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  1. Petit projet situé sur la rue Wellington à Verdun et qui rempli bien un terrain vacant. De plus, il s'intègre bien dans le tissu urbain d'époque industriel de ce coin. http://w4455.ca/
  2. La Ville de Montréal agit afin d'améliorer la qualité de vie des citoyens Source: Ville de Montréal Montréal, le 25 août 2010 - Monsieur Alan DeSousa, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal et responsable de l'administration générale, des finances, du développement durable, de l'environnement et des parcs, est heureux d'annoncer la vente à l'entreprise Remorquage Météor, au montant de 1,4 M$, d'un terrain municipal vacant situé du côté est du boulevard Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension. « La transaction permettra de mettre fin à une occupation problématique de l'entreprise dans un quartier résidentiel et de solutionner les nuisances avec lesquelles les gens du voisinage doivent composer. La qualité de vie de nos citoyens est primordiale et cette vente améliorera la situation, tant pour les résidants que pour l'entreprise », a déclaré M. DeSousa. Un meilleur site pour les activités de l'entreprise Rappelons que la firme Remorquage Météor, exploite actuellement un dépôt de remorquage d'autos saisies par les corps policiers du Service de police de la Ville de Montréal et de la Sûreté du Québec, ainsi qu'un autre qui dessert le ministère de Transports. L'emplacement actuel, situé sous le boulevard Métropolitain, dans l'arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension, est mal adapté à ce genre d'activités. La Ville a travaillé à identifier un site qui réponde à ses besoins ainsi qu'à ceux de l'entreprise. Après l'étude de plusieurs sites potentiels, la Ville et Remorquage Météor ont convenu que étant le plus approprié est situé du côté est du boulevard Saint-Michel, entre la rue Bressani et le boulevard Industriel. Ce terrain, propriété de la Ville, est vacant de longue date. Le présent projet inclut aussi l'aménagement d'un écran de verdure entre le secteur résidentiel de la rue Bressani et le terrain cédé à l'entreprise Météor. Les coûts de cet écran de verdure seront défrayés à même les revenus de la vente du terrain. « Je remercie les employés de la Ville et de l'arrondissement et tous les élus qui ont appuyé ce projet. C'est un bel exemple d'une administration municipale à l'écoute de ses citoyens », a déclaré M. Frantz Benjamin, conseiller municipal du district de Saint-Michel dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. La promesse d'achat oblige l'acquéreur à y construire un bâtiment dans un délai de neuf mois suivant la signature officielle de l'acte de vente. La compagnie s'engage également, au plus tard 15 mois après la signature de l'acte de vente, à n'effectuer ses opérations de remorquage et de fourrière qu'à partir du nouveau site. Plutôt que de retrancher du prix de vente les coûts de la décontamination, la Ville s'est engagée à décontaminer, à ses frais, le terrain afin de respecter les critères environnementaux du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs pour un usage commercial ou industriel. Cette solution s'étant avérée plus économique. « Les citoyens nous ont envoyé un message clair en se mobilisant pour faire déplacer cette fourrière et grâce aux efforts de l'administration Tremblay et du conseil d'arrondissement nous pouvons aujourd'hui nous réjouir d'avoir répondu à leurs attentes », a conclu M. Frank Venneri, conseiller municipal du district de François-Perrault dans l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension.
  3. Il y a un erreur dans mon titre, elle date de 1914. En 1993-1995, à la suite de la cessation du service de la ligne Montréal-Deux-montagnes, la ville de Mont Royal hérita de la locomotive GE boxcab #6712, dans le but de la restaurer. Elle fait partie des première locomotives à avoir traverser le tunnel du Mont-Royal.Plusieurs musée obtenu des locomotives du même modèle dont ville de Deux Montagnes qui restaura la sienne en 1998 et l'installa à coté de sa nouvelle gare. Ville Mont-Royal, entreposa la sienne sur le terrain de son garage municipal. Depuis 1995 quelle est là, à attendre... Selon quelques personnes, ce sont des citoyens de VMR qui s'oppose à sa restauration et son installation à côté de la gare de VMR, soit diant que c'est laid. Cet hiver, la bâche qui la couvrait à cédé. Photos: Le PAB, http://www.metrodemontreal.com/forum/viewtopic.php?t=12471&postdays=0&postorder=asc&start=20 En avril: http://www.flickr.com/photos/kellergraham/4516805870/ La voici en 2005 sous la bâche http://www.flickr.com/photos/kellergraham/347312676 Et en 2009 Quelle honte !
