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  1. Plan du Quartier des Spectacles Masterplan Si j’ai oublié des projets, n’hésitez pas à me le dire ! ------------------------------- 1 : Lofts des Arts, phase 1 - 10 étages 2 : Lofts des Arts, phase 2 - 25 étages 3 : Terrain vague, métro St-Laurent 4 : Redéveloppement de la rue Ste-Catherine 5 : 2-22 Ste-Catherine - 6 étages 6 : Agrandissement / rénovation de la S.A.T. - 4 étages 7 : Quadrilatère St-Laurent ~ 5 étages 8 : Maison du développement durable - 5 étages 9 : Le Parterre / Esplanade Clark 10 : Promenade des artistes 11 : Salle de l'OSM 12 : Rénovation Place des arts / Grand foyer culturel 13 : Place des festivals 14 : 400 Sherbrooke ouest - 38 étages 15 : Le Concorde - 19 étages 16 : Louis-Bohème - 28 étages 17 : Mise en lumière du GESÙ 18 : Place du SPECTRUM / Complexe SIDEV - 26 étages 19 : LADMMI et Tangente 20 : Édifice Wilder 21 : Édifice des Grands ballets canadiens de Montréal 22 : Maison du jazz 23 : Théâtre du Nouveau Monde, phase 2 24 : Condos Dell'Arte
  2. Nom: Îlot Overdale Hauteur en étages: 40 pour la phase 1 Hauteur en mètres: 120 pour la phase 1 Coût du projet: 80 000 000,00$ pour la phase 1 Promoteur: Architecte: Menkès Shooner Dagenais LeTourneux et Stefano Domenici, architecte Entrepreneur général: Emplacement: 1400 René-Lévesque Ouest Début de construction: Fin de construction: Site internet: Lien webcam: Autres informations: * projet résidentiel et commercial * projet en deux phases (phase 1 : 40 étages) * la Maison Lafontaine sera intégrée au projet en phase 2 Rumeurs: Images (cliquez pour agrandir) : Vidéo promotionnelle:
  3. http://www.operationpatrimoine.com/ http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,42657625&_dad=portal&_schema=PORTAL&id=19577&ret=http://ville.montreal.qc.ca/pls/portal/url/page/prt_vdm_fr/rep_annonces_ville/rep_communiques/communiques 22e Opération patrimoine architectural de Montréal : Une trentaine d'activités patrimoniales gratuites 20 septembre 2012 Montréal, le 20 septembre 2012 - La 22e édition de l'Opération patrimoine architectural de Montréal (OPAM) débutera dans quelques jours! Durant cette quinzaine (28 septembre au 14 octobre), les Montréalais et les visiteurs amateurs d'histoire auront la possibilité de prendre part à une trentaine d'activités patrimoniales gratuites : animations dans les musées, les bibliothèques et les églises, conférences, circuits de découverte à pied ou en autobus, etc. L'occasion pour toute la famille de se divertir de manière intelligente, enrichissante et entièrement gratuite! Le grand public sera aussi appelé à voter pour La maison coup de cœur 2012 parmi cinq des propriétés résidentielles primées le 12 octobre prochain (lamaisoncoupdecoeur.com). Toutes les activités offertes sont répertoriées sur le site de l'OPAM (operationpatrimoine.com). « Chaque année, les activités offertes dans le cadre de l'OPAM offrent une belle occasion pour les Montréalais et les visiteurs de se laisser inspirer par le riche patrimoine architectural qui définit le paysage de la métropole. Par une programmation gratuite et diverse, cette 22e édition est l'occasion parfaite de découvrir l'histoire de Montréal en parcourant les divers quartiers de la ville et en explorant des bâtiments et lieux historiques qui témoignent de son passé. J'invite donc les Montréalais à répondre en grand nombre à cette invitation et à découvrir la grande richesse architecturale de leur métropole », de déclarer Mme Helen Fotopulos, responsable de la culture, du patrimoine, du design et de la condition féminine au comité exécutif de la Ville de Montréal. Voici un échantillon des activités culturelles gratuites proposées par l'OPAM 2012 : • Maisonneuve, cité modèle (circuit de découverte en autobus) Visite commentée de l'ancienne cité de Maisonneuve, jadis considérée comme la Pittsburgh du Canada. La visite inclut notamment le Musée du Château Dufresne et le Studio Nincheri, le plus ancien studio de vitrail du Québec encore en activité. Le dimanche 30 septembre 2012 de 13 h 30 à 16 h 30 (en français). Réservations obligatoires (places limitées) : 514 259-9201 (http://www.chateaudufresne.com). • Visite extérieure de l'ensemble conventuel des Sœurs de Sainte-Anne à Lachine Accompagnés d'un guide, les participants découvriront l'histoire du développement des bâtiments abritant le Collège Sainte-Anne et le Centre historique des Sœurs de Sainte-Anne. Situé aux abords du Canal de Lachine, l'ensemble conventuel est un point d'intérêt majeur de l'arrondissement de Lachine. Il témoigne de l'héritage important laissé par la Congrégation des Sœurs de Sainte-Anne aux plans religieux, éducatif et culturel. Les samedi 29 et dimanche 30 septembre 2012 à 10 h (en français). Réservations (places limitées) : 514 637-4616, poste 212 (http://www.ssacong.org/musee). • Une petite promenade dans le village de De Lorimier (circuit de découverte à pied) Au fil d'une promenade tranquille commentée par Gabriel Deschambault, architecte et urbaniste, on découvrira quelques anecdotes et petits secrets de l'ancien Village de De Lorimier. De Papineau à Iberville, on fera connaissance avec quelques lieux particuliers aujourd'hui disparus, comme le couvent Mont-Royal ou encore les grands abattoirs de l'Est. Ce sera aussi l'occasion de parler de l'architecture et du patrimoine de ce secteur du Plateau-Mont-Royal. Le dimanche 14 octobre 2012 de 14 h à 15 h 30 (en français). Réservations à compter du 2 octobre 2012 (places limitées) : 514 527-6702. • Visite architecturale de la Maison LeBer-LeMoyne Magnifique exemple d'architecture française du 17e siècle, la Maison LeBer-LeMoyne fait la fierté du Musée de Lachine. Cette maison et sa dépendance ont été construites entre 1669 et 1671 pour la traite des fourrures. Accompagné d'un guide chevronné, on visitera ces bâtiments considérés comme les plus anciens de l'île de Montréal. Les samedi 29 et dimanche 30 septembre ainsi que les 6-7 et 13-14 octobre 2012 à 14 h (en français et en anglais). Réservations : 514 634-3478 (http://www.museedelachine.com). • Visite architecturale de Pointe-à-Callière Pointe-à-Callière invite le public à participer à un parcours guidé inédit du Musée. Les visiteurs pourront découvrir les défis relevés par les architectes, les archéologues et les muséologues lors de la construction du Musée sur des vestiges archéologiques. Les samedi 29 et dimanche 30 septembre 2012 à 13 h 30 (en anglais) et à 15 h 30 (en français). Réservations : 514 872-9150 (http://www.pacmusee.qc.ca). • Visite guidée du village de Pointe-Claire Les origines de Pointe-Claire remontent au temps de la colonie française. La visite guidée fera découvrir l'histoire du moulin à vent fortifié de 1710 et de l'église Saint-Joachim, de style néo-gothique, ainsi que la vie des premiers habitants. De l'information sera également donnée sur les anciennes maisons, témoins de différentes époques. Les dimanches 30 septembre, 7 et 14 octobre 2012 de 13 h à 15 h (en français et en anglais). Renseignements : 514 693-9114. La 22e édition de l'Opération patrimoine architectural de Montréal est réalisée par la Ville de Montréal, en collaboration avec le Ministère de la culture, des communications et de la condition féminine du Québec et Héritage Montréal. Surveillez la remise des Prix émérites du patrimoine 2012 et le lancement du Concours La maison coup de cœur le 12 octobre prochain!
  4. Une autre perte pour Sainte-Catherine Ouest. Source: Montréal Express Le siège social d’Astral Media, qui se trouve actuellement au 2100 Sainte-Catherine Ouest, déménagera lundi prochain au 1800, avenue McGill College. L’édifice, qui s’appelle actuellement la Place Montréal-Trust, aura désormais pour nom Maison Astral. Ce changement de nom n’affecte toutefois pas la portion centre commercial du bâtiment. La tour à bureaux, qui compte 30 étages, accueillera 400 des 2800 employés de l’entreprise. On ignore ce qui adviendra du 2100 Saint-Catherine Ouest, une propriété du Collège Lasalle.
