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superstar

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  1. J'ete la il y a deux semaines, et ce n'est pas plys dense que le C-V de Montreal, meme si ca l'air. Juste une opinion Par contre il rest encore beaucoup d'espace libre autour du square one pour batir de grande tour et peux-etre la ca va etre plus dense que le C-V de montreal.
  2. http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/alain-dubuc/200812/21/01-812280-recession-le-mystere-quebecois.php Alain Dubuc, collaboration spéciale La Presse Le Québec résiste mieux à la crise mondiale que les États-Unis, ou que son éternelle rivale ontarienne. L'emploi a augmenté en novembre au Québec quand il plongeait en Ontario. Les spécialistes prévoient une récession technique pour le Québec, tandis que l'économie ontarienne sera clairement en recul. Comment se fait-il que notre économie, dont la performance n'est pas exceptionnelle, semble vouloir s'en tirer relativement bien, ou plutôt moins mal? Je vous propose les fruits de ma réflexion sur le sujet, et quelques pistes d'explication de l'exception québécoise. Le bouclier canadien. Il y a d'abord un phénomène canadien, dont le Québec profite comme la plupart des régions, à l'exception notable de l'Ontario. Le Canada résiste à la crise mieux que la plupart des pays industrialisés notamment parce que son système bancaire a échappé aux pires dérapages. Ici, les consommateurs n'ont pas été appauvris par du chômage massif ou une crise de l'immobilier. Les gens sont inquiets et prudents, mais ils ont autant d'argent dans leurs poches que l'an dernier, ce qui explique qu'il n'y a pas eu d'effondrement de la demande domestique. Les limites de la dépendance. Le choc de la crise pour le Québec s'exprime surtout par nos exportations vers les États-Unis, notre principal marché extérieur qui compte pour le quart de notre activité économique. Mais même en récession, les Américains continuent d'acheter. Durant les 10 premiers mois de cette année, les exportations québécoises ont augmenté de 2,5%. C'est moins que d'habitude, certaines industries sont plus touchées, mais ce n'est pas une chute. N'oublions pas non plus qu'une baisse de 1% de nos exportations vers les États-Unis représente seulement un recul de 0,25% de notre PIB. Le facteur temps. Une partie du choc de la crise américaine a déjà été absorbée. La crise immobilière et l'effondrement de l'industrie de la construction ont frappé il y a deux ans, avec un impact majeur sur notre industrie forestière. De la même façon, l'industrie manufacturière a été mise à mal par la hausse brutale du dollar canadien en 2006 et 2007, avec des pertes d'emplois importantes. Tant et si bien que les entreprises qui ont survécu à ce choc sont en bonne position pour résister. La dévaluation du dollar. L'impact négatif de la contraction de la demande américaine a été compensé par la dévaluation importante du dollar canadien. À parité en début d'année, il est maintenant aux alentours de 80 cents. Cela peut permettre à nos exportateurs de réduire leurs prix aux États-Unis, et de maintenir leur volume de ventes. La structure industrielle. Les industries sont affectées très différemment par la conjoncture. L'automobile est en crise, l'aérospatiale est encore en essor. L'Ontario, où se concentre l'industrie automobile, est donc frappée de plein fouet. Tandis qu'au Québec, grâce à l'aéronautique, les ventes manufacturières étaient en hausse au Québec en octobre. Notre médiocrité relative. Les régions canadiennes les plus touchées sont celles qui ont connu l'euphorie économique des dernières années. L'Alberta est touchée par la baisse du prix du brut. Toronto, notre capitale financière, a roulé sur l'or en profitant abondamment de la frénésie financière. Parce qu'elle n'a pas connu de sommet, Montréal, qui n'est ni un grand centre financier ni un producteur pétrolier, ne peut pas tomber de haut. On le voit par le prix des maisons, qui augmente encore à Montréal, mais pas à Toronto ou à Calgary. Le déclin démographique. Le Québec arrive au stade où sa population active va baisser. On connaît donc des pénuries d'emplois dans plusieurs industries, régions et métiers. Cette rareté de la main-d'oeuvre permet d'atténuer l'impact de la tourmente sur le marché du travail. Les politiques gouvernementales. Tout le monde parle de l'importance d'injecter des fonds publics pour contrer le ralentissement, notamment par des travaux d'infrastructure. Le problème, c'est que les bulldozers risquent de se mettre à rouler quand la récession sera terminée. Sauf au Québec où le gouvernement Charest a annoncé il y a un an et demi un très vaste programme d'infrastructures qui a atteint son rythme de croisière à temps pour atténuer les effets du ralentissement. Ces facteurs permettent de comprendre pourquoi le Québec a mieux résisté jusqu'ici. Est-ce que cela signifie que le choc de la crise sera moins fort ici, ou qu'il sera seulement retardé? Je penche pour la première hypothèse. Et c'est ma façon de vous souhaiter de joyeuses Fêtes.
