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  1. Un concours d'architecture pour la future bibliothèque Marc-Favreau Patrimoine Architectural 2009-07-13 Communiqué de presse | MONTREAL, le 9 juill. /CNW Telbec/ - L'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a procédé aujourd'hui au lancement d'un concours d'architecture à l'échelle du Québec pour la construction de la nouvelle bibliothèque Marc-Favreau. "Je me réjouis de la tenue de ce concours d'architecture. Ville UNESCO de design, Montréal a choisi de prêcher par l'exemple afin de hausser la qualité de son cadre de vie. Une saine compétition encourage la créativité et contribue à la notoriété du projet gagnant", a fait savoir la ministre de la Culture, des Communications et de la Condition féminine, Mme Christine St-Pierre. "Par des concours d'architecture comme celui-ci, nous améliorons la qualité de notre patrimoine bâti et nous contribuons à faire de Montréal une véritable capitale du design. Il s'agit d'une belle occasion pour faire appel aux talents créatifs des architectes de tout le Québec et de développer des concepts novateurs et diversifiés", a déclaré le maire de Montréal, M. Gérald Tremblay. "Cette bibliothèque, qui intégrera l'actuel bâtiment d'intérêt patrimonial du 700 Rosemont, est l'un des éléments centraux de la revitalisation de ce secteur appelé à devenir un modèle d'aménagement urbain axé sur la famille, la mixité sociale et le développement durable. La qualité de vie des familles est au coeur des actions de l'arrondissement et cette bibliothèque en sera un exemple éloquent", a déclaré Gilles Grondin, conseiller de la Ville, district du Vieux-Rosemont et responsable des dossiers culturels. Dans un premier temps, une présélection basée sur la présentation de la firme, l'expérience, l'équipe, l'organisation du travail ainsi que la compréhension du projet et des enjeux sera faite par le jury composé de sept personnes reconnues pour leur expertise dans le domaine. Les architectes doivent s'adjoindre les services d'ingénieurs pour définir un concept répondant aux exigences du programme fonctionnel et technique. Dans un deuxième temps, le jury sélectionnera quatre finalistes qui auront pour mandat de développer un concept répondant à quatre axes d'aménagement, soit le design, le développement durable, l'intégration de nouvelles technologies et la prise en considération de la vocation familiale du projet. Le concours sera réalisé selon les règles établies par l'Ordre des architectes du Québec (OAQ) et répondra aux exigences du ministère de la Culture, des Communications et de la Condition féminine (MCCCFQ) ainsi qu'aux normes du programme de rénovation, d'agrandissement et de construction des bibliothèques (RAC). Le Jury sera accompagné d'une commission technique composée d'experts qui donneront leur avis sur les aspects de faisabilité technique et de respect des contraintes budgétaires. Une somme de 48 700 $ sera accordée aux équipes sélectionnées pour le développement de leur concept, tel qu'établi par l'OAQ. Les finalistes seront dévoilés le 16 septembre prochain. Cette étape permettra de faire un choix éclairé basé sur la comparaison des propositions. Le nom de l'équipe sélectionnée sera dévoilé en décembre 2009. Rappelons que la bibliothèque sera construite sur le site des anciens ateliers municipaux qui est situé au sud du boulevard Rosemont jusqu'à la rue des Carrières, entre les rues Saint-Denis et Saint-Hubert. Un parc nommé en l'honneur du comédien Luc Durand sera aménagé non loin de la bibliothèque sur le site appelé à recevoir quelque 500 logements, dont deux projets de logements communautaires et un projet de condos, Quartier 54.
  2. monctezuma

    L7 - 3 étages

    Nouveau projet près du marché Atwater. L7CONDO Prévente L7CONDO sous peu, remplissez le formulaire contact pour être tenu informé du lancement du projet. Pour toutes questions, contactez nous: 514.808.0590 http://www.chapam.ca/
  3. Nouveau projet à prix invitant ! Situé à l'angle des rues Sicard et de Rouen dans le convoité et inspirant quartier d'Ho-Ma. Le Daxx charmera par son prix avantageux. Dès maintenant, vous offrir un condo de qualité répondant à tous vos besoins et vous établir dans un environnement stimulant est à votre portée. 3 CHAMBRES À COMPTER DE 259 900 $ +tx 4 étages 25 unités de 1 et 3 chambres Design actuel et fonctionnel Grand balcon arrière avec rangement AU CHOIX Unités de 3 chambres offertes sur 2 niveaux (maisonnette) Espaces de stationnements intérieurs (6) extérieurs (6) http://www.condodaxx.com
  4. Dans le quartier Sainte-Marie, juste à l'ouest du Pont J-C http://www.habitationsgg.com/dp/fr/node/14 22 condominiums René-Lévesque et Falardeau Le RL Condo Bureau des Ventes 2005 René-Lévesque Est Montréal, (Qc)H2K 2M4 Tél.: 514-969-2484 ext. 2 Heures d'ouverture Lundi au Mercredi 12h à 17h Jeudi et Vendredi sur rendez-vous Samedi et Dimanche de 12h à 17h Prix : à partir 208 900$ taxes, terrain et infrastructure inclus à 100% Caractéristiques et Avantages -7 unités sur René-Lévesque -15 unités sur Falardeau-posssibilité de stationnement -Terasse privée sur le toit -plafonds 8 ET 9 -pied en plein coeur de Montréal -Près des festivités et d’un quartier bien vivant -Frais de copropriété peu élevés -5 000 $ d’équipement gratuit EN PRÉVENTE Habiter à deux pas de tout RL CONDO, un développement urbain de 22 condos de une et deux chambres. Situées respectivement sur le boulevard René-Lévesque et sur la rue Falardeau, ces deux phases de trois étages proposent des logements baignant de lumière naturelle et conjuguent qualité et harmonie pour offrir une atmosphère chaleureuse. Un design intérieur raffiné qui brille par son choix de matériaux de première qualité. Un style qui mise sur l’élégance et l’intemporalité. Le tout, situé en plein cœur du centre-ville. Une cuisine au look moderne : comptoirs de quartz, armoires en thermoplastique, dosseret en mosaïque, évier carré au design actuel et robinetterie inspiré des restaurants. Une salle de bain rayonnante de confort, pensée en fonction de votre bien-être : douche à panneaux de verre coulissants offrant des jets de pluie généreux et bien enveloppants, armoire à pharmacie surmontée d’un miroir et meuble-lavabo flottant. Et pour profiter pleinement des beaux jours d’été, quoi de mieux qu’une terrasse sur le toit pour jouir d’une vue imprenable surle centre-ville, le pont Jacques-Cartier et La Ronde. L'endroit rêvé pour vos petites réceptions ou pour admirer les feux d’artifices
  5. Le projet initial de 150 millions est annulé et scindé en 2 projets distincts. Ancien projet : http://mtlurb.com/forums/showthread.php/17112
  6. http://www.wintercities.com/ On Facebook https://www.facebook.com/WinterCitiesInstitute Those who live and work in northern cities recognize the need for better planning and design. The sustainability of winter cities requires a creative approach that addresses the problems of snow and cold while enhancing the advantages, opportunities and beauty of the winter season. A positive approach benefits the attitudes of residents, and bolsters the community’s ability to attract new business and residents. The Winter Cities Institute was organized in 2008 to identify, promote and share the positive attributes of winter living, new concepts in architecture and urban design, and success stories from those places that are thriving in the north. The Institute was founded by Patrick Coleman, AICP, recognized for his work with the Livable Winter Cities Association (WCA). From 1982-2005, the WCA organized conferences, published books and the quarterly magazine “Winter Cities”. A totally volunteer staff made the WCA difficult to sustain and in the end it struggled with its mission. As Coleman incorporated winter enhancement strategies in his planning practice with multi-disciplinary design firms in Alaska and northern Michigan, he found enthusiastic reception to the idea of making winter a better time of year. “People are looking for answers to common winter problems and issues”, he said. “I experienced firsthand and heard from many the need for a source of information, networking and resources, and decided to launch the Institute as a web-based network and resource sharing project”. The Winter Cites Institute offers a place for those looking to improve the quality of life in wintertime and need information on what is being done in other northern places. Our members are from around the world and include: cities and towns architects planners engineers parks and recreation professionals economic development and tourism officials Welcome to the resources available on this site and consider joining the network to get even more benefits.
