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  1. Le Journal de Montréal 10/07/2007 Montréal n'aurait pas sa place dans le calendrier des courses de NASCAR. C'est du moins ce qu'il faut croire si l'on se fie aux commentaires de Jerry Long, un ancien dirigeant chez J.R. Reynolds, la compagnie propriétaire de Winston, qui a longtemps commandité la principale série de NASCAR avant qu'elle ne soit remplacée par Nextel. En entrevue au Winston-Salem Journal où il est question des décisions de marketing prises par NASCAR, Long écorche Montréal, qui doit accueillir une course de la série Busch, au circuit Gilles- Villeneuve, le 4 août. Le principal intéressé est d'accord que la série prenne de l'expansion au-delà des frontières américaines, mais il croit que ses dirigeants font erreur en venant à Montréal. «Je ne vois pas du tout Montréal comme une ville de NASCAR», a-t-il affirmé au quotidien de la Caroline du Nord. «Reynolds était la compagnie de tabac numéro un là-bas et nous avions un bureau à Montréal, a-t-il poursuivi. J'étais au Québec il y a quelques semaines et j'ai constaté que les gens làbas pensent encore différemment. «En 1983 ou en 1985, nous avions tout fermé là-bas; nous ne pouvions vivre avec ces gens», a ajouté celui qui a joué un gros rôle dans l'expansion phénoménale de la série. Les New-Yorkais ne viendront pas Selon lui, la série aurait mieux fait de tenter sa chance à Toronto. «Nous avions tout déménagé à Toronto à l'époque et c'est l'endroit où aller; il y a tout là-bas», a dit celui qui ne comprend pas pourquoi la série s'acharne à diffuser ses courses sur plusieurs réseaux de télévision. «Personne ne veut aller à Montréal, a-t-il ajouté. Si les dirigeants de NASCAR pensent que les gens vont conduire à partir de New York pour aller à Montréal, c'est ridicule. Mais si la course a lieu à Toronto, tu peux faire la route de Chicago ou de Detroit. «Ils devraient oublier Montréal», a conclu celui qui ne porte vraisemblablement pas la métropole dans son coeur.
  2. http://sidlee.com/fr/news/2015/July/kyu 06-07-2015 Nous entamons aujourd’hui une nouvelle aventure : hisser Sid Lee au prochain niveau en déployant plus loin notre réseau mondial. Sid Lee est heureuse d’annoncer la conclusion d’une entente pour se joindre à kyu, un nouveau collectif d’entreprises de créativité, dont le siège social se trouve à New York et qui a été établi par Hakuhodo DY Holdings pour renforcer sa présence mondiale. Nous sommes fiers de nous joindre à kyu en vue de bâtir un nouveau modèle de regroupement d’agences créatives et pour accroître la portée de la marque de Sid Lee dans le monde. Cette transaction est toute particulière parce qu’il s’agit de la première fois de l’histoire canadienne où l’on acquiert la marque d’une agence dans le but de la déployer en un réseau global. Quand nous avons démarré la compagnie il y a plus de 20 ans, les entrepreneurs naïfs – mais très enthousiastes – que nous étions n’auraient jamais osé rêver d’un jour chercher à atteindre des ambitions aussi audacieuses. Aux termes de l’entente, Sid Lee maintiendra son siège social à Montréal; ses dirigeants actuels ont un engagement à long terme avec kyu et continueront de bâtir l’entreprise pour la prochaine décennie. Nous estimons que cette transaction créera plus d’emplois à Montréal et à Toronto étant donné que nos deux bureaux les plus importants agiront en tant que carrefours de création et de production pour contribuer à augmenter le rayonnement de Sid Lee dans le reste du monde. L’appui d’un partenaire mondial nous aidera à développer nos capacités plus complètement et plus rapidement. De manière plus importante, Sid Lee bénéficiera dorénavant des vastes ressources de Hakuhodo DY Holdings en Asie. Le Cirque du Soleil demeurera un partenaire commercial, comme ce fût le cas depuis 15 ans. En bref, nos clients et nos