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  1. Les arts de la scène ont la cote au Québec Mise à jour le jeudi 14 octobre 2010 à 17 h 13 Les Québécois sont toujours friands de spectacles. En 2009, un nouveau sommet a été atteint avec 17 000 représentations dans la province, en augmentation de 3 % par rapport à 2008, selon les plus récents chiffres publiés par l'Observatoire de la culture et des communications du Québec. Les spectacles au Québec ont attiré 7,4 millions de personnes, soit 6 % de plus qu'en 2008. Ils ont généré des revenus de billetterie de 274,6 millions de dollars, en hausse de 16 % par rapport à l'année précédente. Les 10 spectacles les plus populaires sont des productions québécoises : •Cirque du Soleil - Ovo •Martin Matte - Condamné à l'excellence •André Sauvé - André Sauvé •Louis-José Houde - Suivre la parade •Cavalia - Cavalia •Véronic Dicaire - Véronic Dicaire •Rachid Badouri - Arrête ton cinéma •Cirque du Soleil - Allegria •Céline Dion - Taking Chances •Grande gueules - Complices . Ces 10 spectacles concentrent 18 % de l'assistance et 32 % des revenus de billetterie des spectacles présentés en 2009. Le cirque et l'humour ont la cote La fréquentation des spectacles de cirque et de magie atteint de nouveaux sommets avec une hausse de 58 % de l'assistance et de 244 % des revenus de billetterie par rapport à 2008. Le succès populaire des spectacles d'humour ne se dément pas, avec une croissance de 36 % de l'assistance et de 83 % des revenus de billetterie entre 2007 et 2009. En 2009, l'humour a généré 45,5 millions de dollars de revenus de billetterie grâce à 1,3 million de spectateurs, soit plus que les revenus du théâtre (33,6 millions) et de la danse réunis (8,5 millions). Ces deux catégories d'évènements ont attiré 1,9 million de spectateurs. Après deux ans en baisse, les spectacles de chansons francophones connaissent une croissance de l'assistance de 12 % et une hausse des revenus de billetterie de 26 % par rapport à 2008. Montréal, Québec et les régions Depuis 2006, les spectacles payants tenus dans les régions de Montréal et de la Capitale-Nationale ont connu un taux de croissance annuel moyen de 5 % de l'assistance et de 16 % des revenus de billetterie. Au cours de la même période, les autres régions du Québec ont vu leur assistance diminuer de 3 %, et leur revenu stagner. http://www.radio-canada.ca/nouvelles...chiffres.shtml Bonne Nouvelle pour le Quartier Des Spectacles!
  2. Étude KPMG "Choix concurrentiels" - Le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde MONTRÉAL, le 1er avr. /CNW Telbec/ - Selon l'étude "Choix concurrentiels" de la firme KPMG, le Grand Montréal offre les coûts d'exploitation les plus concurrentiels des principales régions industrialisées du monde. Montréal se hisse en effet en première position parmi les 41 régions métropolitaines comptant deux millions d'habitants, à l'exclusion des villes du Mexique, seul pays émergent à figurer parmi les 10 pays considérés dans l'étude. Tous secteurs confondus, l'avantage-coût du Grand Montréal par rapport à la moyenne des villes américaines s'élève à 5,8 %. Cet avantage atteint notamment 22 % en essais cliniques, 18 % en mise à l'essai de systèmes électroniques, 14 % en conception de logiciels et en web/multimédia, et 12 % en biotechnologie. De façon générale, l'avantage-coût du Montréal métropolitain s'avère nettement plus marqué dans les secteurs non manufacturiers, tels que les services informatiques et ceux destinés à l'entreprise, ainsi que les services de R-D. "La performance supérieure de la région montréalaise au niveau des coûts dans les secteurs de haute technologie s'explique notamment par les avantageux incitatifs fiscaux à la R-D octroyés par les gouvernements du Québec et du Canada", souligne le président-directeur général par intérim de Montréal International, monsieur Luc Lacharité. L'étude de KPMG compare les coûts d'exploitation d'une entreprise dans plus de 100 villes situées dans 10 pays : l'Allemagne, l'Australie, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon, le Mexique, les Pays-Bas et le Royaume-Uni. Cette analyse comparative mesure l'incidence conjuguée de 26 éléments de coûts particulièrement sensibles à la localisation géographique pour 17 types d'entreprises, sur une période de 10 ans. L'étude est disponible pour téléchargement sur le site http://www.competitivealternatives.com. http://www.cnw.ca/fr/releases/archive/April2010/01/c7341.html
  3. Régions: la fin de l'hémorragie? Publié le 09 février 2010 à 07h24 | Mis à jour à 07h24 Claude Picher La Presse Pour la première fois depuis le milieu des années 90, toutes les régions du Québec, sans exception, ont connu en 2009 une hausse démographique. Il est évidemment trop tôt pour dire s'il s'agit d'un renversement de tendance, mais il est certain que, pour les régions périphériques, victimes d'une véritable saignée démographique depuis une quinzaine d'années, 2009 représente sans aucun doute un répit plus que bienvenu. Et probablement plus qu'un simple répit. Il se pourrait même que les plus récentes données démographiques régionales de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ), publiées la semaine dernière, annoncent la fin de l'hémorragie. En 2009, le Québec a gagné 75 400 nouveaux citoyens, une hausse de 1% par rapport à 2008. Ce chiffre tient compte à la fois de l'accroissement naturel (les naissances moins les décès) et du solde migratoire. Toutes les régions ne profitent pas également de la hausse. Toutes proportions gardées, c'est Lanaudière qui ressort comme grande gagnante, avec 8500 citoyens de plus, une augmentation de 1,9%. À l'autre bout de l'échelle, la Gaspésie ne gagne qu'une trentaine de nouveaux résidants, en hausse de 0,03% seulement. À première vue, ce dernier chiffre semble désolant, mais en réalité, il constitue une excellente nouvelle pour la région. Entre 1996 et 2008, la Gaspésie (incluant les Îles-de-la-Madeleine) a vu sa population totale passer de 106 400 à 94 100 personnes, une perte frisant les 1000 personnes par année. C'est dire que, pendant cette période, la région a perdu près de 12% de sa