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Atze

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Tout ce qui a été posté par Atze

  1. Source: http://www.montreal2025.com
  2. Il ne manque que le dernier étage. St-Laurent: Clark: Revêtement (la photo ne rend pas la couleur exacte):
  3. Atze

    Quartier Concordia

    Je trouve qu'il a un certain style, peut-être pas des plus actuels, mais je crois qu'on devrait le garder plus ou moins inchangé. Peut-être en redonnant un peu d'éclat à la couleur blanche et en ajoutant un éclairage pour le mettre en valeur.
  4. Merci Etienne J'aime beaucoup les rendus. Je suis très heureux de voir un toit vert sur les édifices.
  5. Le Taz renaît enfin de ses cendres Jean-Christophe Laurence La Presse Publié le 28 mars 2009 à 08h35 | Mis à jour à 08h37 Neuf ans plus tard, le roulodrome rouvre ses portes dans le quartier Saint-Michel. Plus beau, plus grand, mais aussi plus loin... Les «skateux» suivront-ils? Ce fut long. Plus personne n'y croyait. Mais finalement, c'est fait. Neuf ans après sa fermeture rue Berri, le nouveau Taz ouvre ses portes aujourd'hui au 8931, avenue Papineau, à l'entrée de la carrière Saint-Michel. D'une superficie de 35 000pi2, le nouveau centre compte 80 modules, une aire BMX, un coin pour les débutants, une piste de 200 mètres pour le patin à roulettes, une patinoire pour le roller hockey ainsi qu'une mezzanine avec bowls (la piscine) et zone trial (épreuves). Les travaux, entamés il y a un an, ont été réalisés avec un budget de 12 millions, dont les deux tiers répartis entre le municipal (2,5 M), le provincial (5 M) et le fédéral (2,5 M). À première vue, c'est une bonne nouvelle. Il y a longtemps qu'on attend la résurrection de ce qui fut jadis le coeur de la culture jeune à Montréal. On ne reviendra pas sur ce feuilleton en montagnes russes, assez bien résumé par notre collègue Lagacé dans sa chronique. Mais on peut se demander, au reste, si les «skateux» vont embarquer dans ce Tazmahal revisité. Avec toutes les polémiques qui ont entouré cet interminable dossier, le cynisme a fini par se mettre de la partie. Et l'enthousiasme s'est estompé. «Les sentiments sont partagés, explique Éric Blais, de South Parc, équivalent du Taz sur la Rive-Sud. Les «anciens» ont gardé comme un drôle de goût dans la bouche. D'un autre côté, les jeunes vont avoir un super beau parc pour rider dans un autre quartier de Montréal...» Aléas de la bureaucratie Paula Bersetti, codirectrice et cofondatrice du Taz, est bien au courant de ces «sentiments partagés». Elle et son partenaire, Michel Comeau, ont eux-mêmes un drôle de goût dans la bouche. Car cet inexcusable retard, se défend-elle, n'était pas tout à fait de leur faute. «On n'a pas le goût de passer pour des gens qui ont laissé traîner les choses, résume Mme Bersetti. On a été pris en otages par la bureaucratie et les élections à répétition. Littéralement. Il fallait toujours attendre que les trois ordres de gouvernements soient sur la même longueur d'onde. Pas évident quand les ministres jouent à la chaise musicale. Des fois, on se demandait si on était vraiment pris au sérieux...» Les protestations du concurrent Orkus n'ont pas aidé la cause, ajoute Mme Bersetti. En 2006, ce roulodrome privé en quête de gros sous a réclamé à grands cris les subventions destinées au Taz, toujours inexistant. Pourquoi eux et pas nous? disaient-ils en substance. Aujourd'hui, Orkus a fermé ses portes. Mais cette «campagne de dénigrement» a fait mal, reconnaît Mme Bersetti. Dans le doute, la Ville a retiré un quart de million destiné au volet culturel du projet. De nouvelles études de faisabilité ont été commandées. Et les «skateux» eux-mêmes ont commencé à trouver ça louche. «On nous a accusés de profiter de la lenteur du projet pour faire des sous, lance Mme Bersetti. Il ne faut quand même pas oublier que nous sommes un OSBL...» Moins central