employés peuvent s’attendre à ce qui suit : Une plus grande portée géographique. La même approche dynamique et entrepreneuriale : les dirigeants de Sid Lee se joignent au collectif kyu afin de contribuer à bâtir le regroupement d’agences créatives de l’avenir. Les dirigeants actuels de Sid Lee conserveront leurs rôles pendant encore de nombreuses années : la structure de l’entente est conçue pour récompenser tout autant les succès futurs que le rendement antérieur. La marque Sid Lee sera maintenue et déployée davantage. Le siège social de Sid Lee demeurera à Montréal et notre engagement à l’égard de la métropole ne changera pas. Nous prévoyons y créer davantage d’emplois de qualité pour soutenir notre croissance internationale. Sid Lee continuera de soutenir C2 Montréal avec autant de passion qu’au cours des quatre dernières années afin d’aider Montréal à rayonner dans le monde entier. Pour en savoir plus sur l’entente, veuillez vous reporter au communiqué officiel de kyu. sent via Tapatalk
  3. La Suède, durement frappée par la récession mondiale, versera dorénavant qu'un salaire fixe aux dirigeants des entreprises publiques du pays. Le secteur privé est invité à discuter «de niveaux de rémunération raisonnables». Pour en lire plus...
  4. Les dirigeants du Secrétariat intersyndical des services publics (SISP), qui représente plus de 262000 fonctionnaires québécois se sont dits rassurés et écoutés par la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget. Pour en lire plus...
  5. L'imposition, aux États-Unis, d'un plafond salarial aux dirigeants de grandes entreprises qui bénéficient de l'aide de l'État soulève un débat sur la possibilité d'une pratique semblable au Canada. Pour en lire plus...
  6. L'administration Obama doit annoncer des mesures pour limiter le salaire et les rémunérations additionnelles versés aux dirigeants d'entreprises bénéficiant d'une aide gouvernementale. Pour en lire plus...
  7. La radio de Radio-Canada a appris que la direction du Mouvement Desjardins a fait parvenir une directive à l'ensemble des dirigeants des caisses, en raison de la crise économique. Pour en lire plus...
  8. Les dirigeants de Récupération Mauricie jugent que les mesures annoncées par la ministre Line Beauchamp mercredi sont nettement insuffisantes. Pour en lire plus...
  9. Le fabricant de produits pour enfants et de bicyclettes Industries Dorel a perdu un autre de ses hauts dirigeants, à la suite de la démission du président de son secteur des produits de puériculture. Pour en lire plus...
  10. Le gouvernement français a menacé deux des principales banques du pays de les écarter du plan d'aide, si leurs dirigeants maintenaient leur refus de renoncer à des bonus annuels. Pour en lire plus...
  11. Le président de la banque française BNP Paribas, Michel Pébereau, et le directeur général, Baudouin Prot, ont décidé de renoncer à leur rémunération variable («bonus») pour l'exercice 2008, a indiqué samedi à l'AFP une porte-parole de la banque. Pour en lire plus...
  12. Les dirigeants de la compagnie se sont rencontrés à Toronto, mardi soir, pourenvisager d'avoir recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers. Pour en lire plus...
  13. Près de la moitié des dirigeants de l'industrie automobile sont d'avis que la baisse des revenus affligera leur secteur d'activité pour les cinq prochaines années encore, indique un sondage KPMG. Pour en lire plus...
  14. Touché par le ralentissement économique et la diminution du transport des marchandises, le Canadien Pacifique licencie des centaines d'employés et réduit les primes de ses dirigeants. Pour en lire plus...
  15. Parions que les dirigeants d'Apple espéraient une meilleure réaction: le titre de l'entreprise plonge mardi au Nasdaq sur des craintes liées à sa décision de larguer sa participation au MacWorld Expo. Pour en lire plus...
