Aller au contenu
publicité

bxlmontreal

Membre
  • Compteur de contenus

    1 247
  • Inscription

  • Dernière visite

Tout ce qui a été posté par bxlmontreal

  1. Unreal Underground: the World’s 10 Coolest Subway Systems. http://www.thecoolist.com/the-worlds-10-coolest-subway-stations/
  2. bxlmontreal

    Place Bell - 2017

    Laval to go ahead with controversial $120-million sports complex MONTREAL - City officials announced Monday that Laval plans to go ahead with a $120-million sports complex. The project is slated to be completed by 2014 and will include a 10-thousand-seat rink, which is also to be used for concerts. There will also be two, smaller rinks. The mayor of Laval called it a dream come true for his city and described it as a potential cultural and sporting hub. Gilles Vaillancourt said the facility will be paid for with funds from the provincial government, Laval's budget surplus and the private sector. He promised there would be no tax increase for Laval residents to cover the construction costs. Emilio Migliozzi of the opposition group Mouvement Lavallois said the project is a frivolous way to spend taxpayers' money. The group is calling for a referendum on the issue. Called the future "Place Bell," the arena is to be managed by Envenko, a promoter that also manages Montreal's Bell Centre. Read it on Global News: Global Montreal | Laval to go ahead with controversial $120-million sports complex http://www.globalmontreal.com/laval+to+go+ahead+with+controversial+120-million+sports+complex/6442579974/story.html
  3. Focus Montreal guests include Marc Petit from Autodesk Media and Entertainment, Nicolas Darveau-Garneau from Google Quebec and Loris Krebs from Byond the Rack. Hosted by Richard Dagenais. http://www.globalmontreal.com/video/focus+montreal+jan+28/video.html?v=2192835776&p=1&s=dd#video
  4. Quantic Dream songe à déménager à Montréal. Quantic Dream, l'éditeur français derrière le jeu vidéo Heavy Rain et un des pionniers français de la capture de mouvements tant pour le jeu que pour le cinéma, songerait à déplacer ses pénates de Paris vers Montréal, si le gouvernement français ne lui concède pas des avantages fiscaux comme ceux en vigueur au Québec. Pour ce faire, le gouvernement français devra au moins prolonger son propre programme de crédits d'impôt. Ces crédits, pouvant atteindre 20 % des coûts de production pour un titre donné, ont officiellement pris fin le mois dernier. Prolonger ce programme ne sera toutefois pas tâche facile. Pour y arriver, Paris devrait puiser dans des coffres qui, crise financière oblige, ne sont pas loin d'être à sec. La France devrait par ailleurs se soustraire aux exigences de l'Union européenne, qui a imposé un arrêt des crédits d'impôt pour le secteur du jeu vidéo, entre autres, estimant ces crédits injustes envers les autres pays membres de l'union. L'enjeu n'est pas mince pour la France. Si l'Hexagone ne prolonge pas son programme de crédits d'impôt, ce sera un au revoir Paris pour le studio de 75 employés que Quantic Dream possède dans la Ville lumière. Du moins, si on se fie aux propos tenus ces derniers jours par son coprésident Guillaume de Fondaumière. Sur le site de GameIndustry.biz, M. de Fondaumière explique que «comme l'indiquent les autorités montréalaises (sic), le rendement sur leur crédit d'impôt de 37,5 % justifie à lui seul l'existence de ce programme depuis une quinzaine d'années. En France, les ministères de la Culture et de l'Industrie le savent et souhaitent conserver leurs propres mesures.» Une des cinq plus importantes villes de l'industrie des médias numériques au monde, Montréal compte une cinquantaine d'entreprises spécialisées, qui emploient quelque 7000 professionnels. Encore l'an dernier, au moins cinq nouveaux éditeurs ont annoncé leur ouverture à Montréal. Au-delà des crédits d'impôt, le démarchage des porte-parole de l'industrie semble également faire mouche. «Plusieurs pays nous approchent sur une base régulière, et si nous ne pouvons plus bénéficier d'un tel crédit d'impôt en France, nous n'aurons pas d'autre choix que de déménager certaines portions de notre entreprise dans un de ces pays», conclut d'ailleurs le coprésident de Quantic Dream. http://technaute.cyberpresse.ca/jeux-video/201202/10/01-4494663-quantic-dream-songe-a-demenager-a-montreal.php
  5. Sans immigration tu n'auras plus de croissance du tout c'est bien simple.Avec les babyboomers qui vont partir en retraite il va manquer + de 600.000 postes d'ici 2020/2022.Donc c'est une nécessité et puis n'oublions pas que certains immigrants viennent étudier et ensuite restent ici, d'autres sont immigrants entre- preneurs/investisseurs et d'autres viennent avec de belles expériences et formations.Ce qu'il faut moins c'est des immigrants non qualifiés et des faux réfugiés qui souvent ne sont pas qualifiés ici même s'ils l'étaient dans leur pays(genre médecin Iranien qui fait le taxi à Montréal car son diplôme n'est pas valable).Mais ils sélectionnent mieux qu'avant.Le gros souci c'est les regroupements familiaux qui apportent beaucoup de gens peu formés et ou inactifs, mais bon c'est un souci de rester humains aussi.On peut pas non plus interdire à un immigrant intégré qui a une job, de faire venir sa famille proche.