Évidemment, le nouveau Taz n'est pas l'ancien. Plus grand peut-être, mais aussi beaucoup moins central. L'ancien Taz était au métro Berri. Pour le nouveau, il faudra prendre un autobus (le 45) aux stations de métro Fabre ou Crémazie. A priori, cela pourrait en rebuter quelques-uns. Mais Paula Bersetti préfère voir à long terme. D'ici quelques années, le complexe environnemental Saint-Michel doit être transformé en immense parc, qui comprendra un skate plaza et un parcours ferré (ou via ferrata). Avec tout ça, le Taz pourrait finir par être un peu plus qu'un grand hangar au milieu de nulle part. «Il faut se donner du temps pour relancer la machine, dit-elle. Mais c'est un gros défi. On est partis d'un endroit où on ne payait pas cher de loyer à un édifice d'une valeur de 12 millions, qu'il va falloir entretenir, chauffer et éclairer.» Rappelons que les subventions ne concernaient que la construction du bâtiment. Désormais, le Taz devra se charger seul de ses coûts de fonctionnement. En principe, les activités courantes devraient suffire à financer les activités. Mme Bersetti vise 30 000 entrées la première année et souhaite atteindre 100 000 entrées dès la troisième année. «C'est notre chiffre magique.» Mais le nouveau Taz n'exclut pas la possibilité de partenariats et de commandites, question de multiplier les sources de revenus. «Le premier Taz a fonctionné par le bouche à oreille. Je ne vois pas pourquoi ça ne marcherait pas avec le nouveau» conclut Mme Taz. «Ce n'est peut-être pas la génération de l'ancien Taz qui va en profiter. Mais nous avons tenu notre promesse. Nous sommes revenus.» Le Taz est situé au 8931, avenue Papineau. Information: 514-284-0051 ou http://www.taz.ca. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/200903/28/01-841147-le-taz-renait-enfin-de-ses-cendres.php (28/3/200921H27)
  6. Infrastructures artistiques - De l'action malgré la crise Le Devoir Martine Letarte Édition du samedi 28 et du dimanche 29 mars 2009 Mots clés : Théâtre, Infrastructures, Conseil des arts de Montréal, Prix, Culture, Québec (province) « Avant, les gens devaient attendre dehors... » Travaux en cours au Théâtre Denise-Pelletier Les compressions budgétaires du gouvernement Harper et leurs conséquences font les manchettes depuis plusieurs mois. Si tout n'est pas rose, tout n'est pas noir pour autant. Plusieurs compagnies artistiques sont actuellement en train de bâtir de grandes réalisations pour leurs infrastructures. L'un des grands projets en cours est la reconstruction du Théâtre de Quat'Sous. Le projet, né il y a près de 15 ans dans l'esprit de l'équipe du Quat'Sous, a été annoncé officiellement en décembre 2006. «L'ouverture est prévue le 27 avril. Ce sera l'aboutissement de plusieurs années de travail», se réjouit Éric Jean, directeur artistique et général du Quat'Sous. Parmi les nouveautés, on retrouvera des éléments aussi essentiels pour un théâtre que des loges, une salle de répétitions, un chauffage adéquat, un système de climatisation et un hall d'entrée plus spacieux. «Avant, les gens devaient attendre dehors, s'exclame M. Jean. Nous utiliserons aussi le hall d'entrée pour accueillir d'autres formes d'art, comme des expositions de photos, des lancements de livres ou de disques, etc.» Après 54 ans d'existence, le Quat'Sous est donc sur le point de renaître, sans toutefois se dénaturer. «Nous demeurons un théâtre à l'italienne à l'échelle humaine, avec nos balcons et nos sièges fixes», précise-t-il. La reconstruction du Quat'-Sous a nécessité des investissements de 4,5 millions de dollars. Le ministère de la Culture a fourni 3,7 millions et le reste est venu du ministère du Patrimoine canadien, de la Ville de Montréal et d'une campagne de financement. Théâtre Denise-Pelletier Le Théâtre Denise-Pelletier bénéficie également d'une importante rénovation depuis l'automne dernier. «On refait la pente de la salle, le système