population. C'est énorme. La situation est d'autant plus tragique qu'elle touche largement les jeunes de moins de 24 ans... Si modeste soit-elle, une première hausse démographique, survenant après une telle hémorragie, ne peut être que réconfortante. À des degrés divers, on observe une tendance semblable dans toutes les autres régions périphériques. La Côte-Nord a connu un déclin de 9% depuis 1996; or, l'an dernier, on observe pour la première fois une hausse de 0,3%. En Abitibi-Témiscamingue, au Saguenay-Lac-Saint-Jean et dans le Bas-Saint-Laurent, les pertes démographiques depuis 1996 se situent à 7%, 6% et 4% respectivement. En 2009, dans le même ordre, on enregistre des hausses de 0,5%, 0,24% et 0,04% respectivement. Certes, ces chiffres demeurent bien en deçà de la moyenne provinciale, mais, comme dans le cas de la Gaspésie, ils représentent une première lueur d'espoir après des années d'exode. Le plus encourageant, c'est que la tendance a des chances de se maintenir. «Tous les facteurs poussent dans la même direction», explique Chantal Girard, démographe à l'ISQ. D'abord, l'accroissement naturel. Mme Girard n'aime pas l'expression «mini-baby-boom», qui décrit la hausse des naissances au Québec depuis quelques années. «Cela donne l'impression que les problèmes démographiques du Québec sont réglés, dit-elle, alors que nous sommes loin d'un véritable boom. Tout au plus peut-on parler d'un baby bump.» Quoi qu'il en soit, le baby bump touche effectivement toutes les régions, y compris celles qui sont traditionnellement défavorisées sur le plan démographique. De plus, les migrations interprovinciales, qui ont longtemps joué contre les régions périphériques, sont en train de changer. Après avoir quitté leurs régions depuis des décennies, beaucoup de Gaspésiens, Saguenéens ou Abitibiens, aujourd'hui jeunes retraités au début de la soixantaine, décident d'y revenir, et ils y sont particulièrement incités par les prix attrayants de l'immobilier en région. «Nous observons un mouvement de retour, confirme Mme Girard, mais est-ce que cela va durer? Est-ce que les services vont suivre? À 60 ans et en bonne santé, nos besoins ne sont certainement pas les mêmes qu'à 80 ans...» En attendant, si ce mouvement se poursuit, il semble bien que les régions ont plusieurs bonnes années devant elles. Enfin, les immigrants internationaux continuent encore massivement de s'installer à Montréal, mais on en compte de plus en plus qui, pour toutes sortes de raisons, choisissent les régions. C'est loin d'être une vague, mais le phénomène commence suffisamment à percer pour que cela paraisse dans les statistiques. En 2001, les démographes québécois, se basant sur les tendances qui existaient à l'époque, n'entrevoyaient pas beaucoup d'avenir pour les régions périphériques. «Nous étions pas mal déprimés», se rappelle Mme Girard. Les chiffres les plus récents sont beaucoup plus encourageants. Quelques chiffres en terminant sur les régions qui vont mieux. Comme on s'en doute, c'est la banlieue montréalaise qui connaît les plus fortes hausses démographiques. Entre 1996 et 2009, la population a augmenté de 23,4% dans les Laurentides, 20,3% dans Lanaudière, 17% à Laval et 11,4% en Montérégie. L'Outaouais, grâce au dynamisme démographique de la ville de Gatineau, en banlieue d'Ottawa, est une autre région qui s'en tire très bien avec 15,1%. Montréal et Québec enregistrent des hausses de 6 et 7%.
  4. Pourquoi l’État coûte cher 17/11/09 11:59, Pierre Duhamel Si le Québec croule sous les dettes, c’est en partie parce qu’il croule sous les structures. Nous sommes les champions du monde de la structure bureaucratique. Voici une radiographie du monstre que nous ne finissons pas d’alimenter. Le Québec est divisé en 17 régions administratives, 18 agences de santé et des services sociaux, 22 régions touristiques (dont Laval !) et 61 commissions scolaires. Chacune de ses entités a délimité son propre territoire et on peut se retrouver dans la région touristique des Cantons de l’Est, mais dans la région administrative de la Montérégie. Vous voulez vacciner la population de Montréal, Longueuil, Laval et Repentigny, toutes des villes limitrophes de la métropole, et vous avez quatre agences de santé à pied d’œuvre, définissant leurs propres priorités et émettant leurs directives potentiellement contradictoires dans le même marché de consommateurs. Montréal est prisonnière d’une structure abracadabrante. Déjà ce n’est pas simple avec les 19 arrondissements et les 103 élus, sans doute un record mondial pour une ville de cette taille. Il faut évidemment ajouter l’agglomération de Montréal qui regroupe Montréal et les 15 villes de banlieue de l’île. C’est sans compter sur la Communauté métropolitaine de Montréal qui compte, tenez-vous bien, 82 municipalités, 14 municipalités régionales de comté, deux agglomérations et cinq régions administratives. Et comme si cela ne suffisait pas, il y a un organisme au gouvernement qui s’appelle la Table métropolitaine de Montréal. J’ai recensé 189 commissions, sociétés, régies et autres organismes relevant du gouvernement du Québec. On trouve un Bureau de la Capitale nationale et une Commission de la capitale nationale. On pourrait philosopher longtemps sur la pertinence d’une Société des bingos du Québec. D’autres organismes ont des noms évocateurs. Que pensez-vous de la Commission des appellations réservées et des termes valorisants ? Pourquoi un Office Québec-Wallonie-Bruxelles pour la jeunesse, un Office Québec-Amérique pour la jeunesse, un Office franco-québécois pour la jeunesse, quand il existe une Office Québec-Monde pour la jeunesse et un Secrétariat à la jeunesse ? Le ministère de la Santé et des services sociaux est en soi un bel exemple de complexité administrative avec ses 10 organismes, ses 18 agences régionales et ses 88 directions administratives. Ce sont ces gens-là qui devraient simplifier le fonctionnement des hôpitaux ? Mais mon organisme préféré est l’extraordinaire Secrétariat du comité ministériel de la prospérité économique et du développement durable en matière d’allégement réglementaire et administratif. 18 mots… pour alléger !
