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  1. Nouveau projet Accès Condos Le Via3 rassemble trois types d’habitation en un projet résidentiel divers. On y retrouve des maisons de ville sur trois niveaux et des condos d’une ou de deux chambres à coucher sur un ou deux niveaux, de quoi répondre aux besoins de tout type de ménages. Ce projet mixte est réparti dans trois bâtiments distincts en bois-brique disposés de façon à créer, au centre, une cour intérieure toute en verdure, clairsemée par le feuillage d’arbres et de petits arbustes. C’est à la fois une superbe oasis de détente pour vos après-midis lecture et un espace sécuritaire dédié à une aire de jeux pour les plus petits. Outre la cour intérieure, le parc Lasalle, situé à seulement quelques coins de rue du Via3, offre une belle variété d’activités pour les personnes de tout âge. Ainsi, que vous aimiez pratiquer la natation, le baseball, le basketball, la planche à roulettes, le tennis ou même la pétanque, cet immense espace vert saura vous combler. Le quartier Lachine demeure avant tout familial et les alentours de l’ensemble résidentiel Le Via3 ne sont pas en reste. La charmante rue Provost est entre autres bordée par un bon nombre de restaurants, par des banques, des pharmacies, une boulangerie, une pâtisserie et une chocolaterie, tandis que les rues avoisinantes font place à des épiceries, un centre de la petite enfance, un centre de conditionnement physique, un aréna, une SAQ, ainsi que des services essentiels comme l’Hôpital de Lachine. SPÉCIFICATIONS** 42 unités réparties dans 3 bâtiments distincts. Bâtiment A : 11 unités de 3cc sur 3 niveaux. Bâtiment B : 7 unités de 3cc sur 3 niveaux. Bâtiment C : 1 studio sur 1 niveau, 1 unité de 1cc au rez-de-jardin, 8 unités de 1cc sur 2 niveaux, 7 unités de 2cc sur 1 niveau, 1 unité de 2cc sur 2 niveaux et 6 unités de 2cc+ sur 2 niveaux. Structure en bois, brique et béton. Insonorisation de qualité. Chauffage électrique, thermostats électroniques et climatisation de type bi-bloc (offerte en option). 37 places de stationnement intérieur (offertes en option) et 11 places de stationnement extérieur incluses dans le prix des maisons de ville du bâtiment B. Les unités du bâtiment C possèdent un espace de rangement désigné au niveau garage. http://www.accescondos.org/fr/projet-info/94/Projet-residentiel-Le-Via3/
  2. Nom : B-Loft Hauteur : Phase 1 : nouvel édifice ayant 17 unités sur 3 étages — Phase 2 : Conversion de l'Usine B en 55 unités Promoteur : Groupe Dargis Emplacement: 1830, rue Panet, dans le Village Début de construction : 2013 Fin de construction : 2014 (Phase 1), 2015 (Phase 2) Description : Lofts industriels allant de 406 à 1574 pi2 Le nouvel édifice sera construit dans le stationnement Une cour intérieure privée Un stationnement souterrain avec espaces de rangement Un cellier commun avec espaces privatifs Deux terrasses communes sur le toit offrant une vue panoramique sur Montréal (sur 2 niveaux différents) Un chalet urbain et un spa Des unités sur 2 étages, certaines avec une terrasse privée et d'autres avec une cour anglaise Prix : À partir de 186 900$ taxes incluses. Site web : http://www.jesuisloft.com/
  3. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Mentana Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 7 013 m² Implantation du bâtiment : 4 465 m² Taux d’implantation : 64 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20.5 m Surface totale du bâtiment : 21 511 m² Densité : 3.07 Nombre de logements : 152 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à utiliser la typologie le plus efficacement possible afin de maximiser l’emprise au sol et de proposer un bâtiment de 6 étages. Sur ce site, séparé en deux lot par la rue Boyer, le bâtiment épouse l’espace public, laissant peu d’espace résiduel non construit sur le périmètre externe. Les façades sur 4 côtés bénéficient de l’espace dégagé des voies publiques maximiser les ouvertures et les vues, spécialement sur le parc Laurier au sud. Afin de laisser pénétrer un maximum de lumière dans la cour, le niveau 6 est construit partiellement, offrant des terrasses extérieures privatives et des ouvertures. Le bâtiment entre Boyer et Christophe-Colomb, à cause de l’étroitesse du lot, bénéficie de cours ouvertes orientées vers le sud qui apportent une ensoleillement abondant à tous les logements, ainsi que des espaces verts qui bénéficient autant aux résidents qu’à l’espace public. Le projet atteint une densité de 3.07, valeur un peu inférieure aux petits projets de la rue Rivard et de la rue Drolet à cause de la nécessité de laisser la cour centrale non construite sur tout sa longueur.
