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  1. Projet Les Terrasses Normanville Nouveau Projet de condominium du Groupe Calex situé dans l'arrondissement de Rosemont-La Petite-Prairie, Montréal à partir de seulement 127 600 $ ! Ce projet vous offre 15 unités de 1 à 2 chambres à coucher incluant 6 studio-lofts avec mezzanine comprenant chacun 2 terrasses dont une privée au toit. Le projet comprend également 6 unités de 1010 Pi2 incluant 2 grandes chambres dont une avec ``walk-in`` ainsi qu’un grand balcon terrasse du côté soleil. Situé à 2 minutes du métro Rosemont et du parc Père Marquette, ce secteur vous offre une multitude de services tels que : piste cyclable, boutiques, restaurants, marché Jean-Talon, transport en commun, école, hôpital et autres. http://micasa.ca/constructions-maisons-neuves/quebec/montreal/est/rosemont-la-petite-patrie-montreal/la-petite-patrie/projets/les-terrasses-normanville
  2. Etonne de ne pas trouver d'autre informations sur ce sujet, mais le Carre Lucerne aux intersections de la metropolitaine, Lucerne et Plymouth, est en pleine construction. Le provigo est en demolition, le Pharmaprix semble avoir toute sa structure montee, et la phase 1 ( subway, ben&florentine et +) est terminee. Ce sera interessant de voir le nouveau gros Provigo le Marche, et ce qui se passera du Loblaws sur Ste-Croix. Aussi tres hate de voir le Pharmaprix vu que son local actuel (ancien Uniprix) sur Lucerne est extremement moche et desuet. Je me demande si le UPS va revenir de ce cote.. Il me semble qu'il perd beaucoup de son accessibilite sur Lucerne, esperant que c'est temporaire pendant les constructions http://carrelucerne.ca/
  3. L'Adresse sur le fleuve voit le jour et annonce l'ouverture du pavillon des ventesUn partenariat signé : Société de développement 3R, Fonds immobilier de solidarité FTQ et Broccolini TROIS-RIVIÈRES, QC, le 11 déc. 2012 /CNW Telbec/ - C'est ce matin, en présence de M. Yves Lévesque, maire de Trois-Rivières, M. Richard Thibault, président de Société de développement 3R, M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ et de M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini, qu'a eu lieu l'ouverture officielle du pavillon des ventes du magnifique projet de développement résidentiel L'Adresse sur le fleuve. Situé au confluent de la rivière Saint-Maurice et du fleuve Saint-Laurent à Trois-Rivières, ce nouveau milieu de vie s'implante sur l'un des plus beaux sites du Québec. « L'engouement pour le projet est très présent dans la communauté. Déjà, de futurs acheteurs nous ont fait part de leur impatience à aménager dans ce développement prestigieux, » a soutenu M. Thibault. « Nous sommes très fiers de nous associer à ce projet qui, pour cette première phase, permettra de créer ou de maintenir quelque 500 emplois d'ici quatre ans. Aussi, ce partenariat nous permet une fois de plus de consolider notre présence à Trois-Rivières. Nous sommes convaincus qu'avec sa localisation exceptionnelle, L'Adresse sur le fleuve répondra aux besoins des citoyens désireux de profiter d'un milieu de vie paisible et confortable, a soutenu M. Normand Bélanger, président-directeur général du Fonds immobilier de solidarité FTQ. De plus, je tiens à saluer les partenaires, les professionnels et les collaborateurs de ce projet, car ensemble nous formons une équipe dynamique faisant preuve d'une grande expertise. » « Quel privilège pour Broccolini d'être associé à L'Adresse sur le fleuve. Ce projet immobilier de grande envergure, par son architecture ainsi que sa localisation avec vue sur le fleuve, offrira aux Trifluviens un style de vie incomparable et deviendra une référence dans la ville. Broccolini est fière de contribuer à l'essor économique de Trois-Rivières et remercie ses partenaires pour la confiance témoignée, » a mentionné M. Joseph Broccolini, vice-président de Broccolini. Le pavillon des ventes présente l'aménagement du site ainsi que l'intérieur des copropriétés qui seront construites dans la première phase du projet. Cette étape comprendra la construction de 228 unités d'habitation d'architecture moderne réparties entre une tour de 16 étages et 5 immeubles de 4 étages. La superficie des unités variera de 850 pieds carrés à 2 200 pieds carrés. La tour ainsi qu'un premier immeuble de 4 étages devraient être mis en chantier au printemps 2013. En plus d'offrir une vue exceptionnelle, les unités d'habitation de L'Adresse sur le fleuve seront pourvues d'une généreuse fenestration, d'une grande terrasse, d'une excellente insonorisation, de plafonds de 9 à 11 pieds de hauteur, d'un accès sécurisé, de stationnements intérieur et extérieur et d'ascenseurs. De plus, les résidents de L'Adresse sur le fleuve bénéficieront de nombreux services, dont une salle d'entraînement, une piscine, un bain à remous, un spa intérieur, une salle de réception avec cuisine, un accès direct à la piste cyclable et aux sentiers pédestres et, éventuellement, une marina. « Le projet s'adresse tant à une clientèle de premiers acheteurs que de deuxièmes acheteurs. Ces derniers découvriront à notre pavillon des ventes une diversité de possibilités pouvant répondre à des besoins variés et s'adapter au budget de chacun, » ajoute M. Thibault. Les citoyens peuvent déjà consulter le site http://www.ladressesurlefleuve.com. Le développement de ce projet résidentiel entraînera de nombreuses retombées pour le milieu trifluvien puisque l'investissement requis pour la première phase s'élève à 85 millions de dollars alors que le projet global est de plus de 250 millions de dollars. Les entreprises Michel Pellerin Architecte, Pluritec, MédiaVox et Maskbec Construction ont participé au développement du projet.
