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  1. Google a choisi Montréal pour héberger son nouveau centre de stockage de données, une infrastructure qui permettra aux entreprises et aux utilisateurs de profiter de vitesses sensiblement accrues. L'annonce en a été faite ce jeudi après-midi à San Francisco. La métropole québécoise, qui hébergeait déjà les activités de sécurité de Chrome et un centre de recherche sur l'apprentissage profond, devient ainsi la septième «région» de la plateforme infonuagique de Google. «Pour moi, c'est un honneur aux grands talents qu'on retrouve au Québec, on peut en être fier», a déclaré en entrevue à La Presse Marie-Josée Lamothe, directrice générale des stratégies de marque et responsable des activités québécoises de Google. Aucun détail n'est cependant encore disponible sur la taille des installations que Google implantera à Montréal, que ce soit en termes d'investissements, d'espaces ou d'emplois créés. La date précise de l'ouverture de cette infrastructure n'a pas non plus été dévoilée. Infonuagique: Montreal devient la septième région de Google | Karim Benessaieh | Techno
  2. Michael Applebaum coupable de fraude, abus de confiance et complot ICI, PUBLIÉ AUJOURD'HUI À 8 H 42 | Mis à jour il y a 53 minutes L'ex-maire intérimaire de Montréal Michael Applebaum a été reconnu coupable jeudi de 8 chefs d'accusation sur les 14 dont il faisait l'objet, dont fraude envers le gouvernement, complot dans le but de commettre une fraude envers le gouvernement, abus de confiance et complot dans le but de commettre un abus de confiance. Il risque une peine d'emprisonnement maximale de cinq ans. Le procès de Michael Applebaum se poursuivra avec les observations sur la peine de la Couronne et de la défense, qui auront lieu le 15 février. La Couronne s'est dite satisfaite du jugement, alors que l'avocat de M. Applebaum, Me Pierre Teasdale, a refusé de faire quelque commentaire que ce soit. Il a toutefois affirmé qu'il allait analyser le jugement, « et on verra s’il y a lieux de faire quelque chose ». Michael Applebaum était accusé d’avoir empoché, pour favoriser deux projets, des pots-de-vin totalisant des dizaines de milliers de dollars de la part de promoteurs immobiliers et d’un ingénieur entre 2006 et 2011, alors qu’il était maire de l’arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. Applebaum a été déclaré coupable : de fraude envers le gouvernement (2 chefs d'accusation); de complot pour fraude envers le gouvernement (2 chefs); d'abus de confiance (2 chefs); de complot pour abus de confiance (2 chefs). Une décision détaillée La juge Louise Provost, de la Cour du Québec, a pris plus d’une heure et demie pour lire son jugement, commençant par un résumé des cinq témoignages, puis passant à la preuve et à son analyse de celle-ci. Debout pendant cette lecture, Michael Applebaum a d’ailleurs eu un malaise après plus d’une heure, obligeant la suspension de l’audience pour une quinzaine de minutes. La juge a terminé sa lecture en disant que Michael Applebaum avait fait fi du serment qu’il avait prêté lorsqu’il était devenu maire d'arrondissement, soit sa promesse de servir ses concitoyens avec honnêteté et respect. La décision de la juge Provost a notamment reposé sur son appréciation de la crédibilité du témoin principal de la Couronne, Hugo Tremblay, ex-chef de cabinet de M. Applebaum. Ce dernier a notamment collaboré avec l’Unité permanente anticorruption (UPAC) en acceptant de porter un micro caché pour tenter de soutirer des aveux à l'ex-maire. La juge a déterminé que M. Tremblay semblait sincère lors de son témoignage et que de multiples détails ajoutaient à sa crédibilité. Par ailleurs, à propos des conversations avec le maire Applebaum enregistrées par M. Tremblay, la juge a souligné que certaines réactions de Michael Applebaum « donnent à penser qu'il a quelque chose à cacher ». À la barre des témoins pendant quatre jours, Hugo Tremblay est le seul témoin qui a affirmé avoir remis directement de l’argent à M. Applebaum. Un intermédiaire L'ex-chef de cabinet a dit n’avoir été qu’un intermédiaire agissant à contrecoeur dans cette affaire. Il a soutenu que son ex-patron l’avait initié à l’importance de constituer une caisse occulte et lui avait demandé d’aller récolter de l’argent auprès de Patrice Laporte, ex-directeur général de SOGEP, et des promoteurs Robert Stein et Anthony Keeler. Tous trois ont également témoigné lors du procès. Leur propos « corroborent les dires d'Hugo Tremblay », selon la juge Provost. M. Laporte a raconté avoir versé 25 000 $ à M. Tremblay pour obtenir le contrat de gestion d’un centre sportif dans l’arrondissement. SOGEP avait remporté l’appel d’offres, mais M. Tremblay l’avait prévenu que le maire ne porterait pas le dossier au conseil municipal sans cette contribution, a-t-il témoigné. M. Stein a dit avoir été forcé de verser des pots-de-vin à M. Tremblay pour que M. Applebaum fasse progresser un projet de résidences universitaires de 17 millions