  4. Emplacement: 781, rue Faillon Livraison: Printemps 2016 Nous sommes extrêmement fiers de vous présenter L'ARTISAN, le tout dernier projet signé KnightsBridge situé au coeur de Villeray. En plus d'héberger les futurs bureaux de l'entreprise, le projet comptera 9 unités résidentielles de 1 à 3 chambres et 8 garages, avec une architecture innovatrice à couper le souffle, signée AdHoc Architectes. 9 espaces de vie personnalisables Localisation stratégique, à quelques pas du parc Jarry et du Marché Jean-Talon Certification LEED® Platine (projeté) Construction répondant aux standards Novoclimat Planchers radiants (chauffants) dans toutes les pièces Cuisines et salles de bains sur mesure Insonorisation supérieure grâce au système breveté CALI Fenêtres architecturales en aluminium de première qualité pour une durablité, une insonorisation et une capacité isolante incomparables Fenestration maximisée sur 2 côtés Cour intérieure Chaque unité dispose de son propre espace extérieur privé Toiture blanche, verre énergétique low-e, chauffage radiant et autres caractéristiques pour créer des espaces sains et écologiques 8 stationnements intérieurs disponibles en option (30,000$ + taxes) Frais de condos très faibles via des espaces communs minimisés (12¢ / pied carré / mois)
  5. Un intéressant et complet dossier dans La Presse Affaires du Vendredi 19 mars lève le voile sur une nouvelle histoire de fraude majeure à Montréal. Une importante entreprise financière américaine, établie à Montréal, en est la principale victime. Quand est-ce que cela va arrêter?? Ces gens ne réalisent pas le dommage substantiel qu'ils font à notre économie? GE Capital: présumé détournement de fonds (Montréal) L'entreprise de financement GE Capital croit qu'elle a été victime d'un détournement de fonds. L'affaire touche trois entreprises de la construction et un petit encanteur de Montréal. L'institution, associée au géant General Electric, soupçonne un de ses cadres supérieurs de Montréal d'avoir participé à ce détournement d'au moins 1 million de dollars, entre 2007 et 2009. Les faits entourant cette histoire sont notamment relatés dans une requête déposée en Cour supérieure, le 3 février. Selon le document, l'ex-vice-président de GE Capital, Carlo Fargnoli, aurait fait trois versements inexpliqués totalisant 1 million à la firme JK Auction, un petit encanteur de Montréal. Les versements auraient été faits dans le cadre de financements pour la relance de trois entreprises de la construction lourde. Après enquête, GE Capital a soupçonné une fraude et congédié M. Fargnoli, le 18 janvier. Carlo Fargnoli travaillait depuis 2003 au siège social canadien de la multinationale, à Montréal. Il agissait à titre de vice-président, gestion des risques et restructuration. Les soupçons de GE Capital, faut-il préciser, n'ont pas été prouvés en cour. Selon la requête, les trois versements n'ont pas fait l'objet de vérifications diligentes et n'ont pas reçu les autorisations appropriées. De plus, les documents justifiant ces trois commissions seraient manquants. JK Auction, qui a reçu les fonds, est un encanteur sans adresse commerciale connue, selon la requête. JK est plutôt situé dans un haut de duplex résidentiel de la 40e Avenue, à Montréal. Son seul propriétaire, Jonathan Kruk, est un étudiant universitaire de 24 ans, selon la requête. Ce sont les contrôleurs financiers de GE Capital qui ont levé des drapeaux rouges sur cette affaire, l'été dernier. «Ils ont observé que certains comptes non rentables étaient refinancés à répétition avec des fonds additionnels de GE malgré leur non-rentabilité et que des montants significatifs d'argent comptant étaient utilisés pour financer les transactions de restructurations, sans documents appropriés», est-il écrit dans la requête. Selon une enquête de La Presse Affaires, GE Capital a perdu 14 millions de dollars dans la faillite de deux des trois groupes de construction en cause (voir autre texte en page 2). Carlo Fargnoli a été rencontré en septembre et en décembre par des responsables de GE. Il aurait reconnu ne pas avoir fait de vérification diligente sur JK Auction et