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  1. La firme montréalaise Groupe WSP Global (Tor., WSP) a annoncé mercredi l'acquisition de Mouchel Consulting pour approximativement 75 millions de livres sterling, soit 120,4 millions $ CAN. Mouchel Consulting compte environ 2000 employés, la plupart dans des bureaux répartis au Royaume-Uni et en Irlande, ainsi que dans quelques bureaux au Moyen-Orient. Mouchel Consulting est la division de services de génie-conseil de Mouchel Limited. Elle offre une gamme de services tout au long du cycle de vie de projets: élaboration de politiques, planification et conception, et suivi du rendement, principalement en transport, en environnement et en gestion de l'eau. La firme mène des activités au Royaume-Uni et au Moyen-Orient. WSP croit que l'acquisition de Mouchel Consulting renforcera sa présence dans le secteur des infrastructures publiques au Royaume-Uni, plus particulièrement pour ce qui est de la conception d'autoroutes, des systèmes de transport intelligents et des réseaux d'aqueduc réglementés, marchés où WSP cherchait à augmenter sa présence. WSP compte parmi les plus grandes firmes de services professionnels au monde. WSP acquiert Mouchel Consulting pour 120,4M$ | LesAffaires.com
  2. Très bonne nouvelle! Rendement de 13,1 % pour la Caisse de dépôt La forte progression des marchés boursiers américains et la vigueur du secteur immobilier aux États-Unis ont permis à la Caisse de dépôt et de placement du Québec (CDPQ) de générer un rendement moyen de 13,1 % en 2013, une preuve que la stratégie d'investissement de la Caisse « porte fruit », selon le président et chef de la direction, Michel Sabia. Il s'agit d'un rendement supérieur à celui de 9,6 % enregistré en 2012. L'actif net des déposants a atteint 200,1 milliards de dollars au 31 décembre 2013, une hausse de près de 25 millions de dollars en un an. Le rendement annualisé sur quatre ans atteint 10 %. « Dans un environnement économique marqué par d'importants ajustements dans les marchés émergents, une longue période de récession en Europe et des États-Unis en rémission, nous avons gardé le cap sur notre stratégie et continué d'investir dans des actifs de qualité ancrés dans l'économie réelle » — Michel Sabia, président et chef de la direction de la CDPQ M. Sabia a également donné un aperçu de sa stratégie pour les prochains mois. « Nous entrons maintenant dans une période de normalisation qui nous entraînra en terrain inconnu et créera beaucoup d'incertitude. Dans ce contexte, nous allons continuer d'être sélectifs et de miser sur la gestion en absolu et une connaissance en profondeur des entreprises et des marchés dans lesquels nous investissons pour générer des rendements stables, aussi loin que possible des humeurs de marché. » La Caisse souligne qu'elle a poursuivi le déploiement de sa nouvelle stratégie d'investissement en 2013, qui a été guidée par quelques grandes orientations : Augmenter les investissements au Québec (les actifs de la Caisse au Québec ont atteint 53,8 milliards de dollars au 31 décembre 2013) Miser sur la gestion en absolu Investir dans des actifs moins liquides, en infrastructure et en immobilier Renforcer son expertise au sujet des pays émergents http://ici.radio-canada.ca/nouvelles/Economie/2014/02/26/004-resultats-caisse-depot-2013.shtml
  3. Montréal arrive au premier rang mondial comme destination pour un étudiant étranger qui souhaite faire des études universitaires, selon une analyse publiée par la division de renseignements de la revue The Economist. L'analyse, effectuée en collaboration avec une grande banque chinoise, permet la création d'un guide pour parents qui cherchent à trouver le meilleur endroit pour parfaire l'apprentissage de leurs enfants. L'objectif était de cibler, à l'aide de plusieurs critères, les villes qui offrent le meilleur rendement potentiel sur les plans des études, financier, culturel et social. Les conclusions de l'étude sont le résultat d'une série d'entrevues réalisées avec des experts et de l'indice appelé «Sea Turtle Index». Dans la culture chinoise, une «tortue de mer» désigne un diplômé d'une université d'outre-mer qui rentre au pays après avoir obtenu une éducation de premier ordre. Dans le cadre de cette étude, cependant, la signification s'applique à n'importe quel étudiant qui entend étudier à l'étranger et revenir ensuite chez lui pour en faire profiter son pays. En plus de la qualité de l'enseignement, les critères retenus pour établir le classement sont, notamment, la diversité culturelle et sociale, l'ouverture à l'immigration et la facilité d'obtention d'un visa de travail, l'ouverture aux investissements étrangers, les droits de scolarité, le coût de la vie, le taux de criminalité, le rendement potentiel d'un