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  1. http://journalmetro.com/plus/vacances/972394/chasse-aux-fantomes-a-griffintown/ 31/05/2016 Mise à jour : 31 mai 2016 | 23:20 Chasse aux fantômes à Griffintown Par Dominique Cambron-Goulet Métro Des vestiges de l’église Sainte-Anne sont encore bien visibles aujourd’hui. Chantal Levesque/Métro Il n’y a pas que les châteaux d’Écosse qui sont remplis de fantômes. Certains lieux de la métropole recèlent des histoires à faire peur, et il est possible de les découvrir grâce aux visites guidées de Montréal hanté. Aperçu de la visite du Griffintown hanté. Histoire du quartier Le premier arrêt de cette tournée du Griffintown hanté est un terrain abandonné de la rue Barré. «C’est ici que j’explique l’histoire de Griffintown, précise Donovan King, fondateur de Montréal Hanté. Durant la famine de 1847, Griffintown est devenu le bidonville le plus célèbre du Canada parce que 75 000 réfugiés irlandais y sont débarqués, alors que le quartier ne comptait auparavant que 50 000 citoyens.» Peu après, une épidémie de typhus a ravagé Griffintown, et de nombreuses fosses communes y ont été creusées. Héritage irlandais Ces Irlandais ont amené bien des traditions avec eux. «Lors des funérailles, il n’était pas rare que les corps soient exposés debout et que les gens festoient ou même dansent avec le cadavre, explique M. King près des vestiges de l’église Sainte-Anne, dans le parc du Faubourg-Sainte-Anne. Il y a trois ans, un homme qui magasinait un condo a vu un prêtre fantôme se matérialiser ici, ainsi qu’un cercueil avec un chœur d’enfants.» Écrasement meurtrier Une tragédie méconnue est survenue à Montréal en 1944, quand un bombardier qui avait décollé à Dorval s’est écrasé dans Griffintown, tuant les 5 membres d’équipage et 10 personnes au sol, et détruisant triplex. «Des gens disent qu’il s’agit d’un sabotage. En effet, un enfant a trouvé une pièce d’or sur le site de l’écrasement, et on sait que les joyaux de la Couronne étaient gardés dans l’édifice de la Sun Life durant la Deuxième Guerre mondiale», raconte Donovan King. Il n’a toutefois jamais été prouvé que les joyaux se trouvaient à bord du bombardier. La prostituée sans tête Un arrêt au coin des rues William et Murray, le lieu que hanterait le fantôme de Mary Gallagher, est le clou de la visite. «Le 27 juin 1879, Mary Gallagher, une prostituée de 38 ans, a été massacrée par sa meilleure amie, Suzy Kennedy, raconte Robusquet, comédien qui sert de guide pour le parcours en français. Tous les sept ans depuis 1879, des gens voient son fantôme décapité errer ici. Apparemment, elle chercherait sa tête.» Sa dernière apparition date de 2012. Oserez-vous aller vous promener à cette intersection en 2019? Infos Les comédiens-guides de Montréal hanté offrent depuis quelques années des visites des lieux hantés de Montréal en anglais. À partir du 3 juin, des excursions en français auront lieu les vendredis à 20 h, et ce, jusqu’au 7 octobre. Les visites du Griffintown hanté et du mont Royal hanté sont offertes en alternance.