  16. Philanthropie : grandes causes, gros salaires * Olivier Schmouker, Lesaffaires.com * 09:26 Le malaise est palpable dans les organismes philanthropiques dès qu’on aborde le sujet de la rémunération. Photo : DR. Les salaires des dirigeants d’organisme de bienfaisance ont bondi de 17% l’an dernier, pour atteindre en moyenne les 125 000 dollars au Québec. Et certains organismes consacrent la moitié de leurs revenus rien qu’à la rémunération des employés. Choquant? 125 000 dollars. C’est ce que gagne en moyenne un haut dirigeant d’organisme de bienfaisance au Québec, pourvu qu’il ait une dizaine d’années d’expérience dans le secteur. Ce chiffre provient d’une rare étude sur les salaires des professionnels en gestion philanthropique au Québec réalisée en 2007 par Denis Fortin, chercheur à l’Université d’Alberta. Une telle rémunération pour quelqu’un qui œuvre dans le domaine de la charité peut étonner, car on imagine souvent que ceux qui défendent une cause ou volent au secours des autres le font plus par altruisme que par intérêt financier. « De tels niveaux de salaires sont effectivement surprenants, car ils ont bondi en quelques années », reconnaît même Christian Bolduc, président-directeur général de la firme de conseil en philanthropie Bolduc, Nolet, Primeau. De fait, la progression a été de 17% l’an dernier au Canada, et de 44% entre 1999 et 2008, selon le « Rapport sur la rémunération et les avantages sociaux des cadres d’association 2008-2009 » de la Société canadienne des directeurs d’association. Un sujet tabou Du coup, le malaise est palpable dans les organismes philanthropiques dès qu’on aborde le sujet de la rémunération. Centraide, par exemple, refuse d’en parler, alors que trois de ses dirigeants gagnent chacun plus de 120 000 dollars. La plupart des dirigeants d’organismes réputés se font évasifs concernant leur salaire. Ils indiquent d’une voix peu assurée qu’il oscille entre 120 000 et 130 000 dollars, que ce soit à Opération Enfant Soleil, Leucan ou à Oxfam-Québec. Éric St-Pierre, le président-directeur général de la Fondation Mira, spécialisée dans le dressage de chiens pour handicapés, fait preuve, lui, de transparence. « Mon salaire est de 119 990 dollars, après une trentaine d’années à la tête de l’organisme. Il n’a pas bougé depuis trois ou quatre ans, parce que je veux que le plus d’argent possible serve directement à notre mission », dit-il. Pourquoi une telle gêne à parler de son salaire, quand on est un dirigeant d’organisme de bienfaisance? Parce qu’il y a une crainte que le grand public se choque de tels montants, d'autant plus que les Québécois se montrent de moins en moins charitables. « L’opinion publique évolue face à la réalité du secteur de la bienfaisance, mais elle n’est pas encore ouverte à la question des salaires des professionnels en gestion philanthropique », note d’ailleurs M. Fortin dans son rapport. Quand la moitié des revenus servent à payer les salaires… Autre sujet sensible : la proportion des revenus consacrés à payer les salaires de l’ensemble des employés. Ainsi, saviez-vous que pour chaque dollar reçu – que ce soit par un don, une subvention, etc. –, Moisson Montréal, par exemple, consacre 55 cents à la rémunération des employés? Et les exemples sont foison : la Fondation Mira dépense 44% de ses revenus en salaires ; la Fondation québécoise du cancer, 38% ; Jeunesse au soleil, 35% ; Leucan, 31% ; et le Bon Dieu dans la rue, 60%, selon leurs déclarations auprès de Revenu Canada en 2007. Dédier le tiers ou la moitié de son argent aux rémunérations, est-ce beaucoup, voire trop, pour un organisme philanthropique? « Quand les salaires atteignent des niveaux de 30 ou 40% de l’ensemble des revenus, il y a un problème », considère M. Bolduc. Quel problème? C’est que la Loi de l’impôt sur le revenu exige qu’un organisme de bienfaisance « dépense 80% des montants pour lesquels des reçus officiels de dons aux fins de l’impôt ont été émis à des activités de bienfaisance ». Une exigence qui mérite quelques explications, comme on le verra plus tard Avant tout, il faut comprendre qu’un grand nombre d’organismes de bienfaisance ne se contentent pas de redistribuer de l’argent ou des biens reçus, mais proposent des services de qualité, ce qui entraîne nécessairement des coûts. « Les organismes qui offrent des services de première ligne, c’est-à-dire dont une partie du personnel est en contact direct avec le public, doivent payer davantage de salaires que les autres », indique Ronald Montminy, président de la firme de consultants en philanthropie Montminy Bédard & Associés. C’est le cas, entre autres, du Bon Dieu dans la rue, dont la mission consiste à venir en aide à des jeunes dans la rue. « Un grand nombre de nos employés font des interventions psycho-sociales auprès de personnes fragiles mentalement et physiquement. La moindre erreur peut avoir de graves conséquences. Il nous faut donc payer pour la compétence nécessaire à ce type de travail », explique son directeur général Aki Tchitacov. Idem à la Fondation québécoise du cancer. « Nous n’avons pas le choix de payer ce qu’il faut en salaires pour offrir un bon service d’accompagnement des malades. D’autant plus que ceux qui bénéficient de nos services se font de plus en plus exigeants : ils nous le disent, quand ils apprennent qu’un autre organisme offre, lui, tel ou tel service », indique Daniel Cauchon, vice-président exécutif. « À la Fondation Mira, nous avons la particularité de fabriquer un produit dont la qualité doit être irréprochable : des chiens dressés pour les handicapés. Cela nécessite des années de travail, en rémunérant comme il faut les instructeurs. Forcément, les salaires prennent une grande part de nos revenus », explique Éric St-Pierre, président-directeur général. « Nous n’offrons pas que des paniers alimentaires. On oublie souvent que Jeunesse au soleil, c’est aussi des activités de sports et loisirs, de prévention du crime, de lutte contre le taxage et même une colonie de vacances d’été qui nécessite l’emploi d’une trentaine de personnes », souligne, de son côté, Gaétan Lévesque, assistant du vice-président, finances et administration. Ainsi, aucun dirigeant de ces organismes réputés ne semble trouver excessive la proportion des salaires sur les revenus. « Bien au contraire, si l’on consacrait moins d’argent aux salaires, nous ne pourrions pas fonctionner. Le bénévolat seul ne suffirait pas, loin de là », lance Johanne Théroux, directrice générale, de Moisson Montréal. Un secteur en voir de professionnalisation « Depuis 10 ans, on assiste au Québec à la professionnalisation du secteur de la philanthropie. Il ne faut pas s’étonner que cela se traduise par une hausse des salaires des hauts dirigeants au point de se comparer au secteur privé », dit Ronald Montminy, président de la firme de consultants en philanthropie Montminy, Bédard & Associés. Aujourd’hui, les directeurs généraux ont à peu près tous les mêmes responsabilités, quel que soit le domaine de spécialisation de leur organisme philanthropique. Ils sont essentiellement imputables : de l’atteinte d’objectifs précis et de la bonne situation financière de l’organisme ; de la réalisation des programmes de bienfaisance ; de la mise en place de nouvelles stratégies de levées de fonds ; et du développement des relations avec les principaux donateurs ainsi qu’avec les bénévoles. À cela s’ajoute les particularités de chaque organisme ou de chaque cursus professionnel des dirigeants en question. « Nous menons des campagnes à l’échelle internationale. Cela nécessite des compétences particulières, qu’il faut rémunérer à leur juste valeur », considère, par exemple, M. Verret, d’Oxfam-Québec. « En cinq