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  1. Photographies prisent au cours de mes périples. Milieux urbains, espaces naturel, monuments.... Selon mon humeur, mon histoire, ma vision du monde...
  2. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  3. Junex: il n'y a pas que l'électricité 7 février 2007 - 06h00 Le Soleil Gilbert Leduc Junex (JNX), rencontre avec le président Jean-Yves Lavoie Jean-Yves Lavoie débarque de Houston. Il assistait, la semaine dernière, à un congrès réunissant plus de 17 000 joueurs des secteurs pétrolier et gazier. Des représentants des gouvernements de plusieurs provinces y participaient. Pas de trace, cependant, d'un quelconque émissaire du gouvernement du Québec. Sa société d'État - Hydro-Québec - a récemment mis sur la tablette sa filiale Pétrole et gaz et le programme de recherche prévoyant des investissements de plus de 300 millions $ d'ici 2010. «Pour plusieurs, l'électricité est la seule source d'énergie que peut produire le Québec. Chez Junex, nous travaillons à démontrer qu'il y a aussi du potentiel pour le pétrole et le gaz naturel», affirme Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation de cette entreprise de Québec spécialisée dans l'exploration gazière et pétrolière. Au cours des dernières années, Junex - qui détient les droits d'exploration sur plus de quatre millions d'acres situés dans le bassin géologique des Appalaches - s'est attardé à mettre en valeur ses terrains, à réaliser des études géophysiques et à faire des présentations devant des sociétés savantes. Tout ça dans l'espoir d'attirer des partenaires de l'extérieur. Ententes Ce travail a porté ses fruits puisque Junex a conclu, l'an dernier, des ententes avec deux sociétés américaines qui vont investir environ 20 millions $US au cours des deux prochaines années. Au moment de la visite du Soleil dans les bureaux de Junex, le vice-président aux affaires corporatives, Dave Pépin, montrait un communiqué de presse diffusé, la semaine dernière, dans lequel Talisman Energy, de Calgary, annonçait que l'entreprise allait commencer la production de gaz naturel dans l'État de New York et plus particulièrement dans le bassin géologique des Appalaches. Tiens, tiens... De plus en plus, selon Jean-Yves Lavoie, les géants nord-américains de l'énergie cherchent des hydrocarbures sur le continent plutôt que d'aller chercher au Moyen-Orient. Il ne faut donc guère se surprendre de l'intérêt de l'industrie pour les sables bitumineux de l'Alberta. Le shale gas - ces gaz non conventionnels que l'on trouve dans le corridor entre Québec et Montréal - en font saliver également plusieurs. Plusieurs chaudrons sur le feu Junex a fondé sa stratégie sur la conclusion de partenariats afin de réduire les risques financiers associés à la recherche de gaz naturel et de pétrole. "Tranquillement, nous commençons à regarder les marchés de l'Ontario et du Nord-Est américain", a indiqué M. Lavoie. Pour le moment, toutefois, l'entreprise pilote de nombreux projets au Québec. À une vingtaine de kilomètres de Gaspé, l'entreprise est associée avec Bernard Lemaire - patron de Cascades - dans le projet de production de pétrole et de gaz de Galt. "Nous venons de terminer un quatrième forage. Deux pompes de production sont déjà installées." Le pétrole tiré du puits Galt numéro 3 a permis à Junex de réaliser des ventes de 150 000 $. L'entreprise a déjà investi environ 2 millions $ dans un autre projet - celui de la baie des Chaleurs -, où elle possède un permis d'exploration qui couvre une superficie de plus d'un million d'acres. "Aucun puits n'a jamais été creusé", informe Jean-Yves Lavoie en signalant que les études géophysiques réalisées démontraient un "potentiel intéressant". Toujours en Gaspésie, Junex est partenaire avec Pétrolia dans un projet qui permettrait de produire 34 barils de pétrole par jour. Pour "payer l'épicerie", la compagnie