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  1. 369 nouveaux condos sur la rue De Castelneau juste derrière le projet ''De Castelneau''. Ce secteur est en vois de devenir assez impressionnant car la densification est assez bonne et la transformation est très intéressante. C'est tout le coin qui va en bénéficier. Autant Villeray, que le Marché Jean-Talon et la Petite Italie. Le projet est présentement a l' OCPM http://ocpm.qc.ca/sites/ocpm.qc.ca/files/pdf/P73/3a.pdf
  2. J’espère que vous allez avoir autant de fun à regarder ces clips que j’ai eu à les enregistrer et éditer! Toute une ville s’amorce en 2016! Vidéos pris le 27 août 2014. [video=youtube_share;cJQWJBMN5k0]
  3. http://voir.ca/societe/2013/04/11/dossier-anglos-artistes-anglos-made-au-quebec/ Dossier Anglos 11 AVRIL 2013 par SIMON JODOIN C’est dans l’air du temps. Le débat sur le renforcement de la loi 101 semble vouloir reprendre de plus belle, entraînant avec lui des discussions parfois acerbes entre les anglos et les francos, les premiers craignant de ne pas trouver leur place au sein de la culture québécoise, les seconds souhaitant tout faire pour éviter de voir leur langue disparaître au profit de l’hégémonie anglo-saxonne. Encore cette semaine, ces discussions faisaient la manchette. «Grogne chez les anglos», titrait Louise Leduc dans le quotidien La Presse en rapportant les tensions entre le ministre Jean-François Lisée et des membres de la communauté anglophone. On pourrait croire que nous entrons dans une nouvelle ère d’animosité. Peut-être… Et peut-être pas! Dans tout ce brouhaha bourré de scènes déjà vues à propos des affiches dans le centre-ville de Montréal, des marques de commerce des multinationales et mettant en vedette la langue d’enseignement (un film dans lequel nous avons joué des centaines de fois), certaines initiatives permettent d’entrevoir le rapport anglos/francos sous un nouveau jour et de dégager de nouvelles pistes de solution. Avec le site web Made au Québec lancé le 22 mars dernier, l’English-Language Arts Network (ELAN) propose d’ouvrir une fenêtre virtuelle – et pourtant bien réelle – sur le travail des artistes anglophones montréalais. L’objectif? Rassembler au sein d’un agrégateur toutes les nouvelles concernant les artistes anglophones de toutes les disciplines. Car si certains groupes de musique sont bien en vue depuis quelques années, on ne saurait en dire autant des écrivains, cinéastes ou artistes en arts visuels qui œuvrent dans la langue de Cohen. Le site made-au-quebec.ca, qui s’affiche par défaut en français, permet ainsi de suivre l’actualité de créateurs d’ici et, dans la plupart des cas pour les francophones, de fréquenter leur travail pour la toute première fois. Pour Guy Rodgers, directeur général d’ELAN: «Depuis vingt ans, le nombre d’artistes anglophones qui choisissent de vivre au Québec a augmenté en flèche.» Un choix qui, selon lui, repose entre autres sur l’attirance pour la langue française et un désir de prendre part à la culture québécoise. Une participation qui demeure parfois assez difficile, il faut en convenir. Car bien souvent, l’artiste anglo d’ici se retrouve dans une quête similaire à celle du Canadien errant, banni de ses foyers à parcourir des pays étrangers. Inconnus de leurs concitoyens qui les confondent volontiers avec n’importe quel Torontois, ils sont pris en sandwich entre la culture francophone et les best-sellers américains ou les blockbusters hollywoodiens. «Beaucoup de revendications ne font pas l’unanimité, selon Guy Rodgers, mais il y a un point sur lequel tous les anglophones sont d’accord: ils ne veulent pas servir de bouc émissaire pour l’ancien empire british ou la dominance économique actuelle de l’empire américain.» Le problème que doivent affronter les anglos est donc double: aller à la rencontre de leurs concitoyens francophones, plutôt habitués à fréquenter les standards de la culture francophone, tout en se distinguant dans leur promotion pour faire valoir leurs racines montréalaises et québécoises. Il s’agit sans doute là, aussi, d’une réponse au déclin des médias anglos. Il y a un an, le Hour et le