électrique, le système de cin-tres, les passerelles, et on restaure le foyer d'origine du hall d'entrée», indique Rémi Brousseau, directeur général du Théâtre Denise-Pelletier. Pour sa part, la salle Fred-Barry aura droit à un système de climatisation et à une salle de répétitions. On refait aussi tout le revêtement extérieur du bâtiment, qui se mariera davantage à celui du Théâtre Denise-Pelletier. Une nouvelle marquise sera également installée au Théâtre Denise-Pelletier. «En défaisant l'ancienne, qui datait des années 70, on a découvert de petites balustrades qui mettaient en valeur la marquise originale des années 1930. Nous avons décidé de remettre à l'honneur ces éléments architecturaux, qui s'harmoniseront avec la nouvelle marquise, et celle-ci rappellera beaucoup la marquise d'origine», explique M. Brousseau. La réouverture est prévue à l'automne. Pour entreprendre sa cure de rajeunissement, le Théâtre Denise-Pelletier a pu compter sur le ministère de la Culture (8,1 millions) et sur Patrimoine Canada (2,4 millions), en plus d'avoir organisé une campagne de financement qui a rapporté 600 000 $. À la SAT La Société des arts technologiques (SAT) se lance également dans des travaux majeurs pour que son immeuble du boulevard Saint-Laurent, un ancien marché public, réponde mieux aux besoins. «Il faut réaménager tous les espaces et acheter de l'équipement», affirme Jean-François Jasmin, coordonnateur des communications à la SAT. Le projet le plus spectaculaire concerne certainement la façade, qui s'élèvera sur 12 mètres et sur laquelle se greffera une oeuvre lumineuse développée par Axel Morgenthaler. «Ce sera comme un immense store pixellisé qui sera installé sur la façade. Captée et réfléchie par les lattes motorisées, la lumière du jour ou de la nuit s'harmonisera avec la lumière technologique des pixels», explique M. Jasmin. Sur le toit de la SAT, on aménagera également une terrasse avec un service de restauration et la SATinoire, une installation lumineuse interactive destinée aux jeunes. La SAT présentera également différentes installations sonores éclatées, comme le rideau sonore à l'entrée qui évoluera avec les mouvements lumineux de l'oeuvre de Morgenthaler. Les travaux doivent commencer à l'automne, et tout devrait être opérationnel au début de 2010. «Jusqu'à maintenant, nous savons que le ministère de la Culture nous donne au moins deux millions, et nous avons plusieurs partenaires privés», précise M. Jasmin. Marie Chouinard Après plusieurs années de travail acharné, LA BIBLIOTHÈQUE-Espace Marie Choui-nard a été inaugurée en janvier dernier. En plus des bureaux et d'un entrepôt, l'immeuble complètement rénové du 4499, avenue de l'Esplanade comprend un gymnase spécialisé, des vestiaires, des douches, une cuisine, un salon vert et deux studios avec planchers résilients, dont un de 3625 pieds carrés, sans colonnes. Enfin, l'immeuble a une vue imprenable sur le mont Royal, élément d'inspiration très important pour la créatrice depuis ses débuts. Toujours dans l'attente Si des projets se concluent, d'autres attendent toujours la première pelletée de terre. C'est le cas, évidemment, de la déjà future salle de l'OSM. Après avoir remis leur proposition technique en novembre dernier, les trois consortiums intéressés par le projet ont déposé au début du mois leur proposition financière auprès de l'Agence des partenariats public-privé. Le nom de la firme qui obtiendra le contrat sera connu très bientôt, d'autant plus que la livraison de la future salle est prévue en 2011. Le nouvel espace pourra accueillir 1900 spectateurs, 200 choristes et 120 musiciens. Le budget total du projet, évalué à 105 millions en 2006, sera revu à la hausse. Au théâtre La Licorne, on attend toujours des sous du gouvernement fédéral pour lancer le projet d'agrandissement qui permettrait aux deux salles d'accueillir plus de spectateurs, mais aussi de