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  1. Voici une compilation de photos que j'ai prises cette année à Montréal Je suis tombé par hasard sur la plupart des fresques, les photos ont donc été prises à l'improviste avec mon iPhone. Ça reste une qualité d'image de iPhone
  2. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  3. http://ici.radio-canada.ca/regions/Montreal/2016/07/06/004-politique-nationale-architecture-saint-laurent-de-sousa-ordre-architectes-quebec.shtml Saint-Laurent veut mettre un terme aux horreurs architecturales au Québec Publié le mercredi 6 juillet 2016 à 13 h 07 Centre-ville de Montréal Photo : iStockPhoto L'arrondissement de Saint-Laurent, à Montréal, devient la première instance municipale à demander officiellement au gouvernement du Québec une politique nationale de l'architecture, ce qui serait une première en Amérique. Il veut ainsi en finir avec les laideurs architecturales dans la province. Un texte de Marie-Ève MaheuTwitterCourriel Saint-Laurent a reçu plusieurs prix d'architecture et de design pour sa Bibliothèque du Boisé, construite en 2013 et certifiée LEED platine. Il veut maintenant servir d'exemple. Le conseil municipal a récemment adopté une résolution pour interpeller Québec. « Si nous voulons avoir des bâtiments qui sont faits avec la beauté, la fonctionnalité, mais aussi avec la performance environnementale, il reste encore beaucoup de barrières pour les villes et les instances municipales », dit le maire de Saint-Laurent, Alan De Sousa. Il donne en exemple le manque de latitude pour ouvrir les projets de construction à des concours d'architecture, ce qui a été possible pour la Bibliothèque du Boisé, réalisée par les firmes Cardinal Hardy, Labonté Marcil et Éric Pelletier architectes, réunies en consortium. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Bibliothèque du Boisé, dans Saint-Laurent. Elle a remporté le Grand Prix d'Excellence 2015 de l'Ordre des architectes du Québec. Photo : Yien Chao L'Ordre des architectes du Québec réclame depuis longtemps une politique nationale de l'architecture. « Les processus d'appel d'offres au Québec ne favorisent pas nécessairement la qualité. On choisit les professionnels ou les entrepreneurs selon le plus bas prix. Je ne dis pas qu'il faut payer plus cher, mais il faut qu'on fasse des projets de qualité. C'est tout le monde qui en bénéficie », soutient sa présidente, Nathalie Dion. Fin juin, l'Ordre a déposé un mémoire pour réitérer sa demande dans le cadre des consultations publiques du ministère de la Culture sur le renouvellement de la politique culturelle, qui ont lieu tout l'été. C'est ce qui a inspiré le conseil municipal de Saint-Laurent, avec l'objectif que d'autres villes lui emboîtent le pas. Manque de vision « On se pâme sur les exemples qui se font en Scandinavie ou dans d'autres pays en Europe. Pourquoi on n'est pas capable de faire aussi bien ici? », se désole Nathalie Dion, de l'Ordre des architectes du Québec. Oui, ça me décourage, surtout de savoir des fois que ce ne sont pas les architectes qui manquent de talent. C'est qu'on a pris des décisions basées sur des budgets. (Nathalie Dion) Un exemple? La reconstruction de l'école Saint-Gérard dans Villeray, à Montréal, qui se voulait un projet du 21e siècle, mais qui a été ramené à sa plus simple expression pour des questions budgétaires. Le système de géothermie a finalement été sauvé, mais l'atrium central et le toit vert sont passés à la trappe. « On aurait peut-être pu se permettre l'atrium en se disant que c'est un investissement pour les jeunes pour le futur, dit Mme Dion. Il n'y a peut-être pas d'étude qui dit textuellement que quand tu as une belle école tu vas mieux réussir, mais en général le cadre bâti influence la qualité de vie des gens au bureau ou dans un hôpital. Dans une école, c'est sûr que c'est important. » Une politique nationale de l'architecture permettrait de se donner une vision de l'architecture, dit Nathalie Dion, en termes d'esthétisme, de fonctionnalité et de durabilité environnementale entre autres. Et pas besoin d'être un pays pour en avoir une, souligne-t-elle. Elle donne les exemples de l'Écosse et de la capitale du Danemark, Copenhague.
  4. Il me semble qu'on avait déjà ce projet sur le forum, mais je n'arrive pas à le retrouver. Nouveau projet de condos au coeur du Village Monkland. LES TERRASSES MELROSE. PENTHOUSES haut de gamme de construction béton avec terrasse privée sur le toit. Finition de qualité supérieure: plancher de bois d'érable, comptoir de quartz et granite, robinetterie italienne, plafond de + de 9 pieds. 2 garages disponibles par unité. Promotion de Pré-Vente: STATIONNEMENT INTÉRIEUR GRATUIT !!! Valeur de plus de 35,000$
  5. Le Laurier - Nouveau à Rosemont, Montréal. Subvention disponible Seulement 16 unités de condo. livraison 2012 Réservez dès maintenant! Nouveau projet 16 condos à Rosemont, lofts et condos de 1 et 2 chambres. À partir de $199,900. Condos de qualité avec choix de couleur pour les cuisines et céramique. Venez visitez notre condo modèle et réservé votre unité au projet Le Laurier. Quartier Le quartier Rosemont est situé au coeur de Montréal. Avec tous les commodités à proximités ainsi que plusieurs atouts d'importance tel que; jardins botanique, plusieurs parc, cinéma Beaubien, plusieurs Métro et ligne d'autobus, piste cyclable, etc. Ce quartier offre une excellente qualité de vie. Découvrez ce quartier et saisissez l'opportunité que vous offre Le Laurier. Nombre d'unités 16
