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bxlmontreal

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  1. DCYSA pas de souci ce sont les rois des projets qui foirent...
  2. En effet...il y a déja la journaliste de The Gazette qui s'en inspire souvent.J'imagine que Cardinal doit aussi nous lire?
  3. Et le groupe Chinois c'est sur quel terrain encore?Poirier c'est pas top sérieux, c'est pas lui qui voulait monter une tour de 60 étages à Laval? Monaco(paradis fiscal)...tiens on fuit l'Europe?Bienvenue à MTL..on en veut d'autres.
  4. Reste le troisième projet dans le quartier international(condos?) et le terrain Ogilvy/de la Montagne pour un immeuble à condos de luxe (bas) et une gallerie commerciale.
  5. Plus de 3600 postes à pourvoir en aérospatiale. En dépit des turbulences de l'économie, l'industrie québécoise de l'aérospatiale est en plein essor et devra pourvoir plus de 3600 postes en 2012. C'est le message qu'a lancé hier le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale au Québec, le CAMAQ, à partir des résultats d'un sondage réalisé l'automne dernier auprès de plus de 200 entreprises du secteur. Selon ce sondage, l'industrie prévoyait employer 47 279 employés au 1er janvier 2012 et 49 594 au 1er janvier 2013. Il s'agit d'une augmentation des effectifs de 2315 personnes. Il faut y ajouter les postes qu'il faudra pourvoir pour remplacer des personnes qui partent à la retraite, qui quittent l'industrie ou qui accèdent à de nouvelles fonctions. Ce taux de roulement tourne autour de 3%, soit 1327 postes additionnels, pour un total de 3642 postes à pourvoir en 2012 «Non seulement le ralentissement économique semble derrière nous, mais les entreprises aérospatiales au Québec peinent déjà à recruter pour certains postes qualifiés, a déclaré le directeur du CAMAQ, Serge Tremblay, dans un communiqué publié hier. Nous pouvons envisager des défis constants de recrutement dans un futur proche si les jeunes et les employés d'expérience n'envisagent pas de venir grossir les rangs des travailleurs de notre industrie.» La finition en pleine croissance Il a notamment indiqué que le secteur de la finition intérieure et extérieure des appareils était en pleine croissance. Les effectifs ont augmenté de 48% depuis 2008. Si on ne tient pas compte du remplacement des personnes qui partent à la retraite ou qui quittent l'industrie, ce sont 266 postes qu'il faudra pourvoir cette année. Ces emplois se retrouvent dans des PME, mais aussi dans de plus grandes entreprises comme Bombardier, Bell Helicopter et Innotech-Execaire. La Comission scolaire de Montréal (CSDM) a d'ailleurs fait savoir qu'elle avait déposé une demande auprès du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport pour agrandir les locaux de l'École des métiers de l'aérospatiale de Montréal afin d'offrir six nouveaux programmes en finition d'appareils, comme l'ébénisterie, le rembourrage. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201201/26/01-4489578-plus-de-3600-postes-a-pourvoir-en-aerospatiale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22
  6. Mirabel: croissance à l'horizon pour Bell Helicoptere. L'usine de Bell Helicopter à Mirabel bourdonnera d'activité en 2012, avec une augmentation significative des livraisons. «Nous nous attendons à ce que le niveau d'activités de la division commerciale de Bell Helicopter soit particulièrement robuste cette année, alors que nos investissements dans le développement de nouveaux produits entraînent un afflux de commandes», a déclaré hier le président et chef de la direction de Textron, Scott Donnelly, dans le cadre de la divulgation des résultats de l'exercice financier de l'entreprise. «Étant donné notre carnet de commandes et les discussions avec les clients potentiels, nous prévoyons une augmentation significative des livraisons par rapport aux 125 appareils livrés en 2011, a-t-il indiqué au cours d'une téléconférence destinée aux analystes. Nous nous attendons à ce que les revenus de Bell croissent de près de 20%, avec des marges robustes.» Bémol Il s'agit d'une consolation pour l'usine de Mirabel, qui a vu l'assemblage d'un nouveau modèle d'hélicoptère commercial lui échapper au profit de l'usine de Bell Helicopter à Amarillo, au Texas. À venir jusqu'à maintenant, Bell Helicopter faisait construire tous ses appareils commerciaux à Mirabel. «Nous voyons déjà que nous sommes presque à capacité dans nos installations canadiennes et que la possibilité d'expansion est mince, alors que nous savons que nous pouvons avoir un certain ralentissement du côté militaire, a déclaré M. Donnelly. Nous allons donc assembler ce nouveau produit à Amarillo pour ainsi absorber une partie de la croissance du volume commercial.» Bell Helicopter lancera ce nouveau produit, le Magellan, à Heli-Expo 2012, important salon de l'hélicoptère qui se tiendra à la mi-février à Dallas. À l'heure actuelle, l'usine de Mirabel compte environ 1900 employés. Il y a un peu plus d'un mois, le président de Bell Helicopter Textron Canada, Garry Kohler, avait indiqué à La Presse Affaires qu'il chercherait d'abord à augmenter la productivité de l'usine pour faire face à une éventuelle augmentation de la production. Mais il faudrait aussi augmenter les effectifs. Optimisme chez Cessna M. Donnelly s'est également montré optimiste hier au sujet d'une autre importante division de Textron, Cessna, manufacturier d'avions d'affaires. Il a dit s'attendre à ce que les revenus de Cessna connaissent une croissance «dans les deux chiffres» en 2012. «Nous croyons que la demande augmentera tout au long de l'année, a-t-il déclaré. À plus long terme, nous nous attendons à une accélération de la demande pour des biréacteurs au fur et à mesure que l'économie mondiale se stabilisera, que les marchés émergents se développeront davantage et que nos nouveaux produits entreront sur le marché.» Textron a enregistré des profits de 242 millions US en 2011, soit 79 cents US par action, comparativement à 86 millions US l'année précécente, soit 28 cents US par action. Le marché a particulièrement bien réagi aux perspectives encourageantes de l'entreprise: son titre a bondi de 14,6% pour clôturer à 24,76$US à la Bourse de New York hier. United Technologies Corporation (UTC), société mère de Pratt&Whitney Canada, a également connu une bonne année avec des profits de 5 milliards US, soit 5,49 cents US par action sur une base diluée. Il s'agit d'une augmentation de 14% par rapport au bénéfice net de 4,4 milliards US enregistré en 2010. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201201/26/01-4489573-mirabel-croissance-a-lhorizon-pour-bell-helicoptere.php