n'aurait pu fournir de justifications précises pour les paiements totalisant 1 million, soutient la requête. Carlo Fargnoli aurait expliqué que JK Auction servait d'intermédiaire pour acquérir, détenir et revendre les actifs d'entreprises en restructuration pour le compte de GE, selon la requête. JK Auction recevait des commissions pour chacun de ces dossiers pour effectuer le transit des actifs, aurait dit M. Fargnoli. Toujours selon la requête, les commissions étaient négociées uniquement entre lui et M. Kruk. GE a demandé à Jonathan Kruk d'obtenir une copie des documents financiers et des états de compte bancaires de JK, mais ce dernier aurait refusé, selon la requête. GE n'aurait pas davantage été en mesure de rencontrer M. Kruk en personne. Construction Selon la requête, GE examine de possibles autres transferts de fonds non conformes à JK dans d'autres dossiers de restructuration. Pour le moment, les trois entreprises en restructuration nommées dans la requête viennent du secteur de la construction. Il s'agit d'Atlas Asphalte, d'Excavations D.P. et de Béton Grilli. Dans le dossier d'Atlas Asphalte, le transit d'actifs par JK Auction aurait donné lieu à une «commission» de 300 000$, en décembre 2007. GE avait alors fait un prêt de quelque 5 millions de dollars dans le cadre de la relance de l'entreprise, selon des documents dont nous avons copie. À l'automne 2008, Atlas a vu ses actifs réunis à ceux d'Excavations D.P. La transaction a de nouveau été financée par GE Capital et a encore donné lieu à un versement de 300 000$ à JK Auction, indique la requête. Le refinancement s'élevait à quelque 13 millions, selon des documents en cour. Enfin, dans le cas de Grilli, GE a fait un prêt de 5,8 millions dans le cadre d'une restructuration, remplaçant la Banque de Montréal comme prêteur. Le transit d'actif a une fois de plus débouché sur une commission non documentée de 400 000$ à JK, en mars 2007, selon la requête. Pour tirer l'affaire au clair, GE Capital s'est adressée à la Cour supérieure pour obtenir l'accès aux documents bancaires de JK Auction détenus par une succursale de TD Canada Trust, rue Chabanel, à Montréal. Dans ses démarches en cour, GE utilise une procédure rare appelée ordonnance Norwich. Poursuite pour diffamation GE marche sur des oeufs dans cette affaire. L'entreprise fait l'objet d'une poursuite de 4,7 millions de dollars pour diffamation de la part de Carlo Fargnoli. La requête a été intentée en novembre 2009 après que M. Fargnoli eut été, dans un premier temps, démis de ses fonctions avec solde. Carlo Fargnoli soutient dans sa requête que GE l'a diffamé en le liant à des activités criminelles. En septembre dernier, le supérieur de M. Fargnoli l'avait rencontré pour lui dire que l'entreprise avait des préoccupations à son sujet concernant sa participation à des activités liées «au monde interlope et aux crimes en cravate». En réplique à cette poursuite, GE demande le rejet de la requête, car elle soutient, entre autres, qu'elle n'a pas diffusé de tels propos à l'extérieur de l'entreprise et qu'elle ne peut donc être accusée de diffamation. L'entreprise veut tout de même se protéger: dans sa requête Norwich impliquant JK, elle demande que les procédures soient mises sous scellé, entre autres pour éviter de nuire à la réputation de M. Fargnoli advenant qu'il soit innocent. GE Capital: documents disparus, suicide et pertes étranges (Montréal) Une série d'événements troublants entourent l'un des principaux dossiers sur lesquels enquête GE Capital, dont un suicide, la disparition de documents comptables et des pertes inexpliquées. Voici ce que La Presse Affaires a appris. Les institutions financières brassent beaucoup d'argent, mais ce n'est pas tous les jours qu'elles perdent 14 millions de dollars avec un seul dossier. C'est pourtant ce qui est arrivé à GE Capital dans une affaire qui touche des entreprises de la construction de Montréal. Les problèmes de GE ont pris naissance à l'automne 2007. À l'époque, l'entrepreneur Joe Iacovelli cherchait ardemment des fonds pour assurer la survie de son entreprise Atlas, qui offrait des services de pavage et