Mirror fermaient leurs portes, faute de revenus. À la même époque, The Gazette annonçait des suppressions de postes draconiennes à la rédaction. Peu à peu, la culture anglophone montréalaise se retrouve sans voix médiatique. Une situation un peu inquiétante quand on sait que les hebdos culturels gratuits étaient lus aussi, et pour beaucoup, par des francophones. Pas question de s’apitoyer, cependant. «Nous avons créé le site Made au Québec à des fins autant émotives que pragmatiques, résume Rodgers, autant pour promouvoir les artistes que pour stimuler un dialogue entre voisins qui pourraient se connaître mieux.» Made au Québec s’inscrit ainsi dans la lignée du projet Recognizing Artists: Enfin visibles aussi lancé par ELAN en 2010, qui offrait sur le web des portraits d’artistes anglophones bien souvent anonymes et inconnus de leurs concitoyens. Il s’agit maintenant de les suivre au fil de l’actualité et d’allumer un esprit de dialogue entre les deux solitudes, qui sont de moins en moins isolées et éloignées.
  4. Les Cours Géorgiennes - Autant en emporte le vent, version Boucherville Le Devoir Émilie Corriveau Édition du samedi 23 et du dimanche 24 mai 2009 Mots clés : Boucherville, Cours Géorgiennes, Habitation, Québec (province) «On veut que l'endroit reste privé et paisible» Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Sur la photo, le modèle Colony. À la croisée des autoroutes 20 et 30, sur la rive sud de Montréal, se trouve la ville de Boucherville. Très prisée pour son caractère familial et son patrimoine historique, cette banlieue connaît depuis quelques années un important développement. C'est au coeur de l'un de ses nouveaux quartiers que sont construites Les Cours Géorgiennes, un projet domiciliaire conjuguant architecture contemporaine et inspiration néoclassique. À deux pas du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea), à quelques minutes à peine du pont-tunnel Louis-Hippolyte-Lafontaine, se déploie depuis septembre 2008 le plus récent projet du promoteur Les Habitations Signature Inc. D'une valeur de 125 millions de dollars, le concept comprend 74 bâtiments de trois niveaux, lesquels renferment un total de 592 unités de logement haut de gamme en copropriété. «Nous privilégions toujours un type d'aménagement intégré, plutôt que de construire de grands complexes d'appartements. Pour nous, la qualité de vie est très importante, et nous souhaitons que les acheteurs se sentent réellement chez eux. C'est pour cette raison, par exemple, qu'il n'y a pas de route qui passe à travers le projet. On veut que l'endroit reste privé et paisible. C'est vraiment une question de tranquillité et d'intimité», affirme Gilbert Gagné, directeur principal des ventes chez Habitations Signature. Un peu d'histoire Trois types de bâtiments d'inspiration historique constituent Les Cours Géorgiennes. Nommés Régence, Colony et Les Bourgs, ces bâtiments se caractérisent par une architecture à la fois contemporaine et néoclassique. Les colonnes, les frontons, la fenestration généreuse, la symétrie des constructions et les proportions harmonieuses rappellent le style géorgien, alors que les matériaux choisis et les couleurs donnent un ton actuel à l'ensemble. «Nous travaillons toujours en suivant un thème, explique Michelle Gaston, directrice du marketing chez Les Habitations Signature. Cette fois, nous nous sommes inspirés du film Autant en emporte le vent et de l'architecture qu'on trouve en Géorgie. Les grands balcons, les colonnes, les vastes espaces et l'entrée majestueuse, ç'a été notre point de départ, ce qui a allumé notre flamme, du côté créatif!» Acheteurs variés Conçues pour plaire autant aux familles qu'aux célibataires et aux aînés, Les Cours Géorgiennes proposent 18 modèles de condominiums différents. Pour éviter les mauvaises surprises aux acheteurs et leur faciliter le choix, tous les types de logements peuvent être visités sur place. Chacun a été décoré et aménagé de façon distincte afin que soient mises en valeur les diverses options. De l'unité moderne, dans le genre loft, à l'appartement sur deux étages, beaucoup plus classique, tous peuvent