  7. La SAQ Signature située dans le Complexe Les Ailes déménagera sur la rue de la Montagne. Images : Sid Lee Architecture Le design de la SAQ Signature de Québec est vraiment bien!
  8. Nouveau projet de condos sur Bishop a coté du Viva Lofts, rendu pris sur le site de FX studio design
  9. Nouveau design: [ATTACH=CONFIG]22531[/ATTACH]
  10. Cahier des Charges Concours de design pour le développement d’éléments de mobilier urbain amovibles à l’usage des festivals Concours approuvé par l’association des designers industriels du Québec http://mtlunescodesign.com/docs/projects/09-RM-MobilierFestivals-CDC.pdf
  11. Des clins d'oeil a Montreal chez soi | Andre Laroche | Design Publié le 06 janvier 2017 à 11h00 | Mis à jour le 06 janvier 2017 à 11h00 Des clins d'oeil à Montréal chez soi Neige sur Montréal PHOTO MARTIN TREMBLAY, LA PRESSE André Laroche collaboration spéciale Une aquarelle de la carte géographique de Montréal? Des images encadrées de lampadaires typiquement montréalais? Grâce à des oeuvres de designers montréalais, on peut faire de jolis clins d'oeil à la métropole dans son décor. Cette collection s'appelle « Code Souvenir Montréal ». Elle compte quelque 200 objets créés par 59 artistes d'ici. On y trouve, par exemple, des assiettes de porcelaine ornées d'une simple ligne évoquant un bâtiment emblématique de Montréal, des verres à eau estampés « Saint-Laurent frappé », ou des housses de coussin inspirées des fenêtres distinctives de l'aéroport de Dorval. Loin d'être de simples articles promotionnels, ces objets du quotidien évoquent avec subtilité ou humour les emblèmes de la vie montréalaise : le pont Jacques-Cartier, le Monstre, l'enseigne Farine Five Roses, les escaliers en colimaçon, un bagel, une voiture de métro ou simplement le code YUL. Cette collection a d'abord été lancée en 2010 par le Bureau de design de Montréal, voué à faire connaître les designers et les architectes montréalais. Au départ, elle ne devait servir qu'à rassembler une sélection de cadeaux pour les invités de la Ville et des différentes institutions publiques. Elle a cependant permis aussi une formidable source d'émulation, remarque Béatrice Carabin, commissaire au Bureau du design. «La collection s'est raffinée au fil des éditions, car les designers ont développé une meilleure compréhension du message.» <cite>Béatrice Carabin </cite> Les carrés de soie créés par la designer Claire Papillon Photo fournie par la designer Claire Papillon Le catalogue a également franchi les murs de l'hôtel de ville, suscitant l'engouement des Montréalais eux-mêmes dans les boutiques du Jardin botanique et d'Espace pour la vie. En 2017, certaines de ses pièces seront offertes sous l'étiquette « Code Souvenir Montréal » dans plusieurs boutiques de la ville. L'annonce sera faite dans les prochaines semaines. « C'est un projet qui met en valeur la diversité de la vie montréalaise : son territoire, ses habitudes, sa nourriture... Il remet en lumière des choses très ancrées dans la culture d'ici », croit Mme Carabin. Pots à plante, par Alice in Montréal Photo fournie par Alice in Montréal Ce projet se trouve en droit fil avec la démarche de Claire Papillon. Cette artiste travaillait sur une collection de carrés de soie aux motifs évoquant l'histoire, l'architecture ou les événements marquants de Montréal lorsqu'elle a entendu l'appel du Bureau de design. Le catalogue lui offre une vitrine inespérée. « C'est important de bénéficier d'un tel appui, car nous travaillons tous seuls. Le Bureau nous procure une visibilité collective impossible à créer chacun de notre bord avec nos petits drapeaux », croit-elle. > Accédez au catalogue en ligne
  12. SOURCE: La presse - Quatre immeubles démolis dans une aire de protection Buildings to be demolished: 1421-1425 Mackay, and (based on the following text) I strongly suspect the dump at Mackay/Sainte-Catherine will also go down.