investissement immobilier, les possibilités d'emplois une fois diplômé et la valeur de la devise. Montréal devance des villes comme Londres, Cambridge et Oxford. «Ce qui aide aussi Montréal, entre autres, est le fait que la ville compte quatre universités, dont certaines ont une réputation de calibre mondial», commente André Costopoulos, doyen à la vie étudiante à l'Université McGill. Près du quart des 38 000 étudiants inscrits à McGill sont des étudiants étrangers et environ 50% d'entre eux proviennent de l'extérieur des États-Unis. L'Université McGill accueillera notamment 2400 nouveaux étudiants étrangers en septembre. L'étude préparée par The Economist souligne qu'il y a eu une hausse de 50% du nombre d'étudiants américains depuis 10 ans dans les universités canadiennes. Marché immobilier Les auteurs de l'étude soulignent par ailleurs que beaucoup de parents jonglent avec l'idée d'investir dans le pays où leurs enfants étudient. Et un investissement immobilier peut venir en tête de liste. Bien que la croissance moyenne des prix au cours des cinq dernières années soit un indicateur important, d'autres éléments doivent être considérés, les taxes, par exemple. L'achat d'une propriété peut notamment servir à éduquer et éveiller son enfant à la gestion et l'entretien d'un condo ou d'un immeuble à revenus. La tenue du marché immobilier a donc joué un rôle dans le classement des villes. Il est souligné dans l'étude que le Canada a évité la crise immobilière et la chute des prix survenue dans plusieurs villes américaines au cours des dernières années. Numéro un sur papier Montréal n'est pas la destination numéro un au monde présentement pour les étudiants étrangers, mais elle devrait l'être selon les conclusions de l'étude. Ce que l'exercice démontre est le fait que le retour sur l'investissement ne se limite pas au bagage de connaissances scolaires. Il faut tenir compte de l'expérience culturelle (restaurants, théâtres, spectacles, etc.), sociale, professionnelle (travail) et pratique (gestion d'une propriété si l'enfant s'implique dans l'investissement des parents). Tous ces éléments servent à former les «tortues de mer» et à les préparer pour leur retour à la maison, ce qui les aidera à obtenir un emploi et à mener une vie épanouissante. Ultimement, fait valoir l'étude, c'est ce qui représente le véritable rendement d'un investissement dans l'éducation de son enfant. L'étude est accessible à l'adresse http://seaturtleindex.com/ --------------- LE HAUT DU CLASSEMENT 1- Montréal, Canada 2- Londres, Angleterre 3- Hong Kong, Chine 4- Toronto, Canada 5- Cambridge, Angleterre 6- Oxford, Angleterre 7- Boston, États-Unis 8- Sydney, Australie 9- Zurich, Suisse 10- New York, États-Unis http://affaires.lapresse.ca/economie/quebec/201307/17/01-4671462-montreal-premier-de-classe-pour-les-etudiants-etrangers.php
  4. Économie québécoise Les ministres Bachand et Gignac se font rassurants Agence QMI 11/08/2011 11h34 QUÉBEC – Le gouvernement du Québec ne s’en fait pas pour l’économie de la province, malgré la croissance anémique aux États-Unis et en Europe, et les secousses boursières partout sur la planète. «L’économie québécoise va bien», a affirmé le ministre des Finances Raymond Bachand lors d’un point de presse jeudi matin à Québec. Il a mentionné que les prévisions de croissance 2 % pour cette année «sont maintenues», mais qu’il faudra réviser les chiffres pour l’an prochain en raison des nuages qui s’accumulent dans le ciel économique un peu partout dans le monde. Raymond Bachand a souligné que le taux de chômage est près d’un creux historique dans la province et que les investissements et la consommation demeurent soutenus. Les exportations se maintiennent, selon le ministre des Finances. Il a affirmé que cette bonne performance est notamment due au plan de contrôle de la dette qui prévoit un retour à l’équilibre budgétaire en 2013-2014. Le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, s’est toutefois dit «préoccupé par la situation américaine», mais il a rappelé que le «boom en Asie nous aide». Les deux ministres ont souligné qu’il faut faire la distinction entre la bourse et l’économie. Selon eux, l’économie peut croître malgré des chutes boursières. Rendement de la Caisse de dépôt et placement Le ministre Bachand ne s’est pas montré préoccupé à propos du rendement de la Caisse de dépôt et placement. «Je n’ai pas d’inquiétudes sur le rendement de la Caisse de dépôt», a-t-il dit. Selon lui, les dirigeants du bas de laine des Québécois ont adopté «un plan de gestion du risque costaud» qui le protège davantage de la volatilité boursière qu’en 2008, lors de la dernière crise financière mondiale. La Caisse doit divulguer ses résultats pour les six premiers mois de l’année plus tard en août.