  4. Le Laurier - Nouveau à Rosemont, Montréal. Subvention disponible Seulement 16 unités de condo. livraison 2012 Réservez dès maintenant! Nouveau projet 16 condos à Rosemont, lofts et condos de 1 et 2 chambres. À partir de $199,900. Condos de qualité avec choix de couleur pour les cuisines et céramique. Venez visitez notre condo modèle et réservé votre unité au projet Le Laurier. Quartier Le quartier Rosemont est situé au coeur de Montréal. Avec tous les commodités à proximités ainsi que plusieurs atouts d'importance tel que; jardins botanique, plusieurs parc, cinéma Beaubien, plusieurs Métro et ligne d'autobus, piste cyclable, etc. Ce quartier offre une excellente qualité de vie. Découvrez ce quartier et saisissez l'opportunité que vous offre Le Laurier. Nombre d'unités 16
  5. Les condominiums Les Cours Mitchell sont situés dans l’arrondissement de Saint-Laurent, à moins d’une minute à pied du métro Du Collège. Ce quartier qui compte plus de 400 ans d’histoire est desservi par un réseau important d’autoroutes, de métros, de trains et d’autobus qui facilitent les déplacements vers le centre-ville et partout ailleurs sur l’île et en banlieue. Plusieurs parcs sont aménagés à proximité et le quartier compte de nombreux commerces, ainsi que tous les services utilitaires dont vous aurez besoin. L’architecture des Cours Mitchell est pensée en harmonie avec l’arrondissement de Saint-Laurent, développant ainsi un solide lien avec le voisinage. Les bâtiments sont construits en styles distinctifs selon un plan d’intégration donnant accès à de merveilleux jardins paysagers et espaces verts dans un environnement paisible. Plusieurs condominiums offrent même un point de vue sur le mont Royal ! http://www.coursmitchellphased.com/fr/
  6. http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/techno/2016/06/17/001-montreal-ville-intelligente.shtml Montréal domine le palmarès mondial des villes intelligentes Publié le vendredi 17 juin 2016 à 11 h 51 Vue sur le centre-ville depuis le Vieux-Montréal Photo : Radio-Canada/Coralie Mensa La nouvelle est tombée au sommet annuel de l'Intelligent Community Forum (ICF) qui se tenait à Columbus, en Ohio. Chaque année, une cérémonie couronne la ville qui démontre la meilleure utilisation des technologies de l'information et des communications à des fins de prospérité économique, de résolution de problèmes sociaux et d'amélioration de la qualité de vie. Un texte de Catherine Mathys Cette reconnaissance internationale vient récompenser les efforts de la ville, qui a entrepris son virage de ville intelligente en 2011. Pour la première fois, Montréal a su se hisser parmi les 7 finalistes, et ce n'était que la deuxième fois qu'on la retenait dans la courte liste des 21 candidatures au concours de l'ICF. ICF est un organisme à but non lucratif, situé à New York, qui étudie le développement des villes du 21e siècle. Centré essentiellement sur la recherche, les conférences, les services-conseils, les services éducatifs et un concours annuel, il détermine quelles sont les meilleures pratiques en développement des villes intelligentes. Montréal devient ainsi la quatrième ville canadienne à remporter les honneurs, après Calgary en 2002, Waterloo en Ontario en 2007 et Toronto en 2014. D'ailleurs, le cofondateur de l'ICF confiait à Triplex, en novembre 2014, que les succès de la Ville Reine avaient tendance à fouetter les troupes montréalaises. Il semble avoir eu raison. Dans un communiqué émis par l'ICF, Zacharilla mentionne la vigueur de l'innovation montréalaise qui se manifeste dans des réalisations comme le Quartier des spectacles, où la technologie et la bande passante sont un vecteur important de développement économique et d'expression culturelle. Un long processus de sélection C'est un processus long d'une année qui vient de prendre fin. Les villes retenues pour le concours sont évaluées selon six indicateurs, et selon un septième critère qui découle de la thématique annuelle. Cette année, la thématique était « De la révolution à la renaissance ». Zacharilla a dit de Montréal qu'elle était la meilleure illustration de l'évolution que pouvait connaître une ville pour arriver à une véritable renaissance en s'appuyant sur la technologie. Tous ces critères sont évalués selon une analyse quantitative des données, des inspections physiques des lieux et le vote d'un jury international composé d'experts d'un peu partout dans le monde. Les qualités de Montréal Selon l'ICF, le virage vers la ville intelligente entrepris en 2011 est un des principaux catalyseurs des changements observés. Aujourd'hui, plus de 6250 entreprises, constituant environ 10 % de la main-d'œuvre, sont actives dans les technologies de l'information et de la communication, le secteur aérospatial, les sciences de la vie ainsi que les technologies reliées à la santé et à l'environnement. Une ville intelligente, c'est bien sûr une ville branchée qui mise sur les infrastructures de communication, mais aussi sur l'efficacité de ses systèmes et services dans le but de créer un écosystème collaboratif entre citoyens, entreprises et institutions. Le taux de pénétration d'Internet de 81 % est important, mais ce sont aussi les efforts d'étendre le wifi aux 17 kilomètres de la ville centrale, ses initiatives qui favorisent la participation citoyenne (pensons à Je fais Montréal), ainsi que les moyens déployés pour favoriser la littératie numérique qui ont retenu l'attention. Montréal produit aussi plus de diplômés universitaires que toute autre ville canadienne. Ce sont 415 000 étudiants qui ont obtenu un diplôme universitaire entre 1998 et 2008. Cette force nourrit l'économie de l'information, qui se manifeste par l'éclosion d'espaces d'apprentissage (LearningLab Network), d'accélérateurs d'innovation et d'espaces collaboratifs de travail qui favorisent à leur tour une culture de l'entreprise en démarrage. Toutes ces initiatives forment un cocktail unique qui fait de Montréal l'un des modèles à suivre en tant que ville intelligente.
  7. Jardins Windsor Architectes: DCYSM Fin de la construction:2007 Utilisation: Résidentiel Emplacement: Centre-ville, Montréal ? mètres - 12/21/21 étages Descriptions: - Complexe de trois tours et de 650 condominums. - Les tours seront reliées par le plus grand jardin privé du centre-ville, qui sera aménagé sur un stationnement à étage. - La fountaine ronde, au centre du jardin, deviendra une patinoire l'hiver. - Le projet est la continuité nord du complexe Terrasses Windsor, du même promoteur, True North Properties LTD. - True North Properties LTD possède aussi le terrain vacant à l'est des Jardins Windsor. - Les Terrasses et Jardins Windsor, ainsi que le terrain voisin sont sur le terrain où le nouveau stade des Expos était proposé au début des années 2000. Residential condos under construction by Malek Racho, on Flickr IMG_5290 by Malek Racho, on Flickr
  8. Un nouveau projet dans le secteur Namur / Jean-Talon Il sera situé entre le Parc De La Savane et Côté Ouest Phase II Lien EDIT: I'm attaching the presentational document by the promoter and architectural firm
  9. GDS

    Le Namur (2017)

    Le projet « Le Namur » est situé cœur du quartier « Le Triangle » dans l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce. Situé à proximité de trois stations de métro (Namur, de la Savane et Plamondon), les Habitations Trigone, en partenariat avec Le Fonds immobilier de solidarité FTQ, sont fiers de vous présenter ce tout nouveau projet TOD (Transit-Oriented Developement). D’une architecture urbaine et épurée, nous vous offrons un magnifique bâtiment de 10 étages comportant 176 unités. Le bâtiment sera composé de studios ainsi que d’unités avec une ou deux chambres de façon à desservir les diverses clientèles composées entre autres d’étudiants, de jeunes professionnels et de jeunes familles. De plus, il comportera deux niveaux de stationnement souterrain ainsi que plusieurs caractéristiques afin de répondre au style de vie actif des locataires et leur donner plus de confort. Le plan de développement du quartier « Le Triangle », par l’arrondissement Côtes-des-Neiges – Notre-Dame-de-Grâce, vise non seulement à augmenter l’offre résidentielle dans ce secteur mais également l’ajout d’espaces verts, de pistes cyclables et de nouveaux commerces à proximité. http://www.habitationstrigone.com/fiche_projet/namur/