  4. Ce n'est pas le 400 Sherbrooke mais c'est un terrain de moins. Il sera identique à celui ci: (Photo prise l'été passé) Photos de ce matin:
  5. Le promoteur immobilier, Groupe BCH Développement, poursuit l’effervescence résidentielle qui persiste en Montérégie par la vente d’un immense terrain sur lequel on prévoit la construction d'un complexe de copropriétés et de résidences. Sur une superficie de 450 000 pi2, BCH a planifié la réalisation d’un développement représentant 75 millions $ d’investissements en unités d'habitation. C’est à l’intersection de la route 132 et du Chemin St-François-Xavier, rue desservie par Candiac, que seront érigés ces immeubles. « Après avoir travaillé trois ans sur le potentiel de cette portion de terrain, nous venons tout juste de recevoir toutes les autorisation nous permettant d’inviter les entrepreneurs à profiter de belles opportunités que représentent ce site, souligne Gaétan Houle, promoteur immobilier responsable du projet. Le changement de zonage maintenant complété, il sera enfin possible d'habiter dans un concept de vie urbaine, à Delson. » La vie urbaine en pleine nature Selon ce dernier, le zonage permet la construction d’un projet de résidence de 430 unités pour personnes retraitées, immeuble érigée sur 12 étages. « Les municipalités de Delson et Candiac ont vu leur population diminuer lorsque les gens arrivaient à leur retraite justement parce qu’il n’y a pas de projet de la sorte pour répondre aux besoins de ce type de clientèle, insiste le promoteur. Nous voulons offrir aux résidents des copropriétés de qualité au design sophistiqué dans un ensemble urbain bien pensé. Ce sera donc un quartier à la fois animé, sécuritaire, où tous les services seront à proximité, explique le promoteur. » Le terrain possède une dénivellation, soit un plateau qui peut supporter une douzaine d’étages, selon les tests effectués par les promoteurs. L’accès à la rivière La Tortue en fait vraiment un site exceptionnel pour les nouveaux résidents qui choisiront de s’établir dans ce nouveau quartier et qui y trouveront une multitude d’avantages. Projet mixte En plus d’une résidence, il sera possible de construire 3 ou 4 immeubles de 6 à 12 étages, pouvant totaliser 250 unités de condominiums dont la brochette de prix varie de 250 000 $ à 800 000 $ pour des penthouses. «En plus d’habiter un endroit très sécuritaire, précise-t-il, les futurs résidents pourront profiter d’un environnement extérieur digne d’un havre de paix grâce à un site privé, des espaces intimes ainsi que de fenestration abondante leur permettant de profiter d’une vue imprenable sur Montréal, puisqu’à partir du 4e étage, on a une vue splendide sur la métropole.» Le concept propose un milieu de vie complet, où différentes sphères d'activités quotidiennes cohabiteront dans un même quartier. Plusieurs entrepreneurs ont déjà démontré leurs intérêts et il y a tout lieu de croire que le projet devrait démarrer cette année. « Nous travaillons actuellement sur les plans qui seront probablement d’ici 3 ou 4 mois, conclut Gaétan Houle. L’échéancier des travaux devrait se poursuivre jusqu’ au printemps 2011. Retour Imprimer Envoyer à un ami Commentaires(0)
  6. Martin Croteau La Presse L'escouade policière Marteau a investi les locaux du Groupe F. Catania en lien avec le Faubourg Contrecoeur, hier, alors que le ton continue de monter entre la firme et la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) au sujet de ce projet immobilier de l'est de Montréal. En matinée, des agents de la Sûreté du Québec, appuyés par des policiers de Longueuil, ont investi le siège social de l'entreprise à Brossard. Ils y ont rencontré des dirigeants et des employés de la compagnie en plus de consulter certains documents. Selon nos sources, la perquisition est liée au Faubourg Contrecoeur, le projet immobilier qui se trouve au coeur du scandale qui a ébranlé la Société d'habitation et de développement de Montréal (SHDM) dans les derniers mois. Par l'entremise de la SHDM, la Ville de Montréal a vendu au Groupe F. Catania cet immense terrain à l'est de l'autoroute 25. L'évaluation municipale était de 31 millions de dollars, mais la SHDM l'a vendu au prix de l'évaluation marchande de 19 millions. Elle a déduit de ce prix divers frais, dont 11 millions pour la décontamination du terrain. Or, des enquêtes ont établi que la décontamination pourrait avoir coûté beaucoup moins cher - entre 5,9 et 7 millions. L'été dernier, la nouvelle direction de la SHDM a donné jusqu'au 31 janvier au Groupe F. Catania pour lui fournir les factures de la décontamination. La firme a demandé un délai jusqu'au 28 février, mais elle n'a toujours pas rendu les documents, a récemment révélé à La Presse le directeur général de la SHDM, Guy Hébert. Cette sortie a indisposé le Groupe F. Catania, qui a expédié une lettre à la SHDM pour l'aviser qu'elle ne fournirait pas les documents demandés tant que le travail de décontamination ne serait pas terminé, c'est-à-dire à la fin de l'été. «L'idée était que ça allait se négocier entre eux et non sur la place publique, a indiqué le porte-parole de la firme, Philippe Roy. La relation s'est refroidie et le Groupe F. Catania a décidé de ne pas remettre toutes les factures à la SHDM et d'attendre la fin de la décontamination.» La SHDM évaluera donc ses options dans les prochains jours. «Parce qu'on n'a pas encore les documents demandés, on a décidé de confier le dossier à nos procureurs», a indiqué son porte-parole, André Bouthillier.