  7. Mabe ferme son usine de Montréal: 740 emplois perdus. Le fabricant d'électroménagers Mabe Canada annonce la fermeture de son usine de sécheuses à Montréal d'ici la fin de 2014, ce qui se traduira par la perte de près de 740 emplois. Il s'agit d'une démonstration on ne peut plus claire d'une tendance lourde reliée au déclin du secteur manufacturier. Cette usine, qui était autrefois exploitée sous la raison sociale de Camco, avait déjà procédé à un transfert de près de 30% de sa production au Mexique au printemps 2009. Il reste présentement 510 travailleurs dans cette usine, auxquels s'ajoutent plus de 200 autres qui figurent sur la liste des employés mais avaient été victimes de coupes précédentes. La direction de l'entreprise a expliqué, par voie de communiqué, que la forte appréciation du dollar canadien au cours des dernières années et le ralentissement économique aux États-Unis, où est exportée 90% de la production de l'usine de Montréal, l'ont amenée à prendre une décision «jugée nécessaire et finale». Selon Mabe Canada, l'usine a perdu des sommes importantes au cours des six dernières années. Ces pertes se chiffrent à 15 millions $ sur une base annuelle et récurrente, selon Michel Ouimet, vice-président du Syndicat des communications, de l'énergie et du papier (SCEP-FTQ), qui note que les dirigeants de l'entreprise ont toujours joué franc jeu avec les syndiqués. «Nous avons été surpris par l'annonce, a-t-il reconnu. Nous étions à l'aube de débuter les négociations pour une nouvelle convention collective. Mais je pense que l'employeur ne voulait pas commencer les négociations avec nous pour rien. C'est probablement pour ça qu'ils nous ont annoncé aujourd'hui la fermeture permanente en 2014.» La direction offre par ailleurs une fin de non-recevoir à toute éventuelle tentative de sauvetage, affirmant «qu'il n'y a pas de voie vers la rentabilité pour l'usine, même si celle-ci devait recevoir d'importantes subventions gouvernementales en combinaison avec des concessions salariales de la part du syndicat». Ce constat est partagé par Michel Ouimet, même si le syndicaliste ne le fait pas de gaieté de coeur. «La marche est tellement haute pour combler la perte qu'ils vont avoir à subir année après année que ce serait impossible de penser à demander à leurs employés des concessions. Il faudrait quasiment qu'ils coupent leurs salaires de moitié - sans compter d'autres concessions - ce qui est complètement inacceptable et impensable, dans le fond», a dit le syndicaliste. Mabe Canada rappelle avoir fait d'importants investissements depuis 2006 à l'usine située à l'angle des rues Notre-Dame et Dickson, dans le quartier Hochelaga-Maisonneuve, et reconnaît que ses employés syndiqués ont déjà fait leur part pour accroître la productivité. Ceux-ci avaient en effet accepté, à l'époque, des concessions de 25 millions $ sur cinq ans, en échange d'une garantie de maintien des activités durant cette période. Michel Ouimet note d'ailleurs que l'employeur a respecté ses engagements, et ce, même s'il perdait des sommes importantes. La direction prévoit une réduction graduelle de la production et estime qu'il n'y aura pas de perte significative d'emplois en 2012. Le plan de fermeture prévoit que presque la moitié des employés resteront en poste jusqu'à la fin des activités. Mabe Canada promet par ailleurs de respecter ses obligations contractuelles, notamment à l'égard de ses régimes de retraite et entend même négocier une nouvelle convention collective pour la fin des activités de l'usine. «Il va y avoir toute la question de sécuriser les régimes de retraite, sécuriser les avantages sociaux après-retraite, sécuriser les indemnités de départ, a fait valoir Michel Ouimet. Il va aussi y avoir toute la question de la rétention sur trois ans. Il faut que nos gars de métier, autant en production que dans les bureaux, demeurent en poste sinon ça peut compromettre la viabilité de l'usine.» La production de sécheuses de l'usine de Montréal sera transférée à d'autres usines existantes de la compagnie aux États-Unis et au Mexique. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201201/26/01-4489736-mabe-ferme-son-usine-de-montreal-740-emplois-perdus.php Le moral surprenant des PME montréalaises. Les derniers chiffres publiés sur l'emploi font craindre le pire pour l'économie québécoise en 2012. Un malheur n'arrivant jamais seul, d'autres statistiques montrent que la confiance des entrepreneurs s'émousse. Derrière ces données macroéconomiques, comment les dirigeants de PME montréalaises entrevoient-ils les prochains mois? Quel est le moral des troupes dans les usines d'Anjou, Saint-Laurent et de Montréal-Nord? Dans un article sur l'état de l'industrie du meuble publié le 16 janvier dans La Presse Affaires, on apprenait que les fabricants appréhendaient la nouvelle année, les ventes des détaillants de meubles ayant démontré des signes évidents de ralentissement dans les derniers trimestres. Allait-on constater le même état d'esprit dans les autres sphères de l'économie? Pour le savoir, nous avons pris contact avec les patrons de six PME d'autant d'industries pour sonder leur moral en ce début d'année. À elles six, elles réalisent des ventes annuelles d'environ 70 millions de dollars et donnent du travail à pas moins de 600 employés. Or, surprise, la presque totalité s'attend à une meilleure année en 2012 que la précédente. Des embauches sont même prévues pour quatre d'entre elles et l'une de celles-ci envisage d'ouvrir un établissement à l'extérieur du Québec. Deux entrepreneurs particulièrement optimistes ont misé sur l'innovation pour se démarquer dans un contexte qui reste extrêmement difficile pour les fabricants québécois. Un autre fait concurrence aux pays à faible coût de production en faisant de la productivité de son usine une vraie obsession. Deux PME de services tirent leur épingle du jeu en se servant des créateurs qui font la réputation de Montréal. Cinq sur six exportent leurs produits, notamment aux États-Unis où le climat d'affaires paraît enfin s'améliorer, à leur grand soulagement. Quoi qu'il en soit, la plupart des entrepreneurs avec qui nous avons discuté ont dû réinventer leur modèle d'affaires dans les dernières années pour assurer sinon la croissance de leurs ventes, au moins leur pérennité. + autres articles sur ce lien http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201201/26/01-4489736-mabe-ferme-son-usine-de-montreal-740-emplois-perdus.php Plus de 3600 postes à pourvoir en aérospatiale. En dépit des turbulences de l'économie, l'industrie québécoise de l'aérospatiale est en plein essor et devra pourvoir plus de 3600 postes en 2012. C'est le message qu'a lancé hier le Comité sectoriel de main-d'oeuvre en aérospatiale au Québec, le CAMAQ, à partir des résultats d'un sondage réalisé l'automne dernier auprès de plus de 200 entreprises du secteur. Selon ce sondage, l'industrie prévoyait employer 47 279 employés au 1er janvier 2012 et 49 594 au 1er janvier 2013. Il s'agit d'une augmentation des effectifs de 2315 personnes. Il faut y ajouter les postes qu'il faudra pourvoir pour remplacer des personnes qui partent à la retraite, qui quittent l'industrie ou qui accèdent à de nouvelles fonctions. Ce taux de roulement tourne autour de 3%, soit 1327 postes additionnels, pour un total de 3642 postes à pourvoir en 2012 «Non seulement le ralentissement économique semble derrière nous, mais les entreprises aérospatiales au Québec peinent déjà à recruter pour certains postes qualifiés, a déclaré le directeur du CAMAQ, Serge Tremblay, dans un communiqué publié hier. Nous pouvons envisager des défis constants de recrutement dans un futur proche si les jeunes et les employés d'expérience n'envisagent pas de venir grossir les rangs des travailleurs de notre industrie.» La finition en pleine croissance Il a notamment indiqué que le secteur de la finition intérieure et extérieure des appareils était en pleine croissance. Les effectifs ont augmenté de 48% depuis 2008. Si on ne tient pas compte du remplacement des personnes qui partent à la retraite ou qui quittent l'industrie, ce sont 266 postes qu'il faudra pourvoir cette année. Ces emplois se retrouvent dans des PME, mais aussi dans de plus grandes entreprises comme Bombardier, Bell Helicopter et Innotech-Execaire. La Comission scolaire de Montréal (CSDM) a d'ailleurs fait savoir qu'elle avait déposé une demande auprès du ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport pour agrandir les locaux de l'École des métiers de l'aérospatiale de Montréal afin d'offrir six nouveaux programmes en finition d'appareils, comme l'ébénisterie, le rembourrage et la peinture. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/quebec/201201/26/01-4489578-plus-de-3600-postes-a-pourvoir-en-aerospatiale.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22
  8. Quelle surprise ce matin pour l'équipe des Oranges Pressées qui a eu une véritable frousse lorsqu'une grue de construction a carrément défoncé la vitre du studio principal de CIBL. Cette grue, utilisée pour installer les vitres manquantes sur l'édifice du 2-22 coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine, a tenté de tourner sur elle-même brisant ainsi la vitrine qui se trouvait à côté d'elle. Heureusement, personne n'a été blessé suite à cet événement. L'équipe était en ondes lorsque l'événement est survenu. Réécoutez ce moment plutôt... particulier... http://www.cibl1015.com/nouvelles/-/pub/9HcT/content/1226350-une-grue-defonce-le-studio-principal-de-cibl-en-pleine-emission?redirect=%2F&fb_source=message
  9. Montréal (Québec), le 24 janvier 2012 –Alors que C2-MTL s’apprête à réinventer la conférence d’affaires, les organisateurs sont heureux d’annoncer l’ajout de trois nouveaux conférenciers de calibre international à la liste des intervenants qui prêteront leur immense talent à l’événement prévu du 22 au 25 mai prochain. Il s’agit du chef de la direction financière de Google, Patrick Pichette, du directeur de la création de DreamWorks, Bill Damaschke et du cofondateur et architecte principal de MVRDV, Winy Maas. L’équipe est également heureuse d’annoncer la participation de Teressa Iezzi (rédactrice en chef de Co.Create et membre de l’équipe de rédaction chez Fast Company Online), Mitch Joel (auteur et président de Twist Image) et Laurent Simon (professeur agrégé en gestion, HEC Montréal MosaiC), qui font maintenant partie de la liste préliminaire des panélistes. Ces penseurs et acteurs de renommée internationale se joindront à une impressionnante liste de conférenciers, parmi lesquels le réalisateur Francis Ford Coppola, l’ancien président directeur général de Disney, Michael Eisner, la rédactrice en