trouver leur compte en matière de style. C'est ce que souligne Mme Gaston: «Nous avons tenté d'aménager les espaces pour qu'ils conviennent à des gens de tous âges et avec des goûts différents.» L'échelle des prix, établie entre 154 000 et 287 000 $, taxes incluses, séduit plusieurs portefeuilles. La majorité des unités étant disponibles entre 180 000 et 220 000 $, de nombreux clients peuvent se permettre ce genre d'achat. «Les Cours Géorgiennes sont un projet qui convient autant au premier acheteur qu'à la jeune famille, au couple plus âgé, aux célibataires ou aux retraités. Les clients ont en moyenne 38 ans, mais on trouve vraiment des acheteurs dans toutes les tranches d'âge. Dans chaque édifice, il y a des unités pour toutes les fourchettes de prix et tous les besoins», précise M. Gagné. Bien aménagé Situé sur un terrain de 1,9 million de pieds carrés, le projet domiciliaire est bordé au nord par le parc de la Futaie (aménagé en milieu naturel) et comprend plusieurs aires naturelles. Au coeur du projet se trouve un espace vert spécialement aménagé; les résidants pourront s'y promener et profiter de la nature comme bon leur semble. Construits à bonne distance les uns des autres, tous les immeubles sont entourés de verdure. La proximité des bâtisses étant raisonnable, voire enviable, les acheteurs n'ont pas l'impression de se trouver chez le voisin lorsqu'ils mettent le nez à la fenêtre. Fait intéressant, le promoteur a pensé à aménager des piscines creusées et chauffées entre les bâtiments. Celles-ci sont accessibles à tous les résidants. Livraison En construction depuis août 2008, les premiers condos des Cours Géorgiennes ont été livrés en décembre de la même année. Plus de 90 unités sont actuellement vendues, sur un total de 592. Le promoteur estime que les derniers condos devraient être prêts d'ici trois ans. «Nous sommes dans les temps et tout va pour le mieux», confirme M. Gagné. *** Collaboratrice du Devoir *** Fiche technique - Les Cours Géorgiennes - Promoteur: Les Habitations Signature Inc. - Situation géographique: Boucherville, près des autoroutes 20 et 30, à proximité du Carrefour de la Rive-Sud (Ikea) - Nombre d'habitations: 74 bâtiments de trois niveaux comprenant un total de 592 unités en copropriété - Trois concepts d'habitation: - Régence - Colony - Les Bourgs - Modèles: 18 modèles de condominium - Superficie des unités: de 894 à 1851 pieds carrés, sur un ou deux niveaux - Prix: de 154 000 $ à 287 800 $, taxes incluses, la majorité se situant entre 180 000 $ et 220 000 $ - Premiers condos livrés en décembre 2008 - Fenestration généreuse - Nombreux espaces verts et parc à proximité - Cour privée pour les condominiums du rez-de-chaussée dans tous les bâtiments - Garages: quelques espaces prévus à l'intérieur, parc de stationnement à l'extérieur - Piscines creusées et chauffées - Vastes balcons - Foyers et sorties (barbecue et cuisinière) au gaz naturel en option - Chauffe-eau au gaz naturel - Frais de notaire inclus si l'acheteur transige avec la banque du constructeur Pour plus de renseignements: http://www.habitations-signature.com http://www.ledevoir.com/2009/05/23/251695.html (25/5/2009 8H48)
  5. pedepy

    ilots musicaux

    je suis aller prendre une de mes promenades hebdomadaire au centre ville cet apres midi, et apres m'etre arrete 5 minutes, pour siroter un cafe, sur un coin de rue où jouaient un "band" de musique, jai eu cet idee: pourquoi la ville ne designerait pas t elle, comme la stm dans le metro, des "ilots musicaux", où performeraient en rotation des musiciens locaux, qui seraient prealablement selectionnes via auditions, et qui recevraient, en plus de leurs pourboires, une renumeration de base de la ville? les artistes pourraient utiliser les espaces par example de mars a octobre, et seraient choisis en fonction autant de leur talent que de l'originalite de leur performance. cela aiderait entre autre a contribuer a l'animation de rue de qualite au cv, a valoriser le talent local en supportant ces artistes a vivre de leur art tout en profitant d'une vitrine unique, et renforcerait l'image de ville "festive" de montreal.