  7. depuis la thread sur la voie reservee sur pie ix: est-ce qu'il existe des options pour la ville, ou meme des precedents, d'expropriation de petites parcelles de terrain, le long d'une voie comme celle la, pour elargir le boulevard disons, de 30 ou 60 cm de chaque cote pour aider a la construction de qqchose comme une voie reservee ou un tramway ? dans le livre 'les annees 60' que je suis en train de feuilleter, sur les photos de la conversion de rene-levesque (alors dorcester), d'une plus petite rue au grand boulevard que l'on connait aujourdhui, on pense voir les terrains en bordure se faire 'manger' par la rue a mesure que les travaux avances. sur une rue comme pie ix beaucoup de terrains on des bordures en pelouse ou asphalte/beton qui ne serait pas dur pour la ville de reprendre et convertir en troittoir, pour ensuire laisser plus de place a la rue.
  8. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  9. Étude - Les urbains marchent, les banlieusards jardinent Le Devoir Mélissa Guillemette Édition du lundi 03 août 2009 Mots clés : Banlieusards, Étude, Activité, Canada (Pays) Les «450» et autres banlieusards du pays sont aussi actifs que les résidents des grandes villes, selon une étude de Statistique Canada. La plupart des études sur le sujet, surtout américaines, démontraient jusqu'à présent que les banlieues nord-américaines, par leur urbanisme, favorisent la sédentarité et l'utilisation de la voiture pour tous les déplacements, tandis que les villes incitent davantage à se déplacer à pied ou à vélo. Peut-être, admet Martin Turcotte, analyste chez Statistique Canada, mais les banlieusards passent plus de temps que les autres à travailler sur leur terrain, ce qui compense leur tendance moins forte aux déplacements actifs. Les déplacements utilitaires sont effectivement deux fois plus populaires chez les résidents de grands centres, qui vont pédaler ou marcher pour se rendre au travail ou à l'épicerie un peu moins d'une fois sur trois, contre environ une fois sur sept pour les habitants de quartiers résidentiels de faible densité. Toutefois, les banlieusards pellettent, jardinent, tondent le gazon et entretiennent leur terrain dans une proportion de 12 %, contre 5 % en ville. Le temps alloué à la pratique d'un sport pour le plaisir ne change pas selon le lieu de résidence. Une personne sur quatre participe à une activité sportive pendant ses loisirs, en banlieue comme en ville. Qu'est-ce qu'une activité physique? Christian Duval, professeur à la faculté de kinanthropologie de l'Université du Québec à Montréal, se dit «perplexe» devant cette étude. Selon lui, considérer l'entretien extérieur de la maison comme une activité physique est une aberration. «Le jardinage, c'est bon, mais à long terme, ça ne réduit pas les risques d'hypertension, d'obésité ou d'accident cardiaque. Si c'était vrai, personne ne ferait d'accident cardiaque en pelletant! Tant qu'on va flatter le monde dans le sens du poil et leur faire croire que jardiner est une activité physique, on n'aura pas une population en forme.» L'étude ne révèle pas que le taux d'activité est le même en ville comme en banlieue, mais plutôt «que le taux d'inactivité est le même», ironise M. Duval. Il ajoute que même les déplacements actifs ne contribuent pas vraiment à améliorer la santé physique, «à moins qu'une douche soit nécessaire en arrivant au travail», signe d'un effort physique soutenu. «Il faut faire de l'activité dans le but de se dépenser.» Les données de Statistique Canada ont été obtenues grâce à un questionnaire général sur l'emploi du temps des répondants, ce qui a permis d'éviter que des personnes gonflent le temps qu'elles allouent à l'activité physique. «C'est sûr qu'idéalement il aurait fallu équiper tous les répondants d'appareils qui évaluent l'effort physique, mais ça coûterait très cher, explique Martin Turcotte. Mais cette étude a l'avantage de s'intéresser à toutes les formes d'exercice physique. Dans plusieurs études, c'était seulement les déplacements actifs qui étaient comptés.» L'étude a été menée auprès d'habitants de 27 régions métropolitaines canadiennes, dont Montréal, Sherbrooke, Québec, Trois-Rivières, Saguenay et Gatineau. http://www.ledevoir.com/2009/08/03/261444.html