  2. http://www.boma-quebec.org/details-autres/2016-04-19/montrEal-6e-edition-le-montrEal-du-futur MONTRÉAL - 6e édition - LE MONTRÉAL DU FUTUR® <section class="news events details module block" style="box-sizing: border-box;"><article class="event-article" style="box-sizing: border-box;"> <header class="news-header event-header content" style="box-sizing: border-box; line-height: 1.8em;">19 avr. 2016 au 25 avr. 2016</header>La Grande-Place du complexe Desjardins Quartier des Spectacles, Montréal Téléchargez le plan de visibilité ici </article></section>
  3. Cher monsieur Coderre en ce qui concerne les réfugiés: Question qualité prix c'est pas mal mieux a Toronto.En plus le federal payent 80% de leurs salaires. Ton copain Dorais va etre la seulement 3 mois ouaip pas fort tant qu'a y etre il ne serait pas la et ca ne changerai pas grand chose. http://www.lapresse.ca/actualites/201512/11/01-4930118-refugies-quatre-employes-a-toronto-pour-le-prix-dun-a-montreal.php Problemes majeurs ici au Quebec les immigrants ne restent pas ici. Pas de jobs pour eux. On leur compliquent la vie pour obtenir un permis de conduire. On leur bloque le chemin pour les jobs avec les ordres professionnel qui creer de la rareté artificiel de main d'oeuvre.
  4. On dira ce qu'on voudra des nombreux festivals en ville, qu'on les aime ou non cela importe peu, mais on doit avouer que Montréal tire profit de toute cette ''frénésie'' et cet engouement que crée les festivals. Il y a une ''vibe'' assez incroyable, surtout en été, et cela emmène sans aucun doute des retombées qui vont au delà du domaine financier. Peut-être pourrions nous profiter de ce nouveau fil pour inclure les articles/clips vidéos qui se rapportent aux festivals. Je commence ici avec ce magnifique petit clip de 4 minutes du festival juste pour rire. Un bon clip dynamique et qui met en valeur autant les humoristes québécois, Français, américains et canadiens anglais.
  5. Bonjour à vous! Je capote sur cette section, vraiment les plus belles photos de Montréal que j'ai vu sont ici. Je trouve ça très cool de voir qu'il y a autant de passionnés de la ville! Je suis aussi photographe et il y a quelques années je me suis rendu compte qu'il est très facile de décoré son salon avec des photos de Paris, New York, Londres... mais à l'époque il n'y avais rien de Montréal. Nada. Alors j'ai décidé de prendre les choses en main et j'ai créé Mirage Noir, une collection d'images de Montréal faite exprès pour la décoration d'intérieur. Vous pouvez voir la collection au complet ici: Mirage Noir, photos de Montréal Il y a en de nouvelles en préparation aussi! J'espère que vous allez aimer ça
  6. Bonjour communauté mtlurb, est-ce qu'il y a quelqu'un qui à plus de nouvelles concernant ce projet ? En passant devant ce matin, j'ai remarqué que l'édifice au complet avait été démolit, là où jadis, il y avait un Second Cup 24h. Le site mondev.ca de condos ne parle en rien d'un projet à cet endroit et je n'ai rien trouvé ici même. Merci ce matin, 10 novembre 2014 septembre 2012
  7. L'ÉTS a lancé un appel d'offres pour la décontamination et la démolition des bâtiments I et J de l'ancienne brasserie Dow. Je ne sais pas à quelle partie réfèrent les lettres I et J. Peut-être est-ce l'entrepôt donnant directement au coin de Notre-Dame et Peel? https://www.seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=ab314d8d-ab20-4063-9c03-3d3251b8b4e0&SubCategoryCode=C03&callingPage=4&ColumnAction=1&VPos=232 Edit: Le bâtiment ici recouvert de toiles vertes est le bâtiment I: [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.496064,-73.5615&spn=0.000004,0.002588&t=h&z=19&layer=c&cbll=45.496064,-73.5615&panoid=LGBWkbe-xRx4bJwHzf-G9Q&cbp=12,162.42,,0,0.56[/sTREETVIEW] Et celui-ci est le J: [sTREETVIEW]https://maps.google.ca/maps?hl=fr&ll=45.495657,-73.56102&spn=0.000008,0.005177&t=h&z=18&layer=c&cbll=45.495223,-73.56102&panoid=tDrv_0PxnD5CL5YNxm__JA&cbp=12,325.95,,2,-3.43[/sTREETVIEW]
  8. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/401486/la-main-retourne-a-ses-sources
  9. Pour chaque article négatif sur Montréal, il y en a autant de positif. Malheureusement, il faut regarder ailleurs que sur ce forum qui ne jure que par une négativité malsaine à sa survie. Alors, pour contrebalancer le "vibe" en ce moment. Voilà un exemple que Montréal peut être l'envié de d'autres grandes métropoles mondiales. Un blogueurs de Philadelphie a visité dernièrement Montréal et a trouvé 10 points que notre ville à qu'ilaimerait voir à Philly. Je vais passer les textes complets que je vous invite à lire ici source: Phillymag 1. Funner Murals 2. Good-Looking Mayoral Candidates (Mélanie Joly) 3. Pay-Anywhere Parking Meters 4. A Lack of Litter 5. Horse Meat 6. Pay Phones 7. Bikeshare 8. Jean-Talon Public Market 9. A Vertical Attraction (La Tour du Stade) 10. Nice Cab Drivers Comme quoi le gazon n'est pas toujours plus vert chez le voisin.
