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Arsenic

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  1. Voilà une idée très intéressante. Un toit rigide transparent (avec au besoin des toiles ou panneaux rétractables à l'intérieur) pourrait constituer un bon compromis entre un toit rigide non rétractable et un toit rétractable (rigide ou non). Ce serait probablement plus acceptable par la population qu'une énième toile, et ce serait sûrement plus léger que ce dont rêve SNC-Lavallin.
  2. Même si l'analogie de ToxiK était bonne, on serait tout de même très bien placés pour faire la morale aux Albertains. Publié le 27 juillet 2016 à 16h30 | Mis à jour le 27 juillet 2016 à 16h30 Les ménages montréalais champions canadiens en matière de GES La Presse Canadienne VANCOUVER Les ménages montréalais génèrent en moyenne près de quatre fois moins de gaz à effet de serre que ceux d'Edmonton, indique une étude de l'Université de Colombie-Britannique rendue publique mercredi. L'étude porte sur les émissions d'un foyer moyen dans plusieurs grandes villes un peu partout au Canada, de 1997 à 2009. Elle s'appuie sur des facteurs tels que le climat, la densité de la population et le type d'énergie consommée pour le chauffage et l'électricité. Les ménages montréalais trônent au sommet du palmarès, ne générant en moyenne que 5,4 tonnes de gaz à effet de serre (GES) par an grâce à l'utilisation répandue de l'hydroélectricité. La forte densité de la population dans la métropole québécoise permettrait également aux automobilistes de minimiser leurs déplacements et, ainsi, de modérer leur consommation de carburant. La ville d'Edmonton, suivie de près par Calgary, occupe le dernier rang au pays avec une moyenne annuelle de 20,7 tonnes de GES par ménage, notamment en raison de son utilisation du charbon et de l'éparpillement de sa population. Les températures très froides de ces deux villes albertaines expliquent aussi leur importante consommation d'énergie pour garder les maisons au chaud. [...] «Les implications de notre analyse sont assez simples, avance le rapport. Si nous encourageons la densification urbaine et la mise au point d'énergies qui génèrent peu de dioxyde de carbone, les ménages produisent moins de GES.» «Une personne qui vit à Montréal peut marcher jusqu'à l'épicerie, accompagner à pied ses enfants jusqu'à l'école. Elle n'a pas à se rendre partout en automobile, tandis qu'à Edmonton, c'est malheureusement le cas», a expliqué le professeur Sumeet Gulati, un des auteurs de l'étude. [...] Palmarès des émissions moyennes de GES par ménage Montréal: 5,4 tonnes Vancouver: 7,2 tonnes Winnipeg: 8,1 tonnes Toronto: 9,6 tonnes Regina: 16,3 tonnes Calgary: 18,2 tonnes Edmonton: 20,7 tonnes http://www.lapresse.ca/environnement/pollution/201607/27/01-5004978-les-menages-montrealais-champions-canadiens-en-matiere-de-ges.php
  3. Arsenic

    Le Brexit

    Brexit Will Put the U.S. Back Atop the World GDP Rankings Without the U.K., the EU will lose its claim to the world's largest economy By JOSH ZUMBRUN Jun 29, 2016 5:30 am ET When European Union negotiators sit down to talk trade deals, they have long been able to claim to represent the largest economy in the world. With all its member countries, the economy of the EU is larger than the United States and larger than China, by most measures. Brexit is set to change all that. Now that voters in the United Kingdom have voted to leave the EU, the common market will soon no longer include the U.K.’s $2.8 trillion economy. And without that, the EU will no longer rival the U.S. in size for the foreseeable future. THE WALL STREET JOURNAL The International Monetary Fund‘s estimates and forecasts of gross domestic product , issued in its April World Economic Outlook, tell the story. The size of the economy of the European Union surpassed the U.S. decisively in 2004, when it expanded to add 10 additional nations in Eastern Europe, including Poland, the Czech Republic and Hungary. By 2008, the economy of the European Union was $5 trillion bigger than the U.S., according to the IMF’s data. Then Europe struggled to recover from the global financial crisis, and many members of the EU, including Greece, Italy, Ireland and Spain, found themselves embroiled in fiscal crisis. The U.S., by contrast, rebounded more quickly. The U.S. dollar strengthened, meaning the U.S. also gained, relative to the EU, because of the exchange rate. In short, the U.S. was already poised to overtake the EU. Without the U.K., the EU will fall even more decisively behind. That’s before taking into account any economic damage that could result to the U.K. and the EU from the potentially messy divorce. The IMF’s April report — which didn’t assume Brexit would happen — forecast the U.S. economy would grow to about $18.6 trillion in 2016. The EU countries without the U.K. were forecast to be just $13.7 trillion. The diminished EU will also be overtaken by China by the end of the decade. With the U.K. still a member, the EU would have remained larger into at least the 2020s. Adding some insult to injury, the U.K. will be passed by India around the end of the decade as well. [...] Now the most interesting question will be what happens to the U.K going forward. The largest remaining constituent economies of the EU are Germany, France and Italy. Germany is the largest. The U.K. is larger than France by some measures, but not others. A Brexit-caused recession could push it behind France on every measure. If the recession is severe enough, the U.K. could potentially fall behind Italy by every measure, too. http://blogs.wsj.com/economics/2016/06/29/brexit-will-put-the-u-s-back-atop-the-world-gdp-rankings/