  5. Mission : pas à la Caisse de sauver les sièges sociaux, dit Sabia 4 mai 2009 - 16h08 « Je suis Catholique, mais pas Jésuite » - Mission : pas à la Caisse de sauver les sièges sociaux François Pouliot ARGENT Michael Sabia estime qu’il n’est pas dans la mission de la Caisse de tenter de sauver des sièges sociaux. Il a cependant demandé à son équipe de tenter d’intégrer quatre principes dans la philosophie de placement de l’institution afin de permettre de rapprocher les deux éléments centraux de sa mission : rendement et développement économique du Québec. La question de la mission de l’institution a refait surface en commission parlementaire, alors que le député François Legault a demandé au nouveau président ce qui devait primer : rendement ou développement économique du Québec? « Je suis Catholique, mais je ne suis pas Jésuite. Je vais essayer d’éviter ce débat », a répondu monsieur Sabia. Il a néanmoins soutenu ne pas avoir de contradiction entre rendement et développement économique. Monsieur Sabia a poursuivi en énonçant quatre principes que la Caisse devrait suivre dans ses décisions d’investissement. 1-La Caisse est un fiduciaire des déposants, et sa responsabilité est différente de celles de la SGF ou Investissement Québec. 2-Nous avons un avantage compétitif au Québec parce que l’information est la clef. Il y a ici un accès prioritaire aux réseaux et aux gens d’affaires. 3-Une saine gestion demande une diversification hors du Québec et du Canada. C’est une question de gestion du risque. 4- Nous sommes un investisseur phare au Québec. Une décision d’investir ou de ne pas investir au Québec peut avoir un impact sur les autres. « J’ai l’intention de mettre ces quatre principes sur la table et de demander de les considérer pour chercher une façon d’améliorer l’équilibre entre le rendement et la participation au développement économique du Québec », a-t-il dit. Pas de sauvetage de sièges sociaux Le président a du même souffle estimé qu’il n’était pas du rôle de la Caisse de venir sauver les sièges sociaux du Québec. « Si l’on pense qu’il est possible de générer un rendement plus élevé à long terme avec une participation dans une société où il y a un débat sur le siège social, il sera possible pour nous d’avoir une oreille sympathique… », a-t-il dit, mais seulement dans cette situation. Monsieur Sabia a fait valoir que prendre une position de blocage dans les 25-30 sociétés clefs du Québec pourrait coûter entre 25 et 30 G $. Il a renouvelé l’intention de la Caisse de se rapprocher davantage des PME québécoises, qui peuvent fournir du rendement, et sont les sièges sociaux de l’avenir.
  6. La Caisse appauvrie de 38 milliards Publié le 05 février 2009 à 23h30 | Mis à jour le 05 février 2009 à 23h50 La Caisse de dépôt et placement du Québec va rendre publics des résultats catastrophiques pour l'année 2008, de loin les pires de ses 45 ans d'histoire. Le bas de laine des Québécois a fondu du quart - de 26% environ - selon les chiffres qui circulent à l'interne, dont La Presse a pu prendre connaissance. Une bien piètre performance, comparée à celle de l'ensemble des grandes caisses de retraite au Canada. L'ensemble des fonds de retraite au pays accusera un recul de 16%, prévoient les spécialistes de ce secteur. Les chiffres qui circulent à la CDP ne sont pas finaux, ils n'ont pas encore la bénédiction du comité de vérification interne de la Caisse et du Vérificateur général. Ce dernier a jusqu'au 24 février pour se prononcer sur l'évaluation faite de la valeur des papiers commerciaux, notamment. La Caisse prévoit rendre publics ses chiffres deux jours plus tard, tout de suite après la prochaine réunion du conseil d'administration. Les dirigeants de la Caisse n'ont pas été saisis de ces résultats lors de leur dernière rencontre, vendredi dernier, mais le comité de vérification a commencé son travail. La Caisse avait amorcé l'année 2008 avec 155,4 milliards dans les coffres; à la fin décembre, on en était à 120 milliards, une perte de 38 milliards environ si on tient compte des 3 milliards de cotisations versés par les déposants, c'est-à-dire les grandes caisses d'assurance publiques comme la Régie des rentes, le REGOP (le fond de retraite des fonctionnaires), la CSST, la Société d'assurance automobile, la Commission de la construction et même le Fonds des générations. Avec des pertes d'environ 38 milliards, le verdict tombera, impitoyable. Le rendement de -26% fera porter le bonnet d'âne aux administrateurs du bas de laine des Québécois. Avec ce résultat, sur 10 ans, la moyenne de croissance sera d'un peu plus de 4%, bien loin de la cible à long terme de 7%, le