fonctionner de façon indépendante. «Actuellement, ce n'est pas possible puisque l'insonorisation est déficiente et que nous manquons d'espace dans le hall d'entrée», indique Danièle Drolet, directrice administrative et des communications. Le théâtre, qui n'a pas bénéficié de rénovation majeure depuis 20 ans, réorganiserait aussi son espace et améliorerait ses équipements pour être en mesure de mieux accueillir les productions actuelles. Et, enfin, La Petite Licorne serait climatisée! «Nous sommes prêts, indique Mme Drolet. Nous avons amassé 400 000 $, et l'immeuble voisin nous est réservé. Nous avons une entente de principe avec le gouvernement provincial et nous espérons une réponse du fédéral au printemps.» http://www.ledevoir.com/2009/03/28/242181.html (28/3/2009 13H34)
  7. Les prix des immeubles locatifs seront à la baisse pour longtemps Les Affaires Bernard Mooney Selon vous, quel sera l'effet de la crise financière sur les prix des immeubles locatifs et sur l'offre et la demande de loyers au Québec ? - Étienne L'évolution du marché immobilier à long terme dépend de l'économie, des taux d'intérêt et de la croissance démographique. Et il est évident que la crise financière aura un effet sur ce marché. Il faut s'attendre à une baisse des prix des immeubles, ou à tout le moins à une stagnation des prix sur une longue période, selon les marchés. En principe, plus les prix ont grimpé, plus ils devraient baisser. Par ailleurs, la baisse sera plus importante dans les régions les plus frappées par la récession. Alors, si vous prévoyez une grave récession au Québec, vous devriez également prévoir une forte baisse des prix, même s'il y a eu moins de spéculation ici que dans l'Ouest du pays. Les faibles taux d'intérêt sont un facteur qui limitent les dégâts, mais ils ne suffiront pas à enrayer la baisse des prix. Cela dit, l'investisseur ne devrait pas se laisser trop influencer par les prévisions macroéconomiques. Il devrait surtout faire ses devoirs, c'est-à-dire étudier les marchés qui l'intéressent, et se tenir au courant des transactions immobilières pour avoir une bonne idée de l'évolution des prix et se préparer à saisir les occasions. Par-dessus tout, il doit être très patient. Le cycle du marché immobilier prend de nombreuses années à se déployer.
  8. Un bâtiment de 20 millions dans le quartier chinois * A. Dubuc / Les Affaires * 21 mars 2009 La crise économique ne freine pas la construction du Plaza Swatow, un immeuble commercial situé sur le boulevard Saint-Laurent, dans le quartier chinois de Montréal. Le projet est évalué à 20 millions de dollars. Le chantier du bâtiment de six étages, appelé à devenir l'un des plus hauts du Chinatown, au sud de la rue De La Gauchetière, ne reste pas inaperçu avec sa grue et les échafaudages qui empiètent sur le trottoir. Le centre commercial et d'affaires de quelque 125 000 pieds carrés comptera un stationnement souterrain, un supermarché, des boutiques, des kiosques, une aire de restauration, des bureaux pour professionnels et un grand restaurant panoramique au dernier étage. C'est un richissime homme d'affaires de Hong-Kong, Kong Chu, qui finance le projet, dit Laurent Dong, directeur de l'exploitation de Swatow Développement. Ses partenaires locaux sont Mau Hay Cheung et Mau Sun Cheung, de Brossard, propriétaires de la boutique Swatow Import-Export établie à l'emplacement du futur immeuble, au 988-998, boulevard Saint-Laurent. Les travaux devraient être terminés à la fin de l'été et les premiers locataires emménageront d'ici la fin de l'année. http://www.lesaffaires.com/article/0/publication--lesaffaires/2009-03-21/490647/un-batiment-de-20-millions-dans-le-quartier-chinois.fr.html (27/3/2009 18H35)
  9. Pour ceux qui aimerait visiter: http://www.formulaires-recrutement.uqam.ca/VisiteHabitat67.asp?arg=0&activite=169 La visite semble être ouvert à tous et pas seulement aux étudiants de l'UQAM.