  6. Dans le quartier Sainte-Marie, juste à l'ouest du Pont J-C http://www.habitationsgg.com/dp/fr/node/14 22 condominiums René-Lévesque et Falardeau Le RL Condo Bureau des Ventes 2005 René-Lévesque Est Montréal, (Qc)H2K 2M4 Tél.: 514-969-2484 ext. 2 Heures d'ouverture Lundi au Mercredi 12h à 17h Jeudi et Vendredi sur rendez-vous Samedi et Dimanche de 12h à 17h Prix : à partir 208 900$ taxes, terrain et infrastructure inclus à 100% Caractéristiques et Avantages -7 unités sur René-Lévesque -15 unités sur Falardeau-posssibilité de stationnement -Terasse privée sur le toit -plafonds 8 ET 9 -pied en plein coeur de Montréal -Près des festivités et d’un quartier bien vivant -Frais de copropriété peu élevés -5 000 $ d’équipement gratuit EN PRÉVENTE Habiter à deux pas de tout RL CONDO, un développement urbain de 22 condos de une et deux chambres. Situées respectivement sur le boulevard René-Lévesque et sur la rue Falardeau, ces deux phases de trois étages proposent des logements baignant de lumière naturelle et conjuguent qualité et harmonie pour offrir une atmosphère chaleureuse. Un design intérieur raffiné qui brille par son choix de matériaux de première qualité. Un style qui mise sur l’élégance et l’intemporalité. Le tout, situé en plein cœur du centre-ville. Une cuisine au look moderne : comptoirs de quartz, armoires en thermoplastique, dosseret en mosaïque, évier carré au design actuel et robinetterie inspiré des restaurants. Une salle de bain rayonnante de confort, pensée en fonction de votre bien-être : douche à panneaux de verre coulissants offrant des jets de pluie généreux et bien enveloppants, armoire à pharmacie surmontée d’un miroir et meuble-lavabo flottant. Et pour profiter pleinement des beaux jours d’été, quoi de mieux qu’une terrasse sur le toit pour jouir d’une vue imprenable surle centre-ville, le pont Jacques-Cartier et La Ronde. L'endroit rêvé pour vos petites réceptions ou pour admirer les feux d’artifices
  7. Le Crawford est un projet de 8 condominiums à Rosemont La Petite Patrie. Il ne reste plus quelques unités de 2 chambres disponibles. Caractéristiques: Planchers de bois franc Climatiseur mural 6 électroménagers de marque européenne de qualité supérieure inclus Très grandes unités avec grande fenestration Plafond de 9 pieds et plus Stationnement disponible Cour intérieure Unités avec mezzanine et terrasse Livraison automne 2014 Plus d'information à la page: http://www.struktur.ca De L'Esplanade entre St-Zotique et Beaubien
  8. Le projet 3195 Dickson propose 10 condos de 1, 2 et 3 chambres, de 775 à 1550 pieds carrés, entre les stations de métro Cadillac et Assomption, dans Mercier. Situé à proximité de services et commodités, le 3195 Dickson est un projet accessible à de nombreux budgets. Inclus: Terrasses et balcon privé Choix de couleur de plancher, armoire et comptoir (condo personnalisé) Finition de qualité Possibilité de personnaliser son condo en ajoutant ou en enlevant des pièces Occupation printemps 2014 Plus d'information à la page: http://www.leshabitationsjuliens.com
  9. Architecture de qualité !!! J'aime ! Site actuel Street View : http://maps.google.ca/maps?q=2365+saint-patrick,+montr%C3%A9al&hl=fr&ie=UTF8&ll=45.481795,-73.569011&spn=0.01005,0.022724&safe=off&hnear=2365+Rue+Saint+Patrick,+Montr%C3%A9al,+Communaut%C3%A9-Urbaine-de-Montr%C3%A9al,+Qu%C3%A9bec+H3K+1B4&gl=ca&t=h&z=16&layer=c&cbll=45.481795,-73.569011&panoid=j-C-35jG8-wN6UtYa2dOdQ&cbp=12,328.39,,0,4.97 Site actuel Bird Eye View : http://www.bing.com/maps/?v=2&cp=rkdbsx8w28hz&lvl=18.31&dir=90.13&sty=b&nwyw=1&ss=yp.rue%20saint-patrick%2C%20montr%C3%A9al&form=LMLTCC http://www.mystsurlecanal.com *click to enlarge* *click to enlarge* *click to enlarge* *click to enlarge* Architectes : http://ateliercba.com/
  10. Habitez un lieu unique qui a laissé sa marque dans l’histoire de la région. Tirez tous les plaisirs d’un environnement alliant nature et modernité, situé à quelques pas seulement de la rivière des Mille-Îles et à proximité de tous les services. Construit selon un design architectural contemporain, Horizon 128 est un immeuble en copropriétés proposant 28 condominiums de 1117 pieds carrés et plus (2 chambres) et 2 penthouses (3 chambres et terrasse privée). À partir de 225 000$ plus taxes, incluant 1 espace de stationnement souterrain. UN COMPLEXE DE 28 CONDOMINIUMS OFFRANT DE NOMBREUX AVANTAGES, TELS : - Terrasse commune sur le toit avec aire de détente - 51 espaces de stationnement souterrains - Aménagement paysager avec asphalte et bordures - Finition extérieure de grande qualité : briques, pierres et aluminium - Ascenseur - Casiers privatifs (de type locker) pour chaque unité - Système de ventilation au garage conforme au Code de construction - Espace commun réservé aux déchets et au recyclage - Balcon en béton et garde-corps en verre pour chaque unité CHAQUE UNITÉ BÉNÉFICIE D’UN AMÉNAGEMENT DE HAUTE QUALITÉ, PERSONNALISÉ : - Insonorisation supérieure grâce à une construction sur dalles de béton - Plafond de 9 pieds - Fenêtres hybrides - Finition Haut de gamme - Luminaires - Trois choix de couleurs de peinture par unité Contact : http://www.horizon128.com 514-730-1008 128 Grande-Côte, Saint-Eustache, J7P 1A7
  11. Emplacement exceptionnel sur l'avenue Victoria Design contemporain, style urbain, espace épuré Immeuble de 4 étages avec stationnement intérieur pour les résidents Espaces couvert pour les automobiles des visiteurs Ascenseur Toit terrasse communautaire Système de caméras intérieur et extérieur sur DVR Intercom avec caméra de l'entrée Condominiums 3 1/2- 4 1/2- 5 1/2 Construction et produits de qualité supérieur Fenestration abondante Immeuble avec le service de Gaz Métro Insonorisation supérieur dans les planchers et murs mitoyen Vue sur le Country Club de St-Lambert et la ville de Montréal http://www.pururbain.com//pururbain_1/projet
  12. Ça creuse, une autre petite surprise à Laval, désolé pour la qualité.
