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ProposMontréal

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Tout ce qui a été posté par ProposMontréal

  1. Besoin d'aide, voila pas si longtemps, quelqu'un avait posté dans un sujet une lettre ouverte d'un promoteur frustrée de la bureaucratie. Je pensais que c'était dans le thread du Riopelle mais je ne l'ai pas trouvé la. Quelqu'un peut m'aider?
  2. Alors voila, j'ai une question pour vous. Le port de Montréal a-t'il vraiment besoin d'être à Montréal? je m'explique. Ils se cassent la tête pour finir l'autoroute 30, ils se cassent la tête pour trouver des moyens comme le payage pour détourner les camions à l'ctérieur de la ville et voila que le port veux agrandir. Une ville portuaire forte commence souvent par la qualité de son port mais aussi, par la façon de s'y rendre. Et j'ai l'impression que si le port de Montréal était sur la rive opposé, ça pourrait être avantageux. 1. Moins de camion sur la voie publique Montréalaise, donc de meilleures routes et moins de trafic. 2. Les camions qui ramasses la marchandise qui n'est PAS destinée pour Montréal ne seront pas prit dans le trafic de la ville pour rien. 3. Aucun emploi perdu parce qu'après tout, ces mêmes travailleurs auront tout simplement à traverser le pont, en plus je suis prêt à gager que la plupart sont des 450 anyway. 4. Ça libère le "shore front" pour de plus belle constructions, pas nécessairement habitable mais si on regarde le photoshop que quelqu'un avait fait ici avec un port touristique, ça devient intéressant. Je n'y ai pas vraiment pensé, et en plus il est 6h15 du matin donc il se peut que d'ici 10h je me dise que j'étais complètement dans le champs mais à première vue, l'idée n'est pas conne. Maintenant il faudrait dealer avec les nimbys de banlieue (c'est les même qu'en ville, mais avec des quad pis 2 ou 3 autos) et trouver un nouveau terrain assez grand pour scrapper complètement pour les générations suivrons.
  3. J'espère que la police est aux aguets. Je sens que ça pourrait mal aller si on gagne. Stupide, c'est juste la première ronde, il ne devrait pas avoir de vitres brisées avant les demi-finales.
  4. Y'a rien la cette tour, croyez moi, j'arrive du Nevada et au hoover Dam, il est impossible de prendre une photo sans avoir de crisse de fils électrique dans la vue.
  5. Wow, je manque quelques jours de mtlurb et voila ce qui se passe!!! Malheureusement, je dois avouer après lecture du sujet que je suis d'accord avec la plupart, pas obligé d'être de Montréal pour avoir une opinion sur la ville. C'est de la discutions et tombé dans la condescendance parce que quelqu'un habite Laval, Brossard ou le 450 en général est un peu poussé. Come on, je vais écouter n'importe qui de Laval avant d'écouter quelqu'un de st-anne de Bellevue, pourtant ils sont sur l'ile. Allez yara, relis toi et pense 2 secondes à ce que tu as dit.
