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  1. À quelques mètres de là, ils ont commencé à creuser sur le terrain de l'ancienne station-service. Quand je suis passé ce matin, ils enlevaient une immense citerne qui devait faire office de réservoir! Le terrain sera-t-il bientôt pour la vente? On est en droit de le penser!
  2. Pour ceux que ça intéresse, il y a actuellement une petite exposition sur le la construction du Centre CDP Capital (siège de la Caisse de Dépôt et de Ivanhoé Cambridge) sur le parquet de cet immeuble. C’est pour célébrer le 10e anniversaire de sa construction. L’exposition est modeste (panneaux explicatifs, vidéos, photos…) mais elle permet d’apprécier la beauté et le côté très innovant l’immeuble. En plus, ça permet de s’arrêter sur le magnifique parquet de bois du Centre CDP Capital, tout en lumière et jonché d’œuvre d’arts. À noter que le parquet de la Caisse de Dépôt est un espace ouvert, tout le monde a le droit d’y circuler. Les employés comme moi ont eu droit à une visite des bas fonds de l’immeuble. Saviez-vous que : - L’édifice a été bâti par-dessus l’autoroute Ville-Marie (à laquelle il y a des accès) dont les 2 tunnels sont pratiquement superposés à cet endroit. La préparation du terrain afin de recouvrir l’autoroute a coûté 175 million de dollars à la SITQ (solidification des parois de l’autoroute, construction de cheminées, construction de sorties de secours…). Ceci explique la hauteur limitée de l’immeuble et le coût élevé de sa construction qui a par contre revitalisé tout un secteur du centre-ville. - L’immeuble a été conçu de manière à ce que presque tous les employés aient accès à la lumière naturelle. - Afin de conserver l’énergie, la climatisation est entièrement automatisée : la ventilation d’un bureau s’éteint dès qu’un employé ouvre une fenêtre, les fenêtres sont munies de cellules photothermiques qui automatisent le déploiement de toiles (l’édifice est LEED niveau Or) - Les eaux d’infiltration du stationnement sont récupérées et utilisées pour laver les voitures et arroser les plantes sur les terrasses. L’exposition est brève, par contre, c’est jusqu’au 13 décembre alors dépêchez-vous!
  3. GDS

    Heenan Blaikie

    Heenan Blaikie pourrait fermer Le grand cabinet d'avocats montréalais Heenan Blaikie ne survivrait pas à la nuit. Les associés du bureau ont été convoqués à 18h au centre-ville de Montréal. Ils devraient alors signer l'arrêt de mort du bureau en votant pour sa dissolution, selon le site spécialisé Droit-Inc. Les nombreuses défections des derniers jours auraient annulé tout espoir de voir Heenan Blaikie se restructurer en réduisant son réseau de bureaux régionaux, rapporte le même site. Le plus gros des équipes de droit du travail et de droit immobilier d'Heenan Blaikie à Montréal aurait quitté leur emploi. Le cabinet était l'un des plus prestigieux au pays, avec plus de 500 avocats dans huit bureaux partout au Canada. ---- Pas mal sur que Heenan Blaikie occupe 150,000 pi2 au 1250 RL.
  4. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/marie-claude-lortie/201308/03/01-4676686-incontournable-osheaga.php
  5. Voici une visite de cet hôtel: http://medias.tva.ca/emissions/salutbonjourwe/stylelibre/18718.wmv Cliquez avec le bouton droit et faites "save as..."