  10. Belles initiatives que ces ruelles blanches à Montréal (surtout dans Rosemont et Villeray) via le blog de François Cardinal : Jeudi 26 décembre 2013 | Mise en ligne à 9h10 | La politique du «ni-ni», appliquée à la ville… L’initiative des ruelles blanches de Rosemont n’est certainement pas le plus important projet de 2013. Mais c’est néanmoins mon coup de cœur… En un mot, l’administration de François Croteau a décidé d’appliquer dans ses nombreuses ruelles une politique de «non-ingérence, non-indifférence» qui permet aux citoyens de prendre collectivement possession de ces terrains de jeu potentiels. Bravo! On se rappellera que l’année a débuté avec le geste malheureux de quelques cols bleus de l’arrondissement Villeray qui ont décidé de répondre à la plainte d’un seul citoyen en répandant des abrasifs sur deux patinoires artisanales aménagées dans une ruelle par des parents dégourdis. Cette bourde a eu le mérite de forcer la réflexion sur l’avenir de ces éléments du domaine public qui servent trop souvent de stationnement. Villeray a ainsi réfléchi à la chose durant l’année pour finalement adopter, début décembre, une résolution permettant l’utilisation des ruelles à des fins récréatives durant la période hivernale. Mais plus intéressante encore est l’approche poussée parallèlement par l’arrondissement Rosemont, qui a décidé de donner aux citoyens la part du domaine public qui lui revient, à l’année longue. La réflexion se mène depuis 2010, il est vrai, mais c’est néanmoins en 2013 qu’elle s’est élargie aux quatre saisons avec la création des ruelles blanches, suite à l’expérience malheureuse de Villeray. Tout a débuté il y a trois ans avec l’idée de permettre aux citoyens de gérer eux-mêmes les ruelles et les jardins de rues (ces carrés parfois asphaltés, parfois gazonnés, qui se situent en façade de maison entre la rue et le trottoir). «La première étape a été de trouver une formule permettant aux citoyens de couper eux-mêmes le béton et l’asphalte dans les ruelles, explique le maire Croteau. Ce qui fut fait grâce à une coordination avec les travaux publics et l’éco-quartier.» En soi, cela est un exploit. L’arrondissement a alors identifié les lieux où les citoyens peuvent couper l’asphalte sans nuire à la sécurité et aux infrastructures souterraines. Puis il a permis la fermeture partielle de certaines ruelles sans nuire à la circulation des véhicules d’urgences et des citoyens. Pour appliquer son approche «ni-ni», l’arrondissement a tout de même dû élaborer certaines règles minimales. Les citoyens qui veulent aménager une ruelle verte doivent ainsi obtenir l’approbation de 50% + 1 des riverains. Très rapidement, le projet a fait boule de neige, si bien que 50 ruelles vertes ont été ainsi aménagées en trois ans. Et tout près de 30 s’ajouteront en 2014. La même stratégie fut ensuite adoptée pour les jardins de rues devant les logements, là où les citoyens peuvent maintenant retirer de l’asphalte et aménager des potagers dans les saillies de trottoirs verdies. «Les citoyens peuvent installer des tuteurs pour protéger leur jardin des chenillettes l’hiver, précise le maire. Du coup, on diminue la quantité d’espaces déneigés pour protéger la verdure.» Tout naturellement, les ruelles blanches étaient les suivantes sur la liste des secteurs profitant de cette «non-ingérence, non-indifférence». Les mêmes règles s’appliquent en hiver comme en été, ce qui permet maintenant aux citoyens d’aménager des patinoires, des châteaux forts, voire d’énormes glissades en bois avec escaliers pour y monter, comme dans cette ruelle située entre les rues Holt et Dandurand… «On peut qualifier cela de démocratie directe, selon M. Croteau. L’État se retire presque totalement du processus et donne la responsabilité aux citoyens, qui ont aussi à s’assurer d’éliminer les nuisances et de garantir la sécurité des installations.» Intéressant, une initiative qui peut plaire autant aux gens de droite que de gauche! On a là tous les bienfaits de l’approche anglo-saxonne de la «community». On a les ingrédients nécessaires au développement d’un esprit de quartier. On a la naissance d’un fort sentiment d’appartenance à l’arrondissement. Et ce, sans que ce dernier n’impose quoi que ce soit puisque les projets émanent d’en bas, non pas d’en haut. Voilà pourquoi il s’agit de mon coup de cœur local de l’année. La glissade en bois dans Villeray : La glissade de la ruelle Holt-Dandurand entre la 5e et 6e Avenue. Photo : Cécile Gladel/RueMasson.com
  11. <section class="intro tiny" style="outline: none; width: 1007px; background-color: rgb(14, 15, 16); padding: 25px 0px; height: auto; font-family: sans-serif; font-size: 16px; line-height: 16px;">http://www.375mtl.com/fr/a-propos/ Mandat</section> Active depuis le printemps 2013, la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est un organisme à but non lucratif qui a pour mandat la conception et l’organisation des célébrations du 375e anniversaire de Montréal en 2017, en concertation avec différents partenaires privés et publics. Soucieuse de mettre les Montréalais au cœur de la fête, la Société œuvre à définir une vision rassembleuse des célébrations, sur laquelle s’ancreront six principales stratégies d’intervention : Collaborer à l’identification de legs porteurs et appuyer leur réalisation Élaborer une programmation de qualité Mettre en œuvre une stratégie de financement en adéquation avec les orientations Assurer la visibilité des célébrations Mobiliser la communauté montréalaise Administrer la Société de façon rigoureuse Principes d'action Dans la réalisation de son mandat, la Société s’engage à travailler de concert avec la communauté montréalaise afin que tous puissent profiter de l’opportunité extraordinaire qu’offre 2017 pour la métropole. Privilégiant la mise en valeur des atouts existants, elle agit tel un catalyseur qui favorise les initiatives privées et publiques. Consciente de l’exceptionnel levier que constitue le 375e anniversaire de Montréal, la Société désire en maximiser les expériences et les retombées, bien au-delà de 2017, afin de léguer un héritage tangible et durable aux générations futures. Par toutes ses actions, elle vise à renforcer le sentiment de fierté et d’appartenance des Montréalais ainsi qu’à accroître la visibilité et le rayonnement de la métropole. Valeurs La Société agit en toute objectivité, balisant ses actions par de hauts standards d’honnêteté, de transparence et d’impartialité. Son équipe, ses administrateurs et les membres de ses comités privilégient des valeurs d’intégrité, de loyauté, de respect et d’efficience, dans un esprit d’ouverture et de concertation. Historique Cap sur 2017 : le 375e anniversaire de Montréal se prépare depuis un certain temps! Déjà au printemps 2010, la Ville de Montréal annonce la création du Bureau du 375e, une entité administrative amenée à réfléchir à la vocation d’ensemble des célébrations en proposant un certain nombre d’orientations et d’objectifs prioritaires. Puis, en 2011, le Bureau tient une vaste consultation citoyenne. C’est dans ce cadre que s’active l’Opération CARTE BLANCHE, en collaboration avec l’Office de consultation publique de Montréal. Il s’agit d’une occasion privilégiée, pour des centaines de Montréalaises et de Montréalais, de partager leurs idées et leur vision. Sur la base de ces importantes consultations publiques, le Bureau du 375e dépose, au printemps 2012, les orientations des célébrations qui sont officiellement adoptées par les membres du comité exécutif de la Ville de Montréal en septembre suivant. Dans son rapport, le Bureau recommande également la création d’un organisme indépendant et à but non lucratif, chargé de concevoir et d’organiser les célébrations. Cette recommandation donne ainsi naissance à la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal. Le Bureau du 375e termine son mandat en décembre 2012. Fondation de la Société À la fin de l’été 2012, la Ville de Montréal annonce la création de la Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal et nomme Jacques Parisien président du conseil d’administration ainsi que Gilbert Rozon commissaire aux célébrations. Puis, en février 2013, une contribution financière destinée à soutenir les activités de la Société est confirmée par le conseil municipal. C’est en juillet suivant qu’est ensuite dévoilée la composition du conseil d'administration qui regroupe 28 Montréalaises et Montréalais, nommés pour leur leadership, leur vision et leur profond désir de contribuer au développement de Montréal. Visitez la section Plan d’action pour en savoir plus sur les travaux de la Société. La Société des célébrations du 375e anniversaire de Montréal est membre de : Tourisme Montréal Culture Montréal Chambre de commerce du Montréal métropolitain Société des Attractions Touristiques du Québec (SATQ) Festivals et Événements Québec (FEQ)
  12. http://www.journalexpress.ca/Actualites/2015-04-13/article-4109695/Ce-sera-le-Grand-Hotel-Times-de-Drummondville/1 DRUMMONDVILLE. L'hôtel qui sera annexé au Centrexpo portera officiellement le nom de Grand Hôtel TIMES de Drummondville. C'est ce qu'indique le site web de l'entreprise dirigée par Jean Audet. «Le Grand Hôtel TIMES de Drummondville directement relié au nouveau centre de foire Centrexpo vous offrira, du haut de ses 12 étages, une perspective panoramique unique surplombant toute la région. Nous vous offrirons un service d’hébergement personnalisé, caractérisé par une anticipation des besoins de ses clients et un souci du détail impeccable, en vous proposant 140 magnifiques chambres et suites dans un design à vous couper le souffle», est-il souligné. La direction ajoute que : «notre vision basée sur l’évolution et l’originalité, apportera un concept réinventé dans le domaine des réunions au Centre-du-Québec. Nos salles de conférences, situées au sommet de l’édifice, entièrement fenestrées et équipées à la fine pointe de la technologie vous ouvriront une voie vers une expérience incontournable». On parle également de diverses commodités telles une piscine intérieure, une salle d’entrainement, ainsi qu’un vaste stationnement. Il est rappelé que l’espace restauration accueillera plus de 200 convives. Le maire Alexandre Cusson a dévoilé, lors de son Souper annuel, que le restaurant Cosmos viendra s'y installer. On précise bien sûr qu'il est possible de faire des réservations ou de s'informer en contactant Sylvie Pomerleau au 1-888-999-3499.
