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  1. L'économie américaine a été terriblement éprouvée par la crise du crédit, mais jusqu'à présent, celle du Canada s'en est tirée avec seulement quelques bleus et des égratignures, estiment des économistes. Pour en lire plus...
  2. Lehman Brothers au bord de la liquidation, Merrill Lynch contrainte à se faire racheter, AIG cherchant frénétiquement à lever des fonds nouveaux: trois des plus grosses institutions financières américaines étaient en plein désarroi dimanche, à quelques heures d'une ouverture à haut risque des marchés boursiers. Pour en lire plus...
  3. Les actionnaires de la société ont subi une grosse frousse en fin de journée hier, quelques mois à peine après avoir été bousculés par son difficile sauvetage financier. Pour en lire plus...
  4. La direction réplique à une grève de quelques heures déclenchée mercredi par les syndiqués de la sécurité. La maison de jeu demeure ouverte durant ce conflit de travail. Pour en lire plus...
  5. Le premier ministre reconnaît que l'économie du pays a connu quelques ralentissements mais croit que ses fondements sont solides. Pour en lire plus...
  6. Le Canada fait dur à l'international (Corus Sports)- «Quand on est à l'international, on fait rire de nous. Les autres nous regardent et nous disent qu'on a l'air riche, mais qu'on fait dur en bout de compte.» Mercredi à Pékin, l'escrimeuse Canadienne Sherraine Schalm a retenu l'attention. Frustrée de subir l'élimination face à une Hongroise moins bien classée qu'elle, Schalm a été vulgaire envers son adversaire et son équipe à la fin du match. En entrevue quelques heures plus tard, Schalm a expliqué la raison de son débordement de frustration. C'est que la Canadienne doit s'entraîner en Hongrie à longueur d'année, faute d'infrastructures au Canada. Mais voilà qu'à quelques semaines des Jeux olympiques, les Hongrois l'ont expulsé de leur centre d'entraînement. Excuses faites à l'équipe hongroise, Schalm a soulevé un tout autre problème, celui du manque d'infrastructures au Canada. L'haltérophile à la retraite québécoise Maryse Turcotte comprend exactement la frustration de Schalm, allant même jusqu'à dire que le Canada n'est tout simplement pas équipé pour rivaliser sur la scène mondiale. «Je crois que c'est le cas pour plusieurs athlètes ici au Québec, au Canada. On a le talent, mais on n'a juste pas les mêmes moyens que les autres pays. Les autres ne nous battent pas parce qu'on n'a pas de coeur ou de talent, mais pas parce qu'il manque d'infrastructures.» «Faut aussi regarder ce qu'on réussit à faire avec nos moyens. Je comprends qu'on ne doit pas juste investir dans le sport non plus. On n’a pas totalement les mêmes valeurs que les Chinois ou les Américains.» Des paroles à proscrire Malgré tout, Turcotte ne cautionne pas les paroles incendiaires de Schalm, ni ses gestes à la fin du combat. L'escrimeuse a refusé de serrer la main de son adversaire, tout en lançant un «F*** you all» au clan hongrois. «Un athlète qui est rendu au niveau olympique, c'est parce qu'il a acquis la maturité d'y être. Le contrôle des émotions doit être parfait. Un athlète qui ne contrôle pas ses émotions à la base va avoir de la difficulté à se classer pour les Jeux et s'il réussit, il va se planter là-bas.» Frédéric Bhérer / Corus Sports
  7. Même s'ils sont peu nombreux au Québec, les cultivateurs de tournesol font de bonnes affaires depuis quelques années. Pour en lire plus...
  8. Les bâtons de baseball de l'entreprise B45 sont de plus en plus convoités. Il y a même quelques joueurs du baseball majeur qui utilisent les bâtons de bouleau jaune fabriqués par l'entreprise de Québec Pour en lire plus...