  6. Des ponts d'or dans les universités Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 05/11/2009 05h32 Malgré un déficit de 455 millions - Des ponts d'or dans les universités Le campus du centre-ville de l’Université Concordia. L’institution anglophone a remis des primes de départ pour le moins étonnantes à au moins deux cadres supérieurs. Les universités de la province ont beau crouler sous les déficits, cela ne les empêche pas de verser de très généreuses primes de départ à leurs cadres supérieurs... même quand ceux-ci continuent à travailler pour elles par la suite. Des données obtenues par le Journal grâce à la Loi sur l'accès à l'information révèlent que plusieurs hauts dirigeants d'universités québécoises ont reçu des «indemnités de départ» équivalant à au moins un an de salaire, l'an der nier, quelques mois seulement avant d'être réembauchés dans d'autres fonctions. C'est le professeur Martin Singer, de l'Université Concordia, qui a le plus bénéficié de ce système de primes pour le moins étonnant. Après avoir occupé le poste de vice-recteur exécutif durant tout juste trois ans, entre 2004 et 2007, il a ensuite bénéficié d'un «congé administratif» de 14 mois, une période au cours de laquelle il a empoché la bagatelle de 363 430 $. Et ce n'est pas tout. Le contrat de M. Singer était à ce point généreux qu'il lui garantissait son plein salaire de cadre supérieur durant cinq ans, même s'il avait quitté «hâtivement» ses fonctions. Ce professeur d'histoire, qui a été nommé doyen à l'Université York de Toronto le 1er juillet dernier, a donc pu gagner 184 137 $, durant les neuf derniers mois de l'année 2008-2009, alors qu'il enseignait seulement deux cours par session. Réembauchée 11 mois plus tard Le cas de Martin Singer est loin d'être unique dans le réseau des universités québécoises, qui affichait pourtant un déficit accumulé de 455 M$, en 2008. La vice-rectrice à l'administration de l'Université du Québec en Outaouais (UQO), Hélène Grand-Maître, a obtenu une «indemnité de départ» de 142 427 $, l'an dernier, après avoir volontairement «rompu son lien d'emploi» avec l'institution. Les hauts fonctionnaires oeuvrant dans le réseau de l'Université du Québec ont tous droit à une telle prime après quatre ans de service, a-t-on expliqué au Journal. Mais le «départ» de Hélène Grand-Maître n'a pas été très long : moins d'un an après avoir reçu son «indemnité», elle a été nommée vice-présidente de l'Université du Québec, en août dernier. C'est cet organisme qui chapeaute les universités régionales, dont fait partie son ancien employeur, l'UQO. À l'Université Concordia, le professeur Truong Vo-Van a eu droit à une indemnité de départ de 139 037 $, en 2008-2009, après avoir quitté ses fonctions de vice-recteur associé. Or, il est de retour au sein du corps professoral cette année, indique le secrétaire général de l'institution, Bram Freedman. Un cadeau de retraite ? D'autres cas soulèvent par ailleurs des doutes quant à la nécessité de verser de telles primes à ces hauts fonctionnaires. Le 28 novembre 2008, l'ancien directeur général de l'Institut national de la recherche scientifique (INRS), Pierre Lapointe, a quitté son poste, ce qui a lui a permis d'empocher une prime de 167 562 $. Mais trois jours plus tard, il était nommé à la tête de FPInnovations, une société de recherche du secteur forestier, qui lui aurait offert un «pont d'or» pour l'attirer, selon un article paru à ce moment-là dans un hebdomadaire lavallois. D'autres indemnités de départ ont été consenties à des hauts fonctionnaires des universités l'an dernier, soit parce qu'une telle mesure était prévue à leur contrat ou qu'ils avaient tout simplement décidé de prendre leur retraite. L'ancien recteur adjoint de l'Université de Sherbrooke, Denis Marceau, est du nombre. Il a eu droit à un chèque 217 441 $, il y a quelques mois, en partant à la retraite. Avec la collaboration de Serge Laplante, notre recherchiste à l'Assemblée nationale. «Révoltant» et «absurde» La Ligue des contribuables du Québec trouve «absolument révoltant» le versement de ces primes de départ à des hauts fonctionnaires des universités. La porte-parole de l'organisme, Claire Joly, avait du mal à contenir sa colère lorsqu'elle a été informée des révélations du Journal. «Ces gens-là profitent du système pour s'en mettre plein les poches, dénonce-t-elle. C'est carrément honteux d'accepter ce genre de primes-là, surtout quand ils ont le culot de venir nous dire ensuite que le système d'éducation supérieur est sous-financé.» Pourquoi de telles primes ? Claire Joly souligne que ce genre de pratique est «malheureusement assez répandu dans le secteur public.» «C'est une pratique de rémunération absurde, qui n'existe absolument pas dans le secteur privé. Si on démissionne ou on prend sa retraite, on n'a pas le droit à une prime de départ.» Mme Joly craint toutefois qu'il soit difficile de mettre un frein à ce système d'indemnités puisque «l'exemple vient d'en haut.» «Les députés eux-mêmes reçoivent une prime de départ s'ils démissionnent», déplore-t-elle.