  13. Une firme de design new-yorkaise propose de doter l’Île Sainte-Hélène d’un deuxième dôme conçu comme l’ancien pavillon des États-Unis au cours de l’Expo 67. Selon le magazine de design et d'architecture Dezeen, la firme new-yorkaise Studio Dror aimerait construire une autre sphère géodésique à côté de la Biosphère actuelle, l’ancien pavillon des États-Unis. Ce pavillon avait été conçu à l’époque par l’architecte Richard Buckminster Fuller. Depuis 1990, le dôme est devenu un musée consacré à l’environnement. Le fondateur de Studio Dror, Dror Bensherit, a expliqué son projet au magazine Dezeen: «Comme le ferait le soleil et la lune, notre concept se présente comme une danse poétique avec le design de Fuller. Pour exploiter le potentiel du Parc dans un contexte contemporain.» Cette nouvelle structure, jumelle à celle de l’ancienne Biosphère, en adopterait les mêmes dimensions: 76 mètres de diamètre pour une hauteur de 62 mètres. Toutefois, la nouvelle version des Studio Dror serait construite avec un auvent aménagé à partir du haut de la structure. Ce qui permettrait de créer une zone partiellement abritée autour de sa base. Ses treillis en aluminium seraient aussi conçus pour permettre à la végétation d’y pousser afin de mieux intégrer la structure au décor environnant et d’insonoriser partiellement les lieux. Si le projet des Studio Dror se concrétise, la construction de ce deuxième dôme coïnciderait avec le 50e anniversaire d’Expo 67 l’an prochain. http://www.journaldemontreal.com/2016/04/26/un-nouveau-dome-sur-lile-sainte-helene
  14. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/880479/un-starchitect-debarque-a-montreal/ 26/11/2015 Mise à jour : 26 novembre 2015 | 3:00 Un «starchitect» débarque à Montréal Par Marc-André Carignan Sa signature n’est pas aussi extravagante que celle de plusieurs grands noms de l’architecture, tels que Frank Gehry ou Zaha Hadid. Au contraire: le Britannique David Chipperfield laisse sa marque depuis les années 1980 avec une étonnante sobriété, de Londres à Mexico. Ses lignes droites minimalistes se tiennent bien loin du tape-à-l’œil chinois ou dubaïote, offrant à ses réalisations une qualité architecturale capable de traverser l’épreuve du temps. Sa sensibilité remarquable au patrimoine bâti et aux paysages naturels lui vaut un grand respect de la communauté architecturale et des promoteurs, ce qui lui permet de décrocher des contrats très convoités. Je pense notamment à celui de la nouvelle maison des prix Nobel, à Stockholm. Ou encore, au gratte-ciel que son équipe développe actuellement sur le dernier terrain disponible de Bryant Park, à Manhattan. La qualité de ses espaces a été soulignée à maintes reprises au fil de ses années de pratique. L’architecte a ainsi reçu plus d’une centaine de distinctions, allant de celles de l’American Institute of Architects au prestigieux Mies van der Rohe Award de l’Union européenne. Eh bien, David Chipperfield s’amène à Montréal, un terrain de jeu inexploré jusqu’à présent pour son agence. SSENSE, une entreprise montréalaise de biens luxueux, vient de le mettre sous contrat pour dessiner son nouveau magasin phare (son «flagship») dans la métropole. Le projet n’a pas encore été officiellement soumis à la Ville, mais le mandat des architectes et des ingénieurs a débuté il y a déjà plusieurs semaines, m’a-t-on confié. L’équipe du Britannique devra non seulement élaborer une boutique signature sur l’île, mais elle aura également à plancher sur d’autres projets d’expansion de l’entreprise «dans plusieurs villes». À quoi peut-on s’attendre en termes de design? Difficile à dire pour le moment puisque les architectes cogitent toujours leur concept, et que SSENSE ne m’a pas rendu mes appels. Par contre, si l’on se fie à l’image de marque SSENSE [qui fait affaire avec plus de 200 designers de mode et d’objets haut de gamme], on peut s’attendre à un design très glamour et épuré. Selon mes sources, SSENSE était à la recherche d’une star de l’architecture depuis plusieurs mois afin d’accroître son rayonnement international à travers le design de ses boutiques. Plusieurs noms auraient circulé. Aurait-on pu faire appel à nos talents locaux pour ce mandat? Peut-être, mais il faut tout de même souligner que SSENSE a embauché, en 2013, la talentueuse firme montréalaise Humà Design pour dessiner son nouveau siège social dans une ancienne usine de textiles sur Chabanel. On ne regarde donc pas qu’à l’étranger.
  15. Article intéressant dans le NYMAG : The Psychological Cost of Boring Buildings By Jacoba Urist April 12, 2016 10:56 a.m. <cite class="credit">Photo: Philip Laurell/Getty Images </cite>New Yorkers have long bemoaned their city being overrun by bland office towers and chain stores: Soon, it seems, every corner will either be a bank, a Walgreens, or a Starbucks. And there is indeed evidence that all cities are starting to look the same, which can hurt local growth and wages. But there could be more than an economic or nostalgic price to impersonal retail and high-rise construction: Boring architecture may take an emotional toll on the people forced to live in and around it. A growing body of research in cognitive science illuminates the physical and mental toll bland cityscapes exact on residents. Generally, these researchers argue that humans are healthier when they live among variety — a cacophony of bars, bodegas, and independent shops — or work in well-designed, unique spaces, rather than unattractive, generic ones. In their book, Cognitive Architecture: Designing for How We Respond to the Built Environment, Tufts urban policy professor Justin Hollander and architect Ann Sussman review scientific data to help architects and urban planners understand how, exactly, we respond to our built surroundings. People, they argue, function best in intricate settings and crave variety, not “big, blank, boxy buildings.” Indeed, that’s what Colin Ellard, a neuroscientist at the University of Waterloo and director of its Urban Realities Laboratory, has found in his own work. Five years ago, Ellard became interested in a particular building on East Houston Street — the gigantic Whole Foods “plopped into” a notoriously textured part of lower Manhattan. As described in his book, titled Places of the Heart: The Psychogeography of Everyday Life, Ellard partnered with the Guggenheim Museum’s urban think tank to analyze what happens when someone “turns out of a tiny, historic [knish] restaurant” and encounters a full city block with nothing but “the long, blank façade of the Whole Foods Market.” The Whole Foods on Houston. In 2011, Ellard led small groups on carefully planned Lower East Side walks to measure the effect of the urban environment on their bodies and minds. Participants recorded their response to questions at each stopping point and wore sensors that measured skin conductance, an electrodermal response to emotional excitement. Passing the monolithic Whole Foods, people’s state of arousal reached a nadir in Ellard’s project. Physiologically, he explained, they were bored. In their descriptions of this particular place, they used words like bland, monotonous, and passionless. In contrast, one block east of the Whole Foods on East Houston, at the other test site — a “lively sea of restaurants with lots of open doors and windows” — people’s bracelets measured high levels of physical excitement, and they listed words like lively, busy, and socializing. “The holy grail in urban design is to produce some kind of novelty or change every few seconds,” Ellard said. “Otherwise, we become cognitively disengaged.” The Whole Foods may have gentrified the neighborhood with more high-quality organic groceries, but the building itself stifled people. Its architecture blah-ness made their minds and bodies go meh. And studies show that feeling meh can be more than a passing nuisance. For instance, psychologists Colleen Merrifield and James Danckert’s work suggests that even small doses of boredom can generate stress. People in their experiment watched three videos — one boring, one sad, and one interesting – while wearing electrodes to measure their physiological responses. Boredom, surprisingly, increased people’s heart rate and cortisol level more than sadness. Now take their findings and imagine the cumulative effects of living or working in the same oppressively dull environs day after day, said Ellard. There might even be a potential link between mind-numbing places