  9. Vers les Olympiques - Moderniser Pékin sans faire disparaître le patrimoine architectural? Jules Nadeau Édition du samedi 26 et du dimanche 27 juillet 2008 L'ouverture des Jeux de Pékin dans quelques jours sera un immense moment de fierté pour les Chinois, une fierté qui, au-delà de la puissance économique, se décline aussi sous les facettes urbanistique, médiatique, sociale et scientifique. Trois aspects d'une Chine en transition sous la plume de notre collaborateur, le journaliste sinologue Jules Nadeau. Pas facile pour Charles Chauderlot, artiste «plus chinois que bien des Chinois», de défendre le fier passé architectural de Pékin alors que les pelleteuses olympiques s'acharnent sur tout bâtiment à un seul étage. Pendant la Révolution culturelle, de 1966 à 1976, afin d'accélérer le passage à une société communiste, Mao Zedong ordonna de détruire ce qu'il appelait les «quatre vieilleries», soit les vieilles coutumes, la vieille culture, les vieilles moeurs et les vieilles pensées. Les Gardes rouges ont tellement bien appliqué sa directive que bon nombre de trésors historiques ont alors été démolis d'un bout à l'autre du pays: temples, monuments et antiquités. Depuis quatre ans, c'est maintenant au tour de la révolution olympique de chambarder l'urbanisme. Les autorités et les médias chinois ont conféré à Charles Chauderlot beaucoup d'honneurs sans que ses cris d'alarme soient écoutés au beau milieu de cette opération de destruction et de reconstruction. Sa mission: perpétuer la mémoire des hutong, souvent joliment boisés. Ce sont les venelles emblématiques des vieux quartiers où subsistent ce que les résidants appellent des siheyuan: des maisons carrées agrémentées de portes ouvragées, de murs-écrans et de pierres de seuil. Le Français Charles Chauderlot parle en spécialiste après dix ans d'immersion pékinoise. Le sinologue a exceptionnellement été autorisé à exercer son art pendant deux ans dans la partie hors des limites de la Cité interdite, rare privilège pour un laowai (étranger). Les formes et les détails prennent vie dans ses tableaux en noir et blanc, selon des techniques chinoises. Il a participé à une soixantaine d'expositions, dont une dizaine en solo, dans quelques pays. Né à Madrid dans une famille d'artistes, il a étudié les beaux-arts à Bordeaux et appris les idéogrammes dès son arrivée à Pékin. Sacrifier 500 ans pour 15 jours Avec ses pinceaux et son encre de Chine, il passe des heures la tête penchée sur son papier Arches de Canson. Tous les passants s'arrêtent devant le fumeur de pipe en méditation. Chez lui, lors d'un long séjour à Macao, dans le studio d'un septième étage où nous conversons, je vois sur les rayons de sa bibliothèque qu'il a bien absorbé les ouvrages des écrivains européens et asiatiques qui ont décrit avec admiration le vieux Pékin. Lui-même a présenté ses oeuvres dans des albums traduits en quelques langues, dont le chinois -- avec l'imprimatur du gouvernement. Détail cocasse, me confie-t-il dans un courriel récent: «Une agence de voyages m'a offert une somme rondelette pour servir de guide [à Pékin] au mois d'août.» Mais l'homme de 56 ans préfère exposer en Corse, puis à Strasbourg, «l'architecture chinoise de 500 ans, détruite et sacrifiée pour 15 jours d'Olympiades... Un officiel chinois, qui va se déplacer pour l'occasion, m'a avoué que le peuple a besoin de dirigeants plus humains, moins politiciens et moins corrompus. Je deviens, à mon corps défendant, le représentant de la Chine, avec le soutien de ceux-là mêmes qui participent à sa disparition». L'«âme de Pékin» comptait 7000 hutong en 1949, estime-t-on, mais seulement 1300 en 2005. Les étrangers ne s'aventurent pas facilement dans ces hutong surpeuplés. Il y a trois ans, un mémorable festin de canard laqué au très prolétaire restaurant Liqun Kaoya (près de la porte Qianmen, au sud de la place Tiananmen) me donna une occasion de plus de me balader dans ces quartiers typiques. «Le manque d'air frais, d'eau courante et de WC dont souffrent les occupants l'emporte sur le romantisme que les touristes en cyclopousses y attribuent», d'affirmer un habitué local. Mais était-ce nécessaire de faire disparaître un si grand nombre de ces résidences à un étage? Plus d'un million d'occupants en auraient été évincés depuis 1991. Pour et contre les hutong Lisa Carducci, auteure installée à Pékin depuis deux décennies, où elle a notamment travaillé pour les médias officiels, exprime de grandes réserves: «Sous les Yuan, il y avait 9000 hutong à Pékin. Quand il n'en resterait que quelques dizaines, bien préservés, la plupart des siheyuan ayant été transformés en bureaux d'État dans le style original, ce serait bien