  13. Publié le 19 mars 2017 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Carte blanche aux créateurs Programmation comprenant des logements, dont un minimum de 30% de logement social, dans les parties protégées des nuisances du périphérique et qui prévoit la reconstitution des fonctionnalités du parc de stationnement et de la gare routière existantes sur le terrain « Pershing ». Concepteur : Sou Fujimito, architecte / Manal Rachdi, Oxo Architectes / Moz Paysage / Atelier Paur Arène, paysagiste / Pierre-Alexandre Risser Horticulture; Jardins, paysagiste. Photo fournie par la mairie de Paris (http://www.lapresse.ca/debats/editoriaux/francois-cardinal/201703/18/01-5080053-carte-blanche-aux-createurs.php#wcm:article:5080053) François Cardinal (https://cse.google.com/cse?cx=004348325735519040616:xugxk9rp5mm&q=Fran%C3%A7ois+Cardinal) La Presse La toute première décision comme ministre de l'Aménagement et de l'Architecture ? Spontanément, la priorité irait au diktat du plus bas soumissionnaire. À son abolition, en fait, tant cette règle fait des dégâts au Québec. Il est franchement absurde qu'encore aujourd'hui, une loi force les élus à choisir le projet le moins cher plutôt que le meilleur ! Mais comme première, première décision ? Le ministre pourrait faire rêver davantage, non ? Il pourrait élever la qualité de l'architecture plutôt que d'éliminer simplement les obstacles. Pourquoi ne pas donner carte blanche aux créateurs ? Pourquoi ne pas s'associer à Québec et Montréal, cibler une demi-douzaine de terrains publics, puis lancer un concours international : les projets les plus fous, les plus originaux, les plus innovants remporteraient... un permis de construction ! L'idée peut sembler farfelue, mais c'est très précisément ce que vient de faire la Ville de Paris. Avec des résultats époustouflants ! En accédant à la mairie en 2014, Anne Hidalgo a en effet lancé « l'initiative un peu folle » Réinventer Paris. Une manière révolutionnaire de céder les terrains qui appartiennent à la ville, surtout les plus ingrats. Une vingtaine de sites aux quatre coins de Paris ont ainsi été mis en compétition : gare, friches industrielles, hôtels particuliers, terrains vagues et même un transformateur électrique. Un appel de projets a alors été lancé aux promoteurs et architectes avec une seule règle : pas de tour. « Ils ont été attirés par l'idée de la carte blanche : pour une fois, nous n'imposions aucun programme et leur laissions proposer les idées et innovations les plus originales », explique Jean-Louis Missika, adjoint à la mairesse, chargé de l'urbanisme (voir entrevue). Et la qualité des projets a surpris la Ville, autant que leur nombre : 650 dossiers officiellement déposés avec offre d'achat formelle par autant d'équipes d'investisseurs réunissant des architectes, des paysagistes, des designers, mais aussi des penseurs, des agronomes et des artistes. Et rien d'utopique dans les projets, car l'objectif était de les construire « à court terme ». Les 22 gagnants ont ainsi été choisis l'an dernier, 10 dossiers sont déjà passés devant le conseil municipal et trois permis de construire ont été délivrés. La majeure partie des projets, promet-on, verra le jour d'ici 2020. Paris ne s'est donc pas contentée de susciter la création urbaine, elle l'a réinventée... en même temps qu'elle a réinventé la ville. Parmi les lauréats, on retrouve de tout. Un écoquartier suspendu au-dessus d'une autoroute. Une station électrique transformée en cinéma. Des bains-douches réaménagés en ateliers d'artistes. Un entrepôt de voirie devenue funérarium. « Paris, s'est exclamé Le Soir, n'avait pas connu pareil bouillonnement de projets urbains depuis le Second Empire. » Depuis, en fait, que Napoléon a chargé le baron Haussmann de percer de larges avenues dans la ville. Le concours est ainsi devenu un véritable laboratoire d'idées, sans même que cela coûte un sou à la municipalité (elle aurait au moins pu rémunérer les professionnels, mais bon...). Au contraire, même, grâce à la vente des terrains, les coffres de la Ville seront renfloués de centaines de millions d'euros. Réinventer Paris est ainsi devenu une opération financière intéressante. Mais c'est aussi devenu une nouvelle carte de visite pour la ville, une occasion en or pour les jeunes architectes d'émerger et, surtout, une opération de pédagogie auprès des Parisiens qui ont suivi le concours de près et qui se sont déplacés nombreux pour visiter leur exposition au Pavillon de l'Arsenal (jusqu'au 8 mai, pour les intéressés). « Rarement, a concédé Le Monde, une compétition d'architecture aura suscité autant d'engouement en France. » Trop beau pour être vrai ? Trop beau pour Montréal et Québec ? Ce n'est pas l'avis de la mairie de Paris, qui est en discussion avec « un grand nombre de villes qui souhaitent s'inspirer de la démarche », en plus de mener de front de nouvelles initiatives du genre pour la grande région de Paris, le sous-sol parisien et même la Seine. « Montréal a la chance de disposer d'un vivier important de collectifs et porteurs de projets qui pourraient être intéressés par ce type de démarche, indique Jean-Louis Missika. Le classement de la métropole québécoise en tant que ville UNESC O de design incite à ouvrir la production urbaine à des équipes pluridisciplinaires. » À son avis, les appels à projets urbains innovants pourraient certainement servir d'inspiration aux professionnels de Montréal. « Mon conseil à M. Coderre serait de miser sur la jeune génération, pleine de ressources et d'idées nouvelles. » Prometteur, non ? Une bonne initiative pour lancer la carrière d'un ministre de l'Architecture fraîchement nommé.