  5. La popularité des condos en hausse au Québec La Presse Canadienne Québec La popularité des condominiums prend de l'ampleur au Québec. Cet attrait est particulièrement important en milieu urbain et chez les ménages avec peu ou pas d'enfants. Ces résultats sont tirés des données sociodémographiques de l'Institut de la statistique du Québec qui indiquent que la demande pour ce type de propriétés a bondi de 49 pour cent entre 2001 et 2006.L'Institut soutient que 94 pour cent des propriétaires de condos étaient concentrés dans l'une des six régions métropolitaines de recensement, en 2006: les trois quarts avaient opté pour celle de Montréal. Malgré cette progression notoire, la proportion de propriétaires de condos par rapport à l'ensemble des types de propriétés représente moins de 15 pour cent dans toutes les régions du Québec. Ailleurs au Canada, le rapport est nettement supérieur. En Colombie-Britannique, par exemple, certains secteurs voient le tiers de leur parc immobilier dominé par les condos. Cette situation fait en sorte que les chiffres du Québec paraissent plutôt faibles lorsqu'on les compare au marché canadien. Toutefois, l'Institut soutient que la tendance observée au cours des 15 dernières années laisse présager que l'intérêt, loin de s'estomper, ira en s'accélérant.
  6. Le revenu net par habitant en hausse de 4% Publié le 17 août 2009 à 12h37 | Mis à jour à 12h39 La Presse Canadienne Le revenu personnel disponible par habitant au Québec s'est accru de 4% en 2008 pour s'établir à 25 494$, selon les données publiées lundi par l'Institut de la statistique du Québec. En 2007, il avait connu une hausse de 4,9%. De toutes les régions administratives, c'est le Nord-du-Québec qui a enregistré, de loin, la plus forte augmentation en 2008. Dans cette région, le revenu disponible a plus que doublé, passant de 25 867$ en 2007 à 53 527$ en 2008. Cette situation s'explique par le versement spécial du gouvernement fédéral à l'Administration régionale crie pour le règlement des questions liées à la mise en oeuvre de la Convention de la Baie-James et du Nord québécois. La région de la Capitale nationale, avec une hausse de 4,2%, a connu la deuxième plus forte hausse, grâce en bonne partie à la vigueur du marché du travail. Le Saguenay-Lac-Saint-Jean (+ 2,5%), l'Estrie (+ 2,6%) et le Centre-du-Québec (+ 2,7%) affichent des progressions plus lentes en raison du repli de l'emploi en 2008. L'augmentation du revenu disponible dans ces régions a été, respectivement, de 2,5%, 2,6% et 2,7%. Les régions de la Gaspésie-Iles-de-la-Madeleine et du Bas-Saint-Laurent ont continué de se situer au bas du classement avec un revenu disponible par habitant de 21 022$ et de 21 806$ respectivement. À l'inverse, le Nord-du-Québec, avec 53 527$, a présenté, pour une deuxième année consécutive, le revenu disponible le plus élevé de la province. Viennent ensuite les régions de Montréal (26 605$), de la Montérégie (26 408$), de la Capitale nationale (26 363$) et de Laval (26 048$). Le revenu personnel disponible correspond à la somme de tous les revenus reçus par les particuliers et les entreprises individuelles résidant dans un territoire donné, moins les impôts directs des particuliers, les cotisations aux régimes d'assurance sociale et autres transferts versés par les particuliers aux administrations publiques tels que les primes d'assurance médicaments et les permis.