niveau nécessaire pour faire face aux obligations des régimes d'assurance et de retraite, estimé par la CDP l'automne dernier. À la CDP, on a refusé de commenter les chiffres de La Presse. «Nous annoncerons les résultats pour l'année 2008 vers la fin février. D'ici là nous ne commenterons d'aucune façon les rumeurs et les spéculations», a dit Mark Boutet, le vice-président Affaires publiques. D'autres sources à la CDP ont vu dans ces chiffres les bilans que s'échangeaient au cours des derniers jours les cadres de la Caisse. Selon les chiffres qui circulent à la CDP, il faudra inscrire une provision pour pertes d'un peu moins de 4 milliards sur les papiers commerciaux adossés sur des actifs. La Caisse détient 12,6 milliards de ces créances boiteuses, qui sont difficilement négociables parce qu'aucun marché n'existe encore pour échanger ces titres. Avec la dépréciation de 2007, 1,9 milliard , la provision pour perte globale de ce portefeuille risqué dépassera clairement les 40%, bien au-delà de ce qui a été fait jusqu'ici par les autres détenteurs privés. Ces produits complexes - la ministre Monique Jérôme-Forget a déjà dit que les gestionnaires de la Caisse ne savaient pas ce qu'ils faisaient en les achetant - devaient donner un quart de 1% de plus de rendement. Sur le fonds d'actions et d'obligations, le tiers de son portefeuille environ, la Caisse accusera en 2008 une perte de 26 milliards environ. La Caisse a fait aussi des mauvais paris en jonglant avec les devises étrangères - une perte de 5 milliards pour avoir trop souvent mal jugé de la direction du vent. Bien sûr, la crise boursière était mondiale, mais le bilan de la Caisse se compare difficilement à celui des autres grandes caisses de retraite, répertoriées par RBC Dexia, l'étalon qui sert normalement à la caisse pour évaluer sa performance par rapport aux autres fonds de retraite de plus de 1 milliard. Pour RBC, le rendement des très grands fonds de retraite au pays sera un recul de 18,5% pour 2008. Pour l'ensemble des fonds «équilibrés» la médiane est de -16,2%. C'est d'ailleurs ce qu'a atteint le Fonds d'action de la CSN. Le Fonds de solidarité a fait un peu mieux avec -15,3%. Pour Morneau Sobeco, un autre évaluateur de rendement de ces fonds, les administrateurs les moins performants du pays - les 5% en queue de peloton - ont ramené un rendement de -24% en 2008. Au Parti québécois, on se prépare déjà à dénoncer le gouvernement Charest pour cette contre-performance. «Il faut expliquer un écart qui risque d'être de près de 10% entre les résultats de la Caisse et celui des autres fonds. Il y a une urgence à revoir les politiques de placement de la Caisse», observe le critique financier du PQ, François Legault, qui ajoute : «Il y a à la caisse un problème grave dans la gestion du risque; M. Rousseau avait le mandat du gouvernement d'optimiser les rendements; il n'y avait pas de limite au risque.»
  7. L'économie canadienne se porte plus mal qu'on le pense Publié le 11 mars 2009 à 16h13 | Mis à jour à 16h15 La Presse Canadienne Ottawa Le directeur parlementaire du budget, Kevin Page, affirme que le rendement de l'économie canadienne est inférieur à ce que laissent entendre les différentes données publiées. Dans son évaluation de la situation économique rendue publique mercredi, M. Page écrit que la baisse de 3,4% du produit intérieur brut (PIB) réel qu'a connue le Canada au cours de son quatrième trimestre ne reflète pas vraiment la baisse de rendement de l'économie du pays. Il estime que le revenu intérieur brut (RIB) réel - qui mesure le pouvoir d'achat au pays - constitue un indicateur de rendement plus pertinent de la situation. Cette donnée a plongé de 15,3% au quatrième trimestre. Cette baisse abrupte a été alimentée par la réduction des bénéfices des sociétés, reflétant la forte baisse des prix des produits de base, écrit M. Page, faisant remarquer qu'elle est 10 fois plus prononcée que le déclin de 1,5% observé aux États-Unis durant la même période. Le rapport du directeur parlementaire du budget va à l'encontre de l'analyse relativement rose faite mardi par le premier ministre Stephen Harper, qui a affirmé que l'économie du Canada se comportait beaucoup mieux que celle des autres pays. Selon le document, les données du PIB montrant un recul de 6,2% de l'économie aux États-Unis au quatrième trimestre, comparativement à une baisse de 3,4% au Canada, sont trompeuses. Il s'agit de données annualisées, explique M. Page, ajoutant que comparativement à l'an dernier, le PIB du Canada affiche une baisse de 0,7%, contre une diminution de 0,8% du PIB américain, soit des rendements presque identiques.