  14. Si ça vous intéresse: http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=5798,117743576&_dad=portal&_schema=PORTAL
  15. http://journalmetro.com/actualites/m...es-en-un-mois/ 18/07/2016 Mise à jour : 18 juillet 2016 | 22:17 Ville-Marie: 50 000 mégots de cigarette recyclés en un mois Par Rédaction Métro SAESEM Une trentaine de cendriers sont installés dans l'Arrondissement Ville-Marie. En mois d’un mois, 50 000 mégots de cigarette ont été recyclés grâce à au projet-pilote Mégot Zéro de la Société pour l’action, l’éducation et la sensibilisation environnementale de Montréal (SAESEM), lancé à la mi-juin. Une vingtaine de cendriers spéciaux installés sur la rue Sainte-Catherine, dans le Village, et une douzaine d’autres dans le Vieux-Montréal, permettent ainsi de recueillir les mégots pour les recycler. Les filtres de cigarettes ainsi ramassés sont envoyés à l’entreprise TerraCycle, pour en faire du plastique qui servira à fabriquer des palettes et du mobilier urbain. Ce projet est très vert, puisque c’est à bord de véhicules électriques ou à vélo que se fait la collecte des mégots. Les mégots n’étant pas biodégradables, ils sont très dommageables pour l’environnement. Selon le SAESEM, ils représentent 30% des déchets retrouvés sur le domaine public.
  16. http://www.mnbaq.org/blogue/2014/06/27/et-les-finalistes-sont ET LES FINALISTES SONT... Nouvelles Par MNBAQ 27 JUIN 2014 La ministre de la Culture et des Communications et ministre responsable de la Protection et de la Promotion de la langue française, Hélène David, en collaboration avec le Musée national des beaux-arts du Québec, dévoile les 5 finalistes invités à présenter une proposition d’œuvre d’art public pour le pavillon Pierre Lassonde du MNBAQ. Les 5 finalistes choisis par le comité de sélection sont : Jocelyne Alloucherie Ludovic Boney Cooke-Sasseville Marc-Antoine Côté Laurent Lamarche « L'inventivité des artistes conviés à concourir à l'idéation d'une œuvre pour le Musée national des beaux-arts du Québec s'arrimera certes à la créativité et à l'innovation de la signature de prestige du pavillon Pierre Lassonde. Je me réjouis que la Politique d'intégration des arts à l'architecture permette la tenue de ce concours, enrichissant ainsi l'expérience vécue par les visiteurs dans ce lieu culturel unique », a affirmé la ministre Hélène David. « Nous sommes plus que satisfaits de voir que cette sélection d’artistes couvre un large spectre d’esthétiques et de pratiques, a renchéri Line Ouellet, directrice générale et conservatrice en chef du MNBAQ. La présence d’une œuvre d’art intégrée à la cour intérieure du pavillon Pierre Lassonde va nous permettre d’amener l’art dans les espaces publics du musée. Nous sommes persuadés que l’œuvre retenue saura relever avec brio le défi d’occuper ce nouvel espace destiné aux rencontres, aux rassemblements, aux activités sociales et à la détente, au sein d’un édifice aux qualités remarquables, de facture internationale. » Au cours des prochains mois, les cinq finalistes soumettront une proposition d’œuvre, en format maquette, selon le mandat artistique retenu par le comité formé dans le cadre de la politique gouvernementale. À la suite de cette présentation, le comité désignera l’artiste lauréat qui réalisera l’œuvre d’art public qui sera située dans la cour extérieure de la nouvelle porte d’entrée du musée, le pavillon Pierre Lassonde. L’installation de l’œuvre est prévue en août 2015 et le budget total alloué est de 402 535 $. Pavillon Pierre Lassonde Ce nouveau pavillon permettra de presque doubler les surfaces du musée et de rendre accessibles les collections d’art contemporain, de design ainsi que d’art inuit. S’ajouteront également de vastes salles pour les expositions temporaires ainsi qu’un café et un auditorium de 250 places à la fine pointe de la technologie. Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement Ce concours s’inscrit dans le cadre de la Politique d’intégration des arts à l’architecture et à l’environnement des bâtiments et des sites gouvernementaux et publics du gouvernement du Québec. Celle-ci vise, entre autres, à accroître la diffusion d’œuvres en art actuel réalisées par des artistes professionnels québécois et à participer ainsi à l’enrichissement du cadre de vie des citoyens, partout au Québec. Depuis 1961, plus de 3 200 œuvres ont été acquises ou réalisées dans le cadre de cette politique gouvernementale. - See more at: http://www.mnbaq.org/blogue/2014/06/27/et-les-finalistes-sont#sthash.u4MPS3FE.dpuf
  17. http://www.lapresse.ca/actualites/montreal/201606/18/01-4993388-des-fraises-sur-le-toit-du-palais-des-congres-de-montreal.php Des fraises sur le toit du Palais des congrès de Montréal Publié le 19 juin 2016 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Pierre-André Normandin La Presse Les Montréalais pourront bientôt aller cueillir des fraises en plein coeur de leur ville. Un laboratoire de recherche en agriculture urbaine prévoit ouvrir cet été une ferme sur le toit du Palais des congrès, où les citoyens ainsi que les restaurateurs du secteur pourront s'approvisionner. Ce projet est piloté par le Laboratoire sur l'agriculture urbaine (AU/LAB) de l'UQAM. Le responsable, Éric Duchemin, confirme que le projet devrait aller de l'avant. Ne manque qu'une autorisation des assureurs. « Le toit est assez solide », assure M. Duchemin. L'inauguration officielle doit avoir lieu plus tard cet été, le temps que les installations soient aménagées. Pour son premier été, la ferme exploitera une superficie de 500 mètres carrés, mais elle devrait atteindre 1840 mètres carrés en 2018, soit environ le tiers d'un terrain de football. Celle-ci sera ouverte de juin à octobre. De la culture de légumes est déjà pratiquée depuis quelques années sur la toiture de cet édifice, mais ce projet compte pousser l'expérience beaucoup plus loin. La ferme qui misera sur des cultures biologiques offrira un espace de production de fraises, d'aromates et de fleurs comestibles destinées à la commercialisation. Le projet prévoit qu'une partie de cette production sera offerte en autocueillette. Une autre partie sera vendue aux restaurateurs situés dans un rayon d'un kilomètre ainsi qu'au service de traiteur du Palais des congrès. L'arrondissement de Ville-Marie versera une subvention de 25 000 $, provenant de ses surplus, pour appuyer le démarrage du projet, mais les responsables visent l'autofinancement. Pour y arriver, ils miseront sur les ventes de leurs produits, ainsi que la location d'un espace de travail et de rencontre. « MURS COMESTIBLES » Une partie du site sera réservée à l'expérimentation agricole, notamment pour tester des « murs comestibles ». On veut ainsi vérifier si le climat québécois est propice à ceux-ci et si on peut développer un modèle économique. Montréal a mené il y a quelques années une importante consultation publique sur l'agriculture urbaine, après que plus de 30 000 Montréalais eurent signé une pétition en ce sens. C'était la première - et unique - fois que des citoyens forçaient la Ville à mener une consultation publique sur un sujet. Le laboratoire AU/LAB s'était engagé lors de l'événement Je Vois Montréal à créer un laboratoire vivant sur l'agriculture urbaine d'ici la fin de 2016. Le Palais des congrès n'a pas souhaité commenter le projet immédiatement, indiquant qu'il comptait faire une annonce à ce sujet la semaine prochaine.