  6. http://www.youtube.com/watch?v=uPnj2r1Eu0s
  7. C'est embryonnaires effectivement et oui, il est possible d'avoir les deux, ce pourquoi j'aime bien l'idée.
  8. Je suis assez content de voir des citoyens arrêter de chialer pour chialer et d'offrir de mettre la main à la pâte. Comme vous le savez bien, je suis en faveur au projet de Griffintown, mais celui ci à l'air aussi intéressant pour tout autres raisons. Ils ont même fait affaire avec un Architecte vedette de ce coin de la ville en Mark Poddubiuk et tant que ça tourne pas en ghetto. Ils ont mon vote. Source: La presse Des résidants de Pointe-Saint-Charles imaginent l'anti-Griffintown Les anciens ateliers du CN ont sombre allure. Une douzaine d'édifices abandonnés trônent au milieu d'un champ vague, traversé par des rails de chemin de fer. Pourtant, quand ils jettent un coup d'oeil à l'endroit, des habitants de Pointe-Saint-Charles n'y voient pas la désolation mais un milieu de vie. Depuis que la société Alstom a déserté les lieux en 2003, le terrain de 33 hectares, qui offre une vue imprenable sur le centre-ville de Montréal, fait rêver plus d'un citoyen du quartier du Sud-Ouest. Allergiques aux projets de revitalisation parachutés par des promoteurs, comme c'est le cas à Griffintown, tout juste de l'autre côté du canal de Lachine, des citoyens de la Pointe ont décidé de prendre en mains la planification de leur coin de ville. «L'idée de base est d'agrandir notre quartier pour l'améliorer. Il y a des lacunes en ce moment et on veut les pallier», explique Karine Triollet. Coordonnatrice de la table de concertation Action-gardien, qui regroupe une vingtaine d'organismes communautaires du quartier, Mme Triollet a participé l'an dernier à l'organisation de l'Opération populaire d'aménagement. Épaulés par des urbanistes et des architectes, les quelque 300 participants ont étudié les besoins du quartier. En résulte un plan de revitalisation qui s'étale sur 10 ans. Gare intermodale, belvédères avec vue sur le fleuve, commerces de proximité, établissement d'une école secondaire, ouverture d'un musée d'art, construction de 4000 nouvelles unités d'habitation, dont 40 % de logement social: les citoyens de Pointe-Saint-Charles ont essayé de penser à tout. «Nous ne disons pas «c'est ça et rien d'autre». Mais nous croyons que le développement harmonieux d'un quartier doit commencer par ceux qui l'habitent. Nous voulons proposer une autre manière de penser le développement», explique Karine Triollet. Pour «vendre» le projet à la Ville de Montréal et à des promoteurs qui voudraient s'y associer, Action-gardien a demandé à l'architecte Mark Poddubiuk de redessiner la carte de Pointe-Saint-Charles en y incluant leurs propositions. «Le projet dans sa forme actuelle est viable», soutient M. Poddubiuk. Il n'est pas surpris qu'une telle initiative émane du quartier industriel du Sud-Ouest. Au fil des ans, Pointe-Saint-Charles s'est forgé une réputation. Celle d'un village d'irréductibles Gaulois. Les groupes communautaires de ce quartier défavorisé - 50% de la population est à faibles revenus - aiment faire les choses à leur façon. Ils se sont battus contre le déménagement du casino au bassin Peel et contre le tracé initial de l'autoroute 15, qui aurait scindé le secteur en deux. Ils sont passés à l'histoire en créant l'ancêtre du CLSC, la clinique communautaire de Pointe-Saint-Charles. Aujourd'hui, cet établissement de santé hors norme est toujours administré par ses usagers. Plus récemment, des centaines de citoyens de la Pointe se sont mobilisés pour empêcher le déménagement de leur bureau de poste. Leur prochaine lutte sera celle des ateliers du CN. Et ils espèrent avoir mis toutes les chances de leur côté pour la gagner. Un projet énorme Quoi: Le projet immobilier Griffintown Où: Entre le canal de Lachine et le centre-ville Quand: Début projeté des travaux en 2009 Coût: 1,3 milliard de dollars Superficie: 1,2 million de pieds carrés Usage: résidentiel et commercial Nombre de logements projetés: 3860 unités
  9. J'étais à un événement à la Queue de Cheval et je suis sortie environ quand le match à fini, C'était fou, les gens klaxonnais pareil comme si on avais gagné la coupe (sans les fenêtres brisées). La ville est sur une euphorie qui est assez spéciale. Je vais même dire que je ne me rappel pas d'avoir vu ce genre d'excitation dans la ville. J'avertirais la Police de la CUM de se préparer un peu plus, de commencer à faire des plans. Si les habs gagnent ou ce font éliminer, il va y avoir de la casse. La ville est TROP hockey pour que ça soit sain lors de changement drastique.
  10. il a une discussion et malgré le fait que "la ville est hockey" nous avons un autre sport professionnel ici, aussi bien en parler. J'espère qu'il y a des fan de foot ici. Malheureusement, 1ère défaite contre Vancouver 1-0. On va se reprendre Samedi prochain contre Miami.