  10. 30 ans plus tard Dodge Chrysler ferme ses portes à Longueuil Mise à jour : 22/07/2009 20h02 Une page d'histoire se tourne cette semaine à Longueuil. Le concessionnaire Dodge Chrysler, qui faisait partie du paysage depuis plus de 30 ans, est forcé de fermer ses portes. Tous les véhicules ont déjà été liquidés. La fermeture serait inévitable en raison des difficultés à obtenir du financement des banques. Les propriétaires affirment également qu'ils sont incapables de répondre aux exigences des constructeurs en raison des nombreux bouleversements dans l'industrie automobile. Nouvelles LCN - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - L'immeuble (terrain?) est à vendre. C'est un grand terrain à la porte du Vieux-Longueuil et à coté du centre d'achat Place Longueuil. Un redeveloppement de ce site serait très intéressant. Du residentiel ou un mixte commercial et résidentiel de densité moyenne serait bien.
  11. Québec a tenté de récupérer sa colline Antoine Robitaille Édition du samedi 21 et du dimanche 22 février 2009 Le gouvernement fédéral est toujours propriétaire d'une partie des terrains devant l'Assemblée nationale Québec -- Le gouvernement Charest a formellement demandé à son vis-à-vis fédéral, en 2006, d'enfin devenir propriétaire de certains terrains qu'il lui loue devant le parlement à Québec. Mais Ottawa n'a jamais daigné répondre, a appris Le Devoir. Paradoxalement, les bronzes de René Lévesque, de Robert Bourassa, d'Honoré Mercier et de Louis-Hippolyte Lafontaine se retrouvent donc en terrain fédéral loué (voir la carte au http://www.ledevoir.com). Dans une lettre datée du 7 juillet 2006, le ministre des Affaires intergouvernementales, Benoît Pelletier, soumettait à son homologue fédéral du temps, Michael Chong, «cette problématique que l'Assemblée nationale du Québec souhaite corriger depuis longtemps». C'est pour des raisons historiques liées aux besoins du Canada «en matière de défense au XIXe siècle», expliquait-il, que plusieurs terrains en face du parlement sont restés «de propriété fédérale». Sur une carte en annexe à la lettre, on prend conscience qu'Ottawa possède le terrain qui va pratiquement de la borne du kilomètre zéro (devant la porte centrale) jusqu'aux fortifications, en passant évidemment par le rond-point où se trouve aujourd'hui la fontaine de Tourny. Lors du réaménagement de la colline parlementaire à la fin des années 1990, Québec avait dû avertir le gouvernement fédéral de ces travaux, a-t-on appris. Dans sa lettre de juillet 2006, Québec n'avait toutefois réclamé la propriété que d'un seul des quatre «lots» loués à Ottawa depuis 1881: celui le plus rapproché du parlement, à l'ouest de l'avenue Honoré-Mercier (autrefois Dufferin), numéroté 1 315 204 et faisant presque 10 000 mètres carrés. Benoît Pelletier, qui est redevenu professeur de droit constitutionnel la veille du déclenchement des élections, le 4 novembre -- après avoir détenu le portefeuille des Affaires intergouvernementales pendant cinq ans --, écrivait que cette propriété fédérale sur un terrain hautement symbolique pour la nation québécoise constituait un accroc aux principes mêmes du fédéralisme. Il soulignait qu'en 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique avait consacré l'intention des provinces fondatrices du Canada de «contracter une union fédérale» en vertu de laquelle chacune posséderait une assemblée législative indépendante du Parlement canadien et «souveraine» dans ses sphères de compétence. «Dans ces circonstances, poursuivait-il, il nous apparaît important que le "situ" sur lequel l'Assemblée nationale est érigée reflète cette caractéristique fondamentale de notre régime fédéral.» M. Pelletier énonce donc le principe selon lequel «les terrains qui entourent l'Assemblée nationale doivent lui appartenir». Il a été impossible de savoir de quel type de contrat de location il est question ici. Certaines sources parlent d'un bail «emphytéotique» (de très longue durée, maximum de 99 ans, selon le Code civil). Dans un document intitulé Rapport d'un comité de l'Honorable Conseil exécutif, en date du 16 novembre 1888, consulté par Le Devoir, on peut lire une description s'apparentant à cette partie de terrain. On dit que, «conformément à un ordre de Son Excellence le Gouverneur général en Conseil du 24 janvier 1881», cette portion de terrain «est maintenant laissée à l'usage du gouvernement de la province de Québec, moyennant un loyer ou rente annuelle de cinquante piastres». Personne n'était en mesure hier, dans les officines étatiques, de dire si