continue de pomper de la saumure dans la région de Bécancour qui est utilisée comme déglaçant l'hiver et abat-poussière l'été. "Nous évaluons la possibilité d'en faire une exploitation industrielle", fait-il remarquer en signalant que la vente de ce liquide représentait, l'an dernier, une somme de 750 000 $. JunexAnnée de fondation : 1999 Direction : Jean-Yves Lavoie, président et chef de l'exploitation, et Jacques Aubert, président du conseil et chef de la direction Secteur d'activité : exploration gazière et pétrolière Chiffre d'affaires : 3 millions $ Nombre d'employés : il varie entre 15 et 40 Symbole boursier : JNX (TSX de croissance) Valeur de l'action : 96 ¢ Adresse : 3075, chemin des Quatre-Bourgeois, bureau 103, Québec Téléphone : 418 654-9661 Télécopieur : 418 654-9662
  4. Arrondissement de Saint-Laurent Montréal créera un nouveau parc-nature Agence QMI 28/02/2012 18h10 MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé mardi la création d'un 11e parc-nature: le parc des Sources. Le nouveau parc-nature, d'une superficie de 40 hectares, est situé dans l'arrondissement de Saint-Laurent. Il sera divisé en deux parties. Le secteur Est se trouve en majeure partie sur le campus de Technoparc Montréal. Le secteur Ouest fait partie d'un terrain appartenant à Transports Canada situé au nord des pistes de l'aéroport Montréal-Trudeau. Il est principalement constitué d'un marais et d'une forêt mature. Ce parc-nature sera particulièrement intéressant pour l'observation du castor et de son habitat naturel. Bien qu'il ait élu domicile dans d'autres parcs de la métropole, cet animal sera particulièrement accessible aux visiteurs au parc des Sources et fera l'objet de projets pédagogiques. «Les efforts constants déployés par notre administration ont permis la protection d'une superficie équivalente à plus de cinq fois celle du mont Royal. D'une situation hémorragique en 2002, nous sommes passés de 3 % du territoire protégé à 5,4 %, et sommes maintenant en voie d'atteindre notre objectif final de 6 %, a déclaré Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable du développement durable. «La création du parc des Sources constitue un exemple concret et éloquent de notre volonté à poursuivre nos actions et ainsi préserver notre riche patrimoine naturel montréalais.» La création du parc-nature commencera en 2012, et l'ouverture au public devrait avoir lieu en 2014.
  5. NOUVEAU PROJET DE 16 CONDOS DE LUXE À proximité de tous les services, métro station Villa-Maria, Village Monkland, centre-ville. Construction de béton I insonorisé I ascenseurs I garage I balcons I foyer I air climatisé I plafonds de 9' I gaz naturel I toiture verte I etc. Unités de 1 ou 2 chambres de 790 à 1338 pi2 À partir de 239,000$, taxes incluses Livraison août/septembre 2010 http://royaldecarie.com/index.html
  6. Bâtiment rébarbatif au premier coup d'oeil, Climatisation et chauffage urbains de Montréal (CCUM) cache pourtant dans ses entrailles un bijou d'architecture industrielle. Un véritable «Beaubourg intérieur», selon la firme Humà - design + architecture, chargée de lui refaire une beauté. La première phase est achevée: la mise en lumière de ses machineries, signée en collaboration avec Erick Villeneuve de Novalux. «On s'est concentré sur l'expression vers la ville de ce "Beaubourg intérieur" de la machinerie», explique Jean Beaudoin, qui travaille avec Stéphanie Cardinal chez Huma. Méconnu des Montréalais, CCUM fournit le chauffage à une vingtaine d'édifices du centre-ville, de la tour de la Bourse à la place Ville-Marie, en passant par l'École de technologie supérieure et l'hôtel Reine Elizabeth. Construite en 1947 dans ce qui n'était alors qu'un champ, cette centrale thermique est aujourd'hui enclavée entre l'autoroute Bonaventure et le viaduc du Canadien Pacifique. Mais demain, quand l'autoroute sera abaissée pour faire place au quartier Bonaventure (QB), elle trônera ni plus ni moins à l'entrée de la ville. «On ne peut pas rester de même, s'exclame en riant le directeur de l'établissement, Jean-Claude Michel. On va avoir l'air d'une usine d'Europe de l'Est restée debout après une explosion nucléaire!» D'autant plus que cet emblème du passé met le cap sur l'avenir en abandonnant le mazout au profit du gaz naturel, plus propre. On installe actuellement une nouvelle chaudière qui fonctionnera entièrement au gaz naturel. «Le mazout, on ne veut plus en utiliser, juste en cas d'avarie», précise M. Michel. Jusqu'ici, CCUM fonctionnait en mode biénergie pour profiter des variations de prix de chaque carburant. «Il faut valoriser la centrale comme icône urbaine en résonance avec le quartier en devenir, indique M. Beaudoin. Et [CCUM] est en train de se repositionner comme la façon économique de chauffer les quartiers, en ligne avec le développement durable.» Jardin des vapeurs En écho à son principal mode de chauffage (la vapeur à haute pression) et aux émanations de vapeur issues de la combustion du gaz naturel — «On est une usine à nuages», dit joliment le directeur —, un jardin des vapeurs accessible au public sera éventuellement aménagé au nord du bâtiment. Une passerelle mènera à une terrasse (l'ancien pont de livraison du charbon) ayant une vue imprenable sur le centre-ville. «On veut que le bâtiment évolue en fonction de ce que devient le quartier», prévient M. Beaudoin, dont les plans s'arrimeront à ceux du QB, en chantier dès l'an prochain. Le jardin se prolongera par une promenade sous arcades le long de la rue Nazareth, où pourrait être documentée l'histoire du lieu. La dernière phase consistera à insérer le haut du bâtiment dans un écrin de verre. «Ces panneaux seront développés selon des technologies nouvelles qui consolideront l'offre énergétique de CCUM», indique M. Beaudoin. Car les ambitions de CCUM ne sont pas qu'esthétiques. L'entreprise, qui appartient moitié à Gaz Métropolitain, moitié à Dalkia (filiale du géant français Veolia), entend à la fois se faire connaître auprès du public et se trouver de nouveaux clients dans le futur QB. «On voudrait utiliser nos surplus d'énergie — on a environ de 10 à 15 % de pertes — pour atteindre une efficacité de 100 %», précise M. Michel. CCUM est d'ailleurs sur le point de faire son entrée sur le marché des crédits carbone. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/286846/la-centrale-thermique-de-montreal-se-refait-une-beaute
  7. Les promoteurs du projet Rabaska pour l'établissement d'un port méthanier à Lévis ont finalement conclu un accord avec Gazprom pour un approvisionnement en gaz naturel à partir de 2014. Pour en lire plus...
  8. Le géant pétrolier français offre 617 millions de dollars pour l'acquisition de la société de Calgary, spécialisée dans la prospection, l'exploitation et la production de pétrole et de gaz naturel. Pour en lire plus...
  9. Ni la chute des prix de l'énergie ni la crise financière ne mettent en danger le projet de terminal de gaz naturel liquéfié que Gaz Métro et ses partenaires veulent construire à Lévis. Pour en lire plus...
  10. De ce côté-ci de l'Atlantique, le bras de fer entre la Russie et l'Ukraine n'a aucun impact direct sur le prix du gaz naturel, mais indirectement, ce conflit contribue à faire augmenter le prix du pétrole et du gaz partout sur la planète. Pour en lire plus...
  11. L'Association canadienne des services pétroliers prévoit une importante baisse du nombre de forages en 2009 en Alberta. De leur côté, la Colombie-Britannique et la Saskatchewan connaîtront une augmentation de la quantité des puits de pétrole et de gaz naturel. Pour en lire plus...
  12. Des audiences s'ouvrent pour déterminer si la compagnie EnCana peut forer des centaines de puits supplémentaires de gaz naturel dans la réserve faunique située sur la base militaire de Suffield. Pour en lire plus...