  13. http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/475276/politique-culturelle-du-quebec-la-culture-c-est-aussi-l-architecture Politique culturelle du Québec La culture, c’est aussi l’architecture L’Ordre des architectes du Québec estime que «l’environnement bâti» fait partie de notre identité 12 juillet 2016 |Jérôme Delgado | Actualités culturelles Habitat 67, à Montréal Photo: Jacques Nadeau Le Devoir Habitat 67, à Montréal La prochaine politique culturelle du Québec devra affirmer que la qualité architecturale est une affaire d’intérêt public et que « l’environnement bâti constitue un aspect fondamental de notre identité ». C’est ce que revendique l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) dans son mémoire présenté lors d’une des premières séances de la consultation publique mise en place par le ministère de la Culture et des Communications. L’OAQ milite depuis longtemps pour une politique nationale de l’architecture du Québec. Celle-ci forme l’échine du document déposé le 21 juin et intitulé La qualité architecturale, un chantier à poursuivre. « Nous recommandons, y lit-on, que la future politique culturelle plaide en faveur d’une politique nationale de l’architecture pour le Québec. » En 2014, l’OAQ a lancé l’idée d’une politique nationale de l’architecture selon des initiatives observées en Europe. Depuis 1991, une vingtaine de pays se sont dotés d’un tel programme. Au Québec, si la politique culturelle émet le besoin de se doter d’une politique en architecture, ce serait un pas dans la bonne direction, selon la présidente de l’OAQ. « Un pont qui tombe, ça exige l’urgence une action. Une politique nationale, c’est un travail de longue haleine », concède Nathalie Dion, lors d’un entretien téléphonique. Elle se félicite par ailleurs que son lobbying porte ses fruits. L’arrondissement de Saint-Laurent a en effet profité du dépôt du mémoire de l’OAQ pour exiger à son tour une politique de l’architecture. Le conseil des élus de ce secteur de l’ouest de Montréal est ainsi devenu la première instance municipale à voter une résolution dans ce sens. Chercher l’harmonisation Sans politique nationale, pas de vision globale. Sans vision, pas de qualité, ce noble principe qui résulte de l’addition d’harmonie, de fonctionnalité, de durabilité et de réponse aux besoins d’un milieu. Selon le regroupement des architectes, la qualité de ce qui se construit dépend de la cohérence des actions de différents ministères. Or, à l’heure actuelle, chacun travaille en vase clos. « Il y a dix ministères qui touchent à l’architecture. Et il n’y a pas d’harmonisation entre ce que font l’un et l’autre », constate Nathalie Dion. Certains s’occupent du code du bâtiment, d’autres de patrimoine, d’efficacité énergétique ou du cadre légal. Un programme interministériel, ou « national », les réunirait tous. Dans son mémoire de 18 pages, l’OAQ cite l’école Saint-Gérard comme un « exemple frappant » des conséquences néfastes du « manque d’harmonisation ». L’établissement du quartier Villeray, dans Montréal, a écopé du dialogue de sourds, autant lors de sa destruction, rendue inévitable en 2014 pour des raisons de moisissures, que lors de son actuelle reconstruction. La décision initiale du ministère de l’Éducation de refuser un toit vert, l’éclairage DEL et un plan de géothermie pour des raisons de dépassement de coûts ne se serait pas présentée avec une politique nationale. « Il est dommage, déplore l’Ordre, qu’une école en soit ainsi réduite à choisir entre les mesures vertes, l’accessibilité universelle et la convivialité des espaces, alors que tous ces facteurs sont essentiels à la qualité d’un bâtiment public. » Le document de l’OAQ détaille ce que la politique culturelle devrait clamer. Il faudrait qu’elle énonce des grands principes qui détermineront l’action du gouvernement. En plus d’appeler à une meilleure coordination entre les organismes publics, les architectes plaident notamment pour une vision en amont de projets, pour un plus grand soutien aux municipalités et pour une meilleure valorisation de la recherche.
  14. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/880479/un-starchitect-debarque-a-montreal/ 26/11/2015 Mise à jour : 26 novembre 2015 | 3:00 Un «starchitect» débarque à Montréal Par Marc-André Carignan Sa signature n’est pas aussi extravagante que celle de plusieurs grands noms de l’architecture, tels que Frank Gehry ou Zaha Hadid. Au contraire: le Britannique David Chipperfield laisse sa marque depuis les années 1980 avec une étonnante sobriété, de Londres à Mexico. Ses lignes droites minimalistes se tiennent bien loin du tape-à-l’œil chinois ou dubaïote, offrant à ses réalisations une qualité architecturale capable de traverser l’épreuve du temps. Sa sensibilité remarquable au patrimoine bâti et aux paysages naturels lui vaut un grand respect de la communauté architecturale et des promoteurs, ce qui lui permet de décrocher des contrats très convoités. Je pense notamment à celui de la nouvelle maison des prix Nobel, à Stockholm. Ou encore, au gratte-ciel que son équipe développe actuellement sur le dernier terrain disponible de Bryant Park, à Manhattan. La qualité de ses espaces a été soulignée à maintes reprises au fil de ses années de pratique. L’architecte a ainsi reçu plus d’une centaine de distinctions, allant de celles de l’American Institute of Architects au prestigieux Mies van der Rohe Award de l’Union européenne. Eh bien, David Chipperfield s’amène à Montréal, un terrain de jeu inexploré jusqu’à présent pour son agence. SSENSE, une entreprise montréalaise de biens luxueux, vient de le mettre sous contrat pour dessiner son nouveau magasin phare (son «flagship») dans la métropole. Le projet n’a pas encore été officiellement soumis à la Ville, mais le mandat des architectes et des ingénieurs a débuté il y a déjà plusieurs semaines, m’a-t-on confié. L’équipe du Britannique devra non seulement élaborer une boutique signature sur l’île, mais elle aura également à plancher sur d’autres projets d’expansion de l’entreprise «dans plusieurs villes». À quoi peut-on s’attendre en termes de design? Difficile à dire pour le moment puisque les architectes cogitent toujours leur concept, et que SSENSE ne m’a pas rendu mes appels. Par contre, si l’on se fie à l’image de marque SSENSE [qui fait affaire avec plus de 200 designers de mode et d’objets haut de gamme], on peut s’attendre à un design très glamour et épuré. Selon mes sources, SSENSE était à la recherche d’une star de l’architecture depuis plusieurs mois afin d’accroître son rayonnement international à travers le design de ses boutiques. Plusieurs noms auraient circulé. Aurait-on pu faire appel à nos talents locaux pour ce mandat? Peut-être, mais il faut tout de même souligner que SSENSE a embauché, en 2013, la talentueuse firme montréalaise Humà Design pour dessiner son nouveau siège social dans une ancienne usine de textiles sur Chabanel. On ne regarde donc pas qu’à l’étranger.