de dollars qui nécessitait un changement de zonage. M. Keeler, ancien associé de Robert Stein, a aussi affirmé que M. Tremblay l'a aussi rencontré pour discuter de ce projet. Le chef de cabinet lui avait dit que « Michael devra travailler fort » pour le faire accepter, et qu'ils auraient besoin d'une compensation. Les deux promoteurs immobiliers ont dit croire que le pot-de-vin de 30 000 $ ou 35 000 $ versé à M. Tremblay irait dans les poches de M. Applebaum. Réactions à l'Hôtel de Ville de Montréal Le maire de Montréal, Denis Coderre, n'a pas semblé surpris par le jugement, qu'il a qualifié de « très fort ». Il a toutefois voulu mettre l'accent sur les nouvelles politiques qu'il a instaurées pour contrer la corruption. « C’est une triste journée pour le passé de Montréal. [...] C’est la fin d’un chapitre. On passe à d’autre chose, et je suis très heureux de voir que depuis trois ans, ici à Montréal, on fait les choses adéquatement », a-t-il lancé. Quant à la chef de l'opposition officielle, Valérie Plante, elle considère que « le jugement prononcé aujourd’hui envoie le message que nul n’est au-dessus des lois ». Mme Plante a aussi tenu à rappeler que d'anciens collègues de Michael Applebaum faisaient toujours partie de l'administration municipale. « N’oublions pas que sept membres de l’actuel comité exécutif, en plus du président du Conseil et du Leader de la majorité, ont pu bénéficier du système mis en place par l’ex-maire de Montréal et ses collaborateurs pour les élus d’Union Montréal. Ce sont en tout 21 ex-membres d’Union Montréal, auquel appartenait Michael Applebaum, qui siègent encore aujourd’hui dans l’équipe du maire de Montréal, Denis Coderre », a-t-elle transmis dans un communiqué. Applebaum a choisi de ne pas témoigner La défense n'a présenté aucun témoin au cours du procès, qui a été expédié en sept jours. L’ex-maire Applebaum a choisi de ne pas témoigner pour sa défense, comme il en avait le droit. Avant que le procès ne s’ouvre, en novembre, M. Applebaum avait tenté à deux reprises de faire arrêter les procédures contre lui, mais en vain. Il a d’abord invoqué des délais déraisonnables, puis affirmé que la Couronne n’avait pas divulgué toute la preuve nécessaire pour une défense pleine et entière. Deux autres personnes avaient été arrêtées en même temps que Michael Applebaum, en juin 2013, soit Saulie Zajdel et Jean-Yves Bisson, respectivement ancien conseiller municipal et ancien haut fonctionnaire dans l'arrondissement de Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce. M. Zajdel a plaidé coupable en 2015 à des accusations de corruption et d'abus de confiance. Il a écopé d'une probation de 18 mois, assortie de 240 heures de travaux communautaires et de l'obligation de verser 10 000 $ à divers organismes. De son côté, M. Bisson a plaidé coupable à une accusation de corruption. Il s'est vu imposer une peine de prison de 9 mois à purger dans la collectivité de même qu'une période de probation de 18 mois. Michael Applebaum était devenu maire de Montréal en 2012, après que Gérald Tremblay eut démissionné en pleine commission Charbonneau. Il avait alors promis de faire le ménage à l'Hôtel de Ville. Sa chute est survenue à peine sept mois plus tard. Avec les informations de Geneviève Garon http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1013132/michael-applebaum-jugement-proces-fraude-corruption-abus-confiance-complot
  3. Here is the second short film in a series I'm planning to make this year. All the footage came from YouTube. It took me awhile to complete this. I was able to find some truly special footage, so please give it a look and share it if you like it. I'm not making a penny off this project, just trying to spread the word about this special city we all love. Montreal vue par les touristes francophones:* Here is the first one I released last month, featuring English-speaking tourists:
  4. Afin de souligner l'œuvre remarquable du chanteur montréalais Leonard Cohen, décédé en novembre dernier, ses textes seront projetés sur le silo numéro 5, dans le Vieux-Port de Montréal. L'installation du Musée d'art contemporain, intitulée For Leonard Cohen, s'inscrit dans la programmation de l'exposition hommage Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, à laquelle participent les musiciens Lou Doillon, Jean Leloup et Ariane Moffatt. La projection conçue par l'artiste américaine Jenny Holzer mettra en valeur des textes en anglais et en français tirés des poèmes, chansons et autres écrits de Cohen. Jenny Holzer a réalisé ce type d'œuvre dans le passé à Rome, sur le Castel Sant'Angelo, et à Paris, sur la pyramide du Louvre. La projection sera visible à partir du 7 novembre, lors du premier anniversaire du décès de Cohen. L'exposition Leonard Cohen : une brèche en toute chose / A Crack in Everything, mise sur pied par John Zeppetelli et Victor Shiffman, réunira 25 œuvres inédites conçues par des artistes d'ici et d'ailleurs issus des arts visuels, de la performance, de la musique, de l'écriture et du cinéma. Certains événements et concerts spéciaux seront également captés et diffusés sur les différentes plateformes de Radio-Canada. Le silo numéro 5 demeure une des structures les plus célèbres de Montréal. Sa revalorisation a fait l'objet, depuis 30 ans, de nombreux projets, qui n'ont toutefois jamais abouti. En octobre dernier, l'architecte Pierre Thibault et l’homme d’affaires Benoît Berthiaume ont proposé d'en faire un pôle touristique « de calibre mondial » qui inclurait une terrasse, un circuit piétonnier surélevé inspiré du High Line de New York et un hôtel. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1011791/les-textes-de-leonard-cohen-illumineront-le-silo-numero-5