  6. McGill prévoit se joindre à l'ÉTS pour établir un centre de recherche dans Griffintown: le Quartier d'innovation (QI) devrait au départ prendre la forme de 2 bâtiments, un pour chaque université. Les partenaires espèrent créer un effet d'entraînement et attirer les entreprises faisant de la recherche dans le quartier. http://www.quartierinnovationmontreal.com/ http://www.mcgilltribune.com/news/mcgill-reveals-more-about-future-quartier-d-innovation-1.2748613?pagereq=1#.TzVDUcgU6Jp Source: http://www.montrealitesurbaines.com/
  7. Et voici plein de nouveaux Montréalais en puissance... http://www.mri.gouv.qc.ca/portail/_scripts/Actualites/ViewNew.asp?NewID=10177&Menu=default&lang=fr&strIdSite=bru http://www.mri.gouv.qc.ca/PDF/actualites/NouvAffiche%20Bruxelles%20International%20Day.pdf Pas mal fait ce site: http://www.immigration-quebec.gouv.qc.ca/placeauquebec/fr/
  8. Finalement on a une édition à part comme si on était déja un 'pays'.Cas unique au monde. Une édition Ecosse devrait suivre car les centres d'intérêts sont différents malgré une langue commune chez les UK.
  9. B2B Montréal 2012 Ce forum d’affaires international, spécialement conçu pour les PME, est un investissement offrant un excellent rapport qualité-prix pour le développement de votre entreprise. Se déroulant sur deux jours, vous pourrez obtenir jusqu’à 14 rendez-vous de 30 minutes avec des entreprises votre choix. De plus, le Plan Nord s’invite à B2B Montréal 2012; les enterprises participantes pourront créer des partenariats avec des entreprises, municipalités et communautés œuvrant sur le territoire du Plan Nord et plus particulièrement celles de la Nation Crie. Bénéficiant de l’expertise et de l’expérience unique de Futurallia, ce forum de jumelage d’entreprises donne lieu à des échanges fructueux qui débouchent inévitablement sur des opportunités d’affaires. http://www.b2bmontreal2012.com/fr/index.php
  10. Quel aéroport est aussi coloré? C'est plutôt le Palais des congrès "déguisé" pour le tournage!
  11. Le soccer monte en force au Québec surtout à Montréal, chez les immigrants qui n'ont jamais connu d'autre sport. Je me souviens il y a bien longtemps d'une partie au big O entre le Manic et le Cosmos de NYC..devant un 60.000 spectateurs ou pas loin.C'était magique.La suite fut nettement moins du même niveau. Je n'ai aucune idée de la valeur de l'équipe de l'Impact, en cette première saison par contre.
