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  1. Cela faisait 37 ans que la magnifique église Saint-Enfant-Jésus du Mile-End avait perdu deux de ses statues extérieures, dû à leur dégradation avancée. Ces deux œuvres sont maintenant restaurées! J'ai pris quelques photos aujourd'hui (18 juin 2015): En espérant que la prochaine restauration ne prenne pas 4 décennies! Montréal souffre souvent d'un déficit d'entretien de son beau patrimoine. Pour plus de renseignement sur cette restauration, voici un lien vers un article du Journal Métro: http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/794384/patrimoine-religieux-redonner-vie-aux-anges-du-mile-end/
  2. http://www.lapresse.ca/le-soleil/actualites/politique/201404/25/01-4760915-quebec-doit-envisager-de-privatiser-la-saq-et-hydro-selon-des-experts.php Publié le 25 avril 2014 à 13h55 | Mis à jour à 13h55 Québec doit envisager de privatiser la SAQ et Hydro, selon des experts Jocelyne Richer La Presse Canadienne Québec Le gouvernement Couillard doit envisager de privatiser partiellement Hydro-Québec et la Société des alcools (SAQ) pour remettre le Québec sur le chemin de la santé financière, selon deux experts. Ces derniers, Luc Godbout et Claude Montmarquette, ont tracé vendredi un portrait extrêmement sombre de l'état des finances publiques, dans un rapport commandé par le gouvernement avant même d'être officiellement en fonctions. La situation est telle, selon eux, que seul un remède de cheval pourra éviter au gouvernement d'affronter les conséquences financières d'une décote des grandes agences de notation de crédit. La vente partielle d'actifs, comme Hydro-Québec et la SAQ, ne serait qu'une des solutions préconisées en vue de sortir l'État québécois du gouffre budgétaire. Car ils estiment que Québec doit prendre dès maintenant toute une série de moyens, qui risquent de faire plus mal les uns que les autres: gel de la masse salariale de la fonction publique, hausse (et non une simple indexation) des tarifs de garderies, imposition de tarifs à des services gouvernementaux actuellement gratuits, révision des programmes sociaux et réévaluation des subventions et crédits d'impôt aux entreprises. Seul un plan d'austérité ambitieux pourrait, selon ces deux économistes, permettre au gouvernement Couillard d'espérer atteindre la cible prévue par l'ancien gouvernement péquiste, soit un déficit de 1,75 milliard $ en 2014-2015, prélude à l'atteinte de l'équilibre budgétaire en 2015-2016. Dans la situation actuelle, si rien n'est fait, Québec se dirige vers un déficit plus important que prévu, de l'ordre de 3,7 milliards $ cette année, risquant d'autant de mécontenter les agences de notation. Les deux experts recommandent aussi une révision de la fiscalité, ce que s'est déjà engagé à faire le premier ministre Philippe Couillard. Ils recommandent de plus de privilégier une gestion des dépenses gouvernementales à plus long terme, pouvant s'étaler sur plusieurs années.
  3. Vous voulez conserver l’assurance parentale23 juin 2011 | 17h07 Argent Le Régime québécois d'assurance parentale augmentera ses cotisations de 4 % en 2012 afin de résorber son déficit de près de 600M$ d'ici 2018. En 2011, la hausse avait été de 6,25%. Il s’agit de la cinquième hausse annuelle consécutive, au même moment où certains disent que le Québec n'a pas les moyens de se payer ce programme. Nous avons demandé aux lecteurs d’Argent et de TVA Nouvelles s’ils croyaient que ce programme était indispensable? Voici quelques-uns de leurs commentaires : Je me dis que plus que le gouvernement enlève de l’argent sur mes paies, moins j’en ai pour mon petit garçon. C'est important d'avoir un revenu assuré après l'accouchement. J’utilise moi-même le programme. C’est en partie grâce à cela que je peux rester avec mon fils et l'éduquer. Si on a de l’argent pour se payer des avions de guerre, on a de l’argent pour aider les familles du Québec. Non? Vous avez beaucoup de chance aujourd'hui, j'espère que vous vous en rendez compte. Quand j'ai eu mes enfants, il fallait retourner au travail après 6 semaines de congé. Il y a beaucoup de dépenses inutiles au Québec, mais pas celle-là… Si le programme est en déficit, c’est qu’il a été mal géré. Quand ton budget est dans le rouge, tu coupes dans les affaires frivoles pour te concentrer sur l'essentiel. Il faut couper ça au plus vite. C'est ça mon cher, coupons l'aide pour les nouveaux parents. Pendant ce temps, les BS iront acheter un « sixpack »de Wildcat et un billet de 6/49 avec notre argent. Quand des gens de 50 ans paient « l'assurance parentale », ce n'est pas une assurance, c'est un impôt déguisé. Il n’y avait pas d’assurance parentale à mon époque et je ne suis pas morte, c’est une vraie blague cette histoire-là! Oui c'est important pour augmenter la natalité au Québec! On nous le vend en disant que ça augmente le taux de natalité, mais ailleurs au Canada, ils n'ont pas ces généreux programmes et le taux de natalité est semblable.