  11. La STM vient d'annoncer qu'un autobus express d'heure de pointe fera la navette entre le centre-ville et l'ile des soeurs Source: Magazine de l'ile des soeurs La ligne 480 permettra la correspondance avec tous les trains de banlieue du territoire de la gare Lucien-L’Allier et de la gare centrale, de même qu’avec la ligne de métro 2 (orange) et plusieurs circuits d’autobus. Le matin, les autobus partiront de l’arrêt situé à l’angle des rues De la Montagne et de La Gauchetière. Les cinq arrêts du trajet sont situés à l’angle de la rue Mansfield et du boulevard René-Lévesque, des rues University et La Gauchetière, des rues Nazareth et Wellington, Nazareth et Brennan et le terminus de la Pointe-Nord du quartier L'Île-des-Sœurs. On estime que le temps de parcours sera d’une durée d’environ 15 minutes. Il est important de noter que ce nouveau service opérera en mode unidirectionnel. Le matin, la ligne 480 partira du centre-ville de Montréal pour terminer son trajet sur la pointe nord de l’île des Sœurs et, à l’inverse, aux heures de pointe de l’après-midi, le trajet sera effectué depuis la pointe nord jusqu’au au centre-ville. Les autobus circuleront à des intervalles de 10 à 15 minutes et uniquement aux heures de pointe du matin et de la fin de journée, soit de 6h30 à 9h30 et de 15h15 à 18h30. La ligne 480 sera en opération du lundi au vendredi (à l’exception des jours fériés).
  12. Le seul resto que j'ai bien aimé à Toronto est One. Peut-être bymark, mais après tout, c'est le même chef.
  13. C'est moi ou elle n'est pas vite vite? Tu fais tes devoirs avant d'aller visiter un endroit pour la première fois. Spring Break à Montréal? c'est pas Daytona ici! c'est pas pour rien que le Canada c'est le "great white north".
  14. Je viens de travailler sur cette ouverture. L'organisatrice d'événement était d'Ottawa, même pas d'ici. Mais je suis quand même content de voir un autre créateur de logiciels se ramasser ici.
  15. Tu vois le terminal portuaire qui est construit, moi je le prendrait et j'en ferai la construction ou est le silo #5 et maintenant, tu as ton port de navire touristique dans l'endroit touristique de Montréal.
  16. Ce que je comprend pas dans cette histoire c'est, pourquoi qu'il ont pas mentionné cette histoire quand la rue a été refaite en entier depuis quelques années? Ça se parle pas ce monde la?
  17. www.mtl12.com à une belle petite section sur le Queen E.
  18. These Chefs Believe in Sticking Close to Home Source: New York Time MONTREAL is not just a good eating town, but an opinionated one, too, with deep roots and a culture all its own. There’s always a debate about where to get the best rotisserie chicken or the most authentic poutine, that classic Québécois belly buster of French fries, gravy and squeaky cheese curds. Or whether to go to St.-Viateur Bagel Shop or Fairmount Bagel Bakery for sesame bagels that are baked in wood-burning ovens and put New York City’s fluffy bread bombs to shame. The epicurean partisanship fight extends to the city’s two venerable food markets, Marché Jean-Talon and Marché Atwater. Even when winter has wilted the local supply of fruits and vegetables, the markets are bursting with stinky cheeses, apple cider and all manner of charcuterie: plump links of black blood sausage; fowl and furred game rendered into terrines and galantines; piles of confit frosted in white fat like the snow that blankets the city for a good part of the year. Not that Montreal lacks for proper, sit-down restaurants. L’Express, the reigning bistro king of this officially Francophone city, is as close to Paris as one gets while on the wrong continent. Toqué, run by the chef Norman Laprise, is the city’s standard bearer for haute cuisine. But over the last few years, there has been a surge in quirky restaurants that are extensions of their chefs’ personal tastes and dedication to Montreal’s regional ingredients. At these restaurants, no part of the pig escapes the kitchen knife, whether it’s the ears (sliced and fried in a salad with frisée) or feet (braised, stuffed and roasted). And foie gras abounds, never far from marrowbones, sweetbreads and steaks so big they’d make a cowboy blush. All are dressed down and welcoming: perfect places to come in from the cold. AU PIED DE COCHON These days, you can’t mention food in Montreal without touching on the chef Martin Picard’s unrepentantly Québécois restaurant, Au Pied de Cochon (536 Rue Duluth Est; 