  12. Arianna Huffington casts her Net ever wider. Arianna Huffington's life reads like a salacious Vanity Fair profile, the contradictions of her power splayed out on every glossy page, inviting controversy. She's a millionaire who built her Huffington Post online media empire - sold to AOL a year ago for $315 million - on the unpaid work of more than 9,000 bloggers, one of whom is now suing on their behalf for one-third of the value: $105 million. She was a conservative commentator in the 1990s who recycled herself as a freethinking independent (with strong liberal views) for the 21st century. She was married for a decade to a Republican congressman, Michael Huffington, who turned out to be bisexual and started campaigning for gay rights. Author of a dozen non-fiction books, she has been accused of plagiarizing passages for three of them (including biographies of Maria Callas and Pablo Picasso). Since last November, she's being sued by two consultants who say she stole the Huffington Post idea from them back in 2004 (it launched in 2005). What else? She's a woman who has come from far, has hobnobbed with the greats and is known by the company she keeps. A brief sketch of her career arc gives an idea of the distance travelled. Born in Greece (née Stasinopoúlou); educated in England (Cambridge University); longtime lover of the late British journalist Bernard Levin (who was twice her age and, for a spell, a fellow follower of the Indian mystic Rajneesh); a New Yorker since the early 1980s and U.S. citizen since 1990; political TV comedy writer in the 1990s who worked with Al Franken and Bill Maher; unsuccessful indie candidate for California governor in 2003; parent (with her ex, Michael) of two daughters, both now in their early 20s. These days, Huffington is in expansion mode, spreading her media brand - a blend of original reporting and aggregated news and opinion from websites all around the world - to Canada, Europe and beyond. With a staff of 200 employees and its thousands of bloggers, HuffingtonPost.com gets 35 million unique visitors a month, more than the New York Times. Huffington Post Canada, the service's first foreign edition, launched online last May and, with its staff of 20 and bloggers ranging from David Suzuki to Conrad Black, has a monthly audience of more than 1.8 million. A British edition launched last July, Le Huffington Post launched in France last week, Le Huffington Post Québec launches Wednesday, a Spanish edition will begin the third week of March and an Italian one in April. There are also negotiations to start three other foreign editions this year, in Germany, Brazil and Turkey. Huffington, 61, will be in Montreal Wednesday for the launch of the French-language service here. And, true to form, she'll arrive amid a bit of controversy. As The Gazette reported this week, about a dozen Quebec luminaries - politicians like Louise Harel and Pierre Curzi, intellectuals like Normand Baillargeon, environmental activists like Steven Guilbeault - had been lined up to blog for Huffington Québec but have now withdrawn their offers to write for free. Some said they were too busy, but the reason most gave was that they preferred to be paid for their work. When I caught up with her a week ago after the launch in France, Huffington was in a typically upbeat mood, deflecting criticism in her distinctive Greek accent and nasally voice that boomed down her BlackBerry line from Davos, Switzerland. She was attending a supper of the Schwab Foundation for Social Entrepreneurship on the eve of the annual meeting of global leaders at the World Economic Forum. I began by asking Huffington what she plans for the new Quebec site. How will Huffington Post Québec be different from Huffington Post Canada or Huffington Post in France? Every different province or country will be rooted in the culture of the province or country, edited by local journalists. Of course, we are going to be able to leverage the French site and translate stories that are of local interest, like the U.S. election, and lifestyle stories that are more universal. We now have 50 sections in the U.S. and whether it is in style or women or books or parenting, the whole point of the site is very much to embrace the country or the province - in this case, embracing Quebec and the Québécois and what they love. And what do the Québécois love? Do you know? There's isn't just one thing - it's a very varied community. Am I right about that? Yes, but we have certain preoccupations here that are different from the rest of Canada's. Yes, of course, and the Québécois want to read about their own politicians, which is why among the many bloggers we've recruited there's Pierre Curzi (note: who in fact has since bowed out), Yves-François Blanchet, Jamie Nichols, actors like Charlotte Laurier, Évelyne de la Chenelière (note: who has also bowed out), Micheline Lanctôt, musicians. So you know, part of it is hearing from their own people and part of it is addressing their own preoccupations. You're travelling a lot these days? I am, but I think it's worth it. This is the year for us to grow internationally and it's really exciting to be in each country as we launch. We've launched Canada, which is doing incredibly well; we're launching in the U.K., then there's Spain in maybe the third week of March, then Italy in April. We're still talking with Germany, Turkey and Brazil - we don't have finalized partnerships there, but we are in conversations. Tell me about the HuffPost business model - as an aggregator and also producer of original content, including nonpaid bloggers - and what that means for journalism in the 21st century. Well, first of all, the Huffington Post is now both a journalistic enterprise and a platform. You know, we started by doing a lot more aggregating, but now we have almost 400 professional full-time journalists - reporting, breaking stories. We are here, for example (in Davos), with our executive business editor (Peter S. Goodman), who has done some of the best coverage in the States around poverty and how this is impacting the Republican primaries; when we had our political reporter covering the primaries