  4. Montréal: un surplus «choquant» après les coupures22 octobre 2010 | 07h47 La découverte d’un surplus de 77 millions $ dans le budget 2010 de la ville de Montréal, au terme d’une année où les compressions budgétaires se sont succédé, irrite les deux partis d’opposition à l’hôtel de ville. L'hôtel de ville de Montréal (Photo: Agence QMI)Tant Vision Montréal que Projet Montréal déplorent que l’administration Tremblay ait évoqué un déficit pendant tout l’été, et demandé aux arrondissements de revoir à la baisse leurs budgets, avant ce revirement de situation. «C’est un peu l’habitude de l’administration de monsieur Tremblay, de crier au loup», avance la chef de l’opposition officielle à l’hôtel de ville, Louise Harel, qui a bien l’intention de «demander des comptes lors du Conseil municipal, la semaine prochaine», à propos des états financiers révélés par le journal «24H», jeudi. «Ça va rendre difficile les sacrifices qu’ils ont demandés aux arrondissements. En juillet, 9 millions $ ont été coupés dans des services concrets, comme des rénovations d’arénas, ou l’entretien des parcs», déplore-t-elle en entrevue. Indices annonciateurs Déjà, au cours des dernières semaines, certaines décisions de la Ville laissaient entrevoir un portrait plus rose qu’annoncé. À la mi-septembre, Gérald Tremblay a annoncé une redistribution «surprise» de 12 millions $ aux arrondissements, en fonction de critères tels les dépenses de déneigements et les coûts des services aux familles. Aussi, les pompiers et les cols bleus se sont vu offrir des augmentations salariales qui dépassaient de 1 % le cadre financier initial de la ville. Dans le cas des cols bleus, ils ont également obtenu la création de 446 postes permanents. Peter McQueen, conseiller de ville de Projet Montréal dans l’arrondissement Côte-des-Neige-Notre-Dame-de-Grâce, croit que les prévisions de déficit étaient «alarmistes», mais «de bonne foi». «Ce qu’on trouve choquant, c’est l’annonce que le directeur général va couper 125 millions $ en 2011 et un autre 125 millions $ en 2012. […] Ce n’est plus une erreur honnête, c’est jouer avec les chiffres», dit-il. Benoît Dorais, maire du Sud-Ouest et membre de Vision Montréal, est allé jusqu’à préparer une motion qui sera débattue la semaine prochaine, pour que soit revue à la hausse la dotation de son arrondissement, dont la situation financière est en «équilibre précaire». Même si Alan DeSousa, le responsable des finances au Comité exécutif, prévient que «2011 restera une année difficile», Peter McQueen croit que l’avenir est plus rose que ce qu’on laisse entendre aux Montréalais. «Je crois qu’ils [la formation du maire] sont trop pessimistes. On voit un boom à l’horizon, avec toute la construction résidentielle ou commerciale. Il ne faut pas hésiter à investir dans l’infrastructure municipale pour stimuler ces investissements», avance le conseiller.
  5. Le gouvernement du Québec accumule depuis 10 ans une dette cachée de plus de 6 milliards de dollars pour financer la remise en état du réseau routier québécois, malgré sa propre loi sur le déficit zéro. Selon des données dévoilées par La Presse, ce déficit accumulé par le Fonds de conservation et d'amélioration du réseau routier, qui a été créé en 1996, a augmenté de 760 M$ par année en moyenne au cours des trois années au pouvoir du gouvernement libéral sortant. Durant cette période, Québec a investi annuellement plus de 1 milliard dans la réfection et la construction de nouvelles routes. Les 5,9 milliards de travaux routiers prévus d'ici trois ans pourraient faire passer le déficit du Fonds de conservation et d'amélioration à plus de 10 milliards. Depuis 1996, tous les travaux routiers sont financés par des emprunts au Québec, ce qui permet d'en amortir les coûts sur plusieurs années. L'amortissement est utilisé par plusieurs gouvernements, depuis plusieurs années.
  6. Un déficit historique de 4,7 milliards en Alberta Publié le 09 février 2010 à 20h14 | Mis à jour à 21h15 La Presse Canadienne Edmonton Le gouvernement progressiste-conservateur de l'Alberta a présenté mardi un budget qui prévoit un déficit historique de 4,7 milliards $ mais aucune coupe budgétaire importante et aucune hausse d'impôt. Le ministre des Finances de la province, Ted Morton, s'est déclaré mécontent de déposer un budget déficitaire mais confiant que son plan financier général permettrait à l'Alberta de sortir du rouge d'ici 2012. Le grand gagnant de ce budget est le secteur de la santé. Non seulement le gouvernement épongera la dette de 1,3 milliard $ de l'agence de santé albertaine, mais il augmentera aussi son budget de six pour cent par an durant les trois prochaines années. Le secteur de l'éducation n'est pas en reste puisque les conseils scolaires se partageront 250 millions $ de plus, principalement pour faire face à la hausse des inscriptions dans les établissements scolaires. Les programmes destinés aux personnes âgées ou souffrant d'une incapacité recevront aussi un peu plus d'argent afin de conserver les services existants. Des fonds ont également été débloqués pour l'embauche de 100 nouveaux policiers. Mais toutes ces largesses ont un prix. Pour respecter ses promesses, le gouvernement de l'Alberta devra puiser près de 5,8 milliards $ durant le présent exercice financier dans un fonds d'épargne de 15 milliards $ mis sur pied grâce aux surplus des années précédentes. Il prévoit faire de même en 2011 et en 2012, ce qui pourrait bien mettre ses économies à sec. Quinze ministères, dont ceux de l'Agriculture, de la Culture, du Développement durable, de l'Enseignement postsecondaire, de l'Environnement et des Services à l'enfance, devront composer avec des réductions budgétaires de 1,3 milliard $. Quelque 250 employés de la fonction publique albertaine, qui en compte 27 000, pourraient aussi perdre leur emploi. Il s'agirait des premières mises à pied au sein du gouvernement depuis plus d'une décennie.