514-281-1114; http://www.restaurantaupieddecochon.ca). P.D.C., as the locals call it, was a pizzeria before Mr. Picard got his meaty mitts on it, and a blazing fire in a wood-burning oven greets guests at the door. Beyond it, the restaurant is long and narrow, bright but not too bright, with a mirror running down one side and an open kitchen on the other. The bare wooden tables are crowded with boisterous eaters of every age and description. And the chef — look for the unshaven man with a shock of untamed black hair — frequently works both sides of the bar, talking and drinking with customers and cooks. Mr. Picard put his restaurant on the gastronomic map when he put foie gras on poutine back in 2004, just after the restaurant opened. Many dishes at P.D.C. are conceived with that same wicked sense of humor — who puts foie gras on French fries? — and carry an unspoken threat of a cholesterol-triggered overdose. There’s a even a whole section of the menu dedicated to the fatty livers: foie on a burger, foie on a pizza and, most compellingly, the Plogue à Champlain — a dizzying combination of buckwheat pancakes, bacon, foie gras and maple syrup. But Mr. Picard doesn’t need to rely on fattened blond duck livers to make a dish worth seeking out: My meal started off with a simple plate of leeks — which crowded the local markets when I visited — poached and dressed with a bright vinaigrette. The salt cod fritters (another Montreal staple) were as greaseless and light as could be. But nobody goes to P.D.C. to diet. The restaurant’s namesake dish is a pig’s foot the size of grown man’s forearm that is poached, stuffed and roasted in the wood oven; a lobe of seared foie gras is laid over it sidesaddle before it goes out to a table. Entrees are reliably heavy and frequently come with some kind of surprise, like the dark brown fritters that accompanied a pot au feu for two (or was it four?) The fritters, which were speared on skewers, were crisp and brown. But it wasn’t until I bit into one that I realized what they were: testicles. Lamb’s testicles. And they were good. Dinner, with drinks and tip, about 80 Canadian dollars a person (the Canadian and U.S. dollars are nearly at par). JOE BEEF On my next visit to Montreal, I will put back another couple of dozen oysters at Joe Beef (2491 Rue Notre-Dame Ouest; 514-935-6504; http://www.joebeef.ca), a bistro of sorts that opened in the Petit-Bourgogne neighborhood in 2006. Shucked on the night I was there by John Bil, the restaurant’s champion oyster shucker (he captured the Canadian shucking crown three times), we slurped small, sweet oysters from Prince Edward Island and fat Moonstone oysters from Rhode Island, each shell brimming with oyster liquor like a bathtub with the faucet left on. Named after a 19th-century saloonkeeper, the restaurant has the coziness of a neighborhood pub: a chalkboard menu (that changes daily) covers one wall, wainscoting wraps the room, the light is flatteringly low. The chef Frédéric Morin’s menu has a classic bistro slant, though he’s tweaked each dish to make it his own. He eschews lardons and instead tops his frisée salad with strips of pig’s ears cut into matchstick strips and fried to shattering crispness. Pucks of silky foie gras au torchon are served with buttery brioche toast and pears poached in cinnamon-infused red wine. Entrees change nightly, but there are two menu stalwarts: pasta with lobster, and a massive côte de boeuf for the table. The lobster in the former was slightly overcooked the night I tried it, though it wasn’t hard to grasp the appeal of such a decadent cream-and-butter dish. The steak, served with marrowbones and potatoes, embodied the full-flavored, mineral promise of grass-fed steak. Dinner, with drinks and tip, about 110 Canadian dollars a person. LIVERPOOL HOUSE Joe Beef has a new neighbor. Mr. Morin spent last fall covered in sawdust, building his second restaurant, Liverpool House (2501 Rue Notre-Dame Ouest; 514-313-6049; http://www.liverpoolhouse.ca), just a few doors down from his first. Liverpool House is split into a barroom and a laid-back dining room. The woodwork and wainscoting are painted a warm white. The rest is decorated with an eclectic mix of paintings — oversized modern canvases and tiny impressionistic works — and odd, pig-themed tchotchkes like the porcelain porcine head, affixed to the wall at eye level like an extra diner at my table. Liverpool House is ostensibly