in South Carolina, (Goodman) was covering what was happening with the issue of downward mobility there, which has been one of the issues that hasn't been adequately covered, the fate of the middle class. So what I'm saying is that we don't just do the conventional reporting that we have to do, the bread and butter, covering what everybody's covering, like the State of the Union, or in the case of Quebec, I'm sure covering the Plan Nord, the plan to exploit natural resources in northern Quebec. Whatever the Arianna Huffington issues of the moment are, we'll have to cover them obsessively, because they're of tremendous interest. But we'll need to go to the big issues, and stay on them, and basically generate interest in them. That's what we've done with series like Beyond the Battlefield, which covers the state of the returning vets from the wars in Afghanistan and Iraq. So my point is that to describe the Huffington Post as just an aggregator now is just behind the times. You plan to have seven employees in Quebec. Will that grow over time? Of course. You know, when we launched the Huffington Post (U.S.) in May 2005, we had five staff. So the whole goal is to start small and grow, become profitable and attract advertising. In our case, that doesn't just mean advertising based on CPMs (cost per mile, or 1,000 visitors), but sponsorships, like an entire section we have now with Johnson & Johnson on global motherhood, and sponsorship of a good-news section, and sponsorship of a video series on social responsibility and, since the launch in France, sponsorships by L'Oréal and Orange. It's a different model. Our content is free, we don't have any plans to charge for anything, but the advertising that we bring in now moves way beyond the usual CPM model. How do you avoid the two coming too close together: sponsorship and what you're actually covering? Well, obviously that is very important and the key here is transparency. If we have a section that is sponsored, it transparently says so; there is no mixing up of the content, so no one is left in any doubt as to whether the section is sponsored or not. Tell me about yourself. Did you ever imagine you'd be flying around the world as a journalism executive? You mean when I was growing up in Athens, did I ever think one day I would become a blogger and that one day the Huffington Post would grow and make more babies around the world? No, I don't think so. Don't forget, I was pretty old when we launched the Huffington Post; I had already written a dozen books; I was 55 and now I'm 61. It shows that it's never too late to get involved with the Internet - or any start-up. What electronic devices do you use? I'm a BlackBerry addict. At the moment I have four BlackBerrys in front of me, because I have one for every provider for where I travel. I'm calling you on one. And of course, I have an iPad. But the one I really depend on is my BlackBerry. I have to send you a piece I wrote on the time I lost my BlackBerry in the Mediterranean. It fell into the sea. You just launched in France. How did the appointment of editorial director Anne Sinclair (ex-TF1 TV news host and wife of disgraced ex-International Monetary Fund managing director Dominique Strauss-Kahn) go over with the media there? Oh, actually, amazing. We were all surprised by how positive the reception was at the press conference, where there were 260 journalists and two dozen cameras and television cameras. She's a professional journalist with tremendous cachet in France, and she herself had developed the business strategy of TF1 when she was there in the 1990s, and then had her own blog during the 2008 presidential race. Beyond that, I think there was something else that we were surprised by: If you go to her Facebook page in France, there are all these dozens of women who, even before we launched, came on her page and went (apropos of the DSK scandal): "Go, Anne, it makes it easier for us to get up after an ordeal and get back into the arena." Very often, especially for women, after a setback or a defeat or whatever it is, we want to hide ourselves under the covers. She instead has entered the arena again and been passionate and incredibly dedicated to learning everything and being involved in every aspect of the launch. You seem to have a knack for finding high-profile people to work for you. Is that part of the secret of your success? Well, we have high-profile people and we have thousands of people nobody had heard of before. And that's another thing that I love: being able to provide a platform to people who may already have their own blogs but who can cross paths with us and amplify their voices. A lot of the blogs we have in France now are people like Catherine Cerisey, who's tracking her own struggle with breast cancer, and suddenly this is getting all this traffic that is attracting attention to her own story. Arianna Huffington will launch Le Huffington Post Québec with a news conference Wednesday at 9:30 a.m. at the Gault Hotel in Old Montreal; she'll be joined by her Quebec editor, Patrick White, and two top executives of parent company AOL Canada. From noon to 2 p.m., she'll attend a luncheon at the Fairmount Queen Elizabeth Hotel and speak on How Social Media Are Transforming the World; the event is organized by CORIM (Montreal Council on Foreign Relations); tickets start at $75 and advance registration is required; for more details, visit http://www.corim.qc.ca. A WINDOW ON LE HUFFINGTON POST QUÉBEC Owned by: AOL Huffington Post Media Group Language: French Headquarters (until April): 24th floor of 1000 de la Gauchetière St., Montreal Editor: Patrick White Staff: 7 Freelancers: 15 Bloggers: 120 Some who will blog for free: Charlotte Laurier, Claude Carignan, Louis Bernard. Some who decided not to blog: Louise Harel, Jean Barbe, Évelyne de la Chenelière Launch date: Wednesday Expected audience: 200,000 unique visitors per month Percentage of Quebecers who have never heard of Huffington Post: 82 (November 2011 poll) Sources: Huffington Post, The Gazette Read more: http://www.montrealgazette.com/news/Arianna+Huffington+casts+ever+wider/6101339/story.html#ixzz1lQYt06nG