  6. Une expo-photo organisée par le Musée McCord à partir de la collection du photographe William Notman (1826-1891) présentée gratuitement sur une portion de la rue McGill College entre Maisonneuve et Président-Kennedy. Pour les férus d'histoire et de photos anciennes sur Montréal, c'est à voir surtout qu'on y reprend les mêmes vues aujourd'hui en guise de comparaison. On y a même ajouté une photo centrale de type hologramme qui superpose les deux images, ludique tout autant qu'intéressant.
  7. Le Québec fait la leçon à Ottawa Agence QMI Michel Hébert 13/12/2009 16h13 Même s'il pollue autant qu'en 1990 - Le Québec fait la leçon à Ottawa Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. © Photo Archives Même si le Québec pollue lui-même autant qu’il y a vingt ans, Jean Charest profitera de la conférence de Copenhague sur les changements climatiques pour exiger une réduction significative des gaz à effet de serre au Canada. «On a va continuer à faire preuve de leadership», a déclaré M. Charest alors qu’il s’envolait hier pour la capitale danoise au terme de sa mission économique en Russie. Insatisfait des cibles choisies par Stephen Harper, M. Charest soutient qu’en s’appuyant sur l’année 2006, le gouvernement fédéral aura un effet minime sur la production de GES au pays. Ottawa devrait plutôt aligner ses efforts sur l’année 1990, la référence de plusieurs pays européens. «Ottawa devrait viser 1990, on devrait tous avoir un language commun sur le plan technique», estime Jean Charest. Le gouvernement fédéral n’apprécie évidemment pas ces pressions et Stephen Harper compte sur son ministre de l’Environnement, James Prentice, pour remettre les pendules à l’heure. Jean Charest court effectivement un risque. Car même s’il se donne une cible spectaculaire et embarrassante pour Ottawa, le Québec pollue lui-même autant qu’en 1990. Et bien qu’il ait toujours publiquement appuyé l’Accord de Kyoto, il n’a globalement pas avancé dans sa guerre contre les GES, indique le relevé national des GES d’Environnement Canada de 2009 consulté par le Journal. Qu’il appuie sa performance sur l’année de référence de 2006 ou sur celle de 1990, le Québec émet autant de GES, voire un peu plus: 82 600 tonnes en 1990 contre 85 664 tonnes en 2007, en hausse de 3,7%, indique le rapport de l’agence fédérale. Le Québec n’est toutefois pas un grand pollueur; il produit 0,2% des GES au monde. À cause de sa grande capacité hydro-électrique, il ne produit que 11,1 tonnes de GES par personne. Le ratio est de 70 tonnes en Alberta et de 72 tonnes en Saskatchewan. L’Ontario se compare au Québec avec une production de GES de 15 tonnes per capita. Arrivé dans la capitale danoise hier le premier ministre Jean Charest fera connaître la cible du Québec dans les cercles d’influence. Il multipliera les interventions pour que le gouvernement fédéral vise plus qu’une réduction des GES de 3% par rapport à 1990. «On peut faire mieux», dit-il. Pour forcer la main de Stephen Harper, M. Charest fera savoir à un auditoire le plus large possible qu’il vise, lui, une réduction des GES de 20% par rapport à 1990 alors qu’Ottawa appuie son objectif de -20% sur l’année 2006. «On va donner l’exemple en choisissant nous-même une cible très contraignante, ambitieuse. Et nous allons travailler avec d’autres gouvernements pour s’engager dans des systèmes de réduction des GES, incluant une bourse du carbone», a expliqué M. Charest. Mardi, il coprésidera le Forum des leaders, une organisation regroupant des états