suffisant pour garder une fenêtre ouverte sur le passé. Je ne vois pas de quoi se mêlent les étrangers, qui détruisent tout chez eux mais interviennent dans le plan d'urbanisation de la Chine -- laquelle est consciente de l'aspect historique à ne pas faire disparaître et, à la fois, du besoin des gens d'aujourd'hui de vivre comme des gens d'aujourd'hui», écrit la Montréalaise, qui a entre autres traduit un livre de Chauderlot. Après plusieurs années à Hong Kong et à Shanghai, l'avocat Pierre Saint-Louis exerce maintenant sa profession à Pékin, ville qu'il «aime». Le Montréalais dénonce chez les expatriés le préjugé automatique contre tout ce que décident leurs hôtes chinois: «Il n'y avait plus rien à sauver avec les hutong. Les gens ne veulent plus vivre là. Les JO transforment Pékin comme l'Expo 67 a transformé Montréal. L'Opéra de Pékin, c'est fantastique, un chef-d'oeuvre, mais construit à la mauvaise place», explique-t-il, tout en qualifiant de «fantastique» le métro hyperpropre, maintenant long de 200 kilomètres, où le billet, de deux yuan, coûte six fois moins cher que celui de Montréal. La polémique autour des hutong ne passionne pas que les «longs nez» comme nous. Dans un premier cas, un talentueux graphiste de Hangzhou, marié avec une camarade pékinoise, m'a surpris par la véhémence de ses propos, lui un grand patriote dont le paternel obéissait jadis aux ordres du commissaire Deng Xiaoping. «Ma femme a vécu 20 ans dans le quartier de Chongwen, près de la porte Qianmen. Il y a quatre ans, on n'a pas pu trouver la moindre trace de son hutong: que des tours modernes et des grandes rues. Quelle honte! Les hutong, c'est Pékin. Je suis pour la modernisation, mais pas ça.» Il ajoute une charge contre les fonctionnaires corrompus qui n'ont jamais consulté personne et ont payé des étrangers pour édifier des monstres: «Expensive garbage! Mon vieux Pékin a été rayé de la carte!» Dans la capitale, le septuagénaire Yang Qi, ancien cadre de WorldBest à Drummondville, réfléchit en grand philosophe. «Ma réaction à l'égard des constructions ultramodernes? Indécision et impuissance. Mais aussi une certaine compréhension. Quand une femme qui a été pauvre pendant longtemps gagne brusquement pas mal d'argent, elle doit avoir envie de dépenser pour des dîners de gala et de se farder avec des produits L'Oréal! Mais si j'étais président de la république, j'affecterais plutôt cet argent à l'environnement, à l'éducation et à l'aide aux régions moins prospères», conclut ce bon vivant. http://www.ledevoir.com/2008/07/26/199325.html
  10. Il fallait s’y attendre avec la chute des cours de l’or noir: le prix à la pompe est en net recul depuis quelques jours à Montréal. Mais pas dans toutes les régions du Québec. Pour en lire plus...
  11. http://www.canoe.com/techno/nouvelles/archives/2008/07/20080710-130035.html Selon la compagnie O2 L'Angleterre en pénurie d'iPhone Canoë - Sophie Montminy 10/07/2008 13h00 La rumeur est confirmée, les citoyens d’Angleterre auront de la difficulté à se procurer le nouveau iPhone 3G, ce vendredi. Le site web O2 a confirmé cette rumeur aujourd’hui, disant que les quantités de iPhone 3G sont écoulées sur le site web et qu’elles seront minimes dans les magasins le 11 juillet. Lundi le 7 juillet, le site web de la compagnie O2 était soudainement hors d’usage, en raison de la trop grande demande en ligne du iPhone 3G. Les clients ne pouvaient plus l’acheter en prévente , alors que quelques jours auparavant, la compagnie avait envoyé un courriel à tout ses clients, pour leur offrir le iPhone 3G. Le site web de la compagnie O2 affiche maintenant un message qui dit que seuls les clients déjà existant de Apple pourront se procurer un iPhone. O2 remercie les clients pour leurs intérêts envers le téléphone, mais dit qu’elle a reçu une trop grande demande pour le cellulaire et qu’elle est incapable de répondre aux besoins de tous les clients. Elle assure que chaque client pourra se procurer le iPhone d’ici la fin de l’été, mais que les quantités seront très limitées en magasin le 11 juillet. La compagnie O2 est en pourparler avec Apple pour avoir plus de iPhone 3G en magasin, mais pour l’instant, O2 aura à sa disposition une douzaine de cellulaires dans chaque magasin, par semaine. Les quantités sont déjà épuisées sur le site-web. O2 suggère aux clients qui ont déjà un iPhone, d’aller chercher la mise à jour 2.0 qui donne quelques nouvelles options que l’on retrouve dans le iPhone 3G. Malheureusement pour les fans inconditionnels du nouveau cellulaire, il sera impossible de se procurer le iPhone 3G blanc en Angleterre. Notons que Apple n’a jamais sorti de cellulaire d’une autre couleur que le noir.