  7. États-Unis : Déficit budgétaire record de 1409 milliards Publié le 07 octobre 2009 à 18h38 | Mis à jour à 18h45 Agence France-Presse Washington Les États-Unis ont accusé un déficit budgétaire record de 1409 milliards de dollars pour l'ensemble de l'exercice 2008-2009, clos fin septembre, soit un peu moins que prévu, selon l'estimation du Bureau du budget du Congrès (CBO) publiée mercredi. Le déficit équivaut ainsi à 9,9% du PIB américain, du jamais vu depuis 1945, écrit le CBO dans son analyse mensuelle sur le budget. Cette estimation doit encore être confirmée par le département du Trésor, qui publiera les chiffres officiels pour l'année 2008-2009. Une porte-parole du ministère a indiqué à l'AFP que cette publication aurait lieu «mi-octobre». La Maison-Blanche et le CBO avaient indiqué fin août qu'ils attendaient un déficit fédéral de 1580 milliards de dollars pour l'ensemble de l'année budgétaire passée. Au cours de l'exercice écoulé, les comptes de l'État ont été affectés par la baisse des recettes fiscales provoquée par la crise, du fait du recul des revenus des entreprises et des ménages, et par la hausse des dépenses liées à la récession (relance budgétaire, hausse des prestations sociales et sauvetage d'institutions financières). Les recettes ont ainsi baissé de 17% par rapport à 2007-2008, pour ne représenter que 15% du PIB, soit leur niveau le plus bas en plus de 50 ans, écrit le VBO. Quant aux dépenses, elles ont fait le chemin inverse, augmentant de 18% pour atteindre presque 25% du PIB, leur niveau le plus haut en plus de cinquante ans, ajoute l'étude. Le CBO relève que «presque la moitié de la hausse des dépenses (245 milliards) a été le résultat de dépenses entraînées par» le plan de sauvetage du système financier promulgué début octobre 2008 et par les mesures prises pour sauver les organismes de refinancement hypothécaire parapublics Fannie Mae et Freddie Mac. Le Bureau estime par ailleurs que 200 milliards de dépenses supplémentaires ont été engendrées par le plan de relance budgétaire de 700 milliards de dollars sur trois ans promulgué mi-février par le président américain Barack Obama. En 2007-2008, le déficit budgétaire américain avait atteint 459 milliards de dollars, soit 3,2% du PIB. Pour l'exercice en cours, le Bureau du budget de la Maison-Blanche table sur un déficit budgétaire de 1502 milliards de dollars, soit 10,4% du PIB américain. M. Obama, qui a hérité du gouvernement républicain précédent des finances publiques dans un état catastrophique, s'était engagé en février à ramener le déficit budgétaire sous les 3% du produit intérieur brut du pays à la fin de l'exercice 2013.L'année 2013 correspond à la fin du mandat de M. Obama, qui a pris ses fonctions de président fin janvier pour quatre ans. Mais la Maison-Blanche estime désormais que le déficit de l'État fédéral atteindra 775 milliards de dollars à la fin de l'exercice 2012-2013, soit environ 4,6% du PIB.
  8. Le déficit atteint déjà trois milliards Tommy Chouinard La Presse Publié le 23 septembre 2009 à 14h25 | Mis à jour à 16h06 (Québec) Québec se dirige vers un déficit plus élevé que prévu. Trois mois seulement après le début de l'année financière, le déficit atteint déjà trois milliards de dollars. Or, le gouvernement Charest avait prévu un trou de 3,9 milliards pour toute l'année. Le rapport mensuel des opérations financières, rendu public par le ministère des Finances aujourd'hui, indique que le déficit budgétaire s'élève à trois milliards de dollars au 30 juin. Les revenus du gouvernement atteignent 15,6 milliards, un niveau similaire à celui de la même période l'an dernier. Mais les dépenses (18,6 milliards) ont bondi d'un milliard. Elles ont surtout augmenté aux ministères de la Santé (546 millions), de l'Éducation et de la Culture (168 millions). D'avril à juin, le déficit cumulatif s'élève à trois milliards. Notons qu'en début d'année financière, les revenus sont généralement moins importants. «Conformément à la tendance historique, les résultats cumulatifs pour les trois premiers mois de l'année indiquent un excédent des dépenses par rapport aux revenus. L'écart mensuel devrait diminuer progressivement au cours des prochains mois», peut-on lire dans le document du ministère des Finances. Il n'en demeure pas moins que le rapport envoie un signal inquiétant sur l'état des finances publiques. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/200909/23/01-904803-le-deficit-atteint-deja-trois-milliards.php
  9. Le déficit de la France double en un an * Presse Canadienne, * 4 septembre 2009 Le déficit budgétaire de la France a atteint 109 milliards d'euros (169 milliards de dollars) au 31 juillet dernier, soit plus du double de l'année précédente, a annoncé vendredi le ministère du Budget, qui souligne que ce bond "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique". Le déficit budgétaire français était de 51,4 milliards d'euros à la même date en 2008. Cette hausse de 57,6 milliards d'euros "s'explique principalement par le poids de la conjoncture économique sur l'évolution des recettes et, à hauteur de 25,8 milliards d'euros, par l'effet des différentes mesures de soutien à l'économie", précise le ministère dans un communiqué. Au 31 juillet 2009, les dépenses totales de l'Etat atteignent 215,2 milliards d'euros -contre 204,4 milliards l'année précédente- et les dépenses exécutées au titre du plan de relance s'élèvent à 8,5 milliards d'euros. A la même date, les recettes du budget général s'établissent à 133,8 milliards d'euros contre 175 milliards d'euros l'an dernier. A noter que le produit des recettes fiscales est en baisse de 26,5 milliards d'euros par rapport à 2008.