  5. Trois nouveaux projets de piétonnisation à Montréal La Presse | Publié le 17 janvier 2017 à 14h33 | Mis à jour à 14h33 Trois nouveaux projets de rues piétonnes feront leur apparition l'été prochain à Montréal. Les rues Saint-Ambroise et Atwater (Sud-Ouest), Roy (Plateau) et Wellington (Verdun) seront désormais dédiées aux piétons plutôt qu'aux voitures. Le projet du Sud-Ouest vise à aménager un espace de détente aux abords du Marché Atwater. Dans le Plateau, la rue Roy sera convertie entre Coloniale et de Bullion afin d'accueillir un marché public ainsi que des bacs pour effectuer de l'agriculture urbaine. Verdun misera quant à elle sur la thématique de la plage, rappel du projet de l'arrondissement qui aménagea un nouvel accès au fleuve non loin. Pour valider le choix de ces aménagements, ceux-ci seront implantés sur une base temporaire pour les deux premières années, puis permanente à partir de la troisième. Ces conversions s'inscrivent dans le cadre du programme de piétonnisation qui cherche à améliorer la vie de quartier, programme à travers lequel neuf rues ont déjà été transformées depuis 2015. À l'heure actuelle, Montréal compte un total de 45 rues piétonnes sur une base permanente ou saisonnière.
  6. Trouvé sur ce site : Irenebrination: Notes on Architecture, Art, Fashion and Technology: May 2014 avec cette description : Également trouvé en parcourant divers site, cette photo de la maison Shaughnessy en 1948 : sur ce site : Montreal Mission | Sisters of Service
  7. Vous avez des dettes des litiges financiers et toutes vos tentatives dans les banques et institutions financier n'a rien donné jusque là à cause de votre mauvais crédit ou autre alors contactez moi et en moins de 48 h à un taux raisonnable de 2,5% l'an et sur le temps de remboursement qui vous conviens je vous offre le prêt qui vous sauve la vie. Mon mail: bripilotta@gmail.com
  8. Si on doit constamment être bombarder d'opinions apocalyptiques sur Montréal, je crois que la diffusion des bonnes nouvelles devraient aussi être partager. L'article tient à y aller du titre "Toronto a les frais de garde les plus élevés au Canada", mais je trouve encore plus pertinent que Montréal a en fait les frais les plus bas. On parle d'une différence annuelle de 17,820$ par enfant. Comme l'article le mentionne c'est plus cher que d'envoyer ses enfants à l'université (on ne comparera pas les données des frais universitaires entre les deux ville en plus, même si...) ou c'est l'équivalent d'un deuxième hypothèque. Quel frein énorme au développement économique d'une ville. Si tu as deux ou trois enfants, ça ne vaut pratiquement pas le peine pour un des parents d'aller retourner travailler. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1005326/cout-garderie-toronto-montreal-winnipeg
  9. Hey everyone, Last summer I came across some videos on YouTube of tourists filming their experiences in the city - some were really great, and it was nice seeing the city from someone elses perspective, especially people who had never been here before. I started saving the ones I really liked. A few weeks ago Tourisme Montreal started releasing their ads for the 375th celebrations. Here are the first two: Une ville qu'on aime, ca se fete. - YouTube Honestly, what the fuck? Lequipe de hockey le plus titree? Des ruelles pleines de vie? Im so tired of them painting the city with such a shallow brush. Theyve never properly captured the spirit of Montreal. And the Toronto one? Cringe. So, I've been working on this for a little while. Below is a link to a short film I made and posted to YouTube today. Nearly all of the footage is from Tourists/YouTubers/Vloggers. If Tourisme Montreal can't explain our city to the world, maybe outsiders can. I used the music from Tourisme Montreal's first ad.* This one features only English-speaking tourists. Ive saved a bunch of French vlogs as well; when I get time Ill make one in French. I have some truly incredible footage for that one. Let me know what you think - share it, send it wherever and to whoever you like. Maybe we can get it to go viral, and get some attention from people who are wondering what city to check out next. Because it is mostly amateur footage, Ive added subtitles in case you can't understand some of the lines.