  12. Selon le syndic RSM Richter, Attractions hippiques a toutefois l'intention de proposer un plan de relance d'ici quelques semaines. Pour en lire plus...
  13. Les automobilistes excédés de l'essence à 1,50$ le litre devront prendre leur mal en patience. Pas seulement le temps de leurs vacances estivales, mais bien pendant quelques années. Pour en lire plus...
  14. Ce matin-là, sur le parquet du NYMEX, la «corbeille» où se négocie le prix du pétrole était presque vide et plutôt silencieuse. Quelques courtier effectuaient leurs transactions à l'aide d'un écran électronique. Pour en lire plus...
  15. Examinez avec soin les 10 derniers mois de votre vie. Avez-vous noté des changements en vous ou dans votre entourage? Prenez quelques minutes pour répondre aux questions suivantes Pour en lire plus...
  16. Une radio honteuse Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité. Canoë lundi 16 juin 2008 Richard Martineau parlait, dans sa chronique d’hier intitulée « Maudits racistes », de l’émission This hour has 22 Minutes diffusée à la CBC, la télé publique canadienne, et qui fait du « Québec bashing » en humour. Eh bien, vous savez quoi ? J’ai découvert un complot, un vrai. Tenez-vous bien ! Il existe quelque part, du côté ontarien, le long de la frontière québécoise, une station de radio qui programme des émissions à caractère belliqueux et raciste sur le Québec. Oui, vous ne rêvez pas, la chose est possible, malheureusement. Cette station est sans doute mobile, car on n’est jamais parvenu à la localiser pour la faire taire ou brouiller les ondes complètement. Elle diffuse 24 heures sur 24, sept jours par semaine. Les médias ontariens, qui semblent au courant de cet attentat à la souveraineté du Québec, ont reçu la consigne de ne pas ébruiter ces faits, comme s’il s’agissait ni plus ni moins d’appuyer tacitement cette pratique déloyale, voire illégale, ou de la banaliser. La rumeur veut que quelques grosses fondations privées, dont il m’a été impossible, pour le moment, de connaître les noms, financeraient cette campagne de salissage. « Radio Papineau », c’est ainsi qu’elle serait baptisée, aborde en français, mais aussi en anglais, des thèmes politiques, sociaux et culturels d’actualité. Elle comporte aussi un volet historique, où l’histoire du Canada est expliquée sous un tout autre angle que celui qui est enseigné dans les écoles québécoises. Apparemment, la Sûreté du Québec serait au courant de ce viol des ondes, mais comme il s’agit de signaux sophistiqués, qui utilisent les ondes satellitaires, il devient difficile de bloquer la diffusion d’une telle radio-poubelle et d’en connaître les promoteurs. On ne peut pas pour l’instant capter ces émissions dans la grande région de Montréal. Ainsi, Le Devoir devient « Le Bavoir », Télé-Québec devient « Télé Nousautres » et la programmation générale de cette radio pirate offre des émissions comme « Québec sans frontières », « Presse libre », « Le Québec de l’intérieur », « Le fait français, une vaste supercherie », « Lectures sans censure », « Les vraies nouvelles », « L’ombre du cheuf », « Démocratie et partis politiques », etc. On y aborde aussi les sports d’un point de vue très canadien et on se moque royalement des Canadiens de Montréal et des Alouettes, car tous ces joueurs seraient prêts à abandonner leur équipe si on leur faisait miroiter de gros salaires pour aller jouer ailleurs. On ridiculise la « french cuisine » de même que l’agriculture telle que pratiquée ici, en vantant les mérites d’une agriculture non subventionnée et sans quotas laitiers et en dénigrant, bien entendu, la nouvelle industrie fromagère en pleine expansion. On va même jusqu’à inciter à des actes de sabotage et de violence contre certaines institutions politiques du Québec ou certaines entreprises d’État. On suggère, entre autres, de laisser les robinets d’eau couler sans arrêt. On lance des rumeurs concernant un possible