  7. Publié le 10 août 2009 à 23h45 | Mis à jour le 10 août 2009 à 23h45 Les Québécois favorables à l'euthanasie Catherine Handfield La Presse Un peu plus de trois Québécois sur quatre sont d'accord pour que l'euthanasie soit légalisée au Québec, révèle un sondage Angus Reid-La Presse. Un droit qui devrait toutefois être limité aux grands malades, selon une majorité de répondants. Jaideep Mukerji, vice-président aux affaires publiques d'Angus Reid Strategies, avoue avoir été surpris par les résultats du coup de sonde mené les 4 et 5 août auprès de 800 adultes québécois. La marge d'erreur du sondage, fait en ligne, est de 3,5%. «Il est surprenant de voir à quel point les Québécois sont en faveur de l'euthanasie et que leur opinion sur le sujet est claire», observe M. Mukerji. Parmi les répondants, 31% se disent «fortement d'accord» avec la légalisation de l'euthanasie et 46% se disent «modérément d'accord». À l'opposé, 8% sont «fortement en désaccord» et 9% sont «modérément en désaccord». Le débat sur l'euthanasie a refait surface cet été. À la mi-juillet, le Collège des médecins du Québec a annoncé qu'il envisageait de recommander la décriminalisation de l'euthanasie dans des circonstances précises. Le Groupe de travail en éthique clinique publiera un document de réflexion à la mi-octobre, a révélé le quotidien The Globe and Mail. Cette prise de position viserait à faire pression sur le gouvernement fédéral afin qu'il modifie le Code criminel. Si on se fie aux résultats du sondage, le Collège des médecins du Québec aura l'appui de la population dans sa démarche. Trois Québécois sur quatre estiment que rouvrir le débat sur l'euthanasie est une bonne idée. Et les appuis se trouvent dans toutes les sphères de la société, note Jaideep Mukerji. «Les réponses des Québécois sont constantes, peu importe le sexe, le revenu ou le lieu de résidence», souligne-t-il. Le seul groupe qui a fourni une réponse légèrement différente est celui des 55 ans et plus : 71% sont en faveur de la légalisation, soit 6% de moins que la moyenne. Par ailleurs, près de 50% des répondants estiment que les provinces devraient avoir le droit de déterminer si l'euthanasie est permise ou non. Trente pour cent souhaitent que la question demeure de compétence fédérale. Limité aux grands malades Si les Québécois sont d'accord avec la légalisation de l'euthanasie, ce droit devrait toutefois être limité aux gens atteints de graves maladies, révèlent les résultats du sondage. Quelque 85% des Québécois sont d'accord pour permettre au médecin d'aider un malade à mettre fin à ses jours quand ce dernier est en phase terminale et qu'il éprouve d'intenses douleurs. La majorité des répondants sont en faveur de l'euthanasie pour les gens atteints d'une maladie incurable qui les laissent tétraplégiques (58%) ou encore pour les malades dans le coma qui ont déjà précisé qu'ils souhaitaient mourir s'ils se retrouvaient dans une telle situation (86%). À l'opposé, les trois quarts des répondants s'opposent à l'euthanasie d'un malade qui désire mourir en même temps que son conjoint. Dans le même ordre d'idée, près de 50% s'opposent à ce qu'un parent puisse demander la mort d'un enfant qui souffre d'une forme grave d'une maladie comme la paralysie cérébrale. «On peut déduire que les Québécois ont besoin d'une justification morale pour permettre l'euthanasie et qu'une souffrance terrible peut en être une pour eux», analyse Margaret Somerville, directrice fondatrice du Centre de médecine, éthique et droit de McGill. Mme Somerville attribue en partie au déclin de la religion le fait que les Québécois se montrent si favorables à l'euthanasie. «C'est difficile d'argumenter contre l'euthanasie si on n'a aucune croyance religieuse...» note-t-elle. Suzanne Philips-Nootens, professeure à la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke, appelle pour sa part à la prudence dans l'analyse des résultats du sondage. «Les répondants se sont prononcés sur une situation abstraite, dit-elle. Mais le jour où les gens deviennent réellement malades, les études démontrent que leur opinion sur l'euthanasie a tendance à changer.»