  7. Toronto a suburb? It's begun RENÉ JOHNSTON/TORONTO STAR Apr 08, 2009 04:30 AM Vanessa Lu city hall bureau chief Toronto is at risk of becoming a bedroom community for the booming 905 regions, warns a new report by the Toronto Board of Trade. Cities that were once outer suburbs are now growing employment areas as more businesses have pulled up stakes in the downtown core for cheaper real estate. Meanwhile, the city itself faces increasing disparity between the wealthy, who buy downtown condos where factories once stood, and the poor who inhabit the increasingly deprived inner suburbs. So Toronto remains an attractive place to live, but struggles to keep up with its neighbours on key economic indicators such as employment, productivity and income growth. "It's a tale of two cities," president and CEO Carol Wilding said at yesterday's release. "We see the reverse, or mirror images, from the city proper versus the 905." Wilding agreed with a release for the report that said Toronto has become a "magnet for living, while the surrounding municipalities form the more powerful economic engine." "If you stand back, the data shows that at this point," said Wilding. "Given the employment growth that isn't there in the city centre – yet it is a hugely attractive place – suggests the doughnut effect. ... People flock to and live in the city ... but are actually travelling outwards in the region for employment opportunities." The split between the two regions is reflected in a prosperity scorecard that compares the Toronto region with 20 others around the world on 25 important indicators. While the Toronto region scored very well overall – tying for fourth place with Boston, New York and London, but behind Calgary, Dallas and Hong Kong – the findings show a growing gap between the city itself and surrounding communities. (The study is based on the Toronto Census Metropolitan Area, a tract that includes most of the GTA except Burlington and Oshawa.) If the 416 and 905 area codes were ranked separately, the suburban regions would have taken second place on the world list – after Calgary – and Toronto would have fallen into the bottom half. But Wilding credited Toronto city hall for taking steps to counteract the trend and boost economic growth, including a policy of gradually shifting more of the property tax burden from commercial and industrial property onto homeowners. "I think from a policy perspective, we've put in place many of the changes the data would have suggested we do ... two years ago. We didn't wait," Mayor David Miller said yesterday, reacting to the report. However, he said, "Toronto starts from a very good place" as Canada's financial capital and the third biggest centre of information communications technology in North America. "Council adopted a strategy two years ago because we didn't believe we could take success for granted," he added. "And I think the underlying data says we took the right step and we're on the right path." He noted both the tax rate cuts and the creation of two new agencies, Build Toronto and Invest Toronto, to lure business and investment to the city. Given that traffic is now jammed both ways on the Gardiner Expressway and the Don Valley Parkway in the morning rush hour, it hardly comes as a surprise that employment growth has been strong outside Toronto proper. But the data shows the gap is "far larger than people would have expected it to be," Wilding said. Employment in the suburban regions grew by an average of 2.8 per cent a year between 2002 and 2007, compared with 1.1 per cent in the city of Toronto. In fact, most of the employment growth over the past two decades has occurred outside Toronto. "That's a significant divide. Until we start to narrow that, then we aren't serving the interests of the region as a whole," Wilding said. Average real GDP growth during the same period was just 1.2 per cent in Toronto – compared with 4.2 per cent in neighbouring cities. After-tax income growth over the same period was 3.5 per cent in Toronto, compared with 5.9 per cent outside. Deputy Mayor Joe Pantalone said the report's data is already a couple of years old and doesn't reflect recent actions the city has taken to stem the flow of jobs. The report cites a 10.2 per cent growth in non-residential building permits in the surrounding regions, versus only 8.9 per cent in the city. But Pantalone pointed out that today, 4 million square feet of office buildings are under construction in Toronto, compared with only 1.5 million square feet in the 905. "That's a historical reversal. It shows those policies are working," he said. "We have established new trend lines to correct that. And it seems to be working." As Miller pointed out, the report isn't all bad news for the city. It notes that Toronto is "a study in contrasts, struggling to keep pace on the economic fundamentals but scoring well on all the attributes of an attractive city." Using research from the Conference Board of Canada, the report points out the city is doing well on indicators such as commuter travel choices, a young labour force, university education and percentage of jobs in the cultural industry. New infrastructure investments by the province, notably in transit, will also help make Toronto more competitive. Some 44 per cent of Toronto residents walk, bike or take transit to work, while only 13 per cent of residents outside Toronto do. One of Toronto's biggest advantages is its diversity, with immigrants making up close to half of the city's residents. That puts it at Number 1 among the 21 global cities, above Los Angeles at 41 per cent and New York at 36 per cent. But Board of Trade chair Paul Massara warned that the talent that exists among newcomers must not be squandered – and their integration has to be ensured. "It's absolutely essential that we get this productive part of the economy working and enhance that," Massara said, noting governments have been working to improve settlement services. With files from Paul Moloney
  8. Dans plusieurs régions du pays, les détaillants d'essence affichent des prix en nette hausse depuis vendredi. Pour en lire plus...
  9. Québec et Ottawa-Gatineau afficheront une croissance en 2009 Publié le 31 mars 2009 à 13h02 | Mis à jour à 13h06 La Presse Canadienne Ottawa Cinq régions métropolitaines seulement, dont celles de Québec et d'Ottawa-Gatineau, afficheront une croissance positive de leur économie cette année au Canada, selon un rapport publié mardi par le Conference Board du Canada. Pour Québec, la croissance devrait être de 0,6%, alors que la croissance du produit intérieur brut de la région de la capitale fédérale devrait s'établir à 0,2%. Ces deux régions ne seront toutefois pas les plus performantes cette année, selon le rapport de l'organisme qui indique que trois villes des Prairies enregistreront les plus hauts taux de croissance. Saskatoon arrive en premier avec une croissance de son PIB attendue de 1,7% cette année. Regina est deuxième avec un taux de 1,6%, alors que Winnipeg est troisième avec une croissance prévue de 1,1%. Le rapport du Conference Board tient compte de 13 régions métropolitaines au total. Les moins performantes de la liste en 2009, selon les prévisions de l'organisme, devraient être Toronto et Hamilton, avec des reculs prévus de 1,6% et 1,9%, respectivement. Montréal devrait afficher un recul de 0,5% de son PIB réel cette année, selon le Conference Board du Canada.