  8. Le premier ministre du Québec et sa ministre des Finances misent sur la commission parlementaire pour comprendre l'important écart de rendement entre la CDPQ et les autres fonds de retraite canadiens. Pour en lire plus...
  9. Accusé d'avoir frauduleusement vendu pour 8milliards de dollars de certificats de dépôt à rendement super-élevé, le milliardaire texan Allen Stanford demeure introuvable. Pour en lire plus...
  10. La société Tembec a annoncé lundi un nouvel arrêt de la production à son usine de pâte de feuillus à haut rendement de Matane, dans le Bas St-Laurent. Pour en lire plus...
  11. Le climat est tendu. Certains administrateurs n'hésitent d'ailleurs plus à remettre en question la politique de rendement trop axée sur la performance. Pour en lire plus...
  12. L'ancien premier ministre a également ajouté que la Caisse doit s'éloigner de son «obsession» envers le rendement pendant qu'elle navigue à travers la crise économique mondiale. Pour en lire plus...
  13. Le Fonds de solidarité FTQ a enregistré, au cours du semestre qui s'est terminé le 30novembre dernier, un rendement négatif de 15,3% qui a fait fondre son actif net de 1,1milliard de dollars. Pour en lire plus...
  14. Les problèmes de la Caisse de dépôt et placement sont directement liés à sa nouvelle orientation qui privilégie le rendement, estime Yves Michaud, président fondateur du MEDAC. Pour en lire plus...
  15. Le producteur d'uranium, basé à Saskatoon, voit son rendement bondir de 46 % lors du troisième trimestre et annonce une révision de ses dépenses ainsi que de ses investissements. Pour en lire plus...
  16. Les titres provinciaux ont connu une semaine de grands mouvements sur le marché obligataire canadien. Du 30 octobre au 6 novembre, les obligations provinciales de 10 ans ont donné un rendement total de 224 points de base, contre seulement huit pour les titres comparables du gouvernement fédéral. Pour en lire plus...
  17. La compagnie aérienne britannique estime que la perte équivalant à 78 M$ CAN est un bon rendement étant donné le contexte très difficile. Pour en lire plus...
  18. La production des champs pétroliers matures baisse de 9% par an, en l'absence d'investissements pour augmenter leur rendement, estime l'Agence internationale de l'Énergie. Pour en lire plus...
  19. La crise financière et la diminution de la croissance chinoise préoccupent la direction qui réduit sa production mondiale de produits de l'acier de 30% pour limiter les stocks et stabiliser les prix. Pour en lire plus...
  20. Le rendement de la Caisse de dépôt et placement sera en recul d'environ 20% à moins d'un rebondissement imprévisible des marchés avant la fin de 2008. Pour en lire plus...
  21. Le rendement du portefeuille indiciel de Mercer a été de -7,9% au deuxième trimestre. Il s’agit du pire trimestre des dix dernières années pour ce type de fonds. Pour en lire plus...
  22. La société Tembec a annoncé hier qu'elle réduisait de 35 000 tonnes la production dans ses trois usines de pâte de feuillus à haut rendement afin d'équilibrer le niveau de ses stocks. Pour en lire plus...
  23. La direction du Fonds de solidarité de la FTQ estime qu'il y a peu de chance que le présent semestre se termine avec un rendement positif, mais soutient que le Fonds résistera bien à la crise américaine. Pour en lire plus...
  24. L'économie néo-zélandaise est entrée officiellement en récession vendredi, après avoir enregistré un deuxième trimestre consécutif de rendement négatif de son produit intérieur brut. Pour en lire plus...
  25. À partir du 15 décembre, tous les véhicules au Québec devront être munis de pneus d'hiver. Entre-temps, une étude recommande la pose de pneus à glace de technologie japonaise. Pour en lire plus...
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