  10. C'est beau de voir les commentaires qui suivent. En général, assez positifs! http://blogues.lapresse.ca/avenirmtl/2013/09/11/traumatisme-historique/#comments
  11. Ruisseau Molson : géolocalisation avec photos aériennes de 1947, Boisé entre Notre-Dame et Hochelaga D'autres vidéos ici: http://www.youtube.com/results?search_query=ruisseau+molson&oq=ruisseau+molson&gs_l=youtube.3...621375.626339.0.626962.15.13.0.2. 2.0.669.2141.7j3j1j1j0j1.13.0...0.0...1ac.1.11.you tube.X7WLMaMAQbk
  12. J'aime MTL Ville verte et sécuritaire. Je ne suis pas fanatique du ..JDM,mais ils font une chouette série sur la perception de MTL par les immigrants et les visiteurs. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/belle-aux-yeux-des-autres Originaire de Rio de Janeiro, la chanteuse Bïa a choisi de vivre à Montréal parce qu’elle juge que c’est l’endroit idéal pour élever son enfant. «Rio de Janeiro, d’où je viens, c’est une ville extraordinaire, mais extraordinairement violente aussi, raconte Bïa. Là-bas, je ne pourrais pas laisser mon jeune fils traverser la rue ou faire du vélo tout seul. Pour avoir un niveau sécurité acceptable, à Rio, il faut être riche et vivre dans un quartier protégé. «À Montréal, je veux faire partie de la classe moyenne heureuse. On a ici des quartiers sécuritaires et beaux pour des familles modestes. Ça n’aurait pas pu être comme ça à Rio. Si j’avais voulu une bonne éducation pour mon fils, il aurait fallu, là encore, que je fasse partie d’une caste privilégiée.» Pendant longtemps, la chanteuse vivait presque la moitié du temps à Cassis, en France. «Mon amoureux québécois et moi faisions constamment la navette entre la France et Montréal… Mais c’est finalement plus moi qui ai craqué pour Montréal et c’est ici que nous nous sommes installés. C’est agréable et simple de vivre ici. Pour se permettre la même qualité de vie à Paris, par exemple, il aurait fallu que je sois une vedette internationale de la chanson!» Après avoir vécu dans des mégalopoles comme Rio, São Paulo et Paris, Montréal ne semble pas gigantesque ou impersonnelle. «C’est une métropole à dimension humaine. C’est cosmopolite et il y a des gens de partout, mais l’individu n’y étouffe pas. Il y a un grand nombre d’espaces publics où les gens peuvent se retrouver. Pensez au nombre de parcs où les Montréalais peuvent pique-niquer l’été et faire de la luge avec leurs enfants pendant l’hiver. Il ne manque pas de piscines publiques ni d’aires de jeux. Un véritable voisinage se crée. Malgré ce côté petit et chaleureux, Montréal n’a rien de provincial, au sens péjoratif du terme, et l’offre culturelle est importante.» Les révélations de la commission Charbonneau ne la dépriment pas. «Ça fait naître l’espoir que la blessure va guérir, maintenant qu’on peut la voir, dit Bïa. Toute cette corruption se passait grâce à la loi du silence et c’est bien si les gens parlent enfin. Si Montréal vient à bout de ses problèmes de corruption dans le monde de la construction, imaginez quelle ville extraordinaire on aura.» Les coups de cœur de Bïa DÉCONTRACTION VESTIMENTAIRE ►«Dès le début, j’ai été étonnée par la grande tolérance vestimentaire des Montréalais. On peut avoir n’importe quels style, tribu, manie ou fantaisie, et personne ne vous regarde de travers. Il y a des filles en minijupe en plein hiver, des gars gothiques, des métrosexuels, des gars en complet-veston, pourquoi pas? À Montréal, on est élégant si on veut. Ça me