ans, nos revenus sont passés de 3,6 millions de dollars à 6,7 millions de dollars. Il faut des gestionnaires chevronnés pour gérer une telle croissance », explique, quant à lui, M. Nadeau, de Leucan. « On ne compte pas nos heures de travail. Si on calculait nos salaires sur une base horaire, ça les diviserait par deux », soutient Mme Charest, d’Opération Enfant Soleil. Aucune borne légale Le hic? Comment savoir s’il est correct ou non que, par exemple, le Bon Dieu dans la rue consacre 60 cents de chaque dollar reçu à rémunérer les employés? Et Leucan, 31 cents pour chaque dollar reçu? « Difficile de répondre à cette interrogation, car aucune borne légale n’existe à ce sujet », indique Guy Boudreau, directeur, fiscalité, de Samson Bélair / Deloitte & Touche. Dans le guide de Revenu Canada pour aider les organismes à remplir leur déclaration, il est simplement indiqué de « répartir les montants uniformément et raisonnablement » entre ce qui revient aux dépenses de bienfaisance et à celles de gestion et d’administration. Chaque organisme est donc son propre juge pour déterminer ce qui est « raisonnable » et ce qui ne l’est pas. De surcroît, Revenu Canada n’est guère en mesure de vérifier les déclarations des organismes de bienfaisance. Sa section Observation effectue quelque 850 vérifications par an, « soit 1% de l’ensemble des organismes enregistrés au Canada », et encore toutes ces vérifications ne sont pas complètes, selon Catherine Jolicoeur, responsable des relations avec les médias, de Revenu Canada. La loi du 80 / 20 Pourtant, la Loi de l’impôt sur le revenu exige qu’un organisme philanthropique « dépense 80% des montants pour lesquels des reçus officiels de dons aux fins de l’impôt ont été émis à des activités de bienfaisance ». Comment se fait-il alors qu’un organisme qui dépense beaucoup d’argent en salaires – comme c’est généralement le cas –, parvienne à respecter cette loi? « Un organisme de bienfaisance peut consacrer des montants raisonnables, c’est-à-dire jusqu’à 20% de ses ressources, à la gestion et à l’administration. Pas plus », indique Mme Jolicoeur. Si les 20% sont dépassés, l’organisme risque une pénalité financière, voire la révocation de son statut d’organisme de bienfaisance. Or, une fois les calculs faits à partir des grilles de Revenu Canada, Moisson Montréal, la Fondation Mira et autres Jeunesse au soleil respectent tous le fameux 20%, c’est-à-dire ce que les fiscalistes appellent le « contingent des versements »! Une astuce comptable très pratique Comment expliquer ce mystère? « Dans la déclaration annuelle faite à Revenu Canada, une partie des salaires peut être considérée comme une dépense de bienfaisance. Il s’agit en général des salaires de ceux qui offrent des services de première ligne, et parfois une partie des salaires des dirigeants, même s’ils sont peu en contact direct avec le public », explique Guy Boudreau, directeur, fiscalité, de Samson Bélair / Deloitte & Touche. Ainsi, les salaires sont déclarés auprès de Revenu Canada dans deux catégories distinctes : ceux qui servent à réaliser les programmes de bienfaisance et ceux qui servent à la gestion et l’administration. D’un point de vue fiscal, un organisme a tout intérêt à déclarer le maximum dans la première catégorie – qui entre dans le calcul du contingent des versements –, et pas dans la seconde – qui, elle, n’entre pas dans ce calcul. Cest justement ce que font la plupart des organismes. « Tout ce qui est comptabilisé comme dépense administrative est réduit au minimum possible, généralement autour de 10 ou 15% de l’ensemble des dépenses », dit M. Montminy. En bout de ligne, « plus un organisme paye de salaires, plus il lui est facile de respecter son contingent des versements », reconnaît l’expert de Samson Bélair / Deloitte & Touche.
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