de déneigement. GE Capital accepte alors de prêter quelque 5 millions de dollars à Atlas, moyennant des garanties sur tous les équipements. L'affaire est bouclée le 27 novembre 2007, selon les documents en Cour, au grand plaisir des créanciers d'Atlas. Mais le plaisir est de courte durée. Deux mois plus tard, en janvier 2008, l'entreprise fait une série de chèques sans provision, malgré les nouveaux fonds de GE Capital. Le créancier qui s'en plaint est Revenu Québec. Après avoir interrogé Joe Iacovelli, Revenu Québec conclut que l'homme d'affaires a perdu le contrôle de son entreprise aux mains de tierces parties inconnues. «Joe Iacovelli prétend que de fausses factures sont émises par des tiers au nom d'Atlas et que d'importantes sommes sont ainsi encaissées dans des centres d'encaissement, comme si Atlas cherchait à cacher des revenus au détriment des créanciers», écrit Revenu Québec dans une requête en Cour supérieure. Toujours selon cette requête, Joe Iacovelli a dit à Revenu Québec que «Atlas serait totalement étranger à ces opérations et n'en tirerait aucun profit». Un suicide Face à ce constat, Revenu Québec demande à la Cour, en avril 2008, de nommer un séquestre pour contrôler les entrées et sorties de fonds chez Atlas. La firme Litwin Boyadjian entre donc en scène. «Mon mandat n'était pas de vérifier les allégations de Revenu Québec, non prouvée en Cour, mais de contrôler les activités. Je n'ai rien vu de bizarre sous mon contrôle jusqu'à la mauvaise nouvelle», a dit Noubar Boyadjian à La Presse Affaires. La mauvaise nouvelle concerne Joe Iacovelli. Le 5 juin 2008, l'homme dans la soixantaine est retrouvé mort dans sa résidence. Il s'est suicidé, nous confirme Noubar Boyadjian. «Monsieur avait beaucoup de dettes», nous dit M. Boyadjian. Avec la perte de son principal dirigeant, Atlas a dû être de nouveau restructuré. Le financier GE Capital trouve parmi ses clients des repreneurs, également dans le secteur de la construction, soit l'homme d'affaires Piero Di Iorio et sa femme Danielle Poitras. À l'automne 2008, GE prête donc près de 6 millions aux entreprises de Piero Di Iorio pour racheter les actifs d'Atlas. En plus, GE Capital accepte de verser 7 millions pour refinancer les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, selon des documents en Cour. Financement total: 13 millions. Parmi les autres entreprises du couple Di Iorio/Poitras, mentionnons D.P. Excavations, mais également Location d'auto Fantaisie, une firme qui loue des Porsche, des Ferrari, des Hummer et autres voitures de luxe. En échange des fonds, GE prend en garantie tous les actifs de ces entreprises, par exemple les camions à benne, les bulldozers, les chasse-neige et les immeubles. Il s'agit d'une pratique courante dans l'industrie bancaire. Ainsi, en cas de faillite, GE pourra saisir les biens et se faire rembourser sa dette en priorité sur les autres créanciers. Mais encore une fois, la relance tourne court. Dès janvier 2009, D.P. commence à accumuler des défauts de paiement malgré le refinancement, indique une requête en Cour supérieure. Coup sur coup, les entreprises de Piero Di Iorio sont donc placées en faillite au cours des mois suivants. Ces entreprises doivent quelque 29 millions de dollars à leurs 310 créanciers, dont 18,4 millions à GE Capital, si l'on inclut les intérêts cumulés. »Crimes en cravate»? Les contrôleurs de GE Capital ne restent pas inactifs devant ces financements non rentables à répétition. Le 11 septembre, l'entreprise suspend le vice-président responsable de ces dossiers, Carlo Fargnoli. Selon une autre requête en Cour, l'entreprise soupçonne Carlo Fargnoli d'être lié «au monde interlope et aux crimes en cravate». Pour récupérer son dû, GE mandate le syndic de faillite Aberback & Lapointe. Le syndic tente alors de saisir les biens des entreprises de Piero Di Iorio, mais il appert que la partie n'a pas été facile. En arrivant au siège social du groupe, rue La Martinière, à Rivière-des-Prairies, le syndic aurait été accueilli par des «menaces de vol et de bris d'équipement», selon une requête en Cour. Toujours selon la requête, Aberback & Lapointe aurait