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  1. Logement abordable: la nouvelle politique du Plateau échaude un promoteur http://journalmetro.com/local/le-plateau-mont-royal/actualites/796387/logement-abordable-la-nouvelle-politique-du-plateau-echaude-un-promoteur/ Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Estimant que l’arrondissement négocie «avec un fusil sur la tempe» avec lui sur la question de l’inclusion de logements abordables, un promoteur montréalais n’est plus intéressé à investir dans le Plateau-Mont-Royal. Lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement, les élus ont fait retirer de l’ordre du jour la seconde lecture du projet du Groupe Canvar qui souhaite reconvertir le bâtiment situé au 30, boulevard Saint-Joseph Est en un immeuble mixte de 89 logements, afin de «laisser le temps au promoteur de faire une proposition d’inclusion de logements sociaux». L’arrondissement s’est doté d’une nouvelle politique en matière de logement social. Depuis le 1er juin, le Plateau-Mont-Royal demande aux promoteurs d’inclure 20% d’unités de logement abordables dans les projets résidentiels dérogatoires de cinq unités et plus. Pour être conforme avec la nouvelle politique du Plateau, le promoteur devrait consacrer 18 unités à prix modiques dans son projet, ou encore verser dans un fonds spécial 15 000$ pour chaque unité de logement abordable non-construite. Joint par téléphone, Richard Varadi, le principal actionnaire du Groupe Canvar, n’a pas caché son mécontentement. «Je n’ai rien contre le logement abordable, mais je suis en colère avec l’arrondissement. Qu’est-ce que tu veux négocier? On nous met un fusil sur la tempe. On va aller se battre en cour s’il le faut.» Présentement, le projet est sur la glace. Le Groupe Canvar étudie toutes ses options pour faire valoir ses droits. «On ne va plus travailler dans le Plateau, a laissé tomber l’homme d’affaires. On a une hypothèque sur ce bâtiment et on est maintenant pris avec. Si l’arrondissement ne modifie pas le zonage, on ne peut pas aller de l’avant avec le projet et l’immeuble ne sera pas intéressant pour un éventuel acheteur.» «On ne sait pas encore ce qu’on va faire avec notre projet, a précisé M. Varadi à TC Media plus tard dans un courriel. La meilleure chose pour nous sera de tout simplement trouver un locataire. L’option de convertir l’immeuble n’est plus possible avec les politiques et les exigences de l’arrondissement.» L’homme d’affaires croit que la nouvelle politique du Plateau est contreproductive. «Si un promoteur doit céder au logement abordable une unité sur cinq, j’imagine qu’il va monter le prix des cinq autres pour balancer.» Rappelons que la Ville de Montréal a adopté en 2005 une stratégie d’inclusion facultative de 15% logements sociaux et de 15% de logements abordables dans les projets immobiliers de 200 unités et plus. L’arrondissement se montre confiant Le conseiller Richard Ryan, responsable du dossier de l’habitation demeure confiant que le Plateau-Mont-Royal trouvera un terrain d’entente avec le Groupe Canvar. «Il n’y a encore d’entente, mais j’ai discuté avec le promoteur et il a montré certains signes d’ouverture. Peut-être qu’il se dirigera vers une compensation.» L’élu ne croit pas que la nouvelle politique fera fuir les investisseurs immobiliers dans le Plateau. «Les 20% d’unités abordables que nous demandons aux projets dérogatoires sont vendues, pas données, a rappelé M. Ryan. Les promoteurs feront moins de profits, mais ils ne perdront pas d’argent. Les arrondissements centraux comme le Plateau possèdent une plus-value que recherchent les promoteurs, malgré le prix des terrains et les contraintes de construction reliées à la densité.» «Maintenant, les choses sont claires. Rosemont fait la même chose, le Sud-Ouest y songe, et je ne serais pas surpris que d’autres arrondissements nous suivent.» Le conseiller a souligné par ailleurs que certains projets dérogatoires dans l’arrondissement ont prévu l’inclusion de logements à prix modique avant même l’adoption de la politique.
  2. Deux projets communautaires situé derrière le YMCA sur la rue Hochelaga entre les avenue Bennett et Aird sont proposé d'être construit prochainement. Le premier projet est Le Bon Dieu dans la rue, qui est un bâtiment de 3 étages (9,90 mètres) situé sur le coté de l'avenue Bennett. Le projet comprends 17 logements. Le second projet est La Fondation des Aveugles du Québec qui est un bâtiment de 5 étages (14,44 mètres) construit du coté de l'avenue Aird. Le projet comprends 31 logements. Une séance d'information aura lieu le mardi 22 mai à 19h à la maison de la culture Maisonneuve au 4200 rue Ontario Est.
  3. j'hésitais entre "petits projets" et ici, mais c'est assez massif. la pic montre une partie seulement de ce qui sera en construction dès l'automne 2011. 92 unités, moitié condos / moitié logements abordables. http://www.interloge.org/hibiscus/ sur Ontario côté sud dans Centre-sud, juste avant le chemin de fer.