and attention deficit hyperactivity disorders. In one case, physicians have linked “environmental deprivation” to ADHD in children. Homes without toys, art, or other stimuli were a significant predictor of ADHD symptoms.Meanwhile, the prevalence of U.S. adults treated for attention deficit is rising. And while people may generally be hardwired for variety, Dr. Richard Friedman, director of the pharmacology clinic at Weill Cornell Medical College, makes the case that those with ADHD are especially novelty-seeking. Friedman points to a patient who “treated” his ADHD by changing his workday from one that was highly routine — a standard desk job — to a start-up, which has him “on the road, constantly changing environments.” Most ADD is the result of biological factors, said Dr. Edward Hallowell, a psychiatrist who specializes in ADHD, and co-authored numerous books on the subject, such as Delivered From Distraction: Getting the Most Out of Life With Attention Deficit Disorder. But, he explained, he sees a lot of socially induced ADD, too, a form of the disorder that makes it appear as though you inherited the genes, although you really haven’t. And one way you might have the socially induced condition, according to Hallowell, is to suffer severe boredom or live in a highly nonstimulating environment. “It makes total sense that for these people changing where they work or live to add more visual stimulation and daily variety could be extremely helpful,” Hallowell said. At the same time, many adults may feel they have ADHD because the world has become hypersaturated with constant texts, emails, and input. For them, life has become too adrenalizing. “They don’t have true ADHD,” Hallowell said, “but, rather, what I call a severe case of modern life.” So the trick, it seems, is to design a world that excites but doesn’t overly assault our faculties with a constant barrage of information: Scientists aren’t proposing that all cities look like the Vegas strip or Times Square. “We are, as animals, programmed to respond to thrill,” said professor Brendan Walker, a former aerospace engineer and author of Taxonomy of Thrill and Thrilling Designs. In Walker’s University of Nottingham “thrill laboratory,” devices gauge heart rate and skin conductance to see how people respond to adrenaline-producing experiences such as a roller-coaster ride. And he’s reduced “thrill” to a set of multivariable equations that illustrate the importance of rapid variation in our lives: A thrilling encounter moves us quickly from a state of equilibrium to a kind of desirable “disorientation,” like the moment before you rush down the hill of a roller coaster. “Humans want a certain element of turmoil or confusion,” he said. “Complexity is thrilling whether in an amusement park or architecture.” Environmental thrill and visual variety, Walker believes, help people’s psyche. As many of us instinctively feel a wave of ennui at the thought of working all day in a maze of soulless, white cubicles, blocks of generic buildings stub our senses. It’s not only that we’re genetic adrenaline junkies. Psychologists have found that jaw-dropping or awe-inspiring moments — picture the exhilarating view of the Grand Canyon or Paris from the Eiffel tower — can potentially improve our 21st-century well-being. One study showed that the feeling of awe can make people more patient, less materialistic, and more willing to help others. In an experiment, researchers showed students 60-second clips of waterfalls, whales, or astronauts in space. After only a minute of virtual images, those who said they were awed also felt less pressed for time. In a second experiment, individuals recalled “an awe-inspiring” event and then answered a range of survey questions; they were also more likely to say they’d volunteer for a charity, as compared to those who hadn’t spent time thinking about a past moment of awe. And in yet another variation, people made hypothetical choices between material and experiential goods of equal monetary value: a watchor a Broadway show, a jacket or a restaurant meal. Those who recently “felt awe” were more likely to choose an experience over a physical possession, a choice that is linked with greater satisfaction in the long run. In other words, a visual buzz — whether architectural or natural — might have the ability to change our frame of mind, making modern-day life more satisfying and interactive. It’s important to note, however, that architectural boredom isn’t about how pristine a street is. People often confuse successful architecture with whether an area looks pleasant. On the contrary, when it comes to city buildings, people often focus too narrowly on aesthetics, said Charles Montgomery, author of Happy City: Transforming Our Through Urban Design. But good design is really is about “shaping emotional infrastructure.” Some of the happiest blocks in New York City, he argues, are “kind of ugly and messy.” For instance, Ellard’s “happier” East Houston block is a “jumbled-up, social one”— the Whole Foods stretch, in comparison, is newer and more manicured. Sometimes what’s best for us, Montgomery explained, just isn’t that pretty. His research also shows cacophonous blocks may make people kinder to each other. In 2014, Montgomery’s Happy City lab conducted a Seattle experiment in which he found a strong correlation between messier blocks and pro-social behavior. Montgomery sent researchers, posing as lost tourists, to places he coded as either “active façades” — with a high level of visual interest — or “inactive façades” (like long warehouse blocks). Pedestrians at active sites were nearly five times more likely to offer help than at inactive ones. Of those who helped, seven times as many at the active site offered use of their phone; four times as many offered to lead the “lost tourist” to their destination. Fortunately, it’s not necessarily a dichotomy — new architecture can achieve the optimal level of cacophony and beauty. Take the 2006 Hearst Tower in midtown Manhattan. From the outside, the façade is likely to jolt city dwellers — if anything will — from their daily commutes, while “thrilling” employees who enter it each morning. Designed by Pritzker Architecture Prize–winning architect Norman Foster, Hearst Tower is a glass-and-steel skyscraper, 40 stories of which are designed in a triangular pattern contrasting the 1920s Art Deco base. For many who walk by, Hearst Tower’s design may not be the easiest to understand; it’s both sleek and old. The top looks like it traveled from the future. Inside, workers travel upon diagonal escalators, up a three-story water sculpture, through the tower’s historic atrium” flooded with light. It’s not the view from the Eiffel Tower or the Grand Canyon, but it’s probably as close a modern lobby can come to awe-inspiring. Few New Yorkers who pass by would find this building boring. And they’re likely happier — maybe even nicer to each other — because of it. <cite class="credit"></cite>
  16. Depuis quelques semaines il y a des travaux dans le petit immeuble à bureau situé rue Sherbrooke ouest coin Bishop. L'immeuble n'est pas très beau avec ses briques jaunes, et il est complètement vide depuis longtemps. J'ai été surpris de voir des travailleurs à l'intérieur alors je suis rentré pour demander ce qui se passait, évidemment ! À ma surprise un travailleur m'a dit qu'il était en train de construire un bureau de vente qui devrait ouvrir ses portes ce printemps. L'immeuble en question sera complètement transformé pour devenir un immeuble résidentiel avec condos de luxes. C'est le ''Groupe Maxera'' qui s'occupe de ce projet. Le Groupe Maxera est celui qui a construit le Salto dans St-Léonard et qui a lancé la phase II dernièrement. Si les ventes vont bien ils pourrait commencer les travaux dès l'automne. Le bureau de vente lui sera construit comme un unité modèle. Donc, il m'a montré un rendu et j'ai été agréablement surpris. Très beau design. L'immeuble sera complètement ''stripper'' de l'intérieur et de l'extérieur. Seul la structure restera en place. Un revêtement complètement nouveau remplacera les briques jaunes et c'est tant mieux. La hauteur ne devrait pas changer sauf un étage de plus, je crois. Avec un coup d’œil rapide le design m'a fait penser au ''Triomphe'' mais en moins haut et avec une touche un peu plus glamour. Enfin, si tout va bien nous devrions en savoir plus bientôt et probablement voir le rendu en question.