chef de AOL Huffington Post Media Group, Arianna Huffington et le rédacteur en chef de Fast Company, Robert Safian. La liste complète des conférenciers est disponible à c2mtl.com/fr/les-conferenciers. Imaginez une conférence d’affaires… autrement Le sujet de la créativité se devant d’être abordé de manière créative, les organisateurs de C2-MTL s’apprêtent à réinventer l’expérience de la conférence d’affaires. Leur approche sans précédent se traduira entre autres par une contribution inédite du Cirque du Soleil, partenaire créatif de l’événement, un Boot Camp de création, des discussions personnalisées, du contenu évolutif, des conférences multimédias, une exposition immersive, des espaces conceptuels et des ateliers expérientiels destinés à invoquer la collaboration et enflammer la créativité. Le tout se déroulera dans un « village d’innovation » pour lequel le complexe patrimonial industriel New City Gas et ses alentours seront entièrement restaurés pour être transformés en un véritable carrefour créatif conçu spécialement pour l’événement. « Préparez-vous à être surpris », de prévenir le président et chef de la direction du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre. Les participants auront aussi à leur disposition une série d’outils et ressources interactifs, dont une application mobile conçue exclusivement pour C2-MTL. Cette application permettra à une équipe éditoriale présente sur les lieux d’organiser et de personnaliser le contenu des conférences en temps réel et d’offrir aux participants des résumés journaliers personnalisés, enrichis de contenu et de suggestions supplémentaires destinés à alimenter la réflexion. Et bien sûr, l’ADN créatif de Montréal ne manquera pas d’être mis à contribution à travers un programme de divertissement sans précédent, comprenant notamment festivités nocturnes percutantes, expériences gastronomiques surprises et autres performances spectaculaires –après tout, nous sommes à Montréal ! http://c2mtl.com/fr/nouveaux-conferenciers-2012-01/ http://c2mtl.com/fr/les-conferenciers/
  10. Un rendez-vous virtuel divertissant http://signemontreal.com/ Le nouveau spectacle multimédia Signé Montréal, présenté au-dessus des vestiges dans une ambiance immersive inégalée, a inspiré la création d’un site Internet, signemontreal.com, permettant aux jeunes de s’amuser tout en enrichissant leurs connaissances sur l’histoire de Montréal. Complément interactif à une visite au Musée ou en navigation autonome, signemontreal.com mis en ligne par Pointe-à-Callière et réalisé en collaboration avec l’agence Sid Lee propose deux volets : un volet informatif qui retrace les grands moments de l’histoire de Montréal, de l’ère glaciaire à aujourd’hui, et un volet ludique qui offre une immersion au cœur même de l’histoire et de l’archéologie de Montréal à travers 13 différents jeux interactifs. À la fois convivial et divertissant, signemontreal.com présente un spectaculaire voyage dans le temps sur le lieu de la fondation de Montréal et sur l’histoire de cette ville magnifique. Devenez un archéologue virtuel! Que doit faire l’utilisateur du site ? Le volet informatif s’adresse à toute personne soucieuse d’enrichir ses connaissances sur l’histoire de Montréal. On y navigue via de courts textes informatifs tout en admirant une panoplie de visuels sur les personnages, évènements et lieux qui ont fait l’histoire. Le volet ludique, principalement destiné aux jeunes de 12 ans et moins, propose une quête pour découvrir des artéfacts et des portraits de personnalités pour ensuite les ajouter à un carnet de bord. La quête se termine lorsque les 12 objets du carnet ont été amassés et qu’une épreuve finale a été réussie. La fascinante histoire de Montréal au bout de vos doigts Le site présente une ligne de temps remplie de données historiques sur les différentes périodes d’évolution de la ville où artéfacts, portraits et indices ont été dissimulés. L’internaute peut ainsi, tout en s’amusant, consulter une importante source d’informations. Grâce aux différentes sections du site, partant de La présence amérindienne, à Montréal, ville-région dans des réseaux internationaux en passant par l’époque de la Nouvelle-France et de l’Empire britannique, l’histoire de Montréal est présentée de façon accessible, amusante et visuellement riche. Ce nouveau site Internet, créé par l’agence montréalaise Sid Lee, avec les images développés pour le spectacle multimédia par la firme montréalaise Moment Factory et des contenus rédigés et validés par des historiens est un véritable hommage à la métropole en plus d’être un outil pour mieux connaitre et aimer Montréal, en lien avec le spectacle multimédia Signé Montréal. La réalisation du site Internet du spectacle multimédia Signé Montréal a été rendue possible grâce à l’appui financier de la Ville de Montréal et du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine dans le cadre de l’Entente sur le développement culturel de Montréal, du ministère des Affaires municipales, Régions et Occupation du territoire du Québec, de Patrimoine canadien, d’Hydro-Québec et de la Fondation Pointe-à-Callière. http://pacmusee.qc.ca/fr/medias/communiques-de-presse/signe-montreal-le-site-internet
  11. Via ajoute des départs supplémentaires vers Toronto et Ottawa, au départ de Montréal. http://www.montrealitesurbaines.com/ Plus de départs égalent plus de flexibilité pour les voyageurs, qui pourront désormais revenir d'Ottawa en fin de soirée. Les dix départs quotidiens vers Toronto permettront aussi à Via de mieux compétitionner avec les compagnie aériennes, dont Air Canada qui offre des départs aux 30 minutes aux heures de pointes et aux heures le reste de la journée. Via prévoit ajouter davantage de départs quand les améliorations des voies seront complétées.