  15. J'ai entendu parlé de ce projet à la radio aujourd'hui sur le site de la Ville Pierrefonds-Ouest Projet Développement immobilier du secteur Pierrefonds-Ouest; Création d’espaces de conservation d’importance; Construction d’un boulevard urbain dans l’emprise non construite de l’autoroute 440. Contexte Le secteur de Pierrefonds-Ouest couvre un vaste territoire de 400 hectares situé à l’extrémité ouest de l’arrondissement de Pierrefonds-Roxboro. Une portion de ce territoire est destinée à accueillir une communauté viable, correspondant à l’idée d’un quartier offrant une diversité de services de proximité et d’équipements publics accessibles à tous, des espaces verts de qualité et en nombre suffisant et une variété de typologies d’habitation. Le développement immobilier du secteur s’effectuera en étroite harmonie avec la création d’espaces de conservation. L’agrandissement du parc-nature de l’Anse-à-l’Orme permettra entre autres de créer un vaste corridor écologique et récréatif entre le bois Angell, le parc agricole du Bois-de-la-Roche et le parc-nature du Cap-Saint-Jacques. Il s’inscrira autour de la rivière à l’Orme, seule rivière intérieure de l’île de Montréal, et couvrira une superficie plus grande que le parc du Mont-Royal. La réalisation de ce projet urbain, situé dans un secteur enclavé et non desservi, est tributaire de la mise en place d’infrastructures de transport efficaces et d’infrastructures souterraines. Plus spécifiquement, un boulevard urbain doit être aménagé entre le boulevard Gouin et l'autoroute 40, dans l'emprise non construite de l'autoroute 440 appartenant au ministère des Transports du Québec. Le secteur a fait l’objet d’une démarche de planification impliquant des intervenants du milieu municipal, gouvernemental ainsi que les grands propriétaires fonciers concernés. Objectifs Construire un quartier intégré à un milieu naturel, se distinguant aussi par sa composition urbaine, par la qualité de l’aménagement du domaine public et par un réseau de circulation favorable aux transports collectif et actif; Protéger un riche patrimoine naturel et une mosaïque de paysages et les mettre en valeur par l’implantation de divers équipements récréatifs. Composantes et caractéristiques Développement immobilier : 185 hectares, incluant : plus de 5 000 logements; près de 23 hectares de parcs locaux, parcs de quartier et bassins de rétention. [*]Espaces de conservation : 180 hectares Investissements prévus 20,3 millions de dollars
  16. Le Cinq & Demi Condomimiums propose 7 condos, de 3 chambres, de 1350 à 1750 pieds carrés, dans un immeuble à l'architecture épurée et urbaine, dans l'arrondissement Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension. Quelques caractéristiques: Balcon en avant et en arrière (Terrasse au rez-de-Jardin) Planchers en céramique et bois Plafonds de 9 pieds (8 pieds rez-de-Jardin) Air climatisé et thermopompe Large fenestration en aluminium Comptoirs en quartz Armoires et vanités en thermoplastique Douche en céramique séparée du bain Robinetterie de qualité Échangeur d'air Aspirateur central Lumières encastrées dans la cuisine et la salle de bain Éclairage supérieur Isolation à l'Uréthane Systèmes Intercom et d'alarme Situé à quelques minutes de marche de la station de métro, le projet offre un espace de vie spacieux et confortable, dans un immeuble à la maçonnerie architecturale sur 4 façades, à proximité de nombreux services et commerces. Plus d'information à la page: http://www.constructionsdiego.com
  17. http://designmontreal.com/commerce-design/a-propos-de-commerce-design-montreal Commerce Design Montréal Toggle navigation À propos de Commerce Design Montréal La Ville de Montréal célèbre cette année le 20e anniversaire de la création des Prix Commerce Design Montréal, une initiative montréalaise dont le succès fait écho depuis plus de dix ans dans plusieurs villes d’Europe, du Canada et des États-Unis. Les efforts soutenus dans ce programme ont contribué à sensibiliser les commerçants et le public à la valeur ajoutée du design. Ils ont insufflé une remarquable progression dans la qualité des lieux que l’on fréquente et l’expérience qu’ils nous procurent. C’est sur cette lancée que la Ville de Montréal poursuit son action et récompense celles et ceux à qui l’on doit cette heureuse transformation. Les lauréats se retrouvent au cœur d’une campagne de promotion et de relations de presse d’envergure qui vise à les faire connaître auprès du grand public, contribuant à leur notoriété et à l’accroissement de leur volume d’affaires. Cette récompense confère aux Prix Commerce Design Montréal toute leur originalité. Un trophée, création du designer industriel Claude Maufette, est attribué aux lauréats (commerçants et designers) qui sont aussi pourvus d’autres outils promotionnels visibles signalisant leur distinction. Historique Commerce Design Montréal a été créé en 1995 dans le but de faire valoir auprès des commerçants montréalais les bénéfices d’investir dans la qualité de l’aménagement de leur établissement avec l’aide de professionnels qualifiés. La raison d’être de cette activité est encore et toujours de développer le marché du design commercial à Montréal pour : améliorer la qualité du cadre de vie et rendre la Métropole plus attrayante; augmenter la compétitivité des commerces; accroître la demande locale pour les services professionnels en aménagement commercial. Les objectifs visent à créer un effet d’entraînement auprès d’autres commerçants, de convaincre ces derniers du bien-fondé du design pour leur succès en affaires et d’avoir un effet structurant sur la revitalisation et la dynamisation des rues commerciales. L’effort public et parapublic pour sensibiliser les commerçants montréalais au design a été sans relâche de 1995 à 2004. L’étude d’impacts alors réalisée avait démontré que le programme a concrètement développé, en dix ans, le marché en design de commerces et induit l’effet d’entraînement recherché. La qualité promue par les Prix Commerce Design Montréal s’est avéré un axe de communication très porteur pour la candidature de Montréal Ville UNESCO de design dont la désignation a été obtenue en 2006. Après dix ans de succès, un élargissement et un repositionnement vers d’autres secteurs d’activités étaient nécessaires. Il s’imposait alors de sensibiliser de nouveaux acteurs à l’amélioration de la qualité du design dans la ville. En 2005, le prolongement de l’action de Commerce Design Montréal fut confié à Créativité Montréal qui réalisa, de 2006 à 2008, trois éditions des Prix Créativité Montréal. De son côté, la Ville de Montréal continua de transférer son expertise et céder des licences à d’autres villes qui reprisent le concept original. « Commerce Design » est devenu une marque de commerce officielle de la Ville de