durcissement des politiques linguistiques ou l’expulsion imminente de la fonction publique québécoise de tous ceux qui ne seraient pas « pure laine », on essaie de fomenter des incidents haineux entre les autochtones, les immigrants et les francophones, on invente des cas d’épidémies dues au fromage au lait cru du Québec, etc. On propose aussi de ne plus vendre le blé et le bœuf de l’Ouest canadien au Québec afin de nous affamer, de créer de faux labels, comme pour le sirop d’érable, afin de nuire à l’industrie acéricole, de boycotter Loto-Québec, etc. Cette « radio libre » se donne pour mission de diffuser la « face cachée » du Québec, sous prétexte qu’ici, toute nouvelle serait tendancieuse et complaisante. Les journalistes québécois ne seraient pas objectifs, ils n’oseraient jamais critiquer les grands projets rassembleurs comme les festivals culturels, ni le gouvernement du Québec, qui est présenté comme autoritaire, démagogique, répressif et à la solde de la France, qui, elle-même, comploterait depuis toujours contre le gouvernement canadien et ses institutions. Vous pensez que je fabule, que j’exagère, que j’ai tout inventé ? Attendez quelques jours et vous connaîtrez la vérité.
  17. La poussée à la hausse qui a propulsé le prix du pétrole à 139,12 $ US le baril (un record) il y a quelques jours est plus importante que la ruée vers les titres des technos. Pour en lire plus...
  18. Quelques photos de Montreal et autres, certains sont HDR mais la plupart ne le sont pas.
  19. Voici quelques photos de mon set géant de la Havane (192 photos), pour voir toutes les photos allez ici:
  20. Les transporteurs interurbains blêmissent en voyant le prix du carburant monter en flèche depuis quelques semaines. Pour en lire plus...
  21. Exceltech Aérospace est en train de construire 3 nouveaux hangars de grande capacités sur l'aéroport PE Trudeau. On les vois bien depuis l'autoroute 13. Je vais essayer de prendre quelques photos depuis l'autobus...
  22. Le Marché climatique de Montréal est ouvert La Bourse de Montréal (MXX) et la Chicago Climate Exchange ont procédé à l'ouverture officielle du Marché climatique de Montréal vendredi matin. 30 mai 2008 - 09h39 Presse Canadienne La cérémonie s'est déroulée en présence du premier ministre Jean Charest et de ministres fédéraux, soit John Baird, ministre de l'Environnement du Canada, et Michael Fortier, ministre des Travaux publics et des Services gouvernementaux. L'ouverture a eu lieu à 9h30 après un décompte avec l'inscription à la cote du tout premier contrat à terme lié aux émissions de gaz à effet de serre négocié en bourse au Canada. L'intention de mettre en place un tel marché avait été annoncée en décembre 2005. Sa mise sur pied avait, elle, été rendue publique quelques mois plus tard, en juillet 2006. La Bourse de Montréal apporte à ce nouveau marché son expertise dans les systèmes de négociation, de compensation, de réglementation des marchés et de gestion du risque financier. La CCX fournit son expérience d'exploitation de la bourse climatique de Chicago. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/article/20080530/LAINFORMER/80530084/5891/LAINFORMER01
  23. J'avais oublié ce livre de photos que Yara m'a laissé pour scanner. Voici quelques extraits! Il n'y a pas d'année, mais selon la population de Montréal de 1,125,000 indiqué dans le livre, ca devrait etre dans les 1940.
  24. http://galeriedephotos.montoit.ca/index.php?t=black&m=mt&c=3
  25. D'abord, pour vous mettre en appétit, une photo de la façade du magasin : C'est un album de photos de la famille Dufault. Il y a quelques photos personnelles mais plus de la moitié de l'abum montre l'intérieur de ce magasin. Fascinant !! http://picasaweb.google.com/gidufuf/GastonRobertDufaultLeurMagasinAilleurs/photo#5124261470936950850 P.-s. : comment puis-je éditer le titre où j'ai mal épelé le nom de la rue ?
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