  12. Le printemps prochain, Cinéplex Divertissement entreprendra la construction d'un cinéma «Première Classe», avec bar-salon, service aux places, fauteuils en cuir, dont certains inclinables, avec tables-plateaux et menu plus diversifié. Baptisé VIP, le concept verra le jour au Quartier DIX30 de Brossard. Construit au coût de 5 millions de dollars, l'édifice de 17 000 pieds carrés conçu par la firme Roux Labelle Architectes comportera quatre salles de 100 à 125 sièges. Les billets pour les projections se vendront 6$ de plus que ceux d'une projection dans les cinémas existants. Et aucune publicité ne précédera la programmation. «Ça va de soi, indique Daniel Séguin, vice-président à l'exploitation pour l'est du Canada et directeur général du Québec. C'est important d'offrir quelque chose de différent pour une meilleure expérience.» On parle d'un sacrifice de revenus de quel ordre? «On ne considère pas ça comme une perte de revenus, répond Daniel Séguin. On va plutôt pouvoir intéresser une nouvelle clientèle.» Planifié pour une clientèle de 18 ans et plus, le concept VIP arrive - Cinéplex espère ouvrir les portes l'automne prochain - alors que le taux d'occupation des salles de cinéma au Québec était de 12,3% en 2010, en légère baisse par rapport à 2009, selon l'Observatoire de la culture et des communications du Québec. Mais il s'inscrit dans les investissements jugés impératifs par les Cinéplex et les concurrents pour améliorer le confort des salles, leur équipement de projection et leur système de son. «L'aménagement intérieur sera complètement différent des autres salles de cinéma, souligne Daniel Séguin. Il y a une clientèle qui recherche ce type de cinéma. On retrouvera les mêmes films et grands écrans que dans une salle conventionnelle, mais l'environnement sera intime et luxueux.» Cinéplex Divertissement possède déjà trois cinémas VIP en Ontario et un en Colombie-Britannique. «Depuis qu'on a lancé ce concept, ce sont les premières salles qui affichent complet, affirme Daniel Séguin. Il y a une niche pour de telles salles. Le passage au numérique nous permet d'offrir de meilleures présentations et une plus grande souplesse dans la programmation. Des événements comme Le ballet du Bolchoï et la série Metropolitan Opera ont attiré de nouveaux clients, dont certains qui ne fréquentaient pas nos salles.» Au Quartier DIX30, le concept VIP aura son édifice distinct tout en étant situé à proximité du cinéma Cineplex Odeon de 16 salles que gère actuellement Cinéplex Divertissement. «C'est stratégique pour nous d'être sur la Rive-Sud, dit Daniel Séguin. Le cinéma de Brossard est un de ceux qui fonctionnent le mieux. Et le Quartier DIX30 est en constante évolution.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201201/24/01-4488706-du-cinema-premiere-classe-a-brossard.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS2
  13. Port de Montréal: une année record grâce à Shell. À cause de la fermeture de la raffinerie Shell, le port de Montréal a bouclé en 2011 la meilleure année de son histoire. «On est revenu à la croissance», a commenté la porte-parole du port, Michèle Beaubien. Mais l'augmentation des importations de produits pétroliers a aussi causé des désagréments, sous la forme de déversements, qui sont à la hausse. Il s'agit toutefois de déversements mineurs, qui ont pu être récupérés avec des boudins, a précisé la porte-parole. Le port de Montréal a reçu 2200 navires en 2011, dont 646 étaient chargés de produits pétroliers. C'est 149 pétroliers de plus qu'en 2010. Le port de Montréal est bien équipé pour faire face à cette augmentation importante des importations de produits pétroliers, selon sa porte-parole. Le trafic pourrait augmenter encore sans problème, a indiqué Michèle Beaubien. La dernière meilleure année d'activités au port de Montréal avait été 2008, avec 27,8 millions de tonnes de marchandises. En 2010, ce tonnage a été de 2,4% plus élevé qu'en 2008, soit 28,5 millions de tonnes. Entre 2010 et 2011, le trafic total a augmenté de 10,1% au port de Montréal. C'est surtout grâce à l'augmentation des vracs liquides, et notamment des produits pétroliers, qui ont bondi de 32% en un an. Cette hausse est directement liée à la fermeture de la raffinerie Shell de Montréal-Est, qui a cessé de raffiner du pétrole brut en octobre 2010 pour devenir un terminal de stockage de produits raffinés. Ces produits (essence ordinaire, diesel, carburant d'avions) sont maintenant importés par bateau d'Europe et d'ailleurs. C'est d'ailleurs un pétrolier transportant des produits raffinés, le Seasprat, affrété par la société maritime German Tanker, qui a été le premier navire à entrer au port de Montréal en 2012. Avant sa fermeture, la raffinerie de Shell utilisait du brut importé par pipeline depuis Portland, dans le Maine. Ce pipeline continue d'approvisionner la seule raffinerie encore en activité à Montréal, celle de Suncor (anciennement Petro-Canada). Shell n'est pas la seule entreprise à importer des produits raffinés. Les indépendants comme Olco le font, et des raffineurs comme Ultramar le font aussi à l'occasion. Les deux raffineries encore en activités au Québec, celles de Suncor et d'Ultramar, produisent plus que ce que la province a besoin. Ces surplus sont acheminés en Ontario, ce qui explique qu'une partie des besoins du Québec est fréquemment comblée par des importations. Comparativement au vrac liquide, les autres catégories de marchandises ont connu une augmentation modeste en 2001. Les conteneurs qui transportent notamment le vin de la SAQ ont augmenté de 3,6%. Le vrac sec, une catégorie qui inclut le minerai, les céréales et le sucre, est en hausse de 7,1% par rapport à 2010. Trafic de marchandises Année / Total (en tonnes) / Variation annuelle 2009 / 24,5 millions / -12% 2010 / 25,9 millions / "5,7% 2011 / 28,5 millions / "10,1% http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201201/23/01-4488366-port-de-montreal-une-annee-record-grace-a-shell.