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ProposMontréal

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Tout ce qui a été posté par ProposMontréal

  1. Le meilleur exemple de ce que j'espère va se passer avec le Spectrum c'est ce qui s'est passé avec le Club Soda, il a déménagé et les gens ont suivis. Il ne faut quand même oublier qu'il y a des salle comme La Tulipe qui peut entrer environ le même nombre de gens que le Spectrum. Le Spectrum c'est un nom et peut importe où il serait, les gens vont y aller. J'étais à l'avant dernier show durant les Franco et oui j'ai eu un pincement au coeur. J'ai vu 78 concerts (je garde une liste depuis 1984 ) au Spectrum et peut importe si c'est la Salle Telus, La Tulipe, Le National, Le Métropolis, l'audi de Verdun, le Club Soda ou le Centre Bell (Foo Fighters Hier soir, cooooool show by the way!) j'y vais pour le band avant la salle. C'est certain j'ai mes salles préférés (J'ai dit La Tulipe?) mais la musique est plus importante que le contenant.
  2. Vous êtes durs, cette tour n'est vraiment pas si mal que ça. Avec une jumelle légèrement plus grande, pourquoi pas un pont entre les deux ça serait original pour Montréal. Regardez la couronne de l'édifice, c'est quand même bien voyons. Vous êtes jamais content
  3. J'aime bien la reconstruction du centre ville en quartier, le quartier de la santé, le quartier des spectacles, le quartier international.... c'est intéressant comme concept qui je crois pourra donner une fière allure à la ville. Le problème c'est que les grand média on tendance à ne parler des problèmes avec le chum que de parler des bons côté du projet.
  4. J'aime Flickr pour ce genre de chose Une galerie Atlanta New York
  5. On pourrait dire la même choses de: New York, une grue géante s'est écroulée. Montréal, des tata se batte contre la police durant une émeute anti brutalité policière, croyez moi, la police n'est pas à blâmer ici. Au moins, la tornade, c'est pas à cause de l'erreur humaine.
  6. L'aventure immobilière de l'UQAM coûtera 200M$ aux Québécois Source: Canoe.qc.ca Le dérapage financier de l'Université du Québec à Montréal (UQAM) dans le projet de l'îlot Voyageur coûtera quelque 200M$ à l'ensemble des contribuables québécois, prévoit le gouvernement du Québec. Les prévisions budgétaires affichent en effet une réserve de 200M$ afin d'éponger une partie de la dette liée à l'aventure immobilière de l'UQAM. Jusqu'à maintenant, 269M$ ont été dépensés dans ce projet par l'émission d'obligations par l'UQAM. Selon des hypothèses conservatrices, la valeur de l'îlot Voyageur laissé en plan ne serait donc plus que de 69M$ sur le marché immobilier. La provision de 200M$ n'est qu'un ordre de grandeur puisque le dossier est loin d'être réglé. L'UQAM et le promoteur Busac, propriétaire des terrains de l'îlot Voyageur, sont toujours en négociations afin de revoir les termes du contrat les liant. Toutefois, la Société immobilière Trans-Québec (SITQ), une filiale de la Caisse de dépôt et placement, analyse depuis quelques mois la possibilité de mettre la main sur l'îlot Voyageur, comme l'écrit Le Devoir. Les travaux de la SITQ seraient très avancés. L'îlot Voyageur ainsi que le Complexe des sciences ont à eux deux creusé un trou gigantesque dans les finances de l'UQAM. Le problème pourrait atteindre le demi-milliard $ d'ici 2012 si rien n'est fait. En septembre dernier, la ministre de l'Education, Michelle Courchesne, a toutefois annoncé l'intention du gouvernement de récupérer l'îlot Voyageur et ses répercussions financières. L'UQAM réclame toutefois que le gouvernement prenne également sous son aile le Complexe des sciences, ce que refuse catégoriquement Québec jusqu'à maintenant.
  7. Il devrait le transformer en Skate Park pour remplacer le taz qui à fermé depuis un certain temps. Il a une forme bizarre et avec Empire qui vient d'ouvrir pas loin ça serait un bon lien.