  13. La localisation de l'Altoria est excellente, je ne me fais pas de soucis pour eux.
  14. Je serai à Montréal cet été, je compte bien voir deux parties au nouveau stade Saputo.
  15. Le Fonds de solidarité de la FTQ a acquis une participation minoritaire dans l'Impact de Montréal, a annoncé l'équipe vendredi. Le fonds injectera 7,5 millions $ en capital-actions et en commandite. C'est l'entreprise Free-2-Play, qui gère l'équipe de soccer, qui profitera de l'investissement. Yvon Bolduc, président et chef de la direction du Fonds de solidarité FTQ, a déclaré que les Montréalais étaient de plus en plus nombreux à suivre les matchs de l'Impact. Selon lui, cet investissement sera bénéfique pour les actionnaires du fonds, tout en contribuant à la revitalisation du quartier. Par ailleurs, Joey Saputo, président du club, a aussi annoncé que 25 000 billets ont été vendus pour le match d'ouverture local au Stade olympique, le 17 mars. Selon M. Saputo, la contribution du Fonds de solidarité permettra à l'Impact de mieux réussir son entrée au sein de la Major League Soccer (MLS). http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/sports-loisirs-et-divertissements/le-fonds-de-solidarite-ftq-investit-75-m-dans-l-impact-de-montreal/540515
  16. Les Canadiens sont sortis indemnes de la crise des prêts hypothécaires à risque traversée par le voisin américain, mais aujourd'hui le niveau record d'endettement des ménages et la flambée des prix des appartements font surgir le spectre d'une bulle immobilière. "Bien que la situation du Canada soit différente de celle des Etats-Unis en 2006, la vague continue de construction d'appartements et les prix des maisons à des niveaux incompatibles avec la croissance des revenus des ménages soulèvent des questions...", notait cette semaine l'économiste en chef de la Banque de Montréal, Sherry Cooper. L'année 2006 avait marqué l'apogée de la bulle immobilière aux Etats-Unis, avant l'explosion de la crise des "subprimes". Les défauts de paiement de ces crédits hypothécaires, consentis à des emprunteurs peu solides, avaient provoqué les premières faillites de banques, enclenchant une crise mondiale. Depuis 2006, les prix des appartements et maisons ont progressé de 30% au Canada avec une pointe de 54% à Vancouver, métropole de la côte Pacifique où le prix moyen d'un appartement avoisine 780.000 dollars canadiens (590.000 euros), selon les données de l'Association canadienne des courtiers immobiliers. Les villes cosmopolites de Toronto et Vancouver sont les deux principales sources de préoccupations sur le marché immobilier canadien. Un pavillon dans un secteur recherché de Vancouver peut facilement dépasser le million de dollars, un appartement sans cachet à Toronto se négocie à un demi-million. "Défiant toute logique, le marché de l'immobilier résidentiel au Canada a surpassé les attentes en 2011", résumait récemment le plus grand courtier immobilier du pays RE/MAX. "Le secteur immobilier au Canada continue de caracoler en tête dans le groupe des pays développés", profitant de taux presque plancher, note la banque Scotia. Si les prix ont flambé, les propriétaires se sont endettés. Selon la Banque du Canada, l'endettement des ménages atteint actuellement un niveau record, à 153% du revenu disponible, un niveau flirtant avec celui des Etats-Unis lors de l'éclatement de la bulle immobilière. Et les prêts immobiliers représentent les deux-tiers de l'endettement total des ménages, selon la Société canadienne d'hypothèque et de logement (SCHL), premier assureur hypothécaire du pays. Une éventuelle hausse du taux directeur ou des pertes massives d'emplois, avec une économie mondiale atone, pourraient faire dévisser le secteur immobilier, les propriétaires les plus vulnérables devenant incapables d'assumer le service des hypothèques contractées sur des résidences achetées au prix fort. Dérive des crédits immobiliers? Les banques canadiennes proposent actuellement des taux hypothécaires concurrentiels à 2,99% sur fond d'un gel attendu jusqu'en 2013 du taux directeur de la banque centrale à 1%, ce qui facilite l'accès à la propriété malgré la flambée des prix. Dans des documents internes publiés cette semaine dans la presse, le Bureau du surintendant des institutions financières (BSIF), le régulateur du secteur au Canada, s'inquiète du comportement "de plus en plus libéral" des grandes banques canadiennes