  3. superstar

    Bell : actualités

    Mon frere viens d'etre engagé par Bell Mobilité, et il va déménager en Ontario. Il n'est pas un col blanc, mais un technicien dans leur centre de controle. HR lui-ont di qu'ils transfert les jobs tranquilement d'ici jusqua' a la.
  4. tu veux etre poigné avec CTV qui presente des émission américaines une apres l'autre. Si toi tu trouve que Little Mosque on the Prairie, Air Farce, 22 Minutes, Canadian Antiques Roadshow sont plate, bein il'ya d'autre qui les trouve bons. Le point c'est que c'est un contenu canadian pour les canadiens. Moi en tout cas, le national avec peter mansbridge c'est excellent
  5. Les profit de HQ devrai etre utilisé par le gouv. du Quebec pour payer la dette. Le probleme c'est que le gouv du Quebec l'utilise un peu comme un source de revenu additionnel a l'impots et au taxes pour payer les programmes sociaux. Qu'on maintient le controle mais gérer ca mieux
  6. il ya toujours plein de monde a l'heure du diner
  7. Publié le 12 novembre 2008 à 12h28 | Mis à jour à 12h30 La Société immobilière du Canada (SIC) présentera ce mercredi après-midi son plan directeur préliminaire pour le redéveloppement de l'ancien centre de tri postal situé en bordure du canal de Lachine, un projet de 2000 nouveaux logements. Cyberpresse a trouvé sur Internet les détails de ce plan qui peuvent être visionnés à http://www.lesbassins.ca. Le projet comprend trois tours de 20 étages, des ensembles de huit et sept étages, des commerces de quartier et des espaces récréatifs. Il y aura 2 000 unités de logements, dont 1 400 condos, 400 logements communautaires, « dont la moitié pour les familles avec enfants, et l'autre pour les petits ménages » et 200 logements privés abordables. Les commerces et les entreprises occuperont une superficie de 300 000 pi2. Il y aura aussi des espaces verts et des terrains de jeux sur environ 20% de la superficie du site. Par ailleurs, les bassins remblayés dans les années 1960 vont être mis en valeur et « réintégrés au site pour un usage récréatif », indique le site Internet. Tout le processus de création de ce projet a été fait en association avec le milieu depuis plus d'un an. Mais le résultat satisfera-t-il les gens du quartier, notamment le fait qu'il y ait des tours d'habitations de 20 étages ? Le mandat original de respecter le site et son histoire a-t-il été maintenu ? Les organismes, notamment le Regroupement économique et social du Sud-Ouest, réagiront ce mercredi après-midi lors d'une conférence de presse à laquelle participera le maire de Montréal, Gérald Tremblay. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200811/12/01-800037-nouveau-projet-dhabitation-les-bassins-du-nouveau-havre.php
  8. Est-ce qu on peut dire des LCD et camera a un tres bon prix ( liquidation relative)
  9. L'an passé les maples laughs on fait 25 millions de profit avec une équipe poche. Les entreprises achetent un grand nombre de ticket meme si ca coute un peu plus chere qu'ici. Il ya plein de monde qui ca leur tente d'aller mais ne trouve pas de ticket. De plus, vous avez TSN et sportsnet qui feront bcoup de cash lors des rencontres entre les deux équipes torontoises. J'en parlai avec mon ami en été, c'est juste une question de temps 1- Il y'a du cash 2 - Il y' a un grand bassin de population 3 - Il y'a des passionnés de hockey Si des villes de 1-2 millions de personnes peuvent avoir une franchise, une region de 6 million peuvent en avoir 2.