  4. Village olympique: El-Ad présente un projet plus vert Éric Clément La Presse Cité Nature, la nouvelle version du projet résidentiel du promoteur El-Ad situé derrière les pyramides olympiques, est moins ambitieuse (1400 logements au lieu de 2000) et plus respectueuse de l'environnement, a appris La Presse. En avril dernier, le conseil d'arrondissement de Rosemont-La Petite Patrie avait rejeté l'accord de principe donné par le précédent conseil au promoteur El-Ad. Le projet situé entre les pyramides et le golf municipal du parc Maisonneuve ne respectait pas un certain nombre de critères définis à cause du caractère exceptionnel de ce secteur de Montréal. Le promoteur n'avait pas apprécié ce changement de cap, mais, finalement, il a fait contre mauvaise fortune bon coeur et a modifié son projet qui, selon les documents obtenus par La Presse, ne prévoit plus de constructions au bord de la rue Sherbrooke et respecte la hauteur maximale de 14 étages. Il n'y a plus d'empiétement sur des terrains municipaux, notamment sur le golf ou son champ de pratique et le massif de conifères est préservé. La densité du projet, qui s'adresse surtout à une clientèle de familles et de personnes âgées, a aussi été réduite : le nombre de logements est passé de 2000 à 1400. Cité Nature est composée de huit immeubles résidentiels ayant de 117 à 211 logements en location ou en copropriété, selon la tendance du marché. Cinq bâtiments de 10 à 14 étages, contenant les 943 logements du quartier Est de l'ensemble, sont d'abord prévus derrière les pyramides, du côté du boulevard de l'Assomption et du terrain d'entraînement du golf. Trois autres bâtiments (de 9, 13 et 14 étages), d'un total de 457 logements pour le quartier Ouest, seront construits sur le stationnement situé derrière les pyramides, du côté de la rue Viau. Différents aménagements paysagers autour et sur les bâtiments sont prévus afin d'offrir beaucoup de verdure aux résidants, qui pourront encore jouir du massif de conifères qui demeurera entre les deux quartiers de Cité Nature. Les promoteurs veulent ajouter 146 arbres sur les lieux, mais devront en couper une vingtaine. Un stationnement souterrain de trois étages sera construit pour les résidants du nouveau projet et pour ceux des pyramides qui auront perdu leur place à cause de la construction d'un des bâtiments. Le promoteur prévoit que la construction des huit bâtiments se fera sur une période variant de six à huit ans. Elle pourrait débuter à la fin de l'année si les autorisations de l'arrondissement sont obtenues. Le projet est-il conforme au règlement de zonage et aux critères du Programme d'implantation et d'intégration architecturale (PIIA) de l'arrondissement? Le maire André Lavallée ne le sait pas. «L'entreprise El-Ad m'a informé qu'elle présentera un projet entièrement conforme, mais ce projet n'a pas encore été formellement déposé à l'arrondissement, donc je ne peux pas prétendre à sa conformité», dit-il. Toutefois, El-Ad a fait discrètement deux réunions publiques pour prendre le pouls des résidants du quartier, auparavant très récalcitrants. Gilles Beaudry, qui s'était opposé au précédent projet, se dit agréablement surpris. «Les architectes ont réellement fait un bon travail avec un projet qui s'intègre bien avec le village olympique, dit-il. Ils respectent tout ce qu'on avait demandé.»
  5. Enfin, un article français qui ne leur dit pas de s'installer sur le Plateau Dans l'Express.fr Les quartiers bon marché de Montréal Par Philippe Renault, publié le 11/08/2014 à 08:00 Ils portent des noms poétiques ou évocateurs du climat et on n'y croise pas des Français à tous les coins de rue! Les secteurs pas chers de la métropole gagnent à être connus. Les éditions Héliopoles livrent leurs bons plans, à l'occasion de la sortie du guide "S'installer à Montréal". Côte-des-Neiges Situé à l'ouest du mont Royal, c'est un des arrondissements les plus populaires de la ville. Depuis longtemps déjà, il attire de nombreux nouveaux immigrants, ce qui en fait l'un des quartiers les plus cosmopolites de Montréal. Pas moins de 80 communautés ethniques y sont représentées et on y trouve une importante population étudiante du fait de la proximité de l'Université de Montréal, mais aussi de ses loyers abordables. Bien desservi par les transports en commun, il compte notamment huit stations de métro, presque un record. Les logements à louer, constitués essentiellement d'appartements, de duplex et de maisons, sont nombreux, mais parfois difficiles à obtenir du fait d'une forte demande. La partie sud, proche du mont Royal et de l'université, est plutôt fréquentée par la classe moyenne ou moyenne supérieure qui aime se rapprocher du quartier huppé et calme d'Outremont sans en subir les prix prohibitifs. Dans le secteur plus au nord et à l'ouest du chemin de la Côte-Sainte-Catherine, les logements sont souvent plus anciens et surtout de moins bonne qualité. De belles demeures cossues côtoient des appartements pas toujours salubres. Cette réputation de quartier défavorisé lui colle à la peau. Côte-desNeiges bouillonne toutefois de vie. Les commerces sont variés et certains restent ouverts 24 heures sur 24. Il en va de même pour les restaurants très "cuisine du monde": vietnamiens, libanais, indiens, italiens, portugais... pour la plupart abordables et authentiques. À Côte-des-Neiges, on peut faire le tour de la planète en un jour. Hochelaga-Maisonneuve Voici un des secteurs de Montréal qui a mauvaise réputation. Prostitution, trafic de stupéfiants en pleine rue, homicides et interventions policières à Hochelaga-Maisonneuve occupent souvent la une des journaux. La réalité est cependant plus contrastée. Certes, le quartier a subi la fermeture de nombreuses entreprises et a dû faire face à une hausse du chômage et de la pauvreté dans les années 1980, mais le renouveau est en marche depuis une dizaine d'années. Les anciennes usines y sont transformées en lofts ou en coopératives d'habitation, les rues commerçantes rajeunissent, l'offre culturelle se développe... bref, Hochelaga-Maisonneuve change. Le quartier reste néanmoins l'un des plus accessibles de la métropole, avec un loyer moyen, tous types de logements confondus, de 652 $ CAN. Pour combien de temps encore? Les chantiers de construction qui poussent dans ses rues augurent d'un prochain embourgeoisement, comme c'est déjà le cas avec la place Valois et ses commerces raffinés. En dehors de quelques zones dites difficiles, Hochelaga-Maisonneuve, un des quartiers les plus étendus de la ville, comporte de nombreux îlots résidentiels très agréables. C'est le cas par exemple des abords du Stade olympique et du parc Maisonneuve ou des alentours de la station de métro Joliette. Les zones qui posent encore problème se situent au sud de la rue Ontario et à l'ouest du boulevard Pie-IX. On est loin toutefois de l'époque où les Québécois qualifiaient le coin de coupe-gorge. Villeray Parc-Extension Ce périmètre, qui s'étend de part et d'autre du grand parc Jarry, a conservé sa réputation de secteur ouvrier et populaire. Comme Côte-des-Neiges, c'est aujourd'hui l'un des plus multiculturels. Villeray compte environ 25% de nouveaux venus récents et Parc-Extension, près de 60%. Les immigrés grecs de Parc-Extension ont petit à petit