charme, ce côté moins snob de Montréal. RÉSEAU CYCLABLE ►«Pour moi, le vélo qui peut servir à tout, c’est une révélation montréalaise. Ici, j’ai un horaire et des obligations, mais je fais presque tout à vélo ou à pied. J’utilise la voiture seulement deux fois par mois.» RESTAURANT LA SALA ROSSA ►«C’est un restaurant que j’adore. La paëlla est très bonne. On peut commander des repas pour deux pour moins de 20 $. Il y a des entrées avec des boules de fromage de chèvre dans le miel avec des amandes grillées. C’est délicieux. Il y a de la bonne musique. Rien de mauvais au menu. Tout est abordable. 4848, boulevard Saint-Laurent Info : 514-844-4227 LE CENTRE PÈRE-SABLON ►«C’est un centre sportif communautaire sans but lucratif, mais très beau et très convivial. Mon fils de sept ans et y fait plein d’activités. Il y a aussi beaucoup de beaux projets de camp de jour l’été.» LES CRÉATRICES DE MODE MARIEC ET MÉTAMORPHOSE ►«À cause de mon métier, je dois changer de robe souvent et je suis une habituée des ventes d’atelier des créatrices de mode MarieC et Karine Demers, dont la marque s’appelle Métamorphose. Leur style, leurs couleurs, leur design me vont bien, autant pour mes spectacles que pour sortir. Elles utilisent des tissus de qualité, agréables, sensuels.» http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/ville-verte-et-securitaire http://www.journaldemontreal.com/2013/02/08/on-est-mince-et-en-forme Un Torontois amoureux de Montréal. http://www.journaldemontreal.com/2013/02/09/un-torontois-amoureux-de-montreal
  13. J'ai trouvé çà à Hollywood qui vient d'ouvrir, http://www.littleforkla.com/ et puis un bagel shop à Beverly Hills qui s'inspire de Montréal mais d'après les clients qu'on voit ici...
  14. Voici un petit projet qui sort de l'ordinaire. Il ne s'intègre pas trop avec son voisin de gauche mais un peu plus avec celui de droite (pour la hauteur). Disons qu'il y a certainement un peu plus d'audace ici. http://www.closst-dominique.com/
  15. Pendant trois jours, Montréal deviendra la capitale des startups, ces entreprises en démarrage. Le Festival international du startup commence demain, le mercredi 11 juillet, et se termine vendredi. Il est exclusivement consacré à l’entrepreneuriat technologique et à ses acteurs. L’événement a lieu au Vieux-Port de Montréal et rassemble autant les entrepreneurs aguerris que les nouveaux venus dans l’industrie, des innovateurs ou des investisseurs, d’ici ou de l’étranger. Un événement vraiment international L’événement en est à sa deuxième année d’existence. L’an passé, il a attiré 1100 personnes et on s’attend à la même affluence cette année. Près de 32 % des participants venaient de l’extérieur du Québec en 2011 et, cette année, encore davantage de gens d’ailleurs sont attendus, en provenance notamment de New York et de Toronto. Le Startup Festival est l’endroit où se trouver cette semaine pour les entrepreneurs en technologie et les investisseurs. Des conférenciers de haut niveau Pour les gens de la scène techno, la liste des noms des conférenciers s’apparente à un véritable palmarès (même si ceux-ci ne sont pas très connus du grand public) : Stowe Boyd, analyste/recherchiste des nouvelles tendances Dave McClure, investisseur de San Francisco et fondateur de l’incubateur 500 Startups Craig Walker, qui a vendu à Google sa compagnie, Grand Central, aujourd’hui Google Voice Graham Hill, fondateur de Treehugger.com et vice-président interactif de