  13. L'avantage de l'hydroélectricité nous coule-t-il entre les mains? 22 septembre 2008 - 06h00 Collaboration spéciale La Presse Pierre-Olivier Pineau La puissance de l'eau est la source de l'une des plus grandes richesses renouvelables du Québec: l'hydroélectricité. C'est le gouvernement du Québec qui est propriétaire de cette "force hydraulique", qu'elle loue aux producteur d'hydroélectricité - principalement Hydro-Québec - au tarif de 0,27¢ le kilowattheure (kWh). C'est donc dire qu'environ 5% du prix déboursé pour un kWh (5,40¢ pour les premiers 30 premiers kWh) sert à payer la source énergétique qui permet de produire de l'électricité. N'était cette énergie hydraulique, il faudrait faire comme en Ontario: avoir des centrales nucléaires, brûler du charbon et du gaz naturel. Dans ces filières, respectivement 10%, 16% et 80% du prix rembourse le coût de l'énergie primaire utilisée pour produire cette électricité: l'uranium, le charbon et le gaz naturel. Le prix final, en bout ligne, est plus élevé qu'au Québec, soit environ 10¢ par kWh: c'est ce que payent les Ontariens. Si les consommateurs québécois sont bienheureux de payer 5,40¢/kWh quand leur voisins payent le double, ils devraient être bien malheureux à l'idée que le propriétaire de l'énergie hydraulique (l'État québécois!) ne vend pas à sa pleine valeur une énergie que d'autres achètent au double du prix. Un bon gestionnaire ferait payer à tous le même prix, quitte à aider ceux qui en ont besoin - comme les ménages à faible revenu. Mais on préfère brader l'électricité, et ridiculiser ceux qui investissent dans la géothermie, le solaire passif et les électroménagers efficaces, tout simplement parce qu'ils font des choix économiquement "irrationnels": ces gens là perdent leur argent à économiser l'électricité! Cette gestion irresponsable du patrimoine hydrique québécois ne se limite pas à l'énergie. Consommation québécoise Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets. L'auteur est professeur à HEC Montréal. Il organise, le lundi 20 octobre prochain, le colloque l'Énergie et le développement durable (http://blogues.hec.ca/gridd). Chaque Québécois consomme en effet 424 litres d'eau par jour pour sa consommation personnelle, tandis qu'un Ontarien en consomme 260! Pourquoi? En grande partie parce que 92% des foyers ont des compteurs d'eau en Ontario, mais seulement 16% au Québec (et 20% de l'eau se perd dans les fuites du réseau, contre 12% en Ontario). Il y a pire encore - ou plutôt, il va bientôt y avoir pire encore. L'hydroélectricité est une source marginale de gaz à effet de serre. Elle bénéficie donc d'un avantage important, parce qu'elle est "propre". Lorsque les émissions de gaz à effet de serre seront limitées, soit à travers des réductions sectorielles dictées par le gouvernement (comme le propose le plan conservateur), soit à travers une taxe uniforme sur les toutes les émissions (comme le propose le plan libéral), les producteurs d'électricité qui utilisent le charbon ou le gaz naturel auront un coût de plus à payer: à 10$ la tonne de CO2, un cent s'ajoute au prix du kWh produit avec du charbon. À 40$ la tonne de CO2, c'est donc 4¢ de plus pour cette électricité, et 2¢ pour celle produite avec du gaz naturel. Les consommateurs ontariens verront donc leur facture d'électricité augmenter... alors que les Québécois seront "protégés" contre de telles augmentations, parce que leur électricité n'émet pas de CO2. Mais que va donner cette protection? Tandis que les Ontariens feront des efforts additionnels d'efficacité énergétique pour réduire leur facture d'électricité, les Québécois n'évolueront pas, insensibles à la valeur de l'électricité, comme sous une anesthésie générale. Encore plus que jamais, l'avantage concurrentiel de l'hydroélectricité - son faible coût et sa propreté - sera dilapidé par notre tarification basée sur les coûts de production, qui ne tient pas compte de la valeur relative (et bien plus grande) de l'une de nos plus grandes ressources renouvelables. Une simple réforme de la tarification - sans privatisation, et avec prise en compte des besoins des ménages à faible revenu - pourrait générer d'importants gains d'efficacité énergétique, tout en faisant d'Hydro-Québec une société d'État encore plus rentable. Tous les Québécois y gagneraient et, pour une rare fois, le développement durable serait autre chose qu'un discours creux, déconnecté de la réalité des choix concrets.
  14. Quand vient le temps d’investir dans les actions des sociétés engagées dans l’exploration gazière au Québec, l’opinion des gestionnaires de portefeuille diffère selon leur degré de tolérance aux risques. Pour en lire plus...
  15. La situation géographique de la province, loin des sources de production et à l’extrémité des pipelines, impose des prix plus élevés qu’ailleurs aux consommateurs québécois de gaz naturel. Pour en lire plus...