Montréal en 2014. En relançant le programme en 2015, Montréal souhaite continuer à inspirer d’autres villes, à faire grandir le réseau et voir évoluer son concept puis, engendrer des retombées probantes sur son territoire grâce au partage d’expériences. Les grandes étapes de Commerce Design Montréal Appel de candidature : l’objectif est de recruter une centaine de participants d’une grande diversité ; des commerces de tous types et envergure, répartis sur le territoire de l’île de Montréal, récemment aménagés avec l’aide d’un professionnel en design ou en architecture. Jury : le jury retient, suivant l’analyse des dossiers et le visionnement des photos, une quarantaine de commerces finalistes qu’il visite lors d’une tournée d’observation. Il sélectionne 20 commerces et concepteurs lauréats, ex aequo. Parmi les critères qui guident les jurés, la mise en contexte est cruciale, car la sélection vise à refléter plusieurs réalités commerciales à Montréal, afin que les commerçants qui songent à investir dans le design de leur commerce puissent s’identifier et s’inspirer de l’un ou l’autre des établissements primés. Les Prix du jury sont annoncés lors d’une soirée festive qui réunit des centaines d’invités. Rencontres avec les designers : le public est invité à découvrir, lors du weekend « Venez, voyez, votez! » les 13 et 14 juin 2015, les 20 commerces lauréats sous l’angle du design, alors que les concepteurs sont sur place pour accueillir visiteurs et clients et expliquer leur démarche créative. Prix du public : du 11 mai au 31 août 2015, le public peut voter en ligne ou à l’aide d’un bulletin de vote pour son commerce préféré parmi les 20 lauréats. Au terme de la campagne « Votez avec vos yeux!», le commerce qui récolte le plus grand nombre de votes est proclamé « Prix du public » lors d’un événement de presse. Des cartes et chèques-cadeaux échangeables dans les commerces primés sont tirés au hasard parmi les votants, bouclant ainsi la boucle. Voir les partenaires et collaborateurs Prix Frédéric-Metz En août 2014, le milieu du design a perdu un grand pédagogue, un communicateur exceptionnel, un militant en faveur de la qualité en design : Frédéric Metz (1944-2014). Professeur associé à l’École de design, membre fondateur du Centre de design et de l’École supérieure de mode de l’UQAM, il est une figure marquante du design au Québec. Pour perpétuer sa pensée, la Société des designers graphiques du Québec (SDGQ), l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et le Bureau du design de la Ville de Montréal lui rendent hommage en créant le Prix Frédéric-Metz dans le cadre des Prix Commerce Design Montréal 2015, un programme qu’il affectionnait tout particulièrement et auquel il a collaboré pendant plusieurs années. Le Prix Frédéric-Metz récompensera un établissement primé parmi les 20 Prix du jury dont le design (intérieur, graphique) parfaitement intégré, inspirant et efficace « facilite la vie, élève la beauté, la fonction et le sens, adoucit l’expérience, et constitue une valeur ajoutée à la vie quotidienne ». Un trophée, aux couleurs du personnage Metz, sera attribué aux lauréats lors d’une cérémonie spéciale le 14 septembre prochain. Une vidéo produite par deux étudiants en communications de l’UQAM, Gabriel Lajournade et Amélia Blondin, sous la direction artistique de Philippe Lamarre, président sortant de la Société des designers graphiques du Québec, a été réalisée pour l’occasion. Les plus proches collaborateurs et amis de Frédéric Metz témoignent de leur amitié et de leur admiration pour son travail et son legs pour les générations futures. sent via Tapatalk
  18. http://tourismexpress.com/nouvelles/le-palais-des-congres-de-montreal-rafle-l-or-a-l-international
  19. Lampadaire Wi-Fi dans Saint-Laurent Par Marc-André Carignan http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/710917/lampadaire-wi-fi-dans-saint-laurent/ L‘écocampus ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction.Arrondissement de Saint-Laurent Plus le temps passe, plus j’avoue être agréablement surpris par l’arrondissement de Saint-Laurent, qui ne manque visiblement pas d’ambition pour l’aménagement de son territoire. Il faut dire que le maire, Alan DeSousa, prend ce dossier à cœur depuis plusieurs années, et se fait une grande fierté d’exiger des constructions de plus en plus écologiques et audacieuses dans son secteur. Bien des gens l’ignorent, mais on retrouve dans Saint-Laurent une des plus fortes concentrations d’immeubles certifiés LEED (Leadership in Energy and Environmental Design) en Amérique du Nord. Cette certification est d’ailleurs devenue une exigence de l’arrondissement pour de nombreux développements immobiliers, autant résidentiels qu’industriels. Le maire se présente également comme un fier ambassadeur des concours de design à Mont*réal et tient mordicus à promouvoir la qualité architecturale à travers ses bâtiments municipaux. On n’a qu’à penser à la Bibliothèque du Boisé, qui est certainement une des plus belles bibliothèques contemporaines au Québec. Le prochain défi de l’arrondissement? Amorcer d’ici la fin de l’année le chantier d’un technoparc intelligent de 72 000m2 (l’équivalent de 12 terrains de football), en symbiose avec un boisé et un marais situés au nord de l’Aéroport Montréal-Trudeau. Cet «écocampus», dont les investissements sont évalués à 175M$, ne comprendra que des bâtiments dits «novateurs» en matière d’écoconstruction, en plus de réserver une place centrale au transport actif. Des sentiers permettront aux travailleurs de jouir d’un accès privilégié à la biodiversité du site, alors qu’une place publique au cœur du projet favorisera l’interaction entre les entreprises. Une salle de réunion extérieure, avec un mobilier sur lequel il sera possible de connecter ses appareils électroniques, se trouve aussi dans les plans. Mais attention, ne s’y établira pas qui veut. «On souhaite sélectionner les entreprises pour qu’elles soient en symbiose avec le milieu naturel, me précisait récemment la directrice de l’arrondissement, Véronique Doucet. Elles devront respecter notre philosophie écologique dans leurs activités quotidiennes.» Ce quartier deviendra également un banc d’essai pour diverses technologies liées au concept de «ville intelligente»: lampadaires à intensité variable en fonction des passants, senseurs pour la qualité de l’air et le bruit, signalisation électronique en bordure de la rue… La liste est longue. Des trottoirs chauffants pourraient également voir le jour. «Il y a beaucoup de choses qu’on va tester et qui risquent d’être reprises ailleurs sur le territoire si ça répond bien à nos attentes», poursuit Mme Doucet. À terme, l’écocampus devrait générer quelques milliers d’emplois. Les appels d’offres pour ce chantier seront lancés dès ce printemps.