Discovery’s Planet Green Tara Hunt, Américaine établie à Montréal et citée par Fast Company comme l’une des 25 femmes d’affaires à surveiller Et encore beaucoup d’autres… Philippe Telio, l’homme derrière le Startup Festival Ce festival n’aurait jamais eu lieu sans l’initiative de Philippe Telio, président d’Embrase, une société montréalaise de service-conseil pour entreprises en émergence. Passionné de réseautage, il avait déjà organisé à Montréal des startup camps, c’est-à-dire des non-conférences de geeks qui réunissent des passionnés de techno et d’affaires. Quand il a vu que près de 700 personnes y assistaient, il savait qu’il devait passer à la vitesse supérieure. Un des gros problèmes [sur la scène locale], c’est que nos entrepreneurs doivent être exposés à l’entrepreneuriat international. Ce n’est pas assez d’être juste ensemble et d’en parler. Il faut réellement s’inspirer et se connecter avec d’autres communautés dans le monde. On ne peut envoyer tous nos entrepreneurs partout dans le monde, c’est beaucoup trop cher. Il y en très peu qui peuvent se permettre de voyager à New York, à San Francisco ou à Paris. Alors, au lieu d’aller aux autres conférences, on amène le monde ici, à Montréal. Faire une différence Philippe Telio adore être un connecteur. Il a lancé son Startup Festival l’an passé sans savoir si ce serait un succès ou échec (ça a été un succès). L’assistance est principalement composée de passionnés qui adorent échanger sur le domaine des entreprises dans le domaine des technologies. C’est très « organique ». On organise, mais pas trop. On laisse de la place pour que les choses se fassent naturellement. C’est quand on crée le bon environnement et qu’on met les bonnes personnes dans la salle que de bonnes choses se produisent. Cette logique d’organisation commence à intéresser les gouvernements. Pour Philippe, rassembler de la sorte les gens et les opportunités constitue de plus en plus une façon de faire aboutir les choses. Par ailleurs, organiser de tels événements est beaucoup plus facile qu’avant grâce aux nouvelles technologies de réseautage. Il croit qu’éventuellement le gouvernement soutiendra davantage ce genre d’initiative, même si les retombées sont difficiles à mesurer, en termes par exemple d’emplois créés, d’investissements ou d’entreprises étrangères qui s’établissent ici. Son Startup Festival joue ici un rôle structurant dans le milieu. Il offre de réelles opportunités d’affaires en favorisant les rencontres. C’est aussi un excellent véhicule pour transmettre les connaissances et éduquer les entrepreneurs aux meilleures pratiques du monde entier. Pour ceux et celles qui « désirent faire leur marque dans l’univers » (pour reprendre une phrase de feu Steve Jobs), voilà un bel endroit pour commencer… ou pour observer ce qui demain sera à la une de la section techno des médias. http://blogues.radio-canada.ca/triplex/2012/07/10/startup-festival-2012-lentrepreneuriat-technologique-qui-change-le-monde/
  16. J'aurais pu le mettre dans la section bouffe et culture, mais comme il y a des opinions de délégués de l'extérieur, je l'ai posté ici. Peu importe en réalité..... [video=youtube_share;HyLXWY2qC4Q]
  17. Selon Vaillant sur SSP : Étrange pour le moment puisque le PPU de Griffintown ne permet rien de plus de 20 étages. À moins que ça ne vise un autre secteur de Griffintown qui n'est pas sujet au PPU ? @Vaillant : pourquoi ne pas avoir rapporté la nouvelle ici ?