  10. Quebec leads Canadian economic rebound: Charest By Mike De Souza, Canwest News ServiceAugust 14, 2009 CHELSEA, Que. —Quebec Premier Jean Charest, said Friday the Quebec economy is in better shape than the rest of the country because its infrastructure spending is flowing while deficits are lower than other jurisdictions. The Quebec economy is in better shape than the rest of the country because its infrastructure spending is flowing while deficits are lower than other jurisdictions, including the federal government, Premier Jean Charest said here Friday. Charest made the comments standing next to Prime Minister Stephen Harper as they announced a new phase in a construction project extending a highway leading north from Ottawa through the Outaouais region in Quebec. "It is true that Canada's economy has done better than the vast majority of countries in the world and within Canada, Quebec's economy has done better than the average economies in Canada," said Charest. "The size of our deficit is smaller than the size of the federal government's deficit or the deficit in Ontario." Federal opposition parties have criticized the Harper government's infrastructure stimulus plan, arguing that money is not flowing out the door fast enough for projects to begin construction. Charest said that billions of dollars are already flowing into the Quebec economy from infrastructure and energy investments totalling more than $40 billion over the next five years. "We had growth in 2008 and yes we'll have a slowdown, and yes we've lost jobs but overall, Quebec's economy has done better," said Charest. "Why? because we invested in infrastructure and energy and because we have a long-term vision." He noted that even the Obama administration's $800-billion stimulus plan has not yet had an impact. "Not a lot of money in the United States has yet reached the point where the investment is happening," said Charest. "In fact, very little of that money has gone out the door." Harper said that there is still work to be done to ensure that Canada breaks out of the recession rapidly and moves into a strong position. "Canada has not gotten out of this global recession," said Harper. "We must continue our efforts and persevere. Now is not the time for political instability. It is the time to continue to focus on our economy." © Copyright © Canwest News Service
  11. Le déficit américain dépasse les 1000 milliards Publié le 13 juillet 2009 à 14h05 | Mis à jour à 14h07 Agence France-Presse Washington Le déficit budgétaire des États-Unis s'est encore alourdi en juin pour dépasser les 1000 milliards de dollars à l'issue de ce neuvième mois de l'exercice 2008-2009, selon les chiffres officiels publiés lundi à Washington. Le déficit de l'État fédéral s'est creusé de 94,318 milliards de dollars au mois de juin, indique le département du Trésor dans son rapport mensuel sur le budget. C'est un déficit record pour un mois de juin, mais c'est un peu moins que ce que prévoyaient les analystes (97,0 milliards). En conséquence, le déficit cumulé depuis octobre 2008, premier mois de l'exercice en cours, atteignait 1086,263 milliards de dollars à la fin du mois de juin. Le déficit cumulé ne cesse de franchir des records depuis le mois de février. Selon les projections du Bureau du budget du Congrès, il devrait dépasser la somme pharaonique de 1800 milliards de dollars à la fin de l'exercice, le 30 septembre 2009. Le mois de juin est traditionnellement un mois d'excédent budgétaire, mais comme les mois précédents, les comptes de l'État ont été affectés par la baisse des recettes fiscales liées à la crise (la collecte des impôts étant moindre du fait de la baisse des revenus des entreprises et des ménages) et la hausse des dépenses liées à la récession (relance budgétaire et hausse des prestations sociales). Les recettes de l'État ont ainsi atteint 215,364 milliards de dollars en juin, soit 17% de moins qu'un an plus tôt. C'est le 14e mois de baisse consécutive des recettes en glissement annuel. Les dépenses ont connu un mouvement inverse, progressant de 37% sur un an, pour atteindre 309,682 milliards de dollars, un record pour un mois de juin. Juin a été le neuvième mois consécutif de déficit. Il faut remonter à mars 1992 pour retrouver une série de soldes négatifs plus longue (11 mois).
  12. Le Canada enregistre un déficit commercial de 1,4 milliard de dollars en mai, deux fois plus élevé que prévu. Pour en lire plus...
  13. Un déficit fédéral de 162 milliards? * Ulysse Bergeron, lesaffaires.com * 14:31 Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années, selon Don Drummond. Photo : Bloomberg Le déficit du gouvernement canadien pourrait graviter autour de 162 milliards de dollars d’ici cinq ans, selon les estimations de l’économiste en chef de la Banque Toronto Dominion, Don Drummond. L’expert en matière de budget fédéral soutient que le gouvernement Harper ne sera pas en mesure d’équilibrer son budget dès 2014, comme le prévoit le ministre des Finances Jim Flaherty. Au contraire. Le déficit devrait continuer de se creuser au cours des cinq prochaines années. Don Drummond avait déjà émis de sérieuses réserves quant aux estimations avancées par le ministre Flaherty, le 26 mai dernier. Outre le dévoilement d’un déficit de 50 milliards pour l’année en cours, le ministre avait alors avancé que le Canada enregistrerait un surplus de 700 millions dès 2014. Pour cette même année, Don Drummond estime plutôt qu’Ottawa enregistrera un déficit de 19 milliards. La seule façon pour le Canada d’obtenir un budget équilibré pour 2014 serait de geler les programmes de dépense dès l’année fiscale 2012-2013. Ce qui est peu probable, souligne la TD.