  5. Une Maison olympique pour Montréal 5 fév. 2014 - par Alec Castonguay Photo : © Mathieu Rivard Dès le mois d’avril, Montréal aura une Maison olympique en plein centre-ville. Un projet de plusieurs millions de dollars qui donnera une vitrine permanente au célèbre mouvement aux cinq anneaux. L’actualité a obtenu les détails avant l’ouverture officielle, ce printemps, dans le cadre d’un grand portrait de Marcel Aubut, publié dans le numéro en kiosque (et Ipad) à partir du vendredi 7 février. Les voici. * * * Marcel Aubut, président du Comité olympique canadien, s’arrête devant le gratte-ciel de 26 étages, au coin du boulevard René-Lévesque et de la côte du Beaver Hall, à Montréal, et ouvre grand les bras, comme pour bien montrer le gigantisme de son nouveau chantier. « On a réussi à avoir le rez-de-chaussée et le premier étage, en plein centre-ville. Ce qu’on pourra faire ici est sans limites », dit-il, excité. La Maison olympique de Montréal, au 500 René-Lévesque Ouest, sera l’un des legs de la présidence de Marcel Aubut au Comité olympique canadien (COC). Et une pièce importante dans la stratégie de mise en valeur de l’organisme et des athlètes amateurs d’élite, que le COC veut imposer dans la culture sportive canadienne. Elle devrait être inaugurée en grande pompe à la fin d’avril. Marcel Aubut négocie avec le CIO, en Suisse, pour obtenir le droit d’installer les anneaux olympiques aux quatre coins du toit, bien visibles. « Je pense être capable de les convaincre, je m’entends bien avec le nouveau président, Thomas Bach », dit-il, avant de sortir une feuille de papier sur laquelle sa vision est dessinée. On y aperçoit les anneaux, de nuit, avec les couleurs olympiques qui illuminent le bâtiment. « On va les voir de tous les ponts en entrant à Montréal ! » lance-t-il. Lors du passage de L’actualité sur le chantier, fin novembre, la moitié des travaux étaient complétés. Dehors, les ouvriers s’affairaient à aménager la grande terrasse, qui longe le devant et le côté de l’immeuble, et qui pourra accueillir des réceptions de plus de 1 000 personnes. Une cuisine pour les traiteurs a été installée. Sur la façade, à une dizaine de mètres au-dessus du trottoir, une bande défilante électronique diffusera des résultats de sports amateurs et des messages aux passants. Des télévisions retransmettront des épreuves et des championnats du monde. À l’intérieur, un mur complet — 3 m 65 sur 3 m — a été transformé en écran géant. « Les gens pourront venir écouter des compétitions. L’ambiance sera incroyable », affirme Marcel Aubut, à la tête du COC depuis 2009 — avocat, Aubut a également été président des Nordiques de Québec, dans la Ligue nationale de Hockey. Un musée interactif sur le sport amateur sera éventuellement déployé dans le hall, et une boutique aux couleurs du COC permettra aux touristes et visiteurs d’acheter des souvenirs toute l’année. La gestion du magasin a été confiée à Kevin Gilmore, chef de l’exploitation des Canadiens de Montréal, que Marcel Aubut a attiré au conseil d’administration du COC. Plus loin, au fond, des salles de réunion avec ordinateurs ont été aménagées pour les fédérations sportives et les athlètes. « Si l’un de nos sportifs cherche un endroit pour étudier, nos portes lui seront ouvertes », dit Aubut en montrant ces locaux vitrés aux murs blancs et au design raffiné. La Maison olympique abrite aussi les dizaines d’employés du COC, qui s’affairaient encore à ouvrir des boîtes au premier étage lors de notre passage. Une petite salle d’entraînement et un vestiaire avec douche ont été aménagés. De grandes peintures colorées ornent les murs. « On est loin de notre trou dans le sous-sol du Stade olympique ! » me dit un employé, visiblement ravi. « C’est important de travailler dans un bel endroit. Ça aide à la productivité », dit Aubut. Le bureau du COC à Montréal compte maintenant plus de 50 employés — ils étaient à peine 6 il y a trois ans. Les activités du bureau d’Ottawa, récemment fermé, ont été transférées à Montréal, où l’on s’occupe de la préparation de la délégation canadienne pour les Jeux olympiques, de l’aide aux fédérations sportives et des communications en français. La Maison olympique de Montréal est une réalisation de plusieurs millions de dollars, au cœur de la ville des Jeux de 1976. Marcel Aubut refuse de dévoiler à combien s’élève la facture. « Mais le plus beau, c’est qu’on ne paie pas un sou ! » lance-t-il avec le sourire. Ordinateurs, téléphones, téléviseurs, tables, chaises… tout provient de commandites. La facture de transformation de l’immeuble et de la grande terrasse est quant à elle en grande partie absorbée par les propriétaires du bâtiment, une société en commandite que contrôlent deux hommes d’affaires montréalais, Simon Margel et George Gantcheff, qui ont flairé le prestige (et la valeur) d’accueillir le mouvement olympique. « Pour leur montrer l’importance de l’olympisme, j’ai invité les propriétaires aux Jeux de Vancouver. Ils n’ont pas été difficiles à convaincre ! » dit Marcel Aubut. Une Maison olympique pour Montreal - L'actualite
  6. L'édifice Blumenthal, un immeuble désaffecté de huit étages, deviendra la Maison du Festival de jazz et accueillera, entre autres, une salle de spectacle de 300 places avec resto-bar dédiée au jazz, au blues et à la musique du monde. On y retrouvera aussi un centre de documentation réunissant les archives du festival, un temple de la renommée du jazz et une galerie. L'édifice abritera également des locaux pour les services techniques, les services de sécurité, des loges et autres composantes logistiques requises pour la tenue des événements sur la place des festivals. Le gouvernement du Québec, propriétaire du terrain, alloue près de 9 M$ pour la réfection du bâtiment de 65 000 pieds carrés. Le Festival de jazz, pour sa part, investira 4M$ dans l'aménagement et les équipements requis, dont 3 M$ seront sollicités auprès de partenaires privés. Source: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=3256,15657565&_dad=portal&_schema=PORTAL http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2008/02/29/002-jazz_n.shtml
  7. Nom: Maison des étudiants ÉTS Hauteur en étages: 5 Hauteur en mètres: Coût du projet: 35 000 000,00$ Promoteur: Architecte: Menkès Shooner Dagenais LeTourneux Entrepreneur général: Emplacement: Début de construction: 2013 Fin de construction: Site internet: Lien webcam: Autres informations: Rumeurs: Aperçu artistique du projet: Maquette: Autres images: Vidéo promotionnelle:
  8. Nom: Maison Ogilvy Hauteur: 17 étages Hauteur en mètres: 65 Coût du projet: 150 000 000,00$ Promoteur: Selfridges Group Ltd., Devimco Inc. et Fonds de solidarité FTQ Architecte: Groupe IBI CHBA et Sid Lee Architecture Emplacement: voir carte Début de construction: Fin de construction: Site internet: Lien webcam: Autres informations: * Projet résidentiel et commercial * 110 condos * 120 chambres d’hôtel * L'Hôtel de la Montagne sera détruit * Le nouvel hôtel sera un "MGallery" du groupe Accord * Le Wanda’s ne sera pas intégré au projet, le propriétaire à refusé d'être acheté * Le 1449 rue Crescent (Thurday's) sera détruit * Le 1443 rue Crescent (Taverne Crescent) sera détruit * Le 1429 rue Crescent (Havana 1519) sera détruit * Le 1447 et 1445 rue Crescent (Enzo's et Allo Inde) sera intégré au projet Rumeurs: * Le magasin Holt Renfrew déménagerait dans ce projet Images (cliquez pour agrandir) :
  9. <header id="page-header"> 24/10/2016 Mise à jour : 24 octobre 2016 | 19:48 Ajuster la taille du texte [h=1]KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e[/h] Par Laurence Houde-Roy Métro </header> <figure> <figcaption> Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, est l'une des deux œuvres d'art permanentes du parcours KM3. Elle sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal au coût de 672 603$. </figcaption> </figure> Un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public temporaires et permanentes intitulé KM3 sera créé à l’automne prochain et installé sur l’ensemble du territoire du Quartier des spectacles, à l’occasion du 375e anniversaire de Montréal. Ces créations, principalement installées autour de l’axe de la rue Sainte-Catherine, seront sur la place publique du 31 août au 15 octobre 2017. Décrit comme le «plus important événement d’art public temporaire extérieur à Montréal», le projet orchestré par le Partenariat du Quartier des spectacles invitera des créateurs québécois «reconnus pour leur contribution dans le domaine de l’art public, mais aussi des créateurs qui auront la possibilité de s’exprimer pour la première fois dans l’espace public» à créer ces oeuvres. L’appel à ces créateurs et les commandes seront passés au courant de la prochaine année. <aside class="related-articles"> </aside> «L’événement mettra en valeur les arts visuels, l’art urbain, l’art numérique, le design et l’architecture