été remplacés par des Indiens et des Pakistanais tandis qu'à Villeray, Italiens et Portugais ont cédé la place aux Vietnamiens et aux Maghrébins. Le secteur est réputé pour son grand nombre de locations et ses prix abordables. On y trouve aussi de grands appartements. Les logements sont majoritairement composés de duplex et d'immeubles anciens. Cependant, l'apparition de nouveaux immeubles ou de bâtiments industriels transformés en condominiums vient modifier petit à petit la physionomie de Villeray-Parc-Extension. Le Sud-Ouest Cet arrondissement, longtemps parmi les plus défavorisés de Montréal, est constitué de plusieurs quartiers au caractère distinct, mais tous de nature essentiellement populaire. Griffintown, Petite-Bourgogne, Pointe-SaintCharles, Saint-Henri... autant de faubourgs qui ont longtemps pâti d'une mauvaise réputation. Qu'on se rassure, pauvreté, criminalité et logements délabrés appartiendront bientôt au passé, car le Sud-Ouest est en pleine mutation. C'est le secteur qui monte. La revitalisation de Griffintown, transformé en un vaste ensemble immobilier assez luxueux, est un bon exemple de l'embourgeoisement en cours. Le Sud-Ouest, c'est avant tout une proximité avec le centre-ville à pied ou à bicyclette, via les pistes cyclables. Ces dernières longent le canal Lachine, dont les rives autrefois encombrées d'immeubles industriels ont été transformées en trouées vertes invitant à la promenade. On y compte aussi plusieurs stations de métro. On trouve dans ce quartier de belles résidences victoriennes, d'anciennes usines ou entrepôts reconvertis en lofts ainsi que de simples logements ouvriers. Certains îlots tels que celui de la rue Sébastopol, près du parc des Cheminots, à Pointe-Saint-Charles, comportent de charmantes demeures avec jardin... on se croirait presque en banlieue. Pour le moment, les loyers y sont abordables, et on peut y dénicher de belles maisons individuelles ou des duplex avec jardin pour moins de 450 000 $. Bien sûr, quelques zones encore en chantier peuvent rebuter et le manque de commerces se fait aussi parfois sentir. Quant au passé de violence, il s'est considérablement estompé, mais n'a pas totalement disparu. Il est donc prudent de bien se renseigner avant de s'installer. Incontestablement, un vent de renouveau souffle sur le Sud-Ouest, qui devient une des aires les plus courues de la métropole. De plus en plus d'artistes s'y installent, comme la chanteuse Isabelle Boulay. On peut parier que d'ici à une dizaine d'années, le quartier aura totalement changé. Les autres quartiers pas chers Saint-Michel, Montréal-Nord, Anjou, Pointe-aux-Trembles, Rivière-des-Prairies, Verdun
  6. Je n'ai pas beaucoup de détail sur ce projet mais en me baladant j'ai aperçu un avis de la ville sur l'immeuble existant et j'ai été ravi de lire que la proposition comporte un immeuble de 6 étages avec du commercial au rez-de-chaussée et des logements aux étages. En plein sur Jean-Talon ouest au nord de la Petite-Italie et à la limite de ce qu'on appel maintenant le Mile-x, un nouveau quartier en pleine transformation mais à échelle humaine. Sur le site il y a présentement un Mike's sous-marin qui est fermé. Voici l'avis: L'objet du projet de résolution est à l'effet d'accorder la demande d'autorisation pour la construction d'un bâtiment de 6 étages, avec construction hors toit, abritant plus de 36 logements et dont le rez-de-chaussée, face à la rue Jean-Talon, sera uniquement occupé à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 400 mètres carrés et dont une partie du rez-de-chaussée de la rue Clark sera occupée à des fins commerciales d'une superficie égale ou supérieure à 50 mètres carrés http://applicatif.ville.montreal.qc.ca/som-fr/pdf_avis/pdfav16597.pdf
  7. http://maison.lapresse.ca/habitation/immobilier/201404/04/01-4754498-condos-abordables-pour-familles-audacieuses.php Avis aux familles avant-gardistes prêtes à s'installer dans des quartiers en transformation pour devenir propriétaires de logements abordables, à Montréal. La Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) prévoit établir deux complexes Accès Condos dans deux secteurs en voie d'être revitalisés: aux Bassins du Nouveau Havre, dans Griffintown, et sur le terrain de l'actuelle cour de voirie Honoré-Beaugrand, dans Mercier-Est. L'organisme paramunicipal n'agira pas seul. Dans les deux cas, il a établi un partenariat avec le groupe de ressources techniques Bâtir son quartier pour mettre en valeur les terrains publics, conformément aux objectifs fixés par les communautés respectives. Les vastes terrains, propriétés de la Société immobilière du Canada (dans Griffintown) et de la Ville de Montréal (dans Mercier-Est), se prêtent à une mixité de fonctions. À des logements abordables et des logements communautaires conçus en grande partie pour les familles s'ajouteront ainsi des espaces non résidentiels. La SHDM ayant acheté à la fin du mois de mars un lot de 47 436 pi2 (4406 m2) dans les Bassins du Nouveau Havre, où une zone d'emploi destinée à l'économie sociale et créative pourra se concrétiser. Dans Mercier-Est, par ailleurs, un marché d'alimentation, attendu avec impatience, est notamment prévu. Sur ce site, 178 condos ou logements locatifs pourront aussi être construits. «Le but est de créer des milieux de vie avec des logements pour tous, indique Édith Cyr, directrice générale de Bâtir son quartier. Les deux projets se réalisent à la suite de la mobilisation des citoyens et sont portés par la communauté.» Une nouvelle façon de faire Pour la SHDM, «c'est le début d'une nouvelle façon de faire, révèle la directrice générale, Johanne Goulet. On travaille avec des organismes du milieu pour trouver des façons inédites de répondre aux besoins.» Dans Griffintown, l'immeuble Accès Condos de 6 à 8 étages renfermera de 60 à 80 logements abordables. Dans Mercier-Est, il en comportera environ 80. Les familles, au coeur des deux projets, auront accès à de spacieux logements répartis sur un ou deux niveaux. L'appel de propositions concernant le lieu situé dans Mercier-Est sera lancé sous peu. Le délai sera plus long dans Griffintown, le temps de finaliser le financement et le développement des volets communautaire et social
  8. Le 24 février 2010 Montréal en mutation : 25 grands immeubles en 2010 * Danielle Bonneau La Presse OBNL Cité des bâtisseurs de Pointe-Saint-Charles Illustration fournie par Raouf Boutros Experts Conseils. 11 OBNL Cité des bâtisseurs de Pointe-Saint-Charles Sud-Ouest Intersection des rues Richmond, Richardson et Centre (sur le site du complexe Nordelec) En tout : 130 logements communautaires 115 logements dans l'OBNL Cité des bâtisseurs de Pointe-Saint-Charles 15 logements pour la Coopérative Le Chalutier Promoteur : El-Ad (Canada) Constructeur : à déterminer (appel d'offres au printemps) Architecte : Raouf Boutros Experts Conseils Soutien au développement : Bâtir son quartier La construction devrait débuter en mai Des logements communautaires abordables pour personnes âgées en légère perte d'autonomie seront aménagés dans l'immeuble de huit étages. Certains services leur seront offerts. L'édifice sera construit grâce à la Stratégie d'inclusion de la Ville de Montréal. Les futurs résidants devraient emménager en mai 2011.