  10. Mirabel : ADM tourne la page sur «Rêveport» # Hugo Joncas, Les affaires # 07:51 On s’en doutait depuis un certain temps; c’est maintenant officiel. Aéroports de Montréal (ADM) réfléchit sérieusement à d’autres possibilités que le projet Rêveport pour recycler l’aéroport de Mirabel. On s’en doutait depuis un certain temps; c’est maintenant officiel. Aéroports de Montréal (ADM) réfléchit sérieusement à d’autres possibilités que le projet Rêveport pour recycler l’aéroport de Mirabel. « On souhaite que ça se fasse, mais on examine toutes nos options pour d’autres projets », indique Jean Teasdale, vice-président, fret aérien et développement industriel, d’ADM. Voilà trois ans que les entreprises françaises Oger International et IParks ont formé un consortium pour transformer l’ancien aéroport en un grand centre de divertissement. Les promoteurs prévoyaient recevoir jusqu’à un million de visiteurs par année. Mais Rêveport, un projet de 300 millions de dollars, est au point mort. M. Teasdale avait indiqué en octobre dernier que le financement du projet achoppait. Aujourd’hui, tout indique qu’ADM est passée à autre chose. M. Teasdale dit discuter avec d’autres acteurs. « Des gens ont montré de l’intérêt », dit-il sans plus de précision. Au congrès annuel du marché immobilier international tenu à Cannes, du 10 au 13 mars dernier, les discussions de couloir étaient corsées entre ADM et Oger International, membre du consortium Rêveport. « Dans ce dossier, notre patience a des limites », a lancé M. Teasdale à un représentant d’Oger, devant le kiosque de la délégation montréalaise, au Palais des Festivals. Gilles Assouline, porte-parole d’IParcs Canada, partenaire de Rêveport, n’a pas rendu nos appels. La recherche d’une nouvelle vocation à l’ancien aéroport de Mirabel relève d’une véritable quête du Graal. Le bâtiment d’un million de pieds carrés ne sert presque plus depuis qu’Air Transat a transféré ses vols à Dorval, à la fin de 2004. « Louer le tout en bloc, c’était beaucoup trop gros, dit Hubert Meilleur, maire de Mirabel. Y aller à la pièce, ce serait nettement plus réaliste. » Ainsi, les bureaux pourraient être loués à une entreprise; l’hôtel, à un exploitant spécialisé, et l’aérogare, séparé en deux ou trois parties pour des clients différents. Mais en ces temps de financement difficile, les projets éventuels risquent fort de tarder à décoller.