  18. L'angoisse, la peur, la précarité: chaque jour, à Montréal, plusieurs dizaines de milliers d'immigrés organisent leur vie autour d'une donnée majeure: leur situation illégale. Ils sont demandeurs d'asile déboutés, parents d'enfants canadiens, touristes venus ici non pour voyager mais pour travailler, ou encore entrés ici illégalement. Les chemins qui les ont menés à la clandestinité sont nombreux. Ils n'ont pourtant qu'une seule destination: la vie sans statut, le cul-de-sac juridique. Pendant des mois, voire des années, ils survivent dans l'anonymat le plus complet. De petits boulots payés au noir, dans des conditions qui dérogent aux normes québécoises, leur permettent de subsister. Ils n'ont pas accès à l'aide sociale ni à l'assurance maladie. Ils rasent les murs, hésitent à sortir de l'anonymat, de peur d'être dénoncés aux autorités canadiennes, arrêtés, renvoyés vers leurs pays. Ils sont prisonniers d'une vie quotidienne, privés des libertés les plus simples. On estime à plus de 250 000 personnes le nombre de clandestins au Canada, dont près de 40 000 à Montréal, qui vivent et travaillent à nos côtés. La Presse a rencontré certains d'entre eux, qui ont accepté, non sans réticence, de nous raconter leur existence sans statut au Canada et leur rêve d'une vie normale. http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201205/06/01-4522453-40-000-clandestins-se-terrent-a-montreal.php nb:donc en fait la population réelle de la ville et du MTL Métro est supérieure de 40.000 habitants de facto.
  19. Je sais pas si cela a déja été mis ici, mais une carte du plan de TEC tel qu'imaginé en 1981 Courtoisie de ce site http://www.montrain.ca/
  20. http://journalmetro.com/actualites/montreal/57516/montreal-une-belle-ville/ Montréal, une belle ville? Par Annabelle Blais Métro À force d’y vivre, on n’y prête plus attention. On aime son quartier, on perd patience en roulant dans les nids de poule et on se décourage devant tant de nouveaux condos. Mais dans son ensemble, Montréal est-elle une belle ville? Métro a demandé l’avis de quatre personnes qui ont l’habitude de poser leur regard sur la métropole. Frédérick Metz, professeur à l’École de design de l’UQAM Quel mot décrirait le mieux Montréal? Confusion. Ici, tout va dans toutes les directions. C’est hétéroclite. Montréal n’est pas une belle ville; d’ailleurs, mars et avril sont les deux mois où elle est le plus horrible. Un touriste ne devrait jamais venir ici durant ces mois. Les rues sont toujours grises et pleines de nids de poule. Que manque-t-il à Montréal? Il faudrait malheureusement un maire qui soit un «dictateur intelligent». Une personne qui se fiche des opinions et qui fonce. En fonçant, on fait des erreurs, mais on fait aussi de bons coups. Le maire de Québec en est l’exemple parfait. Il n’y a aucune folie à Montréal. Le Palais des Congrès était l’endroit rêvé pour ça : une construction sur une autoroute aurait pu devenir le point de mire des touristes, mais on en a fait une bâtisse rectangulaire, banale, moche, sans âme. On aurait pu mettre quelque chose de fantastique à cet endroit-là : un chou-fleur, un brocoli, une carotte, un âne. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? Le Vieux-Montréal est fort sympathique. Si on parle de nouveautés, je dirais que la seule belle chose qui a passé l’épreuve du temps, c’est la Place Ville-Marie. C’est le plus vieux bâtiment contemporain de Montréal, et il a inscrit la ville dans la modernité. Et un endroit qui vous fait honte? Le 1000 de la Gauchetière. C’est une catastrophe, quel*que chose de rare! Ça a l’air d’un pénis posé avec ses deux boules… C’est épouvantable. Carole Spandau, peintre qui se spécialise dans les scènes urbaines montréalaises