  9. 1. Ancienne usine Domfer Ancienne usine Domfer Photo: Robert Skinner, La Presse >Vaste terrain de forme triangulaire bordé par le boulevard Newman, l'avenue Irwin et la rue Allard. Potentiel: environ 1000 logements >Promoteurs: Armco Capital et Karami Investissements >Design urbain: Daniel Arbour&Associés, membre du Groupe IBI L'usine Domfer, qui a fermé en 2007, occupait un terrain particulièrement bien situé, de biais avec le Carrefour Angrignon, en face d'un mégacentre commercial SmartCenters. Les promoteurs ont acheté le terrain en 2008. Ils ont fait faire un plan du futur quartier pour établir son potentiel de construction. Une nouvelle rue pourrait ainsi être créée et les immeubles donnant sur l'avenue Irwin et la rue Allard auraient 3, 4, 6 ou 8 étages. Le long du boulevard Newman, les bâtiments atteindraient jusqu'à 12, 13, 15 et 16 étages. Les promoteurs décideront sous peu s'ils s'associeront avec un ou plusieurs constructeurs ou s'ils vendront le terrain, en tout ou en partie. http://montoit.cyberpresse.ca/habitation/immobilier/201011/17/01-4343631-onze-projets-a-lasalle.php
  10. Développement Le Challenger 2000 logements
  11. Arrondissement Sud-Ouest Un projet immobilier de 80 millions Le projet de reconversion en lofts de l'ancienne usine d'Imperial Tobacco dans le quartier Saint-Henri à Montréal est officiellement lancé. Le Groupe Prével a présenté les détails du projet évalué à 80 millions de dollars. Le projet inclura plus de 480 unités d'habitation, dont 15 % de logements sociaux et 35 % de logements abordables. Le projet n'a cependant pas fait l'unanimité dans le quartier et quelques groupes sociaux ont mené une campagne pour inciter la Ville de Montréal à acquérir les édifices, mais sans succès. La mairesse de l'arrondissement du Sud-Ouest, Jacqueline Montpetit, admet qu'il y a eu des réticences, mais elle maintient qu'il s'agit d'un bon projet pour les habitants du quartier. Imperial Tobacco a annoncé la fermeture de son usine de fabrication de cigarettes en juin 2003
  12. Seconde vocation pour l'ancien Hôtel Grand Plaza à Montréal 14 mars 2013 Par Michel De Smet En juillet prochain, une nouvelle Résidence Soleil ouvrira ses portes aux aînés au coin des rues Berri et Sherbooke. Il s'agit d'un projet immobilier très singulier puisque, pour la première fois à Montréal, un hôtel de grande envergure va être converti en logements pour personnes âgées. « Nous sommes en train de transformer l'ancien hôtel Grand Plaza en appartements de 1 ½ à 4 ½ pièces. Il sera rebaptisé Manoir Plaza. Au total, il devrait compter 420 logements environ. Nous disposons pour cela d'une surface aménageable de 330 000 pieds carrés répartie sur 25 étages », souligne Eddy Savoie, fondateur et président du conseil d'administration du Groupe Savoie, propriétaire des Résidences Soleil. Pas moins de 30 000 pieds carrés seront réservés à des espaces communs. On y trouvera notamment un minigolf intérieur, deux allées de quilles, un vaste atrium, un spa, une salle de cinéma et une vaste salle à manger au dernier étage avec vue panoramique sur Montréal. À noter que l'édifice aura un accès direct à la station de métro, une première en Amérique du Nord pour une résidence de personnes âgées. Le Groupe Savoie, une entreprise familiale qui agit également à titre d'entrepreneur général, prévoit investir entre 45 et 50 millions $ dans le projet. Ce montant inclut 27 millions $ versés à la société néerlandaise Kincardine B.V. pour l'acquisition de l'hôtel qui fut fermé en octobre 2010. La conversion : nouveau défi pour Groupe Savoie « C'est un défi particulier de ne pas construire à neuf comme nous le faisons d'habitude pour nos résidences. Mais je dirais que dans le cas du Grand Plaza, ce fut plutôt un avantage. Par exemple, globalement, nous allons conserver les pièces dans leur état actuel sans devoir procéder à d'importants travaux de décloisonnement », indique Eddy Junior Savoie, président exécutif, construction, Groupe Savoie. De surcroît, la grande salle de bal de l'ancien hôtel va servir à l'aménagement d'un atrium grâce à un volume intéressant créé par une hauteur libre de 18 pieds. De plus, le bâtiment, construit en 1974, se présentait en très bon état lors de l'acquisition. Par conséquent, le Groupe Savoie n'a pas eu à embaucher une firme d'ingénierie de structure. Il a cependant fait appel à l'architecte Christian Langlois pour parfaire le concept architectural. Actuellement, environ le tiers des travaux de restructuration du bâtiment entrepris à la fin de l'automne 2012 est terminé. « Nous avons embauché la firme GRV Experts-Conseils pour mener à bien les travaux de génie mécanique et électrique. La mise aux normes de nos six ascenseurs et des systèmes de sécurité va débuter sous peu. Progressivement, nous procédons aux travaux de décloisonnement nécessaire à l'aménagement de nos appartements les plus grands. De plus, durant les trois mois à venir, nous allons refaire le dallage du stationnement souterrain de l'édifice », ajoute Eddy Junior Savoie. Le Manoir Brossard À l'automne 2011, le Groupe Savoie a également entrepris la construction d'une autre Résidence Soleil à Brossard, sur le boulevard St-Laurent, à proximité immédiate du fleuve. « On prévoit accueillir nos premiers résidents en juin prochain. L'immeuble comportera 17 étages et 480 logements. Les commodités ainsi que les divisions des logements sont très semblables à celles du Manoir Plaza », fait remarquer Eddy Savoie. Environ 90 millions $ seront investis dans ce projet qui comportera une seconde phase évaluée à 75 millions $. L'échéancier des travaux pour cette dernière n'a pas encore été déterminé, mais une fois totalement achevé, le Manoir Brossard devrait compter un millier de logements. Actuellement, 85 % des travaux de la phase 1 ont été complétés. Il reste à achever certains détails de maçonnerie et de finition ainsi que la peinture intérieure. L'aménagement paysager sera réalisé l'été prochain. Avec l'ajout de ces deux nouveaux projets, le Groupe Savoie comptera désormais 14 résidences au Québec. [url=]http://www.portailconstructo.com/actualites/seconde_vocation_pour_lancien_hotel_grand_plaza_montreal[/url] J'entend déjà les commentaires que certains d'entre vous vont se faire dans leur tête en lisant cette info.