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  14. SNC-Lavalin lorgne les États-Unis. Pratiquement absente des États-Unis à l'heure actuelle, SNC-Lavalin ouvre actuellement des bureaux au sud de la frontière afin d'y prendre pied, plus particulièrement dans le secteur des partenariats publics privés (PPP). Dans un discours prononcé jeudi devant le Cercle finance et placement du Québec, le grand patron du géant de l'ingénierie, Pierre Duhaime, a soutenu que le modèle PPP intéressait de plus en plus les États américains en raison de leur endettement élevé. M. Duhaime a toutefois refusé de commenter un article récent du quotidien torontois The Globe and Mail selon lequel SNC (T.SNC) aurait voulu contribuer au développement d'une unité de l'armée libyenne, des informations que nie l'entreprise. Le dirigeant ne s'est pas rendu disponible pour rencontrer les journalistes. Dans son discours, Pierre Duhaime s'est borné à dire que la situation en Libye «a toujours été un peu, beaucoup complexe» et qu'elle l'est «maintenant encore plus». La multinationale montréalaise a suscité de vives critiques l'an dernier en raison de sa participation à la construction d'un centre de détention pour l'ancien régime de Mouammar Kadhafi. Ce contrat est actuellement en suspens, à l'instar des autres projets de SNC-Lavalin dans le pays. Le pdg a par ailleurs exprimé le souhait qu'Ottawa imite Québec et lance son propre «Plan Nord» afin de favoriser le développement de l'ensemble des régions boréales du Canada. SNC est déjà active dans plusieurs projets liés au Plan Nord du gouvernement de Jean Charest. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/201201/19/01-4487512-snc-lavalin-lorgne-les-etats-unis.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS8
  15. Pénurie dans plusieurs secteurs d'activité. L'Ordre des ingénieurs du Québec n'a pas la réputation de compter un grand nombre de chômeurs, peu importe la spécialité. De plus, certaines catégories d'ingénieurs connaissent leur heure de gloire. Les deux grandes écoles d'ingénierie à Montréal, l'École de technologie supérieure (ETS) et l'École polytechnique font la même constatation: les ingénieurs logiciels et informatiques sont en grande pénurie actuellement. «Nous avons quatre offres de stage par étudiant en génie logiciel et TI», affirme Pierre Rivet, directeur du service de l'enseignement coopératif de l'ETS. «L'an dernier, 78% des finissants dans cette spécialité avaient un emploi avant la fin de leurs études. On avait ensuite 21 postes offerts pour chaque candidat disponible», ajoute-t-il. «Plusieurs étudiants ont choisi le génie informatique et logiciel au début des années 2000, mais avec l'éclatement de la bulle technologique, le secteur a été délaissé», explique Allan Doyle, directeur du service des stages et du placement à Polytechnique. «On parle souvent des emplois à Montréal dans les jeux, mais c'est la pointe! Pratiquement toutes les entreprises ont besoin de gens en génie logiciel», affirme M. Rivet. L'ETS remarque depuis 2008 une augmentation des inscriptions en génie logiciel, mais les besoins demeurent encore importants en ce moment pour le nombre de finissants disponibles. En génie électrique, l'ETS remarque le même genre de pénurie. «Lorsqu'on a 97 finissants pour près de 500 emplois offerts, c'est que quelque chose ne va pas. Trop peu de jeunes s'intéressent à cette spécialité pour répondre aux besoins du marché», affirme Pierre Rivet. Même chose dans les mines Le génie des mines est également un secteur où les finissants sont très recherchés, selon les constatations de Polytechnique. «Le boom minier est de plus en plus fort et il manque d'ingénieurs miniers. La difficulté, c'est que ça nous prend un minimum de quatre ans pour former un ingénieur», explique Allan Doyle. Compte tenu de l'état des routes de la métropole, on peut imaginer que le génie civil est en forte demande. D'ailleurs, au Réseau des ingénieurs du Québec (RéseauIQ), on affirme que la pénurie d'ingénieurs civils est chronique. «Ça durera encore quelques années, le temps de voir de nouveaux ingénieurs terminer leurs études. Nous croyons que le secteur du génie civil sera très fort pour encore 5 à 10 ans grâce aux nombreux gros projets d'infrastructures», affirme Étienne Couture, président du RéseauIQ. Polytechnique remarque également que les ingénieurs industriels sont très recherchés. «Le secteur manufacturier est en recul, mais il a besoin d'ingénieurs industriels pour restructurer les usines et améliorer la productivité», affirme M. Doyle. Toujours très populaire auprès des jeunes, le génie mécanique est aussi en bonne position. «Le taux de placement est très élevé. Il faut dire qu'il n'y a pas un secteur du génie qui va mal», affirme Pierre Rivet. «D'autant plus qu'avec le génie-conseil qui se développe toujours, il y a énormément de possibilités pour les ingénieurs de différentes spécialités», ajoute M. Doyle. En avril, Polytechnique verra ses premiers finissants terminer leurs études en génie aérospatial et en génie biomédical. «Nous croyons que nous aurons de bons taux de placement, affirme M. Doyle. Le secteur de l'aérospatiale est fort à Montréal et les hôpitaux ont grand besoin d'ingénieurs maintenant en raison de l'équipement ultra sophistiqué. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/portfolio/ingenierie/201201/18/01-4486925-penurie-dans-plusieurs-secteurs-dactivite.php