  20. Griffintown est vraiment dans un boom de condos, mais aussi de restaurants de qualités! Puisque beaucoup de membres de ce forum vont déménager ou visiter Griffintown, j'ai décidé de commencer une liste de restaurant dans le quartier. Étant ''foody'' moi-même et ayant été à presque tout les restaurants du coin, j'aimerais partager cette liste puisque certains restos sont très peu connus! Voici une liste de restaurants dans Griffintown (et autour) à essayer! Grinder Le Richmond Code Ambiance Le Boucan Shinji Duo D Nora Gray Cafe Griffintown Arem La Gargote des Antiquaires Bonnys Rufus Rockhead Le Bureau Brasseur de Montreal New City Gas Sushi Taxi Grinder) Restos de tartares et de viandes avec importation de vin privé. Décor incroyable et l'ambiance ni manque jamais! Grinder (rue Notre-Dame) Le Richmond) Italien nouveau-genre avec bonne collection de vin. Restaurant caché sur la rue (déserte) Richmond, mais l'intérieur est superbe avec haut plafond. Le Richmond (rue Richmond) Code Ambiance) Cuisine française moderne avec des ingrédients recherchés de la plus haute qualité. Atmosphère très calme. À visiter pour la qualité des plats et non pour l'ambiance. Code Ambiance (rue Notre-Dame) Le Boucan) Petit resto sympa de viandes fumées (poulets et ribs) style smokehouse. Browny au bacon à essayer! Le Boucan (rue Notre-Dame) Shinji) Nouveau restaurant japonais avec un décor et style incroyable. Shinji (rue Notre-Dame) Duo D) Petit bistro français aucunement prétentieux avec des prix très résonables pour la qualité reçue. Duo D (rue Notre-Dame) Nora Gray) Petit restaurant italien de grande qualité. Réservez d'avance!!! Nora Gray (rue Saint-Jaques) Cafe Griffintown) Jolie petit cafe également ouvert pour le brunch. Il y a souvent de la musique ''live'' en soirée. Cafe Griffintown (rue Notre-Dame) Arem) Nouveau restaurant iranien moléculaire. Absolument unique en son genre, mais incroyablement cher! Arem (rue William) La Gargote) Petit restaurant très traditionel français et très tranquille. (rue Notre-Dame) Bonnys) Restaurant végétarien avec goût et abordable. Bonnys (rue Notre-Dame) Rufus Rockhead) Nouveau bar de Jeff Stinco (Simple Plan). Style et atmosphère avec live DJ tous les soirs. Rufus Rockhead (rue Notre-Dame) Le Bureau) Bar de tapas avec atmosphère détendue. Fromage flambé à essayer! Le Bureau (rue Notre-Dame) Brasseurs de Montreal) Bistro de bières artisanales présentement en ''rénovation''. Brasseurs de Montreal (rue William) New City Gas) Bar et club avec pleins d'évènements de grandes envergures! Pour ceux qui aiment la musique électronique! New City Gas (rue Ottawa) Sushi Taxi) Restaurant de sushi parfait pour takeout! Sushi Taxi (rue Notre-Dame)
  21. <header style="box-sizing: border-box; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;">http://www.ledevoir.com/societe/actualites-en-societe/406038/batir-des-tours-porteuses-de-sens Bâtir des tours porteuses de sens </header>19 avril 2014 | Frédérique Doyon | Actualités en société <figure class="photo_portrait left" style="box-sizing: border-box; margin: 0px 10px 0px 0px; float: left; width: 224px; color: rgb(0, 0, 0); font-family: Verdana, Geneva, sans-serif; line-height: 16.260000228881836px;"><figcaption style="box-sizing: border-box; font-size: 0.846em; line-height: 1.2em; padding: 2px 0px 15px;">Photo : ArwcheekLa tour Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar</figcaption></figure><section class="retenir retenir_portrait" style="box-sizing: border-box; width: 386px; font-family: Georgia, 'Times New Roman', Times, serif; line-height: 1.2em; background-color: rgb(239, 239, 242); padding: 15px; color: rgb(28, 30, 124); float: left; margin-bottom: 10px;">«Montréal n'a pas besoin d'être dans cette course à la Dubaï. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d'un côté et pas assez dans le reste du territoire.» — Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture</section> Les édifices emblématiques de Montréal datent des années 1960. Le petit boom changera-t-il la donne ? Qu’est-ce qu’un bon design architectural pour ces hautes structures ? Avec son centre-ville entre fleuve et mont Royal, Montréal n’a pas développé une culture du gratte-ciel. Le mot même est un abus de langage… Et la qualité relative des édifices en hauteur, depuis le boom des années 1960, en témoigne. «Beaucoup de tours sont insignifiantes à Montréal, elles ne sont pas porteuses de sens, souligne Clément Demers, le directeur général du Quartier international de Montréal. Pour avoir une tour de qualité, ça prend un promoteur visionnaire qui croit à la valeur culturelle de l’architecture, pas juste à la valeur financière. Ça prend aussi un marché prêt à l’absorber.» Comme à Toronto, dont la banlieue de Mississauga a retenu l’attention