  13. Vaudreuil-Dorion: construction urbaine autour de la gare Le Félix Vaudreuil-Dorion comptera 210 appartements locatifs pour retraités actifs et 28 unités pour personnes en perte d’autonomie. Le 1 juin 2009 Danielle Bonneau La Presse Il y aura sous peu beaucoup d'activité autour de la gare Vaudreuil. À l'est, le projet Les Condos de la Gare vient de démarrer. À l'ouest, un promoteur élabore avec la Ville de Vaudreuil-Dorion le plan de développement qui encadrera la construction d'environ 2000 logements, de même que des espaces de bureau et commerciaux, sur un territoire de trois millions de pieds carrés. D'ici cinq ans, des édifices de 10 étages devraient être bâtis de part et d'autre des voies ferrées. Le but de la municipalité? Appliquer les principes du TOD (Transit Oriented Development ou développement axé sur les transports en commun) et densifier les abords de la gare. Un grand nombre de résidants pourront ainsi s'y rendre à pied. Selon cette philosophie, de nombreux commerces sont construits à proximité pour diminuer la dépendance à l'automobile. La venue de centres commerciaux, qui abritent des restaurants et des magasins comme Walmart, Winners et Future Shop, n'est pas un hasard. «Le développement se fait en fonction de la gare», indique Guy Pilon, maire de Vaudreuil-Dorion. Au cours des cinq prochaines années, de 2500 à 3000 nouveaux logements devraient être construits dans un rayon d'un kilomètre autour de la gare, révèle-t-il. La typologie des habitations changera à mesure qu'elles s'en rapprocheront. Les maisons individuelles, jumelées et en rangée feront graduellement place à des immeubles de quatre et cinq étages, puis de 10 étages, de chaque côté des voies ferrées, pour répondre aux besoins variés de la future clientèle. Déjà, le Groupe Maurice a entrepris la construction de la résidence Félix Vaudreuil-Dorion, qui comptera environ 300 unités. Le vaste immeuble de cinq étages devrait ouvrir ses portes en juin 2010. La présence des nombreux commerces, à proximité, a beaucoup influencé le choix du terrain. «Beaucoup de retraités veulent être près d'une épicerie, d'une pharmacie et des magasins, souligne Luc Maurice, président de l'entreprise. Ce sera plus facile le jour où ils ne pourront plus conduire leur voiture.» Dans le projet Les Condos de la Gare, huit immeubles comptant chacun 16 unités seront construits. Toujours à l'est des voies ferrées, le duo de constructeurs Les Habitations Raymond Allard et Les Habitations Sylvain Ménard vient de lancer le projet Les Condos de la Gare. Dans un premier temps, huit immeubles de quatre étages, comptant chacun 16 unités, seront construits. Deux tours d'habitation de 10 étages, totalisant 80 logements, seront ensuite bâties en face de la gare. «Nous ciblons une clientèle jeune qui travaille à Montréal et veut prendre le train pour s'y rendre», indique Sylvain Ménard. Pour faciliter l'accès à la propriété, les 16 unités sont uniformes, avec deux chambres, précise Raymond Allard. Les appartements coûtent de 139 900$ à 163 900$, taxes incluses, pour une superficie de 1191 pieds carrés. 2000 unités, parcs et lacs À l'ouest de la voie ferrée, Vaudreuil Realty Group élabore, en collaboration avec la municipalité, un plan d'envergure qui encadrera l'aménagement d'un immense terrain de trois millions de pieds carrés. Aux abords de la gare, la construction d'immeubles de 10 étages abritant des appartements en copropriété, mais aussi des espaces de bureau, des commerces et possiblement un CLSC, est au coeur des discussions. Un complexe sportif pourrait par ailleurs s'ajouter non loin. En tout, 2000 habitations, entourées de lacs, de parcs, de sentiers pédestres et de pistes cyclables seront construites au cours des prochaines années, révèle Michael Sochaczevski, un des partenaires de Vaudreuil Realty Group. Le terrain du promoteur, vendu graduellement à des constructeurs et des promoteurs de commerces de détail comme SmartCenters et Walmart-First Pro, mesurait à l'origine 10 millions de pieds carrés.