  16. Un nouvel hôtel ouvrira ses portes d’ici décembre 2012 dans le centre-ville de Montréal. Il s’agit du Point Zero Hotel, qui sera situé à l’emplacement de l’ancien hôtel Tour Centre-Ville. L’immeuble complètement rénové comprendra 192 chambres et suites, des salles de réunion, une piscine, un sauna, un bar de glace, un restaurant ainsi qu’un bistro-café. http://www.hotelpointzero.com/
  17. (Montréal) La petite grappe aéronautique de Bromont s'agrandit avec l'implantation d'un fournisseur du motoriste GE Aviation, Ellison Surface Technologies. Au cours d'une conférence de presse qui aura lieu ce matin à Bromont, Ellison, une entreprise américaine qui se spécialise dans le traitement de surface de pièces aéronautiques, signera un contrat avec GE Aviation et annoncera l'implantation d'une usine. Cette implantation entraînera la création d'une quarantaine d'emplois à Bromont d'ici la fin de 2012. Ellison bénéficiera d'une aide financière du gouvernement québécois. Le conseiller industriel du centre local de développement de Brome-Missisquoi, Michel Brisson, a expliqué qu'Ellison Surface Technologies effectuait déjà du traitement de surface d'aubes et d'ailettes de moteurs pour GE Bromont, mais à partir de ses installations de North Clarendon, au Vermont. Or, cette façon de faire nécessite le transport de pièces entre Bromont et North Clarendon sur une base quotidienne. GE a donc demandé à Ellison de se rapprocher de son usine de Bromont dans un rayon de 50 kilomètres. «Ellison a choisi d'aller à Bromont, a noté M. Brisson. Une fois installée sur place, l'entreprise pourra accéder à un marché plus vaste, comme Pratt & Whitney Canada et Rolls-Royce.» Le conseiller a indiqué qu'Ellison entendait également effectuer de la recherche et développement à Bromont afin de mettre au point d'autres technologies de traitement thermique de surface. «C'est un apport de technologie intéressante pour la région», a déclaré M. Brisson. Ellison ne manque pas d'ambition. Sur son site internet, l'entreprise exprime sa vision: «Ellison Group aspire à être la meilleure et à avoir un impact sur les gens pour l'éternité.» Elle explique qu'elle veut être reconnue pour son intégrité sans compromis, qu'elle veut être une source de bienfaits pour ses employés et qu'elle agit comme si, ultimement, elle était responsable de ses actes devant Dieu. La petite grappe aéronautique de Bromont est centrée autour de GE. L'usine du motoriste, qui emploie environ 800 personnes, fabrique notamment des aubes et des ailettes pour le moteur qui propulse le Boeing 737. GE est sur le point d'annoncer d'autres mandats. Quelques sous-traitants de GE sont installés à Bromont, comme le Groupe Meloche, qui fait de l'usinage de petites pièces dans l'ancienne usine de Hyundai. M. Brisson a cependant mentionné que la principale industrie de Bromont demeurait la micro-électronique, avec des entreprises comme IBM, Teledyne-Dalsa et le Centre de collaboration Miqro Innovation (C2 mI). Ce secteur emploie environ 4000 personnes à Bromont. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/201201/19/01-4487327-aeronautique-une-nouvelle-usine-pour-bromont.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS3
  18. CAE décroche une série de contrats d'une valeur totale de 100 millions $ La Presse Canadienne 18 janvier 2012 à 09:08 MONTRÉAL - Le fabricant montréalais de simulateurs de vol CAE (TSX:CAE) a annoncé mercredi qu'il a remporté une série de contrats militaires d'une valeur de plus de 100 millions $, notamment de la part du ministère de la Défense nationale du Canada. http://www.ledevoir.com/en-continu#16326127
  19. Lead team of international researchers. MONTREAL - An international team of researchers led by scientists from the Montreal Neurological Institute and Hospital at McGill University have discovered the origins of a rare neurological disease known as ARSACS first appears in children and exists almost exclusively in Quebec. The discovery, published in this week’s issue of the Proceedings of the National Academy of Sciences of the United States of America and singled out for special mention by the American Society for Cell Biology, revealed the disease is linked to a defect in the function of mitochondria, the energy-producing power plants of cells, which gives it a link to more common neurological diseases like Parkinson’s and ALS. This brings hope the extensive research done on those diseases will advance treatment of the rare disorder and further research in the more common diseases. “We think that by studying this disease we will not only bring treatment to those patients, but may also help to better understand how other neuro-degenerative