  14. On a déjà eu une discussion sur le sujet, mais je ne me souviens plus dans quel fil... je suis surpris que l'UdM s'est fait retenir ses subventions comme l'UQAM. L'Université de Montréal s'enfonce dans les déficits Le Devoir Clairandrée Cauchy Édition du samedi 02 et du dimanche 03 mai 2009 Mots clés : Éducation, Université de Montréal, Budget, Déficit budgétaire, Québec (province) L'Université de Montréal n'arrive pas à reprendre en main ses finances et s'enfonce de plus en plus dans les déficits. Le budget, qui sera présenté aux instances de l'Université la semaine prochaine et dont Le Devoir a obtenu copie, fait état d'un déficit accumulé de 153,8 millions en juin 2010 et d'un déficit de fonctionnement de 14,9 millions pour l'année courante. Dans son dernier budget pro forma pour l'année 2008-09, la direction de l'Université estimait pourtant être en mesure de renouer avec l'équilibre budgétaire en 2009-10, au prix de douloureuses compressions. De toute évidence, c'était mission impossible. Non seulement le budget proposé pour l'année prochaine n'est pas équilibré, mais il présente en plus un déficit de fonctionnement encore plus important que celui enregistré pour l'année qui s'achève. Si le déficit anticipé de 14,9 millions est confirmé, le déficit accumulé de l'Université de Montréal serait de 153,8 millions en juin 2010. Signe que la situation budgétaire est particulièrement difficile, l'UdeM termine son année 2008-09 avec un déficit de 10,1 millions, plutôt que les 7,8 millions prévus. L'écart est principalement attribuable à une hausse des cotisations au régime de retraite puisque l'UdeM a procédé à une évaluation actuarielle au cours de l'année 2008, alors que les marchés boursiers avaient déjà amorcé leur chute. Dans le message qui accompagne le budget, le vice-recteur exécutif, Guy Breton, jette le blâme sur la «structure de financement en décalage complet avec celle des établissements universitaires des autres provinces canadiennes», soulignant notamment que les indexations de revenus consenties par les gouvernements ne sont pas à la hauteur des augmentations réelles des coûts de systèmes. «Dans un environnement où les coûts de système sont supérieurs à leur financement et où le soutien à la recherche est singulièrement sous-financé, ces sous-indexations de coûts alliées à des compressions directes placent l'Université dans une situation intenable quant au maintien de sa mission d'enseignement, de recherche et de rayonnement intérieur», fait valoir M. Breton. Le document laisse déjà entrevoir de douloureuses compressions et la poursuite des mesures d'austérité déjà en vigueur l'an dernier. Ainsi, les professeurs et les autres employés qui partiront d'ici décembre ne seront pas remplacés. Cette mesure pourrait même se poursuivre après cette date. La direction centralise par ailleurs tout le processus de recrutement. «Toutes les unités seront forcées de procéder à des réductions de dépenses dont l'impact ne manquera pas de se faire sentir partout sur le campus», ajoute le responsable du budget, M. Breton, dans son adresse à la communauté universitaire. Il y précise qu'outre l'exercice de révision des différents postes budgétaires à l'interne, des représentations seront aussi faites «à l'externe». Soulignons que l'Université de Montréal avait déjà vu ses subventions conditionnelles retenues par le passé par le gouvernement du Québec en raison de ses difficultés financières, ce qui lui avait valu d'importants frais d'intérêts. Le budget sera présenté lundi prochain à l'assemblée universitaire de l'établissement. Notons par ailleurs que le Syndicat général des professeurs de l'Université de Montréal (SGPUM) est actuellement en processus de négociation de sa convention collective. http://www.ledevoir.com/2009/05/02/248589.html (2/5/2009 9H05)
  15. Ontario in decline: From Canada's economic engine to clunker Can Dalton McGuinty see the light and reverse the decay with his forthcoming budget? By Paul Vieira, Financial Post March 23, 2009 A month before Dalton McGuinty, the Liberal Ontario Premier, hit the election trail in the fall of 2007 to seek a second mandate, an ominous warning sign of the province's crumbling economic stature emerged that should have provided fodder for the campaign. An analysis from leading Bay Street economist Dale Orr said Ontarians' standard of living had plummeted -- from a peak of 15% above the Canadian average in the mid-1980s to just more than 5%. Accompanying the analysis was a warning of further erosion by 2010. Alas, the eye-opening report hardly generated buzz during the election campaign. Instead, most of the talk was about a Conservative proposal to provide government funding for faith-based schooling. Ontarians didn't warm to the idea and re-elected Mr. McGuinty's Liberals with another majority. Reflecting today on that report, Mr. Orr said his nightmare scenario for Ontario has unfolded as envisaged. If anything, the situation in the province may be worse. As the McGuinty government prepares to table its sixth provincial budget on Thursday, it does so knowing the province that was once the country's economic engine is now the clunker of the confederation. While former have-nots such as Saskatchewan post surpluses this fiscal year, Ontario is bleeding red ink--a cumulative two-year deficit of $18-billion. Ontario's dramatic decline comes as no accident. It was decades in the making, based on a combination of mismanaged public finances and the ascent of emerging economies at the expense of high-cost manufacturing. Upon taking office in 2003, Mr. McGuinty moved to pour tens of billions of dollars into improving government services -- health care, education and social programs targeting the downtrodden -- while neglecting the changing economic landscape. To help finance this agenda, he raised corporate taxes and slapped a health-care levy on households. These moves, analysts say, helped cement Ontario as one of the least attractive places for companies to invest. Analysts wonder whether the economic crisis is finally going to force Mr. McGuinty and Dwight Duncan, his Minister of Finance, to make tough choices on spending and undertake the kind of tax reform -- as displayed this week by New Brunswick-- that will help the province attract investment to offset heavy job losses in Ontario. Derek Burleton, senior economist at Toronto-Dominion Bank, said Thursday's budget presents a possible turning point for the province. "There is no doubt we are undergoing a period of transformation as some of the industries that have driven healthy gains in living standards are on the decline," said Mr. Burleton, who co-authored a report with TD chief economist Don Drummond last fall that called on the province to embrace a "sweeping" new economic vision. "Given the sizeable deficit