  10. Urban areas see revival in housing construction http://www.usatoday.com/money/economy/housing/2009-03-10-urban-construction_N.htm?csp=34
  11. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/alain-dubuc/200812/21/01-812280-recession-le-mystere-quebecois.php Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Le Québec résiste mieux à la crise mondiale que les États-Unis, ou que son éternelle rivale ontarienne. L'emploi a augmenté en novembre au Québec quand il plongeait en Ontario. Les spécialistes prévoient une récession technique pour le Québec, tandis que l'économie ontarienne sera clairement en recul. Comment se fait-il que notre économie, dont la performance n'est pas exceptionnelle, semble vouloir s'en tirer relativement bien, ou plutôt moins mal? Je vous propose les fruits de ma réflexion sur le sujet, et quelques pistes d'explication de l'exception québécoise. Le bouclier canadien. Il y a d'abord un phénomène canadien, dont le Québec profite comme la plupart des régions, à l'exception notable de l'Ontario. Le Canada résiste à la crise mieux que la plupart des pays industrialisés notamment parce que son système bancaire a échappé aux pires dérapages. Ici, les consommateurs n'ont pas été appauvris par du chômage massif ou une crise de l'immobilier. Les gens sont inquiets et prudents, mais ils ont autant d'argent dans leurs poches que l'an dernier, ce qui explique qu'il n'y a pas eu d'effondrement de la demande domestique. Les limites de la dépendance. Le choc de la crise pour le Québec s'exprime surtout par nos exportations vers les États-Unis, notre principal marché extérieur qui compte pour le quart de notre activité économique. Mais même en récession, les Américains continuent d'acheter. Durant les 10 premiers mois de cette année, les exportations québécoises ont augmenté de 2,5%. C'est moins que d'habitude, certaines industries sont plus touchées, mais ce n'est pas une chute. N'oublions pas non plus qu'une baisse de 1% de nos exportations vers les États-Unis représente seulement un recul de 0,25% de notre PIB. Le facteur temps. Une partie du choc de la crise américaine a déjà été absorbée. La crise immobilière et l'effondrement de l'industrie de la construction ont frappé il y a deux ans, avec un impact majeur sur notre industrie forestière. De la même façon, l'industrie manufacturière a été mise à mal par la hausse brutale du dollar canadien en 2006 et 2007, avec des pertes d'emplois importantes. Tant et si bien que les entreprises qui ont survécu à ce choc sont en bonne position pour résister. La dévaluation du dollar. L'impact négatif de la contraction de la demande américaine a été compensé par la dévaluation importante du dollar canadien. À parité en début d'année, il est maintenant aux alentours de 80 cents. Cela peut permettre à nos exportateurs de réduire leurs prix aux États-Unis, et de maintenir leur volume de ventes. La structure industrielle. Les industries sont affectées très différemment par la conjoncture. L'automobile est en crise, l'aérospatiale est encore en essor. L'Ontario, où se concentre l'industrie automobile, est donc frappée de plein fouet. Tandis qu'au Québec, grâce à l'aéronautique, les ventes manufacturières étaient en hausse au Québec en octobre. Notre médiocrité relative. Les régions canadiennes les plus touchées sont celles qui ont connu l'euphorie économique des dernières années. L'Alberta est touchée par la baisse du prix du brut. Toronto, notre capitale financière, a roulé sur l'or en profitant abondamment de la frénésie financière. Parce qu'elle n'a pas connu de sommet, Montréal, qui n'est ni un grand centre financier ni un producteur pétrolier, ne peut pas tomber de haut. On le voit par le prix des maisons, qui augmente encore à Montréal, mais pas à Toronto ou à Calgary. Le déclin démographique. Le Québec arrive au stade où sa population active va baisser. On connaît donc des pénuries d'emplois dans plusieurs industries, régions et métiers. Cette rareté de la main-d'oeuvre permet d'atténuer l'impact de la tourmente sur le marché du travail. Les politiques gouvernementales. Tout le monde parle de l'importance d'injecter des fonds publics pour contrer le ralentissement, notamment par des travaux d'infrastructure. Le problème, c'est que les bulldozers risquent de se mettre à rouler quand la récession sera terminée. Sauf au Québec où le gouvernement Charest a annoncé il y a un an et demi un très vaste programme d'infrastructures qui a atteint son rythme de croisière à temps pour atténuer les effets du ralentissement. Ces facteurs permettent de comprendre pourquoi le Québec a mieux résisté jusqu'ici. Est-ce que cela signifie que le choc de la crise sera moins fort ici, ou qu'il sera seulement retardé? Je penche pour la première hypothèse. Et c'est ma façon de vous souhaiter de joyeuses Fêtes.
  12. L'année 2009 s'annonce plutôt morose pour l'hôtellerie et le tourisme, tant à Montréal, Québec que Gatineau, mais carrément difficile pour les régions périphériques. Pour en lire plus...
  13. L’immobilier tourne à la faveur des acheteurs 20 novembre 2008 - 10h26 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Le plus grand boom immobilier depuis la Deuxième Guerre mondiale est maintenant terminé, selon un rapport publié par Scotia. Le changement de cap est plus prononcé dans les régions de l’Ouest canadien incluant Calgary, Edmonton et Vancouver qui avaient connu une explosion immobilière dans les dernières années notamment en raison de la hausse vertigineuse des prix des matières premières. Toutefois, souligne Scotia, les conditions sont les mêmes dans presque toutes les régions du Canada alors que le marché tourne à la faveur des acheteurs pour la première fois en plusieurs années. «Nous ne sommes pas alarmistes concernant le futur de notre marché domestique. Ce n’est pas la même situation qu’aux États-Unis qui a été causée par trop de construction, l’achat spéculatif et des prêts imprudents», indique Adrienne Warren, économiste principale chez Scotia. Même si la situation tourne, le marché canadien ne subit pas les mêmes secousses qu'aux États-Unis. Le rapport cible notamment des différences fondamentales entre les deux marchés. Selon Scotia, au Canada, le nombre de nouvelles propriétés ou pour la revente augmente mais se situe encore dans les cycles normaux. Avec les constructeurs qui diminuent la cadence dans la plupart des régions au Canada et avec le risque faible de saisies immobilières, le marché canadien ne présente pas la même situation qu’aux États-Unis alors que la surabondance de la construction a fait décliner les prix à des niveaux record. Toujours selon l’étude, le prix des propriétés a connu une hausse plus faible en Amérique du Nord que dans plusieurs autres marchés mondiaux. Ainsi, dans les dernières années, le prix a augmenté de 50% aux États-Unis et de 61% au Canada. Par comparaison, l’augmentation a dépassé les 100% dans plusieurs pays dont l’Irlande, le Royaume-Uni, l’Espagne, la France et l’Australie.