Québec déboursait toujours ce montant annuellement. On a toutefois souligné avec ironie que lorsqu'un bail emphytéotique se termine, les «améliorations» qui ont été faites sur le terrain deviennent propriété du «bailleur emphytéotique». Pas que symbolique Aux yeux de Québec, le transfert de propriété de ce terrain «n'aurait pas que des conséquences symboliques». Dans sa lettre, M. Pelletier souligne qu'«au plan pratique, cela permettrait au président de l'Assemblée nationale d'exercer pleinement ses privilèges et ses responsabilités quant à la sécurité de l'enceinte parlementaire». Une source bien au fait du dossier explique que lorsqu'il y a des manifestations, «on met des barrières»; or, «assurer votre sécurité sur un terrain qui n'est pas totalement le vôtre, mettons celui de votre voisin, c'est problématique, non?». La controverse autour de la commémoration de la bataille des plaines d'Abraham a ramené à l'avant-scène la présence très importante du gouvernement fédéral dans la capitale nationale québécoise. Celle-ci n'aurait pas d'équivalent dans les autres capitales de provinces au Canada. L'ancien président de la Commission de la capitale nationale, Pierre Boucher, faisait remarquer mercredi dans nos pages qu'au cours du XXe siècle, «la présence du gouvernement du Canada à Québec a pris une proportion stupéfiante». Il estimait la part de propriété fédérale à 40 % du territoire de la ville fortifiée et de ses alentours, «au point où même une portion de la place de l'Assemblée nationale est localisée en terre fédérale».
  12. Un projet immobilier veut offrir le gîte aux tortues Photo: La Presse Charles Côté La Presse Signe que l'enjeu environnemental change les habitudes à Laval, siège de nombreuses batailles entre promoteurs immobiliers et écologistes, un nouveau projet immobilier tentera d'attirer à la fois des humains et des tortues. «Nous avons tout fait pour éviter des erreurs environnementales, dit John Garabedian, promoteur du projet, le Domaine des berges de Sainte-Dorothée. On savait au départ qu'il y avait des milieux humides sur le terrain. On les préserve et on crée un étang qui coûte à lui seul 1 million.» Même avec un ensemble de mesures coûteuses, le succès écologique complet du projet de résidences de luxe en bordure de la rivière des Prairies n'est pas garanti. La tortue géographique, l'espèce qui a le plus besoin de protection dans la région, risque fort d'éviter le coin. La présence de tortues géographiques est confirmée «aux environs du site» par le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP), qui a tout de même autorisé le projet, parce qu'il «respecte toutes les normes». Le MDDEP souligne que dans son état actuel, le terrain situé à l'ouest de l'autoroute 13 présente «un intérêt écologique faible» parce que «colonisé par une végétation commune, voire envahissante». Le projet protège le principal milieu humide du terrain et son aménagement permettra «d'augmenter la biodiversité». M. Garabedian ajoute qu'aucun remblai n'est prévu, contrairement aux deux projets voisins, dont les maisons perchées sur des talus artificiels de deux ou trois mètres ont soulevé la controverse. Des ponceaux permettront d'enjamber le ruisseau qui traverse le terrain. Toutes ces mesures font doubler le prix des infrastructures, dit M. Garabedian. Mais qu'en est-il des tortues? Avec ses 80 kilomètres de berges, l'île Jésus a de quoi plaire à l'humain... et à la tortue. Trois espèces de tortues vivent dans les eaux autour de Laval, y compris la tortue géographique, désignée comme vulnérable par le gouvernement du Québec. Les concepteurs du Domaine des Berges ont inclus une «île à la tortue» et des plages propices à la reproduction dans leur étang. Mais il y a peu de chances que la tortue géographique adopte ce nouvel environnement. «C'est une espèce très farouche et plutôt difficile à approcher», précise-t-on au ministère des Ressources naturelles et de la Faune. Robert Bisson, biologiste au parc de la Rivière-des-Mille-Îles, à Laval, peut en témoigner. «À partir du moment où on construit des maisons, la tortue géographique va aller ailleurs, dit-il. En canot, quand on arrive à 30 mètres, elle saute à l'eau.» En revanche, ajoute M. Bisson, il se peut qu'une autre espèce, la tortue peinte, adopte l'étang du Domaine des Berges. Mais cette espèce est très commune. «Il y a un cas comme ça à Terrebonne, dit M. Bisson. Il y a des tortues peintes dans un étang en plein milieu d'un quartier résidentiel.» Le projet Domaine des Berges est soumis à une modification de zonage présentée ce soir au conseil municipal de Laval. Pour joindre notre journaliste: ccote@lapresse.ca