en occupant des murs d’édifices, des places publiques et des lieux inusités», indique le Partenariat du Quartier des spectacles. Paquet de lumière, de Gilles Mihalcean, sera installée en face de la Maison symphonique de Montréal Seulement deux oeuvres de ce parcours ont été dévoilées lundi. Contrairement au reste des oeuvres, celles-ci seront permanentes et seront acquises par la Ville de Montréal. Elles seront situées sur la rue Émery, en face du cinéma Quartier Latin, et sur le Parterre, en face de la Maison symphonique de Montréal. Une troisième oeuvre permanente sera dévoilée. À la fin de cette édition, les installations artistiques iront rejoindre la collection permanente du Partenariat du Quartier des spectacles et pourront être présentées ailleurs dans le monde. Lux Obscura, de Jonathan Villeneuve, sera installée sur la rue Emery, en face du cinéma Quartier Latin Le Quartier des spectacles souhaite faire de KM3 un événement bisannuel et en faire une offre touristique importante. La scénographie de cette première édition a été confiée à Melissa Mongiat et Mouna Andraos, à qui l’on doit notamment les fameuses 21 Balançoires. <aside class="stat-highlight"> 2,5M$ L’aide financière de 2,5 M$ provenant de la Ville de Montréal et le gouvernement du Québec permettra la réalisation de plusieurs oeuvres temporaires (1,5 M$), puis la création de deux nouvelles oeuvres d’art public permanentes (1 M$) acquises par la Ville de Montréal. </aside> KM3: un parcours d’une vingtaine d’œuvres d’art public pour le 375e | Metro
  10. Ça fait un mois que le concours est lancé. Il reste à peine une semaine pour participer au concours, donc la création d'un fil était plutôt nécessaire. Le nouveau bâtiment sera construit au coin Ontario/Hotel de ville. Bref, la rue Ontario sera complètement habitée au Nord! https://www.oaq.com/fileadmin/Fichiers/Nouvelles/A1-AVIS_D_APPEL_DE_CANDIDATURES-CVM_MT.pdf https://seao.ca/OpportunityPublication/ConsulterAvis/DuJour?ItemId=5e417fda-c31d-47a4-91f7-de539cc53ad8&SubCategoryCode=S3&callingPage=4&ColumnAction=1&searchId=51bf683a-850d-42b4-805d-d34f17577aa7
  11. Je me demande si ce projet va aller de l'avant. La Maison est sur les plans...de l’architecte Claude Cormier. http://www.claudecormier.com/projet/parc-et-espace-hydro-quebec/
  12. via La Voix Pop : 9/01/2016 Mise à jour : 19 janvier 2016 | 7:00 Maison des jeunes de Saint-Henri: 900 000$ pour un nouveau toit Par André Desroches TC Media La maison des jeunes serait construite en face de la caserne de pompiers, sur une partie du terrain occupé présentement par le stationnement public de la Ville de Montréal. André Desroches / TC Media La maison des jeunes La Galerie de Saint-Henri devra déménager dans deux ans. Elle souhaite le faire sur la Place Saint-Henri, dans un bâtiment construit au coût de 900 000$ qui deviendrait l’élément d’un pôle jeunesse dans ce secteur. L’organisme fondé en 1980 devra quitter à l’été 2018 le local qu’il loue depuis plus de trente ans sur la rue Notre-Dame (au 3643). Le propriétaire a d’autres projets pour le bâtiment. La maison des jeunes serait construite en face de la caserne de pompiers, sur une partie du terrain occupé présentement par le stationnement public de la Ville de Montréal. Le bâtiment de deux étages aurait une superficie totale de 467 mètres carrés. Les espaces pour les activités des jeunes seraient aménagés au rez-de-chaussée. À l’étage, il y aurait des bureaux pour le personnel ainsi que des salles pour des réunions et les rencontres d’aide aux devoirs. Les plans prévoient une terrasse sur le toit pour des activités d’agriculture. «Nous visons un toit vert», signale Cathy Anglade. Créer un pôle jeunesse Pour développer le projet, l’organisme bénéficie de l’appui de l’arrondissement du Sud-Ouest, qui souhaite repenser ce lieu névralgique. «Nous voulons revoir les aménagements de la Place Saint-Henri. On voudrait en faire un pôle jeunesse», explique le maire Benoit Dorais, rappelant la présence dans cette zone de l’école secondaire Saint-Henri, des Loisirs Saint-Henri et de l’école primaire Ludger-Duvernay. «Nous voulons faire de la place un pôle public comme quand elle a été créée», ajoute le maire, mentionnant qu’un exercice de réflexion sur l’aménagement de la place ayant réuni des universitaires s’est tenu en 2013. Selon lui, la population en général va y trouver son compte. Campagne de financement Benoit Dorais est en discussion avec la ville-centre afin de conclure un bail de longue durée pour le terrain convoité. «Nous voudrions signer une entente avec la Ville pour une emphytéose. Ça avance», indique-t-il. Mais pour que la Ville puisse voter en faveur du projet, il faut qu’il soit viable financièrement». La maison de jeunes doit recueillir près de 1 M$. Pour y arriver, l’organisme doit dénicher des partenaires majeurs. «Nous allons lancer notre campagne en février auprès des entreprises et des commerces», annonce Cathy Anglade. L’organisme ciblera également les fondations. La population pourra appuyer le projet à sa façon lors d’activités grand public de collecte de fonds. Chaque année, environ 150 jeunes âgés de 11 à 18 ans participent aux activités de la maison La Galerie.
  13. http://www.ledevoir.com/politique/villes-et-regions/459813/quebec-songe-a-proteger-une-eglise-menacee-de-demolition Québec songe à protéger une église menacée de démolition 9 janvier 2016 |Jeanne Corriveau | Villes et régions L’église Saint-Gérard-Majella sera-t-elle épargnée ? Le ministère de la Culture examine la possibilité de classer cette église de Saint-Jean-sur-Richelieu jugée exceptionnelle, mais condamnée à la démolition. Si un tel statut était accordé au bâtiment, sa destruction deviendrait impossible. Construite en 1962 selon les plans de l’architecte Guy Desbarats, l’église Saint-Gérard-Majella a été vendue en octobre dernier à des promoteurs immobiliers pour 800 000 $. Les nouveaux propriétaires prévoient de raser le bâtiment pour construire un projet domiciliaire de 104 appartements sur le site. Même si l’église dotée d’une voûte asymétrique spectaculaire a reçu du Conseil du patrimoine religieux du Québec la plus haute évaluation, soit la cote « A », la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste a décidé de la vendre, faute de financement pour la rénover. Les travaux de restauration avaient été estimés à 3 millions de dollars. Le Devoir a appris qu’après avoir reçu une demande d’intervention le 16 novembre dernier, le ministère de la Culture a décidé d’examiner la possibilité de classer l’immeuble. « Le ministère a entamé une analyse pour voir ce qu’il est pertinent de faire comme intervention en vertu de la Loi sur le patrimoine. Le classement fait partie de cette réflexion », a confirmé Philip Proulx, attaché de presse de la ministre de la Culture, Hélène David. « Le ministère a eu pour mot d’ordre de faire une analyse rapidement, étant donné qu’il y a des craintes concernant la possible démolition de l’église. » M. Proulx précise qu’advenant la signature d’un avis d’intention de classement par la ministre, la protection entrerait aussitôt en vigueur et la démolition de l’église serait interdite. Église vidée Le président de la fabrique de la paroisse Saint-Jean-L’Évangéliste, Louis-Charles Fontaine, ignorait qu’un classement était envisagé par le ministère lorsque Le Devoir l’a joint vendredi. « Ça serait très bien ! Je pense qu’il faut s’intéresser au patrimoine avant qu’il soit trop tard. Il est déjà tard, mais mieux vaut tard que jamais », a dit M. Fontaine. En l’absence de mobilisation pour préserver l’église et de fonds pour la rénover, la paroisse, qui compte six autres lieux de culte, avait décidé de vendre Saint-Gérard-Majella. En décembre, la fabrique a même vidé l’église et vendu le mobilier et les objets qui s’y trouvaient. « Mais avoir su qu’on aboutirait à ça, je n’aurais pas vendu les bancs et les objets », regrette M. Fontaine. La Ville de Saint-Jean-sur-Richelieu n’entend pas se mêler du dossier ni contribuer à la restauration de l’église, mais elle devra éventuellement autoriser le changement de zonage, la démolition de l’immeuble et la conformité du projet immobilier, a indiqué Sylvain Latour, attaché de presse du maire Michel Fecteau. Maison des patriotes Quant à la maison Chénier-Sauvé, une demeure patrimoniale de Saint-Eustache elle aussi menacée de démolition, le ministère dit suivre le dossier de près. La Ville de Saint-Eustache affirme que la maison aurait besoin de coûteuses rénovations de 2,8 millions, et elle songe à la démolir malgré une subvention de près d’un million accordée par Québec. « On a mis de l’argent sur la table pour assurer une restauration. On attend de voir quel est le plan de match [de la Ville] », a indiqué Philip Proulx. La Ville entend décider du sort de la propriété ayant appartenu au patriote Jean-Olivier Chénier dans les prochains mois.