  18. Les terrains de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est sont officiellement en vente Huit millions de pieds carrés sont désormais disponibles pour le développement dans L’Est de Montréal. La pétrolière Shell Canada, propriétaire de l’ancienne raffinerie de Montréal-Est, a annoncé, ce mardi, la mise en vente d’une partie de ses terrains à usage industriel ou commercial. Une manne d’investissement et de développement, selon les acteurs économiques du secteur. Exploitables dès 2017, ces terrains d’une superficie équivalente à 105 terrains de soccer sont situés au 10501 de la rue Sherbrooke sur les territoires de la Ville de Montréal-Est et de l’arrondissement d’Anjou. Répartie en 4 zones, dont trois au nord, le long de l’Autoroute 40 et une au sud, la vaste étendue sera accessible à partir de la rue Sherbrooke. Des démarches sont entamées avec le courtier immobilier Cushman & Wakefield afin de trouver un acquéreur, qui en tant que promoteur ou développeur immobilier, pourra donner une deuxième vocation au site. « Un terrain de cette ampleur ne se voit pas tous les jours, explique Erik Langburt, vice-président de Cushman & Wakefield. Ces 8 millions de pieds carrés, près du centre-ville et des infrastructures de transport vont répondre au grand besoin d’espaces pour le développement commercial ou industriel majeur sur l’île de Montréal », ajoute-t-il. Shell et Cushman & Wakefield n’ont pas souhaité révéler l’estimation du prix du terrain, laissant ainsi au marché le soin de faire leur propre évaluation des terrains. Depuis la mise en marché des terrains ce mardi, Erik Langburt semble déjà crouler sous les propositions. Plusieurs critères ― que ce dernier n’a pas voulu révéler ― permettront de sélectionner les promoteurs. Il a toutefois affirmé qu’ils étaient « ouverts à tous types de développement; même à un centre d’achats ». Un élan pour l’économique durable dans l’Est « On se dit qu’il y a des opportunités qui s’offrent à nous, commente Dimitri Tsingakis, directeur général de l’Association industrielle de l’Est de Montréal (AIEM). Nous souhaitons qu’il y ait une synergie industrielle pour établir des perspectives durables et respectueuses de l’environnement dans notre secteur », soutient-il. Une optique partagée par le maire de Montréal-Est, Robert Coutu, qui déclare : « Il ne faut pas oublier que le processus de décontamination [des terrains] s’est effectué sur le site, évitant ainsi beaucoup de transport et de GES. Shell dépasse les plus hauts standards exigés dans l’industrie et c’est à leur honneur de respecter leurs engagements envers la communauté. Nous sommes en relation constante depuis le début de mon premier mandat et nous sommes fiers du travail effectué jusqu’à présent. » Le maire de Montréal-Est a également souligné que de « nouvelles entreprises émergentes de calibre mondial » pourront s’implanter générant ainsi de nouveaux emplois et revenus assurant ainsi une « prospérité et une sécurité financière à long terme pour le secteur. » Du côté de la Chambre de Commerce de l’Est de Montréal, Isabelle Foisy, présidente-directrice générale de l’institution, se réjouit également de « cette grande opportunité ». Des plans et des projets pour les futurs promoteurs sont d’ores et déjà envisagés par la Chambre, selon cette dernière. « Quand la raffinerie a fermé ses portes, c’était un moment difficile, car Shell représentait un employeur de choix. Nous sommes très heureux que Shell ait pu réagir aussi rapidement pour décontaminer ses sols et rendre disponibles ses terrains », s’enthousiasme la présidente. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/980376/les-terrains-de-lancienne-raffinerie-de-montreal-est-sont-officiellement-en-vente/
  19. Air Transat dévoile son programme de vols pour l’hiver 2016-2017. Air Transat présente aujourd’hui son programme aérien pour l’hiver 2016-2017, qui propose aux voyageurs 34 destinations soleil et des départs de 22 villes canadiennes, en plus de mettre de l’avant une offre diversifiée vers des destinations européennes appréciées des Canadiens pendant la période hivernale. Air Transat ajoute également 11 nouvelles routes à son calendrier de vols. « L’hiver prochain, Air Transat offrira encore plus de soleil pour tout le monde grâce à son vaste éventail de destinations Sud et Europe ainsi qu’à une présence accrue dans les différents aéroports canadiens », déclare Annick Guérard, présidente et directrice générale de Transat Tours Canada. « L’ajout de petits porteurs à notre flotte permanente nous a donné de la flexibilité pour encore mieux adapter notre offre aux différents marchés. Par ailleurs, nous poursuivrons l’hiver prochain notre programme de vols intérieurs, qui nous permet de proposer davantage de destinations en Europe aux voyageurs de Montréal et de Toronto », conclut Annick Guérard. Air Transat augmente son offre et sa capacité vers l’Amérique centrale, une région pour laquelle l’intérêt des Canadiens est en plein essor. Ainsi, au Québec, deux nouvelles routes s’ajoutent au calendrier hebdomadaire, soit un vol vers San Salvador (Salvador) au départ de Montréal ainsi qu’un vol vers l’île de Roatan (Honduras) au départ de Québec. Pour le marché de Toronto, des liaisons vers Managua (Nicaragua) et Carthagène (Colombie) enrichiront un programme déjà très diversifié. Des vols supplémentaires vers San Jose au départ de Montréal et de Toronto permettront par ailleurs de répondre à la demande croissante pour le Costa Rica. Air Transat augmente également la fréquence de ses vols à destination des Antilles françaises (Guadeloupe et Martinique), et de La Havane. Au Québec, en plus des deux nouvelles routes, Air Transat inaugurera des vols intérieurs liant Bagotville et Rouyn-Noranda à Montréal, offrant ainsi un plus vaste choix de destinations soleil aux voyageurs du Saguenay–Lac-Saint-Jean et de l’Abitibi Témiscamingue. Avec ce programme de vols avec correspondance, les Québécois de ces régions pourront maintenant se rendre dans neuf pays des Caraïbes et de l’Amérique centrale. En Ontario, de nouvelles liaisons vers Cayo Coco et Santa Clara, à Cuba, seront offertes au départ d’Ottawa et de Windsor, respectivement. À Fredericton, deux nouvelles destinations en République dominicaine, soit Puerto Plata et Punta Cana, s’ajoutent au programme. Au départ d’Halifax, c’est la Floride qui s’ouvre aux voyageurs grâce à une nouvelle liaison vers Fort Lauderdale. Finalement, dans l’Ouest canadien, Los Cabos sera maintenant accessible au départ de Vancouver, et Punta Cana au départ de Victoria. L’Europe toute l’année avec Air Transat Air Transat augmente par la même occasion sa capacité vers Londres en offrant dorénavant un vol par jour vers la capitale britannique tout au long de l’année au départ de Toronto. Toujours vers Londres, une liaison hebdomadaire, qui passera à deux vols par semaine dès le mois de décembre, est aussi au programme au départ de Vancouver. Air Transat maintient son vol quotidien vers Paris au départ de Montréal ainsi que sa liaison hebdomadaire vers la Ville Lumière au départ de Québec, disponible dès le mois de février. L’offre hivernale Europe comprend aussi des vols directs vers Malaga (Costa del Sol), en Espagne, ainsi que vers Lisbonne et Faro, au Portugal, et ce, au départ de Montréal et de Toronto. Ces destinations ensoleillées