fédérés ou «sous-nationaux» tels la Californie, la principauté de Monaco, le Poitou-Charente et l’Australie du Sud. Devraient y être l’influent gouvernement californien Arnold Schwaznagger, le prince Albert de Monaco, Ségolène Royal et Ban Ki-moon, le secrétaire général de l’ONU. M. Charest affirme que les 192 pays participant à la conférence de Copenhague parviendront probablement à une entente de principe qui débouchera sur un accord-cadre, une sorte de Kyoto II. Le Canada n’aura pas le choix d’y souscrire, estime Jean Charest. «Le défaut de s’obliger à des objectifs contraignants pourrait nous rendre vulnérables à des sanctions commerciales», dit-il. Les produits canadiens, y compris évidemment ceux du Québec, pourraient être soumis à une nouvelle taxe sur le carbone, ce qui serait nuisible sur les marchés extérieurs.
  8. Bonjour à tous ! Je suis allé aux vergers du belvédère à Saint-joseph-du-lac un petit village de 5000 habitants au nord-ouest de Montréal. Ce qui est intéressant c'est que dans ce verger qui monte à environs 300m il ya un belvédère assez peu connu de la population en général mais qui offre une vue magnifique à 360 degrés de la région... de plus , l'admission est de 2,50$ alors autant en profiter pour y enmener son appareil photo ! :tup: Malheureusement j'ai pu y faire que quelques photos parce que j'ai manqué de piles ! , mais j'ouvre ce topic pour y mettre mes prochaines photos lorsque j'y retournerai. Habituellement un tracteur fait la navette , mais pas aujourdhui , donc à pied il faut tout de même 30 minutes pour y parvenir. Les voici donc. 1) 2) 3) 4) 5) 6) 7) 8) 9) 10) Pano-Petit : Déroulez ==> 11) Pano-Gros/détails : Déroulez ==> ...Finalement je suis surpris de voir qu'il y a autant de «buildings» dans la région de Montréal qui dépassent. À l'oeil nu c'était plus difficile de s'en rendre compte. ps : regardez bien dans le gros pano , je crois qu'on vois les pointes du pont-jacques-cartier !! ---------------------------- Voilà! ... j'y retournerai bientôt , et cette fois avec de bonnes piles ! Franks.
  9. La pharmaceutique GlaxoSmithKline supprimerait 6000 emplois 2 février 2009 - 07h14 ARGENT GlaxoSmithKline (GSK) doit annoncer 6000 suppressions à l'occasion de la publication de ses résultats jeudi, a écrit dimanche le journal Sunday Telegraph. GlaxoSmithKline compte plus de 1100 employés au Québec, selon le site Internet de la compagnie. La société possède des bureaux d’affaires à Montréal, à Laval et à Québec, ainsi que des usines de production à Québec et à Laval. À ce dernier endroit, la société exploite le centre de recherche et de développement de la division des vaccins et le centre administratif du groupe pour l’ensemble de l’Amérique du Nord. Selon ce que rapporte l’agence Reuters, les suppressions de postes s'inscriront dans une stratégie qui a pour objet, entre autres, de mieux affronter la concurrence des génériques en orientant davantage le groupe vers les produits grand public que vers les médicaments prescrits sur ordonnance. Le numéro deux mondial de la pharmaceutique, qui emploie environ 100 000 personnes, n'a pas lancé sur le marché autant de médicaments que ne l'espéraient les investisseurs lorsqu'il est né par fusion voici huit ans. Un porte-parole de Glaxo a indiqué que la société britannique avait un programme de restructuration sans être plus précis. Son concurrent AstraZeneca (AZN) a annoncé 6000 suppressions d'emplois jeudi après avoir fait état d'un chiffre d'affaires trimestriel décevant.