  14. De démolir les bâtiments industriels existants ; • De les remplacer par: – la construction d’un bâtiment résidentiel d’environ 100 logements – Maguire / Henri-Julien; – la construction d’un bâtiment résidentiel d’environ 80 logements – Henri-Julien / du Carmel; maguire_050606.pdf
  15. 825 logements sur le site des Ateliers du CN 16/10/2012 14h51 MONTRÉAL – Le site industriel des anciens Ateliers du CN de Pointe-Saint-Charles va faire peau neuve et accueillir de nombreux résidents, des commerces, ainsi que la nouvelle gare d'entretien des trains de banlieue de l'Agence métropolitaine de transport (AMT). Le projet d'accord de développement bonifié entre la Ville et le promoteur du projet, Les Cours Pointe-Saint-Charles inc., pour la revitalisation des lieux vient d'être adopté, a annoncé mardi matin le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, et responsable de l'urbanisme, Michael Applebaum. «Ce projet d'envergure permettra notamment la réhabilitation d'une friche industrielle, le retour d'un pôle d'emplois dans le secteur de Pointe-Saint-Charles, la réutilisation, la conservation et la mise en valeur des anciens Ateliers du CN, la création d'un pôle communautaire et culturel et la mise en place de mesures favorisant le transport collectif et actif», a déclaré M. Applebaum dans un communiqué publié mardi. Il a précisé que 825 logements seraient créés, dont 15 % de logements abordables et 15 % de logements sociaux et communautaires, de même que des parcs et des places publiques. Le maire de l'arrondissement du Sud-Ouest, Benoit Dorais, s'est félicité du gain que cela représentera à terme pour la communauté, citant par exemple un investissement de 500 000 $ pour mettre en place des mesures d'apaisement de la circulation dans les rues à proximité de ce nouveau quartier. http://www.24hmontreal.canoe.ca/24hmontreal/actualites/archives/2012/10/20121016-145121.html
  16. L'arrondissement de Ville-Marie comptera 10 nouveaux projets immobiliers totalisant des investissements de 600 M$. Ces projets fourniront 1 600 nouveaux logements et 51 600 mètres carrés d'espaces à bureaux.  Un projet résidentiel et commercial sur le site Overdale, comprenant la restauration de la maison Hippolyte-Lafontaine qui deviendra un centre d'interprétation ouvert au public  Une tour résidentielle de 34 étages sur la rue de la Concorde dans le Quartier des spectacle  Un bâtiment mixte à l'ancienne brasserie Ekers, au coin du boulevard St-Laurent et de la rue St-Norbert  Des tours jumelles de 35 étages sur le boulevard René-Lévesque, entre les rues Drummond et de la Montagne  Un bâtiment mixte de 11 étages sur la rue Crescent entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Un tour à bureaux de 27 étages à l'îlot Windsor  L'agrandissement du magasin Ogilvy et l'aménagement d'un nouveau complexe hôtelier et résidentiel  Des tours résidentielles de 21 et 23 étages, totalisant 327 logements, sur la rue Drummond, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque  Conversion d'un édifice à bureaux en bâtiment résidentiel, abritant 40 logements, au coin du boulevard de Maisonneuve et de la rue Bishop  Un bâtiment résidentiel de sept étages et de 48 logements sur la rue Bishop, entre la rue Ste-Catherine et le boulevard René-Lévesque montreal2025.com
  17. Microcondos Une tendance qui prend de la place à Montréal Agence QMI Emmanuel Delacour 10/01/2012 17h28 - Mise à jour 13/02/2012 09h04 MONTRÉAL - Les microcondos, ces logements de 500 pieds carrés et moins, font leur apparition au centre-ville de Montréal et il faut s'attendre à les voir se multiplier d'ici les prochaines années. La hausse du prix des terrains au cœur de la métropole et le désir de se rapprocher des grands centres en amènent certains à faire un compromis quant à l'espace. Ils deviennent ainsi propriétaires d'un appartement dont la pièce principale sert à la fois de salon, de cuisine et de chambre à coucher. Et cette tendance est là pour rester selon Jacques Saint-Pierre, professeur de développement immobilier à l'École des sciences de la gestion de l'UQAM. «Comparativement au reste du marché canadien, le prix des logements à Montréal reste en dessous de la moyenne. Ces dernières années un rattrapage s'est enclenché sur le marché immobilier montréalais et il va perdurer», a expliqué M. Saint-Pierre. Selon lui, la densification du centre-ville de Montréal ne ralentira pas et la demande pour des logements plus abordables va mener à de plus en plus de subdivision des immeubles existants, ainsi qu'à la création de plus petites propriétés. Cette demande provient en premier lieu des jeunes professionnels, souvent célibataires et sans enfants, qui veulent profiter de ce qu'offre un logement en plein milieu de Montréal. Cependant, il n'y a pas que des jeunes achètent ces microcondos. «Il y a quelques couples, souvent proches de la retraite, qui veulent s'offrir un pied à terre à Montréal. Ces gens peuvent avoir une résidence principale à la campagne et ils viennent en ville quelques jours par semaine», a expliqué Patrice Groleau, propriétaire de l'agence immobilière McGill immobilier. Le courtier immobilier est d'ailleurs l'un des premiers à mettre en vente un bâtiment offrant des microcondos à Montréal. Un des ses projets, le M9, est situé en plein Ville-Marie et a déjà vendu des dizaines de ces condominiums dont la taille se limite parfois à 350 p2. La valeur réelle? Bien que les microcondos coûtent moins cher aux acheteurs que le modèle traditionnel, il faut savoir que sa valeur au pied carré n'est pas amoindrie. Selon M. Groleau la valeur d'un logement de 350 pieds carrés peut être arrondie à 175 000 $, alors qu'un condo de 1000 pieds carrés tournera autour de 350 000 $. Ainsi, dans le microcondo, le pied carré se vend à 500 $, alors qu'il se vend 350 $ le pied carré dans un plus grand logement. Cependant, M. Saint-Pierre assure «la compétition est si grande sur le marché immobilier montréalais, que cette augmentation du prix au pied carré ne rapporte pas beaucoup plus aux promoteurs. Ceux-ci doivent investir dans un design intelligent afin de rendre ces petits espaces habitables.»
  18. Maison des sourds Arrondissement Villeray/Saint-Michel/Parc-Extension NATURE DU PROJET Développement d'un milieu de vie et de rassemblement pour la communauté sourde Démolition et décontamination d'un site en bordure d'autoroute Construction de logements pour les sourds et sourd-aveugles Construction de bureaux pour des organismes desservant la population sourde Construction de salle communautaire multifonctionnelle INVESTISSEMENT PRÉVU 11,4 millions de dollars PROMOTEURS La Maison des Sourds PARTENAIRES Société d'Habitation du Québec, Ville de Montréal, Fondation des Sourds du Québec, Groupe CDH, Douglas Alford architecte ÉTAT D'AVANCEMENT DU PROJET Réalisation DÉBUT DES TRAVAUX 2009 HORIZON 2010 CARACTÉRISTIQUES 60 logements communautaires 13 bureaux communautaires Hauteur : 3 à 6 étages Aménagement d'espace communautaire pour faciliter la communication en langue des signes (éclairage indirecte, grande salle sans colonnes, finis mat) Traitement de bordure d'autoroute avec fonctions publiques aux étages inférieurs et corridor d'accès aux logements du côté du traffic Rencontre les normes du programme Novoclimat
  19. aits saillants de la séance régulière du conseil d'arrondissement du 14 novembre http://ville.montreal.qc.ca/portal/p...es/communiques 16 novembre 2011 Montréal, le 16 novembre 2011 - Réunis lundi soir à la maison de la culture Frontenac pour la séance régulière du mois de novembre, les membres du conseil d?arrondissement de Ville-Marie ont étudié plusieurs dossiers qui confirment l'élan de vitalité que connaît actuellement le centre-ville. Logements sociaux et communautaires En ouverture de séance, le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay, a rappelé que 873 logements sociaux et communautaires ont vu le jour dans l'arrondissement depuis 2002 et que 440 autres unités sont en préparation depuis 2010. Il a également confirmé la création prochaine d'un fonds de compensation auxquels les promoteurs devraient contribuer lorsque l'inclusion de logements sociaux dans de grands projets ne s'avère pas applicable. ...