  14. À Deschambault-Grondines, comté de Portneuf, l'usine est considérée comme une bénédiction. Pour en lire plus...
  15. Jean Coutu à l'assaut des régions 14 octobre 2008 - 06h15 La Presse Réjean Bourdeau Jean Coutu (PJC.A) veut grandir dans les régions. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. La nouvelle bannière s'appellera PJC Santé Beauté. Elle sera composée de magasins plus petits que ceux des grandes villes. Mais elle offrira une intéressante gamme de produits: médicaments, cosmétiques, photos, produits saisonniers (Halloween, Noël, etc.), précise le président. Deux projets pilotes, à Caplan, en Gaspésie, et à Néguac, au Nouveau-Brunswick, ont donné d'excellents résultats. Le groupe a l'intention d'implanter une cinquantaine de magasins de 5000 pieds carrés d'ici trois ans. Cela lui permettra d'augmenter ses revenus annuels de 200 millions de dollars, estime la direction. «On a toutes les possibilités de le faire, dit M. Coutu. On est solide financièrement et on a un bon nom.» Reste maintenant à trouver des emplacements intéressants. Et à convaincre des pharmaciens indépendants. Discussions en cours La société est justement en discussion avec plusieurs pharmaciens. «Nous leur offrons la structure, la rigueur et l'efficacité de notre groupe, explique le président. Ils profiteront aussi de notre pouvoir d'achat.» L'investissement requis est de 1 million de dollars par projet. Il sera partagé entre les partenaires. Jean Coutu s'occupe notamment du terrain, de l'édifice et du bail. Le franchisé est responsable des stocks, des améliorations locatives et du personnel. Le groupe est en mesure de déménager et d'agrandir des petits commerces de 1000 pieds carrés et plus. «On adapte notre concept Jean Coutu à de plus petites surfaces, dit le président. C'est moins coûteux à exploiter et ça permet d'être rentable avec un chiffre d'affaires moins élevé.» Les communautés francophones de l'Ontario et du Nouveau-Brunswick sont ciblées. Au Québec, il y aurait beaucoup de potentiel dans le territoire regroupant Montmagny, Saint-Georges, Trois-Rivières et Saguenay. «Il y a un grand bassin de pharmaciens dans cette région», remarque le dirigeant. Jean Coutu crée aussi des liens avec de jeunes étudiants en pharmacie. «Cette année, on a 109 étudiants qui travaillent chez nous, dit François-Jean Coutu. De ce nombre, 101 vont rester. C'est très bon.» Par ailleurs, le groupe poursuit son projet pour rafraîchir son réseau de 343 établissements. Il coûte 100 millions par année. «Depuis deux ans, en collaboration avec nos franchisés, on fait des déménagements, des relocalisations, des agrandissements et des rénovations, souligne le grand patron. Il nous reste encore deux ans pour terminer une centaine de magasins.» L'ENTEPRISE : son réseau au détail en pharmacie compte 343 établissements franchisés au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Ontario. Le groupe emploie plus de 16 000 personnes sous les bannières PJC Jean Coutu, PJC Clinique et PJC Santé Beauté. La société détient une participation de 29,9% dans l'américaine Rite Aid Corporation (5000 magasins dans 31 États). Son symbole à la Bourse de Toronto est PJC. A. DÉFIS : Développer le potentiel des régions et renouveler le réseau après 40 ans d'existence STRATÉGIES: Lancer le nouveau concept Santé Beauté et investir, avec les franchisés, pour déménager, agrandir ou rafraîchir les pharmacies existantes.
  16. «On lance un nouveau concept pour être plus présent dans les petites communautés», annonce François-Jean Coutu, en entrevue à La Presse Affaires. Pour en lire plus...
  17. La région du Nord-du-Québec a connu la plus importante progression du PIB en 2007, avec une croissance de 10,4%, comparativement à 5,8% pour l'ensemble de la province. Pour en lire plus...
  18. Sombres perspectives pour le Québec * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 11:32 Le Québec est la province la plus touchée par le ralentissement économique canadien. Les régions du Québec connaissent leur plus faible croissance économique depuis plusieurs années. C’est ce qu’indique la toute dernière Note de conjoncture métropolitaine du Conference Board du Canada. Ainsi, la croissance économique de Montréal atteindra 1,7% en 2008, la cadence la plus faible en cinq ans, selon le CBC. Exception faite de l'industrie aérospatiale, le secteur manufacturier continue d'y éprouver des difficultés. Par contre, les industries de la construction et des services y ont enregistré des gains continus. De son côté, l'économie de Québec, qui a progressé de 3,1% en 2007, devrait afficher une croissance plus modérée en 2008, de 2,3%. Les célébrations du 400e anniversaire ont renforcé l'activité touristique, mais ces effets ont été neutralisés par la faiblesse des industries productrices de biens, en particulier celles de la fabrication et de la construction. Quant à Ottawa-Gatineau, elle devrait afficher son taux de croissance le plus bas en dix ans, avec une hausse du produit intérieur brut (PIB) de seulement 1,8%. La croissance du secteur de la haute technologie est restée au point mort et l'activité de la construction a été faible. Néanmoins, la forte croissance du secteur public a aidé à stabiliser l'économie de la région. Boom des régions de l’Ouest Saskatoon et Regina se classent en tête des régions les plus dynamqiues au Canada, selon le CBC. «Les deux sont en voie d'enregistrer leurs taux de croissance économique les plus rapides depuis 1997, et Saskatoon viendra en tête des régions canadiennes pour une seconde année consécutive», dit Mario Lefebvre, directeur du Centre des études municipales. C’est bien simple, les régions de l'Ouest canadien occupent les sept premiers rangs du palmarès. Après une hausse de 4,1% en 2007, le PIB de Saskatoon augmentera à une cadence encore plus rapide, de 5,2%, en 2008. L'économie florissante de la ville est attribuable au fait que celle-ci est le principal centre régional du secteur des ressources naturelles de la province, secteur présentement en pleine expansion. Le boom du secteur des ressources naturelles stimule aussi la croissance économique de Regina, qui devrait atteindre 4,1% cette année, la plus forte depuis 1997. L'économie de Winnipeg devrait progresser de 3,3% en 2008, après une croissance de 3,7% l'an dernier. Celle de Victoria s'aligne aussi sur une croissance de 3,3% en 2008. Celle de Calgary et d'Edmonton devraient être respectivement de 3,2% et à 3,1% en 2008. Et celle de Vancouver croîtra de 2,7% cette année. La production du secteur manufacturier de Toronto devrait encore diminuer cette année. Les bonnes nouvelles sont que l'activité de la construction demeure intense et la demande intérieure soutenue. Du coup, le CBC anticipe une croissance de son PIB de seulement 1,3% en 2008.