  17. LE MINISTRE SAM HAMAD ANNONCE UNE DÉMARCHE CONCERTÉE POUR L'AMÉNAGEMENT DU PARCOURS D'ENTRÉE DE VILLE DE MONTRÉAL Un concours international d'idées en design urbain est lancé MONTRÉAL, le 20 mai 2011 /CNW Telbec/ - Le ministre des Transports, M. Sam Hamad, a annoncé aujourd'hui, dans le cadre du Forum stratégique sur le développement des infrastructures de transport organisé par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, une démarche concertée pour l'aménagement du parcours d'entrée de ville de Montréal. Cela se traduira par la tenue d'un concours international d'idées en design urbain pour le parcours reliant l'Aéroport international Montréal-Trudeau au centre-ville de Montréal dans le corridor de l'autoroute 20. Initiée par le ministère des Transports, cette démarche concertée réunit en une table de travail les représentants des principaux organismes dans ce secteur, soit la Ville de Montréal et ses arrondissements Côte-des-Neiges - Notre-Dame-de-Grâce, Lachine, Sud-Ouest et Ville-Marie, les villes de Dorval, Montréal-Ouest et Westmount, la Communauté métropolitaine de Montréal, la Conférence régionale des élus de Montréal, Parcs Canada, Aéroports de Montréal, l'Agence métropolitaine de transport ainsi que le Canadien National et le Canadien Pacifique. « La présente décennie a vu et verra de nombreux projets se concrétiser dans ce corridor, notamment ceux du ministère des Transports. Il s'agit là d'une occasion unique de coordonner l'aménagement urbain de ce corridor et d'obtenir des propositions à la hauteur de nos aspirations », a déclaré le ministre Hamad. Pourquoi choisir le corridor de l'autoroute 20 ? Principale porte d'entrée internationale du Québec, le corridor de l'autoroute 20, entre l'aéroport et le centre-ville, constitue pour de très nombreux visiteurs le premier contact avec Montréal et le Québec. C'est également le décor quotidien de milliers de Montréalais qui y circulent en voiture, en train ou en autobus. Ce secteur de la ville est en effervescence et de nombreux projets autant publics que privés sont appelés à s'y réaliser au cours des prochaines années. Il s'agit donc d'une occasion unique de créer un véritable parcours d'entrée de ville de calibre international pour la métropole. Un concours international d'idées Le concours international d'idées pour le développement d'une vision stratégique d'aménagement du corridor de l'autoroute 20 s'adresse à tous les professionnels en aménagement, qu'ils soient architectes, designers urbains ou urbanistes. Ces professionnels sont invités à former des équipes multidisciplinaires comptant également des artistes, scénographes et spécialistes en transport. Les différentes idées qui seront proposées permettront de mieux définir les possibilités de développement et de dégager les options qui font consensus pour l'ensemble des intervenants. Plus spécifiquement, ce concours international d'idées cherche à réinventer et à harmoniser les liens des multiples composantes de ce parcours et les milieux de vie adjacents. « La tenue d'un concours international d'idées permettra d'obtenir des propositions de visions macroscopiques d'aménagement qui reflètent l'identité et la maturité de Montréal et qui soutiennent sa vitalité. La tenue du concours permet aussi de souligner le 5e anniversaire de la désignation de Montréal Ville UNESCO de design en soutenant les efforts d'accroissement de la qualité du design des lieux montréalais afin d'en promouvoir la viabilité et l'attractivité», a souligné M. Hamad. Le concours sera officiellement lancé le 9 juin 2011 lors d'un appel de participation qui présentera l'ensemble des modalités et les documents qui guideront l'élaboration des propositions. Les équipes auront jusqu'au 7 octobre pour déposer leurs projets. Le ministère des Transports a confié à la Chaire en paysage et environnement de l'Université de Montréal (CPEUM) le soin de piloter le concours international d'idées et l'effort de concertation qui en découle. Fondée en 1996, la CPEUM a pour mission le développement de connaissances et de moyens d'intervention dans les domaines du paysage et de l'environnement. La CPEUM mise, pour ce faire, sur des collaborations étroites avec ses principaux partenaires, dont le ministère des Transports, qui participent aux projets de la CPEUM depuis ses débuts. « Plus que jamais, nos emprises autoroutières doivent s'intégrer de façon harmonieuse dans les milieux urbains dans lesquels elles se trouvent. Une intégration concertée et cohérente permettra à ce parcours de devenir une signature urbaine pour notre métropole», a conclu M. Hamad. http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Mai2011/20/c6522.html
  18. SVP, remplacer ce fil par celui du projet de Karl Fischer. Le projet de Lemay n'est visiblement pas celui qui est sur la table. Nouveau design. Merci à MtlSkyline!
  19. http://www.groupesopromont.com/fr/projets/17-projet-delano.html http://delanocondos.com/le-projet.html La première phase de cet impressionnant projet, situé dans le quartier Chomedey à Laval, propose un immeuble de structure de béton, comprenant 59 unités réparties sur 6 étages avec ascenseur. Sa localisation géographique est idéale : à proximité de tous les grands axes routiers Lavallois, du renommé Marché 440 ainsi que d'innombrables restaurants et boutiques qui entourent le site du DELANO. D'un design contemporain, les immeubles démontrent une architecture urbaine et intemporelle. Pour jouir pleinement de la vue panoramique imprenable, toutes les unités sont dotées d'une fenestration abondante.
  20. 4 images Que se passe t'il avec ce projet - n'était t'il pas question de plusieurs tours. Il n'en a que deux? Pas que je suis fous du design - je trouve que ça l'air un peu de mini tour a bureau comme de classe B dans les banlieu de grandes villes
  21. http://www.archdaily.com/631845/4-techniques-cold-climate-cities-can-use-to-make-the-most-of-their-waterfronts/ 4 Ways Cold-Climate Cities Can Make The Most Of Their Waterfronts Chaudière Island project in Ottawa. Image Courtesy of Perkins+Will Urban waterfronts have historically been the center of activity for many cities. They began as economic, transportation and manufacturing hubs, but as most industries changed their shipping patterns and consolidated port facilities, many industrial waterfronts became obsolete. In Europe, smaller historic ports were easily converted to be reused for leisure activities. However, in North America, where the ports were larger, it was more difficult to convert the waterfronts due to logistical and contamination issues. Over the past 40 years or so, architects and urban planners have started to recognize the redevelopment potential for waterfronts across the United States and Canada, and the impact they can have on the financial and social success of cities. Though cold-climate cities pose a unique challenge for waterfront development, with effective planning waterfront cities with freezing winter months can still take advantage of the spaces year-round. Treasure Island project in San Francisco. Image Courtesy of Perkins+Will Many cities in the northeastern United States and Canada are applying “California design principles” – design tactics that allow individuals to spend time outside 365 days a year – to redevelop their waterfronts and make them accessible to the public all year long. At Perkins+Will we have been active in this change, applying lessons learned in San Francisco and the Bay Area to colder cities such as Toronto, Ottawa and Buffalo. Here are four design principles that can help cold-weather cities make the most of their waterfronts: Treasure Island project in San Francisco. Image Courtesy of Perkins+Will 1. Planning for winter sun Areas with sun are easily the most well-loved places in any city, but in dark, winter months, they can be especially hard to find. City spaces should find ways to plan for winter sun from the beginning of new development because individuals need, and are drawn to, the warmth that sunlight provides. Maximizing available sun in the winter is key