  8. La NCAA au lieu de la LHJMQ à Blainville? (Corus Sports)- Le projet d'une équipe de la LHJMQ sur la couronne nord de l'île de Montréal n'est peut-être pas mort, mais le droit de veto du Junior l'a considérablement affaibli la semaine dernière. Qu'à cela ne tienne, le maire de Blainville François Cantin songe déjà à un plan B : la NCAA. Il donne toutefois encore tout son appui au projet mené par Joël Bouchard, visant à amener une 2e formation du circuit Courteau dans la région de Montréal. Le propriétaire du Junior de Montréal, Farrell Miller, a toutefois assené un solide uppercut au dossier la semaine dernière, en appliquant son droit de veto quant à l'implantation d'une seconde franchise dans un rayon de 40 kilomètres. «J'aimerais voir une équipe forte, que ce soit la LHJMQ ou la NCAA,» a reconnu le maire de Blainville. Actuellement, aucune formation de la NCAA n'a pied à terre au Canada. Plusieurs universités de l'Ouest canadien tentent toutefois depuis quelques années de joindre les rangs sportifs collégiaux américains. «Ce genre d'équipe là chez nous, avec le côté scolaire priorisé malgré que ce soit du sport d'élite, c'est certain que ça nous sourit. Mais je ne suis pas en train de vous dire que le junior majeur ne serait pas une bonne idée aussi.» En division I, la plus forte, les équipes ne disputent que 28 parties au cours de la saison comparativement à 70 dans le hockey junior majeur québécois. M. Cantin y voit une opportunité d'inciter les jeunes à poursuivre leurs études, tout en pratiquant un sport d'élite. «Si ça peut créer un espace qui accroche les jeunes à leur sport, c'est merveilleux.» Écoutez le maire de Blainville François Cantin via l'extrait audio ci-joint. Il discute également de la candidature de sa ville pour l'obtention des Jeux du Canada en 2013. Frédéric Bhérer / Corus Sports
  9. La radio de Radio-Canada a appris que la direction du Mouvement Desjardins a fait parvenir une directive à l'ensemble des dirigeants des caisses, en raison de la crise économique. Pour en lire plus...
  10. Les éleveurs de bétail touchent des prix dignes des années 40 pendant que les abattoirs dominent le marché et empochent les profits Pour en lire plus...
  11. La Banque Nationale achète 12,5% de Wellington West 22 septembre 2008 - 09h08 Presse Canadienne La Banque Nationale (NA) achète une participation de 12,5% dans le groupe de services de courtage Wellington West Holdings, de Winnipeg, pour 35,8 M$. En vertu d'une entente conclue entre les parties, Banque Nationale Groupe financier versera 54,40 $ pour chacune des actions acquises. De plus, Wellington West aura le droit de recevoir de Banque Nationale Groupe financier jusqu'à 35 M$ de plus, soit l'équivalent de 53,10 $ par action, si elle atteint certains objectifs de bénéfice au cours des trois prochaines années. Dans le cadre de la transaction, Banque Nationale Groupe financier a aussi le droit d'acquérir jusqu'à cinq pour cent de plus du capital de Wellington West au cas où, des actionnaires existants souhaiteraient vendre leurs actions. Les achats supplémentaires à concurrence de cinq pour cent seront effectués à des prix basés sur les opérations de futures émissions d'actions de Wellington West. La conclusion de cette transaction est assujettie à un certain nombre de conditions, dont certaines autorisations réglementaires et l'adoption d'une nouvelle convention entre les actionnaires détenant au moins deux tiers des actions de Wellington West. La clôture de l'opération est prévue pour la mi-octobre. La Banque Nationale a précisé, lundi, en annonçant l'acquisition de cette participation, qu'une fois la transaction complétée, Wellington West continuera de fonctionner en toute indépendance sous le leadership de son équipe de haute direction et notamment de Charlie Spiring et Kish Kapoor, respectivement fondateur et chef de la direction, et président. En outre, Wellington West a accordé à Banque Nationale Groupe financier un droit de premier refus au cas où elle déciderait de réaliser certaines opérations, comme une vente de l'entreprise ou une vente d'un bloc important de ses actions. Un représentant de Banque Nationale Groupe financier siégera également au conseil d'administration de Wellington West. Banque Nationale Groupe financier doit maintenir un certain niveau de détention de parts afin d'être en mesure de préserver ses droits. Wellington West est associée depuis longtemps avec le réseau de correspondants de Banque Nationale Groupe financier; la société s'est engagée à maintenir cette relation pendant cinq ans.
  12. Auriez-vous des problèmes si votre employeur, un bon matin, décidait de faire passer un test de dépistage de drogue à tous ses employés? Et d'abord, en aurait-il le droit? Pour en lire plus...
  13. Après avoir pesté en voyant bondir les prix à la pompe juste avant le long congé de la fête du Travail, les automobilistes auront droit à une baisse du prix de l'essence au cours des prochains jours. Pour en lire plus...
  14. Évoquant plusieurs erreurs de droit, l'Autorité des marchés financiers fait appel de la réduction de peine de 42 mois de Vincent Lacroix. Pour en lire plus...