  8. Je suis dans les Cours Valois (la façon que j'ai trouvé ce forum c'est en faisant une recherche sur le complexe de condo) Mais je crois vendre d'ici 2 ans pour aller plus au centre ville, heureusement ma situation financière à changer entre l'achat présent et mon prochain (et un 2e salaire qui paye maintenant) J'aime bien le Bloc Urbain et je regarde vraiment la monté du Louis-Bohème. l'important c'est un stationnement intérieur , vous savez cette neige.....
  9. Bell réinvente son milieu de travail à l'Île-des-Soeurs Source: Les Affaires En choisissant d'installer ses quelque 4 200 employés dans un nouveau complexe de cinq bâtiments à l'Île-des-Soeurs, le géant canadien des télécommunications Bell Canada Entreprise s'inscrit dans la mouvance des campus d'entreprise. Chez Google, en Californie, les employés ne disent pas : "Je m'en vais au bureau." Ils disent : "Je m'en vais au campus." Rien n'a été épargné pour rendre ce lieu de travail le plus agréable possible : buffet gratuit à volonté, appareils de gym pour brûler les calories en trop, nettoyeur, banque, salon de coiffure, salon de massage. On peut même jouer du piano dans le confortable hall d'entrée. Si vous n'avez pas envie de marcher sur le campus, vous n'avez qu'à enfourcher une des nombreuses trottinettes électriques qui traînent dans les couloirs. Quel exemple inspirant pour les employeurs prêts à réinventer leur milieu de travail... Le campus de BCE, dont la phase 1 sera prête en septembre 2008, n'aura ni piano, ni buffet gratuit, ni trottinettes. Mais tous les employés - actuellement dispersés dans plusieurs bâtiments situés pour la plupart au centre-ville de Montréal - seront réunis sur un site paysagé, à deux pas d'une piste cyclable faisant le tour de l'île. Ils pourront partager la même expérience de la communauté Bell. Ils auront accès à un centre d'entraînement physique, à une garderie et à de nouvelles stations de travail aux designs variés. "La plupart auront une vue sur le fleuve Saint-Laurent", promet Eric Haggar, chargé du projet. Pendant ce temps, les automobilistes entrant à Montréal par le pont Champlain auront le logo de la compagnie en plein visage. Merci pour l'image de marque ! Des services pour la génération Y M. Haggar et son équipe se sont rendus chez Microsoft, IBM et Ideo avant d'élaborer l'aménagement intérieur du complexe, en collaboration avec les firmes Aedifica et Innova Design. "Ce que j'ai retenu de ces visites, c'est la nécessité d'offrir des services aux employés", dit-il. Le nouveau complexe BCE comprendra plus d'aires ouvertes meublées de fauteuils confortables. On les trouvera à chaque étage, à la sortie des ascenseurs, tout près d'un mini-bistrot. De quoi poursuivre, en toute décontraction, une conversation entamée dans l'ascenseur... Les cinq bâtiments disposeront de la VoIP et du WIFI, y compris à l'extérieur pour permettre aux employés de travailler dehors, s'ils le souhaitent. Ces nouveaux espaces refléteront les goûts et les habitudes de la génération Y et seront semblables aux campus universitaires américains dont ils sont inspirés. BCE prend le même virage en Ontario et en Alberta, où elle quitte le centre-ville pour des campus en banlieue. "Cela fait partie d'une stratégie nationale, explique Susan Bowrah, directrice des ressources humaines de BCE. Nous voulons éliminer les silos et créer des environnements favorables à la collaboration et aux échanges spontanés. Cela générera plus d'innovation et rendra nos équipes plus performantes. Les employés seront familiarisés avec toutes les fonctions de l'entreprise, car ils seront réunis." "Au centre-ville, les loyers sont très élevés, ajoute Claude Bouchard, responsable de l'immobilier et du déménagement des employés de Montréal. En s'éloignant du centre-ville, nous avons la marge de manoeuvre pour construire des immeubles qui répondent à nos goûts et à nos besoins, et on réduit les duplications." Sur le plan financier, l'impact sera neutre, assure-t-il. Plus