to creating spaces where people love to be. Solar study for Lower Yonge project in Toronto. Image Courtesy of Perkins+Will San Francisco is a good example of this. In 1984, San Francisco voters passed Proposition K, a historic “Sunlight Ordinance,” specifically to protect the city’s parks from the shadows of new buildings. When Perkins+Will worked on the Treasure Island project—an urban design project to transform the island into a vibrant new San Francisco neighborhood—we implemented that same design principle. We wanted to ensure on chilly days visitors to the small island, opposite the city on the San Francisco Bay, would have access to the sun. However, many cold-climate cities do not have these same regulations, so when we work on projects outside the Bay Area, like the Lower Yonge project in Toronto, we have to bring with us the sentiment that buildings should be designed to protect access to winter sun in public spaces. Lower Yonge project in Toronto. Image Courtesy of Perkins+Will Our Lower Yonge project was the last piece of undeveloped waterfront near Toronto’s downtown area. Before beginning the project, we analyzed not only the existing buildings and transit systems, but also the site’s winter sun patterns. This helped us identify a patch of winter sun in the middle of the site from 10 am to 2 pm on December 21, the shortest day of the year, when the least amount of sun is available. To protect this important asset, we located a public park there—a major open space the site was lacking before—to encourage pickup football or soccer games and winter activity. We then used 3D digital design tools to shape the urban form of this new development ensuring that we would always have that same patch of winter sun. Lower Yonge project in Toronto. Image Courtesy of Perkins+Will 2. Creating plazas that block wind In winter months, wind can make cold climates feel 10 to 20 degrees colder than they really are. For people to feel comfortable outside during winter months they have to be protected from cold winter winds. Cities can provide that protection with street patterns and structures that break up and block the wind. Chaudière Island project in Ottawa. Image Courtesy of Perkins+Will Over one hundred years ago the U.S. Army implemented this design principle at San Francisco’s Presidio. The Army strategically planted more than 300 acres of large trees that helped block the harsh prevailing winds to protect the officers who resided there. When we recognized the brilliance behind this design principle, we carried it over to Treasure Island, where we planted trees and methodically placed buildings to help block the wind. Similarly, we took this California design principle and applied it to Chaudière Island in Ottawa. Solar diagram for Chaudière Island project in Ottawa. Image Courtesy of Perkins+Will Like the work we did in Toronto, we surveyed Chaudière Island before we designed anything. In addition to identifying several plazas that receive winter sun, we analyzed the prevailing wind patterns that were acting on the island. To protect those plazas from the harsh winter winds, we designed the streets that led to the plazas so they were oriented away from the prevailing wind. We designed streets that were not straight, but instead meandered to prevent the wind from channeling down the streets. This helped create calm, sunny plazas on the island, even in the harsh months of winter. 3. Breaking up outdoor spaces with comfort stations In freezing winter conditions, people typically only feel comfortable walking outside for about 60 seconds. Providing a small destination for them every minute helps break up the cold and encourages individuals to use the waterfront space in the winter. Crissy Field in San Francisco is a large stretch of public park and beach on the northern side of the city. When the fog rolls in and prevailing winds pick up, the beach can be quite chilly. As a result, the city has created small destinations along the beach to break up the stretch. Wind-protected benches are located every few hundred feet and “warming huts” along the beach provide relief from the elements for visitors while offering a chance to learn more about the area, purchase a cup of coffee and warm themselves. We found this same technique to be successful when planning Treasure Island and implemented it again in our Outer Harbor project with the City of Buffalo. Outer Harbor project in Buffalo. Image Courtesy of Perkins+Will The Outer Harbor project area spans a total of 200 acres, which can take people 30 minutes or longer to cross. To break up the space and make it more bearable during the freezing months, we provided some sort of visual or physical destination every minute, like benches, public art and other landscape elements. Every five minutes we designed comfort stations with heaters and restrooms. We used these small destinations as a way to incorporate unique artwork and make the area more exciting. 4. Designing for active winter programming Many cities have outdoor spaces that are perfect for summer recreation, but when it comes to the winter months, those spaces go largely unused. Cities looking to make the most of their waterfronts year-round should plan for winter activities from the beginning. San Francisco has large stretches of beach and paved outdoor areas along its waterfront, which makes it an optimal location for walking, cycling and running. On Treasure Island, we planned for similar open spaces with large recreational fields, shoreline promenades and artificial wetlands. While snow is not a factor in the Bay Area, other cities that have harsh winters can still use their spaces all year if they plan accordingly. Through our work with the Outer Harbor project in Buffalo, we created a space along the city’s waterfront we wanted residents to enjoy year-round. The space has an abundant network of walking and running trails, which were designed with wind protection, comfort stations and winter sun in mind. We looked at the site with an eye for specific hills that could be transformed into sledding hills in the winter, or bike paths that could be used for snowshoeing or dog sledding. Now, the space can be used for skating, ice sculptures and winter festivals and is a popular place in both summer and winter months. "Human Comfort Diagram" for the Outer Harbor project in Buffalo. Image Courtesy of Perkins+Will The most valuable asset that a waterfront city has is the waterfront itself. Waterfronts provide locations of growth and commerce within urban areas. For cities where there was previously no activity around their waterfronts, waterfront redevelopment is a great way to breathe life into areas that were once bustling hubs of activity. Activating cold weather waterfronts for year-round use presents serious challenges; however, urban design and planning offers solutions to these challenges and an opportunity for those cities to establish unique destinations that draw people to their waterfronts all year long. Noah Friedman is Senior Urban Designer in Perkins+Will’s San Francisco office. Cite: Noah Friedman. "4 Ways Cold-Climate Cities Can Make The Most Of Their Waterfronts" 15 May 2015. ArchDaily. Accessed 15 May 2015. <http://www.archdaily.com/?p=631845> sent via Tapatalk