qui concèdent des prêts hypothécaires à des particuliers sans que ces derniers aient à prouver leurs revenus. Certains prêts, accordés notamment aux travailleurs autonomes et immigrants récemment arrivés au Canada "présentent quelques similitudes avec les crédits +subprime+ sur le marché américain", indiquait le BSIF. "C'est un sujet d'inquiétude", a reconnu le ministre des Finances, Jim Flaherty. Dans la foulée de la crise des "subprime", Ottawa a resserré les conditions d'accès du crédit en ramenant de 40 ans à 30 la durée maximale d'une hypothèque, et en imposant une mise de fonds initiale de 5%. Et devant la crainte d'une contraction soudaine du secteur immobilier, des voix s'élèvent pour restreindre à nouveau les conditions d'accès à la propriété. http://fr.news.yahoo.com/flamb%C3%A9e-vertigineuse-prix-limmobilier-au-canada-160946377.html
  17. Quebecor lance la société de jeux vidéo BlooBuzz. Quebecor (T.QBR.B) a annoncé jeudi s'être associé à un groupe d'entrepreneurs pour lancer une société de jeux vidéo spécialisée dans le développement de titres pour les appareils mobiles. Le conglomérat médiatique montréalais a précisé s'être emparé d'une participation majoritaire dans la nouvelle société, baptisée BlooBuzz. Quebecor Media s'allie ainsi à huit entrepreneurs qui ont travaillé aux Wendigo Studios, à Saguenay, où ils ont connu un certain succès grâce à la franchise de jeux vidéo «Timebuilders». Les jeux pour appareils mobiles se sont taillé, ces dernières années, une place de plus en plus importante dans l'industrie des jeux vidéo, plusieurs utilisateurs s'étant éloignés des plateformes traditionnelles comme les systèmes Xbox et PlayStation pour migrer vers les appareils comme les téléphones intelligents, les tablettes électroniques et les consoles portables. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/medias-et-telecoms/201202/02/01-4491949-quebecor-lance-la-societe-de-jeux-video-bloobuzz.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS22
  18. Baisse du chômage de 0.3 pct au Québec, hausse au Canada. Plus de chômeurs au Canada, moins au Québec. Les nouvelles étaient meilleures au Québec où 9500 emplois se sont ajoutés. Le taux de chômage a diminué de 0,3 point de pourcentage dans la province pour s'établir à 8,4 pour cent. L'emploi en Ontario a peu varié. Cependant, une augmentation du nombre de personnes à la recherche de travail a fait monter de 0,4 point de pourcentage le taux de chômage, qui est passé à 8,1 pour cent... http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/canada/201202/03/01-4492151-plus-de-chomeurs-au-canada-moins-au-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO4_la_2343_accueil_POS1
  19. Les retombées de l'acquisition de 15hélicoptères militaires Chinook vont se faire ressentir à Mirabel. Boeing, constructeur du Chinook, a attribué à L-3 MAS un contrat pour la préparation de documents techniques pour le soutien en service des appareils. Ce succès arrive cependant au moment où la direction de l'entreprise de Mirabel est en plein bouleversement. Il y a deux semaines, la société mère, l'entreprise américaine L-3 Communications, a remercié le président de L-3 MAS, Sylvain Bédard, ainsi que son vice-président au développement des affaires, Richard Bastien. L-3 Communications a nommé le vice-président aux finances de L-3 MAS, Michel Boulay, président par intérim. La nomination d'un président définitif est imminente. Cette incertitude a eu un effet sur les négociations entre l'entreprise et les syndiqués membres de la section locale 712 de l'Association internationale des machinistes et des travailleurs de l'aérospatiale (AIMTA-FTQ). Environ 180 des 800 employés de l'usine de L-3 MAS à Mirabel sont membres de ce syndicat et sont sans contrat de travail depuis un an. «Les négociations ont été mises un peu de côté à cause de cela, a déclaré le président de la section locale 712, Yvon Paiement, dans une entrevue téléphonique avec La Presse Affaires. Le comité de négociation était en attente.» L-3 Communications, entreprise de New York, se spécialise dans les systèmes militaires de surveillance, de reconnaissance et de communications. Sa filiale L-3 MAS (Military Aviation Services), ancienne filiale de Bombardier, se concentre notamment sur la maintenance et la modernisation d'avions militaires. Ni Boeing ni L-3 MAS n'ont révélé hier la valeur du contrat lié aux appareils