  19. Sans surprise, ce sont des régions métropolitaines de l'ouest canadien qui occupent les sept premiers rangs de croissance économique. Pour en lire plus...
  20. Les automobilistes ont dû payer l'essence 10¢ de plus vendredi dans plusieurs régions du pays. Le litre est à plus de 1,36$ à Montréal. Le prix du pétrole est également à la hausse. Pour en lire plus...
  21. L'imprimeur montréalais imprimera jusqu'en 2028, dans la plupart des régions du pays, le quotidien Globe and Mail. Pour en lire plus...
  22. Le ralentissement se confirme au Québec 7 août 2008 - 06h32 La Presse Jean-François Cloutier Au Québec, l'aérospatiale demeure un des rares secteurs exportateurs vigoureux, mais les effets positifs de nouveaux projets comme celui de la CSeries de Bombardier ne devraient se faire sentir pleinement que dans les années à venir. Le ralentissement persistant aux États-Unis rattrape l'économie québécoise, qui connaîtra une année plus difficile que prévu, selon le Conference Board du Canada. Le Conference Board s'était démarqué en mars en y allant de prédictions parmi les plus optimistes chez les analystes économiques. Il est aujourd'hui forcé de revoir sa boule de cristal. La croissance qui devait s'établir à 2,4% au Québec perd un gros point de pourcentage pour s'établir à 1,4% dans ses nouvelles perspectives, intitulées de façon éloquente «Not Out of the Woods Yet» (Pas encore sortis du bois). «La croissance dans les exportations pour cette année a été revue à la baisse de façon significative», concède Sabrina Browarski, économiste au Conference Board. L'automobile en Ontario, mais aussi le bois et l'équipement de machinerie au Québec, sont touchés de plein fouet par une série de facteurs dont le ralentissement de la consommation aux États-Unis, le resserrement des conditions de crédit et la quasi-parité récente entre les devises canadienne et américaine. Au Québec, l'aérospatiale demeure un des rares secteurs exportateurs vigoureux, mais les effets positifs de nouveaux projets comme celui de la CSeries de Bombardier ne devraient se faire sentir pleinement que dans les années à venir: «Même l'aérospatiale nous a déçus depuis le début de l'année», affirme Mme Bowarski. Le déclin du secteur manufacturier n'est pas nouveau, mais la demande intérieure permettait jusqu'ici de compenser ses effets. C'est de moins en moins vrai: «Des signes de malaise commencent à apparaître dans les dépenses des consommateurs», observe l'organisme dans son rapport. Le règlement du déséquilibre fiscal et les baisses d'impôt provinciales ont eu un effet important au début de l'année qui tend à s'estomper. En plus, le marché de l'emploi s'est révélé moins dynamique que prévu depuis le début de l'année. C'est sans parler de la flambée des prix du pétrole qui commence à affecter la confiance des consommateurs. Mince consolation: le Conference Board prédit que la situation devrait s'améliorer en 2009, alors que la croissance de l'économie québécoise devrait remonter à 2,4%. La province profitera alors d'un meilleur équilibre entre le commerce extérieur et la consommation intérieure. L'Ouest en force Encore une fois, c'est l'ouest du pays qui s'avère la locomotive de l'économie canadienne. Le Board remarque cependant que l'épicentre de la croissance s'y déplace graduellement de l'Alberta vers la Saskatchewan et le Manitoba. «L'Alberta est affectée par un grave manque de main-d'oeuvre qualifiée, alors que les Prairies capitalisent encore à fond sur les retombées du boom des matières premières», explique Mme Bowarski. La croissance de l'économie de la Saskatchewan devrait atteindre 4,2% cette année, au sommet des provinces canadiennes, alors que la croissance du Canada en entier se situera à 1,7%. En régions Le rapport du Board survient en même temps qu'une étude de l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) qui traduit elle-même les difficultés du secteur manufacturier et le boom des matières premières. Alors que les usines de Montréal tournent au ralenti, des régions éloignées profitent du prix élevé des métaux et autres produits de base. La Côte-Nord et l'Abitibi-Témiscamingue ont enregistré la plus forte hausse du revenu personnel disponible en 2007, avec une croissance importante de 9 et de 8,9% respectivement. Le revenu moyen atteint maintenant 25 438$ sur la Côte-Nord, ce qui la situe au troisième rang des régions administratives les plus riches. «Ces régions profitent notamment de l'accroissement des activités dans les mines, Pendant ce temps, l'emploi croît plus faiblement à Montréal», explique Stéphane Ladouceur, de l'ISQ. Pour la première fois, la métropole s'est même fait détrôner par la Capitale Nationale en tête des régions les plus riches. Dopée par les versements d'équité salariale, la grande région de Québec affiche maintenant un revenu moyen de 25 541$, devant la métropole, à 25 490$. Secteur manufacturieren baisse La production de produits chimiques, de bois et de machinerie a connu une baisse marquée ces derniers mois, frappée entre autres par le ralentissement aux États-Unis. Aérospatial en hausse L'aérospatiale est un des rares secteurs de l'industrie manufacturière à bien faire. La demande pour des avions d'affaires moins gourmands en carburant permettra au secteur de poursuivre sur sa lancée. Consommation en hausse La hausse des transferts fédéraux et les réductions d'impôt provinciales ont fait bondir la consommation depuis le début de l'année, quoique celle-ci devrait ralentir en raison des prix de l'essence. Construction en baisse La construction non résidentielle ralentit après quelques années de forte croissance. Le construction résidentielle a atteint un sommet et devrait aussi diminuer.