  11. CHUM: Montréal demande à Québec de court-circuiter la consultation Le Devoir Kathleen Lévesque Édition du mercredi 25 mars 2009 Mots clés : Benoît Labonté, Gérald Tremblay, CHUM, Hôpital, santé, Montréal, Québec (province) La Ville de Montréal ne souhaite pas voir le dossier du CHUM passer encore une fois par une série de consultations publiques, une démarche qui est normalement prévue en raison des modifications apportées au projet. L'administration Tremblay et l'opposition officielle à Montréal s'entendent pour réclamer du gouvernement du Québec de passer outre les règles de la démocratie municipale en procédant par décret pour lancer rapidement le projet de construction du futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM). «La Ville ne veut pas retourner en consultations publiques sur le CHUM. Il y a place pour le CHUM et le CUSM à une mesure d'exception», a tranché hier le vice-président du comité exécutif, André Lavallée, en écho à la sortie publique du chef de l'opposition, Benoit Labonté. «Il ne faudrait pas tomber dans la surconsultation qui ne nous mènerait qu'à du sur-place. Les Montréalais veulent que l'on procède alors que l'on a tous les éléments pour le faire», a déclaré M. Labonté. Les deux adversaires politiques réagissaient au fait que le dossier CHUM doit passer par une nouvelle série de consultations publiques puisqu'il a encore été modifié. La première fois, le processus s'était étendu sur 19 mois. L'Office de consultation publique de Montréal avait entendu 400 personnes et reçu 34 mémoires, et un règlement avait été adopté l'été dernier par Montréal. Mais depuis ce temps, trois versions du projet du CHUM ont été soumises à la Ville, qui s'attend à d'autres ajustements au fil des mois. La dernière proposition ne respecte plus le zonage. Il est maintenant question d'édifices de 85 mètres de haut plutôt que de 80 mètres. Cette augmentation de la volumétrie permettrait notamment la construction d'une plate-forme pour accueillir des hélicoptères. Aussi, le nombre de places de stationnement doublerait et enfin, le gouvernement souhaite raser l'hôpital Saint-Luc pour faire place au nouvel hôpital. Le 13 mars dernier, le maire Gérald Tremblay rencontrait les ministres Raymond Bachand, responsable de la région de Montréal, et son collègue de la Santé, Yves Bolduc. La porte a alors été ouverte à un décret ou à une modification législative puisqu'«on parle depuis 15 ans de projets qui sont fondamentaux pour l'avenir de Montréal», a précisé M. Lavallée. Benoit Labonté abonde dans le même sens. «Ce qui avait à être dit l'a été. [...] On n'a pas vraiment de raison de recommencer tout ce processus-là. Allons de l'avant. Faisons preuve de leadership et démarrons le projet rapidement», a soutenu M. Labonté. Quant à la formule de partenariat public-privé, fort critiquée depuis plusieurs semaines compte tenu de la crise financière mondiale, MM. Lavallée et Labonté refusent de se prononcer. «L'important, c'est que ça se fasse que ce soit un P, deux P, trois P. C'est à celui qui paie, en l'occurrence le gouvernement du Québec, de déterminer la meilleure formule de financement», a souligné Benoit Labonté. Le chef du parti Projet Montréal, Richard Bergeron, a adopté la veille une position diamétralement opposée. Dans une lettre adressée au premier ministre Jean Charest, M. Bergeron plaide que la population doit pouvoir donner son avis. Il demande également au gouvernement de renoncer au PPP qui risquerait, selon lui, de faire augmenter la facture payée par les contribuables. Selon un professeur de l'Université Columbia, à New York, Elliot Sclar, cité la semaine dernière dans le National Post, les PPP seront la prochaine génération du scandale des prêts hypothécaires à risques. http://www.ledevoir.com/2009/03/25/241640.html (25/3/2009 11H56)
  12. Étude d'impact sur la reconfiguration de l'échangeur Turcot - Plus d'autos créeront moins de pollution Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mercredi 25 mars 2009 Mots clés : Voitures, BAPE, Échangeur Turcot, Transport, Pollution, Montréal, Québec (province) Photo: Pedro Ruiz Le BAPE a rendu publiques hier les études d'impact réalisées pour le compte du ministère des Transport du Québec au sujet de l'échangeur Turcot. La publication de ces études n'a pas calmé la grogne des opposants au projet. La reconstruction de l'échangeur Turcot entraînera une augmentation de la circulation routière et l'abaissement des structures près du sol est susceptible d'augmenter les concentrations de polluants dans le secteur. Qu'importe, conclut le ministère des Transports (MTQ) puisqu'en 