  14. Une exposition sur les projets jamais construit de Montréal de 1990-2015 http://maisondelarchitecture.ca/ Reportage de la radio de radio-canada http://ici.radio-canada.ca/emissions/gravel_le_matin/2015-2016/archives.asp?date=2015/10/23&indTime=1542&idmedia=7361353
  15. La Ronde: plusieurs nouveautés en 2016 Le Huffington Post Québec | Par Marie-Josée Roy Publication: 03/09/2015 05:59 EDT Mis à jour: il y a 2 heures La saison 2015 de La Ronde s’achève sous peu, mais qu’à cela ne tienne, on annonce déjà des nouveautés pour l’été 2016! Et on peut déjà prédire que les amateurs de sensations fortes en auront pour leur argent l’an prochain… Tout d’abord, le Vampire, cette montagne russe aux allures de chauve-souris, sera allongé et fera faire une vrille arrière aux courageux qui y monteront! La montée d’une hauteur de 32 mètres au début de la «balade» demeure inchangée mais, quelques secondes plus tard, le train effectuera un tonneau et entraînera ses passagers dans cinq inversions hallucinantes, à une vitesse de 80 km/h, à l’envers! De quoi avoir l’estomac en bouillie… Puis, on inaugurera la zone Avenue Aventure, qui sera un lieu d’excitation pour toute la famille. Deux manèges y seront ajoutés : le Phoénix, un scooter volant dont le «conducteur» aura le contrôle et qui devra être maîtrisé à contrevent, et le Gravitor, une structure qui projettera les personnes haut dans les airs et qui tourbillonnera encore et encore, dans une mer de sons et de lumières. Le mouvement créera une danse spectaculaire pour l’œil. En chiffres, le Phoénix sera constitué de 8 scooters volants, qui accueilleront chacun deux passagers en rotation à haute vitesse, tandis que le Gravitor comptera huit nacelles suspendues, qui contiendront deux passagers chacune et une manette permettant une rotation de la nacelle à 360 degrés, et sera décoré de 1500 lumières sur les sièges, les bras et la colonne principale de la nacelle. L’Halloween à La Ronde En attendant ces changements, à compter du samedi 3 octobre prochain, La Ronde revêtira ses habits les plus effrayants pour célébrer l’Halloween. Le District 5-10 – Dans le noir, un sentier de zombies, et l’Empailleur, une nouvelle attraction à faire frissonner, sont les attraits à découvrir d’ici la fermeture officielle de La Ronde en vue de l’hiver. Ceux-ci se greffent à la quarantaine de manèges déjà existants du parc montréalais, dont la Maison rouge, nouvelle maison hantée en hommage aux clowns, qui a ouvert ses portes au printemps 2015. Le passeport-saison 2016 de La Ronde sera mis en vente ce week-end, pendant le congé de la Fête du Travail, du 3 au 7 septembre. Ceux qui se le procureront à ce moment bénéficieront d’un rabais de 70% et d’une multitude d’autres avantages. Consultez le http://www.laronde.com pour plus d’informations. http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/09/03/nouveautes-la-ronde-2016_n_8081546.html
  16. http://plus.lapresse.ca/screens/0424b1da-bbaf-4b85-9f24-e947850b3241%7C_0.html URBANISME DE PROMOTEURS Il est dommage qu’on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse des concepteurs de la Maison Alcan GÉRARD BEAUDET URBANISTE ÉMÉRITE, PROFESSEUR TITULAIRE À L’ÉCOLE D’URBANISME ET D’ARCHITECTURE DE PAYSAGE DE L’UNIVERSITÉ DE MONTRÉAL Le principal argument invoqué par l’administration Coderre pour justifier la construction d’une tour sur les lieux de la Maison Alcan serait que ce projet témoignerait avec panache d’une vitalité immobilière retrouvée après des années de vaches maigres. À quelques détails près, on croirait entendre Jean Drapeau justifiant les démolitions et les constructions de tours partout au centre-ville au seul motif qu’il en allait de l’essor de sa métropole. Il est quand même étonnant qu’un peu plus de 40 ans après la démolition de la maison Van Horne, on en soit encore à ce que je qualifierais d’urbanisme de promoteurs. Comme si rien ne pouvait justifier qu’on défende une vision plus nuancée de l’urbanisme et du développement immobilier. Mais est-ce si étonnant ? Au début des années 90, l’administration Doré avait modifié l’ébauche du premier plan d’urbanisme de la métropole au profit des promoteurs du nouveau forum (actuel Centre Bell). Cette première donnera le ton. Loin d’être une exception, la dérogation au plan d’urbanisme est en effet rapidement devenue une caractéristique de l’urbanisme montréalais, comme l’a notamment montré le redéveloppement de Griffintown. Quand on s’en inquiète, les responsables montréalais rétorquent habituellement qu’il est impossible de tout prévoir et qu’on ne peut laisser passer les bonnes occasions, d’autant qu’elles enrichissent les coffres dégarnis de la Ville. On fait donc comme si le dynamisme de la métropole était essentiellement l’affaire des promoteurs, qui s’empresseront de retirer leurs billes dès lors qu’on ne leur donnerait pas entière satisfaction. Il s’agit là d’une conception extrêmement réductrice des ressorts du dynamisme urbain. Si on s’en était toujours tenu à cette conception, Montréal aurait été privé du Vieux-Port – que le gouvernement fédéral de l’époque considérait simplement comme un vaste terrain à construire – et du Quartier international – un lieu boudé par les promoteurs. Nul ne contestera les limites de la planification. En revanche, on ne voit pas en quoi cette difficulté puisse justifier le manque de vision. Or, c’est précisément de cela qu’il s’agit dans le cas du projet de la Maison Alcan. Avant de fixer les hauteurs et d’autres paramètres de l’encadrement des projets immobiliers, le plan d’urbanisme propose une vision. Depuis le milieu des années 70, à Montréal comme dans la quasi-totalité des grandes villes et métropoles, la donne patrimoniale s’est progressivement imposée comme un des ancrages de cette vision. Certaines villes ont même adopté des mécanismes destinés à reporter sur des emplacements préidentifiés les pressions immobilières qui auraient menacé des environnements bâtis sensibles. À moins d’être formulées de manière totalement fantaisiste, les hauteurs inscrites au plan d’urbanisme du centre-ville devraient refléter cette prise en compte des attributs des voisinages, y compris là où des tours auraient été malencontreusement érigées durant les années où le laxisme avait été érigé en règle urbanistique. C’est manifestement ce qui a dicté la limitation des hauteurs dans les environs de la Maison Alcan. Qu’on soit techniquement au centre-ville n’y change rien. De ce point de vue, la Maison Alcan aura été un projet phare, à une époque – les années 80 – où la contrainte patrimoniale s’est traduite par de nombreux exemples de façadisme. Ses concepteurs avaient su traiter cette réalisation voulue par le PDG de l’entreprise avec un doigté exemplaire, tant en ce qui concerne les immeubles patrimoniaux de la rue Sherbrooke que le bâtiment construit à l’arrière et relié à ces derniers par un atrium d’une grande élégance. Sans compter le soin apporté aux espaces extérieurs. Dommage qu’en 2015, on fasse si peu de cas de la vision sensible et généreuse du promoteur et des concepteurs de la Maison Alcan, vision qui a valu de nombreux prix à cette prestigieuse réalisation architecturale et urbanistique. Drôle de façon de souligner le 375e anniversaire de la ville. sent via Tapatalk
  17. Dans la Presse d'aujourd'hui, un article a attiré mon attention. Il s'agit de l'achat de la Maison Alcan par le Cirque du Soleil pour 50 millions de dollars. C'est une bonne nouvelle.