the province faces, that will put increasing pressure on the government to prioritize." One of those priorities is for Mr. McGuinty to cease his preferred manner of dealing with difficulties in the industrial heartland -- funneling tens of millions of dollars to the manufacturing sector, particularly automotive, through targeted tax relief or direct subsidies. "What the province should have been doing over the years was to make the province more flexible in attracting new businesses and not diverting resources into declining sectors," said Finn Poschmann, vice-president of research at the C. D. Howe Institute, a Toronto-based think-tank that has been critical of Ontario's tax breaks for struggling sectors such as autos and forest products. "Do you want to steer resources to the sectors where the outlook is positive and growing? Or do you want to divert resources from these stars, which are more likely to generate the long-term employment and wage growth that Ontario is accustomed to?" The manufacturing sector, and its high-paying jobs, used to be the province's crown jewel. But as a component of Ontario's GDP, it has dropped from a peak of 23% in 2000 to roughly 18% on factors such as a richer Canadian dollar, higher energy costs and offshore competition. It is expected to fall further once the dust settles from this crisis. The province was largely able to mask the decline in manufacturing through a combination of a booming housing market, a surge in public sector hiring and a robust financial services sector. The financial crisis, however, has exposed those flaws. For the period starting in 2003, only Quebec and Nova Scotia have produced weaker growth than Ontario. Forecasts suggest Ontario was the only province whose economy shrank last year, and economists say it will record either the worst, or second-worst performance, among provinces this year. Scotia Capital, for instance, has Ontario's economy contracting 2.9% in 2009, and posting meagre growth of 1.4% in 2010, below the expected national average. Of the roughly 295,000 jobs lost in Canada since October, nearly half have come from the province. The result? Unemployment in Ontario, at 8.7%, is now higher than it is the United States (8.1%) and above Quebec's 7.9% jobless rate-- the first time that has happened in three decades. The news is not expected to get any better any time soon. "We believe that the unemployment rate in Canada's largest province should hit 10% by 2010, even if the automobile sector's restructuring plan works," said Sebastian Lavoie, an economist at Laurentian Bank Securities. Further, Mr. Lavoie said wage growth in the province is destined to take a hit. In the past, companies were forced to offer comparable wages and benefits based on what the Canadian Auto Workers would negotiate with the Detroit car makers. But Mr. Lavoie said that will no longer be the case, with CAW accepting salary freezes and making concessions on perks such as cost-of-living-allowance. The financial crisis has just exacerbated a growing trend, said Mary Webb, senior economist at Scotia Capital. Ontario's receipts from foreign-bound exports last year represent an 11.7% drop from a peak of $185.1-billion recorded in 2000. For the same time period, Quebec's receipts fell by just 2.9%. For the rest of Canada, excluding Ontario and Quebec, receipts have surged a whopping 72%. Compounding Ontario's problem is the emergence of big deficit, fuelled in part by shrinking tax revenue and years of escalated program spending. Under Mr. McGuinty, program spending now stands at $23-billion per year more than when he took office in October, 2003, an increase of 36%. In fiscal year, 2007-08, program spending climbed more than 10% to $87.6-billion, compared with a 5.4% increase in tax revenue. Observers note Mr. McGuinty's ascent to power in 2003 can be attributed to a desire for change among Ontarians after years of the hard-nosed, right-leaning Conservative regime that earned scorned for cutting government services. Mr. McGuinty's two terms have been dominated by a push to restore spending on public goods such as education, health care, infrastructure and social services. Analysts say Mr. McGuinty was on the right track to bolster some key building blocks, such as post-secondary education. To help pay for this, Mr. McGuinty raised the corporate tax -- to 14% from 12% --in his first budget. "The balance of [McGuinty's] approach was not quite right," said Jack Mintz, public policy professor at the University of Calgary and renowned tax expert. "The problem was trying to [reinvest in public services] while at the same time trying to maintain a vibrant industrial sector." Mr. Mintz and other analysts say Ontario's tax regime, as currently structured, is suffocating the province's ability to attract investment and rebuild the economy. Last year, Jim Flaherty, the federal Finance Minister, suggested the tax system was making Ontario the "last place" businesses wanted to invest. Mr. Flaherty took lots of heat for that remark, but he was on to something. Mr. Mintz's research indicates the province's marginal effective tax rate on capital, which encompasses all levies slapped on investment in the province, stands at 35%, six points higher than the Canadian average, 29%. Further, the Ontario rate ranks as the ninth-highest in the world, tied with Japan. Despite moves to eliminate capital tax in 2010, and other business tax reductions from the federal government, Ontario's marginal rate is expected to drop only three points to 32% by 2012 -- still higher than all provinces and exceeding the national average. "Ontario will not be successful in retaining existing businesses and attracting new ones if its taxation system is not on sound competitive footing with other provinces and countries," said the TD report by Messrs. Burleton and Drummond. There are signs that Mr. McGuinty is acknowledging the need to change. Despite previous opposition, he said in January the province would take a "long, hard look" at harmonizing its provincial sales tax with the GST. As currently structured, Ontario's sales tax derives almost half of its revenue from taxing business inputs such as productivity-enhancingequipment. Harmonizing with the GST would shift the tax burden to households, but economists argue it would boost business investment and make Ontario more attractive. In a C. D. Howe research paper he released yesterday, Mr. Poschmann said putting an end to the "archaic" sales tax and harmonizing with the GST would move Ontario from a high-tax jurisdiction to a medium-tax jurisdiction by 2012, with the marginal rate on investment falling just over 10 percentage points. A signal toward sales tax harmonization could be contained in Thursday's budget, although observers are hedging their bets given