  10. Les Québécois plus optimistes que les Ontariens Publié le 22 janvier 2009 à 00h00 | Mis à jour le 22 janvier 2009 à 06h48 Moins frappées jusqu'ici par la récession américaine et mondiale, les entreprises du Québec s'attendent à affronter le pire de la crise en 2009. L'optimisme de l'an dernier a carrément basculé dans le pessimisme chez les gens d'affaires, selon le nouveau sondage de la société de comptables Raymond Chabot Grant Thornton (RCGT), réalisé de la fin d'octobre à la fin de novembre et rendu public hier par Sébastien Bellemare, directeur de son Centre international. RCGT a interrogé plus de 7200 dirigeants d'entreprise à capital fermé dans 36 pays, dont 300 au Canada. La marge d'erreur du sondage atteint 5,7%. Pour la première fois, le Québec fait partie de l'étude annuelle réalisée depuis 2003, avec 150 de ses entreprises. C'est une première aussi de voir la confiance chuter autant dans le monde, soit de 56 points de pourcentage. L'an dernier, l'indice affichait +40% pour les optimistes. Cette année, les pessimistes l'emportent avec 16%. Pourtant déjà frappé par le ralentissement économique (forestières, manufacturiers, exportateurs), le Québec devient pour 2009 carrément plus pessimiste que le reste du Canada sur les perspectives économiques, les profits et l'accès au financement. L'écart s'explique toutefois surtout par l'optimisme de l'Ouest canadien, motivé par la possible remontée rapide du prix du pétrole, car l'Ontario reste plus pessimiste que le Québec. Montréal compte par ailleurs plus d'optimistes (+17%) que les autres villes du Québec (+2%) et, surtout, que les régions (-21%) où la méfiance règne. La confiance des PME du Québec devance largement celle des grandes entreprises (42% contre 24%), car elles s'adaptent plus rapidement, selon Sébastien Bellemare. La pire crainte des entrepreneurs du Québec, tout comme de ceux du Canada d'ailleurs, c'est la chute de la demande des consommateurs. La grande majorité des entreprises québécoises (72%) redoutent en outre le financement difficile, au contraire de celles du reste du Canada qui croient à du crédit autant, sinon plus facile (51%). Le Québec craint de plus la rareté du personnel qualifié. Sur la planète, le record du pessimisme revient aux pays développés, avec de nouveau le Japon en tête (-85%), suivi par la France (-60%), le Royaume-Uni (-47%) et les États-Unis (-34%). Le Canada est le seul pays du G8 à rester optimiste (+3%), malgré tout. C'est Hong-Kong qui connaît la plus grande volte-face, avec l'optimisme de l'an dernier (+81%) qui se transforme en grand pessimisme (-49%) dans ce centre financier et commercial du monde. Par contre, les pays émergents voient plutôt des occasions d'affaires dans la récession, notamment en Inde (+83%), au Brésil (+50%) et en Chine (+30%).
  11. La dernière fois que la plus grande économie du monde a perdu autant d'emplois en une année remonte à 1945. Rien qu'en décembre, 524 000 personnes ont perdu leur emploi. Pour en lire plus...
  12. Les as en capital de risque ont davantage une réputation de requins que de bons samaritains. Ils sont pourtant nombreux à vouloir redonner aux oeuvres de charité, en autant que leur argent soit bien administré. Pour en lire plus...
  13. L'institution financière suit de près l'évolution de la crise financière aux Etats-Unis, espérant y dénicher de potentielles acquisitions autant dans les secteurs des banques commerciales que de la gestion de patrimoine. Pour en lire plus...
  14. Le plan de 700 G$ de l'administration Bush pour éviter un désastre économique affiche un prix qui donne le tournis sans pour autant garantir les principes de base de la transparence, a déploré le sénateur. Pour en lire plus...