  18. Publié le 14 janvier 2014 à 14h40 | Mis à jour à 15h12 La Maison Théâtre de Montréal Le gouvernement du Québec a annoncé un investissement de près de 10 millions pour la construction d'une nouvelle salle multifonctionnelle sur le campus du cégep du Vieux Montréal. L'accord de principe, signé hier avec le Cégep, spécifie qu'il partagera ce nouvel espace avec la Maison Théâtre. Rappelons que la Maison Théâtre propose environ 300 représentations par année destinées à un public âgé de 2 à 17 ans. Devant une classe de quatrième année du primaire, la première ministre Pauline Marois a insisté sur «l'importance de l'accès aux arts et à la culture pour les jeunes». L'inauguration est prévue pour 2017. http://www.lapresse.ca/arts/spectacles-et-theatre/theatre/201401/14/01-4728594-la-maison-theatre-de-montreal-sera-agrandie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B9_arts_244_accueil_POS1
  19. http://montreal.eater.com/2015/1/7/7503509/the-most-anticipated-new-montreal-restaurants-2015 by Ian Harrison Jan 7 2015, 1:00p @Blumsteinboy SHARE(54) TWEET(4) Projet Europa Jérémie Bastien's new home DON'T MISS STORIES. FOLLOW EATER MONTREAL × A look at what's on the horizon. 1. Monarque Location: 417 Notre-Dame Ouest, Old Montreal Major Playesr: Richard and Jérémie Bastien Projected Opening: Late summer The Story: Bastien père et fils (Leméac) will open a "Gramercy Tavern-style" restaurant in the Penny Lane mixed development. Slated for April, the project has been beset by typical construction delays. One result of the holdup, however, was a complete rethink of the space. Monarque will be almost twice as large as originally planned, with a bar area that seats 65 to 70 and a main dining room with room for 100. Two separate kitchens will serve the entire restaurant. · More on Monarque [EMTL] Photo: Project Europa 2. La Petite Maison Location: du Parc, Mile End Major Player: Danny St-Pierre Projected Opening: End of summer The Story: St-Pierre, familiar for his work on Qu'est-ce qu'on mange pour souper? and stints at Derrière les Fagots, Laloux and Auguste in Sherbrooke, calls his first Montreal venture a "traditional restaurant" with a casual vibe but without casual food per se. The chef wants to keep the exact address under wraps for now but calls it "a beautiful space, under 200 square metres." The key, says St-Pierre, will be to find that bang-for-the-buck sweet spot where he can "send out quality food made with quality ingredients at a reasonable price." Expect plates to share on the app side of the menu (spreads, a lot of vegetables) and mains that will stand alone and "have an identity." St-Pierre will soon decide whether to implement a reservation system (maybe) and install a deep-fryer (probably not). A head chef will be hired for the day-to-day management of the kitchen but the overall vision will be St-Pierre's alone. · More on La Petite Maison [EMTL] Photo: Danny St-Pierre 3. Maison Sociale Location: 5386 Saint-Laurent, Mile End Major Player: Dave Schmidt Projected Opening: End of January The Story: Schmidt, the impresario behind such spots as Maïs, Kabinet, Datcha, Le Mal Nécessaire, Thazard and the bygone Café Sardine, partners up with the likes of Na'eem Adam, Philip Tabah, Christophe Beaudoin Vallières, Marc-Antoine Clément and James Benjamin to reboot the old Green Room as a café/restaurant/cocktail bar/new wave social club. Dan Geltner, the former chef at L'Orignal, is no longer involved in the project. Tom Allain, now at Hôtel Herman, will make the move to Maison Sociale's kitchen. · More on Maison Sociale [EMTL] Photo: Maison Sociale 4. Soubois Location: 1106 de Maisonneuve Ouest, Downtown Major Players: Francine Brûlé, Alexandre Brosseau Projected Opening: April The Story: This new restaurant, in the old Copacabana, is from the mother-son duo of Brûlé, the owner of Les Enfants Terribles, and Brosseau, of Flyjin. Other principals include chef Guillaume Daly (Les Enfants Terribles, Grinder, XO), JP Haddad (Globe), Philippe Rainville (Flyjin, Le Filet, Les Enfants Terribles), Thomas Hatzithomas and Christopher Karambatsos. Brosseau calls Soubois "a French-Canadian bistro" inspired by an "underground enchanted forest." · More on Soubois [EMTL] Photo: Google Street View 5. Fiorellino Location: Quartier International/Downtown Major Player: Buonanotte Projected Opening: Mid-March The Story: Partner Massimo Lecas calls the new spot from the Buonanotte group modern, authentic Italian in the best possible sense—no throwback red sauce menus, in other words. Fiorellino translates as "little flower"; a nod, says Lecas, to the lullaby "Buonanotte Fiorellino" (which, incidentally, is also where the Main supper club got its name). Erik Mandracchia (Le Bremner, Impasto) is in as chef. The restaurant will feature a wood-burning oven for pizzas but, take note, will not be a pizzeria (Lecas is quick to point this out). On the beverage side, look for more of a cocktail emphasis. Bottom line: a concession to the times and "what Buonanotte would have looked like if we had opened it today instead of 23 years ago." The group, incidentally, may also have plans for the old Globe space. · Globe Closes After 21 Years [EMTL] Photo: Buonanotte Photo: Buonanotte 6. Ichi Go Ichi E Location: 360 Rachel Est, Plateau Major Player: Kevin Fung Projected Opening: Any day now The Story: The popular Westmount izakaya Imadake opens a second restaurant on Rachel between Drolet and Saint-Denis. Photo: Google Street View Photo: Google Street View 7. New Charles-Antoine Crête Restaurant Location: Unknown Major Players: Charles-Antoine Crête, Cheryl Johnson Projected Opening: Unknown The Story: Toqué!'s prodigal son, recently seen at Majestique and on À table avec l'ennemi, returns with a restaurant of his own. Partner Cheryl Johnson: "We are excited to be opening a place that we don't know quite what it's going to be. But one thing is for sure, it will be playful and down to earth. A place for people 0-100 years old. Oh, and we won't be serving dinosaur." · Charles-Antoine Crête Tore Up Omnivore Paris [EMTL] Photo: Omnivore Photo: Omnivore 8. Perfecto Location: 20 Duluth Est, Plateau Major Player: Eric Rice Projected Opening: Soon The Story: The chef from Mile End's Fabergé and Roux food truck opens his own place in the old Triangulo. · More on Perfecto [EMTL] Photo: Google Street View Photo: Google Street View 9. Le Red Tiger Location: 1201 de Maisonneuve Est, Village Major Players: Phong Thach and Emilie Nguyen (co-owners of Kaiji Restaurant in Villeray), Dan Pham Projected Opening: Late February/March The Story: Nguyen describes Le Red Tiger as an ode to Vietnamese street and soul food: We love our culture, but Vietnamese food isn’t all pho, noodles, and soups. We see pho places everywhere in Montreal, but when we crave grilled skewered meats, Õc (sautéed sea snails in tamarind sauce), or Thịt Kho (caramelized pork and eggs braised in carbonated juice) they are hard to find, (unless we're in Vietnam, at our mom’s house, or someone else’s mom’s house). The menu will embody our 'street food' experiences in Vietnam that solely require your fingers to eat, and also home cooked meals that we grew up eating at home. More intel on Le Red Tiger: Lawrence Picard from Nectar & Mixologie is behind the beverage program and Guillaume Menard from Atelier Mainor is in as designer. You can see Menard's work at the likes of Joverse, Mme. Lee and Voskin. Photo: Le Red Tiger 10. San Gennaro Location: 69 Saint-Zotique Est, Little Italy Major Players: Mauro, Massimo and Fabrizio Covone Projected Opening: Soon The Story: The family that gave Montreal (and Laval) Bottega Pizzeria opens a caffè and pizza al taglio spot. Photo: San Gennaro 11. New John Winter Russell Restaurant Location: Unknown Major Player: John Winter Russell Projected Opening: Unknown The Story: Ex-Van Horne chef Winter Russell, 2014's prince of pop-ups and a frequent collaborator with Gaspésie Sauvage, has imminent plans to open a restaurant with a "small vegetable/plant driven menu." Photo: Maxim Juneau sent via Tapatalk
  20. http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/314084/une-nouvelle-vie-pour-la-maison-notman
  21. Voici des photos de ce midi ! Etiez vous au courant ?!?!
  22. http://www.lactualite.com/blogues/le-fouineur/montreal-il-y-a-50-ans/ <header style="margin: 0px 0px 20px; padding: 0px 0px 20px; border-width: 0px 0px 1px; border-bottom-style: solid; border-bottom-color: rgb(204, 204, 204); font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; float: left; width: 1000px;">Voici à quoi ressemblait la vie à Montréal, en 1964. <time class="published" title="2014-01-08T16:26:58+00:00" style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline;">8 jan. 2014</time>par Vincent Destouches <ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: bottom; width: 300px; height: 250px; display: inline-table; position: relative;"><ins style="margin: 0px; padding: 0px; border: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; width: 300px; height: 250px; display: block; position: relative;"><iframe id="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" name="google_ads_iframe_/7326/Rogers.ExchangePassbacks/lactualite.CPGFrench_1" width="300" height="250" scrolling="no" marginwidth="0" marginheight="0" frameborder="0" style="margin: 0px; padding: 0px; border-width: 0px; font-family: inherit; font-size: inherit; font-style: inherit; font-variant: inherit; font-weight: inherit; line-height: inherit; vertical-align: baseline; position: absolute; top: 0px; left: 0px;"></iframe></ins></ins> </header> En 1964, les rues étaient tout aussi enneigées. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais se promenaient au Jardin des Merveilles, et les enfants profitaient de la baleine de Jonas ou encore de l’arche de Noé. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Ville se préparait à accueillir l’Expo 67 en agrandissant l’île Sainte-Hélène et en érigeant l’île Notre-Dame. En 1964, la Place Ville Marie trônait depuis deux ans seulement sur le centre-ville. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le pont Champlain tenait sans super-poutre. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le Vieux-Montréal était à l’aube d’une transformation. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la gare Windsor servait encore de terminus et de siège social au Canadien Pacifique. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il n’y avait pas de plage urbaine ni d’Igloofest dans le port de Montréal. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on faisait du bateau sur l’étang du parc La Fontaine, lors des beaux vendredis d’été. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la rue Sainte-Catherine était à double sens. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, les Montréalais n’utilisaient pas le métro, mais seulement les bus de la Commission de transport de Montréal (CTM), l’ancêtre de la STM. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, on allait voir les Canadiens affronter les Bruins au Forum. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, Claude Léveillée, Nat King Cole et Charles Aznavour se produisaient à la Place des Arts. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le défilé de la Saint-Jean-Baptiste était haut en couleur, comme ici le char de la pêche sportive. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, la Maison de Radio-Canada n’existait pas encore. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, le mont Royal était un poil plus fringant. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, l’aéroport de Dorval était le plus achalandé au Canada. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 En 1964, il y avait quelques tours en moins au centre ville, mais les nuits montréalaises étaient toutes aussi belles. Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Quant à 1914, on dirait que c’était il y a un siècle… Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Photo © Archives de la Ville de Montréal / CC BY-NC-SA 2.0 Toutes ces photos appartiennent aux Archives de la Ville de Montréal. Rendez-vous sur leur page Flickr pour en voir davantage.