2016, les voitures seront moins énergivores, donc moins polluantes. Lorsque les travaux du nouvel échangeur Turcot seront terminés, 20 000 voitures de plus pourront y circuler, s'ajoutant ainsi aux 280 000 véhicules qui l'utilisent quotidiennement à l'heure actuelle. Les auteurs des études d'impact dévoilées hier par le Bureau d'audiences publiques sur l'environnement (BAPE) soutiennent toutefois qu'on observera une baisse généralisée des concentrations de polluants dans le quartier même si les voitures rouleront sur des talus, donc plus près du sol. On justifie cette prévision en faisant valoir que d'ici 2016, les gouvernements, principalement celui des États-Unis, obligeront les constructeurs automobiles à fabriquer des véhicules moins polluants. On précise toutefois que la modélisation effectuée ne tient pas compte des épisodes de congestion actuellement fréquents sur divers tronçons du complexe autoroutier. Mais comme on prévoit améliorer la fluidité de la circulation, on croit que les émanations polluantes seront du même coup réduites. Ces conclusions ont fait sursauter André Porlier, directeur général du Conseil régional de l'environnement de Montréal. «C'est le contraire de la réalité, et quand on regarde le bilan des gaz à effet de serre au Québec en 2006, la grande augmentation est attribuable au VUS et aux camions lourds. Comment peut-on assumer qu'il va y avoir une amélioration de l'efficacité des véhicules? Ça me semble tout à fait farfelu», commente-t-il. Quatre scénarios ont été étudiés par le MTQ pour remédier au vieillissement de l'échangeur, dont l'un qui envisageait la reconstruction de structures en hauteur. Le scénario retenu prévoit toutefois la reconstruction de l'échangeur près du sol. Ce scénario aura l'avantage d'améliorer le paysage, la sécurité routière, ainsi que la fluidité de la circulation, fait valoir le MTQ. Le projet retenu nécessitera l'expropriation de résidants du secteur et entraînera de nombreux inconvénients pendant la construction de l'échangeur. Les études d'impact examinent dans le détail l'ensemble des désagréments causés par le chantier. Daniel Breton, un des militants écologistes à l'origine de la Coalition Québec-Kyoto, reproche d'ailleurs au BAPE de s'intéresser davantage aux impacts qu'aura le projet pendant sa construction qu'après. On écarte ainsi une réflexion de fond sur le projet, déplore-t-il. En omettant de remettre en question les prétentions des promoteurs dans les projets qui lui sont soumis, le BAPE ne joue pas son rôle, soutient-il. De son côté, André Porlier s'est dit fort déçu que le MTQ n'ait pas intégré le transport collectif dans le projet malgré les revendications formulées non seulement par les groupes écologistes, mais également par la Ville de Montréal. Les travaux de l'échangeur, réalisés en partenariat public-privé, sont évalués à 1,5 milliard de dollars et s'échelonneront sur six ans. Ils devraient être terminés en 2016. Des séances d'information tenues par le BAPE auront lieu les 20 et 21 avril prochain. http://www.ledevoir.com/2009/03/25/241646.html (25/3/2009 11H53)
  13. Atze

    Fox News s'excuse

    Fox News s'excuse La Presse canadienne Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Fox News, excuses, Forces armées, États-Unis (pays), Canada (Pays) Ottawa -- Un animateur du réseau américain de nouvelles continues Fox News a offert ses excuses aux Canadiens, hier, après que des commentaires formulés dans son émission eurent outré le gouvernement Harper. Greg Gutfeld, l'animateur de l'émission Red Eye, a affirmé que ses commentaires et ceux de ses invités «ont été mal compris», et qu'ils ne voulaient pas manquer de respect envers «les braves hommes et femmes» servant dans l'armée canadienne et leur famille. Au cours de l'émission Red Eye, l'animateur et plusieurs chroniqueurs ont fait des blagues sur les soldats canadiens, laissant notamment entendre qu'ils voudraient prendre une pause de la guerre en Afghanistan pour aller «faire du yoga, se promener sur les plages en bermudas et se faire faire une manucure», a lancé l'animateur Gutfeld. «Ne serait-ce pas le moment idéal pour envahir ce pays ridicule? Ils n'ont pas d'armée!» Les propos ont été tenus après que le chef d'état-major de l'armée canadienne, le lieutenant-général Andrew Leslie, eut indiqué qu'une fois terminé le retrait canadien d'Afghanistan, les militaires auraient besoin d'une année pour reprendre des forces. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241449.html (24/3/2009 9H06) Pour ceux qui voudraient voir le clip en question: http://www.youtube.com/watch?v=wPmXKEsm-HE