  4. C'est Vienne, qu'on voyait d'ailleurs dans le dernier Captain America.
  5. C'est effectivement très intéressant, c'est pourquoi j'ai pris la peine d'investiguer un peu plus le sujet. L'entreprise en question s'appelle SORAA. Sur son site, on retrouve le spectre de cette fameuse DEL. J'ai reproduit le graphique ici en y ajoutant deux choses, soit premièrement, en rouge, le spectre des DEL 4000 K que la Ville a l'intention d'installer et ensuite, en trait pointillé bleu pâle, le spectre de suppression de la mélatonine (la hauteur de celui-ci est tout à fait arbitraire, de toute façon, les unités ne sont pas les mêmes). Plus cette courbe est haute, plus la longueur d'onde est efficace pour inhiber la production de mélatonine. En gros, pour évaluer un type d'éclairage donné, il faudrait calculer l'aire sous la courbe de la fonction obtenue en multipliant celle du spectre d'émission par celle de la suppression de la mélatonine. Ce n'est pas vraiment évident à faire sans avoir les données sous la main, mais on peu tout de même constater en regardant ce graphique que ces nouvelles DEL seraient de beaucoup préférables aux DEL 4000 K (blanc froid). Je n'en ai pas vu en vrai, mais le spectre porte à croire que le rendu des couleurs serait meilleur qu'avec n'importe quelle autre type de DEL. C'est d'ailleurs ce que prétend la compagnie sur son site, mais c'est assez facile à croire compte tenu du fait que toute l'étendue du spectre visible est couverte (et de façon un peu plus équilibrée). D'autre part, la compagnie prétend (ce qui n'a rien d'invraisemblable) que ces DEL sont plus efficaces (plus de lumen/watt), ce qui impliquerait des économies accrues au niveau de l'alimentation. Leur durée de vie (toujours selon la compagnie) étant très bonne (35 000 heures), il resterait à comparer le coût que la Ville peut espérer payer avec ce qu'elle s'apprête à dépenser en DEL 4000 K, mais c'est probablement tout à fait comparable. Bref, sans être absolument idéale, cette option m'apparait nettement préférable aux DEL 4000 K (surtout pour la santé, probablement un peu pour l'efficacité énergétique) et aux DEL 2700/3000 K (probablement pour la santé et surtout pour l'efficacité énergétique), donc je serais tout à fait à l'aise avec la décision de la Ville si elle se tournait vers cette technologie. En tout cas, j'espère au moins que cette option sera étudiée si les autres alternatives sont écartées.
  6. J'ai écrit mon message précédent un peu à la va-vite, donc voici quelques explications supplémentaires. Premièrement, lorsque Shuji Nakamura parle de développer des DEL blanches fonctionnant à la lumière violette plutôt que bleue, il fait référence à la dégradation de la vue qui serait possiblement attribuable à une exposition très prolongée à la lumière bleue. Là-dessus, il n'a pas tort, le recours aux lampadaires à DEL blanches ne risque pas d'avoir un impact significatif. Le problème est en fait ailleurs, et là je ne parle pas d'hypothèses, mais bien de réalités scientifiques avérées. Le cycle circadien humain est principalement régulé par le taux de mélatonine, qui est lui même d'abord et avant tout régulé négativement par la détection de la lumière bleue par la mélanopsine, une protéine présente chez des cellules ganglionnaires spécialisées (et non chez les cônes bleues, qui permettent de voir le bleu). Pendant le jour, il est tout à fait normal d'être exposé à une quantité très importante de lumière bleue, qui nous provient évidemment du Soleil. Pendant la nuit, en l'absence de lumière bleue, il n'y a plus de répression de la production de mélatonine. Son taux augmente, ce qui participe au sentiment de fatigue. Ceci dit, la mélatonine joue aussi un rôle dans la réparation des dommages à l'ADN, ce qui expliquerait la hausse du risque de cancer attribuable à l'éclairage artificiel nocturne (voir par exemple cette étude de 2013, qui a constaté une hausse de 30 % du risque de développer certains cancers chez les gens qui travaillaient de nuit). Retenez que ce n'est pas la lumière bleue de façon générale qui cause le cancer, mais c'est plutôt le fait d'y être excessivement exposé pendant la nuit qui augmente les risques. Actuellement, les DEL "blanches" fonctionnent en produisant de la lumière bleue, dont une partie est absorbée par une couche de phosphore qui, par fluorescence, émet alors de la lumière verte-jaune-orange-rouge, ce qui donne au final un blanc relativement froid. Les DEL blanches dont rêve M. Nakamura produiraient donc un pic à une longueur d'onde un peu plus basse (dans le violet plutôt que dans le bleu), puis le principe serait le même. Ça permettrait de calmer les craintes de ceux qui redoutent