  15. Haro sur le fleurdelisé à Pékin Jean-François Bégin La Presse Envoyé spécial Pékin Une chance que Jennifer Carroll ne participe pas aux Jeux olympiques de Pékin. La nageuse, qui avait suscité l'ire de Natation Canada en montant sur le podium avec un drapeau du Québec lors des Jeux du Commonwealth, en 2002, n'aurait même pas le droit de se présenter au Cube d'eau de Pékin avec un étendard fleurdelisé dans son sac. En fait, même les parents présents à Pékin, qui souhaiteraient agiter le drapeau du Québec pour encourager leur enfant lors d'une compétition au cours de la quinzaine olympique, ne pourront le faire. Les organisateurs des Jeux, soucieux d'éviter toute forme de propagande politique - à commencer, selon toute vraisemblance, par les gestes pro-tibétains -, l'ont formellement interdit. Seuls les drapeaux des 205 pays membres du mouvement olympique seront admis sur les sites de compétition. «Ça a été discuté et nos athlètes et leurs parents et amis sont au courant, a indiqué hier la chef de mission du Canada, Sylvie Bernier. Ça fait partie des lois chinoises. Ils ne peuvent pas connaître les drapeaux de partout dans le monde entier. Ils connaissent les drapeaux de chaque pays, ils ne peuvent pas savoir de quoi il s'agit quand quelqu'un sort un drapeau du Québec ou de la Colombie-Britannique. Pour eux, ça peut être une forme de manifestation, de propagande. Alors la consigne est de limiter uniquement au drapeau du pays représenté.» «L'équipe canadienne» Règlement ou non, la chef de mission doute que des athlètes québécois auraient sorti leur drapeau de la province. «On est une équipe, l'équipe canadienne, et on est tous fiers de ça. On est ici pour trois semaines ou un mois et des liens se créent. Je suis fière Québécoise, mais ici, dans le contexte des Jeux olympiques, on est représentant de l'équipe canadienne.» L'interdit a été critiqué au Royaume-Uni, où il n'est pas rare que les fans d'athlètes originaires d'Angleterre, du Pays de Galles ou de l'Écosse (comme ceux du tennisman Andy Murray, par exemple) agitent des drapeaux de ces régions du pays plutôt que l'Union Jack. «Le droit d'agiter votre drapeau national a toujours été un aspect essentiel de l'expérience d'être un spectateur aux Jeux olympiques. Que ce droit soit bafoué maintenant pour des raisons de politique interne va à l'encontre () de la liberté d'expression», a dit au Daily Telegraph de Londres le critique conservateur en matière de sports, Hugh Robertson.
  16. La banque centrale américaine va tout droit vers un nouveau statu quo la semaine prochaine. Pour en lire plus...
  17. Le montant punitif, initialement de 500 000 $, avait été le plus important jamais accordé dans l'histoire du droit du travail au Canada. Pour en lire plus...
  18. Plus de maire dans Ville-Marie: antidémocratique, selon Labonté Éric Clément La Presse Montréal La possibilité que le maire de Montréal devienne d’office celui de Ville-Marie à l’issue des prochaines élections municipales en 2009 est jugé antidémocratique par le maire de cet arrondissement, Benoit Labonté. Il appuie sa thèse d’une opinion juridique du cabinet Robinson Sheppard Shapiro qui a établi qu’un tel système de gouvernance est « contraire aux traditions démocratiques en Amérique du Nord». Benoit Labonté, avait convoqué une conférence de presse, vendredi, pour réagir aux ententes signées jeudi entre Québec et Montréal et qui modifient le projet de loi 22. Il les a qualifiées d’excellentes. Mais c’est le dossier de la gouvernance du centre-ville qui a retenu le plus son attention. Il a dit que la disparition de l’élection du maire de Ville-Marie est un «problème démocratique important». «Tel que proposé, on va créer un précédent, dit-il. On va priver 78 000 résidents de Ville-Marie, soit plus que la population de Drummondville, du droit d’élire directement leur maire d’arrondissement. Ce serait les seuls Québécois à être privés de leur droit de vote par une loi provinciale.» Il pense que cette disposition n’est pas nécessaire pour que le centre-ville fonctionne mieux. Il suffit, selon lui, de rapatrier des pouvoirs, sans supprimer la fonction de maire de Ville-Marie. Il a dit être «beaucoup étonné de la réaction rapide de l’élite montréalaise» (visant notamment la Chambre de commerce du Montréal métropolitain) «qui a applaudi cette mesure sans nuance et qui cautionne la perte d’un droit démocratique fondamental d’une certaine partie