  13. Publié le 16 février 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h37 Ex-Technoparc: la facture de la Ville continue d'augmenter Martin Croteau La Presse Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Le parc d'entreprises de Pointe-Saint-Charles continue de coûter une fortune à Montréal, et la Ville ne sait toujours pas comment décontaminer ce vaste terrain une fois pour toutes. La semaine dernière, le comité exécutif a débloqué 107 000 $ supplémentaires pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, portant ses dépenses à plus de 5 millions depuis que la Ville a acquis le terrain à la fin des années 80. Ce dernier investissement servira à redéployer un système de flotteurs sur la rive du Saint-Laurent pendant la fonte des glaces. Le dispositif permettra de récupérer des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. «La Ville de Montréal, par souci de protéger l'environnement, encourra des frais additionnels pour maintenir les estacades et les boudins, de manière à capter au maximum les hydrocarbures, pour minimiser la perturbation», a expliqué le responsable de l'environnement au comité exécutif, Alan DeSousa. L'emplacement, autrefois appelé Technoparc, a déjà été une vaste gare de triage ferroviaire et il a aussi servi de dépotoir. Il contient entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Des traces de ce produit hautement toxique ont été trouvées dans le fleuve à plusieurs kilomètres en aval. Alan DeSousa estime que Montréal a dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques depuis qu'elle a acquis ces terrains des gouvernements fédéral et provincial. «On n'a réglé aucun problème, admet-il. On a seulement acquitté nos obligations environnementales avec ce terrain qu'on avait pris de bonne foi, mais qui venait avec de lourdes responsabilités dont la Ville n'avait pas été avertie.» Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a souligné l'an dernier qu'Ottawa savait depuis le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs lorsqu'elle les a acquis. La Ville a récemment investi 400 000$ dans un projet pilote pour décontaminer le sol en y plantant des arbres. Elle a commandé l'an dernier une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation de sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies pour restaurer le parc industriel une fois pour toutes. L'organisme doit lui rendre son rapport d'ici la fin du mois. Alan DeSousa espère que les résultats lui permettront de mettre en branle le projet de 70 millions le plus vite possible afin de profiter des programmes d'infrastructures annoncés dans le budget du gouvernement Harper. «Mais même avec ce rapport, ne vous attendez pas à ce que, du jour au lendemain, on puisse corriger la situation avec une baguette magique, a-t-il indiqué. Ce n'est pas réaliste. Mais au moins, si on a cette solution, ça nous donne espoir qu'on peut adopter des mesures concrètes.» La Ville accusée d'inaction Pourtant, le temps presse, dénoncent les écologistes. Le toxicologue Daniel Green, de la Société pour vaincre la pollution, estime que la Ville, par son inaction au fil des ans, est devenue l'un des principaux pollueurs aux BPC du Canada. Il affirme qu'elle s'est traîné les pieds pendant si longtemps qu'il envisage de la traîner en cour. «On est en train de ramasser notre preuve pour être capables d'intervenir, a-t-il expliqué. On parle à des avocats pour voir quelle pourrait être l'avenue juridique. Parce qu'il est clair que ni le fédéral ni la province ne vont poursuivre la Ville de Montréal.» Peu importe le résultat de l'étude du CEMRS, la Ville sait déjà comment réhabiliter le sol de l'ex-Technoparc, poursuit M. Green. Selon lui, il faut drainer l'eau souterraine qui coule vers le fleuve, poser un mur souterrain afin d'encercler le site contaminé et empêcher les matériaux toxiques de s'écouler dans le fleuve à l'aide d'un autre mur. Ce n'est qu'une fois ces étapes terminées que la décontamination du site comme telle pourra débuter. Ce long processus a fait ses preuves ailleurs, soutient Daniel Green, mais la facture sera salée : au moins 100 millions de dollars.