  23. La ville de St-Eustache a une grande histoire. Une histoire qui se situe principalement dans les années 1700 et 1800 mais dont le point culminant se joue le 14 décembre 1837 lors de l'attaque militaire du général et gouverneur John Colborne envers les patriotes. Aujourd'hui nous somme bien loin de tout cela. Voici donc quelques photos d'un passé pas si lointain et du présent de cette ville. __________________________________ L’histoire de la paroisse Saint-Eustache remonte au XVIIIe siècle. Un presbytère-chapelle est construit dès 1774 sur un terrain ayant été offert par le Seigneur Louis-Eustache Lambert Dumont et longeant la rivière des Mille-Îles. Six ans plus tard, débute la construction de la première église, qui sera bénite en 1783. Entre 1830 et 1833 l’actuelle haute façade en pierre est construite. Cette église occupe une place spéciale dans l’histoire du Québec surtout en raison des événements tragiques qui s’y sont déroulés en 1837, lors de la bataille des Patriotes. Le bâtiment sera lourdement endommagé lors de la rébellion . Ce n'est que 4 ans plus tard, que le curé Paquin peut enfin entreprendre la reconstruction de l'église. Durant la deuxième moitié du XXe siècle, Saint-Eustache connaît un important développement économique et démographique. Ainsi, les paroisses Christ-Roi, Saint-Esprit et Sainte-Marguerite-Bourgeoys voient le jour respectivement en 1964, 1970 et 1989, afin de répondre aux besoins d’une communauté en croissance. Quant à l’église de Saint-Eustache, elle fut classée monument et lieu historique en 1970. Grâce à sa voûte en berceau elle bénéficie d’une si belle acoustique que l'Orchestre symphonique de Montréal y a enregistré tous ses albums pendant plus de 20 ans. Elle est d’ailleurs visitée par des milliers de touristes chaque année. Source: Ville de St-Eustache. Église de St-Eustache, 1920 // 23 Mars 2013. Les bâtiments de droite ont disparus mais la Maison Charles Marsil a gauche, est toujours en place... Hotel St-Eustache vers 1940 // 1975 Située au 124-128 Rue Saint Eustache, l’Hôtel Saint-Eustache, dans la rue du même nom, a connu plusieurs propriétaires durant sa longue vie, dont Joseph-Mathias Goulet, les familles Pesant, Laurin et Jos. Lauzé. L’hôtel dispose de la traditionnelle taverne en plus d’être le point de service local pour la compagnie de d’autobus Provincial Transport. Comme plusieurs autres établissements de Saint-Eustache, il fut rasé par un incendie d’origine douteuse dans les années '80. Ce bâtiment comprenait aussi dans les années '70, la discothèque "Le Stress", qui était très populaire a cette époque. Hotel St-Eustache 1975 // 30 mars 2013. (tout a disparue, des condos font maintenant partie du décor). Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1902. (Vue de la rue St-Eustache) L’Hôtel Rivière-du-Chêne bâti vers 1900 sur la rue Saint-Eustache au coin de la rue Dorion, a pris le nom d’Hôtel des Mille-Iles et a longtemps été opéré par Napoléon Robin et son fils Jean. L’hôtel fut rénové puis converti en logements vers 1967. Ce qu'est devenue l'Hotel Rivière du Chêne, 30 mars 2013 Hotel Riviere du Chene, St-Eustache, 1968 (coin Dorion). 30 mars 2013, coin Dorion. La maison Brion, année inconnue // 30 mars 2013. Construite en 1771, la maison Brion est située au 65 de la rue Saint-Louis, dans le vieux Saint-Eustache. Avec l'église de Saint-Eustache, elle est un des rares témoins de la bataille du 14 décembre 1837. Le 14 décembre 1837, comme une bonne partie du village, la maison est incendiée durant la bataille. Elle restera en ruines pendant neuf ans, témoin de la lutte. En septembre 1838, Pierre Janvry donne le terrain et les murs de pierre qui subsistent à son fils Édouard, comme cadeau pour son mariage avec Marie-Charles Dumoulin. Un an plus tard, Édouard revend le tout à Ambroise Brion dit Lapierre, un cultivateur de Saint-Eustache. En mai 1846, Lapierre signe un marché de construction avec le maçon Ulric Robillard. Ce dernier devra démolir ce qui reste des murs du second étage (car a l'origine elle avait donc deux étages) et reconstruire la maison dans les murs du rez-de-chaussée. C'est cette maison que nous pouvons toujours observer aujourd'hui sur la rue Saint-Louis. Magasin Paquin vers 1898 // 30 mars 2013. Au début de 1800, le docteur Jacques Labrie acquiert la propriété de Joseph Debien sur la rue Saint-Eustache. Il agrandit la maison et fait ériger des murs de pierres. Il habite la demeure près de 20 ans. Puis, William-Henry Scott achète la propriété et y établit un magasin général. A sa mort, les enfants Scott continuent à opérer le commerce. En 1875, Joseph-Albert Paquin acquiert la bâtisse. Après un incendie majeur en 1889, la maison et le magasin sont reconstruits. Devenu une quincaillerie, le commerce ferme ses portes vers 1990. La maison est toujours occupée par les descendants de Joseph-Albert Paquin. Banque Provincial, 1970 // 30 mars 2013. Ce bâtiment construit dans les années '20 et abritant la banque provinciale (aujourd’hui fusionnée avec la banque canadienne nationale qui a créé la banque nationale) a eu pignon sur la rue St-Eustache de 1930 à 1979. Hotel Bellevue dans les années '60 // 30 mars 2013. Situé a l'angle des rues Saint-Louis et Saint-Eustache (face a l'église). Elle fut construite entre 1905 et 1910 par Cléophas Laurin puis opéré par Charles-Édouard Girard, l’hôtel Bellevue accueille des visiteurs de partout. Dans les années 1950, l’aile ‘Indian Lounge’ est ajoutée du côté sud-ouest. Le corps principal de l’hôtel fut incendié en 1974, ne laissant que l’aile ‘Indian Lounge’. Aujourd’hui un commerce de vêtements occupe la bâtisse rénovée en plus d'un autre bâtiment plus récent construit a l'emplacement de l'hotel. La maison Globensky-Coriveau vers 1890 et 1930. Portant les adresses 64 et 68 rue St-Eustache dans le village du même nom, Hubert Globensky fit construire cette maison en 1832. Le notaire Cyrille H. Champagne s’y installe ensuite jusqu’à sa mort en 1906. Son fils Hector y réside jusqu’à son décès en 1941. Enfin, le docteur Yvon Corriveau acquiert la maison en 1941. [C’est lui qui va la faire reculer de quelques mètres vers l’arrière]. Maintenant, l’emplacement est occupé par le restaurant Saint-Eustache. Source: Ville de St-Eustache ------------------------------------------------------------ De la fin des années 1780 jusqu'en 1795, l'emplacement de la maison Hubert Globensky appartient à la seigneuresse de Blainville, Marie-Thérèse Céloron de Blainville. En 1799, Auguste Globensky, un chirurgien polonais s'étant établi au Canada après la Révolution américaine, achète le terrain. Une maison en pièce sur pièce ainsi que divers bâtiments s'y trouvent déjà. À la mort de son père en 1830, le marchand Hubert Globensky fait l'acquisition de la propriété. Deux ans plus tard, il fait démolir l'ancienne demeure et bâtit la résidence actuelle. Le magasin et la maison d'Hubert Globensky sont pillés par les Patriotes durant les jours précédent la bataille du 14 décembre 1837. En raison du soutien apporté par Globensky au parti loyal, sa demeure est toutefois épargnée par les troupes du général Colborne. Une partie de l'état-major de l'armée britannique y est logé après la bataille. En 1941, le docteur Yvon Corriveau devient propriétaire de la maison. En plus d'y apporter quelques modifications, il la fait reculer de quelques mètres vers l'arrière. La demeure était auparavant située en bordure du trottoir. La maison Hubert Globensky est l'une des rares demeures d'inspiration néoclassique dans la région. L'architecture néoclassique apparaît durant la seconde moitié du XVIIIe siècle et domine jusqu'à la moitié du XIXe siècle. Style inspiré de l'Antiquité gréco-romaine, le néoclassique se démarque par sa recherche de symétrie, d'harmonie et de clarté. Les maisons d'inspiration néoclassique se caractérisent aussi par la présence d'une vaste galerie couverte d'un auvent en façade ainsi que d'un fronton au-dessus de la porte d'entrée. La façade de la maison Hubert Globensky était auparavant ornée d'une longue galerie. 30 Mars 2013, Position éloignée du trottoir par rapport a avant 1941. .....a suivre !!