  23. Small-town life looking good to boomers Statistics Canada report; Montreal Island is bleeding population to outlying regions, new studies show David Johnston, The Gazette Published: 2 hours ago The Montreal metropolitan region, once a magnet for people from the rest of Quebec, is now losing more people to the outlying regions than it is gaining, Statistics Canada reported yesterday. Leading the way in this U-turn in the province's demographic history is the restless pitter-patter of retiring baby boomers in the Montreal region. Many are cashing out of the local real estate market and buying cheaper properties in outlying towns, or simply moving back to their home towns in the regions. Toronto, Vancouver and Calgary are seeing some of the same boomer-fuelled trends. In Quebec, the chief beneficiaries have been Joliette and St. Jean sur Richelieu, both situated a short hop outside the Montreal metropolitan region. The two towns ranked among the 10 fastest-growing medium-sized towns in Canada from 2001 to 2006, according to a Statistics Canada analysis of 2006 census data made public yesterday. "All of our own studies confirm what Statistics Canada is saying," Daniel Desroches, town manager of St. Jean, said in an interview yesterday. Overall, the metropolitan region registered a net loss of 29,195 people to other regions of Quebec from 2001 to 2006. This loss represents the birth of a new trend. The Montreal region had registered an overall gain in intra-provincial migration from 1996 to 2001, although relatively minor, as well as major gains in the decades before that. Despite the losses from 2001 to 2006, immigration, or international migration, has more than compensated for the region's internal population losses to the rest of Quebec and Canada. "What we can say is that most of those people leaving for the rest of Quebec are moving to smaller towns - not larger cities like Quebec City and Sherbrooke that have their own census metropolitan areas," said Patrice Dion, an analyst in the demography division of StatsCan. Some towns that had relatively minor population gains from 2001 to 2006 have since begun to show signs of a vigorous new construction boom, real estate experts say. Lachute, for example, 80 kilometres northwest of Montreal, has awarded $19 million in new housing construction permits this year, double last year's total at this time, which was double the comparable total for the first six months of 2006. The StatsCan study made public yesterday also confirmed previous studies showing a slowdown in the so-called exodus of Quebecers to other provinces. The inter-provincial losses from 2001-06 were the lowest recorded in any five-year census period since 1971-76, Dion said. From 2001 to 2006, Quebec lost only 8,000 anglophones to other provinces - fewer than 2,000 a year, compared with up to 50,000 a year in the late 1970s. But as a StatCan study made public last December showed, new influxes of anglophones into Quebec from other countries between 2001 and 2006 slightly outnumbered the 8,000 losses, meaning English Quebec is growing today for the first time since the early 1970s. StatsCan also examined population movement within the Montreal metropolitan region. It looked at all the household moves from one municipality in the region to another and found clear winners and losers. The city of Montreal was a heavy loser, mainly to off-island suburbs. But Boisbriand, St. Joseph du Lac and Pointe Calumet, all off-island suburbs, were also big losers. The only town on Montreal Island with a net gain of population from other parts of the region was Ste. Anne de Bellevue. Beaconsfield and Dollard des Ormeaux suffered mild losses, as did Westmount and Montreal East. Off-island suburbs Longueuil, Oka and Ste. Anne des Plaines also suffered slight net losses. The one bright spot for the region was its net gain of 12,795 people in the 15-to-29 age group. These gains came from both the rest of Quebec and the rest of Canada. They reflect continuing poor job prospects in some outlying Quebec regions for young people as well as strong interest nationally in Montreal as a city for post-secondary studies, Dion said. djohnston@thegazette.canwest.com - - - montrealgazette.com - - - Not-So-Small Towns Small and medium-sized urban centres experienced significant population growth from 2001 to 2006, figures from the 2006 census show. Here are the urban centres that experienced the biggest gains from population shifts within Canada: City Province 1. Okotoks Alta. 2. Parksville B.C. 3. Grande Prairie Alta. 4. Wood Buffalo Alta. 5. Chilliwack B.C. 6. Vernon B.C. 7. Joliette Que. 8. Red Deer Alta. 9. St. Jean sur Richelieu Que. 10. Courtenay B.C. Other centres in Quebec in the Top 50 23. Drummondville 30. Granby 32. St. Georges (Beauce) 37. Sorel-Tracy 38. Victoriaville 44. Cowansville 49. Rivière du Loup 50. St. Hyacinthe source: statistics Canada
  24. Il fallait s’y attendre avec la chute des cours de l’or noir: le prix à la pompe est en net recul depuis quelques jours à Montréal. Mais pas dans toutes les régions du Québec. Pour en lire plus...
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