Est-ce que Montréal est un beau sujet à peindre? Absolument. J’ai commencé en peignant des portraits. Puis, j’ai eu envie de représenter le «visage» de Montréal. Montréal est une belle ville. Oubliez les nids de poule. Ceux qui y vivent ne réalisent pas toujours la chance qu’ils ont. Si les gens levaient un peu les yeux et regardaient les immeubles… Qu’est-ce qui vous fascine à Montréal? Les dépanneurs! C’est typiquement montréalais. J’aime peindre l’avenue du Parc, avec le Rialto. L’architecture y est incroyable. Le Plateau est mon terrain de jeu. Je vous mets au défi de nommer une autre ville où l’on retrouve des escaliers extérieurs sur trois étages. Il n’y en a nulle part ailleurs. Nos quartiers, comme Saint-Henri, ont conservé leur caractère respectif. On a trop tendance à tenir ça pour acquis. La joie de vivre est importante à Montréal. Mes scènes d’hiver sont très colorées, et je mets de la chaleur dans les couleurs. J’adore aussi le Vieux-Montréal en été. Y a-t-il un lieu que vous ne voudriez pas peindre? En tant qu’artiste, j’essaie toujours de rendre le lieu plus beau. Je remarque les détails. Je pourrais passer sans prêter attention à un bâtiment, mais, si je le regarde de plus près, je lui trouverai toujours quelque chose de beau, d’intrigant. Mais je ne peindrais jamais un centre commercial. Les condos ne sont pas faciles à peindre non plus. C’est un plus gros défi. Ce sont de grands carrés. Je rajoute toujours un peu de présence humaine, des fleurs, un chien, des bicyclettes. Le site de l’artiste Gilles Saucier, architecte Est-ce que Montréal est une belle ville? Je pense qu’elle a le potentiel d’en être une. Comme sa nature est variée et cosmopolite, elle a la capacité de se transformer sur le plan architectural. Mais il faut poser les bons gestes et saisir les occasions. En outre, on devrait revoir les critères d’attribution des projets. La règle du plus bas soumissionnaire exclut souvent les meilleurs créateurs. Ça n’encourage pas la qualité, mais l’efficacité. Du côté des bâtiments privés, la multitude de condos qu’on construit, d’une «texture» assez pauvre, m’effraie. Une ville, ce n’est pas un ou deux projets, mais un ensemble, qui crée une sorte de texture. Et cette «texture» contem-poraine doit être nourrie par des idées nouvelles. Y a-t-il un lieu à Montréal qui vous fait honte? Ce n’est pas tant un lieu que la façon dont on bâtit les condos avec de la brique brune. Ce sont juste des cubes avec des fenêtres. Pourtant, l’habitation représente le cœur même de la texture montréalaise. Elle doit être soignée. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? La cohabitation entre le contemporain et l’historique, aux abords du Vieux-Montréal. Cette dualité est fascinante. La mise en valeur de cette cohabitation est ce qui pourrait le mieux caractériser Montréal. Le respect de l’ancien, mais dans une forme contemporaine. Que manque-t-il à Montréal? Il ne faut pas prévoir des espaces publics uniquement pour accueillir les festivals, mais aussi pour qu’ils servent aux citoyens. Ces espaces ne doivent pas être réservés aux gens qu’on invite, qui sont de passage : ils doivent aussi être utiles aux gens qui habitent Montréal et qui «font» la ville. Jacob Tierney, cinéaste Est-ce que Montréal est belle? Oui et non. Il y a des problèmes ici, mais Mont-réal reste une belle ville. On a plein d’immeubles vraiment dégueulasses, on a des trucs comme l’autoroute Décarie et la Métropolitaine. Le centre-ville, avec le boulevard René-Lévesque, est assez décourageant… Dans vos films, Montréal est très présent. Est-ce un personnage important? Ça dépend du film. Dans mes deux derniers longs métrages, je vou*lais que le public sache que l’action se passait à Montréal. Ça