constaté que le disque dur de l'ordinateur principal aurait été «arraché» et que les documents importants de l'entreprise auraient disparu. Enfin, certains des camions et des chargeuses-pelleteuses (pépines) à saisir auraient été introuvables. Aberback finit par retracer le matériel sur divers chantiers de Montréal, certains financés par des fonds publics. Parmi eux, mentionnons le chantier du manège militaire de la rue Notre-Dame, dans l'est de Montréal, et celui de l'École des métiers de la construction, rue Parthenais. Une perte de 25 millions Les équipements sont finalement saisis et vendus à l'encan, en février. Mais surprise: le matériel ne vaut qu'une fraction des créances de l'entreprise. Au total, la valeur nette des biens saisis, immeubles compris, ne dépasse guère 4 millions de dollars, nous indique Pierre Martin, représentant d'Aberback & Lapointe. Autrement dit, la perte des créanciers du groupe s'élève à 25 millions, soit l'écart entre les créances totales (29 millions) et la valeur nette (4 millions). Les créanciers ordinaires ne toucheront rien, puisque les dettes de GE, garanties, ont priorité. Malgré cette priorité, la perte de GE dans cette affaire s'élève à plus de 14 millions de dollars. «L'écart entre la valeur des biens et la dette est très élevé, effectivement. Pour le moment, c'est difficile à expliquer. Mais éventuellement, on fera enquête et on cherchera à voir s'il y a des transactions révisables», nous a dit M. Martin.
  6. Alléluia! Publié le 15 avril 2015 à 09h51 | Mis à jour à 10h40 Prière: défaite de Jean Tremblay en Cour suprême HUGO DE GRANDPRÉ La Presse (Ottawa) Le maire Jean Tremblay perd sa longue bataille judiciaire: la Cour suprême du Canada a ordonné mercredi de cesser la récitation de la prière lors des conseils municipaux de la Ville de Saguenay. Selon le plus haut tribunal du pays, la récitation de cette prière contrevient au principe de neutralité de l'État en matière religieuse et porte atteinte de manière discriminatoire à la liberté de religion du plaignant, Alain Simoneau, un ancien résidant de la ville et militant du Mouvement laïque québécois. « La récitation de la prière aux séances du conseil constitue avant tout une utilisation des pouvoirs publics par le conseil dans le but de manifester et de professer une religion à l'exclusion des autres », a écrit le juge Clément Gascon au nom de ces collègues. Or, « l'État ne peut se livrer sciemment à une profession de foi ou agir de façon à adopter ou favoriser une perspective religieuse au détriment des autres », a ajouté le juge québécois dont il s'agissait du premier jugement depuis la nomination dans la foulée de la controverse entourant celle du juge Marc Nadon. Le jugement unanime qui infirme celui rendu par la Cour d'appel du Québec pourrait avoir des répercussions partout au Canada, où plusieurs dossiers semblables avaient été mis sur la glace en attendant l'issue du litige québécois, dont en Ontario. [...] http://www.lapresse.ca/actualites/justice-et-affaires-criminelles/actualites-judiciaires/201504/15/01-4861283-priere-defaite-de-jean-tremblay-en-cour-supreme.php
  7. Condos urbains U30 Illustration fournie par Les Placements Alto 10. Condos urbains U30 9125, rue Airlie (près de la 80e Avenue) 30 appartements en copropriété Promoteur et constructeur: Les Placements Alto Un Architecture Superficie: de 1090 à 1442 pieds carrés. Prix: d'environ 210 000$ à environ 278 500$ (taxes en sus, une place de stationnement intérieur incluse). La construction devrait commencer en mars. Le complexe sera construit à l'emplacement d'un ancien édifice commercial qui sera démoli sous peu, entre une garderie et un duplex. Il comptera trois étages au niveau de la rue et sera surmonté de six mezzanines, en retrait. L'édifice sera en forme de U afin d'aménager une cour intérieure. Les futurs copropriétaires auront une vue sur le jardin et jouiront ainsi d'une plus grande quiétude. Ceux qui occuperont l'étage supérieur pourront voir le fleuve Saint-Laurent. Une terrasse, par ailleurs, sera aménagée sur le toit. Les stationnements seront souterrains. Les futurs copropriétaires devraient emménager en août prochain. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  8. Une autre rénovation dont on parle sur Cyberpresse. L'ancienne station d'électrification de la Shawinigan Water and Power Company, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, est en train d'être convertie en une coop d'habitation certifiée LEED or et Novoclimat.