Italian, though the restaurant’s cuisine owes more to Mr. Morin’s imagination and whatever is in season. One night, the bar plates were undeniably Italian: perfect sausage-stuffed arancini, a ball of buffalo milk burrata cheese (mozzarella’s creamy cousin) and a plate of salumi cured in the restaurant’s basement. But when I returned two nights later, the menu had been hijacked. I ate poached skate with black trumpet mushrooms in a buttery sauce, the mild ropes of fish an unobtrusive stage to show off those tender, earthy mushrooms. Hard-boiled eggs topped with crab meat sounded like a dreary canapé from the 1950s; instead it was a showcase for a snowdrift of sweet crab meat, piled on a pedestal of egg white anointed with house-made mayonnaise. The rest of the meal continued in the same manner: technically assured cooking that typifies the simplicity of the Italian kitchen (like the vitello tonnato), or lets the hand of the nearby market push it toward riskier directions (like a grilled veal chop served with roasted root vegetables and a sauce fortified with foie gras and sweetbreads). Is Liverpool House Italian? French? Or Québécois? Whatever it is, it’s an excellent place to eat. Dinner, with drinks and tip, about 100 Canadian dollars each. GARDE MANGER Another spot that trades the sanctimonious trappings of fine dining for a looser atmosphere is Garde Manger (408 Rue St.-François-Xavier; 514-678-5044). It is one of the few restaurants with real charm in Vieux Montreal, the oldest part of the city. Tucked into a small building on a side street, the restaurant has dark brick walls and a wildly oversized chandelier that looks as if it could have been pilfered from a merry-go-round at Versailles. The roaring fireplace offers a warm refuge from the blustering winds off the nearby St. Lawrence River. Early in the evening, the loud soundtrack leans toward Neil Young and the Grateful Dead, and the crowd is older, the men in dapper suits and ties. After 9 p.m., the soundtrack shifts to clubbier music and a younger crowd sets in and doesn’t mind standing two deep at the bar. One Montrealer commented to me that Garde Manger is a “bar that happens to serve some food early in the evening.” But at 10 p.m. on the night I was there, every table in the restaurant was full. The restaurant is rightly regarded for its seafood platters, which take a place of prominence on many tables. The largest is 120 Canadian dollars and comes in a giant wooden trough that contains enough raw shellfish to feed a romp of otters. A less expensive option, at 70 dollars, is still impressive: a dozen each of oysters and clams, plus Alaskan crab legs and a half-dozen poached shrimp. And though the kitchen, overseen by the chef Chuck Hughes, offers an appealing and ever-changing blackboard menu with its own signature poutine (with lobster and lobster gravy), I would not pass on the opportunity to order the steak frites again. It’s rare to find a restaurant that takes as much care with such a simple dish: the steak (bavette, or what we call flank steak south of the border) is seasoned with an assured hand and charred to a textbook medium rare; the fries were crisp and fresh and tasted like potatoes. Though we had to shout over the gunshots ringing out in the chorus of M.I.A.’s “Paper Planes,” my dining companions and I were impressed that a place as rollicking as Garde Manger chooses to pay attention to what’s coming out of the kitchen.
  19. Tu peux les télécharger sur http://www.picpail.com et ensuite tu pourras y mettre une vignette (thumbnail) ici qui mêneras vers la grandeur originale trop grande pour le forum.
  20. Mon signe de printemps.......Les filles et les mini jupes de Montréal.
  21. Même best buy fait sa part. http://ca.youtube.com/watch?v=KlUp0jfLW4o
  22. Je serais assez content de ça, l'important c'est que ça devienne pas la plaie de pollution que les sables bitumineux sont devenues, sinon, même moi je vais devenir un "porteux" de pancarte.
  23. UN autre bon article sur Montréal dans le Globe & Mail, qu'est ce qui se passe avec eux? Devimco, clc et les tour de 60 étages, si les trois projets ce réalise ça va changer la carte complète de Montréal en apportant dans les 10-15 000 nouvelles personnes dans le Sud-Ouest (Ma terre natale) vous savez pas comment j'ai hâte.
  24. Pas obligé de le prendre autant personnel Gilbert. je ne traite personne de menteur.
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