tient parfois à de petits détails. Je tenais à tourner au «chair square», au coin de Saint-André et Roy. Pour moi, c’est un petit clin d’œil à la ville. Montréal peut être le héros ou le vilain de mon film. Cette ville est très polyvalente, elle peut représenter n’importe quoi! C’est vraiment bien pour quelqu’un qui raconte des histoires visuelles. Un lieu qui vous fait honte à Montréal? Je ne filmerai jamais le Stade olympique, que j’haïs. Il y a d’autres lieux moches, mais le Stade est tellement grand… On ne peut pas l’éviter. De plus, il y a trop de condos ici. Y a-t-il un lieu qui vous rend fier d’être Montréalais? Je me promène au moins trois fois par semaine dans le parc Lafontaine. C’est un endroit où on peut se perdre. On a beaucoup de parcs comme ça à Montréal. J’aime aussi beaucoup l’oratoire Saint-Joseph. C’est tellement cool et tellement bizarre! Il n’y a pas beaucoup de villes en Amérique du Nord qui ont ce genre de bâtiment. Par Annabelle Blais Métro
  21. http://www.journaldemontreal.com/2012/04/07/900-pour-quelques-notes 900$ pour quelques notes Deux musiciens devront payer 434 $ chacun pour avoir joué de leurs instruments dans la rue Mélanie Colleu Publié le: samedi 07 avril 2012, 18H57 | Mise à jour: dimanche 08 avril 2012, 24H27 --- Vous en pensez quoi? Que peut-on faire pour stopper la ville dans ses croisades contre le bruit? On ne parle pas ici d'un coin résidentiel mais d'une intersection hautement achalandée par des gens qui sortent dans les bars, salles de spectacles, cinémas... Pour ma part je considère cela honteux.
  22. Source: Société immobilière du Canada Location: Montréal Un nouvel appel public de déclaration d’intérêt a été publié à la section des appels d’offres, au sujet de la propriété de la SIC à Longueuil, au Québec. Vous pouvez consulter l’entente de partenariat pour un développement immobilier en cliquant ici. http://www.clc.ca/sites/default/files/Appel_public_de_declaration_dinteret-Longueuil_Quebec.pdf
  23. On démolit une pizzeria pour faire place à un pojet de condo qui ressemble un peu au Gounod I et qui est situé de billet, sur la meme rue: http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/15343-Le-Gounod-3-étages?highlight=gounod D'ailleurs, c'est par le meme promoteur. La pizzeria est déjà fermé. Too bad, j'aimais bien leur poutine !!! Voici le site web (mais je n'arrive pas à extirper le rendu pour la mettre ici) : http://www.montrealdevelopers.com/montreal-condo/LE-GOUNOD-II-montreal.html?ProjetID=101
  24. Rien d'exceptionnel ici sauf qu'on continue de densifier ce secteur qui en a besoin. Je parle ici de tout ce qui se trouve à l'ouest du boul St-Laurent et au sur de Jean-Talon. Ici on a 3 étages plus terrasses. Bien sur qu'on pourrait faire mieux mais bon ! Je crains qu'on soit en train de banaliser un petit secteur qui aurait le potentiel d'avoir une personalité assez distincte. Situé au nord du Mile End je crois qu'on pourrait se forcer un peu et avoir de l'imagination. http://www.coursmile-ex.com/index.php
  25. Voici un article qui relate la vente prochaine de la maison Louis-Hippolyte La Fontaine à des intérets chinois. Je trouve que c'est une bonne nouvelle et j'espère qu'ils feront bon usage de cette maison historique. Par contre, ce que je trouve intéressant dans l'article c'est que les acheteurs sont plus intéressé par la hauteur permise dans le secteur que la maison elle-meme. Donc j'assume ici qu'ils ont acheté le terrain et qu'ils sont intéressé par la construction éventuelle d'un immeuble de 35 étages. http://www.journalmetro.com/linfo/article/927632--la-maison-sir-louis-hippolyte-la-fontaine-sur-le-point-d-etre-vendue selon Dinu Bumbaru :
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