  10. Day And Night
  11. An Artist’s Guide to Relocating From Trump’s America | artnet News [h=5]Politics[/h][h=1]An Artist’s Guide to Relocating From Trump’s America[/h]A definitive guide to finding the next art world Shangri-La. Christian Viveros-Fauné, December 9, 2016 More than 2200 people pose nude for photographer Spencer Tunick, on the steps of the Montreal Museum of Fine Art in Montreal, Canada, May 26, 2001. Photo by Jean Therroux/Getty Images. 5. Montréal Where Toronto is the hub of all things corporate, Montreal is Canada’s cultural hub. The city has plenty of commercial galleries and a smattering of respectable museums, but its beating heart remains its artist-run-centers—many of them established in the ’70s and ’80s as a way to explore art for art’s sake. To these can be added kunsthalles of a more recent vintage, including the DHC Foundation and Darling Foundry. Rent (an incredible $519 for a studio apartment) is about half what it is in Toronto and Vancouver, and a fraction of what you would pay for in London and New York. For those who bragged they’d move to Canada if Trump won, the train is now leaving the station. (I’m talking to you, Lena Dunham.) [h=5]Recommended Reading[/h][h=2]Must-See Art Guide: Montréal[/h]By Audrey Fair, Aug 28, 2014
  12. CHRONIQUE LE VILAIN SAPIN DE MONTRÉAL MARIO GIRARDLA PRESSE J’étais à une dizaine de mètres de lui quand j’ai entendu une femme dire à son mari : « Ouain, on peut pas dire qu’ils se sont forcés ben ben fort ! » Comme des milliers de Montréalais, cette femme donnait son opinion sur le sapin, prétendument le plus haut du pays, installé depuis mercredi en plein cœur de la place des Festivals. Une laideur ! Une honte ! Un chicot ! Le sapin de 88 pieds a droit aux pires insultes sur les réseaux sociaux. Philippe Pelletier, l’un des propriétaires de Sapin MTL, l’entreprise qui a déniché et installé ce sapin, est très déçu de la réaction du public. « Les gens sont tellement méchants. Nous, on a juste voulu bien faire et offrir un cadeau à la Ville de Montréal », m’a-t-il dit hier. L’an dernier, Philippe Pelletier a voulu réaliser un coup publicitaire en organisant une compétition de lancer du sapin lors de l’Igloofest. Cette année, il est allé chercher une petite subvention de 2500 $ et un commanditaire afin de pouvoir offrir à Montréal le sapin le plus haut du monde. Philippe Pelletier voulait un sapin plus grand que celui qui trône chaque année, depuis 1931, devant le Rockefeller Center à New York. Manque de pot, les New-Yorkais ont décidé de battre leur propre record. Celui qui a été inauguré mercredi soir fait 93 pieds. Non seulement notre sapin est le plus laid, mais il n’est pas le plus grand. Quel déshonneur ! Rendu là, allons tous nous cacher dans des grottes pour le temps des Fêtes ! C’est sûr que lorsqu’on tombe sur le fameux sapin, situé à l’entrée du Grand Marché de Noël, à l’angle des rues Jeanne-Mance et Sainte-Catherine, on a un choc. Mais une fois la surprise passée, on lui trouve plein de qualités. Ce sapin est un peu comme un petit chien bâtard dont personne ne veut et qui nous séduit avec ses grands yeux tristes. Je l’avoue, au bout de deux minutes, j’ai craqué pour ce sapin imparfait. J’ai voulu l’adopter. Je me contenterai de le défendre dans cette chronique. D’abord, si on avait voulu un beau sapin comme à New York, il aurait fallu faire comme les New-Yorkais. Philippe Pelletier m’a expliqué qu’une équipe américaine travaille pendant un mois à préparer l’arbre afin qu’il ait une forme conique impeccable. Cette équipe fait exactement ce que ma mère faisait : elle demandait à mon père de couper des branches dans le bas du sapin, de percer des trous avec sa Black & Decker et d’ajouter des branches partout où il y avait des espaces vides. Maniaque, ma mère ? Pas à peu près. Le sapin de New York qui a été inauguré jeudi, une épinette de Norvège, est composé d’un arbre repéré grâce à une recherche en hélicoptère. Il a ensuite été transporté à New York et « enrichi » de plusieurs autres sapins, il est décoré de 45 000 ampoules DEL et son sommet est orné d’une étoile composée de 25 000 cristaux créés par la maison Swarovski. On évalue les coûts de cette opération à environ 100 000 $. Notre sapin est un baumier du Québec entièrement naturel qui a coûté nettement moins cher (son prix n’a pas été dévoilé). Les coûts de son achat et des lumières ont été couverts par Canadian Tire qui s’offre du coup une commandite très visible (les ornements publicitaires en guise de décoration sont un peu trop criards à mon goût, surtout le jour). Je ne suis pas le seul à aimer le vilain sapin de Montréal. Mathieu, Alex, Adèle et Alexandra, tous étudiants dans la vingtaine, regardaient l’arbre d’un air attendri hier lorsque je les ai accostés. « On le trouve funky, cet arbre », a dit Alex. « On va faire partie des 50 % des gens qui aiment ce sapin », a ajouté Mathieu. Au pied du sapin, Henri Lamarre tient un petit kiosque de jouets. « J’entends plein de commentaires négatifs, mais je le trouve cool, cet arbre. » Non loin de nous, Cecilia tentait de se prendre en égoportrait devant le sapin. La femme s’était déplacée spécialement pour voir l’arbre. « Il n’est pas beau, mais, je