  24. Dans le Devoir : Vers un Centre de design dans le Vieux-Longueuil L’Agence PID veut transformer l’ancienne maison funéraire Darche 12 août 2014 Frédérique Doyon Photo: Annik Mh De Carufel Le Devoir Une demeure victorienne située dans le Vieux-Longueuil, une ancienne maison funéraire, pourrait devenir un centre de design où se rencontreraient des gens du milieu du design et de la communication. Longueuil pourrait bientôt accueillir un nouveau Centre de design. L’Agence PID, qui pilote aussi le Salon international de design de Montréal (SIDIM), s’est portée acquéreur de l’ancienne maison funéraire Darche, édifice d’intérêt patrimonial dans l’arrondissement historique du Vieux-Longueuil, qu’elle compte transformer en lieu de formation et de lancement de produits. La transaction devrait se conclure d’ici l’automne. « Ça fait quelques années qu’on cherche un endroit où on pourrait offrir des ateliers de formation, un centre d’affaires qui permettrait aux gens de l’industrie du design et des communications, dont les nombreux travailleurs autonomes, de se rencontrer », explique au Devoir Ginette Gadoury, coprésidente de l’Agence PID, qui a fondé les magazines Décormag et Intérieurs, le SIDIM et les Grands Prix du design. Très différent du Centre de design de l’UQAM, qui tient lieu de galerie d’exposition, le projet longueuillois vise à doter la grande famille du design québécois d’un lieu de rencontre, de formation et d’exposition de produits. Les bureaux de l’Agence PID, qui comptent une dizaine d’employés, y logeront. Le rez-de-chaussée, destiné au centre d’affaires et de formation, pourra accueillir entre 30 et 50 personnes. La demeure de style victorien appartient à un holding texan qui compte des maisons funéraires dans toute l’Amérique. Elle a été mise en vente l’an dernier au prix de 1,4 million de dollars. Un prix que l’Agence PID, en négociation avec le propriétaire depuis l’été 2013, estime exagéré compte tenu de l’état du bâtiment. Feu vert Le conseil d’arrondissement du Vieux-Longueuil a déjà donné le feu vert à un changement de zonage essentiel aux réfections de la maison historique, qui n’a pas été rénovée depuis 1965. « L’offre d’achat est conditionnelle à l’obtention de changements de zonage, car la bâtisse et son terrain de stationnement sont à cheval sur un zonage commercial et résidentiel. Et on ne pouvait pas réparer l’arrière du bâtiment sans ce changement », indique Mme Gadoury. Le promoteur veut faire percer des fenêtres au mur arrière — laissé aveugle pour les besoins de l’ancien centre funéraire. Elle doit aussi réaliser des mises à niveau majeures. « Tout est à refaire, signale Mme Gadoury. La bâtisse n’est pas conforme aux normes actuelles de la construction. Nos ingénieurs et architectes travaillent là-dessus. » La Ville de Longueuil confirme au Devoir une autre étape importante, soit l’avis favorable du conseil local du patrimoine. Une liste d’exigences architecturales a toutefois été soumise au promoteur en juin dernier, la maison étant sise dans une zone patrimoniale. L’Agence PID a également obtenu des lettres d’appui de l’Association des résidants du Vieux-Longueuil et de l’Association des commerçants de la rue Saint-Charles, « ce qui est très rare », signale Mme Gadoury, qui connaît la communauté protectrice de son caractère historique, puisqu’elle y réside. « Notre projet s’inscrit bien dans celui du Vieux-Longueuil. Il y a une vingtaine de restaurants qui ont perdu beaucoup de clients avec le quartier DIX30. » Reste à achever l’évaluation des travaux à réaliser et à soumettre les plans architecturaux à la Ville de Longueuil, lors de la demande de permis de construction. Le processus devrait aboutir en septembre. Construite en 1898, la résidence fut d’abord celle de Bruno Normandin, maire de Longueuil de 1882 à 1891, puis de nouveau de 1891 à 1892 et de 1907 à 1908. La partie arrière a été ajoutée en 1956 quand l’entreprise funéraire d’Édouard Darche a racheté la demeure, dont l’extérieur est resté à peu près intact.
  25. Dans le SFGate Montreal's quartet of cultures creates a colorful pattern Margo Pfeiff Updated 11:25 am, Friday, July 4, 2014 Tourists gather near the Basilique Notre-Dame in Montreal. Photo: Joanne Levesque, Getty Images The Ogilvy Piper makes his way through the jewelry section of the iconic department store at noon every day. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle A room at Old Montreal's classic 18th century Hotel Pierre du Calvet. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Old Montreal's classic 18th century Hotel Pierre du Calvet. A terrace at an Old Montreal restaurant. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Activities at the Lachine Canal National Historic Site. Photo: Margo Pfeiff, Special To The Chronicle Ninety percent of all first encounters in downtown Montreal begin with the same two words. That are the same word. "Bonjour. Hi." Respond one way and you parlez français; answer the other and you're in English territory. Despite periodic bickering - including threats of Quebec's separating from the rest of Canada - the biggest French-speaking city outside of Paris has actually become increasingly bilingual and harmonious over recent decades. But with the strong bilateral English-French vibe, what's often overshadowed is that there were four founding cultures that laid down strong roots on this island in the middle of the St. Lawrence River almost 350 years ago. I'm reminded of this as I wait at a traffic light staring at each culture's national symbols on a flapping city flag - the French fleur-de-lis, the red English rose, an Irish shamrock and Scotland's thistle. Though Montreal is wildly multicultural today, in the 19th century, 98 percent of the city's population was French, English, Irish or Scottish. Is it still possible, I wonder, to experience each of those distinct original cultures - including real, non-poutine France and genuine tally-ho England - in modern Montreal? Heart of New France Since I believe every cultural quest is improved with a signature cocktail, I start with France and I order my very first absinthe at the Sarah B Bar, named after Sarah Bernhardt, queen of French tragedy. As couples cuddle in "Green Fairy" alcoves, my bartender pours the notorious chartreuse liquor that Hemingway, Toulouse-Lautrec and Oscar Wilde imbibed in their Parisian days into a specially shaped glass. He rests a flat, perforated "absinthe spoon" topped with a sugar cube across the top, then drips ice water until it is melted, turning the absinthe milky. Legend has it that absinthe has driven men to madness and drove Van Gogh to slice off his ear. Sipping the herbal, floral and slightly bitter cocktail, I look closely at the bottle's label - while the current version is a hefty 160 proof, it's missing the likely source of "la fée verte" (green fairy) hallucinations, wormwood. I teeter on uneven cobblestone streets to the heart of New France in Old Montreal amid clip-clopping horse-drawn carriages. Bells chime from Notre Dame Basilica with its Limoges stained glass windows from France, artists sell their crafts in narrow alleyways, and in the evening, gas lamps still light up rue Ste.-Helene. I check into La Maison Pierre du Calvet, a nine-room guesthouse spanning three small buildings dating back to 1725. It's a stone-walled time capsule with random staircases, crooked hallways and an antique-filled library with ancient fireplaces. Escargot and stag fillet are served in a grand old dining room, and the chateau luxury includes a grand step-up, monarchy-caliber canopied bed. The morning streets waft cafe au lait and croissant aromas as I walk to the walled city's original market square of Place Royale to Maison Christian Faure, a chic new French pastry shop. In the hands-on cooking school, I glean the secrets behind crisp-on-the-outside, chewy-on-the-inside, iconic French macarons. It's so simple they even offer kids' classes, and it's made all the more fun by Lyon-born Faure himself, a Meilleur Ouvrier de France (MOF) - an elite group of France's best chefs - and the stories of his days as pastry chef for French President Nicolas Sarkozy and the prince of Monaco. "I moved here because the public markets are like those in Provence," he croons in a Lyon accent, "and because Montreal is so, mmmmm ... Europe." The pipes are calling While French zealots came to the New World to save the souls of "sauvages," the Scots came to make money. And you can still see plenty of it in the Golden Square Mile's historical buildings sloping up from Sherbrooke Street, downtown's main upscale shopping boulevard, to Mont Royal, the park-topped hill after which the city is named. The area was a residential tycoon alley from 1850 to 1930, occupied by rail, shipping, sugar and beer barons with names like Angus, McIntyre and Molson who owned 70 percent of the country's wealth. About 85 percent of the lavish estates were lost before heritage finally won over demolition in 1973. When I walk those