  20. Montréal tire à la hausse les mises en chantier 11 octobre 2011 | 09h18 Argent La popularité des condominiums à Montréal a fait bondir le nombre de mises en chantier dans la province en septembre, a annoncé mardi la Société canadienne d'hypothèques et de logement (SCHL). Le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations en septembre s'est élevé à 50 700 au Québec, ce qui représente un bond de 32% sur les 38 400 mises en chantier en août. Dans les centres de 10 000 habitants et plus, un total de 4 616 habitations ont été commencées en septembre, comparativement à 3 623 un an auparavant. Les données de septembre portent le cumul annuel des mises en chantier dans les centres urbains à 30 420. Le chiffre est inférieur de 6% à celui des neuf premiers mois de 2010. La SCHL attribue le recul au segment des maisons individuelles, dont le nombre a chuté de 17%. Les mises en chantier de logements collectifs ont légèrement diminué de 1%. « La hausse notable de l'activité en septembre est exceptionnelle et résulte de la mise en chantier simultanée de nouveaux ensembles de copropriétés à Montréal. Ailleurs au Québec, les mises en chantier sont essentiellement en baisse», a fait remarquer Kevin Hughes, économiste principal à la SCHL pour le Québec. M. Hughes s'attend toutefois que la tendance baissière reprenne à court terme, compte tenu du rythme soutenu observé au cours des dernières années et du potentiel de demande. Au Canada, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier d'habitations s'est élevé à 205 900 en septembre. Il s'agit d'une hausse de 7% par rapport à août, à 191 900. Le chiffre surpasse les attentes des économistes de l'agence Bloomberg, dont la prévision moyenne était de 190 000. En plus du Québec, une hausse du nombre de logements locatifs a été constatée en Colombie-Britannique et dans les provinces de l'Atlantique, a indiqué Mathieu Laberge, économiste en chef adjoint au Centre d'analyse de marché de la SCHL. M. Laberge estime toutefois que les mises en chantier de logements collectifs vont redescendre à court terme «vers des niveaux qui cadrent avec les facteurs démographiques fondamentaux.» Dans les centres urbains du pays, le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier s'est accru de 8% pour se situer à 185 900. Il a progressé de 14,2% dans la catégorie des logements collectifs, mais diminué de 1,5% dans celle des maisons individuelles, pour s'établir respectivement à 118 000 et à 67 900. L'organisme fédéral estime à 20 000 le nombre désaisonnalisé annualisé de mises en chantier en milieu rural pour le mois de septembre.
  21. Le prochain projet Accès Condos sera dans Saint-Henri Le prochain complexe immobilier réalisé dans le cadre du programme Accès Condos, de la Société d’habitation et de développement de Montréal (SHDM), sera construit dans Saint-Henri, à l’intersection des r ues Saint-Jacques et De Courcelle. Il intégrera 67 logements locatifs abordables, administrés par l’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM). Le prochain complexe immobilier Accès Condos sera construit dans SaintHenri, à l’intersection des rues Saint-Jacques et De Courcelle. Il intégrera 67 logements locatifs abordables. L’immeuble de huit étages sera construit sur le terrain de l’ancienne église Sainte-Élisabeth du Portugal, inoccupée depuis 2003 et la proie des flammes en 2007. Il se dressera à l’ombre de l’autoroute Ville-Marie, dans un secteur qui a besoin d’être restructuré, indique Guy Hébert, directeur général de la SHDM. « Nous all ons dans des endroits qui n’intéressent personne pour contribuer à leur revitalisation, rappelle-t-il. Les terrains peuvent ainsi être acquis à des prix raisonnables. Les copropriétaires, de leur côté, sont conscients que les secteurs sont en mutation et ils sont prêts à faire un compromis pour devenir propriétaires. » La proximité du centreville et de la station de métro Place-Saint-Henri , à une dizaine de minutes à pied, sont de gros atouts. En tout, l’édifice comprendra 210 unités: 143 appartements en copropriété offerts dans le cadre du programme Accès Condos et 67 logements locatifs construits dans le cadre du programme Logement abordable Québec. Les unités seront aménagées à l’intérieur du même immeuble, mais les deux types d’habitations auront des halls d’entrée et des ascenseurs distincts. Les stationnements souterrains seront également séparés. « La demande pour l es logements abordables s’amplifie, fait remarquer Fabien Cournoyer, directeur général de l ’ OMHM. En nous imbriquant dans un projet Accès Condos, nous bénéficions d’économies d’échelle et nous sommes en mesure d’offrir des logements de qualité. » Dans les deux types d’habitations, la plupart des unités au rez-de-chaussée ont été conçues pour plaire à des familles, note Danielle Cécile, chef de division à la direction de l’habitation à la Ville de Montréal. Comptant trois chambres, elles auront leur propre entrée à l’avant et une petite terrasse à l’arrière, donnant sur une vaste cour intérieure commune. La SOLIM, bras immobilier du Fonds de solidarité de la FTQ, a acheté le terrain en 2005. Elle avait dès lors la volonté qu’une partie soit consacrée au logement à caractère social. L’arrondissement du Sud-Ouest a mené une consultation publique en février 2009 avant d’autoriser le projet. Construction Marton, qui a aussi fait le Phoenix dans le cadre du programme Accès Condos, à Saint-Laurent, a par la suite acquis le terrain. L’entreprise fait équipe de nouveau avec l’Atelier Chaloub Beaulieu Architectes. La construction devrait débuter incessamment. Quant au bureau des ventes, il ouvrira l’automne prochain. Source: Journal LaPresse 2010-02-20