quand les tours de la firme chinoise MAD, surnommées « Marilyn Monroe » pour leurs formes sensuelles, ont remporté le prix Emporis Skyscraper 2013. «L’engouement suscité par le projet [issu d’un concours auquel les promoteurs étaient d’abord réfractaires] a décuplé les investissements», rapporte Jean-Pierre Chupin, le directeur de la Chaire de recherche sur les concours et les pratiques contemporaines en architecture. Selon Clément Demers, les bâtiments en chantier qui se multiplient à Montréal depuis quelques années, et encore d’ici 2020, majoritairement des condos, n’y ajouteront pas beaucoup de personnalité. Ceux qui se démarquent du skyline — la silhouette caractéristique de la ville telle qu’elle se découpe dans le ciel — sont encore et toujours la fameuse Place Ville-Marie de I.M. Pei (1962), la tour de la Bourse de Luigi Moretti (1963), le Westmount Square de Ludwig Mies van der Rohe (1967). Il ajoute le 1250, René-Lévesque (1992) de Kohn Pedersen Fox and Associates. Rien dans le radar des 20 dernières années, où débute la course aux tours à condos ? Jean-Pierre Chupin signale le bel effort récent du Louis Bohème en face du Devoir, signé Menkes Shooner Dagenais LeTourneux (MSDL) en 2010, pour le souci des matériaux et ses 27 étages qui donnent de l’ampleur à la ville sans lui imposer une masse côté place des Festivals. Car «la principale qualité des édifices en hauteur est leur participation à la construction de la ville, affirme M. Chupin. Est-ce qu’ils la régénèrent ou arrivent comme une brutalité dans la ville?» Il dégage deux autres aspects à considérer pour un design architectural réussi. «La tête d’une tour, c’est sa participation au skyline. C’est ce qu’on remarque en premier. Est-ce que ce sera une forme ou une enseigne?» Au risque parfois de briser le «skyline»plutôt que de l’enrichir… Plus important encore, il y a «le rapport à la rue qu’il ne faut jamais négliger». Effet carte postale Pendant que l’on compte nos (petits) gratte-ciel significatifs sur les doigts d’une main, le reste du monde en abonde. Car la course au plus haut, au plus flamboyant se poursuit, avec un souffle nouveau depuis le chantier du (One) World Trade Center, dans l’après-11- Septembre. Pour le meilleur et pour le pire. «À Dubaï, souvent, ils font les plans avant même de savoir ce qu’ils vont mettre dedans. L’image a beaucoup d’importance. Est-ce qu’on veut un effet carte postale ou une ambiance, une ville habitée?» En explosion dans ces régions émergentes, le gratte-ciel témoigne d’un pouvoir d’affirmation face au monde. Difficile de passer sous silence l’élégant Burj Doha de Jean Nouvel au Qatar, cylindrique avec sa tête en dôme, qui conjugue lignes contemporaines et motifs d’architecture islamique. Les courbes, injectées dans l’imaginaire architectural par des Antoni Gaudí, Oscar Niemeyer et Frank Gehry, rendues techniquement possibles grâce à l’évolution de l’ingénierie et des outils informatiques, se répandent dans le paysage urbain mondial. «On est dans des tentatives récentes pour revoir la forme», dit M. Chupin en citant le projet montréalais Peterson et ses balcons ondoyants à venir. À l’angle de René-Lévesque et Bleury vient de sortir de terre l’hôtel Marriott Courtyard, avec une courbure qui sert de parfait contre-exemple, selon le professeur de l’École d’architecture de l’Université de Montréal. «Sa forme semi-bombée n’apporte rien à la qualité de l’espace urbain.» «Ce n’est pas parce que les outils le permettent que c’est la solution à appliquer partout», note Anik Shooner, de la firme MSDL, qui insiste sur l’importance d’éviter les modes en architecture et d’analyser les volumes et formes de la ville pour dessiner un édifice. MSDL planche sur deux autres édifices à pleine hauteur, le YUL et le 900, De Maisonneuve. Expérimentation «Montréal n’a pas besoin d’être dans cette course à la Dubaï,clame M. Chupin. Je suis pour la densification, mais il faut éviter que ce soit trop dense d’un côté et pas assez dans le reste du territoire.» Tant qu’à chercher matière à inspiration, c’est du côté des concours d’idées architecturales eVolo qu’il suggère de regarder. Le premier prix est revenu à l’Américain Jong Ju-lee pour Vernacular Versatility qui reprend, en la transformant, la tradition architecturale coréenne du hanok, aux structures apparentes et aux bordures de toit recourbées. Le troisième prix remporté par les Sino-Canadiens YuHao Liu et Rui Wu explore l’usage structurel du CO2 dans les gratte-ciel. Un champ de recherche qu’il juge sous- exploité à Montréal, malgré les étiquettes LEED qui se multiplient. «Une tour devrait être un lieu d’expérimentation et d’apothéose, dit M. Chupin rappelant la longue vie de ces mégastructures. Là, alors, on mériterait de parler d’un Montréal du futur.»