the potential voter backlash. Any further moves on taxation, whether business or personal, may have to wait given the province's monster deficit and an unwillingness to give up further revenue to fund public service initiatives. "Ontario is going to be deeply challenged," Mr. Mintz said, "because it is going to be very hard for the government to do anything when you are so fiscally restrained-- unless it wants to make the deficit even bigger now." Glen Hodgson, senior vice-president and chief economist at the Conference Board of Canada, said the needed tax reductions would not see the light of day until Ontario decides what to do about health-care spending, which is growing at an annual clip of 8% to 10% and is the single biggest expense item in the budget. "This is a catalytic moment for the province," Mr. Hodgson said. "The light bulb has gone on, but it is not burning brightly yet. A lot of people would like to return to the Old World. But I think the Old World is gone -and that's the dilemma Ontario faces." --------- MANITOBA, N.B. SET EXAMPLE: As Ontario attempts to pull itself out of its economic quagmire, it can look to the provinces of Manitoba and New Brunswick for leadership. While the recession is expected to hit every province, Manitoba comes out near the top in most forecasts as one of the country's better performers in 2009. In its outlook, the Conference Board of Canada projects slight growth in the province of 1%, powered by infrastructure projects and tax cuts. Jack Mintz, public policy professor at the University of Calgary, said Manitoba was, along with Ontario, considered a high-tax jurisdiction for business investment. But the government has moved and Manitoba's marginal effective tax rate on investment dropped from 37% in 2007 to 33.8% last year. It is now scheduled to fall to 26.7% by 2012. "It is on the high side, but it will be closer to the national average" in 2012,Mr. Mintz said. "From the point of view of people who need to make investment decisions now, they know these changes are in place over the next several years. So Manitoba looks more appealing." Manitoba also benefits from having one of the most diversified economies in Canada. Roughly 30% of its economy is agriculture, which is more resilient to economic downturns. Further, Manitoba has a diversified manufacturing base with aerospace and buses playing key roles - and, unlike autos, demand for those products continues to be fairly solid. It also has abundant, cheap hydroelectricity. In contrast, questions abound over the reliability of Ontario's power grid, especially in light of the 2003 blackout that blanketed the province and much of the U.S. northeast. Meanwhile, analysts have applauded New Brunswick for taking aggressive steps on taxation this week in an effort to make the province more attractive for both investors and workers. The main change is the replacement of the existing four-bracket personal income tax structure to a simpler two-bracket structure by 2012. The lowest rate will be 9% for workers earning less than $37,893. Beyond that threshold, a flat tax of 12% will be applied. Perhaps more stunning, however, is that New Brunswick plans to lower its general corporate tax rate from 13% to 12%, effective this year, and all the way down to 8% by 2012 - the lowest in the country. "The New Brunswick government appears to be relatively more proactive compared to other jurisdictions, taking bolder steps to improve its economic and fiscal roadmap," said Carlos Leitao, chief economist at Laurentian Bank Securities, in his analysis of the province's budget. Source: Paul Vieira, Financial Post pvieira@nationalpost.com ONE-TIME POWERHOUSE CAN'T KEEP UP WITH REST OF THE COUNTRY: Ont. Export Receipt Drop 11.7% Que. Export Receipt Drop 2.9% Receipt Rise Rest Of Canada 72% Ontario GDP Decline, 2009 2.9% RANKS OF WORKERS IN CANADA'S LARGEST PROVINCE TAKE IT ON THE CHIN: Ontario Unemployment 8.7% U.S. Unemployment 8.1% Quebec Unemployment 7.8% Ontario Unemployment, 2010 10% © Copyright © National Post
  16. En raison de l'effondrement du secteur automobile, le Canada est passé, en l'espace de six mois, d'un surplus commercial mensuel de 5,7milliards à un déficit s'approchant du milliard de dollars. Pour en lire plus...
  17. Des représentants de syndicats sont convoqués à une réunion avec le premier ministre Shawn Graham pendant qu'une source gouvernementale signale que le budget comprendra un déficit et d'importantes compressions dans la fonction publique. Pour en lire plus...
  18. Le gouvernement du Québec déposera son budget un peu plus d'une semaine après le début de la session parlementaire. Après une décennie d'équilibre budgétaire, il renouera avec un déficit. Pour en lire plus...
  19. Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec 4 mars 2009 - 15h08 Par Sylvain Larocque LA PRESSE CANADIENNE MONTREAL -- En 2009-2010 - Desjardins entrevoit un déficit de plus de 3 à 5 G $ à Québec. Les économistes du Mouvement Desjardins entrevoient un déficit de plus de 3 milliards $ à Québec en 2009-10, une somme qui pourrait même friser les 5 milliards $ si le gouvernement de Jean Charest décidait d'adopter un plan de stimulation vigoureux. Faisant preuve d'audace, Desjardins avance une idée originale pour relancer l'économie: que le gouvernement distribue des «bons» ou des «timbres» de consommation aux moins nantis, à utiliser dans des commerces québécois «à l'intérieur d'une période restreinte». Après tout, écrit l'équipe de François Dupuis, économiste en chef de Desjardins, les citoyens les plus pauvres «ont une plus grande propension à consommer» si leurs revenus augmentent subitement. Les limites géographiques et temporelles d'un bon de consommation permettraient «d'éviter les fuites vers l'épargne», qui aide peu l'économie. Autre avantage de taille: «les effets multiplicateurs d'une telle mesure sont élevés, plus encore que ceux des investissements en infrastructures», soutient Desjardins, qui va jusqu'à proposer le recours à des cartes à puce pour concrétiser l'idée. Au plan des finances publiques, les économistes de Desjardins calculent que même en l'absence d'un plan de relance, le gouvernement du Québec se dirige vers un déficit de plus de 3 milliards $ pour l'exercice 2009-10, qui commence le 1er avril. En incluant un plan de relance de 1,5 milliard $, le manque à gagner atteindrait près de 5 milliards $. La somme de 1,5 milliard $ représenterait le complément de Québec au plan fédéral annoncé en janvier, qui doit apporter environ 4,5 milliards $ à l'économie de la province en 2009-10. Le total de 6 milliards $ équivaut à deux pour cent du produit intérieur brut nominal du Québec, soit l'ordre de grandeur que le Fonds monétaire international recommande actuellement pour les plans étatiques de stimulation économique.