Chinook. Boeing a annoncé hier deux autres contrats liés au soutien en service de ces appareils: l'un d'eux porte sur l'analyse du soutien logistique des appareils, un contrat attribué à une autre filiale de L-3 Communications, L-3 Electronic Systems, située en Nouvelle-Écosse. Le troisième contrat a été accordé à Raytheon Canda, à Calgary, pour le soutien de la chaîne d'approvisionnement. D'autres contrats à venir Boeing a fait savoir qu'elle attribuera d'autres contrats à des firmes canadiennes d'ici à la fin de l'année. C'est en août 2009 que le gouvernement canadien a annoncé l'acquisition de 15hélicoptères CH-47 Chinook. En vertu du programme de retombées industrielles régionales, Boeing doit susciter au Canada des retombées de 2 milliards US au cours des 20 prochaines années pour le soutien en service des appareils. Boeing devrait livrer le premier Chinook en 2013. http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/transports/201201/31/01-4491015-contrat-militaire-pour-l-3-mas.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS7
  20. (Montréal) Si le déclin du secteur manufacturier est palpable depuis une dizaine d'années, la fabrication pèse toujours plus lourd dans l'économie québécoise que dans celles du reste du Canada et des États-Unis. L'an dernier, elle représentait 16,1% de la taille de notre économie, comparativement à 12,8% ailleurs au Canada et moins de 12% aux États-Unis. «Autre fait à noter, la diminution de l'importance relative tend à s'estomper au cours des dernières années», observe Joëlle Noreau, économiste principale chez Desjardins, qui signe une imposante recherche sur ce secteur névralgique. Même si le nombre d'usines a diminué de 18,9% au Québec, soit davantage que la moyenne canadienne, de 2004 à 2008, il en restait encore 21 154. Seul l'Ontario, plus populeux, fait mieux. La plus grande diversification de l'activité manufacturière québécoise la rend toutefois moins vulnérable aux chocs conjecturels. Cela dit, le travail en usine a été durement touché par la récession de 2008-2009. Moins toutefois que dans le reste du Canada. «Les problèmes sont réels, mais il semblerait que la rumeur les amplifie», estime l'économiste. La moitié des volumes de livraisons manufacturières repose sur deux secteurs en Ontario, comparativement à quatre au Québec: le matériel de transport, la transformation alimentaire, la première transformation des métaux et, enfin, le segment papetier. Ce qui a fait mal durant la dernière décennie, c'est avant tout le repli des expéditions vers les États-Unis, passées de 74 à 59 milliards de dollars. La fermeture de l'usine de GM à Boisbriand en septembre 2002 a bien sûr retranché plus de 1 milliard par année à nos exportations, mais l'entrée de la Chine dans l'Organisation mondiale du commerce et la crise du marché de l'habitation qui sévit depuis 2006 ont aussi fait mal. En outre, la valeur du dollar canadien est passée d'à peine 62 cents US, en 2002, pour se hisser à la parité en 2007. Résultat, les États-Unis représentaient 85,5% des débouchés internationaux des usines québécoises en 2000, mais seulement 67,9% en 2010. Le Québec n'est tout simplement pas parvenu à regagner ailleurs ce qu'il a perdu chez l'Oncle Sam. Malgré d'importantes stratégies de diversification, seulement 5,8% des exportations étaient absorbées par le Brésil, la Russie l'Inde et la Chine. Ces quatre grandes économies émergentes ont pourtant connu une solide expansion durant la dernière décennie. Le déclin du secteur manufacturier québécois a cependant coûté plus d'emplois qu'ailleurs, toutes proportions gardées, fait ressortir Mme Noreau, parce que les segments intensifs en main-d'oeuvre (vêtements, textiles), très présents au Québec, ont été plus touchés par la concurrence chinoise et la vigueur du huard. Malgré tout, la résilience québécoise reste élevée, si on la mesure par le taux de survie. Dix ans après leur création, encore 28,8% des entreprises de fabrication sont toujours en affaires alors que la proportion est d'à peine 21,6% pour l'ensemble des entreprises québécoises. Pour augmenter ce taux, il faudra accroître la productivité, ce qui n'est pas gage de maintien des emplois. Mme Noreau note qu'une enquête menée l'an dernier par le Centre de recherche industrielle du Québec a montré que 7 entreprises manufacturières sur 10 n'utilisaient pas encore la robotique, pourtant une solution