ne sais pas pourquoi, je l’aime quand même. » Ce débat autour de l’apparence de ce sapin en dit long sur notre rapport à l’apparence esthétique. Dans un monde qui n’aime que le côté lisse et reluisant des choses, un sapin entièrement naturel, avec ses défauts, sa forme imparfaite, ses branches inégales et son sommet trapu, nous apparaît comme quelque chose de grotesque, de répulsif. Pire, il inspire la défaite et un certain côté « loser ». Alors, on fait avec ce sapin comme on fait avec tous les marginaux qui vivent dans nos sociétés, on le rejette, on rit de lui, on le méprise. Si on veut un beau sapin « botoxé » et « lifté », qu’on fasse comme les New-Yorkais : inventons-en un qui n’existe que dans nos fantasmes et les décors de Casse-Noisette. Demandons à Birks de fournir les décorations, aux étalagistes de Holt Renfrew de le parer et à Michèle Richard de venir chanter Petit papa Noël lors de la soirée d’inauguration. Je comprends ce désir de vivre à tout prix la fameuse « magie de Noël », mais je trouve que notre obsession de la perfection et de la beauté nous fait parfois perdre le contrôle. Lors de ma conversation avec les quatre étudiants, Mathieu a dit quelque chose d’important. Il a dit que ce sapin était à l’image des Montréalais, car il symbolise la diversité. Il a totalement raison, je trouve. Ce sapin nous représente parfaitement bien. Il est un amalgame de plein de choses. Il est imposant, majestueux, mais il est aussi un peu déglingué (n’ayons pas peur des mots), rebelle et échevelé. Il est surtout unique et authentique. Peut-être que ce vilain sapin est en train de fournir aux Montréalais un symbole. Et si, chaque année, au lieu de se créer un arbre de catalogue Sears, on s’évertuait à trouver celui qui est le plus vrai, le plus naturel, le plus authentique ? Ça nous rapprocherait de la sincérité. Une denrée rare de nos jours. Et en plus, ça nous ferait un bon sujet de discussion le 24 au soir autour de la dinde. « Non mais y est-tu assez laitte le sapin cette année ! — Oui, ils l’ont vraiment bien choisi ! »
  13. Discussion sur la Ligne Rose, proposée par Projet Montréal Discussion sur la proposition de Projet Montréal en terme d'expansion du transport en commun à Montréal. Entente de principe datant du 2019-06-26 pour le financement de la section ouest de la Ligne Rose, de Lachine vers le centre-ville. Les détails de cette extension ne sont pas connus.
  14. I don't really foresee the volume of foreign capital required coming in to Mtl. and thus upsetting its affordability. There are too many vacant locations as is, and not enough population and economic growth to massively reverse the situation. The one-in-six rule: can Montreal fight gentrification by banning restaurants? | Cities | The Guardian The one-in-six rule: can Montreal fight gentrification by banning restaurants? A controversial law limiting new restaurant openings in Montreal’s Saint-Henri area has pitted business owners against those who believe they are fighting for the very survival of Canada’s ‘culture capital’. Who is right? In downtown Montreal, traditionally low rental rates are coming under severe pressure amid a deluge of new restaurants and cafes. Matthew Hays in Montreal Wednesday 16 November 2016 12.30 GMT Last modified on Wednesday 16 November 2016 12.31 GMT In Montreal’s Saint-Henri neighbourhood, the hallmarks of gentrification shout loud and clear. Beautiful old brick buildings have been refurbished as funky shops, niche food markets and hipster cafes. Most notably, there are plenty of high-end restaurants. More than plenty, say some local residents – many of whom can’t afford to eat in any of them. Earlier this month, the city council agreed enough was enough: the councillors of Montreal’s Southwest borough voted unanimously to restrict the opening of new restaurants. The bylaw roughly follows the “one-in-six” rule, with new eateries forbidden from opening up within 25 metres of an existing one. “Our idea was very simple,” says Craig Sauvé, a city councillor with the Projet Montreal party. “Residents need to be able to have access to a range of goods and services within walking distance of their homes. Lots of restaurants are fine and dandy, but we also needs grocery stores, bakeries and retail spaces.” It’s not as though Saint-Henri is saturated with business: a number of commercial and retail properties remain empty. In that environment, some residents have questioned whether it’s right to limit any business. Others felt that something had to be done. Tensions boiled over in May this year, when several restaurants were vandalised by a group of people wearing masks. At the grocery store Parreira Traiteur, which is attached to the restaurant 3734, vandals stole food, announcing they were taking from the rich and giving to the poor. “I was really quite shocked,” says co-owner Maxime Tremblay. “I’m very aware of what’s going on in Saint-Henri: it’s getting hip, and the rents are going up. I understand that it’s problematic. They were under the impression that my store targets people from outside the area, which isn’t really the case. I’ve been very careful to work with local producers and artisans. Why would you attack a