de collaboration, mais sur un même étage seulement ! Cette mode des campus est-elle durable ? C'est la question que se sont posée Franklin Becker et William Sims, de l'International Workplace Studies Program de l'université Cornell, dans l'État de New York. Ces chercheurs viennent de terminer une étude empirique de quatre ans portant sur les avantages et les inconvénients des campus d'entreprises, qu'ils appellent collocations, ou co-implantation, en français. Les résultats sont mitigés. D'une part, l'étude prouve que la co-implantation augmente le sentiment d'appartenance et la mobilisation des employés. "Mais s'il est vrai que ces espaces favorisent la communication et la collaboration, indique M. Sims, cela se limite au niveau d'un même étage et d'un même groupe de travail. Cela ne se propage pas à toute l'entreprise." Quant à l'avantage du contrôle des coûts, il n'existe qu'en période de croissance. En cas de récession, le campus se transforme en risque. "S'il y a décroissance, l'entreprise aura plus de mal à louer ou à vendre un bâtiment très associé à son image", fait valoir M. Sims. Ce dernier ajoute qu'il y a un risque de sécurité pour une entreprise qui décide de tout centraliser sur un site. "Aux États-Unis, c'est le terrorisme qui inquiète, mais chez vous, ce sont des catastrophes naturelles comme le verglas", mentionne-t-il. Fini les brebis égarées Chose certaine, le campus permet à l'employeur un meilleur contrôle de son personnel. Captifs, les employés seront moins tenter d'allonger leur heure de lunch pour faire leurs courses. "De ce point de vue, c'est rentable pour l'employeur", constate le chercheur. Se basant sur les consultations qu'il a eues dans les entreprises visitées, Eric Haggar abonde dans ce sens, prétendant que le taux d'absentéisme baisse sur les campus. Autre avantage, celui-là pour les employés : le taux de fréquentation des gymnases est plus élevé que lorsque le gym est situé à l'extérieur du complexe. Des employés en meilleure santé et plus concentrés, donc plus productifs, telle est l'idée. Et le temps de déplacement ? "Cela fait partie des inconvénients. Et cela peut même susciter des départs", prévient M. Sims. Au syndicat des employés de l'énergie, des communications et du papier, section Montréal, la représentante Lyne Brisson signale un taux élevé de mécontentement chez les employés de BCE habitués au centre-ville, qui rechignent à l'idée d'endurer 20 minutes de transport supplémentaires et de ne plus pouvoir fréquenter les détaillants du centre-ville à midi ou après le travail. "Les plus anciens sont malheureux, dit-elle. Mais peut-être que les nouveaux, qui n'auront pas connu le centre-ville, vont s'y plaire." L'attraction et le maintien en poste des jeunes est un facteur non négligeable : le groupe Grandes entreprises entend recruter près de 1 000 employés d'ici trois à cinq ans. Il y a fort à parier que ce seront de jeunes Y heureux d'être sur un campus et de passer leurs réunions à siroter un cappuccino dans un grand fauteuil...
  10. Oui, j'en ai parlé mais j,ai pas eu le temps eu le courage de la retaper ici. elle n'était pas en ligne à ce moment.
  11. Je veux simplement ouvrir une parenthèse et dire que ce building est la raison pourquoi il y a des groupes de protections patrimoniales et Héritage Montréal pas pour des building comme certain dans Griffintown et l'ancien building coin St-Laurent-Ste-Cath. J'espère simplement que quelqu'un pourra faire de bien avec, comme cjb vient de dire, il n'y a pas d'action dans cette construction depuis longtemps.
  12. Étant un natif de Verdun, ayant vu les Pat Lafontaine du canadiens junior de Verdun dans le temps. Je vais sûrement aller voir des matchs. Les gens de Verdun vont y aller.
  13. Ce que je ne comprend pas c,est que le Monument National est pas vraiment prêt de la, c'est au coin Rene Levesque sur le côté ouest de St-Laurent. le 2.22 Ste-Cath était...sur ste-cath côté est de St-Laurent. Donc même pas relié.
