millions en taxes, on dit oui » Le Devoir Catherine Lalonde Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Odile Hénault, Acfas, Urbanisme, Université, Congrès, Montréal Il faut craindre un Griffintown à la Devimco En design urbain, si Montréal se félicite du Quartier international, la formule n'est cependant pas automatiquement reprise. Odile Hénault, de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), revient d'ailleurs sur le projet de développement destiné à Griffintown qu'a déposé Devimco. Architecte de formation, autrefois présidente de l'Ordre des architectes du Québec, Odile Hénault a vécu à Barcelone, Bogotà, Manille et Washington. Elle a travaillé en design et en architecture et vient d'être nommée directrice du Centre artistique EST-NORD-EST, à Saint-Jean-Port-Joli. Sa communication au congrès de l'ACFAS est une analyse de ce qu'elle appelle «le gâchis de Griffintown». «La petite histoire de Griffintown est tellement désolante», déplore Mme Hénault en entrevue téléphonique. Rappelons que le promoteur Devimco a proposé à la Ville de Montréal un projet qui prévoyait l'aménagement de 17 îlots urbains sur 12 hectares, tout près du Vieux-Montréal. Hôtels, salle de spectacle, tours d'habitation, stationnements, le tout autour d'un centre commercial, qui tous devaient être construits grâce à un investissement de Devimco s'élevant à 1,3 milliard de dollars. La Ville de Montréal a évalué les futurs revenus fonciers à 30 millions par année. Une offre alléchante. «Montréal est tellement serré [financièrement], explique Mme Hénault, que, à un promoteur prêt à investir qui nous promet 33 millions en taxes, on dit oui.» Mais, selon elle, c'est une pensée à courte vue. «Le Vieux-Montréal est un vrai bijou, mais il est encadré d'un côté par Griffintown, qui est un gâchis, et de l'autre côté par la gare Viger. La Ville va étouffer son bijou et finir par perdre les touristes.» Heureuse crise Heureusement, poursuit Mme Hénault, la crise économique a mis un holà au projet. Mais «un Plan particulier d'urbanisme a été adopté en 2008 et permet désormais à des promoteurs individuels de construire en hauteur, de manière totalement anarchique, sur un site qui est une véritable porte d'entrée de Montréal. Là où on permettait huit étages, on en permet aujourd'hui 22. Griffintown n'est pas un projet réfléchi. C'est une idée de promoteur pour faire de l'argent rapidement autour d'un centre commercial. Devimco a fait le Quartier DIX30. Ça s'appelle un porte-folio. Quand on fait le DIX30, c'est qu'on pense comme ça, qu'on va utiliser des architectes médiocres, parce qu'on ne connaît pas autre chose.» Mme Hénault rêve d'un projet réfléchi comme celui de l'Île à Nantes, en France. Sur un site beaucoup plus grand, qui est dans la même situation géographique par rapport à la ville ancienne et au port que Montréal, un plan progressif a été instauré. «Ils ont commencé par une série d'espaces publics extrêmement agréables. Les gens découvrent tout à coup le paysage et se disent: "Mon Dieu, quelle merveille!"» Mme Hénault s'inspire aussi du village olympique de Barcelone. «Dans un plan où il y avait beaucoup de bâtiments à construire, ils ont regardé les gagnants des prix d'architecture au cours des cinq dernières années. Ici, au Québec, on a le Prix d'excellence de l'Ordre des architectes et la Médaille du gouverneur général.» Car Odile Hénault croit davantage à la perspective des architectes. «J'ai vraiment des doutes sur la capacité des urbanistes au Québec à faire un travail visuel.» Succès québécois Et pourtant, du positif, ici, il y en a. «Ce que j'ai vu de plus marquant, c'est la promenade Samuel-De Champlain à Québec. Pour l'intelligence de l'architecture et pour les gens qui ont protégé la cohérence du projet. Aussi, l'environnement autour de la place Jean-Paul-Riopelle à Montréal. Ce sont les mêmes architectes et urbanistes qui préparent le Quartier des spectacles, à mon avis, ça va être un projet remarquable.» Mais qu'est-ce qui fait qu'un même maire, Gérald Tremblay, entérine un projet aussi allumé que le Quartier des spectacles et, à l'opposé, Griffintown? «C'est terrible à dire, mais le maire ne comprend pas la différence entre une bonne et une mauvaise architecture. Il est obsédé par l'argent à faire avec les revenus des taxes. De temps en temps, il est chanceux, quand il a quelqu'un de solide comme Clément Demers [qui a travaillé sur le Quartier international de Montréal et sur le Quartier des spectacles]. Le maire Tremblay croit que l'architecture est une question de goût. C'est une question de connaissances, d'expérience, de réputation. Kent Nagano a été engagé à l'Orchestre symphonique parce qu'il est reconnu internationalement. Pourquoi on engage de mauvais architectes, qui n'ont jamais eu de prix, alors qu'on ne le ferait pas pour l'orchestre? Les bâtiments demeurent beaucoup plus longtemps. Il y a des critères de sélection qui se définissent par l'histoire et la culture. Ce n'est pas le goût qui entre en ligne de compte.» *** Collaboratrice du Devoir *** - «Le cas du projet Griffintown-Devimco à Montréal», le mardi 12 mai à 10h30. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248473.html (2/5/2009 9H19)
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