  9. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Drolet-Villeneuve Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 1 013 m² Implantation du bâtiment : 615 m² Taux d’implantation : 61 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20 m Surface totale du bâtiment : 3 690 m² Densité : 3.64 Nombre de logements : 34 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à implanter un bâtiment de 6 étages dans un contexte dense de bâtiments résidentiels de 2 et 3 étages, sur un site offrant des dégagements et en bordure d’un parc au sud. En doublant le nombre d’étage par rapport au maximum autorisé de 3, une densité de 3.64 est obtenue, soit 73% supérieure au maximum autorisé de 2.1. La typologie en forme de C donne une implantation au sol de 61%. Cette valeur est inférieure au maximum permis de 70% mais offre une cour arrière qui favorise l’ensoleillement des espaces de vie. Les étages 5 et 6 sont en retraits, mais visibles de la rue, afin de réduire les ombres portées, de donner plus de légèreté et de verticalité au bâtiment et d’offrir des balcons aux logements supérieurs.
  10. 09/07/2007 Des proches du Parti conservateur souhaitent la construction d'un parc thématique près de l'échangeur Turcot, à Montréal, où se marieraient les activités récréotouristiques et sportives, l'environnement et la biotechnologie. Cet ambitieux projet, dont l'un des penseurs est l'ancien président du comité exécutif de Montréal sous Pierre Bourque, Jean Fortier, se chiffre à plusieurs milliards de dollars. M. Fortier voit dans ce rêve l'occasion de faire un véritable «Central Park» montréalais. Baptisé «Lac à la Loutre», le projet envisage de creuser un véritable lac sur les terrains de l'ancienne cour de triage Turcot, à l'endroit où se trouvait jadis le lac à la Loutre, avant son remblaiement, au XIXe siècle. Un vaste parc boisé serait aménagé avec terrasses et restaurants autour du nouveau plan d'eau, qui permettrait la navigation de plaisance à partir du canal de Lachine. Des résidences luxueuses pourraient également être bâties dans le secteur ouest du parc, selon le document de présentation du projet consulté par Le Devoir. Le boisé de la falaise Saint-Pierre y serait intégré. Le long de la rue Notre-Dame Ouest, une ligne de tramway traverserait le parc d'ouest en est et permettrait de relier Dorval au Vieux-Montréal. L'espace ne manque pas, puisque la cour de triage fait près de 100 hectares. En comparaison, le parc Lafontaine a une superficie de 36 hectares. D'ailleurs, les instigateurs du projet Lac à la Loutre voient grand. Jusqu'à présent, parmi les idées mentionnées pour l'utilisation de ce site après 2015, on songe surtout à implanter des projets industriels et commerciaux sur le site de l'ancienne cour de triage. Rappelons que Transports Québec a racheté celle-ci en 2003. «Ce n'est pas une proposition précise, c'est une illustration de ce qu'on pourrait faire», précise Jean Fortier, en entrevue au quotidien montréalais. «Mais s'il y a une réfection de l'autoroute, pourquoi ne pas intégrer cette autoroute dans un parc? Pourquoi ne pas faire quelque chose d'intéressant d'un point de vue urbanistique et environnemental?», demande-t-il. Plus à l'est, au sud de l'échangeur Turcot, un stade de 15 000 à 25 000 places pourrait voir le jour. L'endroit est idéal, selon M. Fortier, puisqu'il se situe au carrefour des autoroutes, qu'il est facile d'accès et qu'il offre des possibilités de stationnement. Le secteur immédiat du nouvel échangeur pourrait aussi accueillir un «aménagement urbain» comprenant restaurants et commerces. Le tout se marierait au pôle biotechnologique qu'on souhaite voir s'établir à l'est de l'échangeur Turcot et au sud de la rue Saint-Jacques, afin d'y attirer des entreprises du secteur.