  22. Habitations Jeanne-Mance Haro sur le ghetto André Beauvais Le Journal de Montréal 18/05/2006 05h09 La Ville de Montréal songe à défaire le «ghetto» des Habitations Jeanne-Mance, ce vaste ensemble de logements sociaux situés sur des terrains d'une très grande valeur. «Le moment est bien choisi, affirme le maire dans une entrevue au Journal de Montréal, pour lancer une grande réflexion sur l'avenir de ce complexe puisque l'engagement financier du gouvernement fédéral dans ce projet arrivera à terme dans deux ans et demi. «À la fin des années 1950, a dit le maire, un véritable ghetto fut construit au coeur de Montréal. C'était accepté à cette époque. Mais ça n'a plus de sens aujourd'hui», affirme le maire. Ce complexe compte 788 logements sociaux, les premiers construits à Montréal, sous le nom de Plan Dozois, il y a 47 ans, dans le grand quadrilatère Sainte-Catherine, Sanguinet, de Maisonneuve et Saint-Laurent. Montréal veut définir un grand projet de modernisation axé sur la mixité des logements et des activités en favorisant une occupation du sol qui respecte l'exclusivité du site, soit 900 000 pieds carrés, au coeur même de la ville. Ce site fait saliver les dirigeants de Montréal qui veulent de nouvelles entrées de fonds mais le maire assure que la vocation sociale sera protégée. Les Habitations Jeanne-Mance (HJM), c'est une communauté de 1687 personnes composée de 1164 adultes et 523 enfants vivant pauvrement. On y compte 70 communautés culturelles. Le maire Gérald Tremblay explique que le complexe des HJM, qui date de 1959, coûtera une fortune à restaurer pour le rendre conforme aux normes modernes de construction et de sécurité. Le déficit d'exploitation est absorbé à 25 % par la Ville et à 75 % par la SCHL. Il s'élevait pour 2005 à 5,6 M$. Des travaux d'entretien ont nécessité des dépenses d'au moins 4 M$ annuellement depuis quelques années. Quartier en or «Je ne vous annonce pas la démolition des bâtiments concernés, de dire le maire, mais je vous dis que nous en sommes à la phase de l'étude de tous les scénarios possibles à l'intérieur d'un grand projet de redéploiement non seulement de ce quadrilatère mais de tout le secteur limitrophe», précise Gérald Tremblay. Ces terrains sont les derniers de grande dimension au coeur de Montréal. Ils représentent un quartier en or pour les finances de Montréal. La Ville invitera bientôt des représentants des deux gouvernements et de plusieurs organismes sociaux et d'affaires à s'asseoir à la même table «pour étudier plusieurs scénarios concernant l'avenir de ce complexe». Pour Gérald Tremblay, «il s'agit d'une question très délicate quand on pense aux centaines de familles qui habitent aux HJM et nous ne voulons surtout pas créer un sentiment d'incertitude chez ces gens. «C'est pourquoi, poursuit-il, nous allons entreprendre la plus importante réflexion jamais réalisée à Montréal.» Toutes les personnes concernées seront consultées, promet-il. Ce qu'en dit le maire ... «C'est un véritable ghetto qui a été construit en 1959 et il faut enlever cette étiquette...» «C'est une question très délicate que nous abordons et nous devons penser aux familles des Habitations Jeanne-Mance et les rassurer sur l'avenir...» «L'opération de redéploiement du site ne remet pas en cause la vocation de maintenir des logements sociaux ou abordables.» «Le plan d'action qui sera étudié doit solutionner un enjeu majeur, soit la cessation à compter de 2009 de la contribution de la SCHL, soit 75 % du déficit d'exploitation.»
  23. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Denise-Morelle Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 547 m² Implantation du bâtiment : 354 m² Taux d’implantation : 65 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20.5 m Surface totale du bâtiment : 1 923 m² Densité :3.52 Nombre de logements : 16 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à implanter un bâtiment de 6 étages dans un contexte dense de bâtiments résidentiels de 2 et 3 étages. En doublant le nombre d’étage par rapport au maximum autorisé de 3, on atteint une densité de 3.52, soit 68% supérieure au maximum autorisé de 2.1. Le projet offre 16 logements plutôt que 9 (ou 12 avec logements en demi-sous-sol). La typologie en forme de T donne une implantation au sol de 65%. Cette valeur est légèrement inférieure au maximum permis de 70%. Afin d’assurer une insertion harmonieuse, des retraits en façade aux étages 4, 5 et 6 sont pratiqués à l’avant et à l’arrière. Ceci allège le bâtiment en hauteur, réduit les ombres portées et offres des espaces extérieurs vivants qui profitent autant aux habitants qu’au voisinage.
  24. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Drolet-Villeneuve Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 1 013 m² Implantation du bâtiment : 615 m² Taux d’implantation : 61 % Nombre d’étages : 6 Hauteur de bâtiment : 20 m Surface totale du bâtiment : 3 690 m² Densité : 3.64 Nombre de logements : 34 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à implanter un bâtiment de 6 étages dans un contexte dense de bâtiments résidentiels de 2 et 3 étages, sur un site offrant des dégagements et en bordure d’un parc au sud. En doublant le nombre d’étage par rapport au maximum autorisé de 3, une densité de 3.64 est obtenue, soit 73% supérieure au maximum autorisé de 2.1. La typologie en forme de C donne une implantation au sol de 61%. Cette valeur est inférieure au maximum permis de 70% mais offre une cour arrière qui favorise l’ensoleillement des espaces de vie. Les étages 5 et 6 sont en retraits, mais visibles de la rue, afin de réduire les ombres portées, de donner plus de légèreté et de verticalité au bâtiment et d’offrir des balcons aux logements supérieurs.
  25. http://www.paullaurendeau.com/ Habitation Premières Lettres Étude urbaine sur la densité - 2010 Montréal, Québec, Canada Surface du lot : 3 462 m² Implantation du bâtiment : 1 572 m² Taux d’implantation : 45 % Nombre d’étages : 8 Hauteur de bâtiment : 28 m Surface totale du bâtiment : 12 394 m² Densité : 3.58 Nombre de logements : 104 Stratégie de densité La stratégie de densité consiste à démolir l’école existante d’une densité de 2.35 et construire un nouveau bâtiment plus dense le plus haut possible afin de laisser des espaces ouverts pour laisser entrer la lumière. Contrairement aux autres projets de densification, le nombre d’étage proposé est de 8 plutôt que de 6. Ceci, parce que la typologie du plan s’insère moins efficacement sur ce site avec un taux d’implantation de 45%. Ce choix est également influencé par le bâtiment adjacent au sud de 6 étages, mais dont la hauteur est équivalente à celle du projet. Celui-ci se positionne donc comme d’égale importance. À 5 étages, le bâtiment projeté a une densité de 2.19, ce qui est moins que l’École des Premières Lettres. Le standard développé de 6 étages porte la densité à 2.65. Il faut 7 étages pour avoir une densité supérieure à 3 et 8 étages pour avoir plus de 100 logements. Une étude des façades démontre que 6 étages offre un rapport idéal entre hauteur et ensoleillement.
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