diseases like Parkinson’s – and to a lesser degree, Alzheimer’s – function,” said Dr. Bernard Brais of the Neuro. Autosomal Recessive Spastic Ataxi of Charlevoix-Saguenay is so named because it was diagnosed among descendants of roughly 10,000 French settlers who emigrated to that region of New France. It was first recognized as a separate neurological disease in 1979. Victims show symptoms between the ages of 2 and 6 years old that include trouble walking and clumsiness. By their early 40s, sufferers must use wheelchairs and have trouble speaking. Most die in their 50s. The disease affects about 300 people in Quebec, and another 100 worldwide. In 2000, the gene that was mutated in patients was identified. All genes make proteins that carry out a certain function, but scientists didn’t know what the mutated proteins did. This year, a team of 30 scientists working at nine laboratories worldwide finally discovered that the mitochondria in neurons (cells that carry nerve impulses), particularly those found in the brain, were mutated and would shut down, leading to neurological degeneration. “You can’t even imagine what to do in terms of therapy until you know at the cellular level what’s going on,” said Dr. Peter McPherson of the Neuro. Scientists can now try different medications and chemical treatments to slow or cure the disease. Most importantly, because links were found to diseases like Parkinson’s and ALS that are also affected by mitochondrial defects, the multitude of research on those diseases, and the treatments used, can be applied to ARSACS. “For us, it definitely gives hope,” said Sonia Gobeil and Jean Groleau, whose two children were diagnosed in 2006. The Montreal couple have raised more than $2 million for research. Their children, now 6 and 8, are still fine but “we know where its going,” Gobeil said. Anything that can help to slow or cure the disease is key, the couple said. This week’s announcement was a huge step. Read more: http://www.montrealgazette.com/news/Montreal+scientists+discover+origins+rare+neurological+disease/6005135/story.html#ixzz1jkNPkYI5
  20. Relativisons: 5,4 millions de chômeurs en Espagne samedi 14 janvier 2012, 17:06 Le chef du gouvernement conservateur espagnol, Mariano Rajoy, a estimé samedi à 5,4 millions le nombre de chômeurs en Espagne fin 2011, une chiffre “astronomique”, a-t-il dit, qui confirme la progression alarmante du nombre de sans-emploi dans le pays. “Cette année (2011) va se terminer avec 5,4 millions” de chômeurs, a déclaré M. Rajoy, soit plus de 400.000 chômeurs supplémentaires par rapport à la fin septembre, lorsque l’Espagne affichait déjà un taux de chômage de 21,52%, le plus élevé du monde industrialisé. On parle d'un taux de 50 pct chez les moins de 26 ans.Et c'est le taux officiel car beaucoup de gens ne sont plus indemnisés.En Grèce c'est encore bien pire.Portugal, Irlande, Italie, Uk, France, Belgique ...la liste est longue.
  21. C'est la société qui a fait implosé le WTC à NYC qui s'en chargera... Sur le WTC 7 ils étaient très bons surtout sans avion avant...
  22. Elle vient de Montreal 2025(je viens de rajouter la référence)mais de facebook: https://www.facebook.com/photo.php?fbid=10150457460571331&set=a.116923751330.111543.104039026330&type=1&theater
  23. La fin des jobs de Noel, ça repart déja à la hausse... Nette hausse des inscriptions au chômage aux États-Unis. Les nouvelles inscriptions au chômage ont nettement progressé aux États-Unis au cours de la première semaine de l'année, selon des chiffres publiés jeudi par le département du Travail. Selon le ministère, 399 000 demandes d'allocations de chômage ont été déposées dans le pays du 1er au 7 janvier, soit 6,4% de plus que la semaine précédente, et bien plus que ne le pensaient les analystes, dont l'estimation médiane donnait 375 000 nouveaux chômeurs. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201201/12/01-4485103-nette-hausse-des-inscriptions-au-chomage-aux-etats-unis.php
  24. CAE vend cinq simulateurs pour 65 millions en Asie. La multinationale montréalaise CAE (T.CAE) a annoncé jeudi la signature de contrats d'une valeur de 65 millions de dollars, portant sur la vente de cinq simulateurs de vol à des clients en Asie. Parmi ces contrats figurent un Airbus A320 et un Boeing 737 à Air China, un Boeing 737 à la compagnie aérienne chinoise Shandong Airlines, un A320 au centre de formation de la nouvelle coentreprise Cebu Pacific-CAE aux Philippines et un A320 pour l'école de pilotage d'Alpha Aviation Group aux Philippines. CAE a également reçu des contrats de la part de plusieurs compagnies aériennes pour des dispositifs intégrés d'entraînement aux procédures CAE Simfinity et des services de mise à niveau de simulateurs. Ces contrats portent à 30 le nombre de simulateurs de vol dont CAE a annoncé la vente depuis le début de l'exercice 2012. CAE est un chef de file mondial en modélisation, simulation et formation pour les secteurs de l'aviation civile et de la défense. La société compte plus de 7 500 employés dans plus de 100 sites et centres de formation répartis dans plus de 20 pays. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/fabrication/201201/12/01-4485155-cae-vend-cinq-simulateurs-pour-65-millions-en-asie.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS13
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