  15. L'économie américaine a été terriblement éprouvée par la crise du crédit, mais jusqu'à présent, celle du Canada s'en est tirée avec seulement quelques bleus et des égratignures, estiment des économistes. Pour en lire plus...
  16. mtlurb

    Gérer les

    Si personne ne s'entend sur le prix du pétrole dans un an, il y a un consensus sur les fluctuations et hausses de prix à venir. Le prix du gaz naturel variera tout autant. Pour en lire plus...
  17. La compagnie annonce que ses ventes ont augmenté de 3% au sein des magasins comparables aux États-Unis en août, soit autant que le mois précédent. Pour en lire plus...
  18. Les Américains voyagent à l'étranger autant qu'auparavant, sauf au Canada La Presse canadienne Édition du lundi 11 août 2008 Halifax -- Les organismes de l'industrie du tourisme aux États-Unis affirment que les Américains voyagent à l'étranger autant qu'auparavant, cet été, sauf au Canada. Selon eux, la faiblesse de l'économie et du dollar américains n'a dans l'ensemble pas incité les Américains à renoncer à leurs projets de voyage afin de demeurer à la maison. Les résultats d'un nouveau sondage effectué auprès de 2230 Américains, rendus publics vendredi par l'Association de l'industrie touristique des États-Unis, révèlent que seulement neuf pour cent des adultes projettent de passer leurs vacances au pays. Ce sondage succède à une autre étude dévoilée plus tôt cet été par l'Association automobile américaine (AAA), selon laquelle les réservations pour des voyages organisés en Europe ont chuté de cinq pour cent cette saison, tandis que les voyages au Canada ont diminué. Mike Pina, porte-parole de l'AAA, a affirmé que «le Canada n'est pas l'aubaine que les gens croyaient qu'il était auparavant», expliquant la situation par la vigueur du dollar canadien. Il a ajouté que, avec l'entrée en vigueur prochaine de nouvelles réglementations au chapitre du passeport pour les Américains souhaitant se rendre au Canada, davantage de gens se procurent le document et envisagent de voyager plus loin pour la première fois. «Il y a davantage de concurrence à une période de l'année qui est importante pour [le tourisme canadien]», a-t-il indiqué. Une chute d'un million de visiteurs Les voyages effectués par les Américains à l'étranger ont fortement augmenté, après avoir été en chute libre à la suite des attentats du 11 septembre 2001. Leur nombre est passée de 56,2 millions de voyageurs en 2003 à un chiffre sans précédent de 64,1 millions l'an dernier, selon le ministère américain du Commerce. Pendant la même période, le nombre des Américains qui ont voyagé au Canada a chuté d'environ un million de visiteurs, alors que celui des Américains qui se sont rendus en Allemagne, au Japon, en Espagne et en Inde, entre autres destinations, a augmenté d'au moins 10 pour cent. Le président de l'Association de l'industrie touristique du Canada (AITC), Randy Williams, affirme ne pas être étonné. «Le dollar [canadien] valait habituellement 65 cents [américains] et les coûts de l'essence étaient peu élevés, c'était donc facile et nous étions gâtés, cela ne fait aucun doute», a affirmé M. Williams, selon lequel les touristes américains ont longtemps été perçus comme des «fruits prêts à être cueillis».
  19. Autant les fonds ont profité de l'envol des ressources ces dernières années, autant ils ont été écorchés par leur dégringolade depuis un mois. Pour en lire plus...
  20. La Cour suprême s'est prononcée hier en faveur du congédiement par Hydro-Québec d'une employée malade qui avait manqué 960 jours de travail entre 1994 et 2001. Le jugement, qui rappelle que les employeurs doivent faciliter la vie aux employés malades, souligne qu'ils n'ont pas pour autant à «modifier de façon fondamentale les conditions de travail d'un salarié». Pour en lire plus...
  21. Les Canadiens n'ont jamais été aussi nombreux à être propriétaires de leur logement. Et ils n'ont jamais autant emprunté pour accéder à la propriété. Pour en lire plus...
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