sont très prisées des vacanciers canadiens, notamment parce qu’elles permettent d’allier détente et découvertes et se prêtent bien à de courts comme de longs séjours. Air Transat poursuit cet hiver son programme de vols intérieurs entre Montréal et Toronto, élargissant le choix de destinations transatlantiques pour ces marchés grâce à des vols avec correspondance. Ainsi, les voyageurs de Toronto pourront se rendre à Paris (cinq fois par semaine) et Malaga (une fois par semaine) via Montréal, et ceux de Montréal pourront profiter de liaisons vers Londres (cinq fois par semaine), Manchester (une fois par semaine), Glasgow (une fois par semaine), Porto (une fois par semaine) et Lisbonne (une fois par semaine) en passant par Toronto. Enfin, à compter du mois d’avril, des vols à destination de Rome et de Barcelone seront disponibles au départ de Montréal et de Toronto, notamment afin de répondre à la demande des vacanciers qui, à cette période de l’année, sont nombreux à réaliser une croisière sur la méditerranée. http://www.paxnouvelles.com/article/air-transat-devoile-son-programme-de-vols-pour-lhiver-2016-2017
  20. AGENCE QMI Mercredi, 10 février 2016 12:03 MISE à JOUR Mercredi, 10 février 2016 12:03 MONTRÉAL – La Ville de Montréal a annoncé qu’elle investira 168 millions $ dans la réfection de ses infrastructures de l’eau. Trois usines de l’ouest de l’île seront modernisées et un ouvrage de rétention d’eau de pluie, le bassin Leduc, sera construit, a annoncé Chantal Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau au comité exécutif de la Ville de Montréal. «Ces investissements massifs sont nécessaires afin que Montréal puisse continuer de rencontrer les plus hauts standards en matière de qualité de l’eau potable et de gestion des eaux usées», a indiqué Mme Rouleau. Ainsi, des travaux de réfection seront réalisés aux usines de production d’eau de Lachine, de Dorval et de Pierrefonds, pour un total de 90,9 millions $. Ils ciblent les équipements et les systèmes de contrôle des usines, ainsi que l’ajout d’une chaîne de traitement. La construction du bassin Leduc, dans l’arrondissement de Saint-Laurent, vise quant à elle à réduire les épisodes de surverses. Il en coûtera 77,5 millions $. Cette structure souterraine emmagasinera temporairement les eaux usées lors de fortes pluies pour ensuite les rediriger vers la station d’épuration. Ce bassin aura une capacité de rétention de 65 000 mètres cubes d’eau, et contribuera à diminuer les refoulements et les déversements d’eaux non traitées vers la rivière des Prairies. http://www.journaldemontreal.com/2016/02/10/montreal-investit-168-millions-dans-ses-infrastructures-de-leau
  21. Une institution internationale déménage son siège social de Paris à Montréal L'organisation internationale New Cities Foundation (NCF) déménagera son siège social de Paris à Montréal le printemps prochain, une implantation qui devrait créer 25 emplois dans la métropole. John Rossant, président et fondateur de NCF, est dans la métropole ce vendredi en vue de signer l'entente de principe avec Montréal International, qui a contribué à attirer cet investissement. « Notre décision de miser sur Montréal constitue un jalon majeur dans le développement de notre organisation à travers le monde ainsi que dans l'élaboration et la mise en place de solutions concrètes aux problématiques de développement urbain », a déclaré M. Rossant. L'organisme sans but lucratif, fondé à Genève en 2010, vise à soutenir le développement des villes partout dans le monde, alors que le mouvement d'urbanisation s'accélère. NCF compte plusieurs institutions universitaires parmi ses membres, comme le Massachusetts Institue of Technology (MIT), ainsi que des entreprises comme Ericsson, Bombardier et Google. Les trois niveaux de gouvernement - municipal, provincial et fédéral - ont contribué financièrement pour attirer l'organisme au Québec. Montréal International a toutefois refusé de dévoiler l'ampleur des subventions consenties par l'État. Les dirigeants de NCF cherchent présentement des locaux à Montréal pour accueillir leur nouveau bureau principal. « Grosse prise » Pour Montréal International, l'attraction d'une institution internationale comme NCF constitue « une grosse prise », puisqu'elle devrait contribuer au rayonnement de la métropole à l'étranger. Les organisations du genre - Montréal en compte une soixantaine - génèrent des retombées économiques annuelles de 300 millions de dollars et contribuent à maintenir 1500 emplois dans la métropole, soutient Montréal International. La métropole compte entre autres quatre sièges d'organismes des Nations Unies, dont l'Organisation de l'aviation civile internationale, ainsi que l'Agence mondiale antidopage et l'Agence universitaire de la francophonie. Selon Montréal International, la métropole québécoise affiche la troisième plus importante concentration d'organisations internationales en Amérique du Nord, derrière Washington et New York. Outre son nouveau siège social montréalais, NCF conservera des bureaux à Paris, New York et Genève. http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201512/18/01-4932560-une-institution-internationale-demenage-son-siege-social-de-paris-a-montreal.php
  22. OVH.com annonce l’expansion de son siège social nord-américain et la création de 140 nouveaux emplois dans le Grand Montréal. – Afin de répondre à la demande grandissante des entreprises nord-américaines, OVH.com, chef de file mondial de l’infonuagique et des services Internet, annonce l’expansion de ses activités dans le Grand Montréal, et ce, trois ans après son implantation en 2012. Cet investissement se traduit par l’aménagement d’un nouveau siège social de 17 800 pieds carrés au centre-ville de Montréal et par la création de quelque 140 emplois, permettant ainsi à la compagnie de doubler son effectif actuel dans la région. La croissance d’OVH.com témoigne notamment des besoins urgents auxquels les entreprises actuelles font face pour héberger un volume accru de contenus numériques. On estime d’ailleurs que seules 15 % des données mondiales pourront être hébergées en 2020, comparativement à 30 % en 2013. « L’explosion des besoins numériques a modifié toutes les cartes de l’industrie, et OVH l’a bien compris. Notre implantation dans le Grand Montréal, avec l’ouverture du plus grand centre de données au monde en termes de capacité d’hébergement -360 000 serveurs-, nous a ouvert avec succès les portes du marché nord-américain », a déclaré M. Laurent Allard, directeur général d’OVH.com. « Notre offre de services satisfait les plus hauts standards de l’industrie et s’adapte à tous les types de clients, du développeur à la start-up, en passant par les PME, les fournisseurs d’applications ou les plus grandes entreprises. Transversalité, compétitivité et sécurité constituent la recette de notre croissance », a-t-il ajouté. Accompagnée dans son implantation et son développement par Investissement Québec et Montréal International, OVH.com possède un siège social dédié à la R-D et au service commercial en plein cœur du centre-ville de Montréal, ainsi qu’un centre de données à Beauharnois, sur la rive-sud de Montréal. « Le Grand Montréal possède des atouts distinctifs, comme sa position géographique stratégique et ses coûts d’opération très compétitifs, qui lui permettent de se positionner