  22. http://designmontreal.com/commerce-design/a-propos-de-commerce-design-montreal Commerce Design Montréal Toggle navigation À propos de Commerce Design Montréal La Ville de Montréal célèbre cette année le 20e anniversaire de la création des Prix Commerce Design Montréal, une initiative montréalaise dont le succès fait écho depuis plus de dix ans dans plusieurs villes d’Europe, du Canada et des États-Unis. Les efforts soutenus dans ce programme ont contribué à sensibiliser les commerçants et le public à la valeur ajoutée du design. Ils ont insufflé une remarquable progression dans la qualité des lieux que l’on fréquente et l’expérience qu’ils nous procurent. C’est sur cette lancée que la Ville de Montréal poursuit son action et récompense celles et ceux à qui l’on doit cette heureuse transformation. Les lauréats se retrouvent au cœur d’une campagne de promotion et de relations de presse d’envergure qui vise à les faire connaître auprès du grand public, contribuant à leur notoriété et à l’accroissement de leur volume d’affaires. Cette récompense confère aux Prix Commerce Design Montréal toute leur originalité. Un trophée, création du designer industriel Claude Maufette, est attribué aux lauréats (commerçants et designers) qui sont aussi pourvus d’autres outils promotionnels visibles signalisant leur distinction. Historique Commerce Design Montréal a été créé en 1995 dans le but de faire valoir auprès des commerçants montréalais les bénéfices d’investir dans la qualité de l’aménagement de leur établissement avec l’aide de professionnels qualifiés. La raison d’être de cette activité est encore et toujours de développer le marché du design commercial à Montréal pour : améliorer la qualité du cadre de vie et rendre la Métropole plus attrayante; augmenter la compétitivité des commerces; accroître la demande locale pour les services professionnels en aménagement commercial. Les objectifs visent à créer un effet d’entraînement auprès d’autres commerçants, de convaincre ces derniers du bien-fondé du design pour leur succès en affaires et d’avoir un effet structurant sur la revitalisation et la dynamisation des rues commerciales. L’effort public et parapublic pour sensibiliser les commerçants montréalais au design a été sans relâche de 1995 à 2004. L’étude d’impacts alors réalisée avait démontré que le programme a concrètement développé, en dix ans, le marché en design de commerces et induit l’effet d’entraînement recherché. La qualité promue par les Prix Commerce Design Montréal s’est avéré un axe de communication très porteur pour la candidature de Montréal Ville UNESCO de design dont la désignation a été obtenue en 2006. Après dix ans de succès, un élargissement et un repositionnement vers d’autres secteurs d’activités étaient nécessaires. Il s’imposait alors de sensibiliser de nouveaux acteurs à l’amélioration de la qualité du design dans la ville. En 2005, le prolongement de l’action de Commerce Design Montréal fut confié à Créativité Montréal qui réalisa, de 2006 à 2008, trois éditions des Prix Créativité Montréal. De son côté, la Ville de Montréal continua de transférer son expertise et céder des licences à d’autres villes qui reprisent le concept original. « Commerce Design » est devenu une marque de commerce officielle de la Ville de Montréal en 2014. En relançant le programme en 2015, Montréal souhaite continuer à inspirer d’autres villes, à faire grandir le réseau et voir évoluer son concept puis, engendrer des retombées probantes sur son territoire grâce au partage d’expériences. Les grandes étapes de Commerce Design Montréal Appel de candidature : l’objectif est de recruter une centaine de participants d’une grande diversité ; des commerces de tous types et envergure, répartis sur le territoire de l’île de Montréal, récemment aménagés avec l’aide d’un professionnel en design ou en architecture. Jury : le jury retient, suivant l’analyse des dossiers et le visionnement des photos, une quarantaine de commerces finalistes qu’il visite lors d’une tournée d’observation. Il sélectionne 20 commerces et concepteurs lauréats, ex aequo. Parmi les critères qui guident les jurés, la mise en contexte est cruciale, car la sélection vise à refléter plusieurs réalités commerciales à Montréal, afin que les commerçants qui songent à investir dans le design de leur commerce puissent s’identifier et s’inspirer de l’un ou l’autre des établissements primés. Les Prix du jury sont annoncés lors d’une soirée festive qui réunit des centaines d’invités. Rencontres avec les designers : le public est invité à découvrir, lors du weekend « Venez, voyez, votez! » les 13 et 14 juin 2015, les 20 commerces lauréats sous l’angle du design, alors que les concepteurs sont sur place pour accueillir visiteurs et clients et expliquer leur démarche créative. Prix du public : du 11 mai au 31 août 2015, le public peut voter en ligne ou à l’aide d’un bulletin de vote pour son commerce préféré parmi les 20 lauréats. Au terme de la campagne « Votez avec vos yeux!», le commerce qui récolte le plus grand nombre de votes est proclamé « Prix du public » lors d’un événement de presse. Des cartes et chèques-cadeaux échangeables dans les commerces primés sont tirés au hasard parmi les votants, bouclant ainsi la boucle. Voir les partenaires et collaborateurs Prix Frédéric-Metz En août 2014, le milieu du design a perdu un grand pédagogue, un communicateur exceptionnel, un militant en faveur de la qualité en design : Frédéric Metz (1944-2014). Professeur associé à l’École de design, membre fondateur du Centre de design et de l’École supérieure de mode de l’UQAM, il est une figure marquante du design au Québec. Pour perpétuer sa pensée, la Société des designers graphiques du Québec (SDGQ), l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et le Bureau du design de la Ville de Montréal lui rendent hommage en créant le Prix Frédéric-Metz dans le cadre des Prix Commerce Design Montréal 2015, un programme qu’il affectionnait tout particulièrement et auquel il a collaboré pendant plusieurs années. Le Prix Frédéric-Metz récompensera un établissement primé parmi les 20 Prix du jury dont le design (intérieur, graphique) parfaitement intégré, inspirant et efficace « facilite la vie, élève la beauté, la fonction et le sens, adoucit l’expérience, et constitue une valeur ajoutée à la vie quotidienne ». Un trophée, aux couleurs du personnage Metz, sera attribué aux lauréats lors d’une cérémonie spéciale le 14 septembre prochain. Une vidéo produite par deux étudiants en communications de l’UQAM, Gabriel Lajournade et Amélia Blondin, sous la direction artistique de Philippe Lamarre, président sortant de la Société des designers graphiques du Québec, a été réalisée pour l’occasion. Les plus proches collaborateurs et amis de Frédéric Metz témoignent de leur amitié et de leur admiration pour son travail et son legs pour les générations futures. sent via Tapatalk
  23. http://plus.lapresse.ca/screens/4c95227e-0c61-4a19-b0e4-58772290c8f6%7C_0.html abcdefghijklmnopqrstuvwxyzabcdefghijklmnopqrstuvwxyzabcdefghijklmnopqrstuvwxyz La Presse MENU PARTAGÉ À PARTIR DE LA PRESSE+ Édition du 29 avril 2015, section ACTUALITÉS, écran 4 STARCK S’INSTALLE À MONTRÉAL FRANÇOIS CARDINAL LA PRESSE Montréal, ville UNESCO de design ? Oui. Peut-être. « Cette désignation ne fait de mal à personne », lâche l’überdesigner Philippe Starck, peu impressionné par ce titre international. Pas que la ville ne soit pas « design ». Pas qu’elle le soit particulièrement non plus. Seulement, cette désignation dont le maire Gérald Tremblay était si fier, dont la Ville pimente tous ses documents, ne veut pas dire grand-chose. Et surtout, m’a expliqué Starck hier, elle n’a rien à voir avec ce qui distingue la métropole. « Quand je croise des gens qui reviennent de Montréal, ils sont toujours très exaltés, enthousiasmés. Mais pas par ce qu’ils ont vu, mais par ce qu’ils ont été, par ce que la ville leur a permis d’être. Et tous rêvent d’y revenir. » Et le design n’y est pour rien, selon Starck. C’est plutôt la simplicité « non pasteurisée de snobisme » qui démarque Montréal. Ce sont les rencontres, les échanges, la possibilité d’échanges qu’il suscite. « Montréal est une ville en perpétuel devenir, qui a son propre rythme, assez organique, très humain, relativement lent. C’est une ville ouverte, authentique. Une ville… difficile à étiqueter, en fait. » — Philippe Starck *** Philippe Starck était à Montréal, hier, pour la première pelletée de terre de la tour résidentielle qui portera sa griffe, dans Griffintown. Le YOO. Un « village vertical » qui incite, force même la rencontre entre ses résidants grâce à de nombreuses aires communes. Selon le communiqué de presse, YOO Montréal est « important » pour Starck parce que YOO est « très important » pour Starck et parce que Montréal est « très important » pour Starck. Bon. C’est l’équivalent