  14. La Bourse de Toronto a mal entrepris la semaine, perdant du terrain en raison du recul des cours pétroliers, qui ont nui au secteur de l'énergie. Pour en lire plus...
  15. L'entente visant à restructurer le marché du papier commercial PCAA est en terrain fragile. Hier, le comité dirigé par Purdy Crawford a rencontré le gouvernement du Canada vraisemblablement pour lui demander de l'aide. Pour en lire plus...
  16. Les banques canadiennes s'apprêtent à dévoiler certains des pires résultats trimestriels de récente mémoire grâce à des pertes subies en raison de la crise financière mondiale, couronnant une année déjà difficile et préparant le terrain pour ce qui s'annonce comme une autre période difficile pour le secteur bancaire, auparavant stable. Pour en lire plus...
  17. Le promoteur immobilier Luc Poirier demande à Québec de prendre une décision rapidement dans le dossier du développement immobilier sur l'île Charron, à Longueuil. Dans une sortie en règle contre «l'immobilisme du gouvernement», Luc Poirier dénonce le manque de vision de la ministre de l'Environnement, Line Beauchamp, qui a imposé un moratoire de deux ans sur le projet, en novembre 2007. Ce moratoire avait pour objectif de permettre au gouvernement de mener des études d'impact environnemental sur le terrain de 20 hectares jouxtant le parc national des Iles-de-Boucherville, sur la Rive-Sud de Montréal.Selon M. Poirier, le gouvernement aurait déjà entre ses mains les résultats de ces études. Il serait donc en mesure de prendre une décision. Pourtant, aucune rencontre n'a été prévue avec le promoteur qui dit avoir présenté un projet novateur et visionnaire en termes de développement durable, notamment par l'utilisation de la géothermie, de toits verts et par le développement du transport en commun. M. Poirier dit faire les frais de l'ambivalence de Québec en devant payer des taxes sur le terrain sans pouvoir le développer, ni le vendre. Il affirme vouloir profiter de la présente campagne électorale pour pousser la ministre Beauchamp à prendre une décision. Rappelons qu'Investissements Luc Poirier a acquis le terrain de l'île Charron de Desjardins Sécurité Financière, en 2006. La transaction avait alors fait l'objet de vives critiques de la part d'organisations environnementales qui craignaient l'arrivée de milliers d'habitants sur cette île où vit notamment une importante population de cerfs de Virginie. Luc Poirier prévoit y construire environ 2500 unités d'habitation. http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/200811/21/01-803129-ile-charron-le-promoteur-veut-une-decision-rapide.php
  18. Cette fois, la remontée n'a pas eu lieu. Contrairement à ce qui s'était passé la veille, les marchés nord-américains ont perdu beaucoup de terrain hier, sans jamais pouvoir le reprendre. Pour en lire plus...
  19. La direction des mines Wabush, au Labrador, prépare le terrain au licenciement de travailleurs, car elle craint devoir réduire la production en 2009. Pour en lire plus...
  20. Le fondateur doit avoir un pincement au cœur en regardant le cours de l'action de Yahoo! ce matin, car le titre monte après l'annonce de son départ. Pour en lire plus...
  21. Devant la menace d'une récession et les pertes enregistrées par les marchés nord-américains, les Bourses asiatiques et européennes perdaient encore du terrain mercredi. Pour en lire plus...
  22. La surqualification, c'est-à-dire le fait d'occuper un emploi inférieur à son niveau de scolarité, s'est répandue au Québec au cours des 10 dernières années. Pour en lire plus...