  14. Je suis surpris de ce chiffre.... chaque fois que je vois les autobus de ce circuit, ils sont vides.
  15. Rue Saint-Paul - Des commerçants veulent marchander leur appui au projet de piétonnisation Le Devoir Jeanne Corriveau Édition du mardi 24 mars 2009 Mots clés : Rue Saint-Paul, piétonnisation, commerçants, Québec (province) La Ville de Montréal pensait pouvoir aller de l'avant avec son projet de piétonnisation de la rue Saint-Paul cet été, mais voilà que des commerçants s'y opposent. La Société de développement commercial (SDC) du Vieux-Montréal réclame l'abandon du nouveau circuit d'autobus 515 qui emprunte la rue de la Commune en échange de son appui à la piétonnisation d'un segment de la rue Saint-Paul, dans le Vieux-Montréal. Implanté en juin 2008, le circuit d'autobus 515 indispose les commerçants. L'aménagement d'une voie réservée dans la rue de la Commune a entraîné des bouchons de circulation importants dans cette artère ainsi que dans les rues environnantes, en plus d'éliminer plusieurs places de stationnement de courte durée, déplorent-ils. Le directeur général de la SDC, Daniel Soucy, estime qu'il faudra d'abord régler le problème de l'autobus 515 avant de songer à interdire la circulation dans un segment de la rue Saint-Paul. «Le Vieux-Montréal n'est pas fait pour les autobus. On veut que les gens marchent à pied», explique M. Soucy qui croit que le prolongement d'un circuit d'autobus existant dans l'axe nord-sud constituerait une meilleure solution. Après avoir consulté ses membres, la SDC s'était pourtant montrée favorable à la piétonnisation de la rue Saint-Paul, entre les rues du marché Bonsecours et Saint-Gabriel, du 19 juillet au 1er août. Mais si le circuit d'autobus est maintenu, la Ville n'aura pas l'appui des commerçants au sujet de la piétonnisation, a indiqué hier M. Soucy. Pour la conseillère du district Peter-McGill, Catherine Sévigny, il s'agit d'une volte-face difficile à comprendre. Il y a quelques mois, la Ville et la SDC s'étaient entendues sur les grandes lignes du projet, et les commerçants étaient majoritairement favorables, relate-t-elle. «Il va falloir qu'on évalue le tout, mais je pense que c'est important de piétonniser cette rue-là, a-t-elle indiqué au Devoir. Je ne peux pas comprendre que les commerçants ne veuillent pas au moins l'essayer.» Malgré le faible achalandage de la ligne 515, la Société de transport de Montréal (STM) estime que ce circuit a sa raison d'être, tout comme la voie réservée. Entre 1100 et 1200 personnes montent à bord de ces autobus chaque jour en semaine, ce qui n'est pas considéré comme une très bonne performance. En revanche, ce circuit a été implanté tardivement l'an dernier, signale la porte-parole de la STM, Marianne Rouette. L'administration Tremblay aurait voulu piétonniser la rue Saint-Paul dès l'an dernier, mais le maire de l'arrondissement de Ville-Marie, Benoit Labonté, avait bloqué le projet, estimant que le projet nécessitait une meilleure planification. L'arrondissement tiendra une soirée d'information au sujet de ce circuit d'autobus, ce soir à 18h, à la Basilique Notre-Dame. La firme Genivar présentera une série de mesures visant à réduire l'impact de la voie réservée sur la circulation. http://www.ledevoir.com/2009/03/24/241447.html (24/3/2009 9H00)
  16. Atze

    Le 822 - 8 étages (2012)

    Photos du site du premier projet décrit dans le fil (attention, ce n'est pas l'ancienne banque Royale (ancien projet Buddha Bar Hotel). C'était le site du projet de l'hôtel Quartier (groupe de la ville de Québec). Quelqu'un qui passe souvent par la peut confirmer que la démolition avance ou si ça fait longtemps que c'est dans cet état, je ne passe pas souvent pas là.
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