  14. Démolition délinquante du 2.22 Sainte-Catherine Source: En voulant procéder rapidement, la Ville de Montréal a tourné les coins rond en démolissant le 2.22 Sainte-Catherine, emplacement du futur «red light» du Quartier des spectacles. L'ancien édifice, jeté par terre il y a deux semaines, est en effet situé dans une aire de protection patrimoniale, celle du Monument-National. En vertu de la loi qui encadre les aires de protection, au même titre que les arrondissements historiques ou naturels, l'administration municipale aurait dû obtenir un permis du gouvernement avant de procéder. Ce qu'elle a omis de faire, faute de vérifications. Au ministère du Patrimoine, on explique qu'on a appris en même temps que tout le monde, en voyant le maire Gérald Tremblay poser devant les décombres, que l'édifice avait été démoli sans autorisation. Cette fois, la Ville de Montréal, qui s'expose à des amendes ou même à des recours devant les tribunaux, va bien s'en sortir, avec une «réprimande» en bonne et due forme. L'édifice en question, ancienne niche d'un peep-show, tombait en ruine et n'était pas cité patrimonial. De plus, même s'il se trouve à une extrémité du diamètre de protection de 500 pieds délimité autour du Monument-National, sa démolition n'entache pas la qualité de l'environnement immédiat, donc la signature visuelle de l'aire, explique-t-on à la direction du patrimoine du Ministère. «On a toutefois dit à la Ville de Montréal qu'elle devra nous soumettre le projet de remplacement pour approbation, a expliqué Colette Proulx, porte-parole au Ministère. Cette fois on passe l'éponge, mais oui, effectivement, tous les projets situés dans les aires de protection doivent être approuvés par le gouvernement, en vertu de la Loi sur les biens culturels.» À la Ville de Montréal, Céline Topp, directrice du Service de mise en valeur du territoire et du patrimoine, a expliqué hier que sa division était tellement occupée par «l'état lamentable» de la structure du 2.22 Sainte-Catherine qu'elle a omis de vérifier s'il était situé dans une aire de protection. «C'est malheureux, mais dans le contexte d'expropriation, et parce qu'il y avait des risques d'effondrement, on a reçu l'ordre de démolir de l'arrondissement de Ville-Marie et on a procédé avec les entrepreneurs», indique Mme Topp. Elle ajoute qu'après coup, son service a envoyé une lettre au Ministère, en date du 25 février, donc une semaine après la démolition, pour expliquer la situation, et s'engager à soumettre les plans de la future construction de remplacement. En clair, cela signifie que le projet de la Société de développement Angus pour le 2.22 Sainte-Catherine ne devra pas porter ombrage au caractère particulier du Monument-National. Selon les plans présentement étudiés par la ville centre, Angus projette d'ériger un édifice de six étages, conforme aux hauteurs d'urbanisme permises, avec vitrine culturelle au rez-de-chaussée. Un projet de 15 millions, qui doit aussi obtenir l'approbation des élus de Montréal. De son côté, la direction de l'aménagement urbain de Ville-Marie, pilotée par Pierre Sainte-Marie, a expliqué que son rôle dans le dossier n'a consisté qu'à délivrer un permis de démolition, sans se pencher sur l'aspect patrimonial. Après vérifications, La Presse a constaté que ni la Ville ni l'arrondissement n'ont cru bon de demander un avis au Conseil du patrimoine, instance consultative suprême de Montréal en matière de bâti. Dans la région de Montréal, il existe 42 aires de protection qui visent à préserver des monuments, pas toujours cités. Celle autour du Monument-National avait été adoptée par décret gouvernemental en 1978 et n'a pas été modifiée depuis. Elle vise à préserver le monument historique à vocation socioculturelle, de style néo-Renaissance, dont la fin de la construction remonte à 1894, un édifice phare «de la survivance et des aspirations des Canadiens français dans la métropole».
  15. Vraiment, ça sort de nulle part cette petite réno. On dirait vraiment que ça "fit" pas avec le reste. Ça me laisse sans explication vraiment.