  22. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/458218/charte-des-valeurs-economie-et-architecture/ Désirant profiter de la campagne électorale, l’Ordre des architectes du Québec (OAQ) amorce une tournée provinciale pour réclamer de nos élus l’adoption d’une politique nationale de l’architecture. Mine de rien, le dossier traîne depuis plus de 30 ans à l’Assemblée nationale. L’OAQ avait en effet déposé en 1982, alors que René Lévesque était au pouvoir, un livre blanc pour guider le développement urbain du Québec. Le dossier a refait surface à quelques reprises depuis, mais n’a malheureusement jamais mené à l’adoption d’une réelle stratégie provinciale. C’est pourquoi l’OAQ partira, dès la semaine prochaine, à la rencontre de députés, de maires, d’architectes et d’organismes sensibles à notre patrimoine bâti afin de faire valoir les bénéfices d’une telle politique. Seize pays, dont les Pays-Bas et la Norvège, possèdent déjà la leur, alors que 14 autres y travaillent d’arrache-pied. Pourquoi pas le Québec? Une politique provinciale forcerait notre gouvernement à devenir un client exemplaire pour la construction de bâtiments publics, en établissant une série de critères précis à examiner avant de sortir le chéquier pour un musée, un hôpital et même un échangeur autoroutier. En ce moment, l’État québécois persiste trop souvent à sélectionner un projet en ne regardant que la facture. Pas le fournisseur le plus fiable. Pas le plus talentueux. Le moins cher, et ce, peu importe la proposition. Est-ce ce que vous feriez avec votre propre maison si vous souhaitiez, par exemple, l’agrandir? Prendriez-vous le plus bas soumissionnaire (peu importe son CV et ses références) ou opteriez-vous pour le meilleur rapport qualité/prix afin d’assurer une plus-value à votre propriété? Poser la question, c’est y répondre. Pourquoi procéder différemment avec notre patrimoine collectif? Depuis déjà trop longtemps, on dépense des millions et des millions de dollars en édifices publics sans prendre le temps de regarder plus loin que le bout de notre nez. Mais ces bâtiments maximisent-ils vraiment notre productivité au travail? Reflètent-ils notre créativité? Possèdent-ils une valeur touristique? Une stratégie nationale démontrerait [enfin] que nos politiciens se soucient réellement de l’aménagement de notre territoire en affirmant vouloir prioriser un patrimoine bâti de qualité. En donnant l’exemple, on s’efforcerait de transformer nos paysages urbains en une fierté nationale comme dans bien des pays. Mais attention ici. Je ne parle pas de favoriser la construction d’icônes tape-à-l’œil, dispendieuses, qui vieillissent mal et qui n’ont strictement aucun impact sur notre qualité de vie. Je parle plutôt d’une fierté collective qui se rapproche davantage des pays scandinaves avec une architecture à échelle humaine, respectueuse de l’environnement et qui reflète notre identité culturelle. Assurons-nous d’obtenir le meilleur pour notre société. Pas le minimum requis.
  23. Premier épisode d’une série de quatre courts métrages documentaires sur les gratte-ciel, Terre retrace les origines de la tour d’habitation, depuis la tour de Babel de la Bible jusqu’aux immeubles locatifs de piètre qualité de la ville de New York. Narré par la chanteuse Feist, ce film a été réalisé par Katerina Cizek à partir des archives du New York Times. http://www.onf.ca/film/la_vie_a_la_verticale_partie1
  24. http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Portes-Ouvertes-Design-Montreal Montréal est une ville où le design et les designers - qu’ils soient des domaines de l’architecture ou du design d’intérieur, industriel, graphique, ou de la mode - représentent une force dynamique de la vie culturelle et économique. En juin 2006, Montréal a été désignée Ville UNESCO de design et fait désormais partie du Réseau des villes créatives de l'Alliance globale pour la diversité culturelle mis en place par l'UNESCO en 2004. Cette désignation décernée par l’UNESCO, tant sur la base des actifs que du potentiel de développement de la métropole montréalaise en architecture et en design, doit aujourd’hui être comprise et appropriée par les montréalais. La validation du titre Montréal, Ville UNESCO de design auprès des citoyens passe par la poursuite du travail de diffusion, de vulgarisation et de sensibilisation à la qualité en design et en architecture entrepris avec succès depuis 1998 par l’administration municipale au moyen de Commerce Design Montréal. Le concept même des Portes Ouvertes Design Montréal hautement public et accessible, à l’instar des Journées des Musées montréalais ou de la Culture, ou des circuits Commerce Design Montréal, est de faire [re]découvrir le design et les designers aux montréalais de façon à ce qu’ils s’approprient et soient fiers de la désignation UNESCO tout en devenant plus intéressés par ceux et celles qui façonnent leur quotidien. Depuis 2007, le bureau Design Montréal de la Ville de Montréal prend le parti d’ouvrir ces Portes ouvertes la première fin de semaine du mois de mai à toutes les disciplines du design, avec emphase sur celles qui ont un plus grand impact sur le cadre de vie montréalais (design de ville). L’originalité des Portes Ouvertes Design Montréal est de s’appuyer sur une sélection déjà existante de projets et de professionnels montréalais qui, chaque année, se distinguent dans le cadre de prix et concours d’architecture et de design crédibles, nationaux, voire internationaux. Ces lauréats restent trop souvent méconnus du public, la promotion des concours étant souvent limitée à un cercle réduit d’initiés. L’idée des Portes Ouvertes Design Montréal est de mettre fortement en lumière tous ces lauréats montréalais (concepteurs et projets) qui justifient, alimentent et sont les meilleurs ambassadeurs de Montréal Ville UNESCO de design. L’événement a pour but de : développer une culture de la qualité en architecture et en design : sensibiliser, éduquer et élever les exigences des montréalais de façon à créer une plus forte demande pour des projets innovants et de qualité démocratiser l’accès à l’architecture et au design en resituant ces professions et leur production dans le quotidien des montréalais faire découvrir au public les métiers du design et de l’architecture, défaire les préjugés envers ces professions et démontrer la richesse, la diversité et le talent de l’offre montréalaisefaire connaître la récente désignation de Montréal au titre de Ville UNESCO de design, en expliquer les fondements et développer la fierté du public situer l’action de Design Montréal comme une valeur ajoutée pour les organismes du milieu qui contribue au rayonnement de leur concours et à la notoriété de leurs lauréats
  25. Design intéressant ! Le 4218 de la Roche, condos sur le Plateau Description Le 4218 De La Roche, juste au nord du parc Lafontaine, est idéalement situé près de la flamboyante rue Mont-Royal , et à un jet de pierre du parc. Complexe de 8 condos prestigieux de 1117 pi2 à 1586 pi2, de 1 à 3 chambres à coucher, dont 3 sont déjà vendus sur plans. Nous travaillons avec une équipe d'experts tels qu'architectes, ingénieurs, fournisseurs réputés, afin d'offrir un produit unique et de grande qualité: - Terrasses sur le toit pouvant accueillir un spa privé, - cour intérieure privée, grands balcons, - pièces double hauteur avec plafonds de 17 pieds. - Comptoirs et îlots en granite ou quartz, - bois d'ingénierie en érable ou chêne, - céramique et accessoires de plomberie provenant de chez Ciot, - échangeur d'air, - espace lave-vaisselle. . - Insonorisation et isolation de qualité supérieure. Construction durable, et prise en charge de l'écologie et de la société. (Nous donnons par exemple tout l'équipement de restaurant (42 000$) à une communauté autochtone, pour la construction d'une cafétéria pour l'école de la réserve).
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