  16. L’exploitation du gaz naturel des shales est une technique récente dans le monde et ses impacts à long terme sur l’environnement sont peu documentés. Au Québec, tout est à bâtir. Pour en lire plus...
  17. La plaine du Saint-Laurent, entre Montréal et Québec, est le théâtre d’un des plus grands suspenses économiques de l’histoire de la province. Pour en lire plus...
  18. Le Québec ne produit pas de gaz naturel. Mais une technologie d’extraction, récemment mise au point au Texas, pourrait changer les choses. Pour en lire plus...
  19. mtlurb

    Gérer les

    Si personne ne s'entend sur le prix du pétrole dans un an, il y a un consensus sur les fluctuations et hausses de prix à venir. Le prix du gaz naturel variera tout autant. Pour en lire plus...
  20. La bourse montréalaise a acquis une participation de 53 % dans la Boston Options Exchange. Un mariage naturel pour ces deux bourses de produits dérivés. Pour en lire plus...
  21. Les deux entreprises tentent de tentaient de déterminer le potentiel du gaz naturel contenu dans le schiste argileux du bassin de la Liard, dans le nord-est de la Colombie-Britannique. Pour en lire plus...
  22. Retrouvant la rentabilité au troisième trimestre de son exercice 2008, le distributeur de gaz naturel empoche 4,8 M$. Pour en lire plus...
  23. L’Alaska donne son appui à TransCanada Dominique Lemoine, Lesaffaires.com 10:30 TransCanada se prépare à la construction de son pipeline reliant l'Alaska aux autres états américains. TransCanada a obtenu l’appui de l’Assemblée législative de l’Alaska pour l’obtention d’un permis qui lui permettra de lancer son projet de pipeline reliant l’Alaska et les autres états américains, en passant par l’Alberta, dont l’exploitation est prévue pour 2018. «Ce projet pipelinier de gaz naturel permettra de raccorder les réserves de gaz naturel américaines isolées et de les transporter jusqu'aux consommateurs de l'Alaska et des 48 états inférieurs», soutient le président et chef de la direction de TransCanada, Hal Kvisle. La ratification du permis en vertu de l'Alaska Gasline Inducement Act (AGIA) facilitera la poursuite des négociations avec les expéditeurs possibles, précise Hal Kvisle. Il ajoute que cette ratification améliorera la possibilité d'un appel de soumissions réussi. La conclusion d'un premier appel de soumissions est prévue vers juillet 2010. Si des contrats fermes suffisants sont négociés, TransCanada commencera les travaux après l'obtention des autorisations et le pipeline sera en exploitation vers septembre 2018. Selon le Globe & Mail, le projet de 26 milliards de dollars ne sera pas mis en route tant qu’Exxon Mobil n’aura pas signé de contrat d’utilisation du pipeline. Le projet de TransCanada est en compétition avec ceux de BP PLC et ConocoPhillips. «Rien ne va de l’avant sans qu’Exxon soit d’accord», a précisé Hal Kvisle au Globe and Mail. Exxon Mobil, qui a le contrôle sur les plus grandes quantités de gaz en Alaska, n’aurait jusqu’à maintenant appuyé aucun des trois projets, soutient le Globe & Mail. Le pipeline de TransCanada s'étendrait sur 2760 km, à partir d'une usine de traitement de gaz naturel de Prudhoe Bay jusqu'en Alberta. La section de l'Alaska aurait une longueur d'environ 1200 km. La section canadienne vers l'Alberta aurait environ 1550 km. L'intégration du pipeline au réseau de l'Alberta de TransCanada assurerait l'accès aux marchés des 48 états inférieurs, à l'échelle des États-Unis, précise TransCanada. TransCanada dit que son projet satisfait les exigences de l'AGIA, dont la protection des intérêts de l'Alaska au moyen de conditions commerciales raisonnables, la capacité de fournir des livraisons de gaz dans l'état et des occasions d'emploi pour l'Alaska.
  24. Des hausses de production des centrales hydroélectriques et de la centrale alimentée en gaz naturel font partie des raisons qui expliquent les retour des profits. Pour en lire plus...
  25. Pour suspendre la production de la centrale au gaz naturel de Bécancour en 2009, Hydro- Québec devra verser près de 200 millions$ à TransCanada Energy, a appris Le Soleil. Pour en lire plus...
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