les dommages à la vision potentiellement causés par le bleu, mais ça n'aurait pas vraiment d'effet sur la répression de la production de mélatonine. Ceci dit, il existe parmi les DEL plusieurs alternatives aux DEL blanches "normales." En plus des fameuses DEL ambrées, qui produisent un pic dans le jaune-orange plutôt que dans le bleu (et sont donc absolument inoffensives par rapport à la mélatonine), il y a des variantes utilisant un filtre bloquant le bleu ou convertissant tout simplement davantage de bleu en vert-jaune-orange-rouge. Vous pouvez donc voir ci-dessous le spectre d'émission d'une DEL blanche normale (ça varie légèrement d'une compagnie à l'autre, mais ça ressemble grosso modo à ça), puis celui d'une DEL "blanc chaud" (warm white). c'est-à-dire produisant moins de bleu et plus des autres couleurs. La couleur qui en résulte a l'air plus naturelle selon moi (certains modèles plus sophistiqués réussissent étonnament bien à imiter le spectre d'une chandelle), mais a surtout l'avantage d'inhiber beaucoup moins la production de mélatonine. L'idéal demeure les DEL ambrées, mais les DEL "blanc chaud" peuvent représenter un certain compromis si la couleur est vraiment une préoccupation. Blanc froid http://www.ledmuseum.candlepower.us/led/specx18.htm Blanc chaud http://ledmuseum.candlepower.us/specx63.htm
  7. Si l'on définit la "pollution lumineuse" comme étant la quantité de lumière qui est envoyée dans le ciel toutes longueurs d'onde confondues, alors oui, tu as raison, ces lampadaires en envoient moins. Le problème, c'est que toutes les longueurs d'onde de se valent pas. Alors que la plupart d'entre elles sont plutôt inoffensives, les plus courtes et en particulier le bleu interagissent d'une part davantage avec l'atmosphère terrestre (à cause de sa composition, qui favorise la diffusion de Rayleigh) et, d'autre part, avec le cycle circadien humain (qui est principalement régulé par une longueur d'onde particulière de bleu, ce qui n'est pas surprenant compte tenu du fait que jusqu'à très récemment, le seul éclairage artificiel dont disposaient les humains était le feu). En raison de ces deux faits, la lumière bleue nocturne (il est important de le préciser) éclaircit non seulement plus le ciel que les autres, mais a aussi un impact réel sur la santé humaine (allant jusqu'à augmenter l'incidence de cancers). C'est pourquoi on a tout intérêt à minimiser l'utilisation inutile de lumière bleue pendant la nuit. D'autre part, l'orientation est beaucoup moins importante que la couleur, car la proportion de la lumière qui est réfléchie par le sol est non négligeable, variant d'environ 10 % pour l'asphalte (plus ou moins selon son âge) à jusqu'à 90 % pour la neige, qui n'est pas à négliger dans le cas de Montréal. Dans le cas du béton, ça tourne autour de 50 %. Vous vous dites peut-être qu'une "élimination" de 90 % (dans le cas de l'asphalte) est très efficace, mais les 10 % restants sont en fait assez énormes comparés au pourcentage de lumière bleue qui serait émise par une lampe au sodium, par exemple. C'est un peu comme les impôts. Le gouvernement recevra énormément plus d'argent en prélevant 1 % d'un million que 100 % de 25 ¢... Remplacer le taux d'imposition par le pourcentage de lumière qui remonte vers le ciel et le montant total par la quantité de lumière bleue émise par le lampadaire et vous comprendrez que même un lampadaire à DEL blanche "directionnel" envoie beaucoup plus de lumière bleue dans le ciel qu'un vieux truc au sodium mal conçu. Les DEL ont tout de même l'avantage d'engendrer d'énormes économies, qui s'expliquent principalement par le fait qu'il s'agit d'une technologie immensément plus efficace qu'à peu près tout ce qui se faisait auparavant (il y a beaucoup, beaucoup moins d'énergie qui est perdue en chaleur). Mais avons nous vraiment à choisir entre de grosses économies d'un côté et, de l'autre, la protection de la santé publique et du ciel étoilé? Et bien non, justement, car il existe des DEL qui ne produisent à peu près pas de lumière bleu ET qui permettent d'engendrer des économies comparables à celles des DEL blanches normales. Et on ne parle pas d'une patente à gosses en développement dans un laboratoire obscure. En Estrie, plusieurs municipalités avoisinant le Mont-Mégantic (et sa "réserve de ciel étoilé") ont effectué la transition et sont parvenues à minimiser la pollution lumineuse. Depuis un an ou deux, à Sherbrooke, tous les lampadaires devant être remplacés le sont par des DEL ambrées. Si Montréal suivait cet exemple, elle pourrait se positionner comme une métropole avant-gardiste plutôt que de devoir admettre dans 20-25 ans que ce choix aura été une erreur...