  16. Ce sera le "Junior de Montréal Source: RDS La nouvelle sera confirmée lundi à l’occasion d’une conférence de presse mais on peut vous le confirmer officiellement, la formation de la LHJMQ qui évoluera à l’Auditorium de Verdun la saison prochaine portera le nom de « Junior de Montréal ». Tel en a été décidé le propriétaire de l’équipe, Farrell Miller, et son président, Martin Routhier. Le point de presse se tiendra au restaurant Newtown de la rue Crescent en présence des joueurs des Fog Devils de Saint-Jean, Terre-Neuve, qui seront en transit dans la métropole après leur match de dimanche à Lewiston dans le Maine. Les couleurs de l’équipe seront le bourgogne et le blanc mais il n’y aura pas de bleu sur les uniformes qui devraient être coiffés d’un logo assez traditionnel mettant en relief le nom de Montréal. Le Junior de Montréal profitera aussi du point de presse de lundi pour lancer officiellement sa campagne de billets de saison pour 2008-2009. Pour les nouveaux dirigeants de l’équipe, il était important de respecter la tradition de la ville de Montréal et en ce sens plusieurs noms ont été étudiés mais celui de « Junior de Montréal » demeurait celui qui accrochait le plus de par son historique et son côté bilingue. Le Junior de Montréal a connu de belles années dans la LHJMQ entre 73-74 et 81-82. C’est notamment avec le Junior de Montréal, en 78-79, que se s’est aligné un des plus célèbres trios de l’histoire de la ligue celui des « trois Denis ». Denis Savard, Denis Cyr et Denis Tremblay ont fait la pluie et le beau temps il y a 30 ans dans le chandail du « Junior ». C’est aussi avec cette même équipe que Normand Dupont a connu des saisons de 69 et 70 buts et comme le hasard fait bien les choses c’est nul autre que l’actuel entraîneur-chef des Fog Devils, Réal Paiement, qui revendique le plus de matchs dans l’uniforme du Junior de Montréal soit 276 en quatre saisons. Pour l’instant la nouvelle direction montréalaise n’a pas confirmé l’identité de ses hommes de hockey pour la prochaine saison. Le Junior de Montréal disputera ses matchs locaux à l’Auditorium de Verdun à compter du mois de septembre et l’équipe misera sur un bon noyau puisqu’une quinzaine de joueurs de l’édition actuelle des Fog Devils seront admissibles à revenir avec l’équipe l’an prochain. Les gardiens Timo Pielmeier et Jake Allen, les défenseurs T.J.Brennan et Maxime Pomerleau de même que les attaquants Jean-Simon Allard et Luke Adam devraient former le noyau de l’équipe qui devrait être en mesure pour lutter avec les meilleures formations de la Ligue.
  17. I'm from Verdun, born and raise and trust me it is now a great little place compare to St-Michel, Park-ex or even NDG. Montreal is getting family oriented and will be very strong. Next plateau? not sure but it is now a nicer neighborhood then in the 80's. Whoever says that Verdun is a "dangerous" place hasn't been in more than 10 years. Only major thing wrong with verdun right now is that the street look like Baghdad
  18. Ce sujet comporte 25 pages, plus de 250 réponses et plus de 8000 vues. Est-ce qu'il y à d'autre projet qui ont autant fait parler mtlurb sans qu'il soit sorti de terre?? Le trou n'est même pas fini et on est déjà rendu à ces stats. J'imagine comment nous allons être quand on va commencer à voir des panneaux s'installer.
  19. J'ai rien placé sur le forum, je pensais que ça avait été mentionné dans le sujet du Quartier des Spectacles. Au sujet de la nouvelle, je suis content de ça, j'aime bien le jazz et je crois que Montréal est seulement jazzé pendant le festival
  20. Enfin de la publicité non négative.Il y a aussi un bon article dans Les Affaires que j'ai reçu aujourd'hui (jeudi) sur ce qui se passe autour du centre bell par gillett. Je vais voir si je peux le digitaliser!
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