  11. Une cour d'appel des États-Unis rejette les arguments d'un groupe de créanciers qui s'opposent au plan de restructuration de Chrysler. Ceux-ci s'adresseront à la Cour suprême. Pour en lire plus...
  12. L'avocat de Vincent Lacroix estime que la Cour d'appel doit réduire à un maximum de cinq ans la peine de huit ans et demi de son client. L'affaire devrait être entendue le 27 février. Pour en lire plus...
  13. Un juge de la Cour fédérale de New York a rejeté mercredi une nouvelle demande du parquet visant à l'incarcération du financier américain Bernard Madoff. Pour en lire plus...
  14. Que Nortel émerge ou non de sa restructuration avec la protection de la cour et peu importe la forme prise par ses divisions, la donne changera profondément. Pour en lire plus...
  15. Les dirigeants de la compagnie se sont rencontrés à Toronto, mardi soir, pourenvisager d'avoir recours à la Loi sur les arrangements avec les créanciers. Pour en lire plus...
  16. Les deux provinces pourraient demander à la Cour suprême du Canada de trancher au sujet de la création, par le gouvernement Harper, d'une commission pancanadienne des valeurs mobilières. Pour en lire plus...
  17. Conrad Black s'adresse à la Cour suprême des États-Unis dans l'espoir de pouvoir faire renverser son verdict de culpabilité pour fraude et entrave à la justice. Pour en lire plus...
  18. Dans une décision rendue sans motifs, jeudi, le plus haut tribunal du pays a donné la permission aux réseaux de télévision et aux télédistributeurs de contester un jugement de la Cour d'appel fédérale qui leur est défavorable. Pour en lire plus...
  19. L'ancien président de Norbourg demandera formellement que les frais judiciaires qui seront encourus pour ses procès à venir et ceux de ses acolytes soient remboursés. Pour en lire plus...
  20. Un groupe de consommateurs d'électricité, qui s'estiment lésés, remet en cause devant la Cour supérieure le fonctionnement d'Hydro-Québec, qu'ils dénoncent comme une fiction juridique. Pour en lire plus...
  21. La Cour suprême du Canada interdit la commercialisation du clopidogrel de l'entreprise Apotex, une version générique du plavix, un anticoagulant fabriqué par Sanofi-Aventis. Pour en lire plus...
  22. L'Autorité des marchés financiers (AMF) accuse le président de la Consolidated Thompson Iron Mines, Richard Quesnel, de délit d'initié et dépose quatre chefs d'accusation devant la Cour du Québec. Pour en lire plus...
  23. BAE-Newplan Group, une filiale de SNC-Lavalin, a déposé une poursuite de 20,6 M$ le 1er octobre devant la Cour suprême de Terre-Neuve-et-Labrador. Pour en lire plus...
  24. Dans la foulée de l'ordonnance finale obtenue de la Cour supérieure de l'Ontario, le fonds BFI pourra devenir BFI Canada Limited, une société par actions. La conversion devrait être complétée le 1er octobre. Pour en lire plus...
  25. Après des mois d'attente, le plan de restructuration des 32 milliards de dollars de papier commercial adossé à des actifs pourra être appliqué. Pour en lire plus...
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