intéressante dans un contexte de raréfaction de la main-d'oeuvre. S'il est une certitude, c'est la mutation incessante du secteur. En 2000, le segment des produits informatiques et électroniques se classait deuxième par sa taille, mesurée par le volume de ses ventes, et premier au chapitre des exportations. Dix ans après, marqué par l'éclatement de la technobulle et la faillite de Nortel, il a glissé au dixième rang. En 2000, c'est le matériel de transport qui avait le plus grand poids dans le secteur; en 2010, il a été doublé par la fabrication d'aliments. C'est cependant dans le transport que la masse salariale est le plus élevée, suivi par les aliments. D'autres plus petits segments se sont complètement transformés. Mme Noreau souligne la mutation des textiles et des vêtements où la recherche et développement et le design ont permis de trouver de nouveaux débouchés. «C'est un véritable parcours du combattant qu'ont eu à suivre bon nombre d'entreprises pour rester en affaires, au cours des dernières années, conclut-elle. Tant que les entrepreneurs continueront de lutter, il y aura une place pour le secteur manufacturier québécois.» http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/macro-economie/201201/31/01-4491001-le-secteur-manufacturier-est-toujours-vivant-au-quebec.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=lapresseaffaires_LA5_nouvelles_98718_accueil_POS10
  21. Rapport trimestriel - Du 1er octobre au 31 décembre 2011 - Montréal et le Palais rayonnent et attirent les touristes d'affaires 26 millions $ en retombées grâce à l'accueil de 8 nouveaux congrès au Palais des congrès MONTRÉAL, le 30 janv. 2012 /CNW Telbec/ - Pour le trimestre se terminant le 31 décembre 2011, la Société du Palais des congrès de Montréal a confirmé l'obtention de quatre nouveaux congrès internationaux1 et de quatre congrès nationaux2, ce qui représente des retombées économiques pour Montréal et le Québec estimées à 26 millions de dollars. Ces ententes ont été conclues notamment grâce à la collaboration de notre fidèle partenaire Tourisme Montréal et se traduiront par la réservation de plus de 20 000 nuitées dans les hôtels de la métropole. De plus, le marché des expositions commerciales et publiques d'envergure a particulièrement bien performé avec une hausse de 40% des réservations qui ont permis une croissance de 173% de la superficie louée pour ce marché en développement. Une destination d'affaires performante Les événements confirmés réuniront à Montréal près de 96 000 délégués, soit une augmentation de 3% par rapport au même trimestre l'année dernière. Montréal et le Palais confirment ainsi leur popularité auprès des décideurs d'associations nationales et internationales au moment de choisir la destination de leur prochain congrès. « À l'image de l'année touristique la plus prolifique en 30 ans à Montréal, le Palais a su mettre en place des stratégies de ventes et de marketing gagnantes pour séduire les grands événements issus des quatre coins du globe », explique Marc Tremblay, président-directeur général de la Société du Palais des congrès de Montréal. « Montréal a fait jaser partout dans le monde en 2011 et sa réputation — notamment comme ville de savoir, culturelle, créative, gastronomique et économique — contribue au succès du tourisme d'affaires. Finaliste du Prix APEX 2010 de Meilleur centre de congrès au monde, le Palais profite d'installations performantes, de la qualité du service offert et de l'accueil chaleureux et convivial des montréalais pour offrir aux délégués une expérience événementielle exceptionnelle », ajoute-t-il. Cumul annuel des ententes confirmées pour les années à venir (du 1er avril 2011 au 31 décembre 2011) Congrès internationaux et nationaux : 34 Nuitées estimées : 109 077 Retombées économiques estimées : 184 524 997 $ Projection annuelle pour les congrès tenus (1er avril 2011 au 31 mars 2012) Congrès internationaux et nationaux : 34 Nuitées estimées : 122 326 Retombées économiques estimées : 148 671 921 $ http://www.newswire.ca/fr/story/912475/rapport-trimestriel-du-1er-octobre-au-31-decembre-2011-montreal-et-le-palais-rayonnent-et-attirent-les-touristes-d-affaires
  22. L'AMT se sont les champions des dépassements de couts, c'est pas possible.La prochaine fois qu'ils annoncent un projet autant en tripler le prix directement.Il devraient engager un bon comptable-chef de projet...
×
×
  • Créer...