favorablement sur la scène internationale et ainsi tirer profit du vaste potentiel que représente l’exploitation des données massives », a déclaré M. Élie Farah, vice-président, Investissement Grand Montréal, Montréal International. « À l’ère du big data, la présence d’un acteur majeur comme OVH.com contribue assurément à renforcer l’expertise de la région comme centre d’excellence dans l’industrie de l’hébergement numérique et des services informatiques », a-t-il ajouté. L’expansion d’OVH.com dans la métropole québécoise permettra également d’offrir un espace et des services d’accompagnement aux talents et startups de demain, pour nouer de futurs partenariats. « Notre objectif est de jouer un rôle majeur dans l’écosystème montréalais, en accompagnant l’éclosion des startups les plus prometteuses », a précisé M. Allard. Bientôt un label « French Tech » pour Montréal? Signe marquant de l’attractivité de la métropole québécoise, OVH.com appuie auprès du gouvernement français la candidature du Grand Montréal au label « French Tech », qui vise à reconnaitre le statut de pôle d’excellence technologique aux métropoles les plus innovantes. Après New York et Tokyo, Montréal serait la 3e ville au monde à obtenir cette appellation. Le nom de cette opération de promotion, soutenue par le maire de Montréal et président de la Communauté métropolitaine de Montréal, M. Denis Coderre, et intitulée Bleu-Blanc-Tech, consiste à dynamiser les initiatives des entreprises françaises et montréalaises afin d’accélérer leur internationalisation. À propos d’OVH.com OVH.com garantit à ses 930 000 clients un Cloud stable, fiable et sécurisé. Avec plus de 220 000 serveurs hébergés dans 17 centres de données à travers le monde, OVH.com déploie un réseau privé de fibre optique offrant 4000 Gbps de bande passante. En 2013, la compagnie a ouvert son premier centre de données nord-américain à Montréal, avec une capacité de 360 000 serveurs. Son succès, OVH.com le doit à une compétitivité hors-norme, rendue possible par une approche industrielle des hautes technologies, une maîtrise totale de la chaîne de production à travers une intégration verticale complète (de la construction des centres de données à la conception des serveurs). OVH.com s’engage chaque jour à proposer des solutions innovantes pour repousser les limites du Cloud sécurisé. http://www.montrealinternational.com/a-propos/salle-de-presse/ovh-expansion-siege-social-nord-americain-grand-montreal/
  23. http://journalmetro.com/actualites/economie/864874/start-ups-montreal-20eme-ville-du-monde-la-plus-active/ Mise à jour : 28 octobre 2015 | 20:25 Start-ups: Montréal, 20e ville du monde la plus active Par Mathias Marchal Métro Métro Selon certains analystes, les entrepreneurs de la nouvelle économie devraient prendre plus de temps pour faire croître leur entreprise avant de la revendre. Pour la première fois cette année, Montréal figure au classement des 20 meilleurs écosystèmes de start-ups (entreprises en démarrage) dans le monde. Les organisateurs de la journée Portes ouvertes start-ups auront une raison de plus de se réjouir. Entrevue avec Kara Sheppard-Jones, l’organisatrice de l’événement qui se tient jeudi. Combien y a-t-il de start-ups à Montréal et quelle est la qualité de l’écosystème? Il y a plus de 200 start-ups à Montréal et ce chiffre augmente drastiquement si l’on compte les petites entreprises de deux employés, qui n’ont pas encore de bureau et qui en sont à leur première année. Le nombre de sociétés d’investissement en capital-risque (venture capital), d’opportunités de mentorat, et de support académique pour l’entrepreneuriat ont grandi de manière importante depuis les dernières années, contribuant ainsi à hausser la qualité des start-ups montréalaises et à garder les talents montréalais au sein de la métropole. On note aussi que le taux d’échec des star-tups tend à diminuer. Il est actuellement d’un peu plus de 10% dans la première année. Comment mesurer si Montréal se positionne bien sur la planète start-ups? Montréal a accédé pour la première fois cette année au classement Compass des 20 meilleurs écosystèmes start-ups dans le monde, se classant au 20e rang, non loin de Toronto et Vancouver qui figurent désormais aux 17e et 18e rang. Les critères les plus importants sont le financement, le talent, la taille et la valeur de l’écosystème. [NDLR: ce classement ne comprend pas de villes du Japon, de Chine de Taiwan ou de Corée du Sud]. Quels seront les moments forts de la journée Portes ouvertes Start-ups? Près de 150 start-ups montréalaises ouvriront leurs portes. C’est un événement condensé de trois heures de 16h à 19h qui sera intense en soi! Les moments forts de la soirée seront, entre autres, le lancement de nos parcours thématiques, une innovation cette année, ainsi que l’after-party à l’atelier de Dix2.
  24. Adopter une résolution autorisant la démolition du bâtiment existant situé aux 2148-2150, rue de la Montagne ainsi que la construction d'un bâtiment commercial sur le lot 1 341 026, en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d'occupation d'un immeuble Une demande de projet particulier a été déposée le 6 mai 2015 afin d’évaluer la démolition du bâtiment existant ainsi que des dérogations relatives à la hauteur minimale prescrite, à la superficie maximale du commerce et à l’unité de chargement dans le cadre de la construction d’un édifice commercial bordant la rue de la Montagne. Cette demande peut être effectuée en vertu du Règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (CA-24-011). DÉCISION(S) ANTÉRIEURE(S) n/a DESCRIPTION Description du site La propriété est située dans l’ouest de l’arrondissement dans le secteur animé de Bishop/Crescent entre la rue Sherbrooke et le boulevard De Maisonneuve. L’emplacement, d’une superficie de 267 m², est actuellement occupé par un bâtiment de 3 étages plus soussol construit en contiguïté avec les 2 bâtiments voisins. Ledit bâtiment a été construit vers 1866 et a été agrandi en 1969 dans la cour avant jusqu'à la limite d’emprise de la rue de la Montagne. Cet agrandissement est venu masquer et/ou enlever la plupart des caractéristiques architecturales d’origine. Le bâtiment est actuellement vacant. Il comportait un restaurant au rez-de-chaussée, une boutique de chaussures au sous-sol et 3 logements aux étages supérieurs. Selon une inspection de juin 2013, les logements sont vacants depuis cette date. Enfin, une ruelle publique donne accès à l’arrière de la propriété. Le programme Le requérant désire démolir le bâtiment existant et le remplacer par un nouveau bâtiment commercial. Tous les planchers, la toiture ainsi que le 3e étage (avec toit mansard) seraient démolis. Seul les fondations et une partie du mur arrière seraient conservées. Le nouveau bâtiment aurait 2 étages plus sous-sol et 11,79 mètres de hauteur, donc moins haut, en mètres, que le bâtiment existant. L’ensemble du bâtiment serait occupé par une boutique de vêtements de 520 m2. Au niveau stationnement, il y aurait 1 unité pour auto et 5 unités pour vélo situées à l’extérieur dans la cour arrière. L’accès à ces stationnements se ferait par la ruelle publique à l’arrière. Enfin, il n’y aurait aucune unité de chargement et les livraisons se feraient par cette même ruelle. sent via Tapatalk
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