de la population». M. Labonté espère que les partis d’opposition s’exprimeront sur la question la semaine prochaine en commission parlementaire. D’autant qu’une opinion juridique du cabinet Robinson Sheppard Shapiro, datant de 2003, se penchait sur la possibilité que Ville-Marie soit géré par le maire de Montréal. Cette opinion, transmise aux médias hier, concluait que «le système de gouvernance proposé pour le futur arrondissement, dans la mesure où il substitue au libre choix par les électeurs municipaux de leurs gouvernants une mise en tutelle véritable, est contraire aux pratiques actuelles du gouvernement municipal en Amérique du Nord et aux traditions démocratiques, mais trahit certainement l’esprit et vraisemblablement la lettre des règles constitutionnelles en la matière». Benoit Labonté se demande en plus si le maire de Montréal n’a pas mieux à faire que d’aller s’occuper des puisards de Ville-Marie ou des livres des bibliothèques de quartier. Il trouverait plus logique qu’il soit responsable du développement économique, des grands projets et du tourisme dans Ville-Marie, ce qui ne priverait pas les électeurs de cet arrondissement de leur droit de vote. Centralisation Par ailleurs, Benoit Labonté juge que l’entente Québec-Montréal «constitue un aveu implicite de la part du maire Tremblay que la décentralisation est allée trop loin». Québec donne en effet à Montréal le pouvoir de centraliser une compétence d’arrondissement «s’il en va de l’intérêt général de la Ville». M. Labonté se demande ce qui sera centralisé. Le déneigement ? Le recyclage ? La collecte des déchets? «Le maire ne remet aucunement en cause la décentralisation, réagit Renée Sauriol, attachée de presse du maire Tremblay. Pour le déneigement, s’il y a une situation exceptionnelle, le conseil municipal pourrait, si nécessaire, reprendre le contrôle mais cela ne remet pas en cause les responsabilités des arrondissements.» Benoit Labonté a, sur ce sujet, lancé une pique au maire d’Anjou, Luis Miranda, recruté par le parti du maire Tremblay. «M. Miranda était hyper-décentralisateur, dit-il. J’ai hâte de le voir défendre cette centralisation. Ça va être amusant.» «Il n’est pas question de se départir de services de proximité, dit Luis Miranda au téléphone. Je suis toujours un décentralisateur. Ce n’est pas mon adhésion à Union Montréal qui va changer quelque chose là-dessus.» Enfin, Benoit Labonté se demande quelles nouvelles taxes sont envisagées par le maire Tremblay. «Va-t-il taxer les piscines, les jeux d’enfants, les espaces de stationnement, la possession d’automobile ? Il doit le dire. On ne peut pas d’un côté vouloir attirer les familles sur l’île et les laisser dans le doute jusqu’en 2010 sur comment elles vont être taxées. Moi, je m’engage à ne pas utiliser de nouveaux pouvoirs de taxation avant de faire le ménage à l’hôtel-de-ville où il y a encore beaucoup de gras.» M. Labonté dit qu’à l’image de ce qu’il a fait dans Ville-Marie (réduction de 5% des charges en réorganisant le travail), il peut faire économiser 200 millions à Montréal sur un budget de 4 milliards. http://www.cyberpresse.ca/article/20080613/CPACTUALITES/80613162/6488/CPACTUALITES
  19. Un avocat a déposé une requête en Cour supérieure pour obtenir le droit d'intenter un recours au nom des automobilistes victimes de la fixation des prix de l'essence. Pour en lire plus...
  20. Je me suis rendu compte que Montreal et San Diego sont les deux seul villes de plus de 3 millions d'habitant a ne pas posseder de franchsie nba... pire! des villes 2 fois moins importante que Montreal possede une franchise (Memphis, Sacramento, New Orleans... meme Vancouver a eu droit a son equipe il y a qq annees!) Pourtant, on devrait s'y interesser parce que ce championnat est en plein boom d'audience dans le monde (Europe, Chine, Amerique latine...) Les retombees mediatique pourrait etre tres importante pour Montreal (comme San Antonio ou Cleveland) En plus je vois pas pourquoi Toronto a droit a son equipe et pas nous! je pense que je suis pas le seul a y avoir penser... donc si quelqu'un a des infos ou des archives concernant ce sujet j'aimerais bien me renseigner un peu (j'adore le basket:D )
  21. Les entreprises ont jusqu'à ce lundi pour présenter au gouvernement du Canada leur demande pour le droit d'explorer afin de trouver du pétrole et du gaz naturel. Pour en lire plus...
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