locally owned business? Why not a franchise or chain?” Not everyone is sure the change in regulation will work. “The bylaw seems very abstract to me,” says Peter Morden, professor of applied human sciences at Concordia University who has written extensively on gentrification. “I wonder about the logic of singling out restaurants. I think the most important thing for that neighbourhood would be bylaws that protect low-income and social housing.” Alongside restaurants, chic coffee shops have become emblematic of Montreal’s pace of change. As the debate rages, Montrealers are looking anxiously at what has happened to Canada’s two other major metropolises, Toronto and Vancouver. Both cities have experienced huge spikes in real-estate prices and rents, to the point where even upper-middle-class earners now feel shut out of the market. Much of Vancouver’s problem has been attributed to foreign property ownership and speculative buying, something the British Columbia government is now attempting to address. This has led to concern that many of the foreign buyers – mainly Chinese investors – could shift their focus to Montreal. For now, the city’s real estate is markedly cheaper than that of Vancouver or Toronto: the average residential property value is $364,699, compared with Toronto’s $755,755 and Vancouver’s $864,566, according to the Canadian Real Estate Association. And rent is cheaper, too: the average for a two-bedroom apartment in central Montreal is $760, compared with Toronto’s $1,288 and Vancouver’s $1,368. Montrealers have little desire for their city to emulate Vancouver’s glass-and-steel skyline. The reasons for this are debatable – the never-entirely-dormant threat of Quebec separatism, the city’s high number of rental units and older buildings, its strict rent-control laws and a small-court system seen to generally favour the rights of tenants. But regardless of why it’s so affordable, many Montrealers want it to stay that way. There is widespread hostility towards the seemingly endless array of glass-and-steel condos that have come to dominate the Vancouver and Toronto skylines. If Montreal does look a bit grittier than other Canadian cities, it owns a unique cultural cachet. The inexpensive cost of living makes it much more inviting to artists, which in turn makes the city a better place to live for everyone; its vibrant musical scene is the envy of the country, and its film, dance and theatre scenes bolster the city’s status as a tourist attraction. In this context, Montreal’s restaurant bylaw is designed to protect the city’s greatest asset: its cheap rents. “I would argue this is a moderate bylaw,” says Sauvé. “We’re just saying one out of every six businesses can be a restaurant. There’s still room for restaurant development.” He says the restaurant restriction is only part of Projet Montreal’s plans, which also include increased funding for social housing. “Right now, the city sets aside a million dollars a year to buy land for social housing. Projet Montreal is proposing we spend $100m a year. The Quebec government hasn’t helped with its austerity cuts: in the last two budgets, they have cut funding for social housing in half. There are 25,000 people on a waiting list.” Perhaps surprisingly, the provincial restaurant lobby group, the Association des Restaurateurs du Quebec, doesn’t have an issue with the bylaw. “We understand the impact gentrification can have,” says spokesperson Dominique Tremblay. “We understand the need for a diversity of businesses. Frankly, if there are too many restaurants on one street, it’ll be that much harder for them to stay open. There won’t be enough customers to go around.” Even despite having been robbed, Tremblay says he recognises the anxiety that swirls around the subject of gentrification. “People feel a neighbourhood loses its soul,” he says. “I get that. I’d rather we find a dialogue, not a fight.”
  15. Le plus grand sapin de Noël d’Amérique recherché Montréal le veut pour le Quartier des spectacles Montréal n’a plus que deux semaines pour trouver le sapin de Noël d’une hauteur de huit étages qu’elle compte installer pour la première fois au cœur du Quartier des spectacles. «On avait trouvé plusieurs candidats potentiels de 26 mètres, dans les Cantons-de-l’Est. On ne s’attendait pas à ce que New York fasse mieux», raconte le cofondateur de Sapin MTL, Philippe Pelletier. À deux semaines de la cérémonie d’illumination, prévue pour le 30 novembre à l’angle des rues Sainte-Catherine et Jeanne-Mance, les organisateurs ont appris que le traditionnel sapin new-yorkais atteindrait cette année 28 mètres, soit le deuxième plus grand en 85 ans. «On veut trouver le plus beau, le plus gros et le plus grand conifère pour le 375e anniversaire de Montréal. Et on espère détrôner New York et son sapin du Rockefeller Center», admet M. Pelletier. Aide du public Le Grand marché de Noël de Montréal et Sapin MTL, qui chapeautent le projet, demandent donc l’aide du public pour trouver un «monstre vert» d’au moins 28 mètres. Selon M. Pelletier, les épinettes de Norvège, très concentrées dans les Cantons-de-l’Est, sont d’excellents candidats. Il recommande aux Québécois de garder l’œil ouvert, car