  10. Je crois que c'est une bonne idee de rallonger ca du cote de lasalle de 3-4 station. Rallonger La ligne bleu vers l'est de 4-5 station serai encore meilleur parce que la ligne bleu n'est pas bien exploite est beacoup de gens a l'est sont deservis. La ligne bleu vers l'ouest ont peu oublier ca parce que les snobs de Hampstead et cote st-luc n'ent veulent pas. Je suis sure que la ville de montreal a pense depuis longtemps mais ca demeure une question de sous. J'ai lu dans "metro" que chaque KM de metro couterai 80 million de dollar en couts.
  11. if you care so much about environment - these ppl who will come to race in bikes from all around the world will use airplaines who will polute the environment - The PC that you used to post this thread and others is made of many oil related components. Sell it and live without one. you will say that you need it, well we need that money that the F1 and car industry brings to finance many government and city workers who get paid big time to pick their noses
  12. Vendredi noir pour le huard 10 octobre 2008 - 16h41 LaPresseAffaires.com Olivier Bourque Le dollar canadien a connu un vendredi noir alors qu'il a perdu jusqu'à quatre cents à un moment de la journée par rapport au dollar américain. Le creux a été atteint vers 14h00 vendredi alors que le huard a plongé jusqu'à 82,45 cents US. Il a finalement clôturé ce vendredi en baisse de 2,45 cents à 84,67 cents US. Le dollar a connu une véritable dégelée cette semaine alors que les investisseurs se sont rués du côté du billet vert comme valeur refuge en ces temps incertains. Seulement cette semaine, la devise canadienne a chuté de 10% face au billet vert, ragaillardie par la crise financière. Il s'agit de sa pire semaine depuis 1971, rapporte l'agence Bloomberg. Jeudi, le dollar canadien avait dégringolé de nouveau face à la devise américaine alors qu’il a conclu à 87,28 cents US en baisse de 1,78 cent US. La devise canadienne recule notamment en raison de la chute des prix des matières premières sur les marchés mondiaux. Le pétrole demeure bien loin du 147$ le baril atteint en juillet dernier alors qu'il a conclu la semaine à 77,70 $ au Nymex. Le risque d’une récession aux États-Unis a également un impact sur le dollar canadien. À bientôt 80 cents US ? Ceux qui s’inquiètent de la chute de la devise doivent prendre leur mal en patience car la glissade devrait se poursuivre à tout le moins «à court terme», pense Martin Lefebvre, économiste au Mouvement Desjardins. Celui-ci croit que le dollar va même atteindre les 80 cents US sous peu. «À moyen-long terme, la situation devrait toutefois changer. Beaucoup de liquidités ont été injectés dans les marchés et si ça continue comme cela, on pense que le dollar pourra s’apprécier», affirme l’économiste. Mais le dollar canadien pourra profiter d’une reprise lorsque le prix des matières premières remontera. Et cela passe par une stabilité économique mais également par la force de la demande chinoise et indienne pour les ressources. Un retour à la parité est-il envisageable sous peu ? L’économiste Lefebvre croit que le dollar canadien et le billet vert pourraient être tout près de la parité «vers la fin 2009». Avec Presse Canadienne
  13. Mais est-ce que les banques changes l'argent a des taux proches du 0.90$. Dans les derniers jours, j'ai vu 2 magasins de change qui sont prochent du 1$.
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