du « I LOVE THIS CITY ! » crié par toutes les vedettes rock… dans toutes les villes où elles passent. Dubitatif, j’ai passé une bonne demi-heure avec l’homme. Un homme volubile, d’une intelligence débordante. Un homme qui est venu « quatre ou cinq fois » ici, notamment pour C2 Montréal. Un homme qui adore Habitat 67. Un homme, surtout, qui aime véritablement Montréal pour ce qu’il est… et ce qu’il n’est pas. « Tous ceux qui viennent ici constatent que la ville a un particularisme… mais ils sont incapables de le décrire. J’ai toujours trouvé ça intéressant. Car ce qui tue, ce qui étouffe, c’est l’étiquette. » Rome, plus vieille ville du monde. Paris, la plus belle. New York, centre mondial des affaires. « So what ? On a tout dit, mais rien dit. Tandis qu’ici, le mal à étiqueter est garant d’une qualité, d’une modernité évidente. » « Et c’est paradoxal. On entend peu parler d’une chose révolutionnaire à Montréal. Et pourtant, elle l’est plus que bien d’autres. Il y a ici des choses, des actes qui, discrètement, sont plus en avance que dans beaucoup de villes dans le monde. » « Montréal est une ville où on peut avancer. Discrètement, mais sûrement. » *** C’est très précisément cette modernité tranquille qui lui fait tant aimer Griffintown, aussi. Quartier que Starck appelle simplement « Griffin ». Le designer apprécie ces tours qui voisinent de vieilles maisons, des vestiges industriels et une écurie, ce mélange du vieux et du neuf. « C’est ça, la vie. Notre société est autonettoyante, comme les fours. Elle efface ce qui ne mérite pas de rester. Oui, il faut conserver des bornes de l’histoire, le faire au coup par coup. Mais dans le doute, il faut toujours être du côté de la liberté et du futur. » — Philippe Starck Et le YOO, il apporte quelque chose dans le secteur ? « Honnêtement, pas grand-chose. Il n’a pas de prétention historique, pas de prétention monumentale. Et c’est pour ça que je l’aime beaucoup. Car cette tour dessinée par les architectes de NEUF est humble. Contrairement aux bâtiments publics qui ont une obligation de démonstration, les bâtiments résidentiels ont une obligation d’humilité. Ils ne doivent porter que le bonheur des gens qui y vivent. » Un peu comme ces « agrégats de vies » que sont les villes. « Pour moi, une ville n’est jamais un paysage, de l’architecture, des monuments. Une ville, c’est l’addition des gens qui y vivent, de l’énergie qu’ils dégagent, de leur pensée, de leur création, de leurs actes. Une ville n’est qu’un acte immatériel de civilisation. » Oui, ajoute Starck, le design est important. Mais de là à en faire une désignation internationale qu’on distribue aux villes, comme Montréal… « Puisque c’est fait, tant mieux. Mais ce n’est pas là que ça se passe. Ça fait 20 ans que le design est très à la mode, qu’on en parle beaucoup. Mais il faudrait qu’il soit plus intégré, aujourd’hui, comme un paramètre obligatoire. » « Tant mieux si Montréal est une ville UNESCO, mais ça ne va pas changer la face du monde. Celle de Montréal non plus. » Ce texte provenant de La Presse+ est une copie en format web. Consultez-le gratuitement en version interactive dans l’application La Presse+. iPad est une marque de commerce d'Apple Inc., déposée aux États-Unis et dans d'autres pays. App Store est une marque de service d'Apple Inc. Android est une marque déposée de Google Inc. Google Play est une marque déposée de Google Inc. 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  24. http://www.lapresse.ca/maison/decoration/amenagement/201504/28/01-4865137-amenagement-les-finissants-sexposent.php Publié le 28 avril 2015 à 12h25 | Mis à jour à 12h25 Aménagement: les finissants s'exposent Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir... (Photo fournie) Agrandir Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir de 18h, et l'exposition sera ouverte au public le vendredi 1er mai et le samedi 2 mai entre 12h et 16h. PHOTO FOURNIE Ma Presse Sophie Ouimet-LamotheSOPHIE OUIMET La Presse Comme chaque année, la Faculté de l'aménagement de l'Université de Montréal ouvre ses portes au public pour son exposition de finissants. Plus de 250 projets seront présentés dans les locaux de la Faculté, toutes disciplines confondues: architecture, architecture de paysage, design industriel, design d'intérieur, design urbain et design de jeux. Cette année, l'exposition explore la dualité entre le fond et la forme dans la création. Le vernissage aura lieu le jeudi 30 avril à partir de 18h, et l'exposition sera ouverte au public le vendredi 1er mai et le samedi 2 mai entre 12h et 16h. Fond Forme Université de Montréal, Faculté de l'aménagement 2940, chemin de la Côte-Sainte-Catherine amenagement.umontreal.ca sent via Tapatalk
  25. La place d'Armes reconstruite Éric Clément La Presse Quelque 6,7 millions de dollars seront consacrés dans les prochaines années par l'agglomération montréalaise pour reconstruire complètement la place d'Armes, dans le Vieux-Montréal. «La place n'a pas été refaite depuis le milieu des années 70, explique Gilles Morel, secrétaire permanent du comité de coordination du Vieux-Montréal, à la Ville de Montréal. Elle manifeste des signes d'âge importants. La Côte de la Place-d'Armes, la place d'Armes elle-même et la rue Saint-Sulpice jusqu'à la rue de la Commune seront donc refaites.» La place d'Armes fait actuellement l'objet d'études afin d'en apprécier la fréquentation dans le but de la réaménager en tenant compte des automobiles et du flux de touristes. «Au cours de l'automne, des gens de l'Université de Montréal ont installé une caméra pour analyser la circulation des piétons, dit M. Morel. De plus, Tecsult a fait des comptages qui montrent qu'il y a jusqu'à 70 autobus chaque jour sur la place d'Armes.» Le pavement et les trottoirs seront refaits. La statue de Paul Chomedey de Maisonneuve, en place depuis près d'un siècle, ne sera pas déplacée, mais la fontaine sera rénovée. Sous la fontaine demeurent les vestiges de vieilles latrines qui logent actuellement une vaste colonie de rats. S'il n'est pas question d'installer une «Dame Pipi» sur la place, Gilles Morel dit qu'après avoir vérifié l'état de la structure de ces latrines, la Ville et la Société de développement commercial décideront si on peut les utiliser pour opérer un service. Sinon, elles seront démolies. Tout le réaménagement fera l'objet d'une réflexion. «Il y aura notamment un atelier l'automne prochain qui impliquera des équipes montréalaises, Design Montréal, et des équipes d'autres villes de design de l'UNESCO, comme Buenos Aires et Berlin. Par la suite, on fera un appel d'offres pour être en travaux en 2009-2010. Mais dès cette année, on refera la rue Saint-Sulpice dont on a reconstruit le réseau d'aqueduc.» Le nouveau design de la rue Saint-Sulpice sera d'ailleurs défini dès la fin du mois d'avril. Les plans seront présentés aux résidants du quartier. Chemin piétonnier au cimetière Notre-Dame-des-Neiges Par ailleurs, 3 millions seront investis pour créer un chemin piétonnier qui fera le tour du cimetière de Notre-Dame-des-Neiges. «Il partira du lac aux Castors, fera un circuit à l'intérieur du cimetière en fonction de l'intérêt d'un certain nombre de caveaux, descendra vers le chemin de la Côte-des-Neiges, fera le tour près de l'Université de Montréal et reviendra jusqu'au chemin Olmstead.» Tous ces travaux font partie d'un plan de mise en valeur du patrimoine pour lequel l'agglomération va emprunter 23,5 millions. Québec le finance en partie (8 millions) grâce aux ententes signées depuis 1979 entre la province et la Ville pour entretenir le Vieux-Montréal. Mis à part la place d'Armes et le chemin de ceinture du cimetière, d'autres travaux visent la restauration des mansardes et du campanile de l'hôtel de ville (3,8 millions), la réfection des trottoirs de la rue Notre-Dame et de la rue Saint-Paul (3 millions), le réaménagement du chemin Queen Mary (2,5 millions), la rénovation des fortifications du Champ-de-Mars (1,5 million) et le remplacement des pavés de la rue de la Commune (1,4 million).
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