le sapin recherché pourrait bien se trouver chez votre voisin. «On risque de le trouver sur un terrain privé où il n’y a pas trop de grands arbres autour et beaucoup de soleil. C’est de cette façon qu’ils peuvent atteindre cette hauteur sans être dégarnis à la base», dit-il. «Et comme ce sont généralement des arbres en fin de vie, il est parfois plus sécuritaire de les couper avant qu’ils ne tombent», ajoute-t-il. 26 mètres Cependant, s’ils ne trouvent pas mieux que le candidat actuel de 26 mètres, les Montréalais pourront au moins se targuer d’avoir «le plus grand sapin du Cana*da», rigole M. Pelletier. Une grande équipe devra se mettre en branle pour couper le mastodonte et le transporter jusqu’à Montréal. Il faut une grue pour garder l’arbre en place pendant la coupe. Il sera ensuite emballé branche par branche et transporté, avec des véhicules d’escorte, sur une remorque télescopique qui peut déplacer des arbres allant jusqu’à 35 mètres. Le plus grand sapin de Noel d’Amerique recherche | JDM
  16. Un projet de télécabine pour dynamiser le tourisme à Montréal La Presse La relance du centre-ville de Montréal passe-t-elle par une télécabine ? C'est du moins l'une des nombreuses idées que la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM) présentera ce soir lors de la consultation sur l'avenir du coeur de la métropole. Dans son mémoire qui sera déposé ce soir, la CCMM propose de prendre les grands moyens pour mettre en valeur le centre-ville en relançant le projet de télécabine Skylink, envisagé en 2009. Mais plutôt que de relier la Rive-Sud au Vieux-Montréal, la CCMM croit qu'il serait préférable de relier le parc Jean-Drapeau au mont Royal en traversant le quartier des affaires. « Cette initiative audacieuse aurait le mérite de donner une signature supplémentaire à Montréal », peut-on lire. «Le mont Royal n'est pas facilement accessible du centre-ville. Pour les touristes, son accès demeure nébuleux.» Michel Leblanc, président de la CCMM Le regroupement de gens d'affaires croit que l'aménagement d'un lien aérien sur les quatre kilomètres séparant le parc Jean-Drapeau du mont Royal représenterait à coup sûr un « produit touristique attrayant ». Elle cite en exemple la ville de Barcelone, qui est dotée d'un tel moyen de transport depuis 1931. Les téléphériques urbains ont gagné en popularité ces dernières années. Londres a inauguré un tel moyen de transport en 2012. Seulement en 2015, plus de 1,5 million de passagers ont ainsi franchi la Tamise. Quant à l'idée d'ouvrir davantage le centre-ville sur le fleuve, la CCMM appelle à la prudence. Elle se dit « favorable à l'amélioration des accès au fleuve, mais cela doit se faire sans nuire aux activités d'une industrie importante pour l'économie métropolitaine et sans compromettre la sécurité du transport de marchandises ». VIVRE, TRAVAILLER ET SE DIVERTIR Au-delà de cette audacieuse proposition de télécabine, la Chambre plaidera qu'il faut s'assurer que le centre-ville demeure un quartier où il fait bon vivre, travailler et se divertir. Michel Leblanc souligne que Montréal doit réussir à attirer - et à conserver - les jeunes familles, qui ont tendance à quitter le secteur lorsqu'elles ont des enfants. Maintenir une population élevée - et diversifiée - permettrait de garder les commerces en santé, dit en somme la CCMM. La CCMM souhaite d'ailleurs voir Montréal contribuer à la relance des artères commerciales du centre-ville, un « dossier très préoccupant ». «Il sera illusoire de viser à attirer des familles sans commerces de proximité, et ceux-ci se porteront d'autant mieux qu'il y aura davantage de familles dans le voisinage.» Extrait du mémoire de la CCMM L'organisation souscrit à l'idée de renforcer la rue Sainte-Catherine, mais prévient que cette relance ne doit pas se faire au détriment de Saint-Laurent et de Saint-Denis. « Leur situation est alarmante depuis plusieurs années. Jadis des artères branchées et incontournables, elles sont maintenant en situation de fragilité commerciale. Il faudra être attentif lors du renforcement de la rue Sainte-Catherine de ne pas créer un simple déplacement commercial. » « Le test devant nous, c'est, si un commerce de destination veut s'établir dans la région de Montréal, est-ce que, dès le premier jour, il serait prêt à s'établir au centre-ville ? Si on réussit ça, on aura réussi », estime Michel Leblanc. La CCMM propose également de miser sur une nouvelle tendance pour les grandes villes : l'industrie manufacturière légère. Il s'agit de la création et l'assemblage de petites pièces et de l'impression 3D. « Ce virage doit être entrepris afin de maintenir le dynamisme du secteur manufacturier et de stimuler l'économie de Montréal. Toute hausse de productivité manufacturière serait structurante pour la métropole et pour la vitalité du centre-ville. »
  17. http://www.nytimes.com/2016/10/30/travel/montreal-green-alleyways-take-visitors-backstage.html?smid=fb-share&_r=1
  18. If anyone else is as obsessed with sidewalks as I am, you may enjoy this map I've made of good quality and renovated sidewalks in Montreal. Pretty much anything different from the typical ugly concrete sidewalks makes the cut. Some of them are still under construction/renovation. I can actually draw most of these from memory, but I still had to look some of them up. I'm sure I missed some, so feedback is welcome! Montreal - Sidewalks