hilly streets for the first time instead of whizzing by in my car, I'm surprised to see downtown with different eyes, an obviously British and Scottish quarter with an eclectic architectural mix from Neo-Gothic and Queen Anne to Art Nouveau, estates with names such as Ravenscrag and castles crafted from imported Scottish red sandstone. These days they're consulates, office headquarters and the Canadian McCord Museum; 30 of the beauties are campus outposts bought by McGill University, a legacy of Scottish merchant James McGill, who donated his 47-acre summer estate to become one of Canada's leading universities. One of my favorite buildings is the 1893 Royal "Vic" (Victoria) Hospital, where you can get your appendix yanked in a Scottish baronial castle complete with turrets. And where there are Scots, there are bagpipes. Montreal's most famous piper is at Ogilvy, a high-end department store on Ste. Catherine Street. Every day from noon to 1 p.m. since 1927, a kilt-clad piper plays marches and reels as he strolls around all five floors, down spiral staircases and beneath massive chandeliers where purchases are packed in tartan bags and boxes I also hear the whining tones of "Scotland the Brave" as I head toward my Highland cocktail at the Omni Hotel, where a kilted piper every Wednesday evening reminds folks emerging from Sherbrooke Street office towers that it's Whisky Folies night, a single-malt-scotch tasting in the Alice Bar. I choose five from the 10- to 20-year-olds served with a cuppa fish and chips. A local Scotsman drops in for a wee one, informing me that there's been a benefit St. Andrews Ball in Montreal every November for 177 years, "but come to the Highland Games, where there's dancing, throwing stuff around and looking up kilts - fun for the whole family." Montreal's bit o' Irish Snippets of the four founding cultures pop up repeatedly when you walk around town - statues of Robbie Burns and Sir John A. Macdonald, the Glasgow-born first prime minister of Canada; the green Art Nouveau ironwork of a Paris Metro at the Victoria Square subway station, given by France; British hero Adm. Horatio Nelson overlooking Old Montreal's main square (though the original likeness was blown to bits by Irish republican extremists in 1966). Ah, the Irish. They arrived in Montreal in big numbers in the early 1800s to build the Lachine Canal to bypass rapids blocking the shipping route to the Great Lakes. They settled nearby in Griffintown, currently a maze of condos and cranes. Stroll along rapidly gentrifying Notre Dame Street, still an eclectic melange of antiques-and-collectibles shops, funky cafes and local bistros. The Irish were unique among English-speaking immigrants - hatred for their English oppressors back home had them cozying up with the French, fellow Catholics. Surprisingly, the Irish legacy is dominant in Montreal; about 40 percent of the population has a wee bit of Blarney blood. Of course there are also pubs and churches, St. Pat's Basilica being the ornate religious hub, its interior adorned with intertwined fleurs-de-lis and shamrocks. Conveniently nearby, sacred brew is served over the altar of Hurley's Pub, a favorite hangout where Irish and Newfoundlanders work magic with fiddles, pipes and drums - even the Pogues have jammed here. I love Hurley's because it's a rare pub with Guinness stout on tap both icy cold and traditionally lukewarm; I prefer the latter for bigger flavor. "Watch him top that brew up three times," Frankie McKeown urges from a neighboring stool. "Even in Ireland they hardly do that now." The Irish come out of the woodwork on March 17, when Canada's oldest St. Patrick's parade turns downtown green, as it has since 1824. "It's amazing," says McKeown. "In Dublin it's all done in 45 minutes, but here we're watching floats for three hours." A grand party ensues afterward at Hurley's. "But it's just as much fun on Robbie Burns Day, when a haggis held high follows a piper through the pub." Britain in the mix Britain enters Montreal's picture after the Seven Years War in the 1760s when France dumps Quebec in exchange for the sugar colonies of Martinique and Guadeloupe. By 1845, about 55,000 British top out as 57 percent of Montreal's population - and the percentage has been dwindling ever since. While there may not be much Scottish brogue or Irish lilt left these days, there's plenty of culture on the plate and in the glass, though surprisingly not so much representing British roots in Montreal. In 2012, English chef Jamie Oliver made big waves by teaming up with Montreal chef Derek Dammann to highlight creative British tavern-inspired fare at the popular Maison Publique (Public House), serving locally sourced, home-smoked/pickled and cured angles on Welsh rarebit, hogget with oats and cabbage, and the like. Otherwise, the truest of Montreal's British establishments is the Burgundy Lion in Griffintown, one of the few places to offer Sunday British "footie" on the big screens, as kippers 'n' eggs, Lancashire pot pie and cucumber sandwiches are dished out by gals in tight, mod-'70s outfits. I happen to drop in during England's National Day, St. George's, to find the place hopping with dart-throwing, papier-mache piñata-style "dragon slaying" and ballad singing. I wind up at the bar sipping my pint of Boddingtons between two fellows, both dressed in fake chain mail. The one also draped in a Union Jack British flag clicks my glass with his bottle, announcing "Here's to Blighty!" before raising the visor on his medieval knight helmet to take a royal slug. Can you still experience Montreal's four founding nations in this multicultural modern city? Oui. Yes. And aye. If You Go GETTING THERE Air Canada offers daily flights from San Francisco to Montreal year round. (888) 247-2262, www.aircanada.com. WHERE TO STAY La Maison Pierre du Calvet: 405 Bonsecours St., Old Montreal. (514) 282-1725 or (866) 544-1725. www.pierreducalvet.ca/english. Lavish French colonial inn. From $265 double with continental breakfast. (Two on-site dining rooms serve French fare.) Fairmont Queen Elizabeth: 900 Rene Levesque Blvd. West. (866) 540-4483. www.fairmont.com/queen-elizabeth-montreal. A classic fit for everyone from the Queen Mother to John and Yoko; where they recorded "Give Peace a Chance" in 1969. From $209 double. Hotel Nelligan: 106 St. Paul West, Old Montreal. (877) 788-2040. www.hotelnelligan.com. Chic boutique hotel named after a famed Irish-French poet. From $250 double. WHERE TO EAT Le Mas des Oliviers: 1216 Bishop St. (514) 861-6733. www.lemasdesoliviers.ca. Classic French cuisine at a landmark downtown restaurant, one of the city's oldest places to eat. Dinner for two from $120. Also open for lunch. Restaurant L'Express: 3927 St. Denis. (514) 845-5333, www.restaurantlexpress.ca. Popular, casual French bistro, a Montreal icon. Dinner for two from $60. Maison Publique: 4720 Rue Marquette. (514) 507-0555, www.maisonpublique.com. Jamie Oliver's hip, up-market and creative take on British tavern fare. Very popular, no reservations. Dinner for two from $60. Burgundy Lion: 2496 Notre-Dame West. (514) 934-0888, www.burgundylion.com. Only true British pub in Montreal. Large selection of local and imported brews and one of Canada's biggest single-malt whiskey collections. English gastro pub menu with lunch and dinner from $40 for two. Hurley's Irish Pub: 1225 Crescent St. (514) 861-4111, www.hurleysirishpub.com. Great selection of brews, a traditional Emerald Isle pub menu, and Irish and/or Newfoundland fiddle music nightly. Entrees from $10. WHAT TO DO Point-a-Calliere Museum of Archaeology and History: 350 Place Royale, Old Montreal. (514) 872-7858, www.pacmusee.qc.ca/en/home. Excellent museum set atop the original city town square. Closed Mondays except in summer. Adults $18. McCord Museum: 690 Rue Sherbrooke West. (514) 398-7100, www.mccord-museum.qc.ca/en. Extensive cultural museum of all things Canadian. Frequent exhibitions of Montreal's various cultures. Closed Mondays. Adults $12. Fitz and Follwell Co: 115 Ave. du Mont-Royal West. (514) 840-0739, www.fitzandfollwell.co. Guided Montreal biking, walking and unique snow tours. Martin Robitaille: Private history-oriented city guide. martrob@videotron.ca. Maison Christian Faure: 355 Place Royale, Old Montreal, (514) 508-6453, www.christianfaure.ca. Hands-on French pastry and macaron-making classes. There's even a pastry-making boot camp for kids. Whisky Folies, Omni Hotel: 1050 Sherbrooke West. (514) 985-9315, http://bit.ly/1iCaJxc . Single-malt scotch and whisky tastings with fish and chips every Wednesday, 5-9 p.m.. From $16 to $40. My Bicyclette: 2985-C St. Patrick (Atwater Market). (877) 815-0150, www.mybicyclette.ca. Bike rental and tours of the Lachine Canal region. MORE INFORMATION Tourism Montréal: www.tourisme-montreal.org. Tourism Québec: www.bonjourquebec.com. Margo Pfeiff is a freelance writer living in Montreal. E-mail: travel@sfchronicle.com
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