  23. Le Canadien construirea cinq patinoires à Montréal Catherine Handfield La Presse La fondation du Tricolore financera la construction de cinq patinoires extérieures réfrigérées dans des quartiers défavorisés de Montréal. Au coût d'environ trois millions, l'initiative de l'équipe en réjouit plusieurs. D'autres doutent toutefois que les infrastructures rejoignent les jeunes locaux. À l'occasion du dévoilement de la programmation du centenaire du Canadien, la direction du Tricolore a annoncé hier la construction de cinq patinoires en cinq ans dans la métropole. Le quartier Saint-Michel a été sélectionné pour accueillir la première patinoire, dont l'inauguration est prévue en décembre. «Ce sera l'infrastructure extérieure la plus moderne de toute l'île de Montréal», a vanté le président de l'équipe, Pierre Boivin, au cours d'un point de presse au Centre Bell. La Fondation des Canadiens pour l'enfance versera entre 500 000$ et 700 000$ pour sa construction. Les quatre autres quartiers de Montréal n'ont pas encore été sélectionnés. «Notre engagement est d'en faire une par année, a indiqué M. Boivin. Et après ça, on va sortir de Montréal et on va en construire tant qu'il y aura des besoins au Québec.» Les patinoires extérieures seront dotées d'un système de réfrigération leur permettant de rester ouvertes de la fin novembre à la mi-mars. Le Tricolore s'engage également à fournir des équipements pour les jeunes. L'été, ces derniers pourront pratiquer d'autres sports sur la surface bétonnée. «Le but ultime est d'amener les jeunes du quartier à bouger et à avoir un mode de vie sain», a indiqué Geneviève Paquette, directrice exécutive de la Fondation. Un accueil mitigé Hier, au quartier Saint-Michel, la venue d'une glace était somme toute bien accueillie. Vers 18h, quelques jeunes discutaient au parc François-Perrault, là où la patinoire sera construite sur l'emplacement d'un ancien terrain de baseball. Les travaux d'excavation ont d'ailleurs commencé cette semaine. «C'est une bonne idée, a dit Anis, 13 ans, d'origine algérienne. À l'aréna du quartier, ils obligent à porter un équipement pour jouer au hockey. Le problème, c'est qu'on n'en a pas. On est paumés.» Son cousin de 16 ans, Rafik, avait un avis plus mitigé. «C'est bien. Mais avant une patinoire, on aurait préféré un terrain de soccer», a-t-il mentionné, en montrant du doigt une petite surface gazonnée abîmée par les nombreuses parties improvisées. «À Saint-Michel, il y a un manque épouvantable d'infrastructures de sports et de loisirs», convient Nadine Viau, coordonnatrice de 1,2,3, Go! Saint-Michel. Son organisme communautaire veille au plein développement des enfants du quartier. «C'est certain que nous sommes heureux de la venue de la patinoire, ajoute-t-elle. Mais il reste à voir si nos jeunes vont s'en servir.» L'intervenant souligne que le hockey n'a pas vraiment la cote chez les jeunes défavorisés ou issus des communautés culturelles. Nadine Viau ajoute que le terrain de baseball sur lequel sera construite la patinoire était largement fréquenté par des Montréalais d'autres quartiers, puisque le parc est situé à côté d'une station de métro. La mairesse de l'arrondissement de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, Anie Samson, se réjouit sans bémol. «Les jeunes avaient peu d'activités pour s'occuper en hiver, a-t-elle dit. Une patinoire est un atout majeur dans le quartier.» Mme Samson convient que le hockey n'est pas le sport préféré des jeunes du quartier, mais elle précise qu'une centaine d'équipements seront mis à la disposition des usagers. «C'est la Fondation du Canadien qui finance la patinoire. Vous vous doutez qu'elle n'allait pas investir pour un terrain de soccer», conclut-elle. Tout sur la programmation du centenaire du Canadien dans les pages 1 à 3 du cahier Sports.
  24. Les principales Bourses européennes et de la zone Asie-Pacifique perdaient du terrain mardi, les investisseurs commençant à avoir des doutes sur l'efficacité du plan de sauvetage du secteur financier américain. Pour en lire plus...
  25. L'Institut économique de Montréal (IEDM) estime que le Québec devrait tirer profit de la demande croissante d'eau en préparant le terrain à des exportations d'eau en vrac qui pourraient rapporter à la province des milliards de dollars par année. Pour en lire plus...
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