  19. /R E P R I S E -- Invitation aux médias - Denis coderre à la Chambre de commerce du Montréal métropolitain/
  20. http://ici.radio-canada.ca/regions/estrie/2016/09/06/002-projet-train-passagers-montreal-bromont-sherbrooke-etude.shtml Ce n'est pas la nouvelle la plus récente, mais je m'étonne qu'elle n'ait pas été reprise et commentée sur ce site. Avec la collaboration d'une société comme Kéolis ou Transdev (opérateurs de trains pour passagers en Europe et toutes deux bien présentes au Québec), j'aimerais croire que l'exploitation d'un tel service est au moins envisageable. Un train régional entre Montréal et Sherbrooke desservirait un bassin de population non négligeable et offrirait une option de transport pratique aux amateurs de sports d'hiver
  21. La Bourse de Montréal déménagera en 2018 dans la Tour Deloitte, un nouvel immeuble situé tout près du Centre Bell, au centre-ville. Un bail à long terme a été signé et les travaux pour adapter l'espace aux besoins des futurs locataires débuteront cet automne. Dans un communiqué conjoint publié jeudi, la firme immobilière Cadillac Fairview et le Groupe TMX ajoutent que les bureaux montréalais de la Caisse canadienne de dépôt de valeurs, de la Corporation canadienne de compensation de produits dérivés, de la Bourse de Toronto et de la Bourse de croissance TSX occuperont approximativement 44 000 pieds carrés répartis sur deux des 26 étages de cette tour de bureaux. Lou Eccleston, Chef de la direction, Groupe TMX, soutient que la nouvelle Tour Deloitte proposera un environnement de travail inspirant, durable, adapté aux besoins des employés et situé à proximité des clients locaux. La Bourse de Montréal est installée depuis 1965 dans la Tour de la Bourse, au Square Victoria.
  22. Dans le cadre de la discussion sur le réaménagement du Square Viger, j'ai proposé un grand parcours piétonnier dont voici le texte. J'ai finalement décidé de le publier dans la section Vision, pour le mettre plus en évidence et aussi pour ne pas nuire, par une longue digression, au fil du square lui-même. J'emprunte en même temps la vidéo publiée par ChrisDVD parce qu'elle est en partie ma source d'inspiration. Le projet de NIPPaysage Je retiens l'élément principal de cette vidéo, l'axe central qui ralliera les 4 segments du Square-Viger. Cet axe que j'espérais voir apparaitre sur les plans, me confirme que l'on pourrait à terme le prolonger de part et d'autre pour rejoindre le Palais des Congrès et le pont Jacques-Cartier via Lagauchetière et les terrains de la SRC. Et même au-delà, en se connectant éventuellement avec la promenade centrale du nouveau boulevard Robert-Bourrassa à l'ouest et un axe à poursuivre plus à l'est dans Ste-Marie. Le tout étant complété par une boucle de retour tout le long des berges du St-Laurent au Vieux-Port, le canal Lachine et finalement à nouveau la promenade R-B. Un merveilleux tour d'horizon piétonnier de quelques kilomètres, qui traverserait en les reliant: le Quartier International, le Quartier Chinois, le Quartier de la Santé, le Quartier des Ondes et le Quartier Ste-Marie. Retour via les berges du Port, le Faubourg Québec, le Vieux-Montréal et le Vieux Port. Donnant ensuite accès selon la direction choisie au Quartier des Médias, Griffintown et le centre-ville. Ce parcours urbain deviendrait en même temps un abrégé de Montréal, supporté par une application mobile conçue spécifiquement pour le trajet. On développerait ainsi un véritable circuit piétonnier central, de jour comme de nuit, complètement intégré et unique en son genre. Le Montréal d'hier, d'aujourd'hui et de demain, accessible à tous (montréalais et visiteurs), dans une promenade dynamique qui nous en mettrait plein la vue. A lui seul ce sentier pédestre deviendrait une attraction touristique ultra populaire, tout en nous invitant aux autres promenades urbaines, dont celle qui montera jusqu'au Mont-Royal. Difficile de faire mieux autant sur le plan urbanistique, qu'au niveau du développement durable. Même la valeur foncière des secteurs riverains augmenterait substantiellement par la proximité de ce superbe itinéraire structurellement organisé. On ne pourrait faire mieux non plus pour encourager la marche active et les activités de santé. Le tout couplé d'animations diverses et de places publiques invitantes sur chaque segment de cette exceptionnelle randonnée. Voilà en résumé mon rêve le plus cher pour Montréal. Ne suffit que d'un peu plus d'audace, car tout est potentiellement possible si on se donne la peine de construire des liens pratiques et esthétiques pour les chainons manquants. Pour le reste cette voie royale et les terrains concernés seront prochainement en chantier sur presque tout le parcours est-ouest. Ne suffira que de coordonner l'ensemble et travailler spécifiquement la grille de rues pour obtenir une infrastructure de classe mondiale, dont nous pourrons tous (montréalais et québécois) vraiment être fiers.
  23. Very nice! [video=youtube_share;uOU7vltSgMc]
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