  20. Desjardins annonce un déficit de 476 millions de dollars pour le 4e trimestre de 2008, attribuable à la crise financière et à la dévaluation du PCAA, selon la présidente de l'institution. Pour en lire plus...
  21. L'économiste en chef de la Banque TD prédit que le déficit de l'Ontario atteindra 15 milliards de dollars en 2010. Pour en lire plus...
  22. Le Japon enregistre en janvier le plus important déficit commercial de son histoire, en raison d'un chute sans précédent de ses exportations. Pour en lire plus...
  23. L'effondrement du marché américain a contribué à faire en sorte que le déficit commercial canadien dans le secteur de l'automobile a plus que doublé en 2008, pour atteindre les 14milliards de dollars. Pour en lire plus...
  24. Au cours du mois de décembre, la balance commerciale du Canada a littéralement fondu passant d'un surplus de 1,2 milliard de dollars à un déficit de 458millions, du jamais vu au pays depuis 1976. Pour en lire plus...
  25. Québec: un déficit de plus de 2 milliards Publié le 04 février 2009 à 05h53 | Mis à jour à 05h55 Francis Vailles La Presse (Montréal) Au rythme où vont les choses, le gouvernement du Québec tombera en déficit non pas l'an prochain, mais dès le présent exercice, qui se termine le 31 mars. Pire: les surplus accumulés ces dernières années seront à peine suffisants pour boucher le trou qui se creuse. C'est ce qu'on peut tirer comme conclusion du plus récent Rapport mensuel des opérations financières du ministère des Finances, publié vendredi. Pour le seul mois de novembre, le gouvernement a essuyé un déficit de 411 millions de dollars, principalement en raison d'une baisse importante des revenus tirés de la TVQ et de l'impôt des sociétés. Au cours des huit premiers mois de l'exercice, le déficit atteint 1,4 milliard de dollars. Si les finances continuent de s'enfoncer au rythme des derniers mois, le déficit de l'année oscillera entre 2 et 3 milliards de dollars, selon des extrapolations de La Presse Affaires. Pour arriver à de telles conclusions, nous avons dressé trois scénarios pour le déficit. Le premier suppose que les quatre derniers mois de l'exercice seront le reflet des huit premiers, ce qui donne un déficit de 2 milliards. Le deuxième fait l'hypothèse que les quatre derniers mois seront plutôt semblables aux trois plus récents, pour un déficit de 2,5 milliards. Enfin, le dernier scénario suppose que les prochains mois auront un déficit moyen comparable à celui de novembre, pour un déficit annuel de 3 milliards. Dans son Énoncé économique du 14 janvier, la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, prévoyait être en mesure d'atteindre l'équilibre budgétaire en utilisant «une partie de la réserve budgétaire accumulé au 31 mars 2008». Or, cette réserve, de 2,3 milliards, pourrait maintenant être à peine suffisante pour combler le trou qui se creuse. Dans le budget de mars 2008 et dans l'énoncé préélectoral de novembre 2008, la ministre prévoyait n'utiliser que la moitié des 2,3 milliards de surplus accumulés pour atteindre l'équilibre budgétaire cette année. Le reste devait être utilisé l'an prochain (exercice 2009-2010). Joint au téléphone, le sous-ministre adjoint à la politique budgétaire, Luc Monty, n'a pas voulu faire d'extrapolations. Néanmoins, admet-il, «les effets du ralentissement économique se font sentir». En particulier, les revenus tirés de l'impôt des sociétés ont fondu. Depuis le début de l'exercice, le gouvernement du Québec n'a récolté que 2,1 milliards de dollars à ce chapitre, une baisse de 19% par rapport à la période correspondante de 2007. Dans l'énoncé économique de novembre, le gouvernement avait prévu un recul de 4,7% de l'impôt des sociétés pour les 12 mois de l'exercice. Autre recul notable: les revenus tirés de la TVQ. En novembre, juste avant les Fêtes, Québec a enregistré une baisse de 14,7% de ses revenus de TVQ par rapport à novembre 2007, à 1 milliard de dollars. Pour les huit premiers mois de l'année, les revenus de TVQ sont en hausse de 1%. Les recettes tirées des sociétés d'État (Hydro, SAQ, etc.) ont également fondu en novembre, de 44,2%. Le gouvernement n'a donc pu engranger que 298 millions. À cet égard, Luc Monty souligne toutefois que «les résultats sont généralement meilleurs en fin d'exercice». L'économiste en chef adjoint du Mouvement Desjardins, Yves St-Maurice, estime qu'il est fort possible que les finances du Québec se dégradent au cours des prochains mois. Il ne s'avance toutefois pas à faire de projections. «Les données mensuelles sont très volatiles; il est très difficile d'en tirer des conclusions», dit M. St-Maurice. Hydro-Québec à surveiller De fait, les seuls résultats d'Hydro-Québec pour le premier trimestre de 2009 -les mois payants de l'année- peuvent changer le portrait. En 2007 et 2008, par exemple, Hydro avait enregistré des profits records excédant 1,4 milliard entre janvier et mars, soit environ la moitié des profits annuels. Au cours des dernières semaines, le premier ministre Jean Charest et la ministre des Finances, Monique Jérôme-Forget, n'ont pas exclu la possibilité de faire un déficit, du moins pour 2009-2010. Le Québec n'est pas le seul dans cette situation. Lundi, le premier ministre de l'Ontario, Dalton McGuinty, a averti que sa province accumulerait les déficits au cours des prochaines années, en raison de la récession. Certains prévoient même que l'Ontario enregistrerait un déficit de 5 milliards dès cette année, selon La Presse Ccanadienne. La Colombie-Britannique enregistrera également des déficits au cours des deux prochaines années, a indiqué le premier ministre, Gordon Campbell.
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