  8. Voici la présentation du projet. http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/docs/page/transports_fr/media/documents/20160324_rencontre%20residents_final.pdf
  9. Les questions sont tellement orientées que ça en dit plus long sur les positions de l’Institut économique de Montréal que sur celles des Québécois en général. Q1 : Actuellement, le Québec doit importer de l’extérieur (de l’Ouest canadien ou de l’étranger) tout le pétrole qu’il consomme. Selon vous, est-il préférable que le Québec exploite ses propres ressources pétrolières ou qu’il continue d’importer de l’extérieur 100% du pétrole nécessaire à sa consommation? Évidemment, il n'est aucunement question des alternatives comme se tourner vers notre hydroélectricité, fabriquer nos propres biocarburants ou tout simplement réduire notre consommation de pétrole... Q2 : Selon vous, est-il préférable que le pétrole importé de l’extérieur du Québec provienne... Le biais est ici bien moins dans la question elle-même que dans l'interprétation que les médias (et ultimement le public) en font. On essaie d'en venir à la conclusion que les Québécois sont donc pour Énergie Est, alors que ce projet n'est pas principalement destiné à approvisionner le Québec en pétrole canadien. Q3 : À votre avis, lequel des moyens suivants est le plus sécuritaire pour transporter le pétrole? Encore là, on essaie de prouver que les gens veulent de ce pipeline parce qu'ils préfèrent le pipeline aux autres modes de transport, alors qu'on sait très bien que le pétrole qui l'empruntera serait autrement resté dans le sol. Il n'y aura vraisemblablement pas un seul train ni camion rempli de pétrole en moins circulant sur nos routes une fois le projet complété. Si le pipeline permettait de remplacer le transport par trains et camions, alors là, ce serait une autre histoire.
  10. Il ne fait aucun doute que ce n'est aucunement structural. Et pour voir de quoi ça aurait à peu près eu l'air sans les bandes verticales, il suffit de revenir quelques pages en arrière... et imaginer que les petites excroissances métalliques ne sont pas là non plus. Est-ce vraiment mieux? Bof...
  11. Il me semble assez évident que ces passerelles ont des fins plus esthétiques qu'utilitaires (ce qui ne les rend pas nécessairement superflues pour autant).
  12. Et le pont est censé durer jusqu'aux alentours de 2144... mais de toute façon, ce serait probablement rentable avant ça. On est peut-être pas rendus là pour l'instant, mais les ponts chauffants pourraient très bien être la norme dans un futur pas très éloigné. Quant au fait qu'on a pas de surplus en hiver, il serait un peu présomptueux de postuler que ce sera encore le cas dans dix, vingt ou cent ans...
  13. En fait, ça représenterait probablement des économies non négligeables sur la durée de vie du pont*, mais je ne crois pas que le gouvernement fédéral actuel (le précédent non plus, d'ailleurs) oserait s'embarquer là-dedans. Ce qui marque l'imaginaire, c'est bien plus le cout de la construction que celui du fonctionnement/entretien. *d'autant plus que c'est la Société des ponts qui s'occupe du déneigement et de l'épandage d'abrasifs sur le pont, et non le MTQ.
  14. Pour ceux qui ne l'ont pas vu, la réponse de Sol Zanetti au discours très peu étoffé de Rick Mercer. Ce qu'a fait Jean-René Dufort n'est pas mal non plus...
  15. Ça ne servira probablement à rien de le mentionner (since you for one will likely ignore this point), mais ce déclin est à bien des égards un relatif plutôt qu'absolu. La montée de Toronto était amorcée depuis des décennies avant l'adoption de la loi 101 (et avant ne serait-ce que la fondation du PQ) et il ne fait aucun de doute que le déplacement du gros de l'activité financière de Montréal à Toronto aurait atteint la même ampleur tôt ou tard. Et si